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POESIE
POESIE
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Écrit par Patinet Thierri
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Vendredi 15 Novembre 2019 à 11:58 |
Chevaliers
Chevaliers, debout, l’heure est venue du
combat, ce combat titanesque dont vous attendiez l’écume, ce combat terrible
qui sera l’honneur de vos rangs, de vos centaines, de vos épées dressées contre
la nuit dantesque qui s’expose.
Chevaliers, dans l’honneur combattons la nuit
et ses égrégores monstrueux qui pourrissent le moindre limon, qui tuméfient la
moindre vitalité, qui dans la voussure des étoiles sont offices d’invariante
déréliction.
Chevaliers, prenez mesure de la lie qui
embourbe les prairies, les forêts et les Océans, toute une litanie qui n’a rien
d’humaine mais tout de la poussière, dont les oripeaux sont de la perversion
les exploits déracinés.
Chevaliers, pour l’Enfant, levez le foudre de
guerre afin de le préserver de l’ignominie des pédophiles et de leurs sources
anachroniques les vouant à l’anthropophagie et au meurtre les plus répugnants
de ce monde avili.
Chevaliers, pour la Femme, dressez-vous afin
de pourfendre les démoniaques errances pullulant son agonie par le fait de
religions défaites et à proscrire dont le seul nom est emprunt d’une mer
sanguinaire et indélébile.
Chevaliers, pour l’Homme, manifestez l’autorité
qui sied afin qu’il ne s’éconduise dans le larvaire, le fétide, la prostitution
mentale et charnelle, la dérive informelle ou jouissent la profanation et ses
vices purulents.
Chevaliers, par ce monde et pour ce monde,
élevez l’étendard qui broiera définitivement les miasmes qui le décomposent,
ces rutilances ordonnées par l’or sanglant, par l’esclavagisme et ses mentors
aux atrophies malsaines et ataviques.
Chevaliers, prenez mesure, l’Ordre doit
avancer sur la plaine à la rencontre de la folie des règnes et de leurs dévastations
profanes, manipulées par des mages noirs difformes et rutilants de la charogne
qui les administre et les revêt.
Chevaliers, pour l’humanité, combattez sans
relâche leurs armées de néant inscrit par la soumission, l’acculturation la
plus profonde, et la violence la plus démentielle, sans la moindre pitié pour
leurs écueils et leurs abîmes.
Chevaliers, l’heure n’est plus à la glose
mais à l’action la plus pure, la plus rédemptrice qui sacralisera le nom de l’Humain,
en face du non humain, de cette face simiesque et bestiale qui cherche à
anéantir le vivant à son profit.
Chevaliers, que les Peuples couronnent votre
front du heaume scintillant de la victoire sur la souillure de l’esprit qui
balaie la sphère de ses noirs nuages et de ses opaques calamités cherchant à
réduire l’énergie vivante.
Chevaliers, n’ayez crainte, car en face de
vous ne se dressent que l’incapacité à vivre, la folie dimensionnelle et ses
rescrits de plaintes superfétatoires, dont les assemblées criminelles s’allient
pour vous contraindre.
Chevaliers, il est temps de vivre pour la
Vie, par la Vie et en la Vie, en lavant à grande eau les sables de la Terre des
bubons qui infectent le vivant, des poux qui s’en rassasient, de toute cette
puanteur glauque qui se veut maîtresse.
Chevaliers, vous le savez, la mort n’existe
que pour les veules et les sursis, les lâches et les reptiles, toute cette
faune de pacotille qui s’imagine vêtue de l’énergie souveraine alors qu’elle n’en
connaît que les inversions profanes.
Chevaliers, le parcours est là, et que nulle
peur ne vous aveugle, car vous êtes la Vie face à cette mort houleuse dont les
fronts simiesques sont les surgeons des malheurs de tous les Peuples de ce
chant de Terre officié.
Chevaliers, l’épée au ciel, la face sur la
terre, gardien des feux antiques, guidez maintenant vos centaines vers le
flamboiement afin d’en gréer les latitudes comme les longitudes pour semer la
terreur dans les rangs de l’ennemi.
Chevaliers, que vos fléaux frappent avec
détermination et sans vindicte ce qui n’a pas lieu d’être sur cette Terre,
toute cette vermine agglutinée dont la puanteur cadavérique monte par les cieux
pour les assombrir.
Chevaliers, intrépides et forts de la lumière
Christique, menez votre combat sans relâche contre toute la gangrène qui s’apprête,
contre ses forces cannibales, qui n’ont même par le respect d’elles-mêmes, si
contraintes sont-elles.
Chevaliers, soyez sans inquiétude, votre
victoire vient, car l’équilibre est en vous de la sagesse comme de l’équité
dont vous ferez paraître la grandeur par les fresques qui verront jugées la
bassesse et ses frivolités nauséabondes.
Chevaliers, qu’un seul écho réponde à votre
voix, celui de la Voie qui permette le renouveau dans sa manifestation
éliminant les scories et la pourriture de ce monde, dans un brasier qui ne sera
celui de la martyrologie.
Chevaliers, soyez à l’œuvre, et par la
ténacité, et par la lumière, sans équivoque devant les tombes du vivant, afin
de le voir ressusciter des limbes comme de la fange dans lesquels voulait l’enfermer
la bestialité de la barbarie.
Chevaliers, qu’il ne soit de ville comme de
campagne, de forêt comme d’océan, où votre nom ne se prononce, car le mouvement
que vous destinez sera universel et sans répit pour les forcenés de la lie qui
se nourrissent de vos chairs.
Chevaliers, toute place doit être conquise,
toute place doit voir évacuées à jamais l’avarice et le crime, toute place doit
être lavée des choses qui empuantissent l’alacrité, la jouvence, la splendeur
et ses degrés civilisés.
Chevaliers, que votre volonté s’établisse
dans le couronnement, dans la rigueur, dans la spontanéité mais aussi ne se
laisse circonscrire par une quelconque secte hideuse officiant ses larvaires
conditions dans les ténèbres.
Chevaliers, ce monde vous regarde, ce monde
qui doit avancer et non reculer, ce monde qui doit évoluer et non se rabougrir
dans les infections les plus triviales ordonnées par la sous bestialité se
voulant dominante.
Chevaliers, votre combat est le combat vivant
contre les prurits de la mort et ses sectes ovipares, ses anachronismes
pestilents qui rongent la vie dans tout ce qu’elle est, en droit légitime comme
en devoir harmonieux.
Chevaliers, le champ de bataille est
universel, ne vous y trompez, la vermine susurrant dans chaque repli des oreilles
embrumées des êtres qui se fardent dans l’insouciance, l’égoïsme et la
purulence qui est leur marais familier.
Chevaliers, sur ce champ de bataille vous
forgerez le lys firmament qui doit atteindre le plus humble comme le plus
vénéré pour le rendre à la volonté de l’existence qui est Énergie pure et ne
doit s’entacher de la pourriture.
Chevaliers, vous couronnerez cette fête du
Vivant, dans l’accomplissement et par l’accomplissement qui se doit, voyant l’Humain
régénéré sous les devises de son oriflamme sacré, liberté, complémentarité,
fraternité.
Chevaliers, cette devise vous la porterez par
les monts les plus lointains, les déserts arides, les plaines diluviennes pour
annoncer à l’Humain sa réalisation et son potentiel de réalisation par-delà les
chaînes esclavagistes.
Chevaliers, la justice est à ce prix, ce prix
du combat qui ne s’arrête dans les alcôves, dans les bruissements feutrés, mais
bien au contraire surgit là où on l’attend le moins, carénant et ciblant les
prostituées de la mort en ce monde.
Chevaliers, prenez mesure et que vos chevaux
maintenant partent au grand galop par toutes surfaces de monde pour que nulle
enseigne du néant ne puisse se sentir en sécurité, sachant que vous serez
toujours présent pour l’anéantir.
Chevaliers, de l’heure sombre vous ferez l’œuvre
de Lumière, cette lumière qui en chacun des Êtres de ces temps ne demande qu’à
vivre, et à qui vous permettrez d’en vivre le rayonnement intense et supérieur
par un essor de transcendance accompli.
© Vincent Thierry
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POESIE
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Écrit par Patinet Thierri
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Vendredi 13 Mai 2016 à 04:19 |
Prière
de haut songe
C’était
en 2020, sur une terre embrasée, où la guerre contre l’obscurantisme faisait
rage, et le chœur des guerriers entonnait ce chant :
« Splendeur de la création ne délaissez
cette œuvre en mûrissement, témoignez du
Verbe et développez vos prouesses dans cet azur qui nous est demeure où votre cœur
palpite un horizon,
Il y a là, la houle de toutes les écumes, des
liesses de floralies qui s'enchantent et ce chemin à peine né qui se couronne
dans la Voie essentielle que nous cherchons à correspondre,
Ne laissez la hideur comme la bestialité avoir
raison de nos entendements, hissez notre course vers le zénith et sa luminosité
parfaite, recueillie, accomplie, qu'en l'ardeur elle confère,
Ne voyez nos couronnes assiégées par les
scories de ce monde, offrandes aux bubons grotesques qui se fardent de légitimité
comme de respect lors qu'elles sont l'immonde,
Gargantuesques trivialités qui se fécondent
et s'ovationnent par tous les perfides et les traîtres, les parjures et les fêlons
qui martyrisent nos Nations au nom de leur utopie bestiale qui est crime,
Crime contre Dieu, crime contre sa Voie sacrée,
crime contre l'Etre Humain, crime contre les Peuples, crime contre les Races
Humaines, crime contre l'humanité. Crime contre Votre Création,
Que vos légions nous aident à en paraître le
terme, dans une guerre totale qui verra rendue aux enfers les cohortes de ces
tueurs nés qui paradent, applaudis qu'ils sont par des larves devenues,
Que la force et la foi brillent sur chacun de
nos oriflammes afin que nos armées ne défaillissent devant les termes qui se
doivent de l'abomination qui couvre nos Nations d'une boue saumâtre,
Car devant l'invasion de la plaie qui humilie
l'Humanité il n'existe d'autres chemins que celui de s'en libérer totalement et
globalement, l'Humanité ne devant devenir son esclave et sa chose,
Car devant l'abjection envers l'humain dont
fait preuve et dans ses discours et dans ses actes, cette purulence, néfaste à la
Voie, doit être éliminée de la surface de nos royaumes entachés de sa boue,
En armes du Verbe devons-nous liquéfier cette
errance, cet anachronisme, cette bestialité sanglante qui souille nos sols en
s'imaginant maître alors qu'elle n'est que servilité de la haine,
Et que nos troupes se dressent contre
l'infection qui ronge, et que nos troupes se hissent en tous lieux pour relever
le gant de ce parjure, pour notre devenir comme pour notre avenir humain,
Et qu'aux accents de triomphe se dressent nos
Peuples pour faire face à l'invasion tribale, l'arborescence de l'errance et
ses féaux les plus prompts comme les plus belliqueux,
Qu'ils soient jugés comme traîtres à leur
Patrie et que l'opprobre soit leur châtiment clairvoyant, que leurs sectes
soient dissoutes à jamais dans le néant qui leur appartient et les avilie,
Le temps de la guerre est venu, un temps
orageux qui ne verra cesser le combat que par l'anéantissement total des
ennemis de l'humanité, l'anéantissement de la haine bestiale,
O forces immaculées du règne de Dieu, donnez-nous
la force héroïque dans ce combat qui s'annonce digne de celui d'Ajurna, digne
de celui d'Alexandre et de nos aïeux souverains,
La terre tremble, les océans se mettent en
lave, les cieux s'assombrissent, que rien ne fera tarir la Liberté de nos
champs d'action pour laquelle tant sont morts, tant et tant qu’ils ne sont
oubli,
Rien ni personne ne viendra tarir l'essor
conquérant qui se tresse, voyant nos Peuples d'Europe se liguer contre la
barbarie et la sauvagerie et les renvoyer à jamais sur leurs terres stériles et
prostrées,
Ainsi alors que se dressent nos armées sur le
champ de bataille qui vient et qui verra, dignes de celles de Charles Martel et
de Lépante, leur victoire achevée sur l'obscurantisme. »
© Vincent Thierry
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Dernière Mise à jour ( Vendredi 13 Mai 2016 à 04:20 )
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POESIE
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Écrit par Patinet Thierri
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Mardi 05 Avril 2016 à 12:23 |
Des signes sous le vent
Des signes sous le vent au
parcours serein, virevoltant dans l’écume des songes et dans les algues du
zéphyr où la nue danse l’altière définition des mondes, éprise de la Vie et de
ses tumultes, de ses ardeurs comme de ses compositions dantesques, que l’œuvre dévoile
dans leurs facettes exaltées, téméraires, humbles ou hautaines, toujours en
voie de l’appropriation du dessein des termes et de leurs conséquences, dans le
flux et le reflux des houles qui balaient les immensités aux sons glorieux des
Oiseaux Lyre qui se prononcent, extase du Levant aux armoiries dont les
étincelles flamboient les demeures d’un astre de renouveau, d’une perfection
qui s’anime et se dérive dans la pluviosité des sacres, et dans la splendeur
des âges qui se concertent, s’initient, et sans édulcorer leur grandeur, s’unissent
pour forcer le temps comme l’espace dans une essaim de gloire que vivifie la
tempérance, sans outrage, la candeur, sans naïveté, la beauté et l’enchantement,
où le Verbe dans sa magnificence et sa récurrence se divinise, se parfait et
dans l’horizon fulgure le signe vivant, étincelant des prairies et des forêts,
des ru comme des fleuves, des mers comme des océans, principe de l’Eternité,
sérail qui ne se meut dans l’adventice où le déni, mais dans l’embrasement même de la
perfection qui anime chaque Etre lorsqu’il se mesure avec le sens circonscrit
de sa viduité, en phase des éléments de sa réalité, Corps, Esprit, Ame, dont la
symbiose gravite le dessein de toute permanence, correspondance ultime menant à
la pure transcendance qui ne s’abrite, ne se dérobe, mais inlassablement se
prononce pour offrir aux Vivants la mesure de tout répons à l’aventure de sa
destinée, de la destinée qui frappe à la porte de chacun, et que chacun doit
prendre en mains pour regarder l’avenir comme le devenir, et non seulement les
regarder mais insérer sa force vivante dans leur flot afin qu’il soit vigueur
et non mollesse, détresse, confort, espoir, ces derniers n’étant que parodie
voyant la lie gangrener le réel au profit d’une virtualité qui n’existe que
dans la sphère inverse de la Voie, une sphère de délit et de cruel naufrage qui
ne se tempère et se maudit jusqu’à s’ouvrir à la haine de la Vie, une haine qui
pullule dans le regard des non-être qui se façonnent en ses rives, des
caricatures de vivants qui se prosternent devant la matière, qui se couchent
devant la poussière, qui larmoient et s’épanchent comme des ignorants devant la
force du destin qui frappe à leur porte, tétanie des incapables et des fourbes
qui opacifient le rêve pour la répugnance de leur labour bestial et sans
lendemain, que tout un chacun croise, que tout un chacun qui se respecte n’idolâtre
mais bien au contraire éveille à la pluralité des mondes, à l’exhaustive
préhension de ces mondes dont ils sont parties, ce qu’ils ne veulent voir se
croyant seul détenteur de leur dessein, un dessein broyé par leurs litanies,
leur manque d’assurance à être jusqu’à se renier dans les moisissures extrêmes,
les voyant fauves reniant leur Identité, reniant leur Race, reniant leur
vitalité pour le profit de l’irréalité la plus profane, la plus nauséeuse qui
soit, celle d’un retour à la matière brute qui n’est que la finalité de toute
valeur de la Vie, un retour non vers le futur, mais vers l’origine, vers le
néant initié qui, ensemencé, déjà n’est plus le néant, forgé, n’est plus le
néant, consacré dépasse le néant, ce que la plupart des vivants sont, ce que
cette majorité de vivant doit comprendre pour enfin faire face à cette errance
qui n’est que chantre de la mort et de ses écrins, la mort de la conscience, la
mort de la splendeur, la mort de la grandeur, la mort du dépassement, la tentative
de mise à mort de la transcendance, qui au demeurant ne peut mourir car
inscrite dans les gènes de tout un chacun, épée de Damoclès des tenants et
aboutissants de Thanatos, qui ne peuvent inscrire dans leur destruction ce qui
est indestructible sauf à se détruire eux-mêmes dans leur totalité, clameur que
tout un chacun se doit de contrer afin de les sauver de leur empyrée, cette
stance maladive qui ronge les mondes de ses miasmes, les univers de ses moisissures,
lèpre connue et reconnue qui se résorbera devant les actes de bravoure qui se
doivent pour régénérer le sens qu’ils ont perdu, l’honneur qu’ils ont oublié,
la grandeur qu’ils ne connaissent pas, toutes dérives que les vents
disperseront dans le grand Chant de la Vie qui ne parade, ni ne s’inscrit, mais
bien au contraire chevauche le firmament et écrit le Verbe d’Or qui se doit
pour que brille son flot de lumière par toutes densités de son existence et de
son salut, ivoire des jardins vespéraux aux flots denses et ourlés des
promesses de l’aube et de ses fulgurances qui naissent et renaissent afin que
son Eternité se propulse au-delà de toutes les scories, les profanations, les
menstrues de la déperdition qui rongent, les larmes de la fourberie et de ses
abysses venimeux, ainsi dans l’azur qui se dresse et émerveille l’hymne du
Vivant …
Signs under the wind
Signs under the wind with the serene course, circling
in the scum of the dreams and the algae of the zephyr where naked dance the
proud definition of the worlds, got excited of the Life and its tumults, its
heats like its Dantean compositions, that work reveals in their excited, bold,
humble or haughty facets, always in the process of the appropriation of the
intention of the terms and their consequences, in the flow and the backward
flow of the swells which sweep the vastnesses with the glorious sounds of the
Birds Quadrant which decide, ecstasy of Raising to the armorial bearings whose
sparks blaze the residences of a star of revival, of a perfection whichanimate
and derives itself in the rainfall from the sacrings, and in the splendor of
the ages which act in concert, initiate themselves, and without edulcorating
their size, link themselves to force time as space in a swarm of glory which
temperance vivifies, without insult, frankness, without naivety, the beauty and
the enchantment, where the Verb in its magnificence and its recurrence is
deified, perfect and in the horizon fulgurates the alive, sparkling sign of the
meadows and the forests, Ru like rivers, seas like oceans, principle of
Eternity, seraglio which is not driven in the adventitious one where the
refusal, but in the flashover even of the perfection which animates each Being
when it is measured with the circumscribed direction of its viduity, in phase
of the elements of its reality, Corps, Esprit, Ame, of which symbiosis the
intention of any permanence revolves, ultimate correspondence leading to the
pure transcendence which does not shelter, is not concealed, but indefatigably
decides to offer to Alive the measurement of any response to the adventure of
its destiny, of the destiny which knocks on the door of each one, and which
each one must take over to look at the future like becoming it, and not only to
look at them but insert its alive force in their flood so thatit is strength
and not mollesse, distress, comfort, hope, the latter not being that parody
seeing the dregs causing to become gangrenous reality with the profit of a
virtuality which exists only in the opposite sphere of the Way, a sphere of
offense and of cruel shipwreck which does not moderate and curses until opening
with the hatred of the Life, a hatred which pullulates in the glance of the
non-being which are worked in its banks, of the caricatures of alive which bow
down in front of the matter, which lies down in front of dust, which waters and
pours out as ignoramuses in front of the force of the destiny which strikes
with their door, tetany of the incompetents and of the cheating ones which
opacifies the dream for the loathing of their bestial ploughing and without a
future, that each and everyone crosses, which each and everyone which is
respected does not idolize but quite to the contrary wakes up with the
plurality of the worlds, with the exhaustive gripping of these worlds which
they left, which they do not want to see believing only holder of their
intention, a intention crushed by their litanies, their lack of insurance to
being until disavowing itself in the extreme moulds, the indicator deer
disavowing their Identity, disavowing their Race, disavowing their vitality for
the profit of the most profane unreality, most nauseating which is, that of a
return with the raw material which is only the finality of any value of the
Life, a return not towards the future, but towards the origin, initiated
nothing which, sown, already is not any more nothing, forged, is not any more
nothing, devoted exceeds nothing, which most alive are, which this majority of
alive must understand for finally facing this wandering which is only cantor of
death and its jewel cases, the death of the conscience, the death of splendor,
the death of the size, the death of the going beyond, the attempt at setting
with died of the transcendence, which moreover can die because registered in
genes of each and everyone, sword of Damocles of holding and outcomes of
Thanatos, which cannot register in their destruction what is indestructible
except destroying themselves in their totality, clamor that each and everyone
must counter in order to save them of their empyrée, this morbid stanza which
corrodes the worlds of its miasmas, the universes of its moulds, known and recognized
leprosy which will reabsorb in front of the acts of bravery which must to
regenerate the direction that they lost, the honor which they forgot, size that
they do not know, all drifts that the winds will disperse in the great Song of
the Life which does not parade, nor is not registered, but quite to the
contrary overlaps the firmament and writes the Gold Verb which must so that
shines its flood of light by all densities of its existence and its safety,
ivory of the evening gardens to the dense and hemmed floods promises of the
paddle and its fulgurances which is born and reappears so that its Eternity is
propelled beyond all slags, the profanations, the menses of the loss which
corrode, the tears of cheating and its poisonous abyssals zone, thus in the
azure which draws up and fills with wonder the anthem at Alive…
© Vincent Thierry
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POESIE
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Écrit par Patinet Thierri
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Jeudi 24 Mars 2016 à 08:13 |
Signes effeuillés
Signes effeuillés des âges
de la pluie où voguent des nefs cristallines, ivoire de gemmes aux âmes légères
et surannées des livres ouverts sur la densité exquise des temps qui se concatènent,
s’absolvent et se dérivent dans la majesté des cieux embrasés de luminosités
stellaires, et l’onde au milieu, libre de mouvement, dans une féerie se
déplace, ivre de la joie qui mute aux plus vastes espaces, aux clairs désirs,
aux fastes épousés, écrin des âges qui s’enfuient,
des souffles qui ruissellent, des rives qui permutent dans des arcs en ciel de
merveilles, ici, là, puisatiers de grandes offrandes que les soleils
éblouissent dans un azur de feu et de lagunes, dans un horizon de flore et de
senteurs, dans cet abandon du vide qui jaillit l’infini, le potentiel divin de
chaque création, miroir des œuvres qui ne s’absentent mais se prolongent, au-delà
des distances, des points essentiels, des géométriques circonvolutions dont les
clameurs tendent vers les étoiles leurs multicolores artifices, et le fruit
dans cette divination, prieuré de haut songe et de vaste flamboyance, le fuit s’étreint
et se vivifie, accélère les ambroisies et dans les orfèvreries charnelles
dessine sa lumière participe, une lumière d’offrande, de beauté et de répond,
répond au silence, répond aux cris des oiseaux lyres qui parcourent les
plaines, aux danses des biches dans les orées où coulent des sources de
passementeries joyeuses, aux règnes des végétaux dont la luxuriance perlée de
gouttes de rosée délivre les enfantements, précieux, solidaires, ivres de la
floraison des amours et des énamoures accomplis où chaque pas est titanesque de
la vertu des mondes, de cette vertu qui n’immobilise mais bien au contraire
fait le sens de tout avenir, le sens en conscience, le sens en épithéliale
oraison dont les marches d’acacias bleuis dévoilent les promesses d’une
aventure nouvelle à voir, espérer, contempler, par de là les rivages fauves,
les limbes éperdues, les parcours chaotiques, les sites amers et les rêves
fracassés des idoles oubliées, marche de l’onde qui vogue de fleuves en fleuves
jusqu’aux racines des cimes éternelles luisant de neige immaculée, une
blancheur torrentielle qui innerve le corps des terres en alluvions, libérant
des houles le limon d’argile et ses vespérales attentes, délibérant le sort et
les congruités de ce sort dans l’élévation qui se doit, ne se contourne, ne se
rejette, mais bien au contraire se finalise dans un essor prairial contre
lequel toute lutte est impossible, car de la vie le rameau vert qui s’inscrit
sur la plage des heures qui s’écoulent, fresque s’il en est de plus noble et de
plus adulée, fête du vent et de l’eau, de la terre et du feu, fête d’avant fête
qui émarge au triomphe et cingle vers la viduité la plus vive, la plus dense,
la plus inscrite, que témoigne le chant dans ses parures aériennes, ces volants
de saisons et leurs festives langueurs, inscrites au plus profond des oasis,
dans ces forêts que la tourmente n’atteint pas, dans ces rus impassibles où les
couleurs émiettent leurs serments, dans l’attitude même des buccinateurs dont
on entend au loin sonner les lourds tambour de bronze, annonçant la
renaissance, le jour des atours, et la
nuit des diaphanes mélopées, aux amoureux qui espèrent, aux amours qui se
réalisent, dans la splendeur spontanée des draperies écloses, des orbes
adventices, de ces secrets que les cœurs palpitent dans la scintillante percée
des rêves qui éclosent, où l’abeille nidifie, où d’un pollen s’empare pour
amasser la source et la rendre inépuisable aux murmures des stances qui
incarnent la félicité, emprise du Levant que les circaètes dans leur vol
chamarré développe par les falaises de craie et de marbre qui frisent les
Océans de leurs lambris de douceur, ainsi l’architectonie qui brave tempête et
bourrasque, écume de haute mer et frisson ardent de l’océan, que la multitude
des peuples volatils enseignent par les nefs et les esquifs qui ourlent les
abysses insondables, allant de vertigineux songes par les isthmes déployés, fécondant les
stratifications des ondes pour en épeler les écrits inscrits de toute éternité,
levant d’étoiles blondes aux couches d’amarantes, levant des chrysalides fières
qui s’efflorent dans des tresses aux couleurs myosotis, éphémères et si belles
dans le talisman des prairies nuptiales, éphémères et si tendres dans la
pulsation des ondes qui s’entrelacent et se désignent, d’un vol épique
palpitant les nuées pour en retenir et revenir les parcours les plus initiés,
dans une thaumaturgie relevant de l’alchimie la plus pure, naviguant d’œuvre en
œuvre l’épopée qui ne se fane, qui ne s’oublie, mais toujours s’éveille afin de
porter aux mondes vivants la splendeur de l’éternité qui veille, écoute,
accomplie, ordonne, destine, insinue, développe, toutes forces en leur jeu
délibérant les lendemains qui scintillent et déploient…
Leafless signs
Leafless signs of the ages of the rain where sail of
the crystalline naves, ivory of gems to the light and out of date hearts of the
books open on the exquisite density of times which are concatènent, are
exonerated and are derived in the majesty from the skies set ablaze from
stellar luminosities, and the wave in the medium, free of movement, in a
fairyhood moves, drunk joy which transfers to vastest spaces, the clear
desires, the married record, ECRIN of the ages which flees, of the breaths
which stream, of the banks which permute in arcs in sky of wonders, here,
there, shaft sinkers of large offerings which the suns dazzle in one azure of
fire and lagoons, in a horizon of flora and scents, in this abandonment of the
vacuum which spouts out the infinite one, the divine potential of each
creation, mirror of works which do not go away but prolong, beyond the
distances, of the essential points, geometrical convolutions whose clamors
tighten towards stars their multicoloured artifices, and the fruit in this
divination, priory of high dream and vast flamboyance, flees it hugs and
vivifies, accelerates the ambrosias and in carnal goldsmitheries its light
draws takes part, a light of offering, beauty and of answers, answers silence,
answers cries of the birds quadrants which traverse the plains, with the dances
of the hinds in the edges where sources of merry passementeries run, with the reigns
of the plants whose beaded luxuriance of dewdrops delivers the childbirth,
invaluable, interdependent, drunk of the flowering of the loves and infatuated
accomplished where each step is titanic virtue of the worlds, of this virtue
which does not immobilize but quite to the contrary made the direction of any
future, the direction in conscience, the direction in epithelial speech whose
steps of turned blue acacias reveal the promises of a new adventure to see, to
hope, contemplate, by from there fawn-coloured shores, limbs wild, them chaotic
courses, the bitter sites and the dreams crashed to pieces of the forgotten
idols, walk of the wave which sails of rivers in rivers to the roots of the
eternal summits shining of immaculate snow, a torrential whiteness which
innervates the body of the grounds in alluvia, releasing from the swells the
clay silt and its evening waitings, deliberating the fate and the congruities
on this fate in the rise which must, are not circumvented, are not rejected,
but quite to the contrary are finalized in a meadow rise against which any
fight is impossible, bus of the life the green branch which is registered on
the beach of the hours which are passed, fresco if it is of nobler and moreover
more adulated, festival of the wind and water, ground and fire, celebrates of
before the festival which signs with the triumph and shingles towards the
sharpest viduity, densest, most registered, that testifies the song in its air
ornaments, these wheels of seasons and their festive languors, registered with
deepest of the oases, in these forests that the storm does not reach, in these
rus impassive where the colors crumble their oaths, in the attitude even of the
buccinateurs which one hears with far sounding heavy the bronze drum,
announcing the rebirth, the day of the attire, and the night of the diaphanous
monotonous chants, with in love one which hope, with the loves which are
carried out, in the spontaneous splendor of hatched draperies, the adventitious
spheres, these secrecies which the hearts palpitate in scintillating bored of
the dreams which hatch, where the bee nests, where a pollen seizes to pile up
the source and to make it inexhaustible to the murmurs of the stanzas which
incarnate the happiness, influence of Raising that the circaètes in their
decorated flight develops by marble and chalk cliffs which curl the Oceans of
their skirtings of softness, thus the architectonie which faces storm and gust
of wind, scum of open sea and burning shiver of the ocean, that the multitude
of the volatile people teach by the naves and the wherries which hem the
unsoundable abyssals zone, energy of vertiginous dreams by the deployed
isthmuses, fertilizing the stratifications of the waves to spell of them the
registered writings of any eternity, raising fair stars with the layers of
amaranths, raising proud chrysales which efflorent themselves in braids with
the colors forget-me-not, transitory and so beautiful in the talisman of the
bridal, transitory meadows and so tender in the pulsation of the waves which
are interlaced and indicate, of an epic flight palpitating the clouds to retain
some and return the most initiated courses, in a thaumaturgy concerned with
alchemy more pure, surfing of work of works epopee which does not fade, which
is not forgotten, but always wakes up in order to carry in the alive worlds the
splendor of the eternity which takes care, listening, accomplished, orders,
intends, insinuates, develops, all forces in their play deliberating the
following days which scintillate and deploy…
© Vincent Thierry
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POESIE
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Écrit par Patinet Thierri
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Mercredi 23 Mars 2016 à 12:05 |
Jouvence d’un Eté
Cales grainetières des
essors du Levant, aux amphores emplies d’huile savoureuse, de coffres remplis d’émeraudes
et de schistes, que l’Agathe reflète dans la divine luminosité qui s’espace de cils
en cils dans l’énamoure de la coque ventrue de passementeries d’ivoire et de
jaspe, que les marins aux âges solsticiaux gardent, dans leur armure de soleil
et de scintillante écume, alors que l’aube blonde descend parmi les temples, et
que les coryphées entonnent les prières de haut songe, vestales nues des rimes
antiques qui vont et viennent les nuptialités devisées, celles de sources et
des stances qui charrient des laves de frissons, que le cri des oiseaux de Mer
enfante dans la mélopée des vents qui lentement à la voile hissée porte l’heureux
rivage à conquérir, ici, là, dans les conches qui se dérivent, où s’aventurent
dans la noblesse qui sied les sages et leurs écrins, bâtis de renommées, déjà
par les prairies lactés de rêve, déjà par les présents poudrés de règne,
alimentant au-delà des perceptions les nautiques présences, aux amarres tissées
que retiennent les portuaires élancements sous le zénith qui paraît, il y a là
tout un Peuple qui accourt, une foule dense de convoitise et de curiosité
mêlées, dans un embrasement de voix qui fulgurent les pontons d’onyx où les
pavillons claquent pour présenter aux arrivants la nature des écumes qu’ils foulent,
ici, par les lieux l’enceinte des forteresses d’ébènes où les marchands en
pagnes de soie font l’inventaire, regardent, pèsent, mesurent, jaugent de leurs
regards aiguisés que rien ne peut ternir, devisant les valeurs, comptant et
recomptant en fonction des besoins des ilotes attentifs qui ne cherchent à
acheter le moindre produit, préférant laisser ce soin aux connaisseurs, ceux-là
qui s’agitent, gesticulent, ou affables contemplent et marquent leur accord pour
les étoffes, toutes moirées du marbre du couchant, irisées de dimensions
bleutées et fauves qui seront les parures qui viendront des colonnes sculptées,
des portiques enseignés, et des nefs conquises, tandis que partent des rires
des rives au regard des animaux qui gardent les navires, alluvions de ce
continent perdu au sud, voulant ressembler aux Etres qui se dressent, fastes de
fééries, de conciliabules et de tonitruantes mêlées, où chacun retrouve les
travers de certains, et certains les demeures d’autres qui toujours sont à la
recherche de ce qui n’existe que chez les autres, ainsi alors que le halo de
midi sonne les pantagruéliques ripailles, offertes aux auberges ouvertes à tout
vent, sous le respect des conditions,
savoir le dépôt des armes et l’agonie de toute querelle, car les équipages ici
se rencontrent, se disputent et parfois se querellent, parfois aussi s’allient afin de conter l’aventure
dans ce qu’elle sera de fresque aux terres adulées là-bas, qui scintillent sous
le Ponant, la nourriture exulte de senteurs surannées, baignées de vins de
terres olympiennes, trouvant mesure des ventres affamés, des palais assoiffés, qui banquètent sans
silence, dans l’arrogance des chants paillards, dans la trivialité qui force au
rire le plus ténu comme le plus arbitraire, tandis qu’au dehors les enfants s’agglutinent
pour regarder ce qu’ils seront demain, marin, marin disent-ils, en regardant
les yeux écarquillés, levant d’oriflamme jouant sur la berge, le sabre au clair
à la découverte, sous les yeux attendris des vieillards qui paressent, se
rappelant des heures de gloire, des heures insouciantes et d’autres terribles
aux méandres des guerres déployées, des cohortes malmenées, tant de souffrances
pour tant d’innocence se disent-ils, mais ces enfants ne le savent pas encore,
le rêve leur tenant lieu, qu’il ne faut les désespérer sachant qu’ils sont les
lendemains qui chantent, ces lendemains qui viendront de découvertes en
découvertes, toutes les Iles de ce monde, et bien plus les continents qui
signent dans la brume leurs horizons de clartés souveraines, de la Terre, de la
Terre en moisson de la Mer et des Océans qui fulgurent les densités de l’œuvre à
naître, éclairer et prospérer par toutes voies qui sont sentences et épopées
qui ne se désarment, mais s’invitent dans la pure jouvence d’un Eté, et bien
plus encore dans la moisson des nuits, de ces étoiles en nombre qui attendent d’être
foulées par les pas des Etres de ce chant, si lointaines et si proches à la
fois qu’il suffit de les imaginer parsemées de terres vierges pour en éclore
les saveurs et les odorantes ardeurs, demain, un autre jour qui viendra des
équipages de talents, et des armées en fenaisons, demain dans la destinée qui
ne s’écrit dans le statisme mais dans l’action la plus épurée et la plus noble,
celle du cœur qui bat l’harmonie des Univers et de leurs flots incessants,
ressacs de la puissance qui ne se déshonore ni ne se nargue …
Youth of a Summer
Holds grainetières of rises of Raising, with amphoras
filled up of oil tasty, of trunks filled of emeralds and of schists, that the
Agathe reflects in the divine luminosity which spaces lashes in lashes in the
infatuated one of the corpulent hull of jasper and ivory passementeries, that
the sailors at the solstitial ages keep, in their armor of sun and
scintillating scum, whereas the fair paddle goes down among the temples, and
that the coryphaei strike up the prayers of high dream, vestals naked of the
ancient rhymes which go and come the unscrewed marriage rates, those of sources
and the stanzas which cart lava of shivers, that the cry of birds of Sea gives birth to in the monotonous chant of
the winds which slowly to the hoisted veil carries the happy shore to be
conquered, here, there, in the conches which are derived, where venture in the
nobility which sied the wise ones and their jewel cases, frames of fames,
already by the meadows lacteous of dream, already by these powdered glass
dusting of reign, feeding beyond perceptions the nautical presences, with the
woven mooring ropes that the harbor twinges under the zenith retain which
appears, there are a whole People which runs, a dense crowd of covetousness and
curiosity frays, in a flashover of voices which fulgurate bridge them onyx
where the houses slam to have to the newcomers nature scums which they press,
here, by the places the enclosure of the ebony fortresses where the merchants
out of silk loincloths make the inventory, look at, weigh, measure, measure
their sharpened glances that nothing can tarnish, unscrewing the values,
counting and recounting according to the needs for the attentive Helots which
do not seek to buy the least produced, preferring to leave this care with the
experts, these which are agitated, gesticulate, or gracious contemplate and
make their agreement for the fabrics, all moire of the marble of setting, made
iridescent of bluish size and deer which will be the ornaments which will come
from carved columns, of the taught gantries, and the conquered naves, while
leave the laughter of banks taking into consideration animal which keeps the
ships, alluvia of this continent lost in the south, wanting to resemble the
Beings which draw up themselves, record of fairyhoods, secret meetings and
thundering frays, where each one finds them through some, and some the
residences of others which always are in search of what exists only at the
others, thus whereas the halation of midday sounds the Pantagruelian feasts,
offered to the inns open to any wind, under the respect of the conditions,
knowledge the deposit of the weapons and the anguish of any quarrel, because
them crews here meet, dispute and sometimes quarrel, sometimes are also
combined in order to tell the adventure in what it will be of fresco to the
grounds adulated over there, which scintillate under the West, food exults of
out of date scents, bathed Olympian ground wines, finding measurement of the
famished bellies, of the made thirsty palates, which banquètent without silence,
in the arrogance of the songs ribalds, the commonplace which forces with the
thinnest laughter like arbitrary, while with the outside the children bind
themselves to look at what they will be tomorrow, sailor, sailor say they, by
looking at the opened wide eyes, raising streamer playing on the bank, the
saber with light with the discovery, under the tenderized eyes of the old men
who laze, remembering carefree hours of glory, hours and the other terrible
ones with the meanders of the deployed wars, abused troops, so much of
sufferings for so much of innocence are said, but these children do not know it
yet, the dream holding place to them, which it should not them be despaired
knowing that they are the following days which sing, these following days which
will come from discovered in discoveries, all the Islands of this world, and
much more the continents which sign in the fog their horizons of sovereign
clearnesses, the Earth, Earth in harvest of the Sea and Oceans which fulgurate
the densities of work to be born, light and thrive by all ways which are
sentences and epopees which are not disarmed, but are invited in the pure youth
of a Summer, and much more still in the harvest of the nights, of these stars
of number which expect to be pressed by the steps of the Beings of this song,
if remote and so close at the same time that it is enough to imagine them
strewn with virgin lands to hatch of them savors and the odorous heats,
tomorrow, another day which will come from the crews of talents, and of the armies
in haymakings, tomorrow in destiny which is not written in the offset but in
the most purified action and noblest, that of the heart which beats the harmony
of the Universes and their ceaseless floods, undertows of the power which is
not dishonoured nor does not scoff at…
© Vincent Thierry
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