CIVILISATIONS
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Écrit par Patinet Thierri
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Samedi 16 Novembre 2019 à 08:02 |
De la démocratie
Petites nouvelles de cette
petite Terre où l’on voit en son Occident l’instauration d’une dictature de la
médiocrité la plus totalitaire qui soit, mais lisons :
« On ne saura rappeler
à tout un chacun que la démocratie promeut la Liberté, l’Égalité, la
Fraternité, qui semblent les règles tacites de la conduite des Peuples dans ce
petit monde, hors quelques Nations prostrées dans l’infection socialiste,
communiste, islamiste, où l’anachronisme est règne, où l’individu n’existe qu’à
portion de son rendement à la collectivité, et où doivent disparaître pour le
bon plaisir de l’avarice les faibles, celles et ceux qui ne se plient pas à la
dictature et ses reîtres.
On comprendra que ce jour 16
novembre, date anniversaire du mouvement spontané du Peuple de France se
battant contre la montée excessive des impôts et pour la reconnaissance d’une
vie décente, que la Démocratie dans cette Nation n’est qu’un mot, un haillon ne
cachant certainement pas les vices les plus totalitaires émanant du pouvoir en
place, utilisant ses nervis pour casser et décrédibiliser ce mouvement, faisant
gazer, à peine la manifestation commencée les participants, sans distinction,
homme, femme, enfant, dont on rappellera que la même gouvernance a laisser
défiler sans le moindre heurt celles et ceux qui vomissent la Nation, et ne
sont là, comme des parasites, que pour escroquer les cotisations versées par
les Françaises et les Français tant au niveau des caisses d’allocations
familiales, que de la sécurité sociale et tutti quanti.
Le deux poids deux mesures
de cette infamie en gouvernance, conchiant la France et son Peuple, est ici
sans variable, tenue qu’elle est par ses serments aux banquiers stériles qui les
agitent comme des marionnettes pour implanter une dictature sanglante
permettant d’anéantir le Peuple de France et complémentairement d’implanter par
la force des esclaves à bas coûts, faisant fi de leurs crimes journaliser, provenant
de toute la misère du monde, qui loin de s’intégrer, profite sur le dos des Françaises
et des Français des avantages sociaux initiés par les Français de souche.
La mâchoire de l’usure est
ici parfaitement reconnaissable, des esclaves en col blanc tenus par leurs
vices, leurs meurtres, leur pédophilie criminelle, leurs affaires, invariantes,
leurs appartenances sectaires et maçonnes déviantes, une clique ignoble de
parasites passibles de la justice, choisie en fonction de son incapacité notoire,
aux fins de détruire jusqu’aux racines de la Nation, par l’accélération de sa
paupérisation, via l’autre branche de la mâchoire, l’immigration massive,
cinquième colonne de ce pouvoir de nain instrumentalisé par le vrai vecteur du
pouvoir, l’usure anachronique vivant comme une sangsue sur le dos des êtres Humains.
Des êtres Humains qu’il ne
cherche à élever, bien au contraire, à rabaisser jusqu’à la poussière pour qu’il
soit son esclave économique ou sexuelle bon à jeter comme un kleenex lorsqu’il
ne sera pas productif, des êtres Humains bons à pressurer jusqu’à la lie dans le
mensonge et par la propagande afin qu’ils acceptent leur condition de chose,
bonne à payer la dîme pour vivre, la dîme sur ce qui n’existe pas, ce qui est
inventé de toutes pièces, les intérêts de la dette, la dette elle-même, et
cerise sur le gâteau un pseudo-réchauffement planétaire ridicule s’inventant
des icônes relevant de la débilité mentale la plus prononcée, eut égard à leurs
actes comme leurs discours, lorsqu’on regarde les enfants travaillant dans ce monde
dans les conditions atroces que l’on sait, pour faire reluire cette sous
bestialité qui se veut « morale ».
Des êtres Humains dont le
manche de cette mâchoire se sert comme torche-cul de ses vices les plus
profonds, sa pédocriminalité la plus notoire découverte de jour en jour,
utilisant l’enfance dont elle doit détruire l’avenir pour assouvir sa
bestialité usuraire, voyant 118 millions d’enfants disparaître chaque année
dans ce monde, sacrifiés par cet anachronisme trouvant ses ramifications jusqu’en
les Institutions les plus renommées, sacralisées par des juges libérant l’abjection
pédophile, voyant jusqu’à un migrant conservé sur notre territoire après qu’il
ait violé un enfant de cinq ans, toute une dérive instituant la théorie du
genre, de ce pauvre type s’étant châtré car incapable d’assumer la Vie et lui
préférant l’illusion, toute une dérive contée par ce que l’on ose appeler l’organisation
des Nations Unies qui n’est plus que le réceptacle de la perversité et de la criminalité
la plus répugnante qui soit, toute une dérive diffusée par les pédophiles dans
l’éducation dite Nationale, cette monstruosité qui pavane et pavane encore avec
ses minorités agglutinées et prostrées sur leur fondement, des glaires assoiffées
conditionnées par le venin de leur propre folie.
Voici les émules du nouvel
ordre mondial, belle chose en vérité représentant tout à fait l’inversion des
valeurs, encensant le criminel, destituant les victimes, comme on l’a vu dans
ce que l’on ose appeler un Parlement européen où la vermine génocidaire a
refusé une minute de silence pour les martyrs de l’attentat du Bataclan,
assassinés grâce au laxisme d’un État aux ordres de l’usure, petit valet
sordide de ce nouvel ordre qui est la devise des dégénérés en tout genre,
cultivant sur la sueur et sur le sang des Peuples leur petit pécule, dans une
arrogance confinant à la non-humanité la plus totale comme la plus totalitaire,
représentée par quoi ? Cent soixante-dix mille multimilliardaires dans ce
petit monde, qui se protègent via la face hideuse de gouvernances aux ordres et
un cordon de police choisi.
Cette déréliction a choisi
les vêtures de sa prouesse, la guerre, la guerre à outrance pour faire marcher
le commerce des armes et voler impunément les ressources de chaque Nation, la
mise en esclavage de Peuples entiers, comme on le voit en Afrique où comble de
l’ironie, on voit prêter une partie des intérêts reçus en récompense du vol de
ses ressources, à des Peuples qui doivent encore payer des intérêts sur ce prêt !
Mais cela n’est pas tout, pour se complaire et se faire belle, par le biais de
la pestilence sous intellectuelle, elle a mis en œuvre une offensive lui
permettant de tuer dans l’œuf les générations à venir par vaccination massive,
au mercure bien entendu, par déversement de produits hautement nocifs dans l’atmosphère
afin de faire perdre à l’existant sa capacité de cognition, et pire que tout cela
invente journellement des médicaments qui ne sont pas là pour traiter des
maladies mais bien pour les faire perdurer.
Et s’il n’y avait que cela,
mais ces erreurs de la nature doivent conjuguer leur essor, et surtout ne pas
subir les plaies qu’elle afflige aux êtres Humains, il lui faut des organes
pour se régénérer, et bien entendu organise le trafic de ses dits organes quand
il n’est pas légalisé par de pseudos démocraties aux ordres, et pour finaliser
organise le trafic de la drogue pour servir ses opérations noires les plus
courantes, et surtout pour que soient en addiction toute la jeunesse de ce
monde, qui si elle ne peut être détruite par la pédo criminalité, par les
vaccinations massives, par les laboratoires pharmaceutiques, doit disparaître
dans l’illusion que procure la drogue.
Enfin le fin du fin relève
de la folie prégnante qui l’anime, la régénération via les cellules-souches, la
régénération rendue possible par l’avortement de masse, voyant découpés en
tranche les embryons pour nourrir les peaux fanées de ces erreurs de l’humanité,
dans une voracité sans nom et sans nombre qui s‘affiche devant le public avec
des sourires hypocrites, déviants, innervant une fin de race cosmopolite et
visqueuse, consanguine et grégaire qui n’a pas compris encore, malgré son
cannibalisme, malgré ses théories fumeuses de mise en servage de l’humanité,
malgré sa répression systématique via le meurtre légalisé de la conscience des
Nations, les personnes âgées, par sédation et euthanasie, les êtres humains à
naître , par l’avortement, les nouveau-nés, par vaccination mortifère, les vivants
par déversement de produits chimiques, une nourriture avariée, les produits de
laboratoires pharmaceutiques sans raison, la mise en œuvre du néant, par la
pédo criminalité, la perversité, la zoophilie, la déviance totale, l’inversion
de toutes valeurs humaines, que chacun de ses actes, que chacun de ses faits,
est désormais sur la place publique, à la vue de toutes et de tous.
Toutes et tous qui commencent
à se réveiller de cette torpeur gluante de vermine qui les souille, les
humilie, voudrait les rendre infiniment petit, alors qu’ils sont infiniment
grand, étincelles de lumière dans ce tout de la Lumière qu’assombrit cette
pestilence qui se voudrait maîtresse de ce petit monde, une pestilence
désormais connue et reconnue qui sera jugée, n’en doutons un seul instant, la
rémanence formelle issue des Peuples qui se sont construits étant
indestructible car partie intégrée de leur gène, ce que ne peut comprendre la
fiction en pouvoir, cette fiction qui va se retrouver confronter au réel dans
les décennies qui vont venir, et qui ne pourra faire face compte tenu de son nombre
ridicule au tsunami qui s’active et jamais ne pourra être régulé par les chiens
de guerre de sa perversion pandémique que connaît la Terre.
Voici donc la Démocratie
dans ce pays de France, soumise à ce qui précède et où on parle d’égalité, de
liberté, de fraternité, symboles qui désormais sont le cœur du Peuple de cette France
que voudraient voir disparaître les gitons de l’usure, ces choses peureuses et
avariées qui vident les villes qu’elles visitent de tout habitant, qui s’inventent
de pseudos attentats quand elles ne les commanditent pas pour faire pleurer
dans les chaumières et voir une partie ignorante du Peuple se précipiter dans
leur giron, une Démocratie inexistante, où le Peuple est saigné charnellement,
mutilé via l’infection qui garde la veulerie, où le Peuple est gazé via des
grenades au cyanure, où le Peuple, malgré toute la répression, toujours se
dresse fièrement, car le Peuple lui est honneur et non labour de fondements
usuraires, il n’est pas le lèche-cul des fosses d’aisances de cette braderie de
l’inconscience qui se vautre dans la fange, dans le sang, dans l’ordure, dans
la défécation tribale de la pourriture simiesque qui tient ses assises dans les
conseils d’administration d’entreprises de racket.
Il n’y a pas besoin d’être
grand clerc pour comprendre que l’illusion n’a qu’un temps, lorsque la
créativité, symbole d’évolution, a fait place à la nécrose, dont l’art ce jour
montre le marais fétide, via un « art » dit moderne qui n’est que
chiure de l’intelligence, via un théâtre ou bien un opéra où s’engraisse la
pestilence en dénigrant les textes historiques, via un cinéma qui ce jour
déploie ses artifices pour faire accroire à son invention en plagiant les
auteurs classiques et en faisant croire que leurs personnages relèvent d’une multi
culturalité stupide et bêtifiante. L’Art est toujours l’indicateur de la santé
d’une civilisation, et lorsqu’il se roule dans le fumier, on comprendra à quel
degré en est rendue cette civilisation. Et quoi de plus normal lorsqu’il est
instrumentalisé par ce qui ne crée rien, sinon le néant, car soyons simples,
quelle création existe dans la fabrication de la monnaie, fabriquée sur le
vide, et source d’un intérêt indu qui nourrit le parasitisme le plus violent
que la terre ait connu.
Cette illusion trouve
aujourd’hui son aboutissement, dans cette conscience qui se lève et que rien ni
personne ne pourra faire tarir, la conscience née de la rémanence formelle des
Peuples, qui aspire à la réalité et non au formatage, fut-il Trans humaniste –
qui sera totalement détruit lorsqu’il menace l’être-humain -, fut-il
électronique via la surveillance de masse – qui peut être totalement détruite
via l’infiltration de ses programmes et la liquidation de ses octets – fut-il
né de la répression qui toujours trouvera en face d’elle une réponse
appropriée, l’être humain n’oubliant pas son devoir sacré qui est celui de la
liberté, inscrit génétiquement dans son capital humain, la liberté, seul
critère permettant l’évolution et non l’involution, la liberté qui toujours a
mené à la moisson des connaissances, à l’ardeur de la conquête, à la révélation
de l’honneur et de la grandeur humaine, au-delà des scories qui veulent l’anéantir
et la diminuer, sinon la faire disparaître.
La liberté qui permettra de
faire renaître la Démocratie, souillée par la puanteur cadavérique des sectes maçonniques
et autres les plus déviantes qui soient, tenant dans un squelette courbé devant
l’usure les rennes de la Nation, pour son seul et simple plaisir qui est celui
de l’orgiaque bestialité et ses adventices caractéristiques entreprenant la
gloire de la désintégration, le prestige du génocide, dans une sous bestialité
hurlant ses apostrophes à des Peuples qui en réflexion les voient comme elles
sont, des borborygmes de gisants dans leur défécation tribale et malsaine, dont
il convient d’éradiquer totalement les effluves comme les empreintes par toutes
surfaces de cette terre, afin que les êtres Humains enfin respirent, enfin se
détachent des carcans et des chaînes qui sont nées du désordre le plus purulent
— qui se veut « ordre »- que l’humanité ait pu connaître depuis sa
génération.
On le comprendra la
Démocratie ne pourra renaître de ses cendres que lorsque les sectes n’auront
plus aucun pouvoir dans le cadre des états, des sectes qu’il faut anéantir afin
que les Peuples puissent enfin retrouver leur liberté de parole, leur liberté
individuelle comme collective leur permettant de mettre à bas la dictature de l’usure
et de ses féaux, la dictature du néant, cette atrophie malsaine réduisant l’humanité
à sa plus simple expression, via ses crimes, ses génocides, ses guerres, ses
pseudos révolutions, toute une aberration monstrueuse qui se réjouit de la
liquéfaction du vivant, dont un Nuremberg mettra à bas la criminalité la plus
torve, la plus répugnante qui soit, une criminalité d’atrophiés de la Vie, ne
pouvant marcher que dans l’horreur, sa condition, qui n’est que celle de la destruction, au
regard de son incapacité créative.
La Démocratie doit être
lavée à grande eau des idéologies nées de cette usure et de ses féaux, le
socialisme, le national socialisme, le communisme, le capitalisme sauvage, pour
enfin renaître. N’oublions pas que ces idéologies sont la cause de deux cents
millions de victimes à travers le monde, et on comprendra que ces idéologies s’allient
avec l’islamisme qui est l’auteur de six cents millions de victimes à travers
le monde, qui est l’idéologie de la soumission, cette soumission que voudrait
bien voir naître toute cette hérésie qui porte ces idéologies afin que l’être
humain soit un parfait esclave à ses ordres, un zombi par excellence qui sera
désintégré lorsqu’il ne sera plus productif, qu’il ne s’endettera pas pour nourrir le
parasitisme, qu’il ne conviendra pas à la pensée unique germée par la
bestialité, le marxisme, le freudisme, le darwinisme, le friedmanisme, le
einsteinisme, toutes tares que l’humanité porte comme un fardeau qui doivent
être évacués globalement, sinon que pour servir à la recherche des causes
profondes du dérèglement de l’intelligence humaine fondant l’esclavagisme par
excellence.
Que l’on ne s’inquiète, cela
se fera, l’Humanité dans sa diversité étant la formalisation de la Vie sur
cette petite planète et en capacité de lutter contre la dizaine de millions d’atrophiés
et leurs chiens de guerre qui veulent sa mise en esclavage, la conscience
avance, les voiles de l’illusion se consument, et la vérité apparaît dans tout
ce qu’elle a de terrible et de terrifiant pour celles et ceux qui marchaient
aveugles, découvrant qu’ils ne sont que les jouets de l’abstraction, une
abstraction voulue afin qu’ils ne se coordonnent pour évoluer, et se libèrent
des chaînes de l’inutilité usuraire, mais bien régressent dans les fondements
de la matière la plus brute et la plus totalitaire où ne règnent que des kapos,
qui se veulent maîtres de toute réalité en l’obviant dans leur digression
tutélaire, née du néant et voulant retourner au néant.
Pour mémoire, on remarquera
que pour l’instant la dictature en profite en se servant de tous les
instruments répressifs possibles et imaginables, relevant des crimes contre l’humanité,
mais cette dictature parmi les autres, instrumentalisée par l’usure croit-elle
un seul instant que lorsque le Peuple se redressera décisivement en répondant
point par point à cette répression, qu’elle perdurera ? Soyons sérieux,
que peuvent en France quelques centaines de milliers de féaux de la barbarie
contre soixante millions de personnes décidées, unies et armées d’une seule
volonté ? Rien.»
Le seuil de conscience
évolue considérablement sur cette planète, les Peuples voient la fourberie de
la barbarie en marche sur les quelques arpents qui lui restent, tandis que l’autre
face de ce monde s’en libère. L’histoire est en marche et comme sur de
multiples planètes, elle écrasera la dissonance pestilentielle née de l’atrophie
la plus nauséeuse née du néant et cherchant à contraindre le vivant à se
dissoudre dans ce néant. A suivre…
© Vincent Thierry
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Dernière Mise à jour ( Samedi 16 Novembre 2019 à 08:33 )
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POESIE
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Écrit par Patinet Thierri
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Vendredi 15 Novembre 2019 à 11:58 |
Chevaliers
Chevaliers, debout, l’heure est venue du
combat, ce combat titanesque dont vous attendiez l’écume, ce combat terrible
qui sera l’honneur de vos rangs, de vos centaines, de vos épées dressées contre
la nuit dantesque qui s’expose.
Chevaliers, dans l’honneur combattons la nuit
et ses égrégores monstrueux qui pourrissent le moindre limon, qui tuméfient la
moindre vitalité, qui dans la voussure des étoiles sont offices d’invariante
déréliction.
Chevaliers, prenez mesure de la lie qui
embourbe les prairies, les forêts et les Océans, toute une litanie qui n’a rien
d’humaine mais tout de la poussière, dont les oripeaux sont de la perversion
les exploits déracinés.
Chevaliers, pour l’Enfant, levez le foudre de
guerre afin de le préserver de l’ignominie des pédophiles et de leurs sources
anachroniques les vouant à l’anthropophagie et au meurtre les plus répugnants
de ce monde avili.
Chevaliers, pour la Femme, dressez-vous afin
de pourfendre les démoniaques errances pullulant son agonie par le fait de
religions défaites et à proscrire dont le seul nom est emprunt d’une mer
sanguinaire et indélébile.
Chevaliers, pour l’Homme, manifestez l’autorité
qui sied afin qu’il ne s’éconduise dans le larvaire, le fétide, la prostitution
mentale et charnelle, la dérive informelle ou jouissent la profanation et ses
vices purulents.
Chevaliers, par ce monde et pour ce monde,
élevez l’étendard qui broiera définitivement les miasmes qui le décomposent,
ces rutilances ordonnées par l’or sanglant, par l’esclavagisme et ses mentors
aux atrophies malsaines et ataviques.
Chevaliers, prenez mesure, l’Ordre doit
avancer sur la plaine à la rencontre de la folie des règnes et de leurs dévastations
profanes, manipulées par des mages noirs difformes et rutilants de la charogne
qui les administre et les revêt.
Chevaliers, pour l’humanité, combattez sans
relâche leurs armées de néant inscrit par la soumission, l’acculturation la
plus profonde, et la violence la plus démentielle, sans la moindre pitié pour
leurs écueils et leurs abîmes.
Chevaliers, l’heure n’est plus à la glose
mais à l’action la plus pure, la plus rédemptrice qui sacralisera le nom de l’Humain,
en face du non humain, de cette face simiesque et bestiale qui cherche à
anéantir le vivant à son profit.
Chevaliers, que les Peuples couronnent votre
front du heaume scintillant de la victoire sur la souillure de l’esprit qui
balaie la sphère de ses noirs nuages et de ses opaques calamités cherchant à
réduire l’énergie vivante.
Chevaliers, n’ayez crainte, car en face de
vous ne se dressent que l’incapacité à vivre, la folie dimensionnelle et ses
rescrits de plaintes superfétatoires, dont les assemblées criminelles s’allient
pour vous contraindre.
Chevaliers, il est temps de vivre pour la
Vie, par la Vie et en la Vie, en lavant à grande eau les sables de la Terre des
bubons qui infectent le vivant, des poux qui s’en rassasient, de toute cette
puanteur glauque qui se veut maîtresse.
Chevaliers, vous le savez, la mort n’existe
que pour les veules et les sursis, les lâches et les reptiles, toute cette
faune de pacotille qui s’imagine vêtue de l’énergie souveraine alors qu’elle n’en
connaît que les inversions profanes.
Chevaliers, le parcours est là, et que nulle
peur ne vous aveugle, car vous êtes la Vie face à cette mort houleuse dont les
fronts simiesques sont les surgeons des malheurs de tous les Peuples de ce
chant de Terre officié.
Chevaliers, l’épée au ciel, la face sur la
terre, gardien des feux antiques, guidez maintenant vos centaines vers le
flamboiement afin d’en gréer les latitudes comme les longitudes pour semer la
terreur dans les rangs de l’ennemi.
Chevaliers, que vos fléaux frappent avec
détermination et sans vindicte ce qui n’a pas lieu d’être sur cette Terre,
toute cette vermine agglutinée dont la puanteur cadavérique monte par les cieux
pour les assombrir.
Chevaliers, intrépides et forts de la lumière
Christique, menez votre combat sans relâche contre toute la gangrène qui s’apprête,
contre ses forces cannibales, qui n’ont même par le respect d’elles-mêmes, si
contraintes sont-elles.
Chevaliers, soyez sans inquiétude, votre
victoire vient, car l’équilibre est en vous de la sagesse comme de l’équité
dont vous ferez paraître la grandeur par les fresques qui verront jugées la
bassesse et ses frivolités nauséabondes.
Chevaliers, qu’un seul écho réponde à votre
voix, celui de la Voie qui permette le renouveau dans sa manifestation
éliminant les scories et la pourriture de ce monde, dans un brasier qui ne sera
celui de la martyrologie.
Chevaliers, soyez à l’œuvre, et par la
ténacité, et par la lumière, sans équivoque devant les tombes du vivant, afin
de le voir ressusciter des limbes comme de la fange dans lesquels voulait l’enfermer
la bestialité de la barbarie.
Chevaliers, qu’il ne soit de ville comme de
campagne, de forêt comme d’océan, où votre nom ne se prononce, car le mouvement
que vous destinez sera universel et sans répit pour les forcenés de la lie qui
se nourrissent de vos chairs.
Chevaliers, toute place doit être conquise,
toute place doit voir évacuées à jamais l’avarice et le crime, toute place doit
être lavée des choses qui empuantissent l’alacrité, la jouvence, la splendeur
et ses degrés civilisés.
Chevaliers, que votre volonté s’établisse
dans le couronnement, dans la rigueur, dans la spontanéité mais aussi ne se
laisse circonscrire par une quelconque secte hideuse officiant ses larvaires
conditions dans les ténèbres.
Chevaliers, ce monde vous regarde, ce monde
qui doit avancer et non reculer, ce monde qui doit évoluer et non se rabougrir
dans les infections les plus triviales ordonnées par la sous bestialité se
voulant dominante.
Chevaliers, votre combat est le combat vivant
contre les prurits de la mort et ses sectes ovipares, ses anachronismes
pestilents qui rongent la vie dans tout ce qu’elle est, en droit légitime comme
en devoir harmonieux.
Chevaliers, le champ de bataille est
universel, ne vous y trompez, la vermine susurrant dans chaque repli des oreilles
embrumées des êtres qui se fardent dans l’insouciance, l’égoïsme et la
purulence qui est leur marais familier.
Chevaliers, sur ce champ de bataille vous
forgerez le lys firmament qui doit atteindre le plus humble comme le plus
vénéré pour le rendre à la volonté de l’existence qui est Énergie pure et ne
doit s’entacher de la pourriture.
Chevaliers, vous couronnerez cette fête du
Vivant, dans l’accomplissement et par l’accomplissement qui se doit, voyant l’Humain
régénéré sous les devises de son oriflamme sacré, liberté, complémentarité,
fraternité.
Chevaliers, cette devise vous la porterez par
les monts les plus lointains, les déserts arides, les plaines diluviennes pour
annoncer à l’Humain sa réalisation et son potentiel de réalisation par-delà les
chaînes esclavagistes.
Chevaliers, la justice est à ce prix, ce prix
du combat qui ne s’arrête dans les alcôves, dans les bruissements feutrés, mais
bien au contraire surgit là où on l’attend le moins, carénant et ciblant les
prostituées de la mort en ce monde.
Chevaliers, prenez mesure et que vos chevaux
maintenant partent au grand galop par toutes surfaces de monde pour que nulle
enseigne du néant ne puisse se sentir en sécurité, sachant que vous serez
toujours présent pour l’anéantir.
Chevaliers, de l’heure sombre vous ferez l’œuvre
de Lumière, cette lumière qui en chacun des Êtres de ces temps ne demande qu’à
vivre, et à qui vous permettrez d’en vivre le rayonnement intense et supérieur
par un essor de transcendance accompli.
© Vincent Thierry
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PHILOSOPHIE
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Écrit par Patinet Thierri
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Samedi 02 Novembre 2019 à 10:13 |
Le parasitisme
Lorsque l’atrophie domine,
qu’elle soit intellectuelle ou spirituelle, l’atrophie physique n’étant pas un
critère, on se retrouve alors dans une involution marquée par une contraction
temporelle dont les marques se retrouvent parfaitement dans le monde de ce
jour.
Un monde par plus de sa
moitié ciselé dans l’anachronisme et la barbarie la plus totale qui puissent
exister, en ce qui concerne cette dernière pire que celle qui s’est exposée
durant les courants de l’histoire humaine, car voulue et sanctifiée par ce que
l’on peut nommer l’ennemi le plus total de l’humanité, le parasitisme.
Le parasitisme agit sous
forme d’une tenaille pour régir ses exactions les plus communes comme les plus
troubles, afin d’inféoder tout à un chacun, dans une prosternation sans limite,
à sa duplicité la plus agressive comme la plus létale quelle que soit la Nation
dans laquelle il prospère, des Nations voyant sa lie s’incruster comme la
vermine sur les corps en voie de liquéfaction, qu’il détruit à plaisir.
Il a pour mesure la
constante de ses appropriations par vol, gangrène culturelle, malversation en
tout genre constituant son acclimatation, et le désignant comme receleur de
l’inhumanité la plus torve qui soit, car pédant en ses convictions, s’imaginant
le phare alors qu’il n’en est que triste condition sans la moindre lumière
sinon celle qu’il développe avec ténacité en instaurant sa civilisation de
mort.
Par ses délits et ses
corruptions, il est maître à bord de l’outrage, du déshonneur, de la tromperie,
du dol, du crime, du viol, de la décrépitude, maître de la mort qu’il raffine,
construit, instruit jusqu’en ses devises les plus surannées comme les plus
éblouies, raillant la vie dans tout ce qu’elle affirme, dans tout ce qu’elle
est, savoir la construction, l’élévation, la transcendance.
Il manifeste son autorité de
nain dans tous les pouvoirs pour affermir sa position délétère, sans le moindre
respire sinon que celui qui exhale sa puanteur dont les cataclysmes sont
prononciations de toutes indéterminations comme de toutes provocations, les
unes les autres le montrant, comble de l’ironie, le présentant comme victime
qu’il faut avec compassion aider, dans un agenouillement précis qui comble sa
glose inepte.
Qu’il suffise de regarder
les fers de lance de sa philosophie pour comprendre qu’il n’est qu’un frein à
toute humanité où qu’elle soit, une philosophie de pacotille dont la rédaction
représente bien souvent le copier-coller de ce qu’il est incapable de créer, et
qu’il noie dans son dialecte dithyrambe de sa bucolique complaisance à son
hystérie malveillante, incarnée par le déséquilibre le plus total de son entité,
osmotique à souhait, dans l’incapacité de connaître une quelconque symbiose de
ses éléments, une symbiose qu’il rejette pour se complaire dans sa fange.
Une fange qu’il veut faire
valoir de toute condition humaine, ici dans l’acceptation de son esclavage, ici
dans l’acceptation de sa mort programmée, par avortement pour nourrir les
laboratoires cosmétiques qui servent le visage de ses femelles malsaines, par
sédation, pour les plus jeunes afin de leur voler leurs organes revendus comme
de la quincaillerie par toutes surfaces de ce monde, pour les moins jeunes,
pour les tuer le plus rapidement possible afin qu’ils ne bénéficient pas des
jours heureux qu’ils escomptaient grâce à leurs cotisations de retraite, qui seront
volées bien entendu pour nourrir la bestialité et ses horizons.
La destruction est son
plaisir, la laideur son troupeau et son indice de valeur, mais bien pire la
chose son souffle, cette chose asexuée, débile, prostrée, dont son impuissance
à besoin pour se faire jouir, car ce sous animal, qui n’a rien d’humain, ne
peut admettre qu’il existe des Êtres Humains, et en cela doit-il le détruire,
le rendre à l’état de larve pour le souiller de ses immondices, ce dont il ne
se prive pas en torturant, violant, et pire encore en dévorant le devenir de
l’Humanité, un devenir qu’il ne peut concevoir tant il est déjection de
lui-même.
Il ne supporte l’Humain en
ses racines, en ses conquêtes, en ses flamboyances, quel que soit le domaine
qu’il embrase, et en tout domaine cherche à avilir ce qu’il est incapable de
composer, ici en réduisant l’histoire humaine à sa simple expression qui est le
néant, là en plagiant et dénaturant toutes les œuvres d’Art jusqu’à voir l’Art
devenir le sommet de sa déficience mentale la plus totale, qu’il résume dans
l’art dit moderne qui n’est que la loupe de sa confusion individuelle la plus
grotesque comme la plus simiesque.
Ne comprenant ce qu’est un
foyer Humain composé d’une Femme, d’un Homme, et d’enfants nés de l’amour de cette
femme comme de cet homme, il cherche à détruire ce foyer par tous les moyens en
soudoyant l’homme par la pédérastie, la femme par le lesbianisme, et les
enfants par le culte de la chose et de la dépravation la plus totale,
l’allégorie de la pédophilie la plus outrancière et la plus criminelle qui
soit.
Ne concevant qu’il puisse
exister des Nations qui sont les foyers induits par la rémanence formelle
Humaine, il cherche à les détruire par tous les moyens en sa possession, en se
servant bien entendu du servage mais bien plus en se servant des éléments de sa
définition pour miner les Nations, les détruire dans tout ce qu’elles ont
d’honneur, de grandeur, par la voie de migrations massives, par la voie de la
trahison, par la voie de l’usurpation, par la voie funèbre de ses sectes les
plus ovipares comme les plus ténébreuses.
Ne pouvant supporter que
l’Être Humain soit pensée et participe de fait à l’existence politique de sa
Nation, il cherche à détruire tout ce qui pourrait permettre à l’Humain de
penser, de construire, de civiliser, d’élever, de s’exprimer, et en cela défait
toutes structures de cette volonté pour anémier le dire de l’humain et le
remplacer par ses logorrhées qui sont l’abîme d’oligarchies monstrueuses
incarnées par la déficience mentale la plus prononcée qui soit, viviers
d’esclaves tenus par leurs vices, leurs meurtres, leurs affaires les plus
douteuses et les plus criminelles qui soient.
Le parasitisme, on le
comprend, ne supporte ni la vie, ni sa forme, ni sa désinence, ni son pouvoir
de transcendance, une transcendance qui doit disparaître pour ce vivipare
insecte dénué de toute volition, qui entraîne la destruction de toute
spiritualité, et notamment le Christianisme, afin de voir évoluer les larves
dans une religion contraignant tant l’homme que la femme à l’anachronisme le
plus totalitaire qui soit, enfantant la pédophilie, l’ignorance de la femme, la
dénature dans tout ce qu’elle sacre et glorifie.
Le parasitisme est ainsi, et
personne ne le voit ou ne veut le voir, tenu qu’il est par l’avanie de cette
scorie qui parade, inventant l’inexistence sur des prêts sans valeurs,
officiant dans une pyramide se noyant elle-même, des critères d’échanges qui ne
sont que des fumerolles insanes où grouillent les vermines accouplées de
l’indigence la plus bestiale, la guerre, la famine, la pauvreté, toutes vanités
de cette scrofule s’enrichissant en maniant leurs armes pour glorifier son
abondance, une abondance née de charniers, née de génocides, née du sang et de
la sueur de milliards d’Êtres Humains asservis par cette chose dont l’ignominie
est brouet, une gangrène dont l’Humanité devra obérer les pulsions afin de
pouvoir naître au réel, et non renaître, car il n’est, sous le joug de cette nécrose,
jamais né.
Qu’il suffise de regarder
les choses qu’il crée, acculturées, illettrées, composites de marches pieds
électroniques dont ils ne connaissent ni le fonctionnement ni la nature
technologique, s’abreuvant de l’insanité, sans le moindre esprit critique,
chevauchant une langue qui ne leur appartient, dont ils ne connaissent pas les
mots, dont ils ne connaissent pas le sens des mots, se lovant et se
blottissant, dans un syndrome de Stockholm approprié, pour défendre les maîtres
de leur fouet, dans des manifestations ridicules, où résonnent les mots d’ordre
de la nullité intellectuelle, de la nullité spirituelle, de la nullité physique
elle-même, des rats de laboratoires s’égosillant jusqu’à l’étable des Nations,
pour faire valoir leur indigence totale et totalitaire.
Qu’il suffise de regarder
les Peuples qui se réveillent de son joug fatal, qui osent aller à l’encontre
de ses litanies de précieuses ridicules, pour voir qu’il ordonne leur
destruction, via des gaz au cyanure, via des tortures infinies, des
arrestations arbitraires, des blessures ignobles, via la mort parfois, donnée
par ses chiens de guerre, ses choses ignorantes ayant fait leur classe dans le
crime dans des Nations où la guerre est initiée, des barbares sans foi ni loi
rampants devant leurs maîtres pour recevoir leur prime de meurtriers en
puissance, aidés par les colonnes infernales nées de l’immigration sauvage,
obéissantes lorsqu’elles doivent mettre en œuvre la terreur pour que se
poursuive le règne de l’horreur de la bestialité.
La bestialité de ce
parasitisme tonitruant, ce parasitisme de ce que l’on ne peut appeler des humains,
mais une sous animalité représenté par des choses associés, conditionnés par
leurs vices, leur dénature profonde, se croyant une élite alors qu’elle n’en sont
que la poussière par excellence, car incapables d’élever le moindre humain à sa
condition naturelle et transcendante, lui préférant la larve agraire,
convenable, acceptant son euthanasie lorsqu’elle n’est plus productive,
acceptant son avortement pour que ses laboratoires dits pharmaceutiques
puissent créer des vaccins composites destinés à la mise à mort à brève ou
longue échéance de sa progéniture, acceptant d’être la serpillière sexuelle de
ce règne répugnant.
Où le parasitisme s’ébat, se
satisfait, s’ébroue, se justifie, s’honore, se complimente, se façonne,
s’adule, s’aime, se victimise surtout, attendant de voir les masses pleurer sur
son sort, gémir en chœur pour accepter leur servage, cette infection purulente
atrophiant le devenir de l’humanité, dans une désintégration forcenée issue non
de l’esprit, mais de l’accouplement de la stérilité et de la vacuité, dont les
pavois sont degrés de toute dépravation, menant vers ce néant, cette pierre
brute qui est l’aliment de son sérail le plus nocif et pernicieux.
Face à ce sordide illuminé
par la faune dantesque qui s’y réfugie pour se contempler et s’accoupler, il
n’est qu’une seule autorité, celle de la Nature Humaine, qui doit émerger de ce
marais putride, en s’accordant avec la réalité, voyant l’Humain comme
l’Humanité, par l’éveil de sa spiritualité, de son potentiel énergétique, par
sa culture non dévoyée, par la reconnaissance de ses racines et de leur
histoire, se hisser au-dessus de cette fange, en connaissance des valeurs
universelles qui sont celles de l’honneur, du courage, de la persévérance, de
l’altruisme, de l’altérité, toutes valeurs lui permettant d’accéder à son degré
de transcendance qui en accord avec l’immanence, le rendra libre de toute
atrophie comme de toute inversion temporelle.
Et en cela, lui permettra de
lutter efficacement contre le néant et ses scories, et leur maître, le
parasitisme totalitaire dont les invariants sont la bestialité et la barbarie,
par toutes forces de l’Histoire Humaine, toujours combattues, et qui ce jour
doivent être combattues avec la même détermination, la même inflexibilité, le
même désintéressement, par les armes du Verbe qui sont autrement plus
puissantes que toutes armes physiques,- qui ne font que détruire la matière
mais en aucun cas l’esprit et encore moins l’âme -, un Verbe au service
d’autrui, un Verbe, qu’il soit issu de la Spiritualité la plus noble ou bien de
l’intellectualité la plus vive, qui doit porter la vague permettant de défaire
l’inhumanité qui se veut conquérante, un Verbe qui doit fulgurer par la Voie de
l’Art, qu’il soit inscrit ou politique, qu’il soit rescrit ou métapolitique,
toujours en veille quelle que soit l’impéritie, dans une imperturbabilité
constante.
© Vincent Thierry
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Dernière Mise à jour ( Samedi 02 Novembre 2019 à 12:34 )
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SCIENCE FICTION
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Écrit par Patinet Thierri
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Jeudi 24 Octobre 2019 à 11:39 |
Voyage dimensionnel
Et si nous nous intéressions
aux processus de voyage quantique.
Si nous partons du principe
que un est en tout et tout est en un, nous pouvons comprendre qu’il existe une
infini de potentialité à naître à la fois de ce que nous appelons le temps
comme de ce que nous appelons l’espace, sans oublier l’interférence entre ces
deux polarités qui dans notre esprit coexistent, mais qui dans la réalité sont
des paradigmes inexistants au sens de la vertu énergétique que tout en un,
chacun anime, chacun car chacun est unique et ce qui relève du réel n’est
qu’une trame de la réalité, la multiplicité engendrant la réalité.
L’énergie est tout, et dans
sa simplicité peut se résumer dans une particule et bien entendu dans son
action qui représente le champ énergétique que l’on pourrait traduire aussi
bien par une onde. Il n’y a en définitive qu’une correction à apporter qui est
celle de la compréhension qu’en action la particule est onde, qu’au repos elle
est de même onde, une onde stationnaire, donc un champ d’énergie mobile ou non.
Partant de ce principe en
interaction avec le principe de l’action, chaque être est source d’un champ
d’énergie, d’un champ d’onde qui est le reflet de son action comme de son
inaction, un potentiel fabuleux capable de se transférer, de se métamorphoser,
de se densifier, de s’unir, de s’opposer, de s’intensifier.
A la racine de l’action se
situe l’immanence qui reste le socle de la concaténation des énergies et leur
transcendance. La rencontre de la transcendance et de l’immanence détermine l’évolution,
l’inverse la désintégration. Il faut imaginer ce seuil pour bien comprendre que
le déterminisme est la clé de voûte de cet agencement, et que ce déterminisme
est lié donc tant pour l’individué que pour le généré à l’accession de son
pouvoir de transcendance pour opérer dans l’immanence.
Chaque Etre étant unique,
ses composantes énergétiques le menant à l’infini des possibilités, on voit
pour ce qu’il est de l’ensemble des Etres que les possibilités d’évolution
comme d’involution sont la résultante non pas d’une addition mais bien d’une
multiplication des énergies quantitatives de chaque Etre.
Lieu et temps sont du
domaine de la genèse, états de nature primitive ou ultime en voie ou non
d’accession à leur transcendance, marque de l’évolution qualitative
énergétique. Ici l’on comprendra qu’il existe des degrés par lesquels passent
les Etres qui ne sont pas sur les mêmes niveaux de compréhension et dont la
majorité par enchaînement reste dans la quantification involutive liée à la
domination d’énergies ou de groupes d’énergies négatives pour des raisons de
divers ordres, principalement matériels, l’impossibilité pour ces énergies
négatives d’accéder à une énergie positive étant liée à des variations
parasites les conduisant à l’atrophie de leur potentiel énergétique.
Comprendre l’univers comme
l’ensemble des Univers c’est comprendre la Vie dans son mouvement régénérateur
de l’immanence, et à partir de là exposer capacité comme incapacité, liberté
comme enchaînement des formalités énergétiques qui s’ébruitent bien souvent
dans la virtualité pour se confondre dans le néant, plutôt que de s’ordonnancer
et se répandre, acclimatant l’incomposé pour le composer, en signifiant les
états de la nature profonde de la vie et son évolution signifiante.
En aparté, nous pouvons ici
voir les modélisations politiques totalitaires liées non pas à des modalités
génératrices d’action mais bien au contraire au couronnement du statisme
invoqué par le mimétisme qui se canalise par l’invariance, qui se résume par le
sigle, la parole, le chant, qui ne sont que des ondes motrices, non pas
contrairement à ce que l’on pense d’action, mais de statisme dans la
considération de leur compréhension organique, voyant l’intelligence
énergétique diminuer comme l’inverse du carré de l’échantillon compromis par
l’illusion, ce qui n’est pas le cas des modélisations politiques ouvertes,
liées à des modalités génératrices
d’actions, car participes par complémentarités de gestalts de préhensions s’ordonnant
naturellement dans l’évolution au regard de l’intelligence ici se multipliant
et non se divisant.
Cet aparté fait de la
régulation qui peut être inverse ou en adéquation avec la Voie, savoir
l’évolution qui est par transcendance rencontre de l’immanence, explique
parfaitement les modèles psychosociologiques que peuvent revêtir toutes
déterminations, compte tenu du champ de vacuité, et compte tenu du potentiel
énergétique individué comme généré.
Ceci explique aussi la
capacité de l’Etre à développer et se développer par l’évolution comme l’involution,
et met en exergue que la matrice de ces coordinations relève de l’implication
des champs énergétiques tant individués que générés qui formalisent l’état des
civilisations créées, en devenir, ou en formation.
A ce stade, nous allons
aller plus loin, pour bien prendre conscience que le temps comme l’espace
peuvent être joués, comme un jeu, dans le cadre du développement énergétique en
sa conscience et par sa conscience. Le temps comme l’espace ne sont que des
projections et ne reposent que sur une adaptation séquentielle que rien ne
justifie dans le corps des univers. A ce degré nous dirons que ce sont
simplement des expressions qui peuvent
se deviser à l’infini, se concaténer, s’abstraire, s’ignorer, se replier.
Au moment où le voyage dans
l’espace devient une nécessité afin d’essaimer notre galaxie, il conviendrait
de se rappeler de ce postulat. En aparté, alors que les scientifiques
s’éreintent sur la manière de domestiquer l’énergie gravitationnelle, en est
une bien plus simple à canaliser, c’est celle de l’énergie hadronique, dont
l’inverse du rayon de son gradient permet par la concaténation de ce que nous
nommons arbitrairement l’espace/temps, de se déplacer à la vitesse sub
atomique, pulvérisant toute autre
formule cherchant désespérément à mettre en pratique des vitesses approchant la
vitesse de la lumière.
La vitesse de la lumière
n’est qu’un leurre et l’oubli même qu’elle est prédéterminée par une onde, onde
qui peut être surpassée par sa modalité intrinsèque, existant dans les univers d’autres
caractéristiques confondant sa systémique incomplète et erronée. Pour
poursuivre, nous dirons qu’il ne faut plus avoir comme référence une vision
purement séquentielle, mais bien une vision géométrique de l’ensemble constitué
par ce un en tout et tout en un qui génère la Vie qui doit s’accomplir afin de générer
ses constituants, sachant que nous ne somme les uns les autres qu’une particule
de ce que l’on pourrait nommer une sphère couvrant un prisme aux facettes
infinies, en lesquelles et par lesquelles nous devons trouver un chemin parmi
l’infini pour parvenir au but.
© Vincent Thierry
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Dernière Mise à jour ( Jeudi 24 Octobre 2019 à 11:50 )
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ETRE HUMANITE
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Écrit par Patinet Thierri
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Mercredi 23 Octobre 2019 à 07:33 |
Désintégration
Le principe de la désintégration réside dans le reniement de
toutes les valeurs, puis la mise en œuvre de leur inverse dans le cadre des
lois de manière à ce que les coutumes prennent le pli de la régression vers cet
ultime rivage composite, celui de la pierre brute, condensée à l’extrême,
permettant la mise en application de toute dictature, formelle, comme
informelle, tel le lot de pseudos démocraties enfantées par la médiocrité et la
lâcheté.
Ce principe se conforte dans ses expressions les plus
délétères comme les plus massives, hâlant des principes la mise en exergue de l’infiniment
petit, de l’incohérence et ses décilles, toute une vacuité ne représentant en
aucun cas une majorité mais s’échevelant à paraître pour faire accroire qu’elle
est le sommet de la civilisation, son aboutissement, alors qu’elle en est la
difformité comme l’anormalité les plus prégnantes.
Pour se défendre, elle
s’invente une formalisation inexistante, de grossières et labiales convergences
menant vers cette risible permanence, qui est celle de l’incapacité, une
incapacité en tout, car volition de béquilles s’appuyant sur le vide et se
consacrant au vide dans des outrances dont les critères sont utilisés à bon
escient par des forces qui n’ont d’autres buts que la destruction afin de
préserver leur petite non-existence.
Une non-existence basée sur l’égoïsme forcené, ignorant la
Vie et les vivants, en se croyant par ses valeurs aurifères ou fiduciaires,
légitime du pouvoir, et conquérant ce
pouvoir dans l’abstraction, dans la déliquescence née de son esprit obvié,
reflétant ses vices par des ordonnances tendant à écraser toutes formes pour la
rendre à son apparence, dans la lie la plus globale.
Cette action née de la perversité graduelle, inconsciente,
car générée par une matrice intellectuelle considérant l’osmose comme levier de
sa congénitale barbarie, dans le mépris absolu de la réalité qui elle, ne prend
en compte que la symbiose pour valeur naturelle, dans le mensonge et la propagande permet de
faire perdurer la dysmétrie totalitaire existant sur le champ du Vivant.
L’ignorance est son moment, sa force, et son dessein, car
elle lui permet de caractériser en
profondeur le chemin qu’elle désire voir prendre par les masses dont l’acculturation
comme l’illettrisme lui profitent grandement, accélérant même leur processus
par l’intermédiaire d’écoles comme d’universités cloitrées par ses crédits.
La plus grande illusion de ce monde réside dans la croyance
que le savoir se dissipe par l’intermédiaire de ces pôles contrôlés comme sont
contrôlés par ailleurs ce que l’on appelle des médias qui ne sont que des
usines propagandistes ne travaillant, toujours du fait du même crédit, que pour
complaire aux pouvoirs instaurés par la non-existence elle-même, via le jeu
cognitif violant la conscience par la peur comme la terreur qu’elle induit en
chaque être non averti, acculturé, illettré, glissant imperturbablement son bulletin
de vote pour élire ses bourreaux, aux ordres de la non-existence.
Pour cette dernière le jeu est simple, il faut réduire à sa
plus simple expression l’être humain, il faut qu’il n’existe plus en tant qu’être
mais en tant que chose, en tant qu’objet économique ou sexuel, n’ayant aucune
conscience de son identité, n’ayant aucune conscience de ses racines, de son
histoire, de sa race, de son peuple, et surtout de son pouvoir de créativité
qui pourrait le mener à la critique qui doit être décimée afin que tout un
chacun s’imagine par mimétisme en concordance avec le « progrès ».
Les mots eux-mêmes sous ce joug n’ont plus de sens, le
progrès comme on le voit est une régression, le racisme est employé à tout bout
de chant pour flageller la conscience identitaire, en faisant valoir l’identité d’autrui, ce que
l’on appelle la novlangue devient la prêtrise de cette errance qui souhaite non
pas la parole, mais le balbutiement, l’onomatopée, le rejet de la langue mariée
par des trivialités barbaresques, mises en exergue via la pluridisciplinarité
de l’écriture, qui devient composite, aphone, décimée, anémiée.
Pour mieux détruire ce qui est le fer de lance de chaque
Peuple, sa culture se trouve ici le jeu de cette insolence, où l’on voit ces jours
désormais les œuvres classiques flouées de leur réalité par le viol de ces œuvres
par tout ce qui reflète l’incapacité créative par excellence au nom d’une dilution
primitive qui déjà avait bien commencé dans le cadre de la musique classique,
et notamment de l’Opéra où se bousculent les destructeurs et les copieurs les
plus triviaux que la Terre puisse porter.
Culture, histoire, identité, sont les cibles de la non
existence, jusqu’à la voir ce jour influer pour remplacer les Peuples après que
d’avoir légitimé les minorités sexuelles jusqu’en cette dérive totalement
dénaturée qui est la procréation pour autrui, jusqu’à inventer des vaccinations
massives contenant des produits cancérigènes et de l’aluminium pour tuer les
enfants et leurs parents, jusqu’à légaliser l’avortement comme l’euthanasie
systémique, voyant les Nations submergées par des esclaves à bas coût ayant
plus de droit que les autochtones, égorgeant, pillant, massacrant, à l’image de
leurs contemporains insinués dans toutes les Institutions des Etats pour
complaire à leur désir de destruction totale de toutes les valeurs humaines, par
une alliance perfide.
La désintégration ainsi s’avance, subversive, criminelle,
revêtue du mensonge et de la propagande, initiée par la non-existence s’auto
protégeant via des réseaux de pseudos sociétés de pensées, couveuses de son idolâtrie
comme de sa confusion mentale, accueillant le néant retournant au néant par les
viaducs institués de la perversité la plus ignoble, voyant, dernier combat de
cette hydre, combattre l’enfance dans toute son innocence, la réduisant à ses
vices, allant jusqu’à la sauvagerie de ses meutes ruisselant du sang de l’avenir
de l’humanité.
On voit ici que le « progrès » enchanté par les
licteurs de la non existence n’est pas un progrès mais bien une chute abyssale
vers la matière brute, l’innommable, une
régression totale vers des temps anachroniques où on livrait au boucher au nom
de pseudos religions et de pseudos croyances les êtres humains pour leur mise à mort pour complaire à la bestialité et ses
entreprises conquérantes.
Il ne faut pas se faire d’illusion concernant le potentiel de
lutte des êtres humains face à cette collectivisation forcenée, où bientôt la
reconnaissance faciale via l’intelligence artificielle, née d’esprits
incomplets ayant besoin d’une cane pour marcher, - une intelligence artificielle
qui doit être détruire dans ses applications nuisibles à l’Humanité - verra tout un chacun connaitre l’épée de Damoclès
au dessus de sa tête, une épée qui le détruira s’il cherche à se rebeller
contre sa condition de larve devenue, tel qu’on peut le voir dans une Nation
actuellement, où vous disposez un nombre de point vous permettant de vous
juger, et très certainement, mais on le sait pas encore, vous liquider si vous
n’en avez plus, afin de servir très certainement les réseaux de trafic d’organes
légaux et autres.
La Désintégration est marchandisation, surveillance, mise en place de la terreur,
instrumentalisation du terrorisme, et en cela on ne peut la nommer que par son
nom, la subversion, cette subversion qui depuis des décennies lutte contre la vie, veut imposer ses rouages
via des « ismes » totalitaires et dénués de tout fondement, car ne
respectant en aucun cas la vie, en faisant croire l’inverse bien entendu, une
subversion toujours née et attisée par la non existence, vivant comme le
chiendent de la terre, en réduisant à l’esclavage soit économiquement, soit
physiquement, pour faire prospérer son indigence intellectuelle la plus
virtuelle, lui faisant accroire sont éternité sur cette Terre.
Tout un chacun comprendra ici, s’il n’est bubon de cette
désintégration, que sont les tenants et
aboutissants de cette désintégration, et ce qu’il faut affermir pour lutter d’égal
à égal contre cette subversion, par la restauration de la culture, par la
résurgence de l’identité, par la remise en œuvre de lois naturelles, par l’élection
et l’éviction par élection des déviants au service de la non existence, ceci
est un travail de longue haleine, la moisissure de cette subversion touchant
toutes les strates de la société comme de l’Humanité.
© Vincent Thierry
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