Quelques clés
Petites nouvelles de cette
petite Terre où l’une de ses faces est sous l’emprise de la démence
caractérisée, mais lisons :
« L’histoire n’est qu’un
perpétuel recommencement lorsqu’on laisse le pouvoir aux sectes quelles qu’elles
soient, on se souviendra ici de la sanglante « révolution » française,
hideuse à tous les points de vue, génocidaire, criminelle en essence et
substance, du fait de quelques corrompus aux ordres des Illuminés de Bavière
ayant pour seuls buts la destruction des trônes, des églises, et bien entendu
de l’être humain. On relira sur le génocide le livre de Gracchus Babeuf,
révolutionnaire français, que l’on ne pourra taxer du nom de
contre-révolutionnaire : « Du système de dépopulation où la vie et
les crimes de Carrier », une déposition magistrale sur les tenants et
aboutissants du système mis en place par la lie de l’humanité mise au pouvoir par
les sectes en France. On n’oubliera jamais que nous ne devons aucune liberté à
la révolution, et pire encore une mise en esclavage qui trouve aujourd’hui sa
manifestation dans les pouvoirs qui usurpent le droit des Peuples tant en France
que dans la théurgie de leur sacerdoce, le mondialisme comme l’européanisme vulgaire
et corrompu tenus les uns les autres par des médiocres, petits pantins agités
par une finance apatride sans liens avec la réalité, toute dévouée à son
narcissisme et ses préoccupations d’apparaître, privilégiant ses intérêts
particuliers sur l’intérêt général.
« Dans la démonstration de toute machine,
il faut toujours remonter au chef ressort pour bien faire apprécier l'emploi de
chaque rouage. Ne trompons pas l'auditoire, en lui désignant comme agent moteur
ce qui n’est que levier subordonné. » disait Gracchus Babeuf, cela n’a pas
changé et ne changera pas tant que les êtres humains ne comprendront pas qu’ils
sont les jouets, le bétail de ces quelques errants s’imaginant le centre de l’univers
parce qu’ils possèdent quelque argent tintinabulant, issu de la lépre usuraire
qui couvre une grande partie de ce monde.Le jouet du Peuple c’est la démocratie
qu’on lui jette comme un os à un chien, la conduite du Peuple c’est la
république, un régime comme un autre, ni plus ni moins, ce jour souillé par la
corruption, l’inféodation, la criminalité dans tous ses états, où les besogneux
de l’injustice, de la discorde, de la vilenie poursuivent avec une joie
bestiale le dépeçage de la réalité au profit de leur virtualité basée sur l’égoïsme
et le narcissisme, où se brise à jamais l’intérêt général pour se fondre dans
le fumier d’idoles qui se couronnent, volent le pouvoir, et ensuite, racines de
l’infertilité, violent les Nations pour le simple profit de leur caste, à
laquelle, ils sont soumises suivant le degré de leurs vices comme de leurs
crimes, tous se remettant l’insigne honneur de la Nation, telle la Légion d’honneur
en France, dans un parjure qui se veut félicité.
« La République (sous le règne de
la secte des illuminés de Bavière) devait voir qu’elle allait cesser d’être
soumise à des lois légitimes, c’est-à-dire à l’expression de la volonté
générale, proposée par ses délégués, et sanctionnées par le Peuple, pour ramper
sous des lois, l’expression de la volonté d’un ou de quelques hommes, c’est-à-dire
en pur français, sous la parfaite tyrannie, autant parfaite que jamais il en a pu
exister. La république devait voir, que par cette mesure, ses élus
législateurs, s’écartaient absolument du vœu de leurs mandats, qui les
envoyaient, spécialement et uniquement, pour figurer dans l’assemblée totale
des délégués du Peuple, à l’effet de concourir au grand œuvre du Code Social ;
mission sacrée et exclusive, dont un mandataire n’a pu se soustraire sans
crime, ou sans l’ignorance la plus capable de justifier qu’il n’était pas digne
de sa sublime mission, puisqu’il n’a pas su se pénétrer de son importance, et
sentir que son poste unique était au sénat ; que ses seuls devoirs étaient
ceux de collaborateur de la législation dont le Peuple avait besoin ; que
le détourner de là, était une coupable dérogation à la volonté souveraine, qui
était déçue, en ce que, ayant déterminé le nombre d’agents qu’elle avait jugé
convenable de faire concourir à la fabrication de cette législation, elle
pouvait la regarder comme vicieuse, et peut-être nulle dans la forme, dès que
ce nombre n’est plus complet ; et plus encore, dès que la distraction des
ouvriers législatifs, portée jusqu’à une certaine mesure, laissait le champ
libre à un petit nombre de co-faiseurs, qu’on eût peut-être pu soupçonner, avec
raison d’être ceux qui auraient manœuvré l’éloignement de leurs compagnons pour
s’approprier à eux seuls, et des raisons à eux, le domaine de l’édifice des
lois qui au lieu d’être la construction de tous les architectes choisis par le
Peuple, ne devenait plus que celle d’une coterie formée des plus rusés et des
plus intrigants parmi eux… Mais quelles différences des moyens révolutionnaires
et toute la conduite de ses premiers apôtres, d’avec les acerbités subséquentes
de nos sacrificateurs ? Le parallèle fera trouver que ceux-là étaient des
anges bienfaisants, auprès des autres que l’on appellera des génies anti-humains.
Que l’on cesse donc d’attacher au caractère de mandataire du Peuple ce prestige
idolâtre, ce fanatisme esclave, cette fausse idée d’infaillibilité ou tout au
moins, de capacité supérieure à celle des autres citoyens. Non le délégué n’est
point en état de faire plus de miracles que moi ; je n’ai pas eu le
pouvoir en le décorant de sa dignité, de lui infuser la sapience infinie ;
il fera autant de fautes que les autres hommes, et peut-être encore plus parce
que l’éclatante puissance dont je l’ai investi inopinément, l’éblouira. On ne
peut pas dire que l’expérience ne vient guère à notre appui pour ce fait. L’histoire
que j’écris en est (de cette expérience) une partie immortelle. »
Ici comme aujourd’hui, on voit qu’une « république »
sans contre-pouvoir n’est qu’une farce pour l’intelligence, déjà le grain d’une
tyrannie en devenir où tous les instincts de la barbarie se cumulent jusqu’à
leur apothéose, dont nous vivons ce jour la bestialité ordinaire, si mise en
exergue par le wokisme et le transgenrisme, l’incapacité créative, sinon la
fange et la destruction, et la liquidation de l’être humain. Sous bestialité
devrions nous dire, car il n’est dans la nature humaine de sacrifier ses
enfants pour en changer le sexe et le dénaturer, que la nature trouve ses
chemins dans l’hétérosexualité, la bisexualité, l’homosexualité, qui ont toujours
existé, cela ne pose de problèmes à quiconque, la nature ayant ses raisons, chacun
étant libre de pratiquer ses goûts consentis et consentants entre adultes, dès
l’instant où la création perdure via l’hétérosexualité, sans que certaines minorités
homosexuelles, ne viennent surgir pour spolier tous les pouvoirs et aliéner les
droits de la Vie, en tentant de réduire la Femme au néant, et bien pire les
enfants des couples naturels à la vivisection, le transgenrisme, et bien pire
la pédophilie qui se veut triomphante dans certaines marges de ces minorités,
qui demandent et réclament législation pour satisfaire leur autodestruction qu’ils
veulent commune au genre humain, bien pire encore s’établissant immortel via un
transhumanisme qui ne masque absolument par leur désir de contrainte, de
sadisme, où la pédophilie règne en maîtresse absolue ! Car pour ces choses
l’avilissement de l’avenir passe par cette courroie de transmission, il faut
détruire l’humain, donc il faut détruire l’enfance, il faut dépopulationner
comme ils le disent si bien, en encourageant tout ce qui évite la procréation
naturelle, il faut légaliser l’avortement y compris la tuerie des enfants nés,
il faut sacrifier le devenir de l’humanité en destituant sa part de rêve et de
songe, via la sodomie et le viol quand ce n’est pas l’assassinat pur et simple
dans des loges noires. Voici la non-humanité qui dirige ce petit monde partant
sur une de ses faces à la dérive la plus totale où l’humain est une
marchandise, faisant le bonheur des trafiquants d’organes qui s’empressent pour
les enfants afin de les réduire à la poussière, comme sur les champs de bataille
et les villes en guerre, où l’on retrouve actuellement des monceaux de cadavres
amputés de leurs organes, comme cela s’est passé lors de la guerre en Yougoslavie.
Qu’on ne s’y trompe, on verra que leurs
ancêtres avaient déjà prévu dans leur ignorance totale du vivant comme de la
vie, tels ceux d’aujourd’hui, petits scientifiques de pacotilles, payés par l’argenture,
les laboratoires et bien entendu les mécènes de la fripouille inventant un
réchauffement climatique, et investissant à tour de bras dans les énergies vertes,
mais surtout faisant en sorte que les pays sous développés restent à leur merci.
Mais relisons encore Gracchus Babeuf : « Maximilien ( aux ordres des
Illuminés de Bavière), et son conseil avaient calculé qu’une vraie régénération
de la France ne pouvait s’opérer qu’au moyen d’une distribution nouvelle du
territoire et des hommes qui l’occupent (on assiste à cela via la migration
forcenée actuellement en France), Ils parurent convaincus que les régulateurs d’un
Peuple n’ont rien de stable et de solide pour sa régénération, s’ils n’ont
réalisé la grande conclusion de J.jacques, – que pour que le gouvernement soit
perfectionné, il faut que tous les citoyens aient assez et qu’aucun d’eux n’ait
trop. – et si en conséquence, comme Lycurgue à Sparte, assuré d’une manière
inaliénable le domaine de chaque individu et sa portion alimentaire suffisante,
garantie sur toutes les combinaisons convenables, même sur celle du calcul de
proportion entre la population et la somme totale des produits du sol ; c’est-à-dire…
qu’il fallait dans le plan de ces « grands » législateurs, ne point
permettre que jamais la population excédât la proportion du total productif
annuaire du territoire, de manière à ce que la portion domaniale et alimentaire
de chacun des citoyens, pût toujours être complète. De ces premières bases
dérivaient les considérations et conséquences suivantes : que dans l’état
présent des choses les propriétés étaient tombées entre un petit nombre de
mains, et que la grande majorité des Français ne possédaient rien ; qu’en
laissant subsister cet état de choses, l’égalité des droits serait un vain mot,
en dépit duquel l’aristocratie des propriétaires serait toujours réelle, le petit
nombre serait toujours tyran de la masse, la majorité toujours esclave de la
minorité, par la puissance qu’ont inévitablement ceux qui tiennent tout, de
maîtriser l’industrie, d’en ouvrir ou fermer les ressources ; et par la
nécessité aux impossesseurs ou prolétaires de recevoir des premiers la loi, et
de la distribution du travail, et de la taxe du salaire, et de la taxe des
objets de consommation ; que pour détruire cette puissance des propriétaires
et parvenir à mettre la masse des citoyens hors de leur dépendance, il n’y
avait d’autres moyens que celui d’attirer d’abord toutes les propriétés sous la
main du gouvernement ; qu’on n’y réussirait sans doute qu’en immolant les
gros possesseurs, et en imprimant une terreur si forte, qu’elle fut capable de
décider les autres à s’exécuter de bonne grâce ; que d’ailleurs un dépeuplement
était indispensable parce que, calcul fait, la population française était en
mesure excédente des ressources du sol, et des besoins de l’industrie utile, c’est-à-dire
que les hommes se pressaient trop chez nous pour que chacun y pût vivre à l’aide ;
que les bras y étaient trop nombreux pour l’exécution de tous les travaux d’utilités
essentielles ; que cette vérité était prouvée par la seule mesure
certaine, le relevé du produit total de la culture et de l’économie rurale,
mesure hors de laquelle il n’y a plus à faire d’autre calcul, puisque tous les
autres arts possibles sont incapables de produire à eux tous une livre de pain
de plus ; enfin que la population surabondante pouvant aller à tant, il y
aurait une portion de sans-culottes à sacrifier, qu’on pouvait déblayer ces décombres
(phrase de Barrère), jusqu’à telle quantité, et qu’il fallait en trouver les
moyens. »
Où l’on voit que le plan est toujours en
cours via ces reliques de la barbarie, utilisant des vaccins mortifères pour
liquider la population Française aujourd’hui, après l’avoir enfermé comme on enferme
des animaux, et surtout l’avoir masqué contre un virus riant de ce masque car
le pénétrant sans problème, bien plus pour humilier la population, la rendre
docile face à une peur générée, un virus inventé, un vaccin mortel à brève ou
moyenne échéance, qui explique aujourd’hui une surmortalité parfaitement établie
dans la plupart des Nations s’étant soumises ou soumises comme en France à la
bestialité la plus totalitaire qui soit, héritière des principes édictés ci-dessus,
une engeance de criminels qui continuent encore et encore à paraître dans les lucarnes
de la télévision, pire encore remerciés pour leurs crimes, notamment leurs
commandos de chasse en EHPAD et Hôpitaux n’ayant pour seul but que celui d‘assassiner
froidement via le Rivotril nos vieillards, la mémoire de la France, et bien
entendu celles et ceux ne répondant pas aux injonctions vaccinales mortifères,
par la voie de la corruption le plus totale qui soit dont les arcanes
commencent à émerger dans toutes les Nations. On trouvera ici les délires
transhumanistes qui cherchent à s’assouvir par la liquidation systémique de
quatre milliards d’êtres humains, pire encore traitant l’humain d’inutile et
substituable alors que ses féaux sont parfaitement dans le cadre de ce slogan,
car inutiles à l’humanité, et plus encore substituable via les féaux tenus par
leur sexe, leurs vices et leurs affaires, dans leurs sectes de dégénérés
mentaux et d’atrophiés humains, une sous-humanité dont la bestialité n’est plus
à prouver, dont le pouvoir ne tient qu’à l’ignorance des Peuples, qui lentement
mais sûrement se réveillent pour voir leur ignominie dans toute sa concrétisation.
Une ignominie qu’ils cherchent à masquer en s’attaquant à la multipolarité
naissante via leur terrain d’expériences, l’Ukraine, cibles de tous leurs
laboratoires pourris n’ayant pour but que la destruction humaine, le trafic d’organes,
et la vente à l’encan d’enfants pour le plaisir des malades qui s’imaginent le
centre du monde alors qu’ils n’en sont que la poussière et la fange pour
certains.
La « révolution » dite
française, payée par les Anglais et instituée par les Allemands, est un monceau
de crimes dont l’Histoire n’oubliera jamais l’existence, l’Histoire avec un H
majuscule et non cette ridicule histoire que le marais cherche à apprendre à
nos enfants et nos petits enfants, où ce que l’on appelle héros n’est autre qu’un
vil assassin dans bien des cas, comme il en est aujourd’hui où ils se pavanent
avec outrance car protégés par leur petite secte ovipare, assouvissant leurs plus
bas instincts avec délectation. On se souviendra longtemps du pseudo-décompte
de morts lancinés tous les soirs à la télévision par une chose se réjouissant des
monceaux de cadavres réels et fictifs qu’elle annonçait avec gourmandise. Les
arcanes de la gouvernance de ce jour en France sont ici livrés sans concession,
elle tient par cet édifice de collusions, de reptations, d’asservissements, qui
lient les uns aux autres une ribambelle de maniaques et de sadiques couronnés
par une finance déviante propulsant par vols des élections cette dénature qui
décompose, ne construit rien, mais surtout détruit, car elle n’est capable de
rien d’autre, programmée, soumis à cet esprit de destruction totale dont leurs
petits frères les bolcheviques sont les héritiers les plus impunis pour leurs
crimes de masse et leurs outrances, leurs profanations. On comprendra ici qu’ils
cherchent revanche contre la Russie qui a liquidé ces monuments du crime,
satanistes et maçons de tous poils venus d’outre mer pour spolier le pouvoir du
Peuple Russe en 1917, et ensuite l’exécuter de mille manières, dont l’exemple n’est
pas tiré des romans et des œuvres de l’esprit mais bien de la révolution dite
française, où le massacre des innocents était la jouissance de ses dirigeants,
jusqu’à installer des peausseries humaines en se servant des Vendéens qu’ils
assassinaient à tour de bras en se complaisant. Les Archives nationales
existent, il faut les parcourir pour voir l’horreur dans toute sa puissance convoler
notre Nation et la réduire à une mer de sang.
Depuis 1645, suite à la « révolution »
Anglaise, le moteur reste le même, l’hégémonie et la destruction par le
génocide de tout ce qui existe, venues de ce qui ne peut prétendre au nom d’humain,
car réalisant le retour dans la matière brute, ignorant le pouvoir de
transcendance de l’être humain, cherchant par tous les moyens à l’abstraire de
sa tripartition naturelle pour le renvoyer dans les limbes les plus triviaux et
les plus déments qui soient, afin d‘asseoir un pouvoir de nain, régulé par l’argenture
et ses sinistres conditions dont le poison est l’usure, savoir la fainéantise,
le statisme, le vide absolu, qui ne peut construire car basée sur le vol, la
rapine, le crime, l’ordure et ses conditions.
L’Histoire est répétition, ce jour est
de nouveau croissance des exactions les plus putrides de la « révolution »
dite française, les meneurs sont les mêmes, tirés du néant par les sectes pour
les servir au détriment du Peuple, bafouant l’intérêt général pour les intérêts
particuliers, qui se masquent dans leur conseil d’administration, dont la
fourberie, la fausseté, l’hypocrisie, la morgue n’ont pas d’égales. Qu’il
suffise d’écouter leurs crétins deviser, disant tout et son contraire pour apparaître
alors qu’ils ne sont que des néants physiques et intellectuels, des choses manifestes,
golems de leurs maîtres gargantuesques, suant la pourriture et l’immondice de
ce monde. Ces choses veulent aujourd’hui la troisième guerre mondiale, ils en
raffolent, s’en délectent, ils en jouissent, leurs rires tonitruants arrivent
jusqu’aux tranchées où se battent de pauvres gens qui n’ont jamais demandé que
la paix et à qui l’on impose la mort avec pour seul équipage le rien qui ne leur
permet même pas de combattre, au nom de quoi ? De l’imposture, de l’usurpation,
du vol des pouvoirs par cette clique de déments qui s‘assistent et se protègent
tels qu’on peut les voir dans cette Union dite européenne qui n’est que l’union
des sectes et de leur démence, où la corruption est illimitée tel le pouvoir que
leur accordent leurs banquiers, généreux pour la fripouille mais ne concédant
aucun morceau de pain pour l’affamé. On relira ci-dessous deux textes issus d’un
compte rendu sur l’imposture de la désignation du « maximum », en l’occurrence
Robespierre, tenu par ses vices par les Illuminés de Bavière qu’il s’apprêtait
à dénoncer lorsque le coup de pistolet d’un vendu à la secte infâme, qui dirige
toujours la France en sous-main, le dévisagea, avant qu’il fût porté sous la
guillotine, n’ayant plus aucune utilité dans la cartographie du crime établit
par la franc-maçonnerie spéculative totalement pervertie par les illuminés au Convent
de Wilheimsbad en 1775.
« Extraits de : Catastrophe
du club infernal et sa dénonciation par l’universel Audoin, sous la présidence
de M.Barrére de Vieusac »
Danton
« Ce fut d’abord une très
grande idée que celle du Gouvernement Révolutionnaire, et je ne doute point que
dans des têtes plus habiles ou moins scélérates que les vôtres, elle n’eût
sauvé la France. Jamais aucun gouvernement ne fut aussi puissant, n’eut plus de
moyens, et ne déploya plus d’énergie que le gouvernement Français déclaré
révolutionnaire. Tout fut à la fois à votre disposition. Les hommes et les
choses; et pour y mettre les événements il n’était question que de savoir mieux
diriger ces forces. Mais des eunuques politiques et des jongleurs sanguinaires
se sont emparés du gouvernail, et ont tout perdu. Les réquisitions n’ont servi
qu’à nourrir leur orgueil , leur luxure et leur cupidité. Le maximum est devenu
entre leurs mains le signal de la disette et le tombeau de la liberté. Je ne
sais qui a dit que le maximum prolongé au-delà d’un an était le maximum de l’ineptie;
moi j’ajoute, et de la scélératesse: car il n’y a que des scélérats qui aient
pu vouloir suspendre aussi longtemps le mouvement vital dans le corps politique ;
il n’y a que des scélérats qui aient cru pouvoir fixer pour toujours le prix
des marchés que la nature des choses a rendu nécessairement libres. »
« C’est donc insulter la Convention
que d’examiner les effets désastreux d’une loi qu’une minorité rebelle lui
arracha dans les temps de trouble et de désolation. C’est donc insulter la
Convention que de dévouer à l’infamie, l’infâme loi du 22 Prairial. Ah pardieu,
Messieurs les sots, vous ne parviendrez pas plus à m’embarrasser par vos
sophismes, qu’à m’étourdir par vos cris. Vous aurez beau vouloir vous cacher
derrière la Convention quand vous ferez de hautes sottises, je saurai bien vous
y trouver, et vous dénoncer au peuple sans manquer de respect à ses Représentants
: j’engage Talien, Thuriot, et Bubois-Crancé d’en faire autant. Je poursuis. La
plupart des hommes entraînés par l’habitude ou séduits par des théories
brillantes croient sans voir, marchent sans examiner, et jugent sans réflexion.
La politique a ses charlatans comme la médecine comme la religion, et ces
charlatans, au grand détriment du peuple, n’ont cessé d’offrir depuis trois ou
quatre ans des instruments de tyrannie, en nous parlant de liberté ; des spéculations
d’extravagance, en nous vantant la sagesse; et des lois répressives, en
déclamant contre les privilèges. C’est de votre sein, c’est de votre antre
ténébreux que sont sortis tous ces prestigidateurs démagogues et toutes les lois
barbares qui nous ont plus faits de mal en 11 mois que la guerre, que la peste,
que la grêle, que tous les fléaux réunis à la fois sur notre infortunée patrie. »
« Alors, comme tous les
intérêts particuliers se réunissent contre l’intérêt général, qui n’est plus
celui de personne, les vices publics ont plus de force pour énerver les lois
que celles-ci n’en conservent pour réprimer les vices. Vainement on ajoute
décrets sur décrets, arrêtés sur arrêtés, tout cela ne sert qu’à introduire de
nouveaux abus, sans corriger les premiers. Plus on multiplie les Lois, plus on
les rend méprisables, et tous les surveillants ne sont plus que des complices
de leur infraction. Brusquement, ce qui est mauvais en soi, l’est en tout
temps. »
« Tous les Peuples ont
senti successivement les maux de ces taxes funestes par les disettes qu’elles
ont entraînées. Leur premier effet est faire fuir la denrée, et leur second de
la faire monter excessivement en la rassemblant en peu de mains. Car tous les
vendeurs ne sont ni assez criminels pour tromper la Loi, ni assez hardis pour
les braver. Leur troisième effet est de surhausser la main-d’œuvre et de mettre
les maîtres à la merci de leurs garçons, et le public à la merci des maîtres.
Il se trouve une classe honorable et utile, qui se compose d’artisans, de
rentiers, de marchands, d’artistes, de laboureurs, de gens de lettres, qui tous,
ayant fait des sacrifices énormes à la révolution, ont droit d’en attendre la
liberté de leurs opinions, la sûreté des personnes, et la propriété de leurs
travaux. L’excès du numéraire ne se mesure ni d’après sa quantité absolue, ni d’après
sa quantité mise en circulation, mais seulement d’après l’excès du nombre d’acheteurs
sur celui des vendeurs. La nature des choses a établi que les vendeurs se multiplieraient
en proportion de celui des acheteurs. Mais si par des secousses imprévues, ou
prévues par des pantalonneurs (spéculateurs), cette proportion vient à être
rompue, les monopoleurs, les agioteurs et les croupiers de cette race infernale
vomie par Genève et Jérusalem en, s’emparent exclusivement du commerce,
et nous mettent à la merci de leurs homicides spéculations. »
« À la tête de presque
toutes les lois modernes sont écrites ces paroles de fer : « régler
et forcer ». Il faut espérer que les progrès de la raison et les bienfaits
de la liberté dessilleront enfin les yeux de nos enfants, et y substitueront
cette meilleure devise : « inviter et conduire ». Quelle que
soit la forme du gouvernement adopté par une nation, il est toujours de son
intérêt de laisser aux citoyens la plus grande liberté de penser, d’écrire et
de vendre, et de ne leur ôter précisément que ce qui peut nuire aux autres.
Tout ce qui dépasse cette mesure est une erreur morale, comme en politique. En
tout l’exemple est contagieux, les idées morales s’affaiblissent dans le
Peuple, à mesure qu’il craint pour sa sûreté. Il a recours à la ruse contre la
force, et à la nature contre la patrie, si patrie n’a rien de plus pour lui que
pour les étrangers, et s’il n’y jouit pas de tous les droits de liberté, de propriété
et de sûreté. Là où ces erreurs politiques sont plus grossières, vous verrez la
nation devenir timide, puis dissimulée, puis lâche, puis engourdie, puis s’éteindre
comme les autres, dans l’abîme profond des siècles et de l’oubli. »
Camille Desmoulins.
« Vous n’êtes pas au
bout. Puisque la pensée est sortie du cercueil ou vous, l’avez renfermée, vous
entendrez la vérité, et son langage sera votre premier supplice. Vous m’avez
fait guillotiner pour avoir osé vous dire que sous votre gouvernement le père
n’osait défendre son fils, la fille abandonne sa mère, l’ami trahi son ami, le
découragement était dans toutes les âmes, l’effroi était peint sur toutes les
figures, la mort était sur toutes les têtes. Aujourd’hui tout le monde peut
impunément vous faire ces reproches, tout le monde peut vous comparer à
Pkalaris, à Néron, à Aureng-zeb. »
« Ce n’est pas vous qui
gouvernez immédiatement, mais vous gouvernez par vos agents. Les
administrations, les agences, les sociétés populaires, les bureaux et les
comités, tout est rempli de vos créatures et de votre esprit ; par quel moyen
êtes-vous venus à bout de placer ainsi tous vos amis, en publiant, en criant à
tue-tête que vous étiez les seuls patriotes, les seuls républicains, les seuls
révolutionnaires. Entourés de fripons, d’abbés, d’hohereaux et d'écrivailleurs,
vous êtes parvenus, à l’aide de ce cortège lâche et rampant, à donner au
courage l’attitude de la sédition, à la vertu les livrées du vice, au
patriotisme les couleurs de l’aristocratie. Voilà votre histoire, et voici mes
conclusions. Je demande qu’au lieu de vous consulter en dénonciations vagues,
en adresses mendiées, en assassinats nocturnes, vous laissiez à l’auteur du
Club infernal et à tous les autres, le droit d’écrire et d’imprimer leurs
opinions sauf, à en répondre devant les tribunaux. »
« Il serait en effet très
commode pour des scélérats de votre espèce de clore la bouche et les yeux aux
moutons de la nôtre. Je sens que la terreur et les échafauds vous conviennent
beaucoup mieux comme moyens, que la justice et la raison ; mais la justice
innée dans tous les cœurs, en reprenant son cours accoutumé casse les auteurs et
les instruments de la tyrannie et rétablit la tranquillité dans les esprits, la
clarté dans les idées, la justesse dans le langage, la liberté dans les
opinions et l’équilibre dans la société. Malheur alors à tous les scélérats
subalternes qui ont servi bassement le crime, et foulé aux pieds les saintes lois
de la nature et de l’humanité ! Malheur à tous les moustiques de la
révolution, qui ne sont sortis de la fange que pour piquer, mordre et déchirer tous
les talents et toutes les vertus ! Malheur à tous les histrions du
patriotisme en linge sale et en cheveux gras, qui ont cru bêtement étouffer
dans des flots de sang les réclamations de leurs victimes ! Malheur… »
L’Histoire est effectivement
le terreau des gestes et de leurs accomplissements, dont l’itinéraire
parfaitement connu est une lutte de la Vie contre le néant, cette première ne
se voilant la face mais se confrontant avec la virtualité sur toutes planètes
afin de les conserver dans la réalité et non la barbarie de la matière brute où
ne règnent que la médiocrité et ses féaux. Gageons que sur cette petite planète,
invisible par la galaxie, elle-même à peine un grain de poussière dans l’univers,
lui-même ingrédient des multi-univers où la Vie s’accomplit, saura se
déterminer avec vaillance et courage pour défaire l’imposture comme cela a été sur
de multiples planètes et dans de nombreux mondes. À suivre…
© Vincent Thierry
|