Athéisme
L’athéisme est le propre du
narcissisme, de l’égoïsme, de l’anthropomorphisme les plus déviants qui soient,
car se basant sur deux vecteurs humains, le corps et l’esprit, et ne tenant
absolument pas compte de la réalité humaine, trinitaire par excellence dont les
composantes sont le corps, l’esprit et l’âme. L’impuissance née de l’athéisme à
toute élévation humaine se révèle parfaitement dans le cadre de pseudos
sociétés et pseudos idéologies permettant la déliquescence dans ce qu’elle a de
plus ténébreuse, où l’idiotie devient un fer de lance, la médiocratie un socle
particulier permettant la dénaturation de toutes valeurs essentielles au profit
du néant, du glauque, du sordide, de la bêtise associée à la vanité la plus
exclusive et inclusive et bien plus de la barbarie, car dans son déséquilibre
marque de l’intolérance la plus formelle à l’endroit de tout ce qui ne pense
dans sa cécité. Une cécité que l’on retrouve à l’opposé dans le cadre du rejet
du corps, propre de pseudos spiritualités totalement inconsistantes illuminant
le matérialisme le plus torve, comme le matérialisme illuminant la spiritualité
la plus déficiente qui soit. Il n’est pas difficile de comprendre ici que la
correspondance de ce mal est liaison de tout ce que la virtualité féconde, dans
l’irresponsabilité comme dans la cruauté la plus absolue, car vecteur d’un
non-être, sans respire sinon celui de ses addictions les plus immondes comme
les plus stériles, centrées sur un égocentrisme dont la permanence est un
reflet humain et en aucun cas l’Humain, un néant mue par ses instincts bestiaux
et en aucun cas par l’unité plénière permettant l’équilibre et par l’équilibre
une avance impartiale dans la Vie, pour la Vie et par la Vie. L’athéisme ici
trouve sa source, celle de la bestialité, pire de la sous-bestialité, car on a
jamais vu les animaux se traiter ainsi, et réverbère les périodes historiques
récentes, comme notre pseudo-monde d’aujourd’hui plus particulièrement en
Occident, d’une manière particulièrement pertinente. Que sont donc les valeurs
tant prisées par ce pseudo-Occident ? L’onirisme le plus prétentieux, la
vanité la plus infatuée, la possession la plus outrancière, le déni de la Vie,
de la jeunesse comme de la vieillesse, par addiction à l’avortement, la
vaccination mortifère et l’euthanasie, la jouissance polymorphe perverse et
criminelle, pédophilie, zoophilie, l’invariance de l’accroire de l’éternité en
ce lieu, apurant les tréfonds d’un satanisme délirant, meurtrier et conjugué
dans ces sphères qui s’autodécrètent élites, alors qu’elles ne sont que les bas-fonds
de l’avilissement et ses scories. Belles valeurs que celles-ci encourageant le
crime, encourageant l’assassin, encourageant le délitement de la famille,
encourageant la pornographie à tous niveaux jusque dans les écoles primaires où
le « genre », cette théorie née d’un débile mental s’étant autocastré
pour complaire à son athéisme vicieux le plus profond, est désormais le berceau
d’enfants inadaptés, pour la plupart vissés à des écrans qui les auscultent,
les mènent par le bout du nez vers le néant et ses singeries. Le vivier de
cette lèpre qui fustige l’innocence se retrouve dans ces sociétés discrètes, cette
franc-maçonnerie déviante qui est la fange par excellence détenant par viol de
l’esprit tous les pouvoirs, afin d’incarner sa sous-bestialité par tous les
degrés du vivant, afin de l’anéantir par tous les moyens pour créer l’esclave
parfait, immonde, immature, objet économique comme sexuel à l’usage de la
dépravation qui gouverne, via ses marques de savonnettes, comme on les voit si
bien dans notre Nation. Ces valeurs ne sont pas celles de l’Etre-Humain qui se
respecte et se fait respecter. Elles sont les valeurs des leurres qui s’accouplent
à leur miroir, tellement pédants que leur regard sut la morve qui leur sert de
cervelle, des bouffis d’orgueil dont la démesure efface toute manifestation
humaine au profit de la fiente, comme en témoigne l’Art de ce jour, qui lui n’est
pas responsable, car seul instrument de mesure de la prouesse ou du déclin d’une
civilisation. Ce miroir nous montre l’absurdité dans sa couardise, dans ce
limon de flatulence où les ordonnances vont de la liquidation systémique des
sexes, des ethnies, des races, de l’humanité elle-même, afin d’idolâtrer la
virtualité et ses actes barbares, tel qu’on peut le voir ce jour lorsque les
médias enchantent les djihadistes aux ordres de certaines gouvernances qui ont
étripé, éviscéré, décapité, que ces errements voudraient faire passer pour des
héros. On ne s’étonnera pas devant cette décérébration que certaine personne
issue de terres étrangères aille jusqu’à dire qu’il faut gazer la race blanche,
cette sous-race, bien entendu avec l’aval d’une justice en décomposition, d’une
gouvernance qui n’est que le leurre de l’usure, car ici dans le cadre de leurs
valeurs, tout ce qui souille et veut détruire l’existence humaine, surtout si
elle est caucasienne, croyante, chrétienne ou orthodoxe, ne mérite pas de
vivre, car ne partageant pas les valeurs des nains intellectuels qui dans leur
tripot malfamé égosillent leur impuissance à toute création, en inventant et
conditionnant leur fer de lance, un laïcisme ridicule, porteur des germes de la
mort, comme on l’a si bien vu en œuvre lors du génocide Vendéen, lors du
Génocide Russe, lors du génocide Arménien, lors du Génocide Chinois, lors du
génocide des Pays de l’Est par leurs promoteurs hideux, souillures par
excellence de l’Humanité. L’athéisme est là, dans sa pompe, ses honneurs et ses
gloires, un athéisme propulsant non pas les Êtres Humains, mais des
sous-humains dans la barbarie la plus totale comme on a pu la voir récemment en
action en Syrie et en Irak, et qui ce jour devrait être pour certaines Nations,
via une immigration de masse, en vue de remplacer les peuples autochtones, l’idéal
remarquable. Les caractères de cette boue sont en voie de maîtrise dans nombre
de Pays dont la population s’efface pour tendre la gorge à la bestialité, car
cette population est vidée par une sous-culture minable, de toute sa vitalité,
de ses orientations, culpabilisée par le néant et ses miasmes qui frétillent
pour obtenir des subventions afin de flageller le Peuple qui ne pense pas comme
eux, avec la bénédiction de cette sordide association de francs-maçons véreux
qui sans jeu de mots, ont vendu leur âme au diable afin de connaître le délire
d’une onde de pouvoir, sitôt retiré lorsqu’ils ne s’inscrivent pas dans la boue
qui est leur couronnement, leur synthèse et leur dévotion. Ces métastases sont
là, dirigeantes, et destituent la vitalité des Peuples, comme on peut très bien
les voir en action dans notre Nation ce jour, en nourrissant les portefeuilles,
et en paupérisant par une ponction de vingt et un milliards d’euros la classe
moyenne qui fait vivre la Nation, en insufflant un milliard d’euros dans l’aide
médicale d’état, au détriment du Peuple de France afin de soigner toute la
misère humaine, surtout si elle vient de Nations où règnent des potentats aux
ordres de la gouvernance, eu égard à l’exploitation de leurs matières premières
ou tout simplement de leur vol. L’athéisme ici se révèle dans sa cruauté la
plus abyssale, devient vecteur de l’esclavagisme le plus hideux qui soit, instituant
une nouvelle traite des Africains, avec le blanc-seing de leurs roitelets,
rejoignant en cela la faconde des djihadistes vendant les Chrétiens aux plus
offrants, dans une traite qui a toujours existé dans le monde sémitique et qui
n’est pas née d’hier. La constitution Française, ici, vole en éclat, et ce n’est
pas peu de le dire, voyant l’étranger mieux traité que le Peuple de France, en
attendant sa mise en servage par les prédateurs cosmopolites dirigeant ce qu’il
reste de son industrie. Il n’y a plus de liberté, d’égalité, de fraternité dans
cette Nation, mais un marché aux esclaves digne des barbaresques les plus
sauvages et les plus criminelles, un marché aux esclaves si bien défendu par
une justice aux ordres, qui libère bien entendu les criminels quels qu’ils
soient dès qu’ils ne sont pas Français, par une gouvernance hideuse qui achète
des hôtels pour loger ces esclaves en laissant périr de froid plus cent
cinquante mille sans abris dans notre Nation, où le paupérisme s’installe avec
son vivier infect de déprédation, de vol et de viol en tout genre. L’athéisme
ici brille de tous ses feux, immortalisant sa route sanglante, sa barbarie
ultime, sa répugnance atavique, libérant des lois iniques voulant voir vacciner
de onze vaccins mortifères les enfants de France, pour engraisser les
laboratoires pharmaceutiques et toucher sa dîme au passage, voulant souiller la
vieillesse en l’affligeant par le vol d’une CSG indue sur ses retraites, tandis
que sa gouvernance répugnante ne la paiera pas, pas plus que ses députés
minables, incapables de constituer une phrase, sujet verbe, complément. La
barbarie maçonnique est là, dans sa perversité naturelle, issue de son
hilarante prostration à la vacuité de tout ce qui n’est pas la France, de tout
ce qui n’est pas l’Europe, de tout ce qui n’est pas l’Occident, mais tout du
venin participe qui les asphyxie depuis des siècles. Avant même d’être en état
de colonisation, nous sommes colonisés par ces miasmes, par cette virtualité
niant l’existence historique des Peuples au profit de la bassesse et de la lie,
nous sommes colonisés par le festin de la plèbe, de son ignorance, de son délire
vaniteux, dont la course effrénée rappelle les invasions les plus néfastes,
toutes arrêtées que le veuille ou non cette avanie, par la force des Peuples
qui se sont réveillés et n’ont jamais voulu tomber dans les mains de sa
souillure et de ses féaux. L’Histoire avec un H majuscule est un perpétuel
recommencement lorsque la Voie, celle permettant l’élévation de l’Etre-Humain
et non son délitement, est stoppée par les trépanés de l’intelligence, les
oublieux de la Vie, les handicapés de la réalité, tous ces tortionnaires et
dictateurs, tous ces potentats et ces licteurs qui s’imaginent Dieu alors qu’ils
ne sont que de simples poussières d’étoiles désorientées et maladives, de
simples fétus de paille qui n’en ont ni la consistance, ni la grâce. Gageons qu’ils
disparaîtront comme ils sont venus, ne laissant aucune trace dans l’Humanité,
sinon que comme ce que tout Etre-Humain doit honnir et éviter, ce que tout
Peuple doit défaire, ce que l’Humanité dans son ensemble doit juger et rendre à
la poussière. Ce sera l’ouvrage du temps et de la prise de conscience des
générations en devenir qui permettront leur anéantissement, un anéantissement permettant
de rendre sa dignité à l’Etre-Humain, sa vitalité, son honneur et sa grandeur,
sa capacité créatrice, son engouement pour l’élévation et en aucun cas pour les
marais glauques où se noient la plupart de nos contemporains, incultes et désœuvrés,
s’imaginant le nombril du monde alors qu’ils n’en sont que parties
infinitésimales. Alors au lieu de penser à ce qu’ils peuvent faire pour
eux-mêmes, ils penseront à ce qu’ils peuvent faire pour les autres, et
notamment pour leur famille, leur Peuple, leur Race, l’Humanité, et ne se
complairont plus dans la flagellation comme la culpabilisation qui sont les
vecteurs dont se servent des minorités pour s’accomplir et accomplir la boue
qui les englue et qu’ils voudraient voir objet de piété par tout un chacun.
Cela passe bien entendu par la reconnaissance de leurs vecteurs que sont l’Âme,
l’Esprit, le Corps, l’Unité de ces vecteurs, et non la dysharmonie entre ces
vecteurs, une étape symbiotique leur permettant d’évoluer et non plus régresser
ou se plier à la régression enfantée par l’athéisme barbare qui se veut ce jour
suffisance, propulsant dans l’ornière la nature de la beauté, de la bonté, du
don, de la splendeur, de l’honneur, du sacrifice, toutes valeurs immortalisées
par l’essence Chrétienne, qu’aucune religion d’essence matérielle par ce monde n’a seulement effleurée, et bien
plus qu’aucun athéisme ne pourra seulement percevoir tant l’opacité de la
réalité est son ferment comme son serment, si bien représentée aujourd’hui par
toutes ces ligues plus ridicules les unes que les autres, anthromorphistes par
excellence, s’imaginant le centre du monde alors qu’elles n’en sont que les
scories les plus abyssales, qui pavanent en gouvernance dans nombre de Nations,
alimentant leurs terreaux nuisibles par toutes sphères pourrissantes. La vermine
y grouille et s’y complaît, s’y délecte et s’y déploie, pour combien de temps ?
Qu’importe le temps, il est l’allié irréversible de l’Evolution et n’est
contingent de la fétidité comme de la corruption, bien au contraire, il est l’ennemi
principal de ces dérélictions primitives dont il sait la fin et dont il
manifestera la fin, comme il l’a manifesté dans le cadre des malversations que
sont le socialisme et ses petits frères, le communisme et le national-socialisme.
L’athéisme est de cette même plaie et disparaîtra comme ont disparu les miasmes
qui lui ont donné naissance. L’Histoire le contera.
© Vincent Thierry
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