Éléments sur le virus
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Alain Fabre
hier à 9:45
Face au Coronavirus, l’État n’est pas
notre ami
CORONAVIRUS By:
Nik Anderson - CC BY 2.0
« Le coronavirus ravit tous les ennemis de
la liberté » nous alerte l’écrivain Mario Vargas Llosa. Avec le confinement
généralisé, le virage autoritaire de la gestion de cette crise est au moins
aussi inquiétant que le coronavirus lui-même.
Depuis quelques jours, plusieurs enquêtes
journalistiques font état de graves défaillances dans la machine d’État.
Médiapart décrivait le 2 avril dernier comment la réquisition des masques avait
totalement désorganisé les circuits nationaux et internationaux de
distribution. Des administrations incompétentes ont laissé filer des
opportunités commerciales de se faire livrer des millions de masques, exposant
les soignants et les malades dénués de protection à des risques d’infection
très élevés pendant de longues semaines. D’autres exemples édifiants illustrent
l’incurie des normes protectionnistes, qui limitent les importations de
matériel pourtant parfaitement adapté.
Une autre enquête, celle de Géraldine Woessner de l’hebdomadaire Le Point,
publiée le 3 avril, révèle comment la bureaucratie s’assoit sur un potentiel de
plusieurs centaines de milliers de tests hebdomadaires depuis le 15 mars. Les
laboratoires départementaux vétérinaires qui disposent des compétences et du
matériel nécessaires n’ont toujours pas reçu l’autorisation de les réaliser.
Sur ce même sujet, un autre article de L’Opinion explique que les laboratoires
de ville n’ont pas eu l’autorisation de pratiquer les tests avant le 6 mars,
l’État imposant le monopole aux hôpitaux. Les tests sont pourtant essentiels
pour réagir au plus vite en début de pandémie.
Cette défiance vis-à-vis du secteur privé s’illustre aussi par les lits vides
que les cliniques privées ont pris soin de libérer pour accueillir des
patients. Certains directeurs de ces hôpitaux à but non lucratif témoignaient
aux Échos du fait que les agences régionales de santé (ARS) ne leur donnent pas
la priorité pour leur envoyer les patients alors que ceux-ci sont parfois
transférés par train ou par avion à l’autre bout du pays.
L’ÉTAT, UN FACTEUR AGGRAVANT L’INSÉCURITÉ SANITAIRE
Si médecins et infirmières font ce qu’ils
peuvent avec les moyens qu’ils ont, les révélations de ces derniers jours
démontrent que l’État n’assure pas notre sécurité sanitaire et se révèle même
être un facteur aggravant la crise.
Manque d’anticipation, désorganisation des circuits existants, normes
protectionnistes, bureaucratie inadaptée, mensonges : ces défaillances sont
malheureusement inhérentes à la centralisation jacobine. Deux cents ans
d’histoire et de théorie économique devraient pourtant nous rappeler que la
planification ne fonctionne jamais. Les conséquences sont dramatiques et nous
ne sommes pas à l’abri de la découverte de blocages administratifs
supplémentaires faisant perdre eux aussi des capacités de soins considérables,
voire peut-être des vies.
Le secteur privé assure le service après-vente des défaillances systémiques de
l’État. Des ateliers artisanaux de confection de masques aux fleurons
industriels qui transforment en urgence leurs chaînes de production, la
solidarité spontanée et volontaire fait des miracles. Les initiatives privées,
associatives, individuelles, petites ou géantes, réalisent des prouesses
d’inventivité et de logistique.
SYNDROME DE STOCKHOLM : ET POURTANT L’ÉTAT APPARAÎT TOUJOURS COMME LE SEUL
SAUVEUR
Beaucoup affirment à longueur de journée que le manque de moyens,
d’anticipation et de souveraineté explique notre incapacité à faire face aux
pandémies. Le procès de la mondialisation et l’apologie du « service public »
sont sur toutes les lèvres.
Lors de son discours télévisé du 12 mars dernier, le chef de l’État n’a pas
hésité à cultiver la récupération étatiste en déclarant : « Ce que révèle cette
pandémie, c’est qu’il est des biens et des services qui doivent être placés en
dehors des lois du marché. Déléguer notre alimentation, notre protection, notre
capacité à soigner notre cadre de vie au fond à d’autres est une folie. »
C’est pourtant l’État qui a participé à la pénurie après avoir mis en dehors
des lois du marché les tests, les masques et les gels hydroalcooliques en
contrôlant les prix, rationnant leur distribution ou réquisitionnant les
importations et les producteurs intérieurs.
Accuser le (néo/ultra) libéralisme pour l’impréparation, les rationnements, le
manque de place en réanimation dans un des pays où l’industrie de la santé est
la plus socialisée et étatisée du monde relève de la dissonance cognitive.
L’IREF avait publié une analyse prémonitoire sur le fonctionnement de l’APHP en
2017. Nous y dénoncions la bureaucratie kafkaïenne, des problèmes de
gouvernance avec l’ARS, le manque d’efficience, l’incapacité d’adaptation et
les rigidités associées au statut de la fonction publique hospitalière. Nous
appelions à une libération des prix ainsi qu’à une privatisation des hôpitaux
sur la base de modèles étrangers pour augmenter le rapport qualité des
soins/prix.
Le libéralisme, ce n’est pas rendre exsangue l’hôpital pour « faire des
économies ». C’est libérer l’hôpital de la gestion bureaucratique et inefficace
de l’État et de ses agences régionales de santé pour laisser faire les
professionnels compétents, avec le financement des assurances santé et des
mutuelles solidaires.
L’AGONIE DES LIBERTÉS FONDAMENTALES, UN EFFET SECONDAIRE DU CORONAVIRUS ?
Mais il faut prendre garde à un danger
encore plus grand. « Le coronavirus ravit tous les ennemis de la liberté » nous
alerte l’écrivain Mario Vargas Llosa. Avec le confinement généralisé, le virage
autoritaire de la gestion de cette crise est au moins aussi inquiétant que le
coronavirus lui-même.
Les témoignages de l’arbitraire des policiers se multiplient autant que les
discours martiaux du préfet de Police de Paris. À Sanary-sur-Mer dans le Var,
le maire interdit les achats de pain à l’unité et a tenté, avant d’y renoncer,
d’imposer à ses administrés de ne pas sortir à plus de 10 mètres de chez eux.
La prolongation des délais maximum de détention provisoire inquiète les
défenseurs des libertés publiques. La loi d’urgence suspend les délais de
transmission et d’examen des questions prioritaires de constitutionnalité. Le
Conseil constitutionnel est donc aux abonnés absents au moment où l’on a le
plus besoin de protéger les droits humains face aux risques de l’arbitraire et
des dérives autoritaires.
L’avocat François Sureau, auteur de Sans la liberté, nous met en garde : « Les
Français ne sont pas un troupeau de moutons ou une garderie d’enfants. Ils
n’ont pas nécessairement besoin d’être d’abord protégés ou rassurés, ils ont
besoin d’une autorité politique qui leur dise la vérité, et qui les traite
comme des citoyens adultes. »
Le formulaire de déplacement dérogatoire est la marque de l’infantilisation
d’État, comme si le comportement insouciant d’une minorité impliquait de
traiter tous les Français comme des irresponsables. Nombre de nos voisins
européens n’ont pas besoin de ce genre d’attestation humiliant notre
responsabilité pour appeler la population à observer un comportement conforme
aux consignes de distanciation sociale des médecins.
Ces précédents historiques ne seront pas sans conséquence. Nous risquons de
nous relever de cette crise avec l’idée que le gouvernement a toute légitimité
pour contrôler notre liberté d’aller et venir. Le passeport, outil de contrôle
liberticide des déplacements internationaux des individus, n’existait pas avant
la Première Guerre mondiale et son instauration se voulait strictement
provisoire le temps du conflit. Nous ne sommes pourtant jamais revenus dessus.
Aujourd’hui, si personne n’envisage sérieusement que ce formulaire soit
conservé après la fin du confinement, le discours antimondialisation qui
devient la norme ne nous garantit pas de retrouver l’ensemble des libertés de
circulation aux frontières (Schengen survivra-t-il ?) et de commercer à l’international,
d’avant le virus.
Les humains qui sont au pouvoir ne sont que des humains. Demain, plutôt que
d’attendre toutes nos réponses d’un État surpuissant, notre impératif sera
d’inventer des institutions qui ne nous mettent plus jamais à la merci d’une classe
politique qui n’hésitera pas à s’asseoir sur nos libertés au moindre prétexte.
Si nous devons bien entendu suivre les consignes des professionnels de santé de
manière responsable, notre devoir est de nous méfier tout autant de l’État que
du coronavirus. Les libéraux de tous bords doivent être plus vigilants que
jamais et exiger, dès que cela sera possible, le rétablissement sans délai de
toutes les libertés disparues pendant la crise.
En attendant, il est urgent que le gouvernement n’agisse plus sur les marchés
des tests, masques et appareils de ventilation. L’omnipotence des
administrations d’État retarde de plusieurs semaines les réponses face au virus
et limite l’émergence de solutions privées et décentralisées.
https://www.letemps.ch/monde/loms-vacille-apres-gel-contributions-americaines?fbclid=IwAR37gaDUQYiSVcyFMc79ePeuVyYMQdsvxvElp8ZWOrAUMfIUXznjry_zQyg
https://vk.com/video426512158_456239165?list=77ead3e4a6208f9b73
Que
vaut un organisme payé par Gates ???? et les suces queues des laboratoires ?
https://www.lalibre.be/international/europe/didier-raoult-annonce-la-fin-de-l-epidemie-a-marseille-le-medecin-se-fait-recarder-5e96ec109978e27ca7fd211f
Sébastien Hairon
hier à 8:45
ça tapine sec chez les journaputes du
pseudo journal, "la libre" !
Libre d'écrire des titres dégueulasses,
c'est sûr ! Car, si vous vous contentez du titre, vous pourriez penser que le
professeur Raoult est content qu'il y ait une épidémie. Or, ce n'est, bien
entendu pas le cas ! Il est content parce qu'à Marseille, l'épidémie recule !
La presse-titué en Europe de l'ouest sur le cas du professeur Raoult a eu et a
encore, un comportement absolument honteux. Tout ceci cache beaucoup de choses,
même si nous nous doutons bien pourquoi ces gamelards invitent des tocards sur
les plateaux tv ou dans leurs journaux pour cracher à la gueule de ce Gaulois
irréductible !
J'aime bien reprendre cette expression
d'Alain Soral: un journaliste c'est soit une pute, soit un chômeur ! Les salles
de rédaction ressemblent de plus en plus à des maisons closes, la classe en
moins !
https://www.collective-evolution.com/2020/04/12/new-york-state-senator-introduces-bill-to-study-the-health-environmental-impact-of-5g-technology/
Impact de la 5G
https://vk.com/video531275407_456239607?list=dcf1b9e28fc8f55492
Le bout du tunnel
http://www.thomasjoly.fr/2020/04/coronavirus-de-l-euthanasie-deguisee-avec-l-utilisation-du-rivotril.html
L’assassinat par décret de
nos aînés par la gouvernance nazi communiste.
https://vk.com/video531275407_456239612?list=826e99c9f200b7b40a
https://drive.google.com/file/d/1vIrJSKeOxBwigwBULaaq1fGLBCql9KvJ/view
Une
simple vérité, sur l'organisation, l'instrumentalisation du coronavirus par le
mondialisme esclavagiste. La boucle est bouclée un laboratoire Chinois financé
par Soros, un laboratoire Chinois intronisé en grande pompe par la gouvernance
Française dont l'un des parrains est le mari d'une ex ministre, appartenant au
gouvernement Macron dont la campagne a été, entre autre, financée par Soros...
Les journalistes d'enquête, les vrais, ont du pain sur la planche. On comprend
très bien pourquoi le protocole du Professeur Raoult fonctionne, puisqu'il
lutte via la chloroquine contre le séquençage de la malaria inclue dans le
virus.
https://www.youtube.com/watch?v=bAaJZOK93Sg&fbclid=IwAR2ahwZzCfqpzxpQj7y6l6xRTCgL5dFjvYNwBNW3IQM1lR8n4bR4hDj0aUo
La
fraude au chiffre est intentionnelle pour faire peur. La France est l'exemple
concret ou personne n'est dépisté, les personnes décédées, quelle que soit la
cause, sans dépistage rentrent dans les statistiques du coronavirus ? Les
journalistes devraient enquêter sur ce sujet et cesser de prendre pour argent
comptant les dires des valets des laboratoires pharmaceutiques, et d'une
gouvernance profitant de cette crise sanitaire pour tuer nos aînés, par décret,
pire que les nazis, en faisant croire qu'ils décèdent du coronavirus, qui est
très bien soigné à Marseille et par des médecins qui respectent leur serment,
des aînés qui pourraient donc être soignés et non assassinés. On verra par
ailleurs ce qui instrumentalise cette crise, ce virus parfaitement crée pour
rendre esclave les populations, c'est la vérole pédo criminelle qui pourrit les
Nations, la sous humanité par excellence qui est l'ennemie acharnée de
l'Humanité.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1435281/sherman-meurtre-honey-barry-declaration-proches-enquete-police
Remontons
dans le temps : les propriétaires du principal laboratoire au Canada APOTEX,
produisant de la chloroquine et de l'azytromicine, (L'azithromycine n'est pas
la chloroquine mais le 2e médicament le macrolide, en fait le plus important
car des médecins l'utilisant sans chloroquine ont aussi d'excellents résultats)
du protocole du Pr. Raoult. - avec quelques temps plus tard l'interdiction pour
ce laboratoire de fabriquer ce dernier médicament - sont assassinés en 2017. A
chacun d'y voir ce qu'il veut y voir. Mais on s'interrogera tout de même sur
cet assassinat, en regard du protocole du Professeur Raoult, qui est dénoncé
par les mondialistes esclavagistes... Aux journalistes d'enquête de fouiller...
https://fr.sputniknews.com/international/202004171043581875-le-patron-de-loms-remercie-macron-pour-son-leadership-mondial-face-a-la-crise-sanitaire/
Tout
est dit. Les tueurs en marche.
https://russiepolitics.blogspot.com/2020/04/geopolitique-du-coronavirus-le-combat.html?fbclid=IwAR10eaLOTB8GzDOXKWw_Xm_qE3Er7F5mUqJFh6iwmzw7Jtf3Q7opcDIz41c
Et
bien sûr, la Russie, encore la Russie. L’OMS charge la Russie qui ne compte pas
dans ses statistiques, les rhumes, les bronchites et les infections pulmonaires
…
https://www.youtube.com/watch?v=q7HXR6dy-_w&feature=share&fbclid=IwAR3WhC-W6ZeA6HxWUm7HhWDX6KikmjolOr99r5x5ngM82F6Lj8b7iUEBEfE
L’OMS
corrompue totalement, sous la coupe des criminels eugénistes en col blanc,
toute la lie de l’humanité qu’il convient d’éradiquer.
https://lilianeheldkhawam.com/transhumanisme-2/
Les
ennemis de l'Humanité ayant besoin de l'intelligence artificielle pour marcher,
ces dégénérés doivent se régaler avec le coronavirus dont on peut se demander
s'ils n'ont pas participé à sa création comme à son expansion.
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