La bête innommable

La bête innommable 

Quelques nouvelles en cette veille de Noël, symbole du Christ Roi, que nous honorons nous aussi sur cette planète magnifique qui est notre hôte.

« On se rappellera ce début de siècle comme celui de l’abjection, de la mythomanie, du crépuscule des valeurs, et de la mise à l’honneur des nains ridicules, anthropomorphes, visqueux à souhait dans leurs prétentions usuraires et fétides de se voir gouvernance en lieu et place du règne Humain. La débauche sera relevée comme son apothéose, dans cette fulguration du vide, dans cette ahurissante tourmente de la génuflexion, de la putridité labiale, de cette euphorie masturbatoire du déni de l’existence, déni en tous lieux en toutes strates, déni surtout de l’Humain, par haine de l’Humain, jusqu’à porter aux nues les tueurs nés sacrifiant des Peuples pour imposer leur dialectique matérialiste, leurs délirantes manifestations qui se conjuguent dans l’abstraction et où vient boire l’abstraction.

De ce début de siècle, on ne retiendra que deux prononciations parfaitement complémentaires : le mensonge, la propagande, l’un l’autre s’épousant mutuellement afin de faire accroire, afin de prosterner, afin de mieux rayer du conscient ses derniers limbes sans sommeil, et laisser pantois d’admiration celles et ceux qui écoutent avec addiction la bonne parole de la pensée unique, cette pensée sénile qui s’accorde si bien avec la débilité profonde née de l’anorexie de l’empathie.

Que l’on s’imagine un seul instant que cette frénésie existât dans l’antiquité, ou bien même au Moyen Âge, dans l’Empire Romain ou bien dans la geste d’Alexandre, elle eut été châtiée irrémédiablement avant de couver ses ignominies.

La destruction est son refuge, et comment en serait-il autrement, puisqu’elle ne sait rien construire, rien sinon que son image boueuse, pestilentielle, qui se veut renom comme couverture de son hilarante vacuité. Trompe l’œil de la nécessité de sa survie, elle s’est inventée la Démocratie, relue et corrigée pour sa duplicité, qui ce jour est un haillon trouble derrière laquelle se cachent les méfaits, les affaires, les purulentes ascensions dévoyées par le nectar de son embrasement, le mondial socialisme, une chose qui n’a pas de sexe, mais un genre, un mauvais genre devrait-on dire, tant la crapule est tronc commun de ses vertèbres qui s’agitent en son sein, une assemblée non de veilleurs, mais de pirates au long cours faisant fi de l’Humain au profit de leurs dorures, de leurs méticuleuses croyances en le venin de l’or et de ses oripeaux, fantasmes devant lesquels se prosterne toute la lie humaine associée à toute la tourbe qui quémande, tout le chiendent du vivant qui parasite tous les rouages de la volonté, de l’honneur, de la grandeur, de la force et du courage.

Le mondial socialisme ici a ses héros, ses tremplins, ses égéries. Il fabrique ce que l’on ose appeler des femmes et des hommes politiques, savonnettes puantes qui génèrent comme les perroquets les dires de leurs maîtres, ainsi en est-il de ce que l’on ose appeler des Young leader, des petits larbins caparaçonnés des méandres des tribales licences qui se permettent de s’offrir comme des péripatéticiennes sur le trottoir au bon Peuple qui doit, ignorant de leurs appartenances, se tenir agenouillé devant leurs voix monocordes, monotones, ridicules, ne dévoilant que le mensonge de l’arbitraire, dans une compassion telle que cela prête à rire, tant d’orgueil mal placé, tant de vanité éphémère, tant de coercition invitée, tant de honte bue, que chacune d’elle est le reflet de la permanence de l’incapacité.

Une incapacité portée sur le front des autels d’une dite République qui n’est pas une République, sinon pour cette tribu de francs-maçons qui s’imagine le phare de ce monde alors qu’ils ne sont que des pions sur l’échiquier sur lequel ne jouent que les mentors, les maîtres du jeu, dont ils n’arrivent pas à la semelle et ne connaîtront jamais l’autorité. Vaste chantage que celui-ci, jouant de toutes les ficelles de l’utopie afin de naître dans le cœur des Êtres Humains un sentiment de faiblesse, qui n’existe que pour le pleureur invétéré, le quémandeur attitré, le voleur opulent, le crime organisé, la bestialité autorisée, toutes faiblesses ayant besoin de se faire comprendre et aimer afin de mieux obscurcir le réel et lui donner cette fadeur, cette dénaturation profonde dont chacun doit se vêtir afin de complaire.

Théurgie de la mort, ses vestales, en prêtres s’en vont et s’en viennent donner des leçons de morale, des leçons de mort pour la Vie, qui de l’avortement, qui de l’euthanasie, qui de l’obligatoire métissage, alors que la Science prouve que ne s’allient que celles et ceux qui se ressemblent, qui de l’obligatoire acceptation des criminels, surtout lorsqu’ils sont pédophiles, qui de l’obligatoire reniement de son Histoire, de ses Racines, de sa Spiritualité, de son Intellectualité, de sa dynamique corporelle, pour laisser place à cette chose béante, sans nom, cette chose qui est déjà le principe de ces voix qui se manifestent, mais en aucun cas n’ordonnent, larves de l’usure qui vitupèrent pour faire accepter l’usure et son esclavagisme répugnant.

La bête est là, et il n’est point besoin de relire les Écritures pour la voir telle qu’elle est, une bête remarquable n’ayant de souci que sa frénésie, sa luxure, sa dantesque sauvagerie, sa bestialité atavique. Signe par les temps, elle court par tous les chemins, implantant ses dérives et ses paresses, à l’aide de ses ONG si bien ordonnées aux fins de percevoir ses subsides, à l’aide de ses « partis » politiques qui sont le règne de la démence appropriée permettant d’attraire et taire les Peuples sous le mensonge développé, à l’aide de ses organisations internationales qui ne sont là que pour mettre au pas les Nations et les faire disparaître dans le gruau infect d’une mondialisation sans lendemain, une chose qui est la chose de cette chose.

Sa plaie est là, virulente, barbare, et elle se sert de Lois pour délibérer les sentences de la convenance, de la convenance à sa boue luxurieuse, à ses métastases que nul opium n’a jamais vu, des métastases ruisselant d’affaires morbides par excellence, de faiblesse inouïe, de crimes épouvantables, tels ceux commis sur des Enfants que l’on achète aujourd’hui via les voies de Nations qui n’en portent que le nom, afin de complaire au sadisme et la glorification de tout ce qui ne porte que le nom de l’horreur.

Il y a quelque chose de pourri dans ce royaume, une pourriture qui sent la mort, qui assassine sans scrupule, qui un individu tels certains hommes, qui en sont encore, politiques, qui des Peuples entiers soumis aux hordes sauvages et sanguinaires qui les asphyxient, les torturent, les vendent à l’étal du boucher, comme on peut le voir en Syrie actuellement, quand ce n’est pas en Libye où le simple fait d’être noir vaut la peine de mort, et il y en a encore pour parler de civilisations, une civilisation couturée par l’abstraction, où les ismes sont des paravents pour la bestialité, telle qu’on le voit actuellement en Afrique du Sud, où quatre-vingt mille blancs ont été assassinés dans des conditions épouvantables depuis l’accession au trône du terroriste qui lui servit de guide, ne comptant pas moins de deux cents attentats à son actif, et responsable du meurtre de centaines de personnes, blanches bien entendu.

Ces paravents sont à leur comble dans ce que l’on nomme donc la civilisation, une tuerie gigantesque dont n’auraient pu rêver ni Lénine, ni Staline et encore moins Hitler, une tuerie exponentielle, voyant dans cette Afrique broyée par la marche des séides de l’usure, le génocide de six millions de Congolais Catholiques bien entendu, et cela aurait pu être de même en Centrafrique si ne s’était interposée notre force militaire qui en paravent vient défendre le Peuple, - mais n’est-ce pas plutôt pour défendre la minorité musulmane au pouvoir qui commet le génocide des Catholiques centrafricain ? -mais prioritairement les ressources minières de cette Nation.

Qui se souvient encore du Darfour où les meurtres se perpétuent à l’encontre des Catholiques, qui se soucient des meurtres des Catholiques dans toutes ces Nations qui ont connu une « révolution » ?

Le meurtre est l’addiction de cette boue qui s’insurge, et qui d’un coup de menton s’imagine, alors qu’elle n’est que vouloir de petits groupes du néant que le néant voudrait lui-même oublier, tant leurs groupes suent les génocides qui se succèdent, toujours pour raisons économiques, toujours pour le paraître et l’idolâtrie du paraître, cette morve qui pend au nez de toutes celles et de tous ceux qui ne savent pas Être et haïssent l’Être, car incapables d’Être, incapables de reconnaître la densité cosmique de l’Être Humain, incapables de voir au-delà de leurs petits soucis de plaisirs, la réalité souveraine de l’Être Humain, qui n’est pas né pour être l’esclave de leur parasitisme, de leur infantilisme, de leur bestialité, de leur complexe d’infériorité ou de supériorité, de leur outrance comme de leur atrophie, toutes marques qui confinent au néant dont ils relèvent et où ils s’enfoncent imaginant voir l’Humanité entière se presser dans leur labyrinthe de la létalité la plus ignoble.

Gageons que cela ne durera ce que dure le temps des roses, tant d’ignominies derrière les révérences, les obséquieuses déférences, les litanies et les encensements de cette délirante prostration qui voguant vers l’abîme, nous voudraient enchaîner à elle pour sombrer avec elle. Le goulag a beau s’esclaffer, se redorer, se signifier, la pensée, elle, ne s’ébauche mais tient ses racines multimillénaires afin de cloitrer la bestialité de ce goulag, la rendre visible, et surligner ses récurrences liberticides, mortuaires, génocidaires, piliers de ce temple maudit dont la barbarie n’est plus à mettre en exergue.

Le temps de la tolérance est terminé face à cette intolérance inimaginable de la médiocrité qui se veut pouvoir, de ce parasitisme totalitaire engraissant sa pourriture comme les rats les égouts de rives infectes. Ce bourbier létal compris dans sa demeure, cette demeure de l’atrophie n’a que trop hurlé sa haine viscérale, née de sa désunion avec le réel, de son crime envers la Vie, de sa putridité naturelle qui dans l’obséquiosité la plus purulente s’imagine encore conquérir de labiales prostrations. Son crime est là devant nos yeux, le crime envers notre Peuple, nos Racines, envers l’Être Humain, envers l’Humanité elle-même, dont il se réclame alors qu’il n’en arrive pas à la cheville, tant sa torpeur le soumet à l’abaissement le plus vil et le plus répugnant qui soit.

Regardons notre Nation, laboratoire de cette expérimentation de fous, et nous y verrons tous les méandres insanes de cette perfection de l’inutilité, dont les reptiles infects croupissants dans leur vase opiacée s’imaginent règne.

Voyons encore une fois leur projet de désintégration de notre société, reflet parfait du plan de Weishaupt mis en application par les larves aux ordres d’une maçonnerie déviante : destruction de la Nation, cela est en cours avec la propagande bolchevique médiatique totalitaire où le Peuple ne se prononce plus mais doit s’abstenir de tous commentaires sous peine d’être gazé par les Yagoda de ce siècle, destruction de la famille, cela est en cours avec les délires de non-humains qui paradent avec leurs tabliers de boucs dans les arrières cours du pouvoir et enchantent l’avortement, l’euthanasie, le métissage forcé, et bien entendu le rapt de nos enfants dès l’âge de deux ans pour les acculturer et par une propagande systémique, leur faire croire en la « république » universelle arc-en-ciel qui n’est que le dépotoir des esclaves dont l’usure se servira comme elle l’entend afin d’ajuster au profit la vie et la mort de l’Humanité.

Destruction de la culture, cela est en cours avec le sevrage infantile des médias aux ordres, grotesques dans leurs litanies de sous braguette, enchantant la vermine et la sous-culture pour œuvrer dans les basses-fosses de la flagellation et de la reptation une masse d’aveugles hilares et sans devenir, destruction des Arts, cela est en cours lorsque le manifeste de la putridité dresse par tous les horizons, des étrons à la Défense, des bouts de tuyaux lumineux à Versailles, et j’en passe et des meilleurs, - il n’y a qu’à parcourir nos villes et villages pour voir la laideur s’emparer de la beauté -, ne parlons pas de la littérature et encore moins de la philosophie de basse-cour, culminant des romans de trente pages en gros caractères pour les illettrés et les partisans de l’abîme.

Destruction de l’Armée, notre force de frappe qui doit rendre l’âme pour servir désormais de légions pour les multinationales et ne se battre en aucun cas pour la grandeur mais le servage, destruction de notre modèle social par addiction à tout ce qui n’est pas la France, voyant nos caisses de cotisations vidées par les exogènes qui bénéficient de tout tandis que les Françaises et les Français ne bénéficient que du servage, destruction de notre économie au profit de terres étrangères, sans lendemains, sinon pour poindre le chômage endémique qui devient le viaduc de l’euthanasie consentie, destruction de notre agriculture, au profit d’une « europe » larvaire aux ordres de banquiers répugnants qui s’autorisent à créer dans le déni du droit une banque noire dont les serviteurs ne sont pas responsables de leurs actes.

Destruction de nos frontières par utopie d’une « europe » fédéraliste couronnée et couronnant un parlement caché dans le parlement lui-même, qui tient ses assises comme tenaient leurs assises les marchands du Temple, destruction de tout et surtout destruction de la pensée qui doit se soumettre au reformatage bolchevique mondial socialiste qui ne mène qu’à la désintégration.

La France au regard de cette répugnance est bien là le modèle du goulag que voudraient instaurer les émules de la Fabian Society, missi dominici de la Round Table tenue par des banquiers apatrides qui se contrefichent de la réalité humaine, qui se résume par du bétail pour ces atrophiés ataviques, ces voleurs et ces suceurs de sang comme de moelle, vivant de l’usure dans la dégénérescence absolue.

Nous pouvons ainsi regarder plus loin dans le détail de la gabegie institutionnalisée afin de réveiller les aveugles au service des borgnes, voir la tonte de nos avoirs par cette secte barbare qui est la main de l’usure, voir que pour une éducation d’illettrés, l’État dépense trente milliards supplémentaires, à nombre d’élèves égaux, que l’Allemagne et l’Angleterre, voir que sur le fonctionnement de l’État, vingt à trente milliards pourraient être économisés en réduisant le parasitisme qui y règne, en élaguant toute la fourberie de pseudos castes des grands corps de l’État, auxquels se surajoutent trente milliards en éliminant cette nécrose que sont l’AME et les allocations familiales, qui ne servent que les exogènes et en aucun cas la France.

C’est par centaine de milliards que l’argent s’envole dans cette Nation, nourrissant la putridité, l’exaltation de la petitesse, la bêtise et sa résonance. Une purge est nécessaire, une purge globale afin de sortir de cette étroitesse de pensée qui ne pense, sans jeu de mots, qu’à introduire dans l’État ses miasmes afin d’en avoir les voix, qui distribue sans compter afin d’obtenir des voix et se maintenir dans ce pouvoir qui n’existe que fictivement, la représentation de la gouvernance actuelle comme de la précédente ne représentant qu’à peine vingt pour cent de notre population, dont quinze pour cent issus de l’immigration massive.

Le Peuple ici se voit floué de son autorité, le Peuple n’existe plus que pour se faire injurier, lacérer, éviscérer, et surtout voler, voler de son patrimoine, voler de son histoire multimillénaire, voler de sa culture, voler de sa réalité, par des nains ubuesques que représentent si bien les gargouilles de Notre Dame de Paris.

Le Peuple de France doit se dresser contre l’abus de pouvoir constitué par cette lie de la société qui au nom de sa république universelle cherche à détruire jusqu’à son nom. Partout, en tous lieux, être dissidence de cet ordre instruit par le mondial socialisme bolchevique, qui devra être détruit par les urnes, en demandant une loi séparant l’État de la maçonnerie et des sociétés de pensées quelconques, en instituant des comités de vigilance dans chaque commune afin que dans la Liberté se présentent à la Députation et ne soient élus que des hommes et des femmes libres, et non enchaînés au mythe maçonnique ou autre.

Le Peuple n’a pas à défiler, n’a pas à obéir aux instructions de syndicats couchés, le Peuple, de par sa seule autorité peut reprendre le pouvoir, qui n’appartient à personne, dans sa Nation, sabordée par la lie et ses épouvantails illusionnistes, dont on apprend avec interrogation qu’un précédent voudrait de nouveau se présenter aux élections présidentielles après les monceaux de fourberies, de traîtrises, dont il a fait ses coutumes lors de sa présidence. Il suffit de cette élite de la médiocrité qui parade. Ne votez en aucun cas pour celles et ceux dont vous ne connaissez pas le degré de liberté. Toute appartenance à la franc-maçonnerie ou autre secte, doit être écartée de tout pouvoir. Ce n’est qu’à ce prix, comme en Islande, que le Peuple sera renouveau et chassera jusque dans les chiottes les derniers cafards qui pourrissent la Nation, afin de les rendre à leurs chères études de dictateurs.

Une fois cette armature balayée, l’État doit se séparer de tout le parasitisme qui l’encombre, revenir à une saine gestion de ses personnels, en cela au niveau de la gouvernance ne pas dépasser huit ministres, Éducation, Armée, Social, Famille, Économie, Intérieur, Extérieur, Culture, sous les ordres d’un premier Ministre, au niveau de ses grands corps ne pas dépasser cinq cent mille fonctionnaires, ce qui est largement suffisant pour notre Nation, et faire tomber toutes les niches qui tournent en rond et se régalent sur la pauvreté de la France, ces conseils régionaux, ces conseils départementaux, ces comités de gestion de communes, etc, etc, n’en jetez plus la cour est pleine.

L’Éducation Nationale en ses existants doit être éradiquée pour faire place à une Éducation, tout simplement, et ne recevoir en son sein que deux cent mille fonctionnaires qui travailleront et éduqueront et non se prélasseront dans la culture bolchevique garante de l’illettrisme et du formatage d’enfants qui n’attendent pas à devenir les esclaves de la maçonnerie et de leurs mandants.

Des coupes sombres il faudra, des coupes terribles pour les fainéants, les illusionnistes, les perfides, les prébendiers en tout genre, qui sous le mandat de leur carte de partisan du social mondialisme se gargarisent de leur inamovibilité, fourrier de tout laxisme. La France n’a pas besoin de toute cette pétaudière anachronique qui voit jusque dans la magistrature ses héros hisser leur mur des cons afin de stipendier la droiture, l’honneur, la grandeur, la beauté, le Droit, au profit de leur reptation devant le mausolée de l’outrecuidance, opiacée des faibles d’esprits qui ont besoin d’une béquille idéologique pour se tenir debout.

La France est la poubelle de ce monde, il serait temps et urgent de l’assainir de l’abjection qui la porte, du mépris qu’elle supporte, de la haine farouche du bolchevisme social mondialiste qui l’anime, si visible dans ce pourrissement de l’ovation, voyant les deux faces de Janus aller rendre hommage au pion du social mondialisme, terroriste par excellence, ayant laissé une Nation dans le crime et notamment laisser assassiné dans des conditions horribles plus de 80 000 blancs, et cela continu, au nom d’une société dites arc-en-ciel qui n’est que le venin de ce monde.

Ce qui est encourageant c’est de voir que lors de cette ovation, le stade dans laquelle elle était perpétrée, était pratiquement vide, sauf de toute la représentation de ce bolchevisme social mondialiste se pavanant, roturiers de la maçonnerie, roturiers de l’ordre noir préservant la noblesse de ce petit monde, tous dévoués à l’usure et ses commensaux. Mais il est vrai que lorsqu’on décerne la Légion d’honneur à des valets du bolchevisme, tel qu’on l’a vu récemment, en la sacralisation d’écrivaillons n’ayant que le communisme pour héros, il n’est pas anormal de voir cette souillure de l’esprit devenir le maître à penser de tout ce qui veut être règne, mendiant parmi d’autres le festin barbare dont se goinfre l’usure en majesté.

Nonobstant d’être devenue une poubelle de ce monde, la France est un goulag, un camp de concentration dans lequel personne n’a son mot à dire, sinon que dans le cadre de la pensée unique qui souille jusqu’à l’esprit, tellement elle est empuantie par le mensonge, la haine et la perfidie, teintée de cette hypocrisie qui tient lieu de miroir à toute cette honte qui s’y précipite, renégats à la France, ses racines et ses coutumes, traîtres à la Patrie, raclures de l’idéal communiste et de ses pourvoyeurs de mort, ses kapos et ses commissaires politiques inventant le séjour en asile psychiatrique pour celles et ceux qui ne pensent pas par le bréviaire de la destruction comme de la désintégration, et pire encore, comme on l’a vu si bien dessiné par la mise en geôle d’un garçon ayant contesté le mariage pour tous, mis nu et isolé sans moyen de se nettoyer, dans l’avilissement le plus complet, se voyant susurré qu’il serait peut-être bon qu’on le suicide, par les valets ignobles d’une police politique qui ne dit pas son nom mais agit dans tous les milieux pour les pervertir, les désunir, les annihiler.

La France n’est plus que l’ombre d’elle-même en façade, si l’on écoutait la racaille qui se veut son pouvoir, mais cela n’est pas, loin de là, tout un chacun ressent les relents de pourriture, d’infection, de gangrène qui la martyrise, tout un chacun en conscience sait qu’il doit se débarrasser de ce sida intellectuel qui s’autoprotège, se gargarise, et vomit ses miasmes purulents. Sida ne vivant que par le vol quand ce n’est pas le viol, sida mortuaire dont les fresques sont de sang et de sueur, de larmes et de dépravation, chiendent tenu par les testicules ou par les affaires, se vautrant dans le crime, le parjure, le déshonneur, la putridité la plus exaltée.

Tout un chacun de la France sait qu’il doit désormais combattre pour survivre, annihiler les scories dont les métabolismes formatés se déversent comme des sauterelles sur les valeurs immortelles afin de les enlaidir, afin de les destituer par le silence, l’assassinat, le génocide, la terreur et la répression. Tout un chacun de la France doit combattre avec les armes légales, dans le cadre de la Démocratie ce jour humiliée, outragée, rabaissée, par la haine sans nom de la bête bolchevique sociale mondialiste dont les représentants se hissent dans les médias aux ordres pour faire ruisseler leurs mensonges, leur propagande désuète, leur anachronisme bestial.

Tout un chacun de la France doit s’unir pour disperser cette folie ahurissante qui s’est emparée par mensonge de ce pouvoir qui je le rappelle, n’appartient à personne, lui permettant de souiller notre Nation, de la compisser et de la conchier dans sa barbarie la plus révulsive qui soit, façonnant le non-être, l’esclave parfait au service de l’usure et de ses féaux. La République une et indivisible est aujourd’hui entre les mains de la servilité et de la médiocrité, la République une et indivisible doit se séparer des carcans des privilèges féodaux qui l’endeuillent et la martyrisent, la République une et indivisible ne doit être représentée que par le Peuple et ses Députés issus du Peuple et non de cette logorrhée maçonnique qui ne sait créer que le désordre, qui ne sait qu’incarner que la destruction, qui ne sait rien faire sinon que de détruire, que d’avilir, que de déshonorer, que de souiller la Nation.

Cette bestialité a déclaré la guerre aux Françaises et aux Français qui ont construit cette Nation, en conséquence les Françaises et les Français doivent désormais savoir ne compter que sur eux-mêmes et finaliser leur expression populaire dans un parti de la Nation et non pas dissiper leurs voix dans la létalité qui trône, ses affairistes, ses nécromanciens, ses ritualistes, ses cohortes de voleurs et de pilleurs, ses enchanteurs de la pédophilie et de ses monstruosités, ses cornacs de Peuples aveugles qu’ils mènent vers l’abîme au nom du néant qui les incarne et les tient debout, nains ridicules à souhait suant la promiscuité de leur indécence, de leur connivence, de toutes ces flatteries qui sont la nécrose de ce monde lui-même, invention liturgique d’une laïcité qui n’est que le fourrier de la destruction de toutes racines, quelles qu’elles soient.

Nous sommes tout en bas de la courbe de Gauss, une chute vers l’enfer que nous pouvons redresser si nous ouvrons les yeux et cessons d’être le public larvaire qui applaudit à la défécation, qui se prosterne devant la dérision et acclame les illusions. Et la première chose à faire, dans ce concert de la démence, c’est bien entendu de ne plus octroyer le moindre centime au sida intellectuel qui se propage, ne jamais acheter tant dans les domaines littéraires que philosophiques les guenons de ce système larvaire, ne jamais acheter et s’en aller en concert pour écouter les niaiseries infantiles de la sous-culture qui s’imagine règne, ne jamais se déplacer pour des visites de musées où l’abstrait, cette bêtise surannée, inventée pour lapider l’imaginaire et sa fonction sociale, est dominant, enfin changer de tonalité en n’écoutant plus les insipides reportages louangeurs de la fétidité, les rodomontes des suces queues établis, quatre-vingt-dix, si bien répertoriés ce jour dans leurs mensonges et leur culmination du mensonge, qu’ils devraient ce jour aller dans les cirques tellement ils font rire de leurs douteuses assertions, de leurs mouvements gestuels compassés appris dans les manuels d’une psychologie de pacotille depuis bien longtemps dépassée, pauvres hères aux tribales infections qui se partagent la manne de subventions, toujours de subventions, ne l’oubliez jamais.

Et sur ce sujet il conviendra de ne plus accorder la moindre subvention à quelque organisme que ce soit, et surtout encore moins aux journaux qui se disent d’opinion et qui ne sont que les reflets de l’écume barbare qui rôde en leur enceinte, tel un journal dont le ridicule lui permet d’obtenir d’être la tête hors de l’eau grâce à nos deniers, ce qui est plus que scandaleux, quand on pense que l’idéologie communiste bolchevique ne retient l’attention que d’à peine dix pour cent de notre population ! Et sur ce sujet combien d’argent dilapidé, dans des associations multiples pourfendant le droit d’être Français, honnissant notre Race, notre Identité, nos coutumes, notre histoire, au nom de prétendu anti sémitisme, racisme, qui ne sont que les armes des lâches et des irrespectueux de leur Race, de leur Identité, de leur Nation, de leur honneur, qui nonobstant d’être engraissé par nos deniers, se veulent les moralistes de notre histoire, qui tellement réécrite et expurgée ce jour ne représente plus rien, au nom d’une citoyenneté de pacotille qui est le ferment de l’esclavagisme le plus putride qui soit.

Car la citoyenneté ce n’est pas le renoncement à son Histoire, à sa Patrie, à sa Nation, à ses Racines, à sa Famille, mais bien au contraire nonobstant leur exaltation, le partage de cet honneur et de cette grandeur et non de son humiliation et non de sa flagellation, et non de cette ordure dans laquelle on traîne nos ancêtres qui ont fait la France. La France ici tombe dans le ridicule le plus parfait, lorsqu’on sait que certaines Nations dont la Chine particulièrement admire notre Histoire, le sens de sa responsabilité face au devenir Humain, qui n’est pas celui de cette franc-maçonnerie larvaire, mais bien celui de la capacité qui permettra aux Peuples et aux Nations de s’accomplir librement dans le cadre symbiotique de ce petit monde qui n’a pas demandé à être l’esclave de la putridité, de l’oppression, de la répression, de la dictature, des nains qui se veulent guides alors qu’ils ne sont que théurgie de la bestialité et de ses origines, la jalousie, la haine, le triomphe de la barbarie.

Comme on le voit ce début de siècle est ressort de l’abjection la plus stérile, enfantement barbare de nécromanciens avides, de cette pestilence rouge brune qui charrie des fleuves de morts, des génocides et des meurtres qu’on ne peut plus compter, et qui aujourd’hui après les individus et les masses, tentent de fracasser les alvéoles de ce monde, qui complémentaires, multiplient la capacité, qui dans leur désert ne seront plus que sources de déliquescence acceptée et idéalisée, idolâtres de la perversion, de la désintégration, de la destruction.

N’oubliez pas que ce qui fait tenir debout le mondial socialisme c’est, outre le viol ethnique le viol systémique de la pensée par leurs zélés prosélytes, qu’ils ont porté aux nues, voleurs d’idées ou sapience de la putréfaction, Darwin, Marx, Freud, Einstein, Friedman. Ces idoles perverses ne sont plus à mettre sur un piédestal mais bien au contraire à déboulonner de leur statuaire usurpée, quand on voit à quel point ils ont cherché à égarer l’Humanité, pour Darwin par un essai dont la violence est un outrage à la réalité des Races Humaines et de leurs Ethnies, pour Marx, par un essai, volé à Hebert, payé par les banquiers apatrides destiné à faire naître le communisme, enfant du socialisme, qui a commis l’irréparable avec ces cent cinquante millions de victimes à son actif, pour Freud, par un essai structurant la nature humaine dans son unique souci de reproduction, et glorifiant son analité qui est devenue le sens de toute la subversion qui se gargarise ce jour, dans le genre qu’elle se permet, pour Einstein, par un essai volé à Poincaré qui n’y croyait absolument pas, qui relègue l’Humanité dans les fins fonds de la Galaxie, sur notre petite planète qu’il faudra un jour quitter, n’en déplaise, compte tenu de la durée de vie du Soleil qui lui permet de vivre, pour Friedman, par un essai reléguant l’Être Humain à l’animalité la plus égoïste qui soit, fourrier de la barbarie économique que nous vivons ce jour.

Ainsi faut-il par tous les moyens anéantir cette culture morbide par la mise en exergue de la réalité face à ces utopies les plus délétères, où s’enfonce le bras armé de sa dérisoire insanité. Car la réalité est là et bien présente, que chaque Être Humain est indéfectiblement lié à son évolution personnelle et à l’évolution de chaque membre de l’Humanité, en ses Races, ses Peuples, ses Ethnies, et qu’il n’est d’évolution que dans le dépassement du raisonnement osmotique, qui n’est qu’entropie, par le raisonnement symbiotique, qui recouvre toute la densité Humaine en ses œuvres de préhension et de compréhension, corporelle, intellectuelle, spirituelle, le reste n’est que bouillie pour les chats que les chats ne voudraient même pas tellement leur aristocrate valeur stipendie toute nocivité.

La barbarie trouve son chemin grâce à l’oubli des tremplins humains en leur harmonie, que sont le corps, l’esprit, l’âme, naviguant vers leurs labyrinthes les atrophies que sont l’unité du corps et de l’esprit, de l’esprit et de l’âme, du corps et de l’âme, définissant par leur glauque incertitude les civilisations de la mort par essence, matérialiste, spiritualiste ou primitive, tels qu’on en connaît l’essor dans ce monde couvé par les miasmes de cette atrophie purulente.

Oui, la réalité est là, et il convient de la faire voir à tous les aveugles qui beuglent en attendant qu’on leur donne leur pitance sans qu’ils aient besoin de la rechercher, il convient de dessiller les yeux de cette masse vautrée dans la permanence de l’immoralité la plus absconse, dans le rejet de toutes les valeurs humaines, pauvres hères sans lendemain qui demain brailleront pour qu’on les euthanasie dans le cadre de leur acculturation programmée et dirigée par toute la cacophonie d’une subversion que seule l’imagination peut défier.

Face à cette subversion il faut opposer l’Ordre, face à sa hideur la beauté, face à ses calomnies le dédain, face à sa perversion la vertu, face à son déshonneur l’honneur, face à sa cruauté la compassion, face à sa barbarie l’aristocratie des valeurs, face à sa lâcheté le courage, face à sa dérision le rire, face à son délire permanent de flagellation le déni de cette flagellation par les preuves historiques que martèle le sang des victimes de sa folie ordinaire, face à l’abstraction de sa pensée les fondements de la réalité Humaine, avec un H majuscule, et non avec ce ridicule h minuscule qui la confine au genre, à la bestialité la plus répugnante, à la barbarie la plus cinglante, à l’esclavage le plus pertinent.

L’Être Humain n’est fort que lorsqu’il se respecte et respecte autrui, et cette force est indivisible, et c’est bien pour cela qu’il n’y a pas lieu de réunir ce qui est déjà uni pour renverser les idoles de la putridité par les voies de la Démocratie la plus pure, celle du Peuple et non de ses menteurs patentés qui veulent mener le Peuple vers son agonie. Cela vient, n’en doutons un seul instant, et c’est bien pour cela que nous assistons dans notre Nation à une offensive sans précédent de la folie subversive, jusqu’à émettre un rapport d’intégration des exogènes donnant toute la place aux exogènes et ne donnant aucune place au Peuple de France.

Ce camouflet envers l’Identité, envers la Patrie, envers la Nation, envers nos racines, né de l’abrutissement hystérique de maçons pervertis et ineptes, ne doit pas être passé sous silence. Ici se trouve le lieu de la stérilité, du génocide de notre Peuple par tous les traîtres à la Nation, par cet aréopage de pseudos experts qui sont dévoués à l’esclavagisme le plus cynique qui soit, car dans les faits, qu’est-ce donc que ces populations qui nous parviennent, qu’une masse d’esclaves voulant rendre esclave le Peuple de France lui-même !

Nous ne sommes pas au bout de nos surprises et dans cette horreur subversive, il faut s’attendre à un durcissement de la pensée unique, allant mener jusqu’à l’abattoir les penseurs de notre temps qui ne sont pas sur notre sol fort heureusement, car ils seraient remisés en geôles afin de les suicider, ou en asile psychiatrique pour qu’ils apprennent le sens de la citoyenneté qui n’est autre que celui de l’esclave parfait, sous la houlette de pseudos associations subventionnés par nos deniers qui n’ont que haine pour tout ce qui est Français, pour ce qui est la France, pour ce qui est ce que nous sommes, les héritiers d’un passé glorieux, qui n’ont pas à courber l’échine devant ce qui n’est pas la France et ne le sera jamais.

Donc méfiance, soyez sur vos gardes, dans le pays du goulag, il n’est pas inutile de penser que les camps de concentration viennent à naître, dirigés par ces mêmes qui ont torturé, violé, dépecé, assassiné sauvagement des Peuples entiers, rappelons-nous du Cambodge, rappelons-nous le Chine communiste, rappelons-nous de la Russie saignée à mort par toute une bande de truands, de voleurs, de tueurs patentés, de terroristes parasites. Nous sommes actuellement dans le même cadre révolutionnaire né en 1917, et la police politique ainsi que sa milice familière, bientôt aidée par les milliers de prisonniers dont la peine est inférieure à deux années de prison, ( la bonne République Espagnole avait fait libérer en 1936 les meurtriers des prisons et les fous des asiles ) ne sont pas loin pour taire toute pensée constructive, - n’oublions pas les manifestations contre le mariage pour tous -, il n’y a rien à attendre d’une gouvernance bâtie sur l’abstraction qui au nom de ses idéaux maçonniques déviants est prête à tout pour détruire jusqu’à l’idée même des racines Humaines.

Face à ce déni du réel, utilisez les voies de la Démocratie pure et dure pour vider l’abcès que représente cette subversion, ne défilez pas, utilisez de manière utile le contre-pouvoir généralisé par Internet, ne répondez à aucune prostitution de l’esprit qui agite les réseaux sociaux afin de mieux les manipuler, signifiez toute information permettant d’éradiquer la bestialité, telle qu’on la voit en œuvre à l’encontre de l’Église Catholique, dans toutes Nations y compris la nôtre où le feu et le pillage des églises, la destruction de nos cimetières, sous faux drapeau, sont le gage de la horde des milices qui travaillent pour le pouvoir noir qui agit.

1917 en Russie, 1936 en Espagne, nous y sommes et ne devons faire comme celles et ceux qui ont succombé sous les coups de la subversion, mais bien au contraire informer, libérer les consciences, déformater les esprits englués par le venin stérile de la pensée unique, faire retrouver à tout un chacun sa liberté de conscience, sa liberté de critique, sa liberté de construire, faire naître tout un chacun à ce combat qui est un combat de tous les jours et de toutes les secondes qui doit être le fait de chacun d’entre nous afin que la boue qui nous recouvre se dissolve définitivement.

Nous sommes en guerre, la guerre des esprits, la guerre contre les esprits atrophiés, la guerre totale des idées qui doivent faire en sorte que vainque l’idée souveraine de la naissance d’un Ordre symbiotique qui devra tout à sa valeur et rien à la lâcheté, la coercition, le mensonge et la propagande. L’Être Humain n’est un animal que pour les animaux, que pour le nihilisme le plus stérile et le plus destructeur que l’Humanité ait connu à ce jour, dont il faut confondre les artifices, les plaidoiries minables, les actions génocidaires, les trafics infâmes, tout un monde interlope de voleurs et de tueurs, tout un monde interlope d’illusionnistes et de rhéteurs de l’innommable.

Rien n’est perdu, tout est à construire, tout est à rénover, tout, je dis bien tout, et cela ne sera pas difficile, tant les fondements larvaires des pouvoirs usurpés ne tiennent que sur le sable de leurs idéologies tronquées. Je le dis aux jeunes, relevez vos manches, ne tombez pas dans le piège de la manipulation des masses, n’accordez aucune importance aux marques de savonnettes estampillées maçonnerie déviante ou société de pensée déviante pour lesquelles on vous demande de voter, votez uniquement pour les gens du Peuple en capacité, ne vous préoccupez des machines de guerre mise en place pour la communication et la vente de ces pièces avariées auxquelles on vous oblige à croire l’importance, ces gens sont sans intérêt, répudiez les Députés en appartenance, et faites voter une Loi voyant leurs privilèges destitués, car enfin la France n’a pas besoin de cinq cent députés et autant de sénateurs, cent députés et cent sénateurs suffisent, le reste n’est que superflu qui vient toucher la dîme comme on le voit si bien faire avec de pseudos députés dits européens qui pour toucher soixante-dix euros par jour vont pointer à Strasbourg et partent ensuite à leurs plaisirs, à la corruption pandémique qui ressort de cette assemblée, à l’image des nôtres, totalement investies et bâillonnées par la subversion et ses ligueurs.

Je le dis aux jeunes, présentez aux élections vos propres candidats, délivrés de toute appartenance, n’ayant pour prétention que le devenir de la France, de son économie, de son armée, de ses structures multimillénaires, le devenir de chaque Française et chaque Français, qui ne doivent pourrir dans le chômage qui est alliance de l’euthanasie proposée à venir si nous continuons dans cette dérive pestilentielle initiée par l’usure et ses féaux.

Je le dis aux jeunes qui sont l’avenir de ce monde, ne vous laissez berner, cultivez-vous, honorez vos racines, votre Histoire, votre famille, et soyez conquérant de ce pouvoir qui n’appartient à personne afin de faire naître une France libérée de ses entraves, de ses chaînes anachroniques labourées dans le sang de centaine de millions de victimes dont ne se flatte cette chose que l’on nomme le socialisme qui n’est autre que l’idéal de l’esclavagisme le plus répugnant que la terre ait connue.

Je le dis aux jeunes ne vous laissez prendre à ces pseudos autorités dites éducatives qui ne sont là que pour vous formater, engendrer des brigades acculturées pour la défense de la subversion, délivrez-vous de l’histoire réécrite, de ses mensonges qui sont le propre de la lâcheté, qui couvre les crimes abominables de la subversion et ce depuis 1776.

Je le dis aux jeunes, réveillez-vous, et mesurez le travail à faire pour nettoyer les écuries d’Augias devenue de notre France couronnée par l’usure. Revenez à l’intelligence et non aux savoirs avariés, revenez à la critique et non à l’acceptation du chômage, de la déstructuration, de la bestialité, revenez au courage de la construction, au nettoyage des filaments gluants de la pensée unique qui n’est que boue incarnée, stratification de la bêtise et de son couronnement.

Ne vous laissez prendre au jeu de cette subversion, rien n’est plus simple que de la détrôner par la mise en œuvre d’actions constructives qui passent dans un premier temps par la mise en place dans les structures de la Démocratie la plus pure de celles et de ceux en capacité qui œuvreront par le Peuple et pour le Peuple, le reste n’est que confusion du réel dans l’entropie du virtuel dans lequel on cherche à vous noyer, par de faux artifices, des jeux idiots et violents, des philosophies stériles et de la littérature initiée par la débilité pour la débilité.

Soyez conquérants et confiants dans votre avenir. N’oubliez pas que le règne de la subversion n’a jamais duré plus de soixante-dix ans, et que la subversion actuelle peut être éradiquée par un seul vote, pour celui des porteurs des voies de la Nation, et non de cette glauque putridité dont les relents fétides ne couronneront aucun avenir pour les uns comme pour les autres, son venin étant celui de la destruction de tout ce qui est, surtout de l’Être Humain qui lui est une haine incommensurable, jusqu’à le vouloir euthanasié de force, comme on le verra très certainement si son règne perdure.

Vous n’appartenez pas à l’État, vous êtes l’État, ce qui est tout à fait différent, vous êtes le Peuple et en conséquence de par la voie de la Constitution, vous n’êtes esclaves de personne et surtout pas des idéologies mortifères mises en œuvre actuellement par la destruction programmée et initiée par la maçonnerie déviante, bras armé de l’usure.

Prenez mesure en conscience et ne baissez pas les bras, l’Islande a montré le chemin, et rien ni personne ne pourra rien contre votre avancée fulgurante si vous le voulez. Vouloir veut dire courage et patience, vouloir veut dire s’impliquer dans le réel et non dans le rêve des utopies babéliennes, de la bestialité organisée, de la pourriture institutionnalisée.

Nous vivons actuellement une époque purement satanique, nihiliste, sans foi ni loi, barbare à souhait, mensongère jusqu’à l’ignominie, composante de l’atrophie la plus virulente qui soit.

Il ne tient qu’à vous de renverser cette involution pour retrouver le cours de l’évolution naturelle.

En attendant je souhaite à chacun d’entre vous de très bonnes fêtes de Noël, Noël, symbole du Christ Roi qui par son courage jamais renouvelé a montré la Voie, la Voie souveraine que chacun d’entre nous doit suivre afin de parfaire ce passage dans la vacuité matérielle, dans laquelle tout doit être fait afin que suive l’Évolution son cours naturel qui n’a pas à être dévié par le sommet de l’acculturation que représente la subversion et ses féaux. »

Pauvre Terre, pauvre France noyée dans une culture de mort, voyant ainsi se gréer le pavillon des nihilistes, les seuls à croire à la mort, pauvres gens comme le dit si bien cette missive, acculturé au dernier degré et dans leur imbécillité chronique née de leur atrophie voulant imposer leur sous-culture. Espérons que l’année qui vient sur cette Terre puisse dépasser ce carcan d’ignominie.

© Vincent Thierry