La guerre
Petites nouvelles de cette
petite Terre livrée au fléau en Occident de la bestialité et de ses féaux, mais
lisons :
« La guerre est un
invariant phénoménologique contre lequel on ne peut lutter que si on la
dépasse, au sens de l’Esprit le plus signifiant. Toute guerre naît d’une
confusion des genres, du rejet des identités, du rejet formel de la réalité
Humaine, de ses Races, de ses Peuples, de
ses Ethnies, un rejet incommensurable bâti principalement par l’appât du gain,
le vol, le viol, le pillage, actions classiques de l’incapacité congénitale à
créer, innover, élever, entreprendre. La barbarie est en ce lieu, car il
convient ici de bien mettre en exergue l’agresseur face à l’agressé.
L’agresseur est toujours un barbare qui ne peut s’ignorer, une barbarie donnant
lieu à toutes les exactions, toute la putridité matérialisée par la
dégénérescence chronique de la bestialité qui rôde dans l’atrophie liée à la
désunion motrice de l’Humain, qui au lieu de se regarder symbiose du corps, de
l’esprit et de l’âme, se renferme sur deux de ces composants, une osmose donnant
naissance au matérialiste brut, au spiritualiste brut et au primitif brut. La
guerre est le produit donc de l’atrophie Humaine. Résultante envers laquelle
l’agressé doit comprendre qu’il doit réagir s’il veut survivre, une réaction
saine, sans pitié, sans état d’âme qui doit entreprendre l’éradication totale
de la barbarie à ses portes comme en son sein. L’univers est violent, et il
faut le comprendre ainsi pour être en correspondance avec le degré
d’action nécessaire à la liquidation
totale de l’atrophie qui cherche à nuire à l’homéostasie des souches de
l’Humanité, souches nécessaires, car complémentaires, permettant l’élévation et
non la destruction, la complémentarité multipliant les intelligences, la
dilution provoquant une exponentielle inverse de l’intelligence. Lorsqu’on
observe le présent, on peut voir sans stupéfaction, l’atrophie se vouloir
maîtresse des strates humaines, déployant les hordes primitives au nom de
l’atrophie tant spiritualiste que matérialiste dans un bain de sang qui trouve
ses racines dans la manipulation la plus totale des éléments humains vecteurs
de l’atrophie. Ainsi on peut voir que lorsque le pouvoir est laissé entre les
mains des spiritualistes comme des matérialistes, manipulant à souhait les
primitifs, ce pouvoir, sans contre-pouvoir, dérive vers l’abîme, et parsème
notre terre de désastres concomitants. La guerre au regard de cette dérive doit
être donc totale vis-à-vis de cette adversité, née de toute carence humaine.
Elle ne pourra être dépassée que dans le cadre symbiotique, dans le respect
multilatéral de toutes strates humaines, et ce respect passe inévitablement par
la remise en cause globale des artefacts qui veulent présider aux destinées
humaines et dont les vecteurs sont tant primitifs, que spiritualistes, que
matérialistes, les opérandes liés à une atrophie que l’on peut qualifier
d’osmotique, car ne tenant compte que de deux faces du réel vivant,
esprit-corps, ou corps-âme, ou esprit-âme. En tout état de cause, il ne faut
pas craindre la guerre qui est déclarée à l’humanité dans son ensemble, mais
bien au contraire affermir les positions respectueuses de la réalité Humaine
pour contrebalancer définitivement la barbarie qui sévit. Cette barbarie doit
être anéantie totalement et globalement, tant au niveau de ses mains sanglantes
qu’au niveau de ses donneurs d’ordre. Ce n’est qu’à ce prix que l’Humanité ce
jour sortira de cette contraction temporelle la menant vers la désintégration. Pour
celles et ceux qui craindraient la nécessité de combattre, je ne saurais trop
leur enjoindre de lire et relire la Bhagavad Gîtâ, le livre de l’excellence de
nos véritables racines qui compose au devoir du combat contre la barbarie et
ses esclaves. La guerre n’est pas seulement physique, elle est celle de
l’Esprit comme de l’Âme, elle celle de la culture contre l’acculturation et la
propagande, elle est celle de la Spiritualité contre la dictature de
pseudos monothéismes déracinés, elle est
celle de l’Unité symbiotique contre l’atrophie osmotique, elle est totale,
globale, et civilisatrice. L’affrontement est toujours évitable dans le cadre
du respect multilatéral, il ne l’est plus dans le cadre de la soumission à la
barbarie et de ses féaux, de ses valets insipides corrompus et multiformes qui
rampent devant leur propre agonie. On ne transige pas avec la barbarie, on la
combat jusqu’à son agonie, jusqu’au triomphe de la volonté qui doit terrasser
son adversité dans ses composantes, ses strates, son levain, cette gangrène qui
souille l’Humanité au plus profond d’elle-même, par prévarications, mensonges,
affabulations, consternante propagande, mettant en œuvre le viol psychologique
des foules, le viol systémique des populations, initiant l’ordure comme sommet
suprême, tant dans les arts que dans le corps social, tant dans ce que l’on ose
appeler le « politique » que dans toutes les Institutions usurpées,
dans le mépris total des Peuples, par des castes égarées qui n’ont de doctrine
que l’implantation de la dictature Universelle, déguisée sous le doux
euphémisme de « république » universelle. La guerre d’agression
envers l’Humanité qui est menée par la non-Humanité doit trouver réponse en
chaque strate des sociétés, dans les syndicats, dans les organisations
ouvertes, discrètes, secrètes, dans les Institutions, dans tous les corps
politiques, dans les sectes les plus infâmes qu’elles soient, afin d’en
détruire les moteurs et les pouvoirs, par un entrisme total, désintéressé,
unanime qui permettra de renverser le mausolée de la terreur qui se veut règne.
Il n’y a pas d’association qui ne doit pas être insinuée, par de partis qui ne
doivent être insinués, pas de sectes qui ne doivent être insinuées, tout doit
être totalement investi, dans une guerre silencieuse, une guerre totale contre
les limbes de la pourriture qui y gémissent et s’y concertent, s’y vautrent et
régissent une haine farouche envers l’Humanité. Le gant de la guerre doit être
relevé dans toutes les Idées, sur tous les fronts qui cherchent à anéantir le
réel au profit du virtuel. Tout ce qui induit une liquidation de la réalité
Humaine doit être poursuivi sans relâche, jusque dans les toilettes publiques
s’il le faut, le déni du vivant, le déni de la vie, le déni des Races Humaines,
le déni des Peuples Humains, le déni des Ethnies Humaines, le déni de
l’Histoire Universelle Humaine et de ses Peuples comme de ses Civilisations, le
déni de l’Être Humain, de la Femme comme de l’Homme, le déni du devoir
Politique, le déni du droit inaliénable des Peuples à disposer d’eux-mêmes, le
déni de la transcendance Humaine. Ainsi l’acculturation, l’irrespect des
langues Humaines, fourriers de la lâcheté Humaine, doivent être combattus sans
relâche, les droits de l’Homme sans le moindre devoir, de même, car ces
« droits » sans la moindre valeur au regard de devoirs
complémentaires sont les fourriers du laxisme, de la soumission, de
l’esclavagisme les plus totalitaires qui soient et dont nous voyons au vingt et
une nième siècle ce qu’ils donnent : des régimes où la corruption devient
un système, où la Démocratie n’existe plus remplacée par des oligarchies
primitives, où la République n’est plus qu’un leurre voilé par le mensonge et
l’abstraction, où la barbarie condescendante est un drapeau, où les
communautarismes minoritaires deviennent les leviers de citoyens de première et
seconde classes, la dernière étant représentée par les Peuples qui ont donné
leur Vie pour leur Nation respective. Les valeurs Humaines ne sont de ces
terriers prédateurs, et encore moins de leur lie visqueuse qui se congratule
dans la défécation et la zoophilie quand ce n’est pas dans la pédophilie la
plus écœurante, ici il faut bien comprendre que l’immoralité la plus répugnante
est son domaine, vouée qu’elle est à ses abstractions les plus séniles, celle
du gain qu’il soit primitif ou sexuel. Nous n’avons pas à faire avec ses
représentants démultipliés à des Êtres Humains au sens noble mais bien à des
avatars Humains dont la prédation est le propre de l’incapacité à toute
création, des infirmes en talents qui ne se réjouissent dans leur médiocrité
qu’avec la médiocrité humaine et en aucun cas avec la capacité humaine. La
guerre est de leur fait, de leurs désirs de gain, de leur inconscience humaine
qu’ils travestissent en « valeurs ». Lorsqu’on observe ces
« valeurs » on ne peut être que préoccupé de leur santé
mentale : au nom d’un droit inexistant d’ingérence le décret de toutes
guerres possibles et imaginables, sous des prétextes mensongers les plus
ineptes, empourpré par l’illusion de l’instauration de régimes
« démocratiques » totalement pervertis par leur domination sectaire,
la manipulation de milices à leurs ordres commettant les exactions les plus
monstrueuses que la terre ait connues, jusque dans leur propre terre afin
d’insinuer la terreur, l’arme des lâches et des proscrits, des apatrides et des
serviles, de tout ce que l’Humanité peut engendrer par aveuglement,
inconsistance, défaut de caractère, jalousie, haine, toutes voies menant à la
déperdition de toute réelle valeur humaine. Lorsqu’on observe ces « valeurs »,
le déshonneur comme marque de fabrique, la traîtrise et la fourberie comme
moteurs, la soumission et la reptation comme pierres d’œuvre, on ne peut avoir
sinon que du mépris que de la compassion pour ces pauvres hères qui ne vivent
que par leur insuffisance humaine et voudraient que tout un chacun leur
ressemble. Sauf à être complice, tout un chacun perçoit par-delà les limbes de
la propagande, qu’il y a quelque chose de totalement pourri sur cette face du
monde que l’on appelle l’Occident. Les Peuples n’y sont plus maîtres, leur
pouvoir usurpé trônant dans une assemblée babélienne totalement soumise à des
sectes morbides ne cherchant qu’à assouvir leur désir de gain, voyant jusqu’à
naître au nom du flux migratoire, composé par un esprit dérangé au-delà de
l’Atlantique, un marché aux esclaves dans le cadre Européen, une typologie qui
est la faconde de peuples moyens orientaux avec lesquels les Peuples Européens
n’ont aucune valeur commune. Si tout un chacun regarde au plus profond des États
Européens, chacun peut voir la densité de l’usurpation par cette monstruosité
qui planifie dans une bureaucratie digne de celle des Soviétiques d’antan, la
mort des Nations qui feront place non pas à une fédération Européenne mais à un
laboratoire mondialiste où le vivre ensemble devra être loi, la loi des
communautarismes les plus belliqueux, la loi des proxénètes et des violeurs, la
loi d’une mafia gargantuesque, servie par une horde de barbare politiques
vendus comme des marques de savonnettes par des médias aux ordres, indigne
d’ailleurs des règles de la Mafia telle qu’on la connaît, où le pire côtoie
l’immonde, où la permissivité est la règle, jusqu’au viol des citoyens et
citoyennes de souche, jusqu’au racket nauséabond de masses de lâches incapables
de se battre dans leur propre Nation pour y établir les règles élémentaires de
vie, loi invasive s’il en fallait de plus répugnante où l’on voit naître le
génocide des Peuples Européens, ceux-ci n’ayant aucun droit de contredire les
gouvernances ineptes et les dirigeants inaptes, ces dernières leur envoyant les
forces de l’ordre pour les faire taire, alors que ces forces de l’ordre se
replient devant les mouvements invasifs comme on l’a si bien vu à Calais. Les
sphères politiques sont totalement pourries, des Mairies aux gouvernances,
touchant très certainement le butin de leur reptation, via des comptes discrets
dans ce monde où s’auto protège la bestialité humaine. Les Peuples Européens
sont en soumission devant cette panurgique essence dont la substance est criminelle.
Criminelle jusqu’en ses lois conduisant à la liquidation des enfants à naître
et des vieillards qui ont servi leur Nation, criminelle jusqu’à faire accroire
en un genre qui n’est que la putréfaction de l’Être Humain, un objet servile
destiné à devenir esclave sexuel ou économique des médiocres qui n’ont
d’intelligence que la valeur de leur portefeuille. Criminelle jusqu’en l’aide
servile de milices aux frontières de la Russie et ailleurs, pour œuvrer à une
troisième guerre mondiale qui satisferont les béquilles de ce temps, non les Êtres
Humains mais les atrophiés qui se prennent pour des humains et qui voudraient
régir l’ensemble de ce petit monde sous les auspices de leurs minables
« philosophes », de ces pâles copieurs et stériles individus qui sont
la bien pensée de leur médiocrité devisée et acclamée. Ces satrapes dans leur
nausée s’imaginent des théories, et la
plus belle de leur invention est celle du mondialisme, travesti en
Universalisme, alors que l’Universalité c’est le respect inconditionnel des
Peuples et des Nations existantes et non la boue putride qu’impose ce
« mondialisme » qui est le chaos par excellence. La forge de leur
glose, de leur « gnose » se tient dans les Institutions mondialistes
qu’ils ont créés de toutes pièces, l’ONU pour asservir l’Humanité sous les
arcanes de la Lucy Trust, le FMI pour asservir financièrement l’Humanité sous
la férule de la Banque des règlements internationaux, l’OMC pour asservir les
économies nationales sous la férule d’illusions devenues de sociétés qui ne
pensent plus mais bien au contraire excluent toutes pensées, l’OMS afin de
détruire l’Humanité enchaînée par les malthusianismes milliardaires et les
laboratoires pharmaceutiques déviants, comme on a si bien vu cette organisation
en action avec le H1N1, invention d’un laboratoire Américain avec d’autres
d’ailleurs, dont le vaccin était pourri par des adjuvants, etc, etc, la cour
est pleine. Mais ces Institutions ne sont que des paravents des machines de
guerre mises en place pour rendre esclave l’Humanité, les réels pouvoirs se
tenant à la FED aux États Unis et à la City à Londres, dont les rapines
s’officient à la Banque des Règlements Internationaux, le saint des saints du
culte de l’esclavagisme, dont les banques centrales sont dominions, telle la
banque centrale Européenne, qui rappelons-le est totalement hors des lois
humaines, comme le sont toutes les banques centrales. Ce vivier infect pourrit
le monde Occidental depuis des siècles et désormais, en carence économique,
alors qu’il suffit d’éteindre les dettes, remettre le curseur à zéro, ne nous
prépare même pas dans le secret, mais dans la propagande la plus irréelle, une
troisième guerre mondiale comme elle a préparé et la première et la seconde
pour s’enrichir encore plus, et surtout détruire toute intelligence humaine, ne
laissant de l’Humanité que des larves consentantes à leur mise en esclavage,
sous domination scélérate de la médiocrité la plus bestiale et barbare. Signe
byzantin par excellence, signe invasif auquel Lépante a mis fin, auquel
Poitiers a mis fin, mais qui poursuit imperturbablement son objectif. Un
objectif condescendant voyant jusqu’à de pseudos alliés devenus s’immiscer dans
nos programmes d’éducation, eux qui érigent des murs pour se défendre de
l’immigration sud-américaine, pour nous faire accepter sans broncher notre
génocide racial et ethnique, dont ils sont les promoteurs. Ici brille le phare
de la soumission dans toutes ses attitudes, dans toutes ses pénétrations, dans
tout son machiavélisme, dans toute son horreur, une horreur masquée par la
léthargie provoquée de nos contemporains, ne vivant plus le réel, mais la
virtualité qui s’impose, jusque dans des publicités pour les débiles usant et
abusant de tout ce qui permet la destruction des langues au profit de cette chose
anglo-saxonne qu’on nomme la langue anglaise sans nuances, sans finesse, une
langue de brute qui assoit sa volonté par la barbarie, fief même de cette nausée que provoque son
outrecuidance, sa malhonnêteté, sa fourberie, digne en cela de ses caractéristiques
profondes issues de ces conseils d’administration où végètent les incapables à
toute créativité, licencieux boulimiques s’imaginant l’Éternité, alors qu’ils
ne sont que comme tout un chacun que de passage sur cette petite Terre. Ces
féaux de la morbidité, ont déclaré la guerre à l’Humanité, investis toute
strate de la société humaine, tenant par leurs vices les prétendants aux
pouvoirs, tenant par leur faille tout cet aréopage de nuisibles, d’incapables,
qui prolifèrent dans les administrations, dans les institutions, petits
paravents qui donnent l’illusion d’une démocratie inexistante, les voix de ces
personnages étant achetées par avance au degré de la lie qui les immole, les
rendent litière de toute admonestation, de toute flagellation, vendus et corrompus
qui marque de leur morgue les couloirs des Assemblées, profiteurs en tous genres
qui spolient la dynamique des Nations pour l’étouffer dans leurs limbes maladifs,
leur haine incommensurable de ce que représente l’Être Humain, de ce que
représentent les Ethnies Humaines, de ce que représentent les Peuples Humains,
de ce que représentent les Races Humaines, de ce que représente l’Humanité
elle-même, que ces chiens couchés vomissent en traitant les uns les autres de
sans dents, pitoyables individus dont la belle image est donnée par la
représentation singulière de cette fourberie que l’on appelle aujourd’hui
« les républicains », mièvres personnages faisant écrire des livres à
deux sous pour vendre leur corruption à ce qui n’est pas la France et ne le sera
jamais. Têtes de liste de ces arcanes on y voit les mêmes issus de la fondation
dite franco américaine, fourrier de la Fabian society, devisant le bolchevisme
universel, qui végète dans la gouvernance actuelle, poudre de perlin pimpin
pour les gogos et les bobos qui se flagellent en chœur, lorsqu’on leur dit de
regarder ce qu’ils sont et non ce qu’attendent leurs maîtres qu’ils soient,
personnages sans envergure qui s’imaginent les maîtres du monde dès lors qu’ils
ont eu le cerveau lavé par des opinions étrangères, allant jusqu’à remettre des
légions d’honneur à des tyrans qui exécutent journellement au nom de leur
religion dans leur propre pays. Lorsqu’on regarde à quel degré d’ahurissement
en sont ces personnages qui plongent dans la guerre comme on plonge dans une
piscine, insouciant du sang d’autrui, aidant, armant, entraînant, les mains
sanglantes qui dépècent les Chrétiens d’Orient et les Musulmans modérés, qui
dans leur morgue haïssent les Nations qui se respectent, il faut vraiment avoir
perdu toute morale comme toute conscience pour les mettre au pouvoir, et
continuer à les vouloir au pouvoir, ou bien être totalement complice de leurs
crimes. La guerre est totale, mais ne doutons pas que les Êtres Humains qui se
respectent aient des alliés, de vrais alliés jusque dans les Institutions
internationales, dans les Nations elles-mêmes, jusque dans les corps d’Armée et
de police tant Nationales qu’internationales, jusque dans les sociétés les plus
discrètes comme les plus secrètes, l’apparence n’étant que le fait de déracinés
inconscients qui s’imaginent mener la barque du monde mais qui connaîtront
invariablement le désastre comme toute dictature a connu, connaîtra le
désastre. Car le corps social est comme le corps Humain, et les antis corps
qu’il dresse lorsque la maladie devient infectieuse, lentement mais sûrement se
mettent en place pour cicatriser les plaies immondes que provoquent les
densités qui s’exagèrent de par ce monde. La guerre n’est donc pas seulement la
guerre que tout un chacun doit mener contre la déliquescence, mais la guerre
que doit mener tout un chacun qui se respecte appartenant aux Institutions les
plus diverses comme les plus variées, à tous les niveaux, afin d’éradiquer le
terrorisme global, le terrorisme des cols blancs agitant les mains sanglantes,
que nous vivons en Occident. Elle doit être le fait de la Justice comme de la
Police, de l’Armée comme des Administrations, en tous lieux, en toutes places,
jusqu’à la plus humble mairie pour en élaguer les membres pourris, corrompus et
vicieux, qui s’enrichissent au détriment de la communauté Nationale, et bien
pire pour certains au détriment de la communauté internationale. Le travail
n’est pas si considérable, la médiocrité a su investir toutes les arcanes des
pouvoirs, la capacité devrait largement le faire, et sans le moindre problème,
car enfin que peut l’inintelligence contre l’intelligence ? Rien, sinon
bien entendu que d’invectiver, de molester, de flageller, de hurler, de tuer,
tant son incapacité est réductrice à ce qu’elle ne sait que faire, savoir la
destruction. C’est bien pour cela que cette guerre à mener doit être totalement silencieuse. Le nombre
défilant dans les rues dont l’intelligence diminue comme le carré de son
échantillon, n’a plus aucune valeur face à la morbidité, aux chiens de guerre
et aux milices grassement payés par les pouvoirs médiocres pour anéantir toutes
pensées, seul l’individu multiplié à l’infini résoudra l’équation de cette
dérive macabre qui se veut gouvernance. Une gouvernance de tueurs nés qui n’ont
d’autres opérandes que la destruction de l’Être Humain, la destruction des
Peuples, la destruction des Nations, au profit d’une dictature universelle dont
les prémisses existent globalement dans nos Nations Européennes. Un petit
exemple de cette dictature dans notre propre Nation, relève du changement de
nom de nos Régions, totalement arbitraire, de la réforme de l’orthographe,
totalement délirante, de la théorie du genre enseignée à des enfants de six ans
qui bientôt, si ce n’est pas déjà le cas, devront se masturber devant des
pédophiles souillant l’éducation dite nationale, de la réforme du Code du
travail qui désormais se trouve à l’état de serpillière afin de transformer en
esclave tout travailleur quel qu’il soit, de la réforme pénale qui laisse à
l’abri les assassins en tout genre, du prosélytisme islamique évertué par de
pseudos dirigeants vendus comme des marques de savonnettes à cette religion par
haine globale de leurs racines, du Catholicisme prioritairement, un régime
perverti et sans ancrage sinon celui des sectes qui le domine et l’anéantit
progressivement, etc, etc. La cartographie de la médiocrité abyssale est là
dans ses orientations qui n’ont pour but que le laminage des Peuples, la
disparition de leur Histoire, la consécration du néant et de ses abîmes où se
réjouissent tous les impotents, les illuminés, les parasites, les vendus et les
traîtres, de cette pauvre petite Terre. Ce qu’il y a d’amusant avec ce sordide,
c’est qu’il fait accroire à l’inéluctabilité de son mouvement, un mouvement
inverse qui va à la vitesse de la lumière dans le mur de ses ténèbres. Il peut
bien rêver, la lumière n’étant ni de son fait ni de ses actes, sa permanence
relève déjà de l’impermanence au regard que porte vers lui la majorité des
Peuples, une majorité qui se respecte et se fera respecter, n’en doutons un
seul instant dans les décennies à venir, tant l’ignominie est à son faîte.
Cette ignominie est le véhicule même de sa précarité, qu’un seul mouvement de
vent renversera comme le château de carte qu’il est, car ne reposant non pas
sur l’acceptation commune, mais sur le rejet commun de son outrecuidance. Que
représente-t-il en nombre ? Rien, 0,0002% des Êtres Humains, un ratio
insignifiant qui telle la grenouille se veut plus gros que le bœuf, s’imaginant
qu’avec les armes, les armées, les milices à ses ordres, il pourra terrasser
toute velléité des Peuples à reprendre leur liberté. C’est oublier que les
armées ne sont uniquement des armées politiques, mais bien composées, comme les
polices, les services de renseignements, et tutti quanti, d’Êtres Humains qui
aspirent à autre chose que d’être des machines à tuer pour des guerres qui ne
concernent pas la sécurité des Peuples. La grande erreur de cette machinerie
est là, sa fragilité de même. Elle ne représente strictement rien aux yeux de
l’Univers comme de l’Humanité sinon qu’un avatar qui sera écarté comme il se doit d’un revers de main
lorsque l’Humanité globalement cessera d’en être l’esclave. Le principe qui permet
de briser ses rouages est d’une simplicité extrême, une grève illimitée tant
Nationale qu’internationale, sans le moindre défilé ( en général totalement
investi par les soudards des oligarchies triviales) ayant pour but la restauration tant de la
Démocratie que de la République dans chaque Nation par élection de citoyennes
et de citoyens ordinaires en capacité et capables ne dépendant d’aucune
autorité or celle du Peuple, qui doit être son conseil de surveillance global.
Le reste piaillé par ce que l’on ose appeler des partis n’est toujours que
souci de duplicité, d’immoralité, de conditionnement. Cela viendra, car à force
de prendre les Peuples pour des vaches à lait, à force de prendre les Peuples
pour des imbéciles congénitaux, les Peuples œuvreront pour retrouver leur
légitimité usurpée par les sectes barbares qui pavanent comme des singes sur
les ruines des sociétés qu’ils laminent. La guerre est donc là, intérieure
comme extérieure, manipulée à souhait, le terrorisme est là, intérieur et
extérieur, manipulé comme jamais, un terrorisme qui ne dit pas son nom mais
explose à la vue de chacun qui regarde la bestialité en action. En France, les
élections Nationales auront lieu en 2017. Pour garder un avenir à la France, à
son peuple, il convient d’ores et déjà d’éliminer systématiquement des votes
toutes les marionnettes et les pantins sectaires qui sévissent dans le pouvoir
ou attendent de prendre le pouvoir, il faut cesser de voter pour les images
vendues par une presse aux ordres, que plus personne ne lit ni ne regarde
d’ailleurs, n’en déplaise. Rappelez-vous la vente du dernier Président. Une
offensive tous azimuts pour vendre ce personnage, par la télévision, la presse
écrite. Nous assistons au même principe avec son alter ego chez les
Républicains de ce jour. Alter ego car représentant la même secte et les mêmes
orientations de cette secte. Et l’on brouille encore plus les cartes en
présentant différentes facettes de cette secte dans l’intronisation de tel ou
tel personnage de ce dit parti qui est le même parti que celui qui officie
actuellement de par ses appartenances. On pourrait s’en amuser, si cela n’était
aussi triste de manipulation et de connivence, ce qui d’ailleurs n’échappe pas
à cette majorité silencieuse, par obligation du fait qu’elle est devenue paria
dans sa propre Nation. Ici se tient le lieu exact de la guerre menée contre les
Peuples, la fabulation, le laisser croire, dans le déni de la réalité des
appartenances. Cette guerre doit être gagnée par le Peuple de France, qui ne
doit plus se fier aux marques de savonnettes estampillées néoconservatrices,
bolchevique, socialiste (ah la belle injure à l’Humanité que celle-ci, une
pseudo-droite ne le sachant pas ou étant complice votant pour le socialisme
universel !) ou autre, ventre mou par exemple d’un centre ridicule et sans
la moindre perception sinon celle de sa propre corde au cou aux sectes
vivipares qui la façonnent. Une guerre qui se résoudra tout simplement dans les
urnes et par les urnes en évacuant totalement l’arbitraire d’oligarchies aux
ordres qui roulent dans la fange la Démocratie comme la République, dont elles
se réclament comme un paravent à leurs traîtrises et leurs parjures, en faisant
croire qu’ils les défendent alors qu’ils les renient jusqu’à la lie la plus
totale. Ce qui est vrai pour la France, l’est tout autant pour les autres
Nations Européennes, or certains Pays de l’Est qui ont vu le parjure manifeste
de l’erreur conjuguée que l’on nomme encore l’ « Union Européenne »,
un travestissement du réel au profit d’un fédéralisme vendu à tout ce qui est
étranger à l’Europe, se prosternant devant les revendications d’une Turquie qui
la rackette sans discontinuer au nom de la théorie des flux qu’ont acceptés des
dirigeants de Nations Européennes en méconnaissant totalement la finalité de
cet opérande qui est celui de voir l’Europe devenir le marché aux esclaves de
pseudos alliés. Lorsqu’on prépare une armée pour tirer sur les Peuples en cas
de rébellion, lorsqu’on est une Europe qui se respecte et se fait respecter, on
utilise cette armée pour stopper aux frontières les millions de migrants si
bien payés par le népotisme apatride qui se veut dominant, et on ne fait
rentrer sur nos terres que des réfugiés et non des migrants économiques. Mais
cela est beaucoup trop demander à des patronats en mal d’esclavagisme qui, à
l’image de leurs ancêtres, devisent les bénéfices qu’ils peuvent faire sur ce
trafic d’Être Humain qu’ils pourront payer à bas coût. L’irresponsabilité
congénitale est là, dans cette fiction morbide, dans ce dépotoir mental, dans
cette avanie qui ruisselle le sang des innocents, tant à l’intérieur de
l’Europe qu’à l’extérieur de l’Europe, menant tout droit les Nations
Européennes sous la férule de la dictature Islamique si les Peuples n’y
prennent garde et évacuent de tous leurs votes les primitifs qui cherchent à
anéantir leur Culture, leur Identité, leur force naturelle. Bouffis d’orgueil
ces monstres égotiques ne voient plus la réalité, s’imaginant des Empereurs
Romains, alors qu’ils n’en sont que des menstrues, dignes de Néron, Caligula et
non de César, Hadrien ou Marc Aurèle. L’Europe
se fera, mais une Europe des Nations respectueuses de ses Peuples et de ses
Existants, et cette caverne d’Ali Baba, cette tour de Babel vendu aux lobbies
qui y trouvent là la matière à toute servilité pour quelques euros. Ce qui est
vrai pour les États est vrai pour cette Europe spoliée, végétative de toutes
les sectes qui la déstructurent. Je ne
saurais rappeler que ce ne sont pas les Institutions qui sont en cause, mais le
parasitisme qui règne en leurs enceintes, que ce soient les Institutions
Nationales, comme Internationales et que le combat doit être mené en leur sein
pour en destituer les moisissures. Les Anglais s’apprêtent à quitter ce navire
sans capitaine, et ils ont bien raison, d’ailleurs ils n’ont en aucun cas
besoin de ce terreau infertile, l’Empire Britannique existant leur suffisant
bien pour œuvrer à leur prospérité. L’Europe ne sera jamais l’Europe si elle ne
s’unit dans le cadre de l’Europe des Nations, avec la Russie, n’en déplaise. Ce
n’est qu’à ce prix qu’elle redeviendra une puissance naturelle, et non une
esclave proscrite que certains cherchent à détruire en la violant, et en la
soumettant. Le devenir Européen passe par l’Eurasie et en aucun cas par une
vassalisation aux États Unis d’Amérique, qui d’ailleurs ont bien autre chose à
faire avec leur zone Pacifique plutôt que de s’appesantir sur une terre livrée à
la bestialité la plus totale et la plus globale. Ce n’est que lorsque l’Europe
qui se respecte et se fera respecter existera, grâce à l’Europe des Nations,
qu’alors pourront s’engager les grands mouvements pour une gouvernance de
conseil, et non de pouvoir, mondial, par l’équilibre sine qua non voyant naître
les grands espaces que seront les États-Unis, le Canada, l’Europe, la Russie,
pour une part, l’Afrique pour seconde part, l’Amérique du Sud pour troisième
part et enfin l’Asie. Mais pour cela il convient de revisiter totalement les
écueils et les élaguer de ce qui prostitue ce petit monde à l’ambition aveugle
de sectes diverses et variées qui n’ont pas à usurper les pouvoirs comme
l’autorité des Peuples composants. La guerre est là, dans ces deux conceptions
du monde que sont d’un côté le mondialisme où la dictature universelle, et
l’Universalité, et en aucun cas l’universalisme qui est une litière du
mondialisme, voyant naître un Ordre mondial naturel respectueux de toutes
Nations comme de tous Peuples, et notamment du droit des Peuples à disposer
d’eux-mêmes sans être sous la férule du vice et de l’ordure, de l’esclavagisme,
au nom de pseudos droits d’ingérence dénués de tous fondements, sinon ceux de
la spoliation, de la mise en esclavage, du vol comme du viol légalisé. La
guerre est donc là, et il faut l’assumer, ne pas la craindre et encore moins la
regarder à la légère. Gageons que la bonne volonté Humaine saura gagner ce
combat qui est celui de la droiture, de l’honneur, de l’élévation, contre la
traîtrise, la fourberie, le déshonneur, la destruction. »
Pauvre petite Terre où fort
heureusement se lèvent des Nations pour corriger la bêtise et la haine, la
corruption et la félonie, l’esclavagisme putride dans lesquels se fourvoient
l’inhumanité la plus corrompue et la plus bestiale. Espérons que les Êtres
Humains se réveillent de cette virtualité immonde que nous avons combattue il y
a bien des siècles et dont aujourd’hui nos enfants et nos petits enfants qui
essaiment les étoiles tiennent compte afin de libérer du joug des vies
entravées par l’atrophie et ses constituants. À suivre…
The war
Small news of this small Ground delivered to the
plague in Occident of bestiality and of its féaux, but let us read:
“The war is a phenomenologic invariant against which
one can fight only if it is exceeded, within the meaning of the Spirit more
meaning. Any war is born from a confusion of the kinds, rejection of the
identities, formal rejection of Humaine reality, its Races, its People, of its
Ethnos groups, an incommensurable rejection built mainly by the lure of gain,
the flight, the rape, plundering, traditional actions of the congenital
incapacity to create, innovate, raise, undertake. Cruelty is in this place,
because it is advisable here to put well forward the attacker vis-a-vis attacked.
The attacker is always a barbarian who cannot be unaware of himself, a cruelty
giving place to all the exactions, all the putridity materialized by the
chronic degeneration of the bestiality which grinds in the atrophy related to
the driving disunion of the Human one, which instead of looking at symbiosis of
the body, the spirit and the heart, is contained on two of these components, an
osmosis giving birth to the rough materialist, spiritualistic gross and
primitive gross. The war is the product thus of the Humaine atrophy. Resultant
towards which attacked must understand that it must react if it wants to
survive, a healthy reaction, without pity, state of heart which must undertake
the total eradication of cruelty to its doors as in its center. The universe is
violent, and it should be understood thus to be in correspondence with the
degree of action necessary to the total liquidation of the atrophy which seeks
to harm the homeostasis of the stocks of Humanity, stocks necessary, because
complementary, allowing rise and not the destruction, the complementarity
multiplying the intelligences, dilution causing an exponential reverse of the
intelligence. When one observes the present, one can see without amazement, the
atrophy to want to be main human layers, deploying the primitive hordes in the
name of the atrophy as well spiritualistic as materialist in a blood bath which
finds its roots in the most total handling of the human factors vectors of the
atrophy. Thus one can see that when the power is left between the hands of
spiritualistic like materialists, handling with wish the primitive ones, this
power, without countervailing power, drift towards the abyss, and strews our
ground with concomitant disasters. The war taking into consideration this drift
must be thus total with respect to this adversity, born from any human
deficiency. It could not be exceeded that within the symbiotic framework, in
the multilateral respect of all human layers, and this respect inevitably
passes by the total reconsideration of the artefacts which want to govern the
human destinies and whose vectors are primitive so much, which spiritualistic,
that materialists, operands related to an atrophy which one can describe as
osmotic, because taking account only of two faces of alive reality,
spirit-body, or body-heart, or spirit-heart. In any event, one should not fear
the war which is declared with humanity as a whole, but quite to the contrary
strengthen the respectful positions of Humaine reality definitively to
counterbalance the cruelty which prevails. This cruelty must be destroyed
completely and overall, as well on the level of its bloody hands as on the
level of its clients. It is only at this price that Humanity this day will
leave this temporal contraction carrying out it towards disintegration. For
those and those which would fear the need for fighting, I could not too much
enjoin to them to read and read again Bhagavad Gîtâ, the book of the excellence
of our true roots which composes with the duty of the combat against cruelty and
its slaves. The war is not only physical, it is that of the Spirit like Heart,
it that of the culture against acculturation and propaganda, it is that of
Spirituality against the dictatorship of pseudonyms uprooted monotheism, it is
that of the symbiotic Unit against the osmotic atrophy, it is total, total, and
civilizing. The confrontation is always avoidable within the framework of the
multilateral respect, it is not it more within the framework of the tender to
cruelty and its féaux, of its corrupted and multiform insipid servants who
crawl in front of their own anguish. One does not compromise with cruelty, one
fights it until his anguish, the triumph of the will which must embank its
adversity in its components, his layers, his leaven, this causes to become
gangrenous which soils Humanity with deepest of itself, by corrupt practices,
lies, plots, dismaying propaganda, implementing the psychological rape of
crowd, the systemic rape of the populations, initiating the refuse like supreme
top, as well in arts as in the social body, as well in as one dares to call the
“policy” than in all the usurped Institutions, in the total contempt of the
People, by stray castes whohave doctrines that the establishment of the
Universelle dictatorship, disguised under the soft euphemism of universal
“republic”. The war of aggression towards the Humanity which is carried out by
not-Humanity must find answer in each layer of the companies, in the trade
unions, in the opened organizations, discrete, secret, in the Institutions, all
the bodies politic, the most infamous sects which they are, in order to destroy
the engines and the powers of them, by a total infiltration, not involved,
unanimous which will make it possible to reverse the mausoleum of the terror
which wants to be reign. There is no association which should not be
insinuated, by parties which should not be insinuated, not of sects which
should not be insinuated, all must be completely invested, in a quiet war, an
all-out war against the limbs of the rot which groan there and act in concert
there, wallows and governs there a savage hatred towards Humanity. The glove of
the war must be raised in all the Ideas, on all fronts which seek to destroy
reality with the profit of the virtual one. All that induces a liquidation of
Humaine reality must be continued without slackening, until in the public
toilets if it is needed, the refusal of alive, the refusal of the life, the
refusal of the Human Races, the refusal of the Human People, the refusal of the
Human Ethnos groups, the refusal of the Human Universal History and its People
like its Civilizations, the refusal Human Être, of the Woman like Man, the
refusal of the duty Politique, the refusal of the inalienable right of the
People to have themselves, the refusal of the Humaine transcendence. Thus
acculturation, the disrespect of the Human languages, furriers of Human
cowardice, must be fought without slackening, the human rights without the
least duty, in the same way, because these “rights” without the least value taking
into consideration complementary duty are the furriers of laxism, the tender,
the slave system most totalitarian which are and we see to the twenty and one
nth century what they give: modes where corruption becomes a system, where the
Democracy by primitive oligarchies, where the Republic does not exist replaced
any more is nothing any more but one lure veiled by the lie and the
abstraction, where condescending cruelty is a flag, where the minority
communitarianisms become the levers of citizens of first and second classes,
the last being represented by the People which gave their Life for their
respective Nation. The human values are not of these predatory burrows, and
even less theirs binds viscous which is congratulated in the defecation and the
zoophilia when it is not in the pedophilia more nauseating, here it should well
be understood that immorality more feeling reluctant is its field, dedicated
which it is with its most senile abstractions, that of the profit that it is
primitive or sexual. We do not have to make with its representatives geared
down with Human Beings with the noble direction but well with Humains
misadventures whose predation is clean incapacity with any creation, disabled
person in talents which are delighted in their mediocrity only with the human
mediocrity and to in no case with the human capacity. The war is of their fact,
their desires of profit, their human unconsciousness which they disguise as
“values”. When one observes these “values” one can be only concerned about
their mental health: in the name of a non-existent right of interference the
decree of all possible and conceivable wars, under the untrue pretexts most
inept, crimsoned by the illusion of the introduction of “democratic” modes
completely perverted by their sectarian domination, the handling of militia to
their orders making the most monstrous exactions that the ground knew, until in
their own ground in order to insinuating terror, the weapon of the cowards and
proscribed, the stateless people and servile, all that Humanity can generate by
blindness, inconsistency, defect of character, jealousy, hatred, all ways
leading to the loss of very real human value. When one observes these “values”,
dishonor like trademark, treachery and cheating like engines, the tender and
the snaking like stones of work, one cannot have if not that contempt that
compassion for these poor wretches which live only by their human insufficiency
and would like that each and everyone resembles to them. Except with being
accessory, each and everyone perceives beyond the limbs of propaganda, that it
of completely rotted there something on this face of the world which one calls
the Occident. The People are not main any more there, their usurped power
trônant in an assembly babélienne completely submitted to morbid sects seeking
only to appease their desire of profit, seeing until being born in the name of
the migratory flux, made up by a spirit disturbed beyond the Atlantic, a market
with the slaves within the framework Européen, a typology which is the
facundity of Eastern people average with which the European People do not have
any common value. If each and everyone looks in deepest States Européens, each
one can see the density of the usurpation by this monstrosity which plans in a
bureaucracy worthy of that of the Soviets of yesteryear, the death of the
Nations which will give way not to an European Federation besides but at a
pro-globalization laboratory where the food together will have to be law, the
law of the most quarrelsome communitarianisms, the law of the procurers and
rapists, the law of a gargantuan Mafia, been used by a horde of barbarian
policies sold like marks as cakes of soap by media with the orders, makes
indignant at the rules of the Mafia such as one knows it, where the worst mixes
with the unclean one, where permissiveness is the rule, until the rape of the
citizens and citizens of stock, until the nauseous racket of masses of cowards
unable to fight in their own Nation to lay down the elementary rules of life
there, invasive law if it were necessary some moreover feeling reluctant where
one sees being born the genocide from the European People, those not having any
right to contradict the inept governances and the inapt leaders, these last
sending the police to them to make them conceal, whereas this police is folded
up in front of the invasive movements as one saw it so well in Calais. The
political arenas are completely rotted, of the Town halls to the governances,
concerning doubtless the spoils of their snaking, via discrete accounts in this
world where car protects human bestiality. The European People are in tender in
front of this panurgic petrol whose substance is criminal. Criminal until in
its laws resulting to the liquidation of the children in being born and the old
men who served their Nation, criminal until making accroire in a kind which is
only the putrefaction Human Être, a servile object intended to become slave
sexual or economic the poor ones which has intelligence only the value of their
wallet. Criminal until in the servile assistance militia at the borders of
Russia and elsewhere, to work with a third world war which will satisfy the
crutches with this time, not the Human Beings but atrophied which are caught
for the human ones and which would like to govern the whole of this small world
under the auspices of their poor “philosophers”, of these pale copiers and
sterile individuals who it are well thought of their unscrewed and acclaimed
mediocrity. These satraps in their nausea think theories, and most beautiful of
their invention is that of the Universalism, disguised as Universalism, whereas
the Universality it is the unconditional respect of the People and the existing
Nations and not putrid mud that this “Universalism imposes” which is chaos par
excellence. The forging mill of their gloss, of their “gnosis” is held in the
pro-globalization Institutions that they created of all parts, UNO to control
Humanity under the mysteries of Lucy Trust, the IMF to financially control
Humanity under the cane of the Bank for international settlements, WTO to
control the national economies under the cane of become illusions of companies
which do not think any more but quite to the contrary exclude all thought, WHO
in order to destroy the Humanity connected by the deviating Malthusianisms
billionaires and pharmaceutical laboratories, as one saw so well this
organization in action with the H1N1, invention of an American laboratory with
others besides, whose vaccine was rotted by additives, etc, etc, the court is
full. But these Institutions are only folding screens of the machines of war
installation to return to slave Humanity, the real powers being held with the
EDF in the United States and City in London, whose plunders are officiated at
the Bank for International settlements, the Holy of Holies of the worship of
the slave system, of which the central banks are dominions, the such Européenne
central bank, which let us recall it is completely out of human laws, like are
all the central banks. This repugnant fish pond rots the western world since
centuries and especially from now on, in economic deficiency, whereas it is
enough to extinguish the debts, to give the cursor to zero, does not even
prepare us in the secrecy, but in the most unreal propaganda, a third world war
as it prepared and the first and the second to grow rich even more, and to
destroy any human intelligence, not leaving of Humanity but larvae granting
their setting in slavery, under heinous domination of the most bestial and
barbarian mediocrity. Sign Byzantine par excellence, invasive sign to which
Lépante put an end, to which Poitiers put an end, but which pursues its goal
imperturbably. A condescending objective seeing until allied pseudonyms become
to involve itself in our programs of education, them which set up walls to be
denied South American immigration, to make us accept without stumbling our
racial and ethnic genocide, of which they are the promoters. Here the headlight
of the tender in all its attitudes shines, in all its penetrations, all its
Machiavellism, in all its horror, a horror masked by the caused lethargy of our
contemporaries, not living more reality, but the virtuality which is essential,
until in publicities for the weak ones using and misusing all that allows the
destruction of the languages the profit of this Anglo-Saxon thing that one
names the English language without nuances, smoothness, a language of rough
which assoit its will by cruelty, stronghold even of this nausea which its
impertinence causes, its dishonesty, its cheating, worthy in that of its
characteristics deep exits of these boards of directors where the incompetents
with any creativity vegetate, licentious compulsive eaters thinking Eternity,
whereas they are only as each and everyone that of passage over this small
Ground. These féaux of morbidity, declared the war with Humanity, invested any
layer of the human society, holding by their defects the applicants with the
powers, holding by their fault all this learned assembly of vermin, of
incompetents, who proliferate in the administrations, in the institutions,
small folding screens which give the illusion of a non-existent democracy, the
voices of these characters being bought by advance with the degree of the dregs
which immolate them, return them litter of any admonition, of any scourging,
sold and corrupted which marks of their mortuary the corridors of the
Assemblies, profiteurs in all kinds which despoil the dynamics of the Nations
to choke it in their morbid limbs, their incommensurable hatred of what
represents the Human Being, of what represent the Human Ethnos groups, of what
represent the Human People, of what represent the Human Races, of what
represents Humanity itself, that these dogs lying vomit by treating the ones
the others of without teeth, pitiful individuals whose beautiful image is given
by the singular representation of this cheating that one calls today “the
republicans”, insipid characters making write books with two pennies to sell
their corruption with what is not France and will be it never. Chief candidates
of these mysteries one sees the same resulting ones from the free American said
foundation there, furrier of Fabian society, unscrewing the universal
Bolchevism, which vegetates in the current governance, powders perlin pimpin
for the suckers and the sores which are whipped in chorus, when one tells them
to look at what they are and not until their Masters wait who they are,
characters without scale which think the Masters of the world since they had
the brain washed by foreign opinions, going until giving of the legions of
honor to tyrants who carry out daily in the name of their religion in their own
country. When one looks with which degree of bewilderment are these characters
who plunge in the war as one plunges in a swimming pool, carefree man of the
blood of others, helping, arming, involving, the bloody hands which cut up
Christians of the East and Muslims moderated, which in their mortuary hates the
Nations which are respected, he is really necessary to have lost any morals
like any conscience to put them at the power, and to continue to want them with
the power, or to be completely accessory to their crimes. The war is total, but
let us not doubt only the Human Beings which respect themselves have allies,
the truths combined until in the International institutions, the Nations
themselves, until in the police and army corps as well Nationales as
international, into the most discrete companies like most secret, appearance
being only the fact of uprooted unconscious which think to carry out the boat
of the world but which will know the disaster invariably as any dictatorship
knew, will know the disaster. Because the social body is like the human body,
and the antis body which it draws up when the disease becomes infectious,
slowly but surely are set up to heal the unclean wounds which the densities
cause which are exaggerated from this world. The war is thus not only the war
that each and everyone must carry out against deliquescence, but the war which
each and everyone must carry out which is respected pertaining to the most
various Institutions like most varied, on all the levels, in order to eradicate
total terrorism, the terrorism of the white collars agitating the bloody hands,
which we live in Occident. It must be the fact of Justice like Police, Army
like Administrations, in all places, in all places, to the humblest town hall
to prune of them the rotted, corrupted and vicious members, who grow rich to
the detriment of the national community, and quite worse for some to the
detriment of the international community. Isn't work so considerable, the
mediocrity knew to invest all the mysteries of the powers, should the capacity
largely do it, and without the least problem, because finally which obtuseness
against the intelligence can? Nothing, if not of course to inveigh, maul, whip,
howl, kill, so much its incapacity are reducing so that it can only make, to
know the destruction. It is well for that this war to be carried out must be
completely quiet. The number ravelling in the streets whose intelligence
decreases like the square of its sample, does not have any more any value
vis-a-vis morbidity, with the dogs of war and with the militia handsomely paid
by the poor powers to destroy all thought, only the ad infinitum multiplied
individual will solve the equation of this macabre drift which wants to be
governance. A governance of killers born who have other operands only the
destruction Human Être, the destruction of the People, destruction of the
Nations, with the profit of a universal dictatorship whose premises exist
overall in our European Nations. A small example of this dictatorship in our
own Nation, concerns the name change of our Regions, completely arbitrary, of
the spelling reform, completely delirious, of the theory of the kind taught with
some six year old children which soon, if it is not already the case, will have
to masturbate in front of paedophiles soiling education known as national, of
the reform of the Labor Code which from now on is with the state of floorcloth
in order to transform into very hard-working slave whatever it is, of the penal
reform which leaves with the shelter the assassins in any kind, of the Islamic
proselytism évertué by leader pseudonyms sold like marks of cakes of soap with
this religion by total hatred of their roots, Catholicism firstly, a mode
perverted and without anchoring if not that of the sects which dominates it and
destroys it gradually, etc, etc the cartography of the abyssal mediocrity is
there in its orientations the purpose of which are only rolling of the People,
the disappearance of their History, the dedication of nothing and its abysses
where all the cripples, enlightened, the parasites, sold and the traitors are
delighted, of this poor small Ground. What there is amusing with this sordid, it
is that it makes accroire with the ineluctability of its movement, an opposite
movement which goes at speed of light in the wall of its darkness. It can dream
well, the light not being neither of its fact nor of its acts, its permanence
raises already of impermanency to the glance that towards him the majority of
the People carries, a majority which respects itself and will be made respect,
do not doubt it only one moment in the decades to come, so much the ignominy is
with its ridge. This ignominy is the vehicle even of its precariousness, that
only one movement of wind will reverse as the house of cards which it is,
because not resting not on common acceptance, but on the common rejection of
its impertinence. What does it represent of number? Nothing, 0.0002% of the
Human Beings, an unimportant ratio which the such frog wants to be larger than
beef animal, thinking that with the weapons, the armies, the militia with its
orders, it will be able to embank any inclination of the People to take again
their freedom. It is to forget that the armies are not only political armies,
but composed well, like the police, the intelligence services, and tutti
quanti, of Human Beings which aspire to another thing to be machines to be
killed for wars which do not relate to the safety of the People. The great
error of this machinery is there, its of the same brittleness. It strictly does
not represent anything with the eyes of the Universe like Humanity if not but
one misadventure which will be isolated as it should be of a reverse of hand
when Humanity overall ceases being the slave about it. The principle which
makes it possible to break its wheels of a simplicity an extreme, unlimited
strike Nationale as international, without least is ravelled as well (in
general completely invested by the roughneck soldiers of commonplace
oligarchies) having for goal the restoration so much of the Democracy than of
the Republic in each Nation by election of citizens and ordinary citizens in
capacity and able depending on no authority but that of the People, which must
be his total supervisory board. The remainder chirruped by what one dares to
call of the parties is always only preoccupation of duplicity, immorality, a
conditioning. That will come, because by take the People for cash cows, by take
the People for congenital imbeciles, the People will work to find their
legitimacy usurped by the cruel sects which strut about as monkeys on the ruins
of the companies that they roll. The war, interior like external, is thus
handled there with wish, terrorism, interior and external, is handled there
like never, a terrorism which does not say its name but explodes with the sight
of each one which looks at bestiality in action. In France, the Nationales
elections will take place in 2017. To keep a future in France, with its people,
it is advisable right now systematically to eliminate from the votes all the
sectarian puppets and puppets who prevail in the power or wait to come to
power, it is necessary to cease voting for the images sold by a press for the
orders, which nobody any more reads nor does not look at besides, with due
respect. You point out the sale of the last President. An overall offensive to
sell this character, by television, the written press. We attend the same
principle with its alter ego at the Republicans of this day. Alter ego because
representing the same sect and the same orientations of this sect. And one
scrambles even more the charts by presenting various facets of this sect in the
establishment of such or such character of this known as party which is the
same party as that which currently officiates from its memberships. One could
of to amuse, if that were not also sad of handling and complicity, which
besides does not escape this silent majority, by obligation owing to the fact
that it became bet in its own Nation. Here the exact place of the war carried
out against the People, fabulation is held, to let it believe, in the disavowal
of the memberships. This war must be gained by the People of France, which
should not trust any more the marks of stamped cakes of soap néoconservatrices,
Bolshevik, Socialist (ah the beautiful insult with Humanity that this one, a
pseudo-right-hand side not knowing it or being accessory voter for universal
socialism!) or other, soft belly for example of a ridiculous center and without
the least perception if not that of its own cord to the neck with the
viviparous sects which work it. A war which will be solved quite simply in the
ballot boxes and by the ballot boxes by completely evacuating arbitrary
oligarchies with the orders which roll in mud the Democracy like the Republic,
of which they are claimed like a folding screen with their treacheries and
their perjuries, while making believe that they defend them whereas they
disavow them to the most total dregs. What is true for France, is as much for
the other European Nations, but certain Eastern Bloc countries who saw the
manifest perjury of the combined error that one still names the “European
Union”, a dressing-up of reality to the profit of a federalism sold with all
that is foreign in Europe, bowing down in front of the claims of Turkey which
racketeers it without stopping in the name of the theory of flows that accepted
of the leaders of European Nations by completely ignoring the finality of this
operand which is that to see Europe becoming the market with the slaves of
allied pseudonyms. When one prepares an army to shoot at the People in the
event of rebellion, when one is Europe which respects itself and is made
respect, one uses this army to stop at the borders the million migrants paid so
well by the nepotism stateless person which wants to be dominating, and one
makes return on our grounds only of the refugees and not of the economic
migrants. But that is too much much to require of employers in evil of slave
system which, with the image of their ancestors, unscrew the benefit that they
can make on this traffic Human Being that they will be able to pay at low cost.
Congenital irresponsibility is there, in this morbid fiction, this mental dump,
this affront which streams the blood of the innocent ones, both inside Europe
and outside Europe, carrying out straight the European Nations under the cane
of the Islamique dictatorship if the People there do not take care and evacuate
of all their votes the primitive ones which seek to destroy their Culture,
their Identity, their natural force. Puffed up of pride these egotistic
monsters do not see any more reality, thinking Roman Emperors, whereas they are
only menses, worthy of Néron, Caligula and not of César, Hadrian or Marcus
Aurelius. Europe will be done, but
Europe of the respectful Nations of its People and its Existing, and this cave
of Ali Baba, this tower of Babel sold with the lobbies which find there there
the matter with any servility for a few euros. What is true for the States is
true for this despoiled Europe, vegetative of all the sects which remove the
structure from it. I could not recall
that in fact the Institutions are in question, but the parasitism which reigns
in their enclosures, that they are the National Institutions, like
Internationales and which the combat must be carried out in their center to
relieve the moulds of them. The English are on the point of leaving this ship
without captain, and they are right well, moreover they do not have to in no
case need for this unfertile compost, the British Empire existing their
sufficient good to work with their prosperity. Europe will be never Europe if
it is not linked within the framework of Europe of the Nations, with Russia, with
due respect. It is only at this price that it will become again a natural
power, and not a proscribed slave that some seek to destroy by violating it,
and by subjecting it. To become Européen passes by Eurasia and to in no case by
a vassalisation in the United States of America, which besides have well
another thing to make with their Pacifique zone rather than to dwell too long
on ground delivered to the most total bestiality and most total. It is only
when Europe which respects itself and makes respect exists, thanks to Europe of
the Nations, which then the great movements for a governance will be able to
begin of council, and not of being able, world, by sine qua non balance
indicator to be born big spaces which will be the United States, Canada, Europe,
Russia, for a share, Africa for second share, South America for third share and
finally Asia. But for that it is advisable to revisit the shelves completely
and to prune them what male prostitute this small world with the blind ambition
sects various and varied which do not have to usurp the powers like the
authority of the component People. The war is there, in these two designs of
the world which are on a side Universalism where universal dictatorship, and
Universality, and to in no case the universalism which is a litter of
Universalism, indicator to be born a respectful natural world Order from all
Nations like all People, and in particular from the right of the People to have
themselves without being under the cane of the defect and the refuse, of the
slave system, in the name of right pseudonyms of interference stripped of all
bases, if not those of spoliation, the setting in slavery, the flight like
legalized rape. The war is thus there, and it is necessary to assume it, not to
fear it and even less to look it with the light one. Let us guarantee that the
Humaine good will be able to gain this combat which is that of uprightness, the
honor, of rise, against treachery, cheating, dishonor, the destruction.”
Poor small Ground where extremely fortunately Nations
rise to correct the silly thing and hatred, corruption and disloyalty, putrid
slave system in which are misled the most corrupted inhumanity and most
bestial. Let us hope that the Human Beings awake this unclean virtuality which
we fought there is many centuries and whose today our children and our small
children who swarm the stars take account in order to release from the yoke of
the lives blocked by the atrophy and its components. To
follow…
© Vincent Thierry
https://www.arrowpassage.com/veteran-substance-abuse/
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