A mon amie

 

 

La fraîcheur émane de toi,

Ta sveltesse et ta minceur font penser à une hirondelle,

Allant dans la vie avec tous ses soucis,

Se poser sur le cœur d’une amie, parler,

Parler évacuent les ennuis.

 

Puis,  tu vas d’un tire d’aile, près de ta famille,

Où cela te semble moins lourd !

Pourtant ton sourire et tes yeux attiseraient n’importe qu’elle âme.

 

Où est il donc celui qui te comblerait de joie ?

Puis,  empli d’amour virevolterait avec toi.

Cui,  Cui, je veux chanter,  et ne serai en paix,

Que quand dans tes yeux il n’y aura plus de larmes !

 

 

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