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AU FIL DU TEMPS
AU FIL DU TEMPS
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Written by Patinet Thierri
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Feb 15, 2010 at 01:11 PM |
Où les sites
Où les sites s'enchantent, le cœur palpite la luminosité d'un hymne, et des rives en essaims aux fleuves calmes et souverains, et des forêts profondes aux mousses bleuies, et des prairies diaphanes aux flores enfantées, et des vallons joyeux aux sources amazones, et des règnes d'opales aux lacs argentés, et des mers sublimes aux liserés de vagues en émoi, et des océans triomphants sur les larmes amères, là, ici, plus loin aux chaumes de cristal des villages en camaïeu, le souffle du vent s'élève, rejoint les promontoires des nuageuses incantations pour porter au vivant le signe constellé de son réveil, aux paysages fleuris, aux hordes sauvages des faunes s'abreuvant, aux semis de moisson des Etres qui vont le calice du miel de la Vie, de l'espérance et de la grâce, conjoints de la beauté comme de la félicité, fêtant la nuptialité de l'harmonie, dans un sourire qui se dévoile, et dans la raison s'adventice de la perfectibilité et de ses ondes de bonheur, haute vague des souffles qui s'imprègne de la temporalité en ses aubes de couleurs, fulgurant les terres verdoyantes, les déserts brûlants, les glaces des pôles éphémères, hâlant des Iles les équinoxes frontaux et les merveilleux solstices qui se baignent dans la clarté de l'opale et de ses rêves, dans la frénésie du quartz et de ses songes, dans la plénière désinence des algues diamantaires dont les reflets irisent les mondes de surannées éclairs vibrant l'éternité, là, ici, plus loin dans une allégresse que seule la Vie sait faire naitre au plus profond des Etres, course de la Voie en ses horizons épousés, clairs et vitaux dont le sacre est émerveillement, dans la contemplative révélation de l'unité formelle de toute viduité composée, dans son hymne qui jamais ne s'édulcore, jamais ne se tait, comme une symphonie de couleur initiant une mélodie majestueuse qui enseigne la sagesse et ses floraisons ataviques, ses rescrits qui parlent dans la mémoire des âges, le renouveau des âges, de ceux qui ne se parodient, de ceux qui ne se magnifient, de ceux qui tout simplement se dresse vers l'immensité pour élever le vivant à son destin sans commune mesure, cœur de la luminosité prairial de toute densité, l'Absolu souverain, son intime et ultime perfection...
Where sites
Where the sites are enchanted, the heart palpitates the luminosity of an anthem, and banks in swarms with the calm and sovereign rivers, and forests deep with turned blue foams, and diaphanous meadows with the given birth to flora, and merry small valleys with the amazones sources, and reigns of opals to the silver plated lakes, and seas sublimes with the edgings of waves in agitation, and oceans triumphing over the bitter tears, there, here, further with crystal thatches from the camaieu villages, the breath of the wind rises, joined the headlands of the cloudy incantations to carry to living the sign constellated with its alarm clock, with the landscapes flowered, with the wild hordes of faunas watering itself, with sowings of harvest of the Beings which go the chalice of the honey of the Life, the hope and the grace, united beauty like happiness, celebrating the marriage rate of the harmony, in a smile which is revealed, and in the reason adventitious of the perfectibility and of its waves of happiness, high vague of the breaths which impregnates temporality in its paddles of colors, fulgurating the green grounds, the extreme deserts, the ices of the transitory poles, tanning Islands frontal equinoxes and the marvellous solstices which bathe in the clearness of the opal and its dreams, in the frenzy of quartz and its dreams, in the plenary ending of the diamond-like algae whose reflections make iridescent the worlds of out of date flashes vibrating the eternity, there, here, further in a joy than only the Life can give birth to with deepest from the Beings, race of the Way in its married, clear and vital horizons whose sacring is amazement, in the contemplative revelation of the formal unit of any composed viduity, in its anthem which never is not edulcorated, never is not keep silent, like a symphony of color initiating a majestic melody which teaches atavistic wisdom and its flowerings, its rescrits which speaks in the memory about ages, the revival of the ages, those which are not parodied, of those which are not magnifient, of those which quite simply is drawn up towards the vastness to raise living it with its destiny without common measurement, meadow heart of the luminosity of any density, the sovereign Absolute, its close friend and ultimate perfection…
© Vincent Thierry |
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AU FIL DU TEMPS
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Written by Patinet Thierri
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May 11, 2009 at 11:38 AM |
Pluie d'ivoire
Pluie d'ivoire aux marches gréées des lianes améthystes, pluie encore d'Iles en règnes aux dithyrambes entrelacs, nous allons l'écume et la houle, passementeries du palissandre aux portuaires équipées, nefs des cieux aux parfums mémorables des épices, du santal, et dans nos cales profondes, des tissus moirés de couleurs, tandis que l'aube surprise nous apprend, là, ici, plu loin, tels circaètes, descendant des cimes, à la rencontre des âges adulés, riches de la permanence des ambres ciselés, festifs aux marches orées, après ces longs fleuves verts éployés du chant des oiseaux lyres dont, chaque voute diaphane est cristallisation, les iridescences mages nous menant vers les villages rieurs, baignant de lacs en fortune, les émaux de la splendeur, ces temples en semis, moisson des âmes, par les temps d'un songe, nantis de mille arc en ciel, délibérant les dunes frontalières, ces lourdes caravanes hâlant de trocs en trocs, les métaux précieux, les étoffes barbares, et les armes légères, dans le cri animal de montures épuisées recouvrant dans le sommeil la majesté du zénith, ce firmament où l'horizon s'éperd pour mieux se retrouver, tandis que, fiers équipages, nous poursuivons nos routes dans la solsticiale compassion des œuvres à enfanter, rayonner, par delà les sables, les chrysalides, les danses sous le vent, frises de l'innocence qui disparaissent en l'illusion afin de laisser place à cette réalité exquise, voyant, mutant, nos nefs sans égarements, se prononcer aux fleuves antiques à la rencontre des Océans somptueux, guides du respire des songes qui se déploient, enchantement conjoint des cieux comme des abysses, aux vents porteurs, conte de terres nouvelles, par le vaste horizon, terres altières et fécondes, terres enseignes de pluviosités de granit, terres encore à vivre et déployer dans la mesure sans mystère des conquérants qui signent nos pentes comme nos cimes, alors que la pluie d'ambre inscrit son nom sur les marches usées des temps afin de les restaurer et donner à l'avenir prononciation en ses racines la force de l'essor impérieux que guide sa nécessité, celle de l'Etre conquérant, qui à l'image de l'aigle, embrase les Etoiles!
Ivory rain
Ivory rain to the gréées steps of the lianas amethysts, rain still of Islands in reigns to the panegyrics interlacing, we go scum and the swell, passementeries of the purple wood to harbor equipped, naves of the skies to the memorable perfumes of spices, the sandal, and in our deep holds, of moire fabrics of colors, while the surprised paddle learns to us, there, here, rained far, such circaètes, going down from the summits, with the meeting of the adulated, rich ages of the permanence of engraved, festive ambers with the steps orées, after these long éployés green rivers of the song of the birds quadrants whose, each diaphanous vault is crystallization, iridescences magi us driving towards the merry villages, bathing lakes in fortune, enamels of splendor, these temples in sowing, harvest of the hearts, by the times of a dream, secured by thousand arc in sky, deliberating the frontier dunes, these heavy caravans tanning of barters in barters, the noble metals, the cruel fabrics, and the light weapons, in the animal cry of exhausted mountings recovering in the sleep the majesty of the zenith, this firmament where the horizon éperd for better finding itself, while, proud crews, we carry on our roads in the solstitial compassion of works to be given birth to, to radiate, across sands, the chrysales, the dances under the wind, planks of innocence which disappear in the illusion in order to leave room to this exquisite reality, indicator, mutant, our naves without mislayings, to decide with the ancient rivers with the meeting of the sumptuous Oceans, guides of breathe of the dreams which are spread, joint enchantment of the skies like abyssals zone, with the carrying winds, tell new grounds, by the vast horizon, grounds proud and fertile, grounds signs of granite rainfalls, grounds still to living and deploying in measurement without mystery of the conquerors who sign our slopes like our summits, whereas the amber rain registers its name on the steps used of times in order to restore them and give in the future pronunciation in its roots the force of the pressing rise which guide its need, that of the conquering Being, which with the image of the eagle, sets ablaze the Stars!
© Vincent Thierry |
Last Updated ( May 11, 2009 at 11:57 AM )
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AU FIL DU TEMPS
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Written by Patinet Thierri
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Apr 06, 2009 at 12:12 PM |
D'Isis
D'Isis les flots bleus azuréens, se tient le lieu ornementé de sa couronne frontale, et là, dans les puisatières circonvolutions des mondes, l'étrange dessein des règnes au firmament, caresse de l'onde émerveillée voyageant de citadelles en citadelles les écumes blondes moirées des souffles du vivant, aux incarnats limpides et fiers, de la force et de la tendresse les émaux qui ruissellent l'abondance, la fertilité, dans ces ruisseaux que l'Amour contemple, là où s'enseignent la grandeur, la splendeur, la beauté, ces nuptiales densités qui voguent, telles des nefs de cristal, l'horizon des mondes, clartés du chant qui se devise, étoiles féeriques qui dansent un tumulte sans désert, qui d'une appartenance, qui d'une racine, qui d'une luminosité, toujours en veille dans l'astre majeur qui baigne de ses solstices l'amande de la nue splendide, fève de l'aube au crépuscule enchantant de ses serments les équipages diurnes, rêve des équipages nocturnes, qui tressent par delà les espaces immortels, ces chemins solaires, chemins du ciel, chemins de l'éclair ouvragé qui féconde l'éternité, où s'en viennent nos voix, nos paroles et nos souffles, où s'en viennent de l'humaine espérance ces prières en songe, toutes dérivées de la frugalité des heures, de ces minutes précieuses où l'Etre s'adresse aux Dieux, aux Déesses, à l'Absolu densité de l'existence dont les cycles sont réponds de l'inlassable nécessité du devenir, épure de l'aube, épure de toute signification vivante en les méandres qui tissent l'Harmonie, plénitude du respire qui s'incarne, s'éveille, et dans l'accomplissement initie et s'initie, conjointement, dans la moiteur d'un sérail, dans la sapience d'un destin, dans la parure d'un parfum, toujours renouvelés dans la condition qui sied au devenir, ainsi alors que les cils d'Isis s'élèvent pour voir un Aigle Impérial gréer l'aire du vivant...
D' Isis
D' Isis the blue floods azuréens, is held the ornamented place of its frontal crown, and there, in the puisatières convolutions of the worlds, the strange intention of the reigns to the firmament, cherishes wave filled with wonder travelling at citadels in citadels moire fair scums of the breaths at alive, with the limpid and proud incarnats, of the force and tenderness the enamels which stream abundance, the fertility, in these brooks which the Love contemplates, where teach the size, splendor, the beauty, these bridal densities which sail, such of the crystal naves, the horizon of the worlds, clearnesses of the song which currency, fairy-like stars who dance tumult without desert, which from a membership, which of a root, which of a luminosity, always in day before in the major star which bathes its solstices the almond of naked splendid, broad bean of the paddle in the twilight enchanting of its oaths the diurnal crews, dreams of the night crews, which braid across immortal spaces, these solar ways, ways of the sky, ways of the worked flash which fertilizes eternity, where are come from there our voices, our words and our breaths, where from the human hope these prayers in dream are come from there, all derivative of the frugality of the hours, of these invaluable minutes whereTo be addresses to the Gods, with the Goddesses, with the Absolute density of the existence whose cycles are answer of the tireless need for becoming, diagram of the paddle, purifies of any alive significance in the meanders which weave the Harmony, plenitude of breathes which is incarnated, wakes up, and in the achievement initiates and initiates themselves, jointly, in the moistness of a seraglio, the sapience of a destiny, the ornament of a perfume, always renewed under the condition which sied with becoming, thus whereas the lashes of Isis rise to see an Imperial Eagle gréer the surface of alive…
© Vincent Thierry |
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Written by Patinet Thierri
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Mar 04, 2009 at 11:51 PM |
Limbes des eaux
Limbes des eaux aux exquises draperies, nus des âges portuaires aux chaleurs diaphanes, nous allons, parés des signes alanguis l'éloquence de leurs rives, des émaux la parure, aux splendeurs votives, au delà des cariatides dont les fresques sont respirs de nos gaités, partage de la vie au grand frisson du règne qui nous relie, nous épie et nous assigne à toutes félicités, tendresse du songe, fermeté de l'ivoire aux bronzes évaporés qui marchent le semis architectonique des souffles éveillés, danse de la pluie, danse du feu, danse de la terre, danse de l'azur, nimbées de clartés sauvages, aux alluvions des chants, aux sources sans répit qui ondoient le festin charnel, destin des âmes puisatières, des lys parfums de grenats enchantés qui vont de rives en rives les butins précieux, agapes de la joie aux signes tisserands qui éclosent parures et vagues, myosotis firmament des clameurs adulées, vivantes perfections où la perception se déploie, libre, ivre des senteurs aux moiteurs irisées, témoins des bruissements vertigineux, de ces embrasements majestueux confluent la magie et ses éloquences divines, alors que la nuit tombe, que les élans fertiles ruissellent de mille parchemins, de ces voix d'or qui prêtent à l'univers des signes de renouveau, alors que s'estompe la douceur épousée d'un règne et que les sens acclimatés jouissent du parfum de sa vague puissante, cette vague ruisselant le cri vivant de la beauté nuptiale, du don l'épure divinisant, sacralisant l'éternité, tandis que s'épanouissent pâmoison dans l'accueil toutes vertus du Chant, Chant ineffablement vivant à vivre et revivre à satiété aux flots de nos jouvences immortelles...
Limbs of water
Limbs of water to exquisite draperies, naked from the harbor ages to diaphanous heats, we go, avoided faint signs the eloquence of their banks, enamels the ornament, with votive splendors, the caryatids whose frescos are respirs our gaities, shares life with the big chill of the reign which connects to us, us épie and assigns us with all happiness, tenderness of the dream, firmness of the ivory with evaporated bronzes which go the architectonic sowing of the waked up breaths, dance of the rain, dances of fire, dances of the ground, dances of the azure, nimbées of wild clearnesses, with the alluvia of the songs, the sources without respite which ondoient the carnal feast, destiny of the hearts puisatières, the lilies perfumes of magic garnets which go from bank banks the invaluable spoils, reunions of the joy to the signs tisserands which hatch ornaments and waves, forget-me-not firmament of clamors the adulated, alive perfections where perception is spread, free, drunk scents with made iridescent, pilot moistnesses of the vertiginous rustles, these majestic flashovers confluence divine magic and its eloquences, whereas the night fall, that the fertile dashes stream of thousand parchments, of these gold voices which lend to the universe signs of revival, whereas the married softness of a reign grows blurred and that the acclimatized directions enjoy perfume of its powerful wave, this vagueness streaming the cry living of the bridal beauty, of the divinisant gift the diagram, sacrilizing eternity, while pâmoison in the reception all virtues of the Song open out, Chant ineffably alive to living and living again to satiety with the floods of our immortal youths…
© Vincent Thierry |
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AU FIL DU TEMPS
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Written by Patinet Thierri
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Jan 01, 2009 at 02:07 PM |
Livre ouvert
Livre ouvert sur la pérennité, en vagues amazones, sans sursis de
l'heure, pages effeuillées, nous sommes tonalité de l'architectonie qui veille
l'unité, ses principes, ses motivations, plus vastes champs de fleurs aux collines
escarpées, citadelles de joies admirables, forêts profondes aux incarnats
divins, de rus en ruisseaux abondants la croissance des sources et la danse des
fleuves, là, puisatiers des mille laves fécondes qu'initient les cimes
ancestrales, Océans du verbe et mesure du déploiement, Océans du Chant et
épanouissement de la parole, rare en ce cri d'orfraie qui veille la létalité de
ce monde, que nous combattons et combattrons sans fin, afin d'initier au préau
des songes l'éveil de chaque Etre, sa promesse, sa grandeur, restituant à son
devenir son honneur, dans ce monde couché, le relevant afin qu'il soit debout
au milieu des Etres et non couché comme une larve au milieu des larves, ainsi
par delà la stérilité qui broie l'univers, ainsi par delà les empires sabliers,
ainsi par delà les méprises du vivant qui s'épuisent dans de vains discours,
dans d'âpres commentaires, dans des dérobades suffisantes pleines de
suffisance, ainsi par delà les festives rémoulades de philosophes qui n'ont
d'envergure que celle que leur donnent de larvaires errances déracinées qui
s'imaginent mantisses de la pensée alors qu'elles ne sont que fumeroles
évaporées d'atrophies mentales sécularisées, ainsi par delà la boue et ses
bruissements chaotiques que l'on ose appeler de l'art alors que leurs formes cacophoniques
où leurs représentations picturales en deux ou trois dimensions ne sont que
vents porteurs de diarrhées infectées par le chancre non seulement de l'idiotie
congénitale mais, et, surtout, gravitation de la paresse mentale, prononciation
de ce sida multiforme qui envahit toutes formes comme toutes conditions de la
culture pour en défaire la réalité au profit d'une virtualité qui est débauche
de la folie naturelle que gravite l'atrophie qui se veut maîtresse afin de
parader dans les avenues de la déchéance humaine, là où elle se sent bien, là
où elle se sent importante, car valeur suprême de cette déchéance, bubon contre
lequel nous combattons et combattrons sans relâche afin de rendre à l'art sa
beauté, le firmament de sa réalité, par delà les abîmes de l'inénarrable de la
débilité que l'on porte aux nues par incapacité à créer, art premier, art sans
abstraction de l’infantilisme le plus profond dont les consécrations sont des
scories d’où naîtront les alluvions de la Renaissance et de ses incarnats, le
Verbe, la Pensée, l’Action, sûres épures qui viendront à bout des reptiliennes incantations pour rendre à la
Nature de l’Humain sa prestigieuse éloquence qui est celle de l’Aigle et non du
reptile, ainsi et en la Vie, par la Vie et pour la Vie, dans l’éternité qui
songe l’avenir.
Open book
Book open on perenniality, in amazones waves, without deferment of the
hour, thinned out the leaves of pages, we are tonality of the architectonie
which takes care the unit, its principles, its motivations, vaster fields of
flowers to the escarpées hills, admirable citadels of joys, deep forests with
the divine incarnats, of rus in abundant brooks the growth of the sources and
the dance of the rivers, there, shaft sinkers of the thousand fertile lava
which initiate the ancestral summits, Océans of the verb and measurement of the
deployment, Océans of the Song and blooming of the word, rare in this cry of
sea eagle which takes care the lethality of this world, that we fight and will
fight without end, in order to initiate with the courtyard of the dreams the
awakening each Being, its promise, its size, restoring with its becoming its
honor, in this laid down world, it raising so that it is upright in the middle
of the Beings and nonlying like a larva in the middle of the larvae, thus
across the sterility which crushes the universe, thus across the empires sand
glasses, thus across the mistakes of the alive one which becomes exhausted in
vain speeches, in rough comments, sufficient evasions full with sufficiency, thus
across the festive remoulade sauces of philosophers who have scale only that
give them of larval uprooted wanderings which think mantissas of the thought
whereas they are only fumeroles evaporated secularized mental atrophies, thus
across chaotic mud and its rustles which one dares to call of art whereas their
cacophonous forms where their pictorial representations in two or three
dimensions are only winds carrying diarrheas infected by the canker not only of
congenital idiocy but, and, especially, gravitation of the mental idleness,
pronunciation of this multiform AIDS which invades all forms as all conditions
of the culture to demolish of it reality with the profit of a virtuality which
is vice of the natural madness which the atrophy revolves which wants to be
main in order to parade in the avenues of the human forfeiture, where it feels
well, where it feels important, because supreme value of this forfeiture, bubo
against which we fight and will fight without slackening in order to return to
art its beauty, the firmament of its reality, across the abysses of the
inénarrable of the debility which one carries to naked by incapacity to create,
art first, art without abstraction of the major infantilism whose dedications
are slags from which will be born the alluvia from the Rebirth and its
incarnats, the Verb, the Thought, the Action, sure diagrams which will come to
end from the reptiliennes incantations to make to Nature of Human thus its
prestigious eloquence which is that of the Eagle and not reptile, and in the
Life, by the Life and for the Life, in the eternity which thinks the future.
© Vincent Thierry
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