Le déni de la réalité
Petites nouvelles de cette
petite Terre, où l’hypocrisie dans sa puanteur la plus glauque tente de faire
taire la voix d’un Peuple qui se dresse contre sa dictature ignoble, mais
lisons :
« Résumons sur cette
propagande ridicule d’une gouvernance haineuse et dictatoriale. Les
manifestations des Gilets jaunes ont connu, contrairement à tout ce que répètent
inlassablement les médias aux ordres, comme pour mieux se convaincre, un regain
de manifestants, notamment en Province, conjointement Paris aurait dû être submergé
si la police politique, il n’y a plus d’autres mots pour la désigner, avait laissé
passer les trains les bus, chargés de gilets jaunes et les voitures des
particuliers. Ce sont des dizaines de milliers de Gilets jaunes qui ont ainsi
été arrêtés, confinés aux péages des autoroutes, parfois emprisonnés, toujours
confinés afin qu’ils n’aillent pas à Paris. Dans la capitale elle-même, la
technique de la division des ilots de Gilets jaunes, là à l’Opéra, ici aux
Champs Elysées, à la République et ailleurs, a fait croire qu’ils n’étaient pas
nombreux, ce qui est totalement ridicule, la technique de confinement ne
permettant pas aux groupes de se rejoindre, sinon qu’individuellement, filtré,
et sous condition d’enlever leur gilet jaune, ce qui est une atteinte totale au
droit de manifester.
Le nombre de gilets jaune
ayant manifesté n’a pas diminué bien au contraire, n’en déplaise au Ministère
de la propagande qui œuvre dans notre Nation. On remarquera dans toutes les
vidéos qui sont diffusées très largement dans les réseaux sociaux et les TV
étrangères la violence inouïe utilisée par la dictature pour tenter de briser
les manifestants, jusqu’à la scène finale des Champs Elysées qui a vu un gazage
en règle des derniers manifestants dans un confinement total, une tentative de
génocide parfaitement organisée, que la Cour Pénale Internationale devrait
avoir à juger, car c’est un crime contre l’Humanité, si semblable à celui
décrété par le régime national socialiste. Les témoignages affluents sur ce
crime de partout et tout un chacun saura désormais qu’il a affaire non
seulement à un régime dictatorial, mais à un régime criminel dans notre Nation.
Les autres villes de Province ont connu la même attitude des prétoriens du
Pouvoir, gazant, matraquant, tirant des grenades, dans une violence totalement
gratuite qui met aux bancs des Nations le régime qui sévit en France, un régime
de criminels, qui d’ailleurs lorsqu’on lui a demandé de se lever pour une
minute de silence en déférence aux morts occasionnés chez les Gilets jaune, via
son déni de la réalité, ne s’est pas levé à l’Assemblée Nationale et a ainsi
marqué la lèpre qui le conditionne, une lèpre brune qui ne dit pas son nom, une
lèpre mondialiste esclavagiste dont l’idéologie vient de révéler sa vraie
nature.
On assiste aujourd’hui via ses
kapos à une ouverture sur un dialogue, dans le sans gêne le plus total, après
la mise en œuvre de leur sadisme incontrôlable, de leur pulsion criminelle qui
n’est même plus à mettre en exergue au regard de la sédation financière qu’ils
font subir à une grande partie de notre population. Tout un chacun qui se
respecte ne donnera aucune suite à cette demande provenant de bouchers
associés. La fracture qu’ils ont mise en place entre le Peuple et leur ignominie
est ici totale. On ne parle pas avec des bourreaux, des assassins en intention
qui font faire leur basses manœuvres par des prétoriens aux ordres qu’ils
paient moyennant des primes afin qu’ils tuent le Peuple. Se relaient leurs
ministres pour inviter à quitter les ronds-points, arrêter la manifestation du
Peuple, pour le dissoudre dans leurs immondices gluants de vices et de
corruption. Le Peuple n’a pas à obéir à ces latrines intellectuelles, à cette
perversité déclamant sa putridité comme si elle parlait à un enfant de deux ans.
Le Peuple aujourd’hui est majeur et n’a pas à acquiescer à cette folie
dictatoriale, ce sadisme irréversible de la pègre qui est en gouvernance. Une
pègre qui veut protéger ses privilèges escroqués sur le dos du Peuple, dans le
mépris de sa souveraineté, dans le mépris de sa Liberté !
On attend des excuses de cette
insanité publique, on attend qu’elle respecte une minute de silence
publiquement pour les Gilets Jaunes morts à cause de son déni du réel, de sa violence radicale, de sa dictature qui ne se dit pas mais qui s’exerce via la
bassesse qui la sert, arrêtant, molestant, voyant utilisé les services secrets
pour confiner dans des commissariats, dans la merde et dans la pisse, des
manifestants pacifiques. On attend que cette souillure de l’esprit, ses valets
de l’usure, respectent le Peuple, ne l’instrumentalisent pas, et acceptent ses
revendications et notamment le RIC, sans interprétation de sa part, sans
reniement quelconque de sa fonction, qui a aussi la qualité révocatoire
permettant d’évacuer toute la boue qui pollue les Institutions Françaises, dont
bien nombre sont partie dans cette gouvernance qui ce jour déclame son venin, sa
bubonique aisance, son reflet inhumain
qui est le viaduc de son allégeance à tout ce qui n’est pas Humain et ne le sera
jamais.
Aucun dialogue ne doit être
engagé par le Peuple tant que cette bassesse assassine ne viendra s’excuser de
l’ordure qu’elle manœuvre, de la bestialité qu’elle enchante. On ne parle pas
avec les tortionnaires, qui conchient la République, qui conchient la
Démocratie, qui conchient la Liberté, qui conchient l’Egalité, qui conchient la
Fraternité. On l’ignore, une ignorance qui fait qu’on ne la salut pas, que
lorsqu’elle se présente, elle n’existe pas, car ce ne sont pas des Etres
Humains que le Peuple a en face de lui, mais des pantins dont la médiocrité
n’est plus à définir, qui pour conserver leur petit pouvoir qui ne regarde
désormais plus qu’eux, se sont transformés en tueurs nés. Le Peuple est bien
au-dessus de cette moisissure, de cette hypocrisie, de cette lâcheté, de ce
déshonneur, de cette engeance minable, qui devra rendre des comptes
inévitablement, au regard de sa cruauté, son indicible et délétère traîtrise qui se
reflète dans la signature du pacte de l’ONU, dans une servilité nauséeuse qui n’a
d’autre but que le génocide du Peuple au profit de l’esclavagisme le plus
purulent.
L’Acte VI aura lieu, et l’acte
VII, et l’acte VIII etc, car rien ici dans cette gouvernance ne réfléchit
l’Humanité, la République, la Démocratie, rien ici n’exalte la Liberté,
l’Egalité, la Fraternité, rien de rien, prouvant en cela qu’elle est
dictatoriale en essence comme en substance, et qu’elle doit où se réformer ou
bien se démettre, car elle est l’irrespect même de toutes les valeurs humaines,
des valeurs conchiées au regard de la mutilation du Peuple, au regard des
morts, auxquels nous rendons hommage qui se sont battus pour la décence, pour
le droit simplement de vivre, un droit élémentaire que nie cette gouvernance
qui ce jour n’a plus la moindre crédibilité et ne l’aura plus jamais. »
Le déni de la réalité est une
forme d’enlisement qui toujours restitue à la réalité son existence, car
inévitablement, il sombre dans le désert, ne correspondant à rien, et ne
pouvant se soustraire à la Loi de la nécessité qui veut que disparaisse le néant
au profit de la Vie. A suivre
© Vincent Thierry
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