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PHILOSOPHIE
PHILOSOPHIE
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Écrit par Patinet Thierri
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Samedi 02 Novembre 2019 à 10:13 |
Le parasitisme
Lorsque l’atrophie domine,
qu’elle soit intellectuelle ou spirituelle, l’atrophie physique n’étant pas un
critère, on se retrouve alors dans une involution marquée par une contraction
temporelle dont les marques se retrouvent parfaitement dans le monde de ce
jour.
Un monde par plus de sa
moitié ciselé dans l’anachronisme et la barbarie la plus totale qui puissent
exister, en ce qui concerne cette dernière pire que celle qui s’est exposée
durant les courants de l’histoire humaine, car voulue et sanctifiée par ce que
l’on peut nommer l’ennemi le plus total de l’humanité, le parasitisme.
Le parasitisme agit sous
forme d’une tenaille pour régir ses exactions les plus communes comme les plus
troubles, afin d’inféoder tout à un chacun, dans une prosternation sans limite,
à sa duplicité la plus agressive comme la plus létale quelle que soit la Nation
dans laquelle il prospère, des Nations voyant sa lie s’incruster comme la
vermine sur les corps en voie de liquéfaction, qu’il détruit à plaisir.
Il a pour mesure la
constante de ses appropriations par vol, gangrène culturelle, malversation en
tout genre constituant son acclimatation, et le désignant comme receleur de
l’inhumanité la plus torve qui soit, car pédant en ses convictions, s’imaginant
le phare alors qu’il n’en est que triste condition sans la moindre lumière
sinon celle qu’il développe avec ténacité en instaurant sa civilisation de
mort.
Par ses délits et ses
corruptions, il est maître à bord de l’outrage, du déshonneur, de la tromperie,
du dol, du crime, du viol, de la décrépitude, maître de la mort qu’il raffine,
construit, instruit jusqu’en ses devises les plus surannées comme les plus
éblouies, raillant la vie dans tout ce qu’elle affirme, dans tout ce qu’elle
est, savoir la construction, l’élévation, la transcendance.
Il manifeste son autorité de
nain dans tous les pouvoirs pour affermir sa position délétère, sans le moindre
respire sinon que celui qui exhale sa puanteur dont les cataclysmes sont
prononciations de toutes indéterminations comme de toutes provocations, les
unes les autres le montrant, comble de l’ironie, le présentant comme victime
qu’il faut avec compassion aider, dans un agenouillement précis qui comble sa
glose inepte.
Qu’il suffise de regarder
les fers de lance de sa philosophie pour comprendre qu’il n’est qu’un frein à
toute humanité où qu’elle soit, une philosophie de pacotille dont la rédaction
représente bien souvent le copier-coller de ce qu’il est incapable de créer, et
qu’il noie dans son dialecte dithyrambe de sa bucolique complaisance à son
hystérie malveillante, incarnée par le déséquilibre le plus total de son entité,
osmotique à souhait, dans l’incapacité de connaître une quelconque symbiose de
ses éléments, une symbiose qu’il rejette pour se complaire dans sa fange.
Une fange qu’il veut faire
valoir de toute condition humaine, ici dans l’acceptation de son esclavage, ici
dans l’acceptation de sa mort programmée, par avortement pour nourrir les
laboratoires cosmétiques qui servent le visage de ses femelles malsaines, par
sédation, pour les plus jeunes afin de leur voler leurs organes revendus comme
de la quincaillerie par toutes surfaces de ce monde, pour les moins jeunes,
pour les tuer le plus rapidement possible afin qu’ils ne bénéficient pas des
jours heureux qu’ils escomptaient grâce à leurs cotisations de retraite, qui seront
volées bien entendu pour nourrir la bestialité et ses horizons.
La destruction est son
plaisir, la laideur son troupeau et son indice de valeur, mais bien pire la
chose son souffle, cette chose asexuée, débile, prostrée, dont son impuissance
à besoin pour se faire jouir, car ce sous animal, qui n’a rien d’humain, ne
peut admettre qu’il existe des Êtres Humains, et en cela doit-il le détruire,
le rendre à l’état de larve pour le souiller de ses immondices, ce dont il ne
se prive pas en torturant, violant, et pire encore en dévorant le devenir de
l’Humanité, un devenir qu’il ne peut concevoir tant il est déjection de
lui-même.
Il ne supporte l’Humain en
ses racines, en ses conquêtes, en ses flamboyances, quel que soit le domaine
qu’il embrase, et en tout domaine cherche à avilir ce qu’il est incapable de
composer, ici en réduisant l’histoire humaine à sa simple expression qui est le
néant, là en plagiant et dénaturant toutes les œuvres d’Art jusqu’à voir l’Art
devenir le sommet de sa déficience mentale la plus totale, qu’il résume dans
l’art dit moderne qui n’est que la loupe de sa confusion individuelle la plus
grotesque comme la plus simiesque.
Ne comprenant ce qu’est un
foyer Humain composé d’une Femme, d’un Homme, et d’enfants nés de l’amour de cette
femme comme de cet homme, il cherche à détruire ce foyer par tous les moyens en
soudoyant l’homme par la pédérastie, la femme par le lesbianisme, et les
enfants par le culte de la chose et de la dépravation la plus totale,
l’allégorie de la pédophilie la plus outrancière et la plus criminelle qui
soit.
Ne concevant qu’il puisse
exister des Nations qui sont les foyers induits par la rémanence formelle
Humaine, il cherche à les détruire par tous les moyens en sa possession, en se
servant bien entendu du servage mais bien plus en se servant des éléments de sa
définition pour miner les Nations, les détruire dans tout ce qu’elles ont
d’honneur, de grandeur, par la voie de migrations massives, par la voie de la
trahison, par la voie de l’usurpation, par la voie funèbre de ses sectes les
plus ovipares comme les plus ténébreuses.
Ne pouvant supporter que
l’Être Humain soit pensée et participe de fait à l’existence politique de sa
Nation, il cherche à détruire tout ce qui pourrait permettre à l’Humain de
penser, de construire, de civiliser, d’élever, de s’exprimer, et en cela défait
toutes structures de cette volonté pour anémier le dire de l’humain et le
remplacer par ses logorrhées qui sont l’abîme d’oligarchies monstrueuses
incarnées par la déficience mentale la plus prononcée qui soit, viviers
d’esclaves tenus par leurs vices, leurs meurtres, leurs affaires les plus
douteuses et les plus criminelles qui soient.
Le parasitisme, on le
comprend, ne supporte ni la vie, ni sa forme, ni sa désinence, ni son pouvoir
de transcendance, une transcendance qui doit disparaître pour ce vivipare
insecte dénué de toute volition, qui entraîne la destruction de toute
spiritualité, et notamment le Christianisme, afin de voir évoluer les larves
dans une religion contraignant tant l’homme que la femme à l’anachronisme le
plus totalitaire qui soit, enfantant la pédophilie, l’ignorance de la femme, la
dénature dans tout ce qu’elle sacre et glorifie.
Le parasitisme est ainsi, et
personne ne le voit ou ne veut le voir, tenu qu’il est par l’avanie de cette
scorie qui parade, inventant l’inexistence sur des prêts sans valeurs,
officiant dans une pyramide se noyant elle-même, des critères d’échanges qui ne
sont que des fumerolles insanes où grouillent les vermines accouplées de
l’indigence la plus bestiale, la guerre, la famine, la pauvreté, toutes vanités
de cette scrofule s’enrichissant en maniant leurs armes pour glorifier son
abondance, une abondance née de charniers, née de génocides, née du sang et de
la sueur de milliards d’Êtres Humains asservis par cette chose dont l’ignominie
est brouet, une gangrène dont l’Humanité devra obérer les pulsions afin de
pouvoir naître au réel, et non renaître, car il n’est, sous le joug de cette nécrose,
jamais né.
Qu’il suffise de regarder
les choses qu’il crée, acculturées, illettrées, composites de marches pieds
électroniques dont ils ne connaissent ni le fonctionnement ni la nature
technologique, s’abreuvant de l’insanité, sans le moindre esprit critique,
chevauchant une langue qui ne leur appartient, dont ils ne connaissent pas les
mots, dont ils ne connaissent pas le sens des mots, se lovant et se
blottissant, dans un syndrome de Stockholm approprié, pour défendre les maîtres
de leur fouet, dans des manifestations ridicules, où résonnent les mots d’ordre
de la nullité intellectuelle, de la nullité spirituelle, de la nullité physique
elle-même, des rats de laboratoires s’égosillant jusqu’à l’étable des Nations,
pour faire valoir leur indigence totale et totalitaire.
Qu’il suffise de regarder
les Peuples qui se réveillent de son joug fatal, qui osent aller à l’encontre
de ses litanies de précieuses ridicules, pour voir qu’il ordonne leur
destruction, via des gaz au cyanure, via des tortures infinies, des
arrestations arbitraires, des blessures ignobles, via la mort parfois, donnée
par ses chiens de guerre, ses choses ignorantes ayant fait leur classe dans le
crime dans des Nations où la guerre est initiée, des barbares sans foi ni loi
rampants devant leurs maîtres pour recevoir leur prime de meurtriers en
puissance, aidés par les colonnes infernales nées de l’immigration sauvage,
obéissantes lorsqu’elles doivent mettre en œuvre la terreur pour que se
poursuive le règne de l’horreur de la bestialité.
La bestialité de ce
parasitisme tonitruant, ce parasitisme de ce que l’on ne peut appeler des humains,
mais une sous animalité représenté par des choses associés, conditionnés par
leurs vices, leur dénature profonde, se croyant une élite alors qu’elle n’en sont
que la poussière par excellence, car incapables d’élever le moindre humain à sa
condition naturelle et transcendante, lui préférant la larve agraire,
convenable, acceptant son euthanasie lorsqu’elle n’est plus productive,
acceptant son avortement pour que ses laboratoires dits pharmaceutiques
puissent créer des vaccins composites destinés à la mise à mort à brève ou
longue échéance de sa progéniture, acceptant d’être la serpillière sexuelle de
ce règne répugnant.
Où le parasitisme s’ébat, se
satisfait, s’ébroue, se justifie, s’honore, se complimente, se façonne,
s’adule, s’aime, se victimise surtout, attendant de voir les masses pleurer sur
son sort, gémir en chœur pour accepter leur servage, cette infection purulente
atrophiant le devenir de l’humanité, dans une désintégration forcenée issue non
de l’esprit, mais de l’accouplement de la stérilité et de la vacuité, dont les
pavois sont degrés de toute dépravation, menant vers ce néant, cette pierre
brute qui est l’aliment de son sérail le plus nocif et pernicieux.
Face à ce sordide illuminé
par la faune dantesque qui s’y réfugie pour se contempler et s’accoupler, il
n’est qu’une seule autorité, celle de la Nature Humaine, qui doit émerger de ce
marais putride, en s’accordant avec la réalité, voyant l’Humain comme
l’Humanité, par l’éveil de sa spiritualité, de son potentiel énergétique, par
sa culture non dévoyée, par la reconnaissance de ses racines et de leur
histoire, se hisser au-dessus de cette fange, en connaissance des valeurs
universelles qui sont celles de l’honneur, du courage, de la persévérance, de
l’altruisme, de l’altérité, toutes valeurs lui permettant d’accéder à son degré
de transcendance qui en accord avec l’immanence, le rendra libre de toute
atrophie comme de toute inversion temporelle.
Et en cela, lui permettra de
lutter efficacement contre le néant et ses scories, et leur maître, le
parasitisme totalitaire dont les invariants sont la bestialité et la barbarie,
par toutes forces de l’Histoire Humaine, toujours combattues, et qui ce jour
doivent être combattues avec la même détermination, la même inflexibilité, le
même désintéressement, par les armes du Verbe qui sont autrement plus
puissantes que toutes armes physiques,- qui ne font que détruire la matière
mais en aucun cas l’esprit et encore moins l’âme -, un Verbe au service
d’autrui, un Verbe, qu’il soit issu de la Spiritualité la plus noble ou bien de
l’intellectualité la plus vive, qui doit porter la vague permettant de défaire
l’inhumanité qui se veut conquérante, un Verbe qui doit fulgurer par la Voie de
l’Art, qu’il soit inscrit ou politique, qu’il soit rescrit ou métapolitique,
toujours en veille quelle que soit l’impéritie, dans une imperturbabilité
constante.
© Vincent Thierry
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Dernière Mise à jour ( Samedi 02 Novembre 2019 à 12:34 )
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PHILOSOPHIE
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Écrit par Patinet Thierri
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Samedi 20 Janvier 2018 à 07:19 |
L’autorité
Petites nouvelles de cette
petite Terre en proie sur sa face Occidentale à la subversion atavique la plus
profanatrice et la plus dangereuse, mais lisons :
« Qu’enseigne le Verbe,
qu’il n’est d’autorité dans le crime comme dans la barbarie. Or que voyons-nous
se dresser par nos rives occidentales ? Sans honneur, sans grandeur, sans
la moindre élévation, le prurit atavique de la bestialité qui ordonne,
condamne, disgracie, dans une désintégration maladive et coordonnée issue de
croyances désuètes, anachroniques et tout simplement répugnantes. Il y a là le
verset de la condition humaine spoliée de son devenir par une errance
concaténée par la vanité et le désir, dans un couronnement des égouts qui
marchent ensemble vers la poussière, avec de hauts cris, avec des outrances que
l’imagination ne peut trouver lorsqu’elle est éclairée, mais qui se magnifie
dans l’ordure lorsqu’elle est bridée, infectée par l’outrance et ses miasmes
aux relents nauséeux.
Où se place donc l’Être
Humain dans cette fange, cette fange physique, cette fange culturelle, cette
fange spirituelle ? Au cœur même de cette tourmente afin de signifier le
signifiant et non les signifiés, ces impropres vitalités s’époumonant dans le
vide pour en accélérer le mouvement dans une promptitude névrotique et
hystérique. Tout Être sensé ne peut continuer à suivre cette dérision, cette
singularité provocante et hideuse, assoiffée de pouvoir, assoiffée d’argenture,
machiavélique, pillarde et barbare à souhait s’inventant des valeurs qui ne
sont pas des valeurs humaines, qui ne sont pas les valeurs de la Vie mais les
valeurs de la mort biologique, dont la mise en œuvre ne permet à la Vie de
s’épanouir et épanouir son champ d’action, en un quantum de temps, révélant
ainsi dans les actes allant à son encontre le pire ennemi qui soit de
l’Humanité dans son intégralité, un virus par excellence cherchant à la
décimer, pilier de la déréliction s’il en fut, sommet de l’hypocrisie et de la
laideur, au nom si commun d’usure.
L’observateur accompli
n’aura grandes recherches pour commettre les hauts faits de cet esclavagisme le
plus impertinent qui soit, devant lequel se prosternent les atrophiés mentaux,
les stérilités les plus incompétentes, les gargarismes les plus éhontés, toute
une foule de larves s’inventant une légitimité lors qu’elle n’est que relent de
la pestilence qui la recouvre et la découvre. Fatuité ses ordonnances
s’initient dans des cloaques discrets où se fonde la politique nécessaire à
l’accouplement de cette bestialité avec le bon Peuple, un Peuple ignorant et
laissé dans l’ignorance afin de le mieux maltraiter, afin de le mieux éprouver,
le rendre à peau de chagrin de sa potentialité d’exister.
Et comment donc se réalise
cette perversion ? Par la dissociation parasite de l’existence Humaine en
ses promesses, en éradiquant tant l’homme que la femme, leur fonction
complémentaire, en promouvant la chose innommable, l’objet de la sexualité la
plus dépravée, en éradiquant la famille, avec la volonté impérieuse de ne voir
plus élevé ses enfants sinon que par l’infamie gouvernant l’éducation dite
nationale, qui est l’enseignement à usage de l’esclave et en aucun cas de l’Être
Humain, en éradiquant le Peuple lui-même, par immigration massive de toute la
misère humaine, pierre brute dont les cristaux pour la plupart sont constitués
de lâches fuyant leur Nation, qui serviront d’esclaves appropriés aux féaux de
l’usure car bien plus malléables que des Peuples multimillénaires dont les
pères ont combattu leur barbarie. Mais cela ne suffit à la bestialité, non content
de tenter de désintégrer tous les piliers de l’Humanité, elle accentue son
processus de liquidation, en décrétant une pensée unique n’ayant pour valeur
que de pseudos droits sans devoirs conduisant à l’immondice le plus totalitaire
qui soit, dont les Nations ce jour regorgent, voyant le communautarisme
s’instaurer pour tenter de pulvériser toute unité, le communautarisme de
l’anachronisme comme de la sexualité la plus bestiale, une pensée unique
poussant à l’adoration des criminels et au mépris des victimes, à l’adoration
des assassins, des pédophiles, de toute la lie de l’Humanité qui ce jour
trouvent leurs alliés dans tous les pouvoirs, et notamment dans une justice qui
de plus en plus vient à leurs ordres, en relaxant l’ordure, l’ignoble, le criminel,
le tueur d’enfant, le tueur de vieillard, le tueur de femme, pour complaire au
mot d’ordre encensé par des gouvernances de larves aux ordres, mandatés pour
mettre à bas toute valeur humaine au profit des valeurs de la bestialité.
Voici donc l’Occident ce
jour, noyé par la pourriture atavique qui se réjouit, se pâme, se
photographie, s’enthousiasme de ses propres aberrations, regarde avec mépris le
Peuple qui le fait vivre, qu’il essore et pressure à souhait, pire que la
moindre Royauté, car enfant de la bohème de la lie de l’humanité qui depuis des
siècles pourrit ce monde par ses litanies, ses révolutions, ses progrès qui ne
sont que des ressorts masquant une impuissance globale à régner, diriger,
œuvrer, accomplir et hisser les uns les autres vers leur capacité comme leur
potentialité. Comment le pourrait-il, lorsqu’elle est issue du néant le plus
glauque et ne cherche qu’à retourner dans ce néant le plus stérile ?
Fondation de cette scorie gigantesque aux araignes dislocations putrides, elle
ne peut donc instaurer en ses méandres que le règne de la mort, de la mise en
esclavage, et en aucun cas l’harmonie et ses principes, qu’elle méconnaît dans
sa totalité comme dans ses fondements dans la croyance qu’elle détient une
vérité qui n’est qu’immondice.
Témoignage s’inscrivent ses
crimes, ses ordonnances, ses votes, ses degrés où s’épanouit la bestialité en
principe, là le vol des vieillards s’étant échiné toute leur vie pour se
constituer de quoi vivre après un dur labeur, afin de faciliter leur disparition,
encouragée par le crime de sédation, là la tuerie des nouveau-nés par manœuvres
dilatoires les exposant à une vaccination à l’aluminium, qui les verra perdre
toute cognition et se réfugier, s’ils ne sont décédés avant dans l’autisme le
plus affreux, là, la tuerie organisée des enfants de souche par invitation
délictueuse à leur mise à mort médicalisée, là, la tuerie intentionnelle des
handicapés par prévarication de leurs ressources, là, la liquidation massive,
le génocide, car cette liquidation porte un nom, par apport massif de personnes
issues de toute la misère humaine. Voici la valeur sanctuaire de cette
aberration qui se veut règne et obtient son règne par prévarication outrancière
de la vox populi en mentant sur ses origines, ses dépendances totalitaires tant
à l’usure qu’à ses loges de renégats, de traîtres et d’assassins. Et il y en a
certain pour en appeler à ces valeurs autocratiques, dictatoriales, cachant
dans l’hypocrisie et le sourire, la gestuelle invariante du mensonge, ses buts
afin de mieux faire accroire l’existence d’une quelconque lumière dans sa
concrétisation, là où ne luit que la hideur, l’ordure, la dégénérescence, la
pitoyable béatitude des proscrits et des assassins. Assassins de la Vie dans
ses harmonies, ses complémentarités et ses exhaustives permanences, assassins
de la Culture qui n’est levier de la barbarie mais son antidote, assassins de
la spiritualité qui n’est fourrier, sauf si elle est pénétrée par cette
larvaire débilité, de la réduction de l’Être Humain à la poussière, à
l’esclavagisme le plus barbare et le plus sanguinaire qui soit.
Ici nous voyons que toutes
les valeurs sont inversées, que le déshonneur, la bassesse, le crime, le vol,
le pillage et la barbarie sont allégresses de cette portée de fauves
invariants, de prédateurs insignifiants, de licteurs insanes et consommés, tant
la médiocrité est leur vestale attitrée. Une médiocrité les poussant toujours
plus avant vers la bestialité, telle que l’Histoire Humaine le conte depuis des
centaines d’années, et plus récemment dans l’ordure socialiste dont le frère
communiste a mis à mort plus de cent cinquante millions de personnes à travers
le monde, dont le frère national-socialiste a déclenché une guerre barbare et
un génocide sanglant, petits frères de cette insanité que l’on voit ce jour
gouverner en Occident, notamment dans ce que l’on ose appeler l’
« europe », une comité de salut maçonnique avarié, une communauté de
larves au service des usuriers, une dictature qui ne dit pas son nom mais se
révèle parfaitement dans ses fondements comme ses critères accessoires, dictés
depuis l’origine par de faux alliés ne cherchant qu’à détruire la consistance
européenne, qui par deux guerres étayées en ont réduit l’intelligence à peau de
chagrin, ce qui leur permet ce jour de pavaner et de voir diriger certaines
Nations non pas par des Etres de souches, mais des larves de leurs
gouvernements aux mains de l’atavisme sanguinaire qui s’imagine la gloire de
l’instant présent alors qu’elle n’en est que la moisissure.
Lorsqu’on est ennemi de la
Vie et de ses ordres, lorsqu’on choisit la dictature pour compléter sa
médiocrité, le pouvoir qui en est grée ne peut tenir longtemps, sinon que par
la violence, telle qu’on a pu la voir mise en œuvre lorsque de malheureux
gardiens de prison en France, sous-payés, au but des agressions d’assassins
emprisonnés, pour faire valoir leurs revendications sont livrés à la furie de
policiers agissant sur ordre de la gouvernance, une gouvernance qui s’acclimate
parfaitement du pillage et du vol occasionné par des prédateurs en périphérie
bretonne, une gouvernance qui ose sermonner nos policiers en charge de Calais,
qui se contrefiche des huit millions de pauvres existant en France, et ordonne
de livrer des repas à des sans-papiers en cette même ville de Calais, une
gouvernance qui s’inscrit parfaitement dans ce qui vient d’être dit ci-dessus,
volant les retraités, volant les handicapés, s’attaquant aux plus faibles, une
gouvernance décrétant la vaccination obligatoire par onze vaccins des enfants
nés, dans le mépris le plus total du droit international, une gouvernance
instaurant la préférence étrangère, une gouvernance pillant les caisses de
l’Etat, une gouvernance œuvrant à la destruction de Nations étrangères,
notamment au Yémen, en Syrie, en Irak, en Lybie, alliée de l’ignominie humaine,
le djihadisme, voyant jusqu’à l’un de ses ministres avoir pour conseil un
membre de cette mouvance ignominieuse. N’en jetons plus, la cour est pleine,
les faits qui ne sont pas de fausses nouvelles parlent pour nous.
La dictature insidieuse
s’installe dans notre Nation comme elle s’est installée en Europe dans
l’inertie la plus brutale comme la plus coupable. Attendons-nous à pire dans
les mois et les années qui vont suivre, au même titre que ce qu’a connue la
Russie en son temps, avec les Lénine, Trotski, Staline et consorts, et
l’Allemagne, avec Hitler et ses licteurs qui ont encore voix au chapitre.
L’ennemi de toutes les valeurs Humaines est dans la place, associée avec sa
cinquième colonne de mercenaires, les uns djihadistes mercenaires de retour,
les autres anachroniques gauchistes, les derniers sacres de toute la perversité
humaine, pédophiles, satanistes en tout genre, tueurs d’enfants et pire encore.
Tant la France que les Nations Européennes va avoir fort à faire pour remonter
à la surface, faire renaître les valeurs humaines. N’oublions pas que la
terreur Française n’a pas durée dix ans, que la terreur socialiste communiste
n’a pas durée cent ans, que la terreur national socialiste n’a pas durée trente
ans, espérons que la terreur que nous allons connaitre nazi-communiste par
essence, trotskiste en substance, ne dure pas plus que ces précédents petits
frères.
Mais pour cela faut-il que
le Peuple de France comme les Peuples Européens cessent, de voter pour les
images d’Epinal de l’usure et de leurs féaux, ces fidéistes commissaires
politiques que l’on retrouve dans tous les partis et que les partis qui se
respectent doivent écarter sur le champ pour pouvoir convaincre et espérer
mobiliser des Peuples égarés dans la bestialité et ses jouets, notamment ces
smartphones dont la fonction ne leur pas
été enseignée, celle de servir et non de rendre esclave. Mais faut-il pouvoir
penser par soi-même pour cela, ce qui n’est plus le cas malheureusement d’une
bonne partie des populations qui se soumet invariablement, ne pouvant admettre qu’existât
autre chose que la médiocrité pour vivre, et invariablement votant pour plus
médiocre qu’elle afin de s’accroire encore partie vitale, là où elle n’est plus
que négoce d’esclavagistes attitrés. L’Ouest bouge, l’Est bouge, reste aux
Nations Européennes à se débarrasser de leurs boulets qui ne sont que les
précieuses ridicules des usuriers qui les gouvernent, à l’image de l’Islande
par exemple. »
La subversion a toujours été
terrassée, qu’importe le temps qu’il a fallu parmi les sphères qui sont tombées
dans son étrange condition barbare et bestiale, ce jour renouvelées par la
rectitude physique, morale et spirituelle de celles et de ceux qui les
gouvernent, dans l’harmonie et la sagesse. Ainsi que ne désespèrent ces
Terriens encore balbutiants. A suivre…
Authority
Small news of this small Ground in prey on its Western
face with atavistic subversion more the most dangerous profanatrice and, but
let us read:
“That the Verb teaches, which it is not of authority
in the crime as in cruelty. However what do we see drawing up ourselves by our
Western banks? Without honor, without size, without least rise, the atavistic
prurit of the bestiality which orders, condemns, disgraces, in a morbid
disintegration and coordinate resulting from obsolete, anachronistic beliefs
and quite simply feeling reluctant. There is the verse of the human condition
despoiled its to become by a wandering concaténée by vanity and the desire, in
a crowning of the sewers which go together towards dust, with high cries,
excesses that imagination cannot find when it is lit, but which is magnified in
the refuse when it is attached, infected by excess and its miasmas with the
nauseating stinks.
Where does the Human Being in this mud thus place
itself, this physical mud, this cultural mud, this spiritual mud? In the middle
same of this storm in order to meaning meaning it and not meant, these
unsuitable vitalities époumonant itself in the vacuum to accelerate the
movement in a neurotic and hysterical promptitude of it. Any judicious Being
cannot continue to follow this derision, this aggressive and hideous
singularity, made thirsty of being able, thirsty of silvering, Machiavellian,
plundering and barbarian with wish inventing values which are not human values,
which are not the values of the Life but the values of the biological death,
whose implementation do not make it possible the Life to open out and open out
its sphere of activity, in a quantum of time, thus revealing in the acts going
in its opposition the worst enemy which is of Humanity in her entirety, a virus
par excellence seeking to decimate it, pillar of the dereliction if it were,
top hypocrisy and ugliness, with the so common name of wear.
The accomplished observer will not have great research
to make the important facts of this most impertinent slave system which is, in
front of which bow down the atrophied mental ones, the most inefficient
sterilities, the most shameless garglings, a bunch of larvae inventing a
legitimacy at the time which it is only stink of the stench which recovers it
and discovers it. Self-conceit its ordinances are initiated in discrete
cesspools where is based the policy necessary to the coupling of this bestiality
with the good People, People ignorant and left in ignorance in order to better
maltreat it, in order to better test it, to return it to shagreen of its
potentiality to exist.
And how thus is this perversion carried out? By the
parasitic dissociation of the Humaine existence in its promises, by eradicating
the man as well as the woman, their complementary function, by promoting the
unnamable thing, the object of the most depraved sexuality, by eradicating the
family, with the pressing will not to see more high his/her children if not as
by the infamy controlling the education known as national, which is teaching
with use of the slave and to in no case Human Être, by eradicating the People
himself, by massive immigration of all human misery, hones rough whose crystals
for the majority consist of cowards fleeing their Nation, who will serve slaves
appropriate to féaux of wear because much more malleable than of the People
multimillénaires whose fathers fought their cruelty. But that is not enough
with bestiality, nonglad to try to disintegrate all the pillars of Humanity, it
accentuates its process of liquidation, by issuing a doctrinaire approach
having for value only right pseudonyms without duties leading to the most
totalitarian refuse which are, the Nations this day abound, seeing the
communitarianism being established to try to pulverize any unit, the
communitarianism of the anachronism like the most bestial sexuality, a
doctrinaire approach pushing with the worship of the criminals and with no
regard for victims, with the worship of the assassins, the paedophiles, all the
dregs of Humanity which this day find their allies in all the powers, and in
particular in a justice which more and more comes to their orders, by releasing
the refuse, the wretched one, the criminal, the killer of child, the killer of
old man, the killer of woman, to take pleasure in the watchword incensed by
governances of larvae to the orders, elected to put at bottom any human value
with the profit of the values of bestiality.
Here thus the Occident this day, drowned by the
atavistic rot which is delighted, swoons, photographs, is filled with
enthusiasm its own aberrations, looks with contempt the People which make it
live, that it dries and presses with wish, worse than least Royauté, because
child of Bohemian of the dregs of the humanity which since centuries rots this
world by its litanies, its revolutions, its progress which is only springs
masking total impotence to reign, direct, work, achieve and hoist the ones the
others towards their capacity like their potentiality. How could it, when it is
resulting from the most glaucous nothing and only seeks to turn over in this
most sterile nothing? Foundation of this gigantic slag to the araignes putrid
dislocations, it can thus found in its meanders only the reign of death, the
setting in slavery, and in no case the harmony and its principles, which it
ignores in its totality as in its bases in the belief that it holds a truth
which is only refuse.
Testimony are registered its crimes, its ordinances,
its votes, its degrees where bestiality opens out in theory, there flight of
the old men being itself spine all their life to constitute what to live after
a hard labor, in order to facilitate their disappearance, encouraged by the
crime of sedation, there the slaughter of the new-born babies by delaying
tacticses the exhibitor with a vaccination with the aluminum, which will see
them losing any cognition and taking refuge, if they did not die before in the
most dreadful autism, there, the organized slaughter of the children of stock
by punishable invitation to their setting with provided with health care death,
there, the intentional slaughter of the handicapped people by corrupt practice
of their resources, there, massive liquidation, the genocide, because this
liquidation bears a name, by massive contribution people resulting from all
human misery. Here the value sanctuary of this aberration which wants to be
reign and obtains its reign by outrageous corrupt practice of vox populi while
lying on its totalitarian origins, its dependences as well with wear as with
its cabins of renegades, traitors and assassins. And there is certain to call
some with these autocratic values, dictatorial, hiding in hypocrisy and the
smile, the gestural invariant one of the lie, its goals in order to better do
accroire the existence of any light in its concretization, where shone only
hideousness, the refuse, the degeneration, pitiful bliss of proscribed and the
assassins. Assassins of the Life in its harmonies, its complementarities and
its exhaustive permanences, assassins of the Culture which is not lever of
cruelty but its antidote, assassins of the spirituality which is not furrier,
except if it is penetrated by this larval debility, of the reduction Human Être
to dust, the most barbarian slave system and most sanguinary which is.
Here we see that all the values are reversed, that
dishonor, lowness, the crime, the flight, plundering and cruelty are joys of
this range of fawn-coloured invariants, of predatory unimportant, lictors
insanes and soups, so much the mediocrity is their vestal appointed. A
mediocrity pushing them increasingly front towards bestiality, such as the
Human history the tale since hundreds of years, and more recently in the
socialist refuse whose communist brother put at died more than one hundred
fifty million people throughout the world, whose brother National Socialist
started a barbarian war and a bloody genocide, little brothers of this insanity
which one sees this day controlling in Occident, in particular in what one
dares to call “Europe”, a committee of damaged Masonic hello, a community of
larvae to the service of the usurers, a dictatorship which does not say its
name but reveals perfectly in its bases like its criteria additional, dictated
since origin by false allies seeking only to destroy consistency European,
which by two backed up wars reduced the intelligence of it to shagreen, which
allows them this day to strut about and see not directing certain Nations by
Beings of stocks, but with the larvae of their governments to the hands of the
sanguinary atavism which thinks the glory of the moment present whereas it is
only the mould.
When one is enemy Life and of his kinds, when one
chooses the dictatorship to supplement his mediocrity, the power which is grée
by it cannot hold a long time, if not which by violence, such as one could see
it put in work when unhappy prison warders in France, underpaid, to the goal of
the aggressions of imprisoned assassins, to put forward their claims are
delivered to the fury of police officers acting on order of the governance, a
governance which acclimatizes perfectly plundering and flight caused by the
predatory ones in Breton periphery, a governance which dares to sermonize our
police officers in charge of Calais, which strut of the eight million the poor
existing in France, and orders to deliver meals to illegal immigrants downtown
this same of Calais, a governance which is registered perfectly in what has
just been known as above, stealing the pensioners, stealing the handicapped
people, attacking weakest, a governance issuing obligatory vaccination by
eleven vaccines of the newborns, in the most total contempt of the
international law, a governance founding the foreign preference, a governance plundering
the cases of the State, a governance working with the destruction of foreign
Nations, in particular in Yemen, in Syria, in Iraq, in Lybie, allied of the
human ignominy, the djihadism, seeing until one of its ministers to have for
council a member of this ignominious mobility. Of tokens more, the court is
full, the facts which are not false reports speak for us.
The insidious dictatorship settles in our Nation as it
settled in Europe in the most brutal inertia like guiltiest. We wait worse in
the months and the years which will follow, as well as what knew Russia in its
time, with Lénine, Trotski, Stalin and consorts, and Germany, with Hitler and
his lictors who still have a say. The enemy of all the human values is in the
place, associated with his fifth column of mercenaries, the ones djihadists
mercenaries of return, the other anachronistic leftists, the last sacrings of
all perversity human, paedophiles, satanists in any kind, killers of children
and worse still. Such an amount of France which the European Nations will have
extremely to make to go back to surface, to make reappear human values. Let us
not forget that French terror did not last ten years, that communist socialist
terror did not last hundred years, that socialist terror national did not last
thirty years, hope that terror that we will know Nazi-Communist essentially,
Trotskyist in substance, does not last more than these preceding little
brothers.
But for that it is necessary that the People of France
as the European People cease, to vote for the sentimental pictures of wear and
the their féaux ones, these fideists political police chiefs whom one finds in
all the parties and whom the parties which are respected must draw aside at
once to be able to convince and hope to mobilize People mislaid in bestiality
and its toys, in particular these smartphones of which the not taught them
function, that to serve and not to return slave. But is necessary it to be able
to think by oneself for that, which is not any more the case unfortunately of a
good part of the populations who subjects herself invariably, which cannot
admit that existed other thing that the mediocrity to live, and invariably
voter for poorer than it in order to accroire still vital part, where it is
nothing any more but trade the slave ones appointed. The West moves, Is bulge,
remains with the European Nations to be gotten rid of their balls which are
only invaluable ridiculous usurers who control them, with the image of Iceland
for example. ”
The subversion was always embanked, which is essential
time that it was necessary among the spheres which fell into its strange
barbarian and bestial condition, this day renewed by the physical, moral and
spiritual straightness of those and those which control them, in the harmony
and wisdom. As these Land still do not despair stammering. To follow…
© Vincent Thierry
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PHILOSOPHIE
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Écrit par Patinet Thierri
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Jeudi 28 Décembre 2017 à 10:48 |
Athéisme
L’athéisme est le propre du
narcissisme, de l’égoïsme, de l’anthropomorphisme les plus déviants qui soient,
car se basant sur deux vecteurs humains, le corps et l’esprit, et ne tenant
absolument pas compte de la réalité humaine, trinitaire par excellence dont les
composantes sont le corps, l’esprit et l’âme. L’impuissance née de l’athéisme à
toute élévation humaine se révèle parfaitement dans le cadre de pseudos
sociétés et pseudos idéologies permettant la déliquescence dans ce qu’elle a de
plus ténébreuse, où l’idiotie devient un fer de lance, la médiocratie un socle
particulier permettant la dénaturation de toutes valeurs essentielles au profit
du néant, du glauque, du sordide, de la bêtise associée à la vanité la plus
exclusive et inclusive et bien plus de la barbarie, car dans son déséquilibre
marque de l’intolérance la plus formelle à l’endroit de tout ce qui ne pense
dans sa cécité. Une cécité que l’on retrouve à l’opposé dans le cadre du rejet
du corps, propre de pseudos spiritualités totalement inconsistantes illuminant
le matérialisme le plus torve, comme le matérialisme illuminant la spiritualité
la plus déficiente qui soit. Il n’est pas difficile de comprendre ici que la
correspondance de ce mal est liaison de tout ce que la virtualité féconde, dans
l’irresponsabilité comme dans la cruauté la plus absolue, car vecteur d’un
non-être, sans respire sinon celui de ses addictions les plus immondes comme
les plus stériles, centrées sur un égocentrisme dont la permanence est un
reflet humain et en aucun cas l’Humain, un néant mue par ses instincts bestiaux
et en aucun cas par l’unité plénière permettant l’équilibre et par l’équilibre
une avance impartiale dans la Vie, pour la Vie et par la Vie. L’athéisme ici
trouve sa source, celle de la bestialité, pire de la sous-bestialité, car on a
jamais vu les animaux se traiter ainsi, et réverbère les périodes historiques
récentes, comme notre pseudo-monde d’aujourd’hui plus particulièrement en
Occident, d’une manière particulièrement pertinente. Que sont donc les valeurs
tant prisées par ce pseudo-Occident ? L’onirisme le plus prétentieux, la
vanité la plus infatuée, la possession la plus outrancière, le déni de la Vie,
de la jeunesse comme de la vieillesse, par addiction à l’avortement, la
vaccination mortifère et l’euthanasie, la jouissance polymorphe perverse et
criminelle, pédophilie, zoophilie, l’invariance de l’accroire de l’éternité en
ce lieu, apurant les tréfonds d’un satanisme délirant, meurtrier et conjugué
dans ces sphères qui s’autodécrètent élites, alors qu’elles ne sont que les bas-fonds
de l’avilissement et ses scories. Belles valeurs que celles-ci encourageant le
crime, encourageant l’assassin, encourageant le délitement de la famille,
encourageant la pornographie à tous niveaux jusque dans les écoles primaires où
le « genre », cette théorie née d’un débile mental s’étant autocastré
pour complaire à son athéisme vicieux le plus profond, est désormais le berceau
d’enfants inadaptés, pour la plupart vissés à des écrans qui les auscultent,
les mènent par le bout du nez vers le néant et ses singeries. Le vivier de
cette lèpre qui fustige l’innocence se retrouve dans ces sociétés discrètes, cette
franc-maçonnerie déviante qui est la fange par excellence détenant par viol de
l’esprit tous les pouvoirs, afin d’incarner sa sous-bestialité par tous les
degrés du vivant, afin de l’anéantir par tous les moyens pour créer l’esclave
parfait, immonde, immature, objet économique comme sexuel à l’usage de la
dépravation qui gouverne, via ses marques de savonnettes, comme on les voit si
bien dans notre Nation. Ces valeurs ne sont pas celles de l’Etre-Humain qui se
respecte et se fait respecter. Elles sont les valeurs des leurres qui s’accouplent
à leur miroir, tellement pédants que leur regard sut la morve qui leur sert de
cervelle, des bouffis d’orgueil dont la démesure efface toute manifestation
humaine au profit de la fiente, comme en témoigne l’Art de ce jour, qui lui n’est
pas responsable, car seul instrument de mesure de la prouesse ou du déclin d’une
civilisation. Ce miroir nous montre l’absurdité dans sa couardise, dans ce
limon de flatulence où les ordonnances vont de la liquidation systémique des
sexes, des ethnies, des races, de l’humanité elle-même, afin d’idolâtrer la
virtualité et ses actes barbares, tel qu’on peut le voir ce jour lorsque les
médias enchantent les djihadistes aux ordres de certaines gouvernances qui ont
étripé, éviscéré, décapité, que ces errements voudraient faire passer pour des
héros. On ne s’étonnera pas devant cette décérébration que certaine personne
issue de terres étrangères aille jusqu’à dire qu’il faut gazer la race blanche,
cette sous-race, bien entendu avec l’aval d’une justice en décomposition, d’une
gouvernance qui n’est que le leurre de l’usure, car ici dans le cadre de leurs
valeurs, tout ce qui souille et veut détruire l’existence humaine, surtout si
elle est caucasienne, croyante, chrétienne ou orthodoxe, ne mérite pas de
vivre, car ne partageant pas les valeurs des nains intellectuels qui dans leur
tripot malfamé égosillent leur impuissance à toute création, en inventant et
conditionnant leur fer de lance, un laïcisme ridicule, porteur des germes de la
mort, comme on l’a si bien vu en œuvre lors du génocide Vendéen, lors du
Génocide Russe, lors du génocide Arménien, lors du Génocide Chinois, lors du
génocide des Pays de l’Est par leurs promoteurs hideux, souillures par
excellence de l’Humanité. L’athéisme est là, dans sa pompe, ses honneurs et ses
gloires, un athéisme propulsant non pas les Êtres Humains, mais des
sous-humains dans la barbarie la plus totale comme on a pu la voir récemment en
action en Syrie et en Irak, et qui ce jour devrait être pour certaines Nations,
via une immigration de masse, en vue de remplacer les peuples autochtones, l’idéal
remarquable. Les caractères de cette boue sont en voie de maîtrise dans nombre
de Pays dont la population s’efface pour tendre la gorge à la bestialité, car
cette population est vidée par une sous-culture minable, de toute sa vitalité,
de ses orientations, culpabilisée par le néant et ses miasmes qui frétillent
pour obtenir des subventions afin de flageller le Peuple qui ne pense pas comme
eux, avec la bénédiction de cette sordide association de francs-maçons véreux
qui sans jeu de mots, ont vendu leur âme au diable afin de connaître le délire
d’une onde de pouvoir, sitôt retiré lorsqu’ils ne s’inscrivent pas dans la boue
qui est leur couronnement, leur synthèse et leur dévotion. Ces métastases sont
là, dirigeantes, et destituent la vitalité des Peuples, comme on peut très bien
les voir en action dans notre Nation ce jour, en nourrissant les portefeuilles,
et en paupérisant par une ponction de vingt et un milliards d’euros la classe
moyenne qui fait vivre la Nation, en insufflant un milliard d’euros dans l’aide
médicale d’état, au détriment du Peuple de France afin de soigner toute la
misère humaine, surtout si elle vient de Nations où règnent des potentats aux
ordres de la gouvernance, eu égard à l’exploitation de leurs matières premières
ou tout simplement de leur vol. L’athéisme ici se révèle dans sa cruauté la
plus abyssale, devient vecteur de l’esclavagisme le plus hideux qui soit, instituant
une nouvelle traite des Africains, avec le blanc-seing de leurs roitelets,
rejoignant en cela la faconde des djihadistes vendant les Chrétiens aux plus
offrants, dans une traite qui a toujours existé dans le monde sémitique et qui
n’est pas née d’hier. La constitution Française, ici, vole en éclat, et ce n’est
pas peu de le dire, voyant l’étranger mieux traité que le Peuple de France, en
attendant sa mise en servage par les prédateurs cosmopolites dirigeant ce qu’il
reste de son industrie. Il n’y a plus de liberté, d’égalité, de fraternité dans
cette Nation, mais un marché aux esclaves digne des barbaresques les plus
sauvages et les plus criminelles, un marché aux esclaves si bien défendu par
une justice aux ordres, qui libère bien entendu les criminels quels qu’ils
soient dès qu’ils ne sont pas Français, par une gouvernance hideuse qui achète
des hôtels pour loger ces esclaves en laissant périr de froid plus cent
cinquante mille sans abris dans notre Nation, où le paupérisme s’installe avec
son vivier infect de déprédation, de vol et de viol en tout genre. L’athéisme
ici brille de tous ses feux, immortalisant sa route sanglante, sa barbarie
ultime, sa répugnance atavique, libérant des lois iniques voulant voir vacciner
de onze vaccins mortifères les enfants de France, pour engraisser les
laboratoires pharmaceutiques et toucher sa dîme au passage, voulant souiller la
vieillesse en l’affligeant par le vol d’une CSG indue sur ses retraites, tandis
que sa gouvernance répugnante ne la paiera pas, pas plus que ses députés
minables, incapables de constituer une phrase, sujet verbe, complément. La
barbarie maçonnique est là, dans sa perversité naturelle, issue de son
hilarante prostration à la vacuité de tout ce qui n’est pas la France, de tout
ce qui n’est pas l’Europe, de tout ce qui n’est pas l’Occident, mais tout du
venin participe qui les asphyxie depuis des siècles. Avant même d’être en état
de colonisation, nous sommes colonisés par ces miasmes, par cette virtualité
niant l’existence historique des Peuples au profit de la bassesse et de la lie,
nous sommes colonisés par le festin de la plèbe, de son ignorance, de son délire
vaniteux, dont la course effrénée rappelle les invasions les plus néfastes,
toutes arrêtées que le veuille ou non cette avanie, par la force des Peuples
qui se sont réveillés et n’ont jamais voulu tomber dans les mains de sa
souillure et de ses féaux. L’Histoire avec un H majuscule est un perpétuel
recommencement lorsque la Voie, celle permettant l’élévation de l’Etre-Humain
et non son délitement, est stoppée par les trépanés de l’intelligence, les
oublieux de la Vie, les handicapés de la réalité, tous ces tortionnaires et
dictateurs, tous ces potentats et ces licteurs qui s’imaginent Dieu alors qu’ils
ne sont que de simples poussières d’étoiles désorientées et maladives, de
simples fétus de paille qui n’en ont ni la consistance, ni la grâce. Gageons qu’ils
disparaîtront comme ils sont venus, ne laissant aucune trace dans l’Humanité,
sinon que comme ce que tout Etre-Humain doit honnir et éviter, ce que tout
Peuple doit défaire, ce que l’Humanité dans son ensemble doit juger et rendre à
la poussière. Ce sera l’ouvrage du temps et de la prise de conscience des
générations en devenir qui permettront leur anéantissement, un anéantissement permettant
de rendre sa dignité à l’Etre-Humain, sa vitalité, son honneur et sa grandeur,
sa capacité créatrice, son engouement pour l’élévation et en aucun cas pour les
marais glauques où se noient la plupart de nos contemporains, incultes et désœuvrés,
s’imaginant le nombril du monde alors qu’ils n’en sont que parties
infinitésimales. Alors au lieu de penser à ce qu’ils peuvent faire pour
eux-mêmes, ils penseront à ce qu’ils peuvent faire pour les autres, et
notamment pour leur famille, leur Peuple, leur Race, l’Humanité, et ne se
complairont plus dans la flagellation comme la culpabilisation qui sont les
vecteurs dont se servent des minorités pour s’accomplir et accomplir la boue
qui les englue et qu’ils voudraient voir objet de piété par tout un chacun.
Cela passe bien entendu par la reconnaissance de leurs vecteurs que sont l’Âme,
l’Esprit, le Corps, l’Unité de ces vecteurs, et non la dysharmonie entre ces
vecteurs, une étape symbiotique leur permettant d’évoluer et non plus régresser
ou se plier à la régression enfantée par l’athéisme barbare qui se veut ce jour
suffisance, propulsant dans l’ornière la nature de la beauté, de la bonté, du
don, de la splendeur, de l’honneur, du sacrifice, toutes valeurs immortalisées
par l’essence Chrétienne, qu’aucune religion d’essence matérielle par ce monde n’a seulement effleurée, et bien
plus qu’aucun athéisme ne pourra seulement percevoir tant l’opacité de la
réalité est son ferment comme son serment, si bien représentée aujourd’hui par
toutes ces ligues plus ridicules les unes que les autres, anthromorphistes par
excellence, s’imaginant le centre du monde alors qu’elles n’en sont que les
scories les plus abyssales, qui pavanent en gouvernance dans nombre de Nations,
alimentant leurs terreaux nuisibles par toutes sphères pourrissantes. La vermine
y grouille et s’y complaît, s’y délecte et s’y déploie, pour combien de temps ?
Qu’importe le temps, il est l’allié irréversible de l’Evolution et n’est
contingent de la fétidité comme de la corruption, bien au contraire, il est l’ennemi
principal de ces dérélictions primitives dont il sait la fin et dont il
manifestera la fin, comme il l’a manifesté dans le cadre des malversations que
sont le socialisme et ses petits frères, le communisme et le national-socialisme.
L’athéisme est de cette même plaie et disparaîtra comme ont disparu les miasmes
qui lui ont donné naissance. L’Histoire le contera.
© Vincent Thierry
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PHILOSOPHIE
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Écrit par Patinet Thierri
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Lundi 02 Octobre 2017 à 10:59 |
Manipulation, Médias, neurosciences.
La propagande, le mensonge,
l’illusion sont les échelles permettant de conférer à la médiocrité ses
apparences trompeuses et dénuées de tout intérêt. Ces items ne sont mis en
place que pour masquer la réalité, une réalité confondante permettant de voir qui
dirige réellement les Peuples comme les Nations vers l’abattoir de l’esclavagisme
et de la barbarie. Le contrôle équivoque de cette déréliction se tient dans la
permanence de sociétés discrètes ou secrètes, elles-mêmes aux mains d’esclavagistes
en puissance, les usuriers avariés. Les méthodes de tromperie concernant les
Peuples sur la réalité sont parfaitement connues et instrumentalisées depuis
des décennies, tant dans le domaine de la psychologie sociale que par les
sciences sociales et physiques, ou neuro sciences, qui permettent, lorsqu’elles
ne sont pas en bonne main, de conditionner l’Etre Humain jusqu’à le faire
disparaître dans une masse amorphe, docile, que l’oligarchie de la servitude
peut alors commander sans le moindre problème, réguler par l’avortement comme l’euthanasie,
la boucherie née de l’interdiction de penser, l’interdiction de créer, l’interdiction
de se composer en dehors de la fange qu’elle inspire et conditionne afin de
garder les avantages que sa nature avariée a produite, résultats de l’usure la
plus pernicieuse qui soit se commettant par la dette, enchaînant tant les Etres
Humains que l’Humanité. Le vingt et unième siècle sera celui qui verra s’effacer
cet immondice de la Terre, n’en doutons un seul instant, la dictature de la médiocrité
ne pouvant perdurer compte de la rémanence initiée par les Peuples combattant,
toujours, la destruction, au profit de l’élévation. Cette rémanence, issue de l’action
intra personnelle comme extra personnelle de l’Etre Humain, qui préexiste et
existe toujours malgré les leurres qui cherchent à l’égarer, aura un combat
déterminant à mener dans les années à venir pour éclairer les uns les autres
aux fondamentaux de sa condition d’évolution humaine. Le premier combat à mener
reste et restera le combat culturel face au déni de la culture apostrophé par
les centres médiatiques aux ordres qui ne sont les déserts qui servent l’usure
pour façonner l’inintelligence, l’illettrisme, l’acculturation, l’athéisme le
plus profond, la déperdition de la cognition comme de l’empathie, aux fins de
naître l’esclave parfait. On se référera aux auteurs approuvant cette fange de
l’esprit pour bien comprendre les mécanismes outranciers que facilitent des
sociétés multinationales qui n’ont d’autres buts culturels que de semer dans
les esprits la glorification de la désintégration, l’annihilation de l’Etre
Humain, des Peuples, des Races, des Nations au profit de l’empire dictatorial
et névrosé d’une oligarchie vaniteuse, réductible à la valeur de ses avoirs,
dont le but privilégié est d’assoir la servitude pour continuer à prospérer
dans la boue et par la boue qu’elle instaure. Aldous Huxley nous dit dans sa
préface du « Meilleur des Mondes » : « LES FORCES IMPERSONNELLES SUR LESQUELLES
NOUS N’AVIONS PRESQUE AUCUN CONTRÔLE SEMBLENT TOUS NOUS POUSSER EN DIRECTION DU
CAUCHEMAR MEILLEUR-MONDISTE ; ET CETTE POUSSÉE IMPERSONNELLE EST EN TRAIN
D’ÊTRE SCIEMMENT ACCÉLÉRÉE PAR LES REPRÉSENTANTS DES ORGANISATIONS POLITIQUES
ET COMMERCIALES QUI ONT DÉVELOPPÉ UN CERTAIN NOMBRE DE TECHNIQUES POUR
MANIPULER, DANS L’INTÉRÊT D’UNE CERTAINE MINORITÉ, LES PENSÉES ET SENTIMENTS
DES MASSES. », nous enseignant par la même sur la nature et l’intérêt
profond pour la désincarnation de l’humanité des initiateurs de cette prébende intellectuelle.
Walter Lippman dans son ouvrage « Opinion Publique » nous dit : « « QUE
CETTE FABRICATION DU CONSENTEMENT SOIT CAPABLE DE GRANDES AMÉLIORATIONS,
PERSONNE, JE PENSE, PERSONNE NE LE NIE. LE PROCÉDÉ PAR LEQUEL LES OPINIONS
PUBLIQUES SE PRÉSENTENT N’EST CERTAINEMENT PAS MOINS SUBTIL QU’IL L’EST APPARU
DANS SES PAGES, ET LES OPPORTUNITÉS DE MANIPULATION QUI
S’OUVRENT À QUICONQUE COMPREND LE PROCÉDÉ SONT SUFFISAMMENT CLAIRES… COMME UN
RÉSULTAT DE RECHERCHES PSYCHOLOGIQUES ALLIÉES AVEC LES MOYENS DE COMMUNICATION
MODERNES, LA PRATIQUE DE LA DÉMOCRATIE A PRIS UN TOURNANT. UNE RÉVOLUTION SE
PRODUIT, INFINIMENT PLUS SIGNIFICATIVE QUE TOUTES LES VARIATIONS DU POUVOIR
ÉCONOMIQUE… SOUS L’IMPACT DE LA PROPAGANDE, PAS NÉCESSAIREMENT AU SENS
PÉJORATIF DU MOT, LES VIEILLES CONSTANTES DE NOTRE PENSÉE SONT DEVENUES
VARIABLES. IL N’EST PLUS POSSIBLE, PAR EXEMPLE, DE CROIRE AU DOGME INITIAL DE
LA DÉMOCRATIE ; QUE LA CONNAISSANCE NÉCESSAIRE À LA GESTION DES AFFAIRES
HUMAINES SORT SPONTANÉMENT DU CŒUR HUMAIN. LORSQU’ON AGIT SELON CETTE THÉORIE
ON S’EXPOSE À L’AUTODÉCEPTION, ET À DES FORMES DE CONVICTION QUE NOUS NE
POUVONS VÉRIFIER. IL A ÉTÉ DÉMONTRÉ QUE NOUS NE POUVONS PAS COMPTER SUR
L’INTUITION, LA CONSCIENCE, OU LES ACCIDENTS DE L’OPINION FAITE À LA VA-VITE
POUR TRAITER AVEC LE MONDE AU-DELÀ DE NOTRE PORTÉE. », initiant un charabia déconcertant dont la philosophie
consiste à faire croire que l’élément moteur du discernement, l’Etre-Humain, n’existe
pas et donc que tout un chacun doit dans l’acceptation se réfugier dans une masse
informelle dont la direction relève de l’abstraction la plus totale comme la
plus létale. Steve Jacobson dans son livre « Contrôle mental aux
Etats-Unis » nous confirme cette dernière opinion : « LE POUVOIR
POLITIQUE ET ÉCONOMIQUE AUX ETATS-UNIS EST CONCENTRÉ ENTRE LES MAINS D’UNE «
ÉLITE DIRIGEANTE » QUI CONTRÔLE LA PLUPART DES CORPORATIONS MULTINATIONALES LES
PRINCIPAUX MÉDIAS, LES FONDATIONS LES PLUS INFLUENTES, LES UNIVERSITÉS PRIVÉES
LES PLUS IMPORTANTES ET LA PLUPART DES SERVICES PUBLICS BASÉS AUX ETATS-UNIS.
FONDÉ EN 1921, LE COUNCIL OF FOREIGN RELATIONS EST LE LIEN-CLÉ ENTRE LES
GROSSES CORPORATIONS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL. ON L’APPELAIT « L’ÉCOLE DES
HOMMES D’ETATS » ET « CE QUI SE RAPPROCHE D’UN ORGANE DE CE QUE C. WRIGHT MILLS
APPELAIT L’ELITE DU POUVOIR – UN GROUPE D’HOMMES AUX INTÉRÊTS ET MODES DE
PENSÉE SIMILAIRES FAÇONNANT LES ÉVÈNEMENTS DEPUIS DES POSITIONS INVULNÉRABLES
DANS LES COULISSES. LA CRÉATION DES NATIONS UNIES ÉTAIT LE PROJET DU CFR, TOUT
COMME LE FOND MONÉTAIRE INTERNATIONAL ET LA BANQUE MONDIALE. », nous y
sommes et ce pouvoir déborde largement les Etats-Unis, on a très bien pu le
voir en action dans le cadre de l’élection de la marque de savonnette dirigeant
la France, via la Fondation Franco Américaine, via le Bilderberg, via les loges
maçonniques avariées. Carl Jung défini dans son texte : « Le concept
d’inconscent collectif », les arcanes noirs de ce diktat : « MA
THÈSE, DONC, EST COMME SUIT : EN PLUS DE NOTRE CONSCIENCE IMMÉDIATE, QUI EST
D’UNE NATURE TOUT À FAIT PERSONNELLE ET QUE NOUS CROYONS ÊTRE LE SEUL PSYCHISME
EMPIRIQUE (MÊME SI NOUS AJOUTONS L’INCONSCIENT PERSONNEL EN APPENDICE), IL
EXISTE UN SECOND SYSTÈME PSYCHIQUE D’UNE NATURE COLLECTIVE, UNIVERSELLE ET
IMPERSONNELLE QUI EST INDENTIQUE À TOUS LES INDIVIDUS. CET INCONSCIENT
COLLECTIF NE SE DÉVELOPPE PAS INDIVIDUELLEMENT, MAIS ON EN HÉRITE. IL CONSISTE
EN FORMES PRÉEXISTANTES, LES ARCHÉTYPES, QUI PEUVENT SEULEMENT DEVENIR
CONSCIENTES DE MANIÈRE SECONDAIRE, ET QUI DONNENT UNE FORME DÉFINIE À CERTAINS
CONTENUS PSYCHIQUES. ». Diktat approuvé par Edward Bernays le manipulateur
de l’inconscient, qui écrit dans son ouvrage « Propagande »
: « LA MANIPULATION CONSCIENTE ET INTELLIGENTE DES HABITUDES ET OPINIONS
ORGANISÉES DES MASSES EST UN ÉLÉMENT IMPORTANT D’UNE SOCIÉTÉ DÉMOCRATIQUE. CEUX
QUI MANIPULENT CE MÉCANISME INVISIBLE DE LA SOCIÉTÉ CONSTITUENT UN GOUVERNEMENT
INVISIBLE QUI EST LA VRAIE FORCE DIRIGEANTE DU PAYS. NOUS SOMMES GOUVERNÉS, NOS
ESPRITS SONT FAÇONNÉS, NOS GOÛTS FORMÉS, NOS IDÉES SUGGÉRÉES, EN GRANDE PARTIE
PAR DES HOMMES DONT ON N’A JAMAIS ENTENDU PARLER. C’EST UN RÉSULTAT LOGIQUE DE
LA MANIÈRE DONT NOTRE SOCIÉTÉ DÉMOCRATIQUE EST ORGANISÉE. UN VASTE NOMBRE
D’ÊTRES HUMAINS DOIVENT COOPÉRER DE CETTE MANIÈRE S’ILS VEULENT SOUS PEU VIVRE
ENSEMBLE DANS UNE SOCIÉTÉ QUI FONCTIONNE SANS DIFFICULTÉS. NOS GOUVERNANTS
INVISIBLES SONT, DANS BEAUCOUP DE CAS, INCONSCIENTS DE L’IDENTITÉ DE LEURS
COLLÈGUES DANS LE CERCLE FERMÉ. ». On appréciera ici le degré de reptation
dont fait état cet auteur devant la dictature imposée par une oligarchie qui au
regard des événements historiques, géographiques, politiques, n’a pas la moindre
ambition de développer l’Humain mais bien au contraire l’asservir physiquement,
mentalement, spirituellement à son esclavagisme. La formule de l’asservissement
a été trouvée par Harold Lasswell dans sa fameuse phrase : « QUI,
dit, QUOI, à, QUI, par, QUEL MOYEN, avec, QUEL EFFET ». Vendre la
médiocrité pour mieux contrôler les masses devient donc le rêve de conquête des
belligérants combattant l’Humanité et surtout l’évolution de l’Humanité. Et
cela passe fatalement par le texte, l’image, plus proche de nous la vidéo, le
film, le jeu informatique, et bien entendu la presse dite d’opinion, et la
concentration globale de leurs outils en quelques mains afin que s’éperdent la
réalité au profit de la virtualité qui doit s’imposer pour avoir entre les
mains des larves consentantes et non des Etres Humains dont l’esprit critique
peut remettre à leur place toutes les dérives enfantées par cette armée d’involution
par excellence. Cette armée se retrouve dans quelques sociétés si bien exposées
par Ben Bagdikan, dans son ouvrage « Le monopole des médias » : « UNE
LISTE DES PROPRIÉTÉS CONTRÔLÉES PAR AOL TIME WARNER PRENDRAIT DIX PAGES
DACTYLOGRAPHIÉES QUI LISTERAIENT 292 COMPAGNIES SÉPARÉES ET FILIALES. PARMI
ELLES, 22 SONT DES SOCIÉTÉS EN PARTICIPATION AVEC D’AUTRES MAJORS IMPLIQUÉES À
DIVERS DEGRÉS EN OPÉRATIONS MÉDIATIQUES. CES PARTENAIRES INCLUENT 3COM, EBAY,
HEWLETT-PACKARD, CITYGROUP, TICKETMASTER, AMERICAN EXPRESS, HOMESTORE, SONY,
VIVA, BERTERLSMANN, POLYGRAM, ET AMAZON.COM. QUELQUES UNE DES PROPRIÉTÉS PLUS
FAMILIÈRES DÉTENUES À 100% PAR AOL TIME WARNER : BOOK-OF-THE-MONTH CLUB :
LITTLE BROWN ÉDITEURS ; HBO ET SES SEPT CHAÎNES ; CNN ; SEPT CHAÎNES
SPÉCIALISÉES ET EN LANGUES ÉTRANGÈRES ; « BIP-BIP ET VIL COYOTE » ; LES STUDIOS
WARNER BROS ; POPULAR SCIENCE ET 52 AUTRES LABELS DE DISQUES DIFFÉRENTS. ».
A titre d’information on se rappellera que AOL Time Warner possède : 64
magazines, dont Time, Life, People, MAD Magazine et DC
Comics. Waner Bros, New Line et Fine Line Features dans le
cinéma. Plus de 40 labels musicaux dont Warner Bros, Atlantic et Electra.
Beaucoup de « networks » télévisuels tels que AB Network, HBO, Cinemax,
TNT, Cartoon Networket CNN. Madonna, Sean Paul, les Whites Stripes. Viacom
possède CBS, MTV, MTV2, UPN, VH1, Showtime, Nickelodeon, Comedy Central, TNN,
CMT et BET, Paramount Pictures, Nickelodeon Movies, MTV Films, Blockbuster
Videos, 1800 écrans de cinéma à travers Famous Players. La Walt Disney
Company possède ABC, Disney Channel, ESPN, A&E, History Channe,l Walt Disney Pictures, Touchstone Pictures, Hollywood Pictures, Miramax Film
Corp., Dimension et Buena Vista International, Miley Cyrus/ Hannah
Montana, Selena Gomez, les Jonas Brothers. Ben Bagdikan nous rappelled à juste titre : « LA PROPRIÉTÉ DE
DISNEY D’UNE ÉQUIPE DE HOCKEY APPELÉS LES MIGHTY DUCKS D’ANAHEIM NE SUFFIT PAS
À DÉCRIRE L’IMMENSITÉ DE SON ROYAUME. HOLLYWOOD RESTE SON CŒUR SYMBOLIQUE, AVEC
HUIT STUDIOS DE PRODUCTIONS ET DISTRIBUTEURS : WALL DISNEY PICTURES, TOUCHSTONE
PICTURES, MIRAMAX, BUENA VISTA HOME VIDEO, BUENA VISTA HOME ENTERTAINMENT,
BUENA VISTA INTERNATIONAL, HOLLYWOOD PICTURES ET CARAVAN PICTURES. LA COMPAGNIE
WALT DISNEY CONTRÔLE HUIT MAISONS D’ÉDITION SOUS WALT DISNEY COMPANY BOOK
PUBLISHING ET ABC PUBLISHING BOOK ; 17 MAGAZINES ; ABC TELEVISION NETWORK AVEC
SES DIX STATIONS QU’ELLE POSSÈDE ET QU’ELLE FAIT FONCTIONNER Y COMPRIS DANS LE
TOP 5 DU MARCHÉ ; 30 STATIONS DE RADIO, DONT TOUTES LES PLUS GROSSES DU MARCHÉ;
11 CHAÎNES CÂBLÉES DONT DISNEY, ESPN (CONJOINTEMENT) ; A&E ET LA CHAÎNE
HISTOIRE ; 13 CHAÎNES DE DIFFUSION INTERNATIONALE QUI VONT DE L’AUSTRALIE
AU BRÉSIL ; 17 UNITÉS SPORTIVES ET UNITÉS DE PRODUCTION AUTOUR DU MONDE ; ET 17
SITES INTERNET, CE QUI INCLUT LE GROUPE ABC, ESPN.SPORTZONE, NFL.COM, NBAZ.COM
ET NASCAR.COM. SES CINQ GROUPES MUSICAUX INCLUENT LA BUENA VISTA, LYRIC STREET
ET LES LABELS DISNEY, ET DES PRODUCTIONS CINÉMATOGRAPHIQUES « VIVANTES » D’OÙ
SONT SORTIS DES FILMS COMME LE ROI LION, LA BELLE ET LA BÊTE, ET LE ROI DAVID… ».
Vivendi Universal possède 27% des ventes
de musique aux Etats-Unis, ses labels comprennent: Interscope, Geffen,
A&M, Island, Def Jam, MCA, Mercury, Motown et Universal ; Universal
Studios, Studio Canal, Polygram Films, Canal +. De nombreuses compagnies
téléphoniques et Internet, Lady Gaga, The Black Eyed Peas, Lil Wayne, Rihanna,
Mariah Carey, Jay-Z. Sony possède Columbia Pictures, Screen Gems, Sony Pictures
Classics, 15% des ventes de musique aux Etats-Unis, ses labels comprennent
: Columbia, Epic, Sony, Arista, Jive et RCA Records Beyonce,
Shakira, Michael Jackson, Alicia Keys, Christina Aguilera. Où l’on voit ici la
tentative d’implanter un stadard dans la pensée humaine, surtout le standard de
la médiocité et de ses avatars. Un standard relé dès 1928 par Edward Bernays dans
seon ouvrage « Propagande » : LE CINÉMA AMÉRICAIN EST LE PLUS
GRAND TRANSPORTEUR INCONSCIENT DE PROPAGANDE DANS LE MONDE AUJOURD’HUI. C’EST
UN GRAND DISTRIBUTEUR D’IDÉES ET D’OPINIONS. LE CINÉMA PEUT STANDARDISER LES
IDÉES ET HABITUDES D’UNE NATION. PARCE QUE LES IMAGES SONT FAITES POUR
SATISFAIRE LES DEMANDES DU MARCHÉ, ELLES REFLÈTENT, SOULIGNENT, ET MÊME
EXAGÈRENT LES GRANDES TENDANCES POPULAIRES, PLUTÔT QUE DE STIMULER DE NOUVELLES
IDÉES ET OPINIONS. LE CINÉMA USE DES IDÉES ET DES FAITS QUI SONT EN VOGUE.
TANDIS QUE LES JOURNAUX CHERCHENT À OFFRIR LES FAITS, IL [LE CINÉMA] CHERCHE À
OFFRIR DU DIVERTISSEMENT. ». Une standardisation dont les méfaits sont
évoqués par Théodor Adorno et Herbert Marcuse qui en identifient les principaux
problèmes : la réduction des Etres Humains au statu de masse, ne
permettant plus à l’individu de s’émaciper et prendre des décision
rationnelles, le remplacement de l’autonomie de la conscience de soi par la
paresse sécurisante du conformisme et de la passivité, et l’ancrage de l’Etre
Humain, devenu une larve consommatrice, du fait de la virtualité proposée par
les médias, sans souci d’esprit critique. En fait une larve consentante, telle
qu’on peut s’en rendre compte au regard des publicités télévisées qui s’adressent
au sous-humain et en aucun cas à un Etre Humain raisonnant et ayant conservé
son esprit critique, comme d’ailleurs aux regards des émissions de jeux
télévisés et distractions télévisées, où le néant domine le néant dans son
affirmation de médiocrité consommée. Abêti, acculturé, illettré, l’Etre Humain
noyé dans la masse, ne recherche plus une once de vérité, bien au contraire
dans un mimétisme carnassier s’extasie de sa propre déréliction et acclame la
déréliction, devient acceptant comme, hypocritement, Adlous Huxley semble s’en
rendre compte dans son ouvrage « Le meilleur des mondes » : « EN
CE QUI CONCERNE LA PROPAGANDE, LES PREMIERS DÉFENSEURS DE L’ALPHABÉTISATION
UNIVERSELLE ET DE LA PRESSE LIBRE ENVISAGÈRENT DEUX POSSIBILITÉS : LA
PROPAGANDE PEUT ÊTRE VRAIE, OU ELLE PEUT ÊTRE FAUSSE. ILS N’ONT PAS PRÉVU CE
QUI EST EN FAIT ARRIVÉ, SURTOUT DANS NOS DÉMOCRATIES CAPITALISTES OCCIDENTALES
– LE DÉVELOPPEMENT D’UNE VASTE INDUSTRIE DE CONSOMMATION DE MASSE, CONCERNÉE
DANS L’ABSOLU NI PAR LE VRAI NI PAR LE FAUX, MAIS PAR L’IRRÉEL, LE PLUS OU
MOINS TOTALEMENT DÉNUÉ DE PERTINENCE. EN UN MOT, ILS ONT ÉCHOUÉ À PRENDRE EN
COMPTE L’APPÉTIT PRESQUE INFINI DE L’HOMME POUR LA DISTRACTION. », Ce n’est
pas l’Etre Humain qui est en cause ici, mais bien la larve qu’il est devenue à
cause de la propagande décérébrée devant laquelle il est invité à se
prosterner. Jac ques Ellul quant à lui ne s’y est pas trompé en précisant :
« C’EST L’ÉMERGENCE DES MÉDIAS DE MASSE QUI REND POSSIBLE L’UTILISATION DE
TECHNIQUES DE PROPAGANDE À ÉCHELLE SOCIÉTALE. L’ORCHESTRATION DE LA PRESSE, DE
LA RADIO ET DE LA TÉLÉVISION POUR CRÉER UN ENVIRONNEMENT CONTINUEL, DURABLE ET
TOTAL RENDANT L’INFLUENCE DE LA PROPAGANDE VIRTUELLEMENT INSOUPÇONNÉE
PRÉCISÉMENT PARCE QUE ÇA CRÉE UN ENVIRONNEMENT CONSTANT. LES MÉDIAS DE MASSE
FOURNISSENT LE LIEN ESSENTIEL ENTRE L’INDIVIDU ET LES EXIGENCES DE LA SOCIÉTÉ
TECHNOLOGIQUE. » ; Les exigences de la société technologique font
vraiment rire, les exigences des mentors de cette exigence seraient plus
appropriées. La manipulation de l’individu est parachevée par la mise en œuvre de
fonds illimités programmés à cette fin.
Comme le dit Marshall Mcluhan dans son ouvrage « Les extensions de l’homme » :
« AUCUN GROUPE DE SOCIOLOGISTES NE PEUT SE RAPPROCHER DES ÉQUIPES
PUBLICITAIRES EN CE QUI CONCERNE LE RASSEMBLEMENT ET LE TRAITEMENT DE DONNÉES
SOCIALES. LES ÉQUIPES PUBLICITAIRES ONT DES MILLIARDS PAR AN À DÉPENSER DANS
LES RECHERCHES ET TESTS DE RÉACTIONS, ET LEURS PRODUITS SONT DE MAGNIFIQUES
ACCUMULATIONS DE SUBSTANCE CONCERNANT LES SENTIMENTS ET EXPÉRIENCES VÉCUES PAR
LA COMMUNAUTÉ ENTIÈRE. » et comme le dit si bien Jacques Ellul : « C’EST
AUSSI BIEN AVEC LA CONNAISSANCE DE L’ÊTRE HUMAIN, DE SES TENDANCES, DE SES
DÉSIRS, DE SES BESOINS, DE SON MÉCANISME PSYCHIQUE, DE SES AUTOMATISMES QUE
CELLE DE LA PSYCHOLOGIE SOCIALE ET DE LA PSYCHOLOGIE ANALYTIQUE QUE LA
PROPAGANDE PEUT AFFINER SES TECHNIQUES. ». Ce mariage du pouvoir de l’argent
avec l’Humanité réduit considérablement l’évolution de la dite Humanité, comme
le dit si bien Michael A Hoffmann II dans son ouvrage « Sociétés secrètes
et guerre psychologique » « ON DIT À CES ESCLAVES AVEUGLES QU’ILS
SONT « LIBRES » ET « BIEN ÉDUQUÉS », MÊME QUAND ILS MARCHENT AU PAS DERRIÈRE
DES SIGNES QUI FERAIENT S’ENFUIR D’EUX PANIQUÉ ET EN CRIANT N’IMPORTE QUEL
PAYSAN DU MOYEN-AGE. LES SYMBOLES QUE L’HOMME MODERNE EMBRASSE AVEC LA
CONFIANCE NAÏVE D’UN ENFANT ÉQUIVAUDRAIENT À CET ÉCRITEAU SUR UNE PANCARTE : «
DIRECTION VOTRE MORT ET L’ESCLAVAGE », COMME LE COMPRENDRAIT UN PAYSAN DE
L’ANTIQUITÉ ». On ajoutera à cette tentative de désincarnation de la
réalité humaine, les neuro sciences associées qui ont pour but par les ondes
électromagnétiques de détruire la capacité cognitive de l’Etre Humain, comme
particulièrement les déversements de produits neuro toxiques dans l’atmosphère,
baryum, aluminium, etc, ainsi que la vente dans la grande distribution de
produits avariés et toxiques, pour bien faire comprendre que le combat à mener
doit être total contre cette tentative de réduction en esclavage non seulement l’Etre
Humain, un Peuple, une Race, mais l’Humanité toute entière par des non-humains
qui se cachent dans leurs conseils d’administration, des financiers véreux,
agitant leurs pantins politiques ridicules et méprisables qui acceptent cette
mise en servage et ne travaillent que pour cela. On s’interessera aux neuro
sciences et notamment à l’ouvrage de Marco Della Luna et Paolo Cioni « Neuro-esclaves »
Edité par http://macrolivres.com, pour
aller plus loin et mieux comprendre l’aphasie, la sérilité des Peuples comme d’une
majorité d’individu devant leur mise en esclavage.
Handling, Media,
neurosciences.
Propaganda, the
lie, the illusion are the scales making it possible to confer on the mediocrity
its appearances misleading and stripped of any interest. These items is set up
only to mask reality, a confusing reality making it possible to see which
directs really the People like the Nations towards the slaughter-house of the
slave system and cruelty. Control ambiguity of this dereliction is held in
permanence of discrete or secret companies, themselves with the hands the slave
ones in power, the damaged usurers. The methods of fraud concerning the People
on reality are perfectly known and used since of the decades, as well in the
field of social psychology as by social sciences and physics, or neuro
sciences, which makes it possible, when they are not in good hand, to condition
To be Human for it until making it disappear in a mass amorphous, flexible,
that the oligarchy of the constraint can then order without the least problem,
to control by the abortion as the euthanasia, the butchery born of prohibition
to think, prohibition to create, prohibition to be composed apart from mud that
it inspires and conditions in order to keep the advantages that its nature
damaged produced, results of the most pernicious wear which is being made by
the debt, connecting the Human Beings as well as Humanity. The twenty and
unième century will be that which will see to be erased this refuse of the
Earth, do not doubt it only one moment, the dictatorship of the mediocrity not
being able to continue account of the remanence initiated by the People
combatant, always, the destruction, with the profit of rise. This remanence,
resulting from action will intra personal like extra personal To be Human,
which always preexists and exists in spite of the lures which seek to mislay
it, will have a combat determining to carry out in the years to come to light
the ones the others with fundamental of its condition of human evolution. The
first combat to carry out remainder and will remain the cultural combat
vis-a-vis the refusal of the culture apostrophized by the media centers with
the orders which are not the deserts which serve wear to work obtuseness,
illiteracy, acculturation, the major atheism, the loss of cognition like
empathy, for purposes to be born the perfect slave. One will refer to the
authors approving this mud of the spirit for understanding well the outrageous
mechanisms which facilitate of the multinationals which have of other cultural
goals only to sow in the spirits the glorification of disintegration,
annihilation To be it Human, of the People, the Races, the Nations to the
profit of the dictatorial empire and neurotic of a conceited oligarchy,
reducible with the value of its assets, of which the privileged goal is to sit
the constraint to continue to thrive in mud and by mud that it founds. Aldous
Huxley tells us in his foreword of “Better Worlds”: “THE IMPERSONAL FORCES ON
WHICH WE DID NOT HAVE ALMOST ANY CONTROL SEEM ALL TO PUSH US IN THE DIRECTION
OF NIGHTMARE MEILLEUR-MONDISTE; AND THIS IMPERSONAL PUSH IS BEING KNOWINGLY
ACCELERATED BY THE REPRESENTATIVES OF THE POLITICAL ORGANIZATIONS AND
COMMERCIAL WHO DEVELOPED A CERTAIN NUMBER OF TECHNIQUES TO HANDLE, IN THE
INTEREST OF A CERTAIN MINORITY, THE THOUGHTS AND FEELINGS OF THE MASSES. ”, us
teaching by the same one on nature and major interest for the desincarnation of
the humanity of the initiators of this emolument intellectual. Walter Lippmann
in his work “Public opinion” tells us: ““THAT THIS MANUFACTURING OF THE ASSENT
IS CAPABLE OF GREAT IMPROVEMENTS, NOBODY, I THINK, NOBODY DOES NOT DENY IT. THE
PROCESS BY WHICH THE PUBLIC OPINIONS SE PRESENT IS CERTAINLY NOT LESS SUBTLE
THAN IT APPEARED IT IN ITS PAGES, AND THE APPROPRIATENESSES HANDLING WHICH OPEN
WITH WHOEVER UNDERSTANDS THE PROCESS ARE SUFFICIENTLY CLEAR… LIKE A SEARCH
LISTING PSYCHOLOGICAL ALLIED WITH THE MODERN MEANS OF COMMUNICATION, THE
PRACTICE OF THE DEMOCRACY TO TAKEN A TURNING. A PRODUCED REVOLUTION SE,
INFINITELY MORE SIGNIFICANT THAN ALL THE VARIATIONS OF THE ECONOMIC POWER…
UNDER THE IMPACT OF PROPAGANDA, NOT NECESSARILY IN PEJORATIVE SENS OF THE WORD,
THE OLD CONSTANTS OF OUR THOUGHT BECAME VARIABLE. IT IS NOT POSSIBLE ANY MORE,
FOR EXAMPLE, TO ACCEPT THE INITIAL DOGMA OF THE DEMOCRACY; THAT KNOWLEDGE
NECESSARY TO THE MANAGEMENT OF THE HUMAN BUSINESS LEAVES THE HUMAN HEART
SPONTANEOUSLY. WHEN ONE ACTS ACCORDING TO THIS THEORY ONE EXPOSES ONESELF TO
THE AUTODÉCEPTION, AND FORMS OF CONVICTION THAT WE CANNOT CHECK. IT AT SHOWN
SUMMER THAT WE CANNOT COUNT ON THE INTUITION, THE CONSCIENCE, OR THE ACCIDENTS
OF THE OPINION MADE WITH THE VA-VITE TO TREAT WITH LE MONDE BEYOND OUR RANGE.
”, initiating disconcerting nonsense whose philosophy consists in making
believe that the motive fluid of the understanding, theHuman one, does not
exist and thus that each and everyone must in acceptance take refuge in an
abstract mass which the direction concerns the most total abstraction like
lethal. Steve Jacobson in his book “Controls mental in the United States”
assure us this last opinion: “POLITICAL POWER AND ECONOMIC IN THE EAST UNITED
STATES CONCENTRATED BETWEEN THE HANDS OF A “LEADING ELITE” WHICH CONTROLS MOST
MULTINATIONAL CORPORATIONS, PRINCIPAL MEDIA, THE MOST INFLUENTIAL FOUNDATIONS,
THE MOST IMPORTANT PRIVATE UNIVERSITIES AND MOST PUBLIC SERVICES BASED IN THE
UNITED STATES. FOUNDED IN 1921, COUNCIL OF FOREIGN RELATIONS IS THE LIEN-CLÉ
BETWEEN THE LARGE CORPORATIONS AND THE FEDERAL GOVERNMENT. IT WAS CALLED “THE
SCHOOL OF THE STATESMEN” AND “WHAT SE BRINGS CLOSER TO A BODY OF WHAT C. WRIGHT
MILLETS CALLED THE ELITE OF THE POWER - A GROUP OF MEN TO THE INTERESTS AND
SIMILAR WAYS OF THINKING WORKING THE EVENTS SINCE INVULNERABLE POSITIONS IN THE
SLIDES. THE CREATION OF THE UNITED NATIONS WAS THE PROJECT OF THE CFR, JUST
LIKE THE BOTTOM INTERNATIONAL CURRENCY AND THE WORLD BANK. ”, we are there and
this power largely overflows the United States, one could very well see it in
action within the framework of the election of the mark of cake of soap
directing France, via the Free American Foundation, Bilderberg, the damaged
Masonic cabins. Carl Jung defined in his text: “The concept of inconscent
collective”, the black mysteries of this diktat: “MY THESIS, THEREFORE, IS AS
FOLLOWS: BESIDES OUR IMMEDIATE CONSCIENCE, WHICH IS OF NATURE COMPLETELY
PERSONAL AND THAT US BELIEVE BEING ONLY PSYCHISM EMPIRICAL (EVEN IF WE ADD
UNCONSCIOUS STAFF IN APPENDIX), THERE EXISTS A SECOND PSYCHIC SYSTEM OF A
COLLECTIVE, UNIVERSAL AND IMPERSONAL NATURE WHICH IS INDENTIQUE WITH ALL THE
INDIVIDUALS. THIS UNCONSCIOUS COLLECTIVE SE DOES NOT DEVELOP INDIVIDUALLY, BUT
ONE INHERITS IT. IT CONSISTS OF PREEXISTENT FORMS, THE PROTOTYPES, WHO CAN ONLY
BECOME CONSCIOUS IN A SECONDARY WAY, AND WHO GIVE A FORM DEFINED IN CERTAIN
PSYCHIC CONTENTS. ”. Diktat approved by Edward Bernays the manipulator of the
unconscious one, which writes in its work “Propaganda”: “HANDLING CONSCIOUS AND
INTELLIGENT OF THE PRACTICES AND ORGANIZED OPINIONS OF THE MASSES IS A
SIGNIFICANT COMPONENT OF A DEMOCRATIC SOCIETY. THOSE WHICH HANDLE THIS
INVISIBLE MECHANISM OF THE COMPANY CONSTITUTE AN INVISIBLE GOVERNMENT WHICH IS
THE TRUE LEADING FORCE OF THE COUNTRY. WE ARE CONTROLLED, OUR SPIRITS ARE
WORKED, OUR FORMED TASTES, OUR SUGGESTED IDEAS, MAINLY BY MEN ABOUT OF WHICH
ONE FOREVER INTENDED TO SPEAK. IT IS A LOGICAL RESULT IN THE WAY IN WHICH OUR
DEMOCRATIC SOCIETY IS ORGANIZED. A HUGE NUMBER OF HUMAN BEINGS MUST COOPERATE
IN THIS MANNER IF THEY WANT TO LIVE SOON TOGETHER IN A COMPANY WHICH FUNCTIONS
WITHOUT DIFFICULTIES. OUR CONTROLLING INVISIBLE ARE, IN MANY CA, UNCONSCIOUS OF
THE IDENTITY OF THEIR COLLEAGUES IN THE CLOSED CIRCLE. ”. One will appreciate
here the degree of snaking of which made to state this author in front of the
dictatorship imposed by an oligarchy which taking into consideration historical
event, geographical, political, does not have the least ambition to develop the
Human one but quite to the contrary to control it physically, mentally,
spiritually with its slave system. The formula of control was found by Harold
Lasswell in his famous sentence: “WHICH, said, WHAT, with, WHICH, by, WHICH
MEANS, with, WHICH EFFECT”. To sell the mediocrity for better controlling the
masses thus becomes the dream of conquest of the belligerents combatant the
Humanity and especially the evolution of Humanity. And that passes fatally by
the text, the image, nearer to us the video, the film, the data-processing
play, and of course the press known as of opinion, and the total concentration
their tools in some hands so that éperdent reality with the profit of the
virtuality which must be essential to have between the hands of the agreeing
larvae and not of the Human Beings whose critical spirit can par excellence
give to their place all the drifts given birth to by this army of involution.
This army is found in some companies reported on Ben Bagdikan so well, in his
work “the monopoly of the media”: “A LIST OF THE PROPERTIES CONTROLLED BY AOL
TIME WARNER WOULD TAKE TEN TYPED PAGES WHICH WOULD LIST 292 SEPARATE AND
SUBSIDIARY COMPANIES. AMONG THEM, 22 ARE JOINT VENTURE COMPANIES WITH OTHER
MAJORS IMPLIED WITH VARIOUS DEGREES IN MEDIA OPERATIONS. THESE PARTNERS INCLUDE
3COM, EBAY, HEWLETT-PACKARD, CITYGROUP, TICKETMASTER, American Express,
HOMESTORE, SONY, VIVA, BERTERLSMANN, POLYGRAM, AND AMAZON.COM. SOME ONE OF the
MORE FAMILIAR PROPERTIES HELD At 100% BY AOL Time Warner: BOOK-OF-THE-MONTH
CLUB: LITTLE BROWN EDITORS; HBO AND ITS SEVEN CHAINS; CNN; SEVEN CHAINS
SPECIALIZED AND IN FOREIGN LANGUAGES; “BLEEP-BLEEP AND CHEAP COYOTE”; THE
STUDIOS WARNER BROS; POPULAR SCIENCE AND 52 OTHER LABELS OF DIFFERENT DISCS. ”.
For information one will remember that AOL Time Warner has: 64 magazines, of
which Time, Life, People, MAD Magazine and cd. Comics. Waner Bros, New Line and
Fine Line Features in the cinema. More than 40 musical labels of which Warner
Bros, Atlantic and Electra. Many “networks” televisual such as AB Network, HBO,
Cinemax, TNT, Cartoon Networket CNN. Madonna, Sean Paul, Whites Stripes. Viacom
has CBS, MTV, MTV2, UPN, VH1, Showtime, Nickelodeon, Comedy Central, TNN, WCL
and Study Bureau, Paramount Pictures, Nickelodeon Movies, MTV Films,
Blockbuster Videos, 1800 cinema displays through Famous Players. Walt Disney
Company has ABC, Disney Channel, ESPN, A&E, History Channel, Walt Disney
Pictures, Touchstone Pictures, Hollywood Pictures, Miramax Film Body.,
Dimension and Buena Vista International, Miley Cyrus/Hannah Montana, Selena
Gum, Jonas Brothers. Ben Bagdikan us rappelled rightly: “THE PROPERTY OF DISNEY
OF A TEAM OF HOCKEY CALLED MIGHTY DUCKS OF ANAHEIM IS NOT ENOUGH TO DESCRIBE THE
VASTNESS OF ITS KINGDOM. HOLLYWOOD REMAINS ITS HEART SYMBOLIC SYSTEM, WITH
EIGHT STUDIOS OF PRODUCTIONS AND DISTRIBUTERS: WALL DISNEY PICTURES, TOUCHSTONE
PICTURES, MIRAMAX, BUENA VISTA VIDEO HOME, BUENA VISTA HOME ENTERTAINMENT,
BUENA INTERNATIONAL VISTA, HOLLYWOOD PICTURES AND CARAVAN PICTURES. THE WALT
DISNEY COMPANY CONTROLS EIGHT PUBLISHERS UNDER WALT DISNEY COMPANY BOOK
PUBLISHING AND ABC PUBLISHING BOOK; 17 MAGAZINES; ABC TELEVISION NETWORK WITH
ITS TEN STATIONS WHICH IT HAS AND WHICH IT MAKES FUNCTION INCLUDING IN SIGNAL 5
OF THE MARKET; 30 RADIO STATIONS, OF WHICH ALL THE LARGEST OF THE MARKET; 11
CABLED CHAINS OF WHICH DISNEY, ESPN (JOINTLY); A&E AND THE CHAIN HISTORY;
13 CHAINS OF INTERNATIONAL DIFFUSION WHICH GO FROM AUSTRALIA TO BRAZIL; 17 SPORTING
UNITS AND PRODUCTION UNITS AROUND THE WORLD; AND 17 WEBSITES, WHICH INCLUDE THE
ABC GROUP, ESPN.SPORTZONE, NFL.COM, NBAZ.COM AND NASCAR.COM. ITS FIVE GROUPS
MUSICAL INCLUDE THE BUENA VISTA, LYRIC STREET AND THE DISNEY LABELS, AND OF THE
“ALIVE” FILM PRODUCTIONS FROM WHERE LEFT FILMS LIKE THE KING LION, THE
BEAUTIFUL ONE AND THE ANIMAL, AND THE KING DAVID… ”. Vivendi Universal has 27%
of the sales of music in the United States, its labels understand: Interscope,
Geffen, A&M, Island, Def Jam, MCA, Mercury, Motown and Universal; Universal
Studios, Studio Canal, Polygram Films, Channel +. Many telephone companies and
Internet, Senile Lady, The Black Eyed Peas, Lil Wayne, Rihanna, Mariah Carey,
Jay-Z. Sony has Columbia Pictures, Screen Gems, Sony Pictures Classics, 15% of
the sales of music in the United States, its labels understand: Columbia, Epic,
Sony, Arista, Jive and RCA Beyonce Records, Shakira, Michael Jackson, Alicia
Keys, Christina Aguilera. Where one sees the attempt here to establish a
stadard in the human thought, especially the standard of the mediocity and his
misadventures. A standard relé by 1928 by Edward Bernays in seon work
“Propaganda”: THE AMERICAN CINEMA IS THE LARGEST UNCONSCIOUS CARRIER OF
PROPAGANDA IN LE MONDE TODAY. IT IS A LARGE DISTRIBUTER OF IDEAS AND OPINIONS.
THE CINEMA CAN STANDARDIZE THE IDEAS AND PRACTICES OF A NATION. BECAUSE THE
IMAGES ARE MADE TO SATISFY THE MARKET DEMANDS, THEY REFLECT, UNDERLINE, AND
EVEN EXAGGERATE THE MAIN POPULAR TENDENCIES, RATHER THAN TO STIMULATE NEW IDEAS
AND OPINIONS. THE CINEMA USES OF THE IDEAS AND THE FACTS WHICH ARE IN VOGUE.
WHILE THE NEWSPAPERS SEEK TO OFFER THE FACTS, HE [THE CINEMA] SEEKS TO OFFER
ENTERTAINMENT. ”. A standardization whose misdeeds are evoked by Théodor Adorno
and Herbert Marcuse which identify the main problems of them: the reduction of
the Human Beings to the statu of mass, not allowing more to the individual
émaciper and to make decision rational, the replacement of the autonomy of the
self-awareness by lazes making safe conformism and passivity, and the anchoring
of the Human Being, become a consuming larva, because of virtuality suggested
by the media, without preoccupation with a critical spirit. In fact an agreeing
larva, such as one can realize taking into consideration TV commercial which is
addressed to under-human and in no case of it with a Human Being reasoning and
having preserved its critical spirit, like besides taking into consideration
emission of game shows and televised distractions, where nothing dominates
nothing in its assertion of consumed mediocrity. Abêti, acculturé, illiterate,
it Human to be drowned in the mass, does not seek any more one ounce of truth,
quite to the contrary in a carnivorous imitation enraptured of its own
dereliction and acclaims the dereliction, becomes acceptor like,
hypocritically, Adlous Huxley seems to realize it in its work “Brave New
World”: “WITH REGARD TO PROPAGANDA, THE FIRST DEFENDERS OF THE UNIVERSAL
ELIMINATION OF ILLITERACY AND THE FREE PRESS CONSIDERED TWO POSSIBILITIES:
PROPAGANDA CAN BE TRUE, OR IT CAN BE FALSE. THEY ENVISAGED WHAT IS IN FACT
ARRIVED, ESPECIALLY IN OUR WESTERN DEMOCRACIES CAPITALIST - THE DEVELOPMENT OF
A VAST CONSUMPTION INDUSTRY OF MASS, CONCERNED IN THE ABSOLUTE NEITHER WITH
TRUTH NOR WITH THE FORGERY, BUT BY THE UNREAL ONE, MORE OR LESS COMPLETELY NOT
STRIPPED OF RELEVANCE. IN A WORD, THEY FAILED TO TAKE INTO ACCOUNT THE ALMOST
INFINITE APPETITE OF THE MAN FOR THE DISTRACTION. ”, It is not To be Human for
it which is in question here, but well the larva which it became because of
decerebrated propaganda in front of which it is invited to bow down. Jac ques
Ellul as for him was not mistaken there while specifying: “IT IS THE EMERGENCE
OF THE MEDIA OF MASS WHICH MAKES POSSIBLE THE USE OF TECHNIQUES OF PROPAGANDA
ON SCALE SOCIÉTALE. THE ORCHESTRATION OF THE PRESS, THE RADIO AND TELEVISION TO
CREATE A CONTINUAL, DURABLE AND TOTAL ENVIRONMENT PRECISELY RETURNING THE
INFLUENCE OF VIRTUALLY UNSUSPECTED PROPAGANDA BECAUSE THAT CREATES A CONSTANT
ENVIRONMENT. THE MEDIA OF MASS PROVIDE THE ESSENTIAL BOND BETWEEN THE
INDIVIDUAL AND THE REQUIREMENTS OF THE TECHNOLOGICAL COMPANY. ”; The
requirements of the technological company really make laugh, the requirements
of the mentors of this requirement would be more suitable. The handling of the
individual is completed by the implementation of unlimited funds programmed for
this purpose. Like says it Marshall Mcluhan in its work “the extensions of the
man”: “NO GROUP OF SOCIOLOGISTS CAN SE BRING CLOSER TO THE ADVERTISING TEAMS
WITH REGARD TO THE SOCIAL GATHERING AND THE DATA PROCESSING. THE ADVERTISING
TEAMS HAVE BILLION TO SPEND A YEAR IN THE SEARCHS AND TESTS FOR REACTIONS, AND
THEIR PRODUCTS ARE SPLENDID ACCUMULATIONS OF SUBSTANCE CONCERNING THE FEELINGS
AND EXPERIMENTS LIVED BY THE WHOLE COMMUNITY. ” and like known as so well
Jacques Ellul: “IT IS AS WELL WITH KNOWLEDGE HUMAN BEING, OF ITS TENDENCIES,
ITS DESIRES, ITS NEEDS, ITS PSYCHIC MECHANISM, ITS AUTOMATISMS AS THAT OF
SOCIAL PSYCHOLOGY AND ANALYTICAL PSYCHOLOGY THAT PROPAGANDA CAN REFINE ITS
TECHNIQUES. ”. This marriage of the power of the money with Humanity reduces to
the evolution of the aforesaid Humanity considerably, like known as so well
Michael A Hoffmann II in her work “Secret societies and psychological warfare”
“ONE SAYS to THESE BLIND SLAVES THAT THEY “FREE” AND “ARE WELL EDUCATED”, EVEN
WHEN THEY GO TO the STEP BEHIND SIGNS WHICH WOULD MAKE FLEE Of THEM PANICKED
AND WHILE SHOUTING ANY PEASANT OF the MIDDLE AGES. THE SYMBOLS WHICH THE MODERN
MAN EMBRACES WITH THE NAIVE CONFIDENCE OF A CHILD WOULD BE EQUIVALENT TO THIS
SIGN ON A SIGN: “DIRECTION YOUR DEATH AND SLAVERY”, AS A PEASANT OF ANTIQUITY
WOULD UNDERSTAND IT”. One will add to this attempt at desincarnation of human
reality, the neuro associated sciences the purpose of which are by the
electromagnetic waves to destroy the cognitive capacity of the Human Being,
like particularly discharges of toxic products neuro in the atmosphere, barium,
aluminum, etc, as well as the sale in the large distribution of damaged and
toxic products, for rendering comprehensible well that the combat to be carried
out must be total against this attempt at reduction in slavery not only the
Human Being, People, a Race, but very whole Humanity by thehuman ones which
hides in their boards of directors, of financial wormy, agitating their
ridiculous political puppets and contemptible which accepts this setting in
serfdom and work only for that. One will be interested in the neuro sciences
and in particular in the work of Marco Della Luna and Paolo Cioni
“Neuro-slaves” Published by http://macrolivres.com, to go further and to better
understand the aphasia, the serility of the People like majority of individual
in front of their setting in slavery.
© Vincent Thierry
|
Dernière Mise à jour ( Lundi 02 Octobre 2017 à 11:06 )
|
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PHILOSOPHIE
|
Écrit par Patinet Thierri
|
Dimanche 04 Juin 2017 à 07:10 |
L’Art
Dans un monde livré à la
bestialité, quel chemin suivre pour ne pas polluer son corps, son esprit et son
âme ? Voici la question que tout un chacun doit se poser pour éclairer ce
monde et le défaire des miasmes qui veulent le pourrir et le nantir dans la
brutalité d’une matière sans lendemain, sinon celle du naufrage et de ses aménités.
En regard de l’évolutive conscience qui se doit pour maintenir l’équilibre
entre les astreintes du mirage qui se veut maître et la réalité qui toujours
transfigure, ne reste qu’une voie qui est celle de la limpidité, et qui se
révèle par le principe même de la créativité, de l’Art dans sa puissance, qui n’est
seulement la frise d’un enchantement, mais bien le principe d’action
métapolitique qui s’impose pour hisser au-delà des aspérités du vide la beauté,
l’honneur, la grandeur de l’Être Humain.
Je ne parle ici de l’art
vicié porté par les perclus de la matière dont les rodomontes sont les rescrits
qui gouvernent le pourrissement et ses arcanes, là, ici, plus loin, dans les
vétilles, les appréciations douteuses et fangeuses, les écrins perfides du
minimalisme, qui se pose ici comme théorème de la stérilité la plus vaseuse, je
ne parle ici des sources infécondes qui n’ont trait qu’à une commercialité
obèse qui n’inspire que le dégoût et ordonne la vacuité, je ne parle ici de
pseudos musiques, de pseudos écrits, de pseudos littératures, de pseudos
peinture et sculpture, je parle tout simplement de l’imaginal et de sa vertu
cardinale qui est celle du dépassement de ces scories qui oblitèrent le sens
pour se consacrer substance vaniteuse et sans raison, qui s’éperdra comme la
poussière sous le vent de la volition qui couronne la création.
L’Art n’est pas l’égout de
la trivialité qui glose, apparaît et se donne du coude pour se propager dans la
déliquescence et le royaume de l’illusion comme de l’insondable bêtise qui s’accouplent
pour donner un espace à ce qui est le résultat des aberrations chromatiques qui
fondent le macrocosme comme le microcosme politique, un champ de ruine qui
opère dans la malversation, l’utopie fétide, la cristallisation du néant, l’ovipare
nécessité d’ induire l’erreur afin de marginaliser le réel au profit de sa
virtualité qui n’est que l’éloquence des fourbes, des perfides, des traîtres et
des sots, tout un aréopage suant la vanité et l’infertilité, tout un aréopage
qui s’accroît puissance alors qu’il n’en est que l’inverse ce dû à la
médiocrité qui l’enfante et le génère, cette médiocrité qui est le puits de
science du paraître qui ne s’excuse mais bien au contraire se veut
consécration.
L’Art est dépassement de sa
propre personne, lieu de transcendance qui conjoint les propriétés de l’immanence
et doit se garder pour enfanter le principe du vivant qui est celui de l’évolution,
de l’évolutive conscience, et non abri du néant voguant vers le néant et ses
pulsions domaniales, il est rayonnement et épanouissement par-delà les contingences
et leurs raisons multipliées qui ne sont que des crèches pour les imbéciles et
les caciques qui s’imaginent avoir acquis le droit de taire la présence de l’imagination
afin de conserver leur monument d’hypocrisie, source de toutes les vicissitudes
dont le présent rayonne les maladives incantations, les hymnes décharnés et les
consécrations douteuses, et il suffit pour s’en assurer de regarder l’état de
perversion qui y règne, qui nuit à toute qualité pour engendrer l’uniformité et
sa misère, au nom d’une égalité de principe qui n’existe pas et n’existera
jamais, car aucun être humain n’est égal, sinon en droit, devant la création,
et cette nécessité trouve sa résonance, dans ce qui n’est pas appris, dans ce
non-dit, qui gênent les roitelets, dans cette réalité qui brille l’immortalité,
la régénération, l’accomplissement et l’épanouissement de tous au sens de la
complémentarité qui est la seule valeur globale et transcendante.
Qu’il suffise de mesurer l’impact
du statisme dans tous les domaines pour bien comprendre que ce jour la chape de
plomb existe par toutes faces de la création, une chape qu’il convient de
déminer et de soustraire à la virtualité pour la confondre dans ses aberrations
les plus profondes, où l’on voit poindre le degré absolu de la médiocrité, la
pensée unique, qui permet aux infertiles de se couronner dans leur abstinence,
de se féliciter en prenant appui sur des idées tronquées et déficitaires, des
royaumes qui suent le mensonge, la propagande, toutes les félicités qu’encense
le politique dont l’acculturation pour la plupart de ses membres est si
profonde, qu’elle permet de faire illusion dans la matrice qu’elle promeut, là,
ici, plus loin, dans le cadre d’une éducation soudoyée, d’une éducation
malmenée, qui n’a pas pour but d’éveiller le sens artistique et encore moins le
sens critique de l’enfant, mais de le rabaisser dans la fange qui est le lieu
commun des médiocres qui se veulent gouvernance.
L’Art est au-dessus de cette
gravité qui perd toutes valeurs pour s’enfoncer dans la matière brute, sous l’égide
de non-pensées, sous l’égide d’un esclavagisme purulent, sous l’égide d’une
fatuité sans égale qui parade comme une agonie, l’Art est tel l’Aigle, il
survole ce bourbier et ne s’y enferre, bien au contraire, nanti de la véritable
puissance créatrice, va-de-l’avant, sans ordonnance sinon celle de la
reconnaissance de l’Éternité qui veille, dans ses allégories mène à la victoire
sur les dysharmonies convexes et perfides, il éveille et tend la main à tout Être
dont l’étincelle de création subsiste malgré le martèlement de la bêtise
légiférée, la motricité de la bestialité qui s’affaire, la lubrique résonance
du marais putride qui voudrait l’enliser dans le néant où pataugent les
immondices qui se prétendent des artistes, alors qu’ils ne sont que des pions,
au même titre que les politiques, qui acclament leurs employeurs, banquiers
stériles, financiers avariés, loges discrètes ou sociétés dites de pensées, qui
ne sont là que pour les lobotomiser et leur faire dire ce qu’ils veulent
entendre.
L’Art n’a pas besoin de ces
errements, de ces insanes personnages, de cette déjection qui mesure à l’aune
de son portefeuille le pouvoir de dire, le pouvoir de créer, le pouvoir d’initier,
le pouvoir d’engendrer, car il est au-dessus de cette mêlée des atrophiés, de
ceux qui ne respirent qu’en fonction de la matière, de ceux qui s’imaginent
esprit alors qu’ils lovent leur esprit dans la matérialisation la plus
grégaire, il est la Liberté par excellence, une Liberté où tout un chacun peut
exceller en fonction de ses propriétés personnelles, où chacun peut se dépasser
pour atteindre cet horizon limpide qu’observe l’Aigle du haut des cimes,
embrasant la situation et par cet embrasement pouvant enfin correspondre le
réel, le témoigner, le hisser vers des propriétés novatrices que personne ne
peut nier, et encore moins la médiocrité qui bâtit sa propre déroute bestiale
et sans propos, sinon celui de l’accroire et ses pulsions.
La route à suivre dans ce
chemin de l’Art est donc celle de la viduité, de la moralité, de l’exemplarité,
tout le contraire de ce que l’on prétend « art » qui n’est que frontispice
de la décadence la plus globale, anéantissement de toutes les valeurs au profit
de l’argent, de cette nature brisée et bridée qui navigue les circonstances
pour mieux apprivoiser l’innocence et la détruire dans le néant qu’elle arbore,
inverse valeur de l’Art qui lui est là pour propulser le vivant vers ses
fondations, ses racines, dans le cœur même d’un avenir comme d’un devenir dont
la visibilité se fait par ses facultés, une visibilité qui met à bas toutes les
sources de conflits, toutes les sources de l’errance, tous les statismes qui
semblent indétrônables, tous les concepts qui délibèrent la mort de la liberté,
toutes les politiques sans mesure ni gouvernance sinon celles de la reptation
et de l’isolement, toutes ces strates dont le venin et le fiel sont accommodement
d’une médiocrité sans limite qui pour ne pas être rejetée, implique une
vassalité de tout un chacun à son ordure.
L’Art est génération et
régénération, outil de la conscience sans limite qui joint l’immanence suivant
son degré de transcendance, et permet ainsi à la Culture de se propager, non la
culture de la médiocrité, mais bien au contraire la culture qui forge l’évolution,
advenant le potentiel nécessaire à chaque Être Humain de s’inscrire dans cette
évolution et balayer les citadelles qui ne veulent pas la voir rayonner, dans
tous les domaines de la création, plus particulièrement dans cet Art Royal qui
est celui de diriger la Cité, par la détermination métapolitique, et dans ses
expositions par la mise en évidence de postulats scientifiques faits pour être
dépassés eux-mêmes, que ce soit dans l’organisation comme dans la structure,
permettant d’édifier par le savoir et le dépassement du savoir les arcanes d’un
pouvoir qui ne se stratifie, ne s’immobilise, n’est en dépendance, mais bien au
contraire s’affirme comme vecteur de l’évolution globale par l’affermissement
des racines dont il est élection.
Une application parmi d’autres,
et par des moindres, permettant de balayer à jamais les miasmes et les scories
qui souillent l’ordre politique, dans le cadre du généré, mais aussi
importantes sont les applications intrapersonnelles qui permettent à chacun de
se réaliser dans le cadre de ses compétences, de ses qualités intrinsèques,
permettant d’initier au-delà des abstractions, la densité du vivant en son
couronnement symbiotique, corps, esprit, âme, irradiant le généré lui-même,
conscience manifestée qui rejoint la Liberté féconde, que nul ne peut inféoder,
car consécration de la rémanence formelle induite par les Peuples, floralies
nécessaires à l’évolution qualitative, que veulent détruire bien entendu les
médiocres dans leur inconscience la plus abrupte, celle de l’ignorance de l’Éternité
qui veille, les voyant se ployer dans l’immondice et se féliciter de cette
immondice qui est leur rayonnement et leur parjure.
Le choix est clair pour tout
Être Humain qui veut retrouver la Liberté, elle passe nécessairement par l’Art,
l’Art dans ses principes, ses applications, ses enchaînements, ses
complémentaires initiations, sa splendeur, où l’Être est demeure et non un
animal n’ayant pour but que la recherche de nourriture et de plaisir, où l’Être
est invincible, car indépendant du laxisme, de la dépendance, de l’esclavagisme,
de tous ces outils de domination inventés par la sclérose des temps, par l’incapacité
créative dans son impuissance qui voudrait que tout un chacun lui ressemblât,
alors qu’elle n’est que portée de l’insipide, du néant et de l’involution
participe, de cette contraction temporelle que nous vivons actuellement, où la
surdité engendrée par l’acculturation et l’illettrisme est le pilier qui
consacre cette barbarie qui manipulatrice engendre la disparition de l’intelligence
au profit de l’esclavagisme.
L’Art plane au-dessus de ces
miasmes qui se déchaînent pour enchaîner, et sera toujours présence dans l’étincelle
de l’intelligence Humaine, qu’on le veuille ou non, qu’on essaie de la broyer
par la chimie ou bien la propagande, car l’Art est invincible, et tout Être en
son champ guerrier de l’intelligence, et tout Être en sa devise créative, capable de transformer ce
monde qui végète, car libre, il peut
alors agir pour prospérer l’évolution, et ne plus s’enliser dans le désert
aride de la vanité qui se veut gouvernance, de la fatuité qui se veut valeur,
de la reptation qui se veut ordonnance, et par là même s’ouvrir non seulement à
la beauté, mais bien encore à la capacité de créer cette beauté afin de faire
sortir de l’enlisement l’intelligence et bien plus l’imaginal qui permet à tout
un chacun de s’élever en puissance vers sa transcendance et celle d’autrui, par-delà
les modalités insipides qui voudraient le voir cantonner en soumission devant
une quelconque médiocrité, quelle qu’elle soit, politique, philosophique, scientifique,
artistique, et ainsi dépasser les carcans qui voudraient briser ses élans magistraux.
Art
In a world delivered to bestiality, which way to
follow not to pollute its body, its spirit and its heart? Here the question
that each and everyone must be posed to light this world and to demolish it
miasmas which want to without a future rot it and secure it in brutality by a
matter, if not that of the shipwreck and its amenities. Compared to the
evolutionary conscience which must to maintain the balance between the
obligations of the mirage which wants to be main and the reality which always
transfigures, remains only one way which is that of the limpidity, and which
appears by the principle even creativity, Art in its power, which is not only
the plank of an enchantment, but well the principle of metapolitic action which
is essential to hoist beyond the asperities of the vacuum the beauty, the
honor, the size Human Être.
I do not speak here about the vitiated art carried by
the anchylosed one of the matter whose rodomontes are the rulings which control
rotting and its mysteries, there, here, further, in the trifles, the
appreciations doubtful and muddy, the perfidious jewel cases of the minimalism,
which is posed here like theorem of the muddiest sterility, I do not speak here
about the barren sources which milked only with one obese negotiability which inspires
only the dislike and orders vacuity, I do not speak here about pseudonyms
musics, written pseudonyms, pseudonyms literatures, pseudonyms painting and
sculpture, I speak quite simply about the imaginal and his virtue cardinal
which is that of the going beyond these slags which obliterate the direction to
devote conceited substance and without reason, which will be éperdra like dust
under the wind of the volition which crowns creation.
Art is not the sewer of the commonplace which
annotates, appears and gives itself elbow to be propagated in the deliquescence
and the kingdom of the illusion as of the unsoundable silly thing which are
coupled to give a space to what is the result of the chromatic aberrations
which found the macrocosm like the political microcosm, a field of ruin which
operates in the embezzlement, the stinking Utopia, the crystallization of
nothing, the oviparous animal required to induce the error in order to
marginalize reality with the profit of its virtuality which is only the eloquence
of the cheating ones, of perfidious, the traitors and stupid, a whole learned
assembly sweating vanity and infertility, a whole learned assembly which
increases power whereas it is only the reverse this due to the mediocrity which
gives birth to it and generates it, this mediocrity which is the well of
learning of appearing which does not excuse but quite to the contrary wants to
be dedication.
Art is going beyond its own person, place of
transcendence which unites the properties of the immanence and must be kept to
give birth to the principle of the alive one which is that of the evolution,
the evolutionary conscience, and not shelter of nothing sailing towards nothing
and its domanial impulses, it is radiation and blooming beyond the multiplied
contingencies and their reasons which are only cribs for the imbeciles and the
caciques who think to have acquired the right to conceal the presence of
imagination in order to preserve their monument of hypocrisy, source of all the
vicissitudes whose present one radiates the morbid incantations, the emaciated
anthems and the doubtful dedications, and it is enough to ensure itself some to
look at the state of perversion which reigns there, which harms any quality to
generate the uniformity and its misery, in the name of an equality of principle
which does not exist and will never exist, because no human being is equal, if
not in right, in front of creation, and this need finds its resonance, in what
is not learned, in this unvoiced comment, which obstructs the kinglets, in this
reality which shines immortality, regeneration, the achievement and the
blooming of all within the meaning of the complementarity which is the only
global value and transcendent.
That it is enough to measure the impact of the offset
in all the fields for understanding well that this day lead coating exists by
all faces of creation, a cover which it is advisable to clear of mines and
withdraw from virtuality to confuse it in its major aberrations, where one sees
stinging the absolute degree of the mediocrity, the doctrinaire approach, which
makes it possible unfertile to be crowned in their abstinence, to be pleased by
taking support on truncated and overdrawn ideas, kingdoms which sweat the lie,
propaganda, all the happiness that the policy incenses whose acculturation for
most its members is so deep, which he allows to make illusion in the matrix
which it promotes, there, here, further, within the framework of a bribed
education, an abused education, the purpose of which is not to wake up the artistic
direction and even less the critical direction of the child, but to lower it in
the mud which is the commonplace of poor which want to be governance.
Art is above this gravity which loses all values to be
inserted in the raw material, under the aegis of not-thoughts, under the aegis
of a purulent slave system, a self-conceit without equal which parades like an
anguish, Art is the such Eagle, it flies over this mud pit and, quite to the
contrary, affluent of the true creative power, go-of-the front, without
ordinance if not that of the recognition of the Eternity which takes care, in
its allegories leads to the victory over the convex and perfidious
dysharmonies, it wakes up and tightens the hand with any Being whose spark of
creation remains in spite of the hammering of the legislated silly thing, the
motricity of the bestiality does not make matters worse there which business,
lustful resonance of the putrid marsh which would like to sink it in nothing
where wade the rubbish which is claimed of the artists, whereas they are only
pawns, as well as the policies, which acclaim their employers, banking sterile,
financial damaged, discrete cabins or companies known as of thoughts, which are
there only for the lobotomiser and to make them say what they want to hear.
Art does not need these mistakes, of these insanes
characters, this dejection which measures with the ell of its wallet the power
to say, the power to create, the power to initiate, the power to generate,
because it above this fray of is atrophied, of those which breathe only
according to the matter, of those which think spirit whereas they coil their
spirit in the most gregarious materialization, it is Freedom par excellence, a
Freedom where each and everyone can excel according to its personal properties,
where each one can be exceeded to reach this limpid horizon that the Eagle from
the top of summits observes, setting ablaze situation and by this flashover
finally which can correspond reality, testify it, hoist it towards innovative
properties that nobody can deny, and even less the mediocrity who builds his
own bestial rout and without matter, if not that of the accroire and its
impulses.
The route to follow in this way of Art is thus that of
viduity, morality, the exemplariness, all the opposite of what one claims “art”
which is only frontispiece of the most total decline, destruction of all the
values to the profit of the money, of this broken and attached nature which
surfs the circumstances for better taming innocence and destroying it in nothing
that it raises, opposite value of the Art which is to him there to propel
living it towards its foundations, its roots, in the heart even of a future
like becoming of which the visibility is done by its faculties, a visibility
which puts at bottom all the sources of conflicts, all the sources of the
wandering, all the offset which seem unbeatable, all the concepts which
deliberate death on freedom, all the policies without measurement nor
governance if not those of the snaking and insulation, all these layers of
which venom and gall are compromise of an unbounded mediocrity which not to be
rejected, implies a vassalage of each and everyone to its refuse.
Art is generation and regeneration, tool of the
unbounded conscience which joint the immanence according to its degree of
transcendence, and thus makes it possible the Culture to be propagated, not the
culture of the mediocrity, but quite to the contrary the culture which forges
the evolution, additional clause the potential necessary to each Human Being to
fall under this evolution and to sweep the citadels which do not want to see it
radiating, in all the fields of creation, more particularly in this Royal art
which is that to direct the City, by the metapolitic determination, and in its
exposures by the description of scientific postulates made to be exceeded
themselves, which it is inorganization as in the structure, making it possible
to build by the knowledge and the going beyond the knowledge the mysteries of a
power which is not laminated, is not immobilized, is not in dependence, but
quite to the contrary is affirmed as vector of the total evolution by the
strengthening of the roots of which it is election.
An application among others, and by the least, making
it possible to sweep forever miasmas and slags which soil the political order,
within the framework of generated, but the also important ones are the
intrapersonnelles applications which make it possible each one to be carried
out within the framework of its competences, of its intrinsic qualities, making
it possible to initiate beyond the abstractions, the density of alive in its
symbiotic crowning, body, spirit, heart, irradiating generated itself,
expressed conscience which joined fertile Freedom, that no one cannot enfeoff,
because dedication of formal remanence induced by the People, floral festivals
necessary to the qualitative evolution, that want to destroy of course the poor
ones in their most abrupt unconsciousness, that of the ignorance of the
Eternity which takes care, seeing them bending in refuse and being pleased with
this refuse which is their radiation and their perjury.
The choice is clear for any Human Being which wants to
find Freedom, it necessarily passes by Art, Art in its principles, its
applications, its sequences, its complementary initiations, its splendor, where
the Being is residence and not an animal having for goal only research of food
and pleasure, where the Being is invincible, because independent of laxism, the
dependence, the slave system, all these tools of domination invented by the
sclerosis of times, by the creative incapacity in its impotence which would
like that each and everyone resembled to him, whereas it is only carried the
insipid one, nothing and involution takes part, of this temporal contraction which
we currently live, where the deafness generated by acculturation and illiteracy
is the pillar which devotes this cruelty which manipulator generates the
disappearance of the intelligence to the profit of the slave system.
Art plane above these miasmas which break out to
connect, and will be always presence in the spark of the Humaine intelligence,
which one wants it or not, that one tries to crush by the chemistry or the
propaganda, because Art is invincible, and any Being in his warlike field of
the intelligence, and any Being in his currency creative, able to transform
this world which vegetates, because free, consequently it can then act to
thrive the evolution, and to sink more in the arid desert of the vanity which
wants to be governance, of the self-conceit which wants to be value, of the
snaking which wants to be ordinance, and to open not only with the beauty, but
still with the capacity to create this beauty well in order to make leave
stagnation the intelligence and much more the imaginal which makes it possible
each and everyone to rise in power towards its transcendence and that of
others, beyond the methods insipid which would like to see it confining in
tender in front of any mediocrity, whatever it is, political, philosophical,
scientific, artistic, and thus exceed the yokes which would like to break its
masterly dashes.
© Vincent Thierry
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