La
fraîcheur émane de toi,
Ta
sveltesse et ta minceur font penser à une hirondelle,
Allant
dans la vie avec tous ses soucis,
Se
poser sur le cœur d’une amie, parler,
Parler
évacuent les ennuis.
Puis, tu vas d’un tire d’aile, près de ta famille,
Où cela te semble moins lourd !
Pourtant ton sourire et tes yeux attiseraient
n’importe qu’elle âme.
Où
est il donc celui qui te comblerait de joie ?
Puis, empli d’amour virevolterait avec toi.
Cui, Cui, je veux chanter, et ne serai en paix,
Que quand
dans tes yeux il n’y aura plus de larmes !
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