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L’injure comme devenir politique ? Où allons nous ! |
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Written by Patinet Thierri
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Jun 07, 2006 at 06:56 PM |
L’injure comme devenir politique ? Où allons nous ! Nouveauté du cycle qui se prépose, s'affinent les vecteurs d'une désintégration pertinente, la France frémis sous ce vent de litanies complaisantes, ses racines, dissoutes par le levain de l'hérésie la plus puissante qui soit, celle d'un mondialisme aphone, larvaire, esclave, s'insurgent, se dressent tels des oriflammes au dessus de son corps en décomposition, elle lutte de toute sa lumière pour échapper à la gangrène qui sourd dans ses membres, cette maladie purulente léguée par l'obstination belliqueuse de suppôts d'un règne mythique qui disparaîtra dans l'abîme, car né de rien, retournant à rien, car issu du néant, retournant au néant, son souffle, que tant voudrait diminué, dans un élan porteur et sans refuge se dresse, frisson du jour devient un vent d'écume puis de gerbe pour d'une vague vivante décimer les passementeries en loque de son drapeau saturé par l'abjection, l'injure, la putridité mentale ! La nuit stérile s'offusque de ce sursaut, comment, la France n'est pas morte ? Pourtant, avilie dans son règne, dans son peuple, dans ses racines, dans sa destinée, arasée dans sa plénitude, son potentiel, sa productivité, défigurée par la léthargie, l'offense, l'invective, ne devrait elle pas rendre l'âme ? Cette terre de l'intelligence, du savoir faire, du savoir vivre, pourquoi donc ne serait elle pas anéantie ? Que se passe t'il donc ? Y aurait il encore une résistance après le laminage qu'elle a subie ? brassage d'ethnies, migrations conjuguées organisées et légiférées, révolutions culturelles multiples portant aux nues l'instinct et non la raison, l'ignorance elle même légiférée comme maître à penser, toutes voies développant l'égoïsme le plus pur, charriant une agressivité s'établissant comme institution naturelle, chacun ayant droit ce jour d'incendier, détruire, pour le seul désir de se faire entendre, et pire, dans le laxisme le plus désaxé voyant jusqu'aux prétendants au pouvoir injurier ouvertement la souche de ce pays en en parlant comme de "petits blancs", racisme éhontée porté par ceux là même qui se défendent d'être racistes, qui nonobstant la souche se permettent plus encore en traitant de "sous hommes" des ethnies qui ont réellement versées leur sang pour la France ! France qui s'éveille, se réveille d'un sombre sommeil sous l'injure la plus profonde, le crachat le plus abject, France dont l'éveil toujours a su transfigurer le monde, que ce soit sous le règne de ses Rois, lors de ses multiples révolutions, lors de l'empire, France en renaissance qui lors de ces élections à venir prononcera son nom, que cela plaise ou non aux injurieux, aux tenants de ces pouvoirs de destruction qui s'imaginent les maîtres alors qu'ils ne sont que les esclaves de leur propre atrophie, celle de leur incapacité de vivre pour la Vie, esclavage qu'il voudrait faire partager au monde entier, mais que le monde entier refuse, voyant, avec le bon sens de l'humain, malgré la désintégration culturelle forcée et légiférée, le vrai visage de leur monstruosité, celle du néant ! Epiphénomène au sens de cette histoire qu'ils reconstruisent sans arrêt pour qu'elle leur complaise et les sacre, histoire qui ne se laisse prendre, car l'histoire se construit chaque jour et est comme le temps, impalpable, car créatrice, ce que ne sont pas ces sources du néant qui voudrait voir réduit à néant notre pays, la France, ce qui ne sera pas, si tant lorsque le corps est malade qu'il secrète les anti-corps qui lui permettent de survivre et de faire rayonner la Vie ! Ainsi ce chemin qui va et ne s’interrompt, ainsi ce chemin de la Vie qui ne se porte dans l’espérance mais dans une action maîtrisée permettant à chaque être Humain de trouver la plénitude loin des silences assourdissants des fétides reptiles qui croient dominer alors que déjà ils ne sont plus que poussière dans la vague qui s’élance et ne s’interrompra pas tant qu’elle n’aura pas lavé l’affront fait à la Vie par toutes faces de cette Terre qui ne se laissera mortifier dans l’esclavage, qui n’abdiquera la Liberté pour le nom des chaînes les plus ignobles qui puissent exister, celles de la mystification et du mensonge, de l’abjection et de la parodie, du paraître et de l’ignorance, fatuités conjointes des atrophiés qui s’imaginent encore détenir une quelconque importance dans ce monde qui se bâti, non le monde qu’ils souhaitent fait de ruines, mais le monde respectueux de chaque identité comme de chaque existant, ce que chacune comme chacun comprends au-delà des logorrhées miasmatiques de leurs injurieuses prétentions déliquescentes ! The insult like becoming political? Where let us go! Innovation of the cycle which is appointed, refine the vectors of a relevant disintegration, France quivered under this wind of litanies obliging, its roots, dissolved by the leaven of the heresy most powerful which is, that of a mondialism voiceless, larval, slave, rise, draw up such of the streamers to the top of its body in decomposition, it fights of all its light to escape the gangrene which deaf in its members, this purulent disease bequeathed by quarrelsome obstinacy henchmen of a mythical reign which will disappear in the abyss, because born from nothing, turning over to nothing, because resulting from nothing, turning over to nothing, its breath, that such an amount of would like decreased, in a carrying dash and without refuge is drawn up, shiver of the day becomes a wind of scum then of sheaf for alive wave to decimate passementeries in wreck of its flag saturated by the abjection, the insult, mental putridity! Didn't the sterile night offusque of this start, how, France die? However, degraded in its reign, its people, his roots, in its destiny, flush in its plenitude, its potential, its productivity, disfigured by the lethargy, offense, the invective, should not it not return the heart? This ground of the intelligence, the knowledge to make, the knowledge to live, why thus would not be it destroyed? What thus occurs you it? Would Y still have it a resistance after the rolling which it underwent? there mixing of ethnos groups, combined organized and legislated migrations, multiple Cultural revolutions carrying to naked the instinct and not the reason, the ignorance it even legislated as intellectual guide, all ways developing the purest selfishness, carting an aggressiveness being established like institution natural, each one having right this day to set fire to, destroy, for the only desire to be made hear, and worse, in the most excentric laxism seeing to the applicants with the capacity to insult openly the stock of this country by speaking about it like “small white”, racism shameless carried by those even which are defended to be racist, which notwithstanding the stock allow more still while treating of “under men” of the ethnos groups which really poured their blood for France! France which wakes up, awakes of a dark sleep under the major insult, the most contemptible spittle, France whose awakening always knew to transfigure the world, that it is under the reign of its Kings, at the time of its multiple revolutions, at the time of the empire, France in rebirth which at the time of these elections to come will pronounce its name, which that likes or not the abusive one, with holding of these capacities of destruction which think the Masters whereas they are not that slaves of their own atrophy, that of their incapacity to live for the Life, slavery which he would like to make divide in the whole world, but how the whole world refuses, indicator, with the good direction of human, in spite of forced and legislated cultural disintegration, the true face of their monstrosity, that of nothing! Epiphénomène within the meaning of this history that they rebuild without stop so that it takes pleasure to them and crowns them, history which is not let take, because the history builds each day and is like time, impalpable, because creative, which are not these sources of nothing which would like to see reduced to nothing our country, France, which will not be, if as well when the body is sick as it secret the antibodies which enable him to survive and to make radiate the Life! Thus this way which goes and does not stop, thus this way of the Life which does not go in the hope but in a controlled action making it possible each Humain being to find plenitude far from deafening silences of the stinking reptiles which believe to dominate whereas already they are nothing any more but dust in the wave which springs and will not stop as much as it will not have washed the affront made with the Life by all faces of this Ground which will leave to mortify in slavery, which will not abdicate Freedom for the name of the chains most wretched which can exist, those of mystification and the lie, of the abjection and the parody, to appear and ignorance, joint self-conceits of atrophied which still think to hold any importance in this world which built, not the world that they wish makes of ruins, but the respectful world of each identity like each what exists, which each one as each one include/understand beyond logorrhées miasmatic their abusive claims déliquescentes! © Vincent Thierry
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Last Updated ( Jan 01, 2007 at 09:28 AM )
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