La folle poursuite
Des nouvelles de cette petite
Terre soumise pour une de ses parties à l’atrophie consanguine, la sous
bestialité de reptiles incarnés suant la mort et ses oripeaux, mais lisons :
« La folle poursuite de l’asservissement
continue de plus belle, dans le mensonge et la propagande, tâchant de se
ménager via le dépôt de ses tractations malsaines et génocidaires en secret
défense, voyant jusqu’aux laboratoires, via leurs féaux, déclarer que leurs
recherches ne seront pas dévoilées avant cinquante-cinq ans, voulant ainsi
masquer le plus grand crime commis contre l’Humanité, ce jour.
La surmortalité est prégnante,
les enfants meurent dans le ventre des mères vaccinées, naissent pour beaucoup
difformes, et s’accélère le processus de destruction des racines des Peuples,
les personnes âgées, via une troisième dose mortifère, les hôpitaux s’emplissent
de doublements vaccinés, et non seulement, mais bien de personnes subissant des
dommages collatéraux à la vaccination, et notamment des AVC, des thromboses,
des crises cardiaques, sans compter les maladies auto immunes par centaine de
milliers. Plus de trente mille morts du vaccin en Europe, plus d’un million
deux cent mille effets collatéraux, et cela ne représente pas 10 % des
déclarations, car les déclarations des effets secondaires ne sont pas
effectuées par les médecins aux ordres, les tueurs en série qui naviguent dans
les Ehpad, les Hôpitaux, ces petites choses aux mains ensanglantées agissant
pour le compte des gouvernances, elles-mêmes au service de la pitoyable usure
voulant conserver son droit de cuissage sur l’Humanité.
La vermine tue, impitoyable,
dans une lâcheté écœurante, comme on l’a vu au Pays Bas, tirant à balles
réelles sur une manifestation anti passe sanitaire, frappe de ses gourdins les
défilés du samedi en France, tout en les masquant par de pseudos manifestations
pour les Femmes, où l’on voit qu’elles sont outragées par la culture woke, par non
pas des femmes, mais des choses se livrant à l’onanisme devant tout public,
déjà envoie pour défendre non pas l’ordre républicain, mais l’ordre des
mondialistes eugénistes et notamment des laboratoires pharmaceutiques, des
contingents armés pour tuer les Guadeloupéens qui s’autodéfendent naturellement
contre le diktat meurtrier qui règne dans nos pays européens, voyant jusqu’en Autriche,
ce petit nombre ridicule vouloir imposer un confinement pour une cinquième
vague inexistante, une cinquième vague qui voudrait masquer les effets
désastreux d’une vaccination répugnante, n’ayant d’autres buts que d’affaiblir
et assassiner les vivants au profit de la morbidité se cachant dans ses
conseils d’administration, dans toutes les Institutions, petites mains
asservies par leur sexe, leurs meurtres, leurs outrages, leurs affaires puantes,
suant le sang des Humains.
La folie est le règne de cette
outrance, une folie conjuguée, où se tiennent en lices les roitelets de cette
plaie qui ravage l’Humanité, de petits prêtres de Thanatos, enorgueillis de
leur fortune volée, de piètres individus qui devraient être relégués dans une
île sous haute surveillance, afin qu’ils ne nuisent plus jamais à l‘humanité,
une humanité pour petite partie frileuse, peureuse, une humanité pour partie de
moutons décervelés par la pourriture médiatique, par l’emphase de sa contrition
qui glose, par la désintégration intellectuelle et spirituelle qui la meut.
Les armes ont parlé, le
premier sang a été versé par cette pourriture incarnée, il est temps aux
Peuples de comprendre que c’est désormais leur droit de se défendre par tous
les moyens contre cette alliance de la débilité, de l’atrophie, de la démence
et surtout de la mégalomanie que l’on observe chez ces « gens-là », ne
représentant pas un pour cent de l’humanité, n’ayant strictement rien inventé,
n’ayant strictement rien créé, se vautrant dans ses aspirations buboniques, ses
sériels cantiques profanant toute réalité au profit de sa dénature congénitale,
attirant la soldatesque des incapables à la moindre création, des larves idolâtres
qui se succèdent dans les radios et les télévisions, de petites choses aux
trous béants attendant leur pitance pour continuer à se boursoufler dans leur
puanteur qu’ils s’imaginent le marais de tout un chacun.
L’ennemi est là, et marque son
impuissance par le jeu de la violence, une impuissance qui caractérise les faibles,
les falots, les ruisseaux de la fange, toutes celles et ceux qui ont fondé leur
carcan dans des illuminations stériles, aux goitres impudiques, aux ciselures
dévastées, s’en remettant à une intelligence artificielle débile, parfaitement
à leur image, pour s’accroire et s’accroire encore, tant leur fondement est le laïus
de leur vertu, tant leur bêtise est le sommet de leur culture, tant la bassesse
et ses ordures sont ses mets habituels. Quelques lumières dans leur parage, il
y en a, mais elles se taisent devant tant de consommation de l’inepte, de la
pensée ridicule, vous savez cette pensée unique qui est le fourrier de la woke
culture, de la culture des incapables et des châtrés, de cette soldatesque du
néant que l’on retrouve aussi dans les cénacles qui s’imaginent la puissance,
loges et superloges, sociétés discrètes ou bien secrètes qui ourdissent de par
leur dessein le destin de la dépopulation humaine.
Ce qu’il y a d’amusant, si ce
n’était l’horreur incarnée, c’est de voir ces pions pour l’instant en roue
libre, dont leurs maîtres se déferont sans la moindre pitié lorsque l’heure
sonnera de leur service rendu, comme de pitoyables étrons qu’ils sont, dans les
ravines de ce monde. La nature est parfaitement bien faite, elle reviendra à l’équilibre,
d’ores et déjà les Peuples ont compris qu’ils n’ont pas en face d’eux des hommes
et des femmes politiques, scientifiques, et autres, mais bien des potiches
assermentées par leurs vices, une troupe de sous animaux qui ne sont pas là
pour éclairer ce monde mais bien pour l’avilir dans leur bassesse et leurs extrémités,
et ils savent, eh oui, les Peuples savent que ces pantins sont manipulés par ce
qui devrait montrer l’exemple, mais qui loin de là enserre dans un étau les
Humains pour mieux les pressurer jusqu’à leur anéantissement, pour le simple
profit, le profit de la souillure humaine, trempée aux eaux du libertarisme, du
frankisme, du bolchevisme trotskiste, de cette bestialité où règne la pédo
criminalité de ce jour, aux surgeons qui se révèrent et se retrouvent dans
toutes les Institutions Humaines, qu’il faudra nettoyer de fond en comble sans
la moindre compassion.
Car ils n’en ont aucune pour l’Humain,
pour en arriver à cette tentative de crucifixion de l’Humanité, le ressort de
celles et de ceux qui commettent ce crime singulier étant porté par leur
bassesse, par l’exsangue linéarité de leur vice qui est celui de la pédo
criminalité, qui en loge, qui en superloge, qui dans le monde qu’on ose appeler
de la spiritualité, une déviance molochienne qui n’a d’autre but que l’asservissement
et la domesticité, pire que dans le monde animal, traduisant une sous animalité
dont les œillères sont bâties sur la matière, non par la matière ordonnée, mais
la fange dans tout ce qu’elle a d’expressive, n’y cherchez ici la moindre trace
de l’esprit, elle n’est même pas instinct, elle est sous bestialité de l’innommable,
une structure que l’on retrouve actuellement partout, dans les institutions
internationales, dans les institutions Nationales, dans la Justice, la Police,
l’Armée, absolument partout, qui est le nerf de la guerre des manipulateurs
sanguinaires qui s’en sert comme jouet et comme valet.
Voici ce qui représente
actuellement une bonne partie des Nations Européennes et des Institutions
Internationales, des scories de l’humanité qui veulent masquer leur crime
envers l’avenir de l’Humanité, et qui pour poursuivre leurs crimes, ont décidé
de l’asservissement des consciences, et pire encore, afin de se parachever, de
naître les chimères qui leur servent de kleenex comme ils se servent des
enfants de la terre comme torche-cul. Il n’y a aucun mystère ici, des faits,
des actes, et du dernier conte de l’Église Catholique, on remarquera que ce n’est
qu’un arbre qui cache la forêt, un leurre pour attirer les gogos, alors que la
pédophilie criminelle est le règne du satanisme qui en loge, qui en superloge,
qui dans toutes ces boutiques devenues qui ne sont que des bordels criminels
auxquels adhèrent toutes les purulences qui se placent en espèce de la sous
bestialité.
Il n’y a de lumière ici, que
des pourrissoirs, une immondice qui glose et qui doit être exposée à la
puissance mille dans tous les réseaux sociaux, qui doit être mise à nu partout
où cela est nécessaire, car c’est cela qui donne les ordres d’anéantir l’Humain,
c’est cela qui ose se couronner par le génocide de l’Humanité, rien d’autre que
cette puanteur atavique, anachronique, sous bestiale, qui devra inexorablement
rendre des comptes aux Êtres Humains, car rien ni personne ne pourra les
exonérer de ce qu’ils ont fait et font actuellement à l’Humanité.
Pour ce faire, comme précité
dans les pages précédentes, il convient que les Peuples s’unissent contre l’ennemi
commun, ce petit nombre ridicule qui veut faire valoir dans sa fange son droit
de cuissage sur chaque être humain, ce n’est que par l’union des différents mouvements
anti passe sanitaire au niveau Européen et Mondial que la légitimité, jusqu’à
ce jour immolée par les reptiles en gouvernance, pourra éclore et faire valoir
son autorité naturelle, l’autorité de l’être Humain face à la sous bestialité
voulant le défigurer, en faire un objet de consommation, tant économique que
sexuel qu’elle euthanasiera suivant son bon vouloir. La réaction doit être
plénière, totale et sans arbitraire, venir du bon sens qui rayera définitivement
de cette planète cette gangrène qui y fait son nid, cette purulence qui pour
soumettre invente des virus, et de même acabit un pseudo-réchauffement
climatique, ces deux faces de Janus n’ayant pour but que de mettre en place un
passe social, digne du crédit social chinois, dont les zombis sont en place
dans toutes gouvernances, qui tracera là, non seulement la surveillance
totalitaire des populations, mais pire encore le pouvoir de liquidation de
chaque être Humain ne se courbant devant le marais et ses putridités.
L’être Humain n’est pas né
pour se courber devant la fange, mais bien né pour s’élever, avec son Esprit,
avec son Corps, avec son Âme, dans une unité symbiotique lui permettant de se
situer et de se dépasser, et non s’abstraire et se dissoudre dans le néant, tel
que voudrait le voir opérer la consanguinité régalienne via un métaverse qui
est l’apothéose de l’abstraction par excellence, où l’Humain ne devient plus qu’un
ectoplasme au service de bubons se prenant pour des dieux, alors que ce ne sont
que des larves, car sans la moindre capacité créative, sinon celle de la
destruction qui, gageons-le, sera leur tombeau. L’être Humain n’a pas à subir
cette déréliction de personnages sans envergure se trémoussant au fond des abysses
pour poursuivre leurs crimes, qui tentent de le maintenir dans leurs fosses d’aisances
et le noyer dans leur conditionnement. L’être Humain n’est pas né pour cela,
bien au contraire il doit s’élever et conquérant doit se lever pour naître à l’espace,
et non se cantonner dans l’anachronisme vulgaire, dans cette torpeur de la
crasse voulant le voir stagner sur un limon qui disparaîtra un jour ou l’autre.
L’être Humain est un des représentants de la Vie et ne doit donc s’abaisser à
cette tentative d’anéantissement, régulée, programmée, institutionnalisée par
toute la perversité de l’Humanité.
Voici l’enjeu de notre siècle,
voici l’enjeu de la Vie pour ses générations futures, l’enjeu du réel face au
virtuel, l’enjeu de l’humanisme face au transhumanisme, l’enjeu du combat face
à la lâcheté induite et prospérée par les outils de la mégalomanie, voici le
seul enjeu qui doit briller en chaque Peuple, s’il veut survivre au fléau qui s’abat
sur lui, né, non pas d’un dieu rageur, mais de simples humains ayant oublié le
nom de l’humain pour un petit profit de basse-fosse, des larves tout simplement
qui devront être jugées et condamnées pour les crimes qu’ils ont commis et qu’ils
continuent à commettre pour masquer leur déficience tribale, arborescence de
tout ce que l’Humain résorbe dans le néant, duquel elle n’aurait jamais dû
sortir, et qui y retournera définitivement pour que l’Humanité puisse enfin s’élever
et en aucun cas se désintégrer dans la fange. »
L’unité est la seule directive
ayant permis de terrasser la bestialité partout où elle tente de se substituer
à la réalité vivante, aux Humains de faire en sorte de faire front commun
contre la litière du néant qui se veut règne sur leur petite planète. À suivre…
© Vincent Thierry
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