Oh mon ami ! Toi, que j’aimais tant, tu es parti.
Ta bonne poignée de main, ton air taquin,
Tes yeux si clairs, les reverrai-je ?
De tous,
l’estime tu avais,
Sans aucune arrière pensée,
Ta franchise et ton allant,
Te faisait aimer de tous les gens.
Pourquoi as-tu tant souffert,
A vouloir garder la vie ?
Tu es au paradis,
J’en suis sûre, il ne peut en être autrement.
Ton cœur si bon, ta voix si gentille, qui
pleurait à quitter ta famille,
Tu aimais tant ta fille !
Et ta femme ? Supportera- t- elle la
dessoudure ?
Tu étais trop bien pour qu’on t’oubli.
Je pense aussi à ta maman, qui ne fait pas de
bruit,
Alors que dans son cœur, tout est détruit.
Ah ! que les gens ont la vie dure !
Dans nos cœur,
le meilleur des anciens,
Tu resteras,
Jusqu'à
ce que là haut on se revoit.
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