La dictature en action
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La dictature en action
Affaire Dieudonné
Ecoutez les radios d'Etat, sur l'affaire Dieudonné, très intéressant de voir les suces queues se précipiter sur sa mise à mort. Il serait temps de savoir que personne n'a le monopole d'un génocide : Congo, actuellement, plus de 7,5 millions d'assassinats, communisme et national-socialisme, petits frères du socialisme plus de cent cinquante millions d'assassinats, ne parlons des Amérindiens, des Arméniens, des Chouans, il faut savoir que les liquidations massives sont toujours le fait à la base de la fureur socialiste. Le reste, il convient bien de prendre conscience que tout un chacun qui né après 1930, n'a pas à se vouer à la génuflexion d'une histoire qui n'est pas de leur fait et dont les horreurs commises ne sont pas de leurs actes. Alors un peu de pudeur en respect de centaines de millions d'assassinats que ce système bridé par une coalition extraordinaire ayant pour but la destruction de nos Civilisations comme de nos coutumes, de notre droit de penser comme de notre Liberté, met en œuvre. Dans notre Nation il faut savoir désormais que seule la shoah doit être vénérée, et ce massacre par les nationaux socialistes, je dis bien socialistes, devrait être le seul génocide reconnu dans ce monde, et pour initier cette seule vérité, l'Etat vient de prévoir une peine pour toutes celles et ceux qui préjugerait de la shoah, alors nous attendons une peine semblable pour les crimes du communisme, les crimes de l'abjection socialiste qui a occasionné cent cinquante millions de victimes, et on attend aussi les mêmes peines pour celles et ceux qui conchient l'Eglise Catholique, qui dans des pièces dites de théâtre pissent sur le visage de Jésus, chient sur le visage de Dieu, sans être le moins du monde inquiété par la dictature bolchevique en place. Il serait temps de se réveiller dans cette Nation soumise à cette dictature la plus méprisante, celle des médiocres infatués en leurs loges inverses de se croire les maîtres alors qu'ils ne sont que des pions sur l'échiquier de l'usure qu'ils défendent. La Liberté de penser ne se transige pas. Il n'est bien entendu ici pas question de remettre en cause la shoah, mais bien de marquer que ce n'est pas le seul génocide qu'a subi l'Humanité, et que ces génocides se poursuivent dans l'indifférence la plus notoire de certaines gouvernances qui s'imaginent revenue en 1936 dans la République Espagnole couverte du sang des vivants, dont les nonnes enterrées ont été déterrées et empalées pour le plaisir de l'internationale socialiste dirigée par les loges noires qui sévissent dans notre Nation. A chacun d'analyser pour mieux comprendre le servage dans lequel nous sommes et dont par vote régulier, il faudra se débarrasser.
Tandis que trône la franc-maçonnerie déviante :
http://www.youtube.com/watch?v=MmILEncJrc8
La Franc Maçonnerie, au cœur de l'horreur. Que l’on sache que la Franc-Maçonnerie déviante soit au cœur de la subversion, on sait moins qu’elle est dans certaines de ses loges mantisse des réseaux de l’horreur, aux fins que ses membres soient tenus par leurs vices et par leurs crimes à la dite subversion.
L’esclavagisme ?
http://www.youtube.com/watch?v=C2W96oqhC8w
Un peu de lucidité sur l’esclavagisme qui est le fait de la tyrannie de l’usure.
La dictature s’instaure :
La tyrannie s'instaure et la France n'est plus un Etat de droit depuis le 9 janvier 2014, que chacun en prenne conscience. Dans le déni des lois les plus naturelles, le valet de l’usure impose la dictature et bâillonne le Peuple de France qui n’a plus le droit de rire et doit dans la servilité la plus abjecte se prosterner devant ce qui historiquement n’est pas de son fait.
Intelligence ?
Les égouts de la France sont dans cette capitale rongée par la médiocrité qui trône et assoit sa médiocrité. Comment donc l'intelligence existerait-elle dans cette ville qui est devenue la poubelle du monde ?
L’oligarchie de la médiocrité règne :
http://www.polemia.com/republicains-vous-avez-dit-republicains/www.polemia.com
La République n'existe plus dans notre Nation soumise à la caricature d'une franc-maçonnerie déviante ayant usurpé le pouvoir, par non déclaration de soumission à leurs sectes, au Peuple de France. Encadrée désormais par la dictature bolchevique, elle est en voie de disparition, et son arrêt de mort a été signé par le Conseil d'Etat le 9 janvier 2014, au motif du refus de la Liberté d'expression de tout un chacun, car tout un chacun par cet arrêt désormais peut être sujet à arrestation arbitraire, détention arbitraire, en regard de commentaires qui ne pourraient complaire à des communautarismes qui guident le pouvoir, jusqu'à vouloir rééduquer le Peuple de France, en oubliant les cent cinquante millions de victimes du communisme et de la barbarie bolchevique qui attendent toujours le jugement, fut-il posthume de leurs auteurs dont les archives du KGB citent les actes. Cet arrêt du Conseil d'Etat est illégal au regard du Droit International, de la Charte des Nations Unies, il convient de plaider devant la Cour Européenne de Justice, et devant le Tribunal Pénal International pour entrave à la liberté de penser, entrave à la liberté de se réunir, entrave et contraintes par la garde rouge du bolchevisme qui aujourd'hui montre son vrai visage dans cette France livrée en pâture à sa domestication.
La mise au pas de la France :
La France vassale d'Israël ? Vassale de l'Arabie Saoudite, du Qatar ? Vassale de la couronne Anglaise ? De la consanguinité équivoque et de l'hystérie bolchevique ? Il serait temps de reprendre notre indépendance et ne plus dépendre des sectes maçonniques qui les pieds en équerre sont au service de ce qui n'est pas la France et ne le sera jamais.
Le chevalier noir cherche à se blanchir :
Manuel Valls tente de faire disparaitre cette video (merde QUAND MEME)Quel sioniste... mdr
La franc maçonnerie déviante aux ordres de la subversion, bolchevique, dictatoriale par essence, s'imaginant une élite alors qu'elle n'est esclave et petit pion de l'usure et de ses féaux principalement protestants, dont la confession n'est qu'une hérésie destinée à détruire l'Eglise Catholique, issue du travestissement et de la duplicité multivoque qui cherche à flouer la réalité pour la perdre dans la virtualité, le factice, la bêtise, et qui se sert des médiocres pour arriver à ses fins.
Et pendant ce temps on massacre les blancs en toute impunité :
Les hordes à la solde du bolchevisme, sous l'œil compatissant du régime dictatorial que nous vivons, à l'assaut de la France, de son Peuple, qui doit tout subir. Il convient d'adresser cette vidéo à l'AGRIF afin qu'elle fasse procès public de cette barbarie tolérée par ce qui n'est plus une République, mais le fourrier du mondial socialisme, dictature par excellence cherchant la mise en esclavage de nos Peuples, et leur génocide par sa police politique.
On profane les églises :
Entre les femems payées par les milliardaires apatrides dont la corruption est telle qu’ils ont dépassé toutes les bornes, femems qui miment des avortements dans nos églises, les hordes bolcheviques qui incendient et massacrent nos églises, tout va bien pour la subversion.
On commence à entamer un programme de tri des populations :
La belle europe choisissant ses populations ! On commence par la liquidation des pauvres, cela ne vous rappelle rien ?
Et bien entendu on reprend le thème si cher à la subversion, le genre :
Où l’on voit les apôtres du retour à la matière brute se dévoiler.
On cache les procès en cours :
Voyez par qui vous êtes gouvernés et vous comprendrez mieux la descente aux enfers que la subversion veut atteindre par votre mise en esclavage économique et sexuelle, le viol des enfants, quand ce n’est pas leur mise à mort dans des tortures inimaginables aux fins de s’en nourrir n’est que le sommet de l’iceberg qu’il faudra un jour dissoudre.
On finance de nouvelles religions pour détruire l’identité spirituelle de la France :
Dans le mépris de la Loi de 1905, voyez la subversion en action tentant de nous imposer l'Islam pour nouvelle religion.
On créé des affaires afin de venir en sauveur :
Ne vous est-il pas venu à l'Esprit que cette affaire n'est qu'un coup monté par les francs-maçons du Grand Orient et de la Grande loge se servant d'un des leurs pour contredire la pensée unique et intervenant pour taire cette "dérive" aux fins de museler la liberté de penser dans notre Nation ? Regardez et analysez les appartenances des protagonistes : tout devient clair ? Voici comment la subversion travaille pour détruire l'Etre Humain en son droit inaliénable de penser afin de le rendre esclave à son abjection.
Et on prépare des attentats ou autres afin que le Peuple consente à cette gouvernance de barbares :
Attendons-nous au pire avec cette gouvernance en prosternation devant la subversion, tout ce qui n'est pas la France et ne le sera jamais, alors qu'elle n'a plus aucun crédibilité sinon celle d'instaurer l'ukase bolchevique dans notre Nation, avec ses gardes rouges, ses milices, sa police politique, aux fins de conserver par la terreur son pouvoir ne représentant pas 18% des voix des Françaises et des Français. Tel que le dit l'article, un nouveau Carpentras sous faux drapeau, qui permettra de voir arriver la boue en sauveur de la fange. Le mondial socialisme n'a décidemment pas la cote dans notre Pays. Donc méfiance, méfiance contre tout ce qui est subordonné aux loges inverses, demander à vos prétendants au pouvoir leurs appartenances et ne votez en aucun cas pour celles et ceux qui appartiennent au Grand Orient, à la Grande loge féminine, à la Grande Loge de France, à la Fondation Franco Américaine, aux sectes les plus diverses, soldatesque dantesque de la destruction de toutes valeurs humaines qui aujourd'hui submerge les pouvoirs afin de les dissoudre dans l'esclavagisme le plus purulent que la Terre ait connu. A vous de choisir, la Liberté où l'esclavage.
On met en exergue toute la pourriture intellectuelle de ce monde :
Il est normal pour toute la porcherie humaine de s'exprimer pour le bolchevisme hideux qui vient d'instaurer sa dictature communautariste.
On détruit notre Armée :
La destruction de notre Armée par la subversion.
On porte aux nues les traîtres à la France, communiste travaillant pour le terrorisme qui se faisait un délice de trancher le sexe de nos soldats en Algérie et les exposer la bouche pleine de leurs attributs aux yeux du public :
Pauvre France, voir un communiste trahissant la France et son armée, devenir l'icône d'actualités répugnantes ! les communistes ont cent cinquante millions de morts sur la conscience et n'ont jamais faits l'objet d'un quelconque Nuremberg! Il serait temps de se réveiller!
On conchie ses parents ce qui est du plus haut comique lorsqu’on voit que le personnage était un communiste ayant combattu dans les brigades internationales dirigées par les tueurs du Komintern, soutenus par le Grand Orient de France :
Il est trop amusant de voir les fils de communistes dont les père ont embrassé le national-socialisme, ce jour renier leurs parents, pour complaire à la pensée unique, et ce au moment où la liberté de s'exprimer vient d'être bâillonnée dans notre Nation par une opération très bien menée par les loges du Grand Orient. Cela fait partie de la rééducation de notre Peuple. Mais notre Peuple né après 1945 n'a pas à subir ce traitement infâme le vouant à la prosternation et la flagellation pour des faits, et là c'est le comble, dont l'origine est la liaison communisme et national-socialisme, n'oublions pas que les communistes jusqu'à l'opération Barberousse, l'invasion de la Russie, ont été les collaborateurs les plus zélés, la Russie étant l'alliée des Allemands, et ce bien avant-guerre, construisant le matériel de guerre qui allait servir les nationaux socialistes dans leur objectif, savoir l'instauration d'un nouvel ordre mondial national socialiste. Nous n'avons guère à envier cette période alors que le mondial socialisme cherche à pulvériser nos Nations, nos racines, notre religion au profit des mêmes tireurs de ficelles, qui ont provoqué la première et la deuxième guerre mondiale. Cette rééducation médiatique ne doit en aucun cas faire l'objet d'un consensus, ni même de la moindre écoute, car elle ne concerne en aucun cas la France de ce jour qui n'a pas à s'incliner devant cette tentative subversive par excellence.
Et les suces queues de l’usure entonnent leur ban d’honneur pour l’hallali de tout ce qui ne pensent pas comme eux, dans la pensée la plus délabrée que l’Humanité ait connue :
Dieudonné : Les Francs-Maçons réagissentDieudonné : les Francs-Maçons réagissent
Oui, cela risque de recommencer, que de voir cette subversion qui parle entonner le meurtre des Peuples au nom de leur liberté égalité fraternité qui ne concerne en aucun cas les sectes, mais les Peuples sous le joug de ce bolchevisme qui se veut morale, alors qu'il traîne cent cinquante millions de cadavres derrière lui ! Voici la honte de la France, cette secte sauvage et barbare qui a usurpé le pouvoir du Peuple pour cacher les crimes de ses mandants, pourrissant toutes nos Institutions y compris internationales pour imposer son modèle mondial socialiste, sa dictature universelle! Oui gémissons sur les cent cinquante millions de cadavres que cette duperie a mis en forme, mais agissons pour qu'ils soient reconnus et que leurs auteurs, même à titre posthume, soit jugés devant le Tribunal Pénal International, au même titre que leurs petits frères nationaux socialistes ayant massacrés les populations de confession Juive dans leurs camps de concentration, agissons pour que la vérité éclate, ce qui est le cas ces dernières années, et que personne ne soit dupe de cette rééducation de la prosternation qui masque le génocide des Peuples Occidentaux et Eurasiens, au profit de l'usure et de ses féaux. Et surtout cessez de voter pour les esclaves de ces sectes qui prétendent au pouvoir!
Mais qu’est-ce que cette prétention dictatoriale qui les pieds en équerre, petits esclaves d’El Shaddaï, dictent la pensée correcte, alors qu’ils sont les descendants des vecteurs qui ont occasionné cent cinquante millions de victimes à travers le monde :
De l'antisémitisme, un rappel important:
D’après le très conservateur et très explicite Oxford Universal Dictionary, le mot sémite a été employé pour la première fois en 1875, et décrit une personne qui appartient à la race englobant presque tous les peuples descendants de Sem, le fils de Noah, d’après la genèse, chapitre 10, de l’ancien testament, et dont la langue maternelle est une langue sémite – d’où les Akkadiens, les Phéniciens, les Hébreux, les Araméens, les Arabes, les Assyriens…
Dans le dictionnaire de Langer de l’Histoire du Monde, il est dit que le terme sémite ne s’applique pas à une race, mais à un groupe de peuples, dont la langue maternelle est le sémite.
Le profane pourrait donc penser, eh bien les Hébreux, les Juifs d’aujourd’hui sont donc des sémites. C’est vrai, les Hébreux sont des sémites, mais on peut se demander aujourd’hui quel est le lien entre les Juifs et les Hébreux, les Juifs d’aujourd’hui n’ayant presque rien de commun avec les Hébreux.
Qui sont les Hébreux ?
Les Hébreux ne viennent pas comme on le dit souvent, de Chaldée. Ils vinrent en Chaldée comme étrangers, et ont été traités de la sorte, et chassés. Le pays d’origine des Hébreux est décrit dans le premier livre de Moïse comme étant la région entre Messa et Saphar, la montagne de l’est d’Ebal, c'est-à-dire la région de la pointe la plus au sud de la péninsule Arabe.
Dans l’ancien Testament, on peut lire que Sem est le fils de Noé, ce qui est une erreur, cela vient du fait que Néhémie et Esdras ont pris des poèmes et les légendes du vieux Babilus, les ont recopiés et les ont adaptés selon leurs intérêts en les falsifiant. Ils ont fait pareil avec l’histoire de Sargon, qu’ils ont pris pour modèle pour l’histoire de Moïse, dont la véritable histoire est complétement différente. De plus Moïse a vécu plus de mille ans après le Roi Sargon.
Les Hébreux viennent donc en réalité de ce point géographique, dont parle le premier livre de Moïse 10-30, c'est-à-dire de l’endroit le plus étroit de la Mer Rouge, tout au sud, au pied du Mont Ebal. Là, une nouvelle tribu s’était formée à partir de peuples différents, dont le chef s’appelait Ali Habr, chassé de la tribu des Schabées. La tribu prit le nom de Habrites, qui devint plus tard Hébreux. D’autres hommes chassés de leur tribu vinrent rejoindre cette nouvelle tribu, ainsi que des esclaves évadés. Peu à peu se forma un nouveau Peuple.
Ali Habr fit construire une forteresse, et partit à la conquête de l’ile de Bara (Perim), qui appartenait au royaume d’Egypte. Là, il fit alliance avec les tribus Ethiopiennes, les Amchars et les Kabyles. Ensemble, ils conquirent le territoire des Maures jsuqu’au Lac Ugan Ugan ( Ouganda actuel). Là, il fonda son royaume et cet à cet endroit que son Peuple prit le nom d’Hébreu.
Comme Ali Habr avait institué la polygamie, un Peuple complétement nouveau émergea, constitué de mélange de divers types humains. Dans la force de l’âge Ali Habr contracta une maladie. A cette époque vivait un sorcier dans la tribu des Genites au pays de Sina ( Sinaïe). Il était connu pour faire des miracles à travers des sacrifices humains qu’il destinait à un dieu sauvage. Ali le fit venir à lui. Le sorcier introduisit alors le rite de la circoncision pour tous les hommes, ainsi que son dieu Jaho ou encore Yahvé, ou encore El Shaddaï auprès de tous les Hébreux. C’est ce Yahvé qui apparut à Abraham, un descendant direct d’Ali Habr, avec ces mots : Ani ha El Schaddaï ( je suis El Schaddaï). Il exigea de nombreux sacrifices Humains et des guerres en nombre pour consolider son pacte avec les Hebreux. Ali Habr consolida ses conquêtes et prépara une guerre contre le pays de Habach, dont le roi était de la famille du Pharaon. Le roi appela les Egyptiens à l’aide. Le Pharaon Sesostris 1er envoya une flotte et une armée, les Hébreux furent battus, les soldats du Pharaon prirent aussi la forteresse de Ali Habr, triomphant de leur ennemi.
Voici la genèse du Peuple Hébreu. Tous leurs crimes de sang se trouvent dans les livres de Moïse à Esther , de l’Ecriture dite Sainte, d’une manière usurpée, car on peut y dénombrer plus de soixante-dix massacres et génocides, sans compter les crimes, les pillages, les viols, l’inceste, la pédophilie et autres atrocités. Aucun de ces crimes n’est jamais puni, au contraire, Yahvé ordonne ces méfaits, qui traduiront les principes du Talmud. Le Peuple Juif s’identifie malgré tout, à part quelques exceptions, sans la moindre honte, à cette histoire sanguinaire de laquelle dérive sa loi.
Il convient de préciser que 95% des Juifs ne sont pas descendant d’Hébreux ou de sémites, mais un mélange de Huns et de Turcs. Ils ne viennent pas du Jourdain mais de la Volga, pas de Canaan, mais du Caucase, et n’ont aucun lien génétique avec Abraham, Isaac et Jacob, mais avec les Huns, les Uigoures, et les Magyars.
Le Peuple Juif se compose de deux partie, les Sefardim et les Ashkenazim. Les premiers sont d’origine hébraïque et ont vécu depuis l’antiquité en Espagne d’où ils ont été chassés au 15eme siècle. En 1960 ils étaient 500 000 tandis que les Ashkenases ou juifs Khazars étaient 11 000 000.
Les Khazars sont un peuple d’origine Turc, dont la vie et l’histoire sont très proches du développement de l’histoire juive en Russie. Venant de Turquie, ils étaient des nomades des steppes, qui vivaient de rapines et de pillages. Au milieu du 6eme siècle, ils s’établirent au sud de la Russie, bien avant la monarchie des Varègues. Le Royaume Khazar trouva ici son apogée en menant des guerres constantes contre ses voisins, et domina les territoires allant de la mer Caspienne à la Mer Noire, du Caucase à la Volga.
Au 8eme siècle, le Chagan, Roi des Khazars, se convertit au judaïsme, ainsi que sa cour et une grande partie de son Peuple. La raison en était due à leur position géographique précaire, entre l’Empire Romain d’Orient et les partisans agressifs de Mahomet. Les deux exigeaient que le Peuple Khazar se convertisse soit au Christianisme, soit à l’Islam. A la fin du 9eme siècle, à part quelques exceptions, le Peuple Khazar avait embrassé la religion juive dont la Loi est le Talmud.
Ce fut Obadhiah, un successeur de Bulan, sur le trône, qui renforça le royaume Khazar et affermit la religion juive. Il invita des savants à s’établir dans son royaume, fonda des synagogues et des écoles. Le Peuple fut introduit à la Bible et au Talmud. Les Khazars dès lors utilisèrent l’écriture hébraïque, mais leur langue restait la leur.
Obadhiah laissa son trône à son fils Ezekiahn celui-ci le laissa à son fils Manasseh, puis vinrent Hannukah, Isaac, Moïse, Nisi, Aaron II, Joseph, tous deescendants directs d’Obadhiah. Les Varègues de Russie, d’origine scandinave, établis à Kiev menèrent une dernière offensive contre les Khazars et gagnèrent cette ultime bataille, quatre ans plus tard, ils envahirent le royaume Khazar à l’est de l’Azov. Beaucoup de membres de la famille Royale Khazar se réfugièrent alors en Espagne, en Hongrie, mais la majorité resta dans ce qui restait de son royaume.
Le Professeur Graetz, dans son livre History of the Jews nous explique que les Khazars exerçaient une sorte de religion fanatique, un mélange de sensualité et d’inceste. Après Obadhiah il y eut un grand nombre de rois Khazars, et d’après leur droit, il devait être de confession juive.
Cela prouve qu’aujourd’hui seul 5% de personnes de confession Juive peuvent se prétendre d’origine Hébreuse, et donc Sémite, mais en aucun cas 95% de la population étant de confession juive.
Les juifs les plus connus d’origine Khazars sont les Rothschild.
La révolution bolchevique qui a occasionné 60 000 000 de victimes en Russie, en fera autant en Chine, et dans tous les Pays du Monde, trente millions, fut une révolution des Khazars, qui se sont auto financés afin de détruire la monarchie Russe. Leurs Leaders, Chernoff, Von Gutman, Trotzki, Bronstein, Martoff, Zederbaum, Kamhoff, Katz, Meshkoff, Goldenberg, Zagorsky, Krochmal, Suchanov, Gimmer, Dan, Gurvitch, Parvus, Helphand, Kradek, Sabelson, Zinoviev, Apfelbaum, Stekloff, Nachamkes, Larin, Lurye, Ryazanoff, Goldenbach, Bogdanoff, Josse, Goryeff, Goldmann, Zwewdin, Wanstein, Lieber, Ganezky, Fuerstanberg, Roshal, Solomon, Lénine, Staline, Yagoda, Kroutchev, etc, etc, les listes sont impressionnantes, 90% des gouvernements successifs, y compris dans les simples provinces, comme dans les goulags, étant représentation de personnes de confession juive d’origine Khazar, toute personne qui n’ont jamais été jugé, fusse par contumace, pour le génocide sciemment organisé du Peuple Russe, qu’ils ont, rappelons-le sciemment organisé de même en Pologne en liquidant d’une balle dans la nuque toute son intelligentzia.
La notion d’antisémitisme est donc totalement erronée, et injustifiée, car elle ne peut s’appliquer qu’aux Peuples Sémites, donc principalement Arabes et en aucun cas aux Khazars qui se sont convertit au Judaïsme, majorité à 95% ce jour de celles et de ceux qui ont embrassé la religion Juive.
Il ne peut y avoir d’antisémitisme qu’à l’égard des Séfarades qui représentent 5% du Peuple constitué Juif, et en aucun cas au regard des 95% représenté par les Khazars s’étant converti au Judaïsme.
Cette invention détournée d’antisémitisme qui ne peut s’appliquer qu’aux Séfarades et à la majorité des Peuples Musulmans trouve ici un moyen de propagande générée qui ne peut qu’aveugler et cacher la réalité formelle qui, elle, ne se présuppose dans les faits historiques.
Rappel pour les hors la loi qui veulent domestiquer la Liberté de penser et de s’exprimer :
Charte des Nations Unies :
Article 18
Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites.
Article 19
Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.
Traité de Lisbonne
Article 65
- Interdiction de l'esclavage et du travail forcé
Nul ne peut être tenu en esclavage ni en servitude. 2. Nul ne peut être astreint à accomplir un travail forcé ou obligatoire. 3. La traite des êtres humains est interdite.
Article 70
- Liberté de pensée, de conscience et de religion
- Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion. Ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction, ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction individuellement ou collectivement, en public ou en privé, par le culte, l’enseignement, les pratiques et l’accomplissement des rites. 2. Le droit à l’objection de conscience est reconnu selon les lois nationales qui en régissent l’exercice.
Article 71
- Liberté d'expression et d'information
- Toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontières. 2. La liberté des médias et leur pluralisme sont respectés.
Article 72
- Liberté de réunion et d'association
Toute personne a droit à la liberté de réunion pacifique et à la liberté d’association à tous les niveaux, notamment dans les domaines politique, syndical et civique, ce qui implique le droit de toute personne de fonder avec d’autres des syndicats et de s’y affilier pour la défense de ses intérêts. 2. Les partis politiques au niveau de l’Union contribuent à l’expression de la volonté politique des citoyens de l’Union.
Constitution Française
Article 68-1
Les membres du Gouvernement sont pénalement responsables des actes accomplis dans l’exercice de leurs fonctions et qualifiés crimes ou délits au moment où ils ont été commis.
Ils sont jugés par la Cour de justice de la République.
La Cour de justice de la République est liée par la définition des crimes et délits ainsi que par la détermination des peines telles qu’elles résultent de la loi.
TITRE XV
Article 88-1
La République participe à l’Union européenne constituée d’États qui ont choisi librement d’exercer en commun certaines de leurs compétences en vertu du traité sur l’Union européenne et du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, tels qu’ils résultent du traité signé à Lisbonne le 13 décembre 2007.
Déclaration de 1789
Article X
Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.
Article XI
La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la Loi.
Et pendant ce temps, alors que la Liberté est conchiée, les réseaux pédophiles en toute impunité traquent nos enfants, les enlèvent, et les soumettent à la cruauté la plus barbare.
Pour mieux comprendre ce qu'il en est des crimes rituels initiés par les loges déviantes et le satanisme le plus répugnant dont les réseaux enlèvent nos enfants pour les soumettre à la barbarie inhumaine :
De André BARON Les Sociétés secrètes et leurs crimes (1906), extraits :
« PROSTITUTION SACRÉE ET SACRIFICES HUMAINS
Les incantations magiques en langue accadienne que nous avons citées remontent, nous l'avons dit, à une antiquité prodigieusement lointaine. François Lenormant a fait remarquer l'importance capitale de l'une d'elles, pour démontrer combien était ancienne, en Chaldée, l'immonde institution de la Prostitution Sacrée des deux sexes qui, des rives de l'Euphrate, couvrit de sa fange l'Asie entière.
Voici le texte
Le dieu mauvais, le démon mauvais,
Le démon du désert, le démon de la montagne,
Le démon de la mer, le démon du marais.
Le démon mauvais qui saisit le corps, qui agite le corps,
Esprit du ciel, souviens-t ‘en! Esprit de la terre, souviens-t ‘en !
Le -démon qui s'empare de l'homme,
Le démon possesseur qui s'empare de l'homme,
Le gigim qui fait le mal,
Produit d'un démon mauvais,
Esprit du ciel, souviens-t ‘en ! Esprit de la terre, souviens-t ‘en !
La prostituée sacrée au cœur impur qui abandonne le lieu de prostitution,
La prostituée du dieu Anna qui ne fait pas son service.
Le hiérodule qui fautivement ne va pas à son lieu,
Qui ne taillade pas sa poitrine,
Esprit du ciel, souviens-t ‘en ! Esprit de la terre, souviens-t ‘en !
A côté des prostituées sacrées qui desservaient à Erek le temple d'Istar, les voici donc, exerçant leur sacerdoce de honteuse débauche dès les temps des vieux Akkads, les mêmes hiérodules dont Lucien a décrit le sanglant fanatisme, dans les fêtes de Cybèle; les mêmes que Jéhovah poursuivit si souvent de ses anathèmes; les mêmes qui, au nombre de 450 pour la divinité mâle, et de 400 pour la divinité femelle, étaient pieusement nourris aux frais de la reine Jézabel, l'ardente propagatrice parmi les Hébreux des cultes de Moloch et d'Astarté.
Ils criaient à haute voix, dit la Bible, et ils se faisaient des incisions avec des couteaux et des lancettes, selon leur coutume, jusqu'à ce que le sang coulât sur eux. (II, Rois, XVIII, 28).
Tandis que la principale dévotion féminine consistait dans la prostitution sacrée des hiérodules femelles (en assyrien Qadista, en hébreu Kedeschot), la dévotion des hiérodules mâles était double par la vue de leur sang, ils excitaient la frénésie des Initiés pour les préparer à l'accomplissement des Sacrifices humains, et ils livraient leurs corps aux adorateurs d'Astarté, pour les plus singulières œuvres de piété qu'aient imaginées les Sociétés Secrètes des sorciers chaldéens.
L'inscription phénicienne trouvée à Chypre en 1879, près de Larnaka, nous présente un compte mensuel dans lequel figure le personnel d'un temple d'Astarté; nous y voyons mentionné le prix qu'ont gagné les courtisanes sacrées (Alamot, les almées) et aussi les hommes désignés sous le nom de Chiens. (M. Vigouroux, Dictionnaire de la Bible. Astarthé-)
On y trouve (ligne 14) les Kelabîm, littéralement « les Chiens ». Dans le contexte où ils sont nommés, il est certain que les Kelabim désignent les garçons qui se livraient à une honteuse prostitution dans les sanctuaires de l'Astarté phénicienne. Il n'est pas moins certain, par conséquent, que le Kelèb, mentionné au Deutéronome (XXIII, 19). est l'équivalent du Kàdesch, de même que Amtot répond à la Kedeschâh du verset précédent. (J. Derenbourg, Revue des Études juives.Paris, 1881, p. 126.)
Ainsi, les prostitués mâles et femelles, « consacrés » à la Vénus orientale, s'appellent les Kâdeschim et les Kedeschot. C'est au fond le même titre que Kadosch dont se parent glorieusement nos Francs-Maçons du 30e degré ils ont là des aïeux et des aïeules dont ils peuvent être fiers.
Pour accompagner les deux prostitutions, voici les Sacrifices Humains en Chaldée
Sur un cylindre assyrien (publié par J. MENANT, Recherches sur la glyptique orientale, t. I, p. 151) figure la statue du dieu, assise sur un trône. Le sacrificateur saisit la victime .agenouillée, il la frappe du glaive.
Plus loin le pontife avec sa longue robe à franges, sa tiare ornée de cornes. La Bible dit formellement qu'encore au septième siècle avant notre ère, les habitants de Sippara (Sepharvaïm) sacrifiaient leurs fils et leurs filles pour honorer Adrammelek et Annamelek.
Nous pouvons citer un fragment de littérature nationale relatif aux sacrifices d'enfants.
La tête de l'enfant pour la tête de l'homme a été donnée, la poitrine de l'enfant pour la poitrine de l'homme a été donnée. (Voir Franc. Lenorm., Etud.accad,, t. III, p. 142).
Une autre inscription dit ce qui suit : Pour que Raman soit favorable et donne la prospérité, Sur les hauteurs on brûle un enfant. (Franc. Lenorm. et Babelon, Rist. anc, t. V. p, 308).
Avec la Chaldée, voici pour la Phénicie et la Terre de Chanaan.
Au troisième siècle de notre ère, l'occultiste néoplatonicien Porphyre écrivait :
« Les Phéniciens dans les grandes calamités soit de guerre, soit de sécheresse, soit de famine, sacrifiaient ce qu'ils avaient de plus cher à Saturne; et ce sacrifice se faisait en conséquence d'une délibération publique. L'Histoire phénicienne est pleine de ces sacrifices. Sanchoniathon l'a écrite en langue phénicienne, et Philon de Byblos l'a traduite en grec en huit livres. » (Porphyre: De abstinentia, liv. II, chap. LVI).
Les religions chananéennes et phéniciennes étaient caractérisées par un culte particulièrement licencieux et sanguinaire. Les orgies, la débauche et la prostitution y revêtaient un caractère sacré. Les sacrifices humains y étaient admis. Dans le cas de dangers, le roi et les nobles fournissaient tous ceux de leurs enfants que le dieu réclamait. On les brûlait vifs devant lui et l'odeur de leur chair apaisait sa colère. Pour que l'offrande fût valable, la mère devait être là, impassible et vêtue de fête. (M.Maspero,membre de l'Institut, Hist. anc., 4e édit., p. 342).
Ce qui était particulier aux Chananéens, c'était le caractère d'atroce cruauté empreint dans les cérémonies de leur culte. Aucun peuple de l'antiquité n'approcha d'eux dans ce mélange de sang et de débauche par lequel ils croyaient honorer la divinité. « Leur religion imposait silence aux sentiments les plus sacrés de la nature, elle dégradait les âmes par des superstitions tour à tour atroces et dissolues, et l'on est réduit à se demander quelle influence morale elle pouvait exercer sur les mœurs du peuple..» (Creuzer).
Le rite le plus affreux était ces sacrifices en l'honneur de Baal-Moloch, où des enfants étaient brûlés vifs par leurs propres parents. (Franç. Lenorm. et Babelon,Hist. anc., t. VI, p. 577. Paris, 1888).
La forme la plus fréquente de ce mode de sacrifice était le sacrifice des premiers-nés et plus généralement des nouveau- nés. (M. Ph. Berger, de l'Institut, sénateur, art. Phénicie, Encyclop. des sciences religieuses, publ. sous la direction de M. F. Lichtenberger, doyen de la Faculté de Théologie protestante de Paris, p. 545).
On sait que les Sacrifices humains avaient aussi leur place dans le culte des grands dieux de Babylone, d'Anou en Assyrie, de Kamosch chez les Moabites, de Melek ou Moloch dans la Bible, etc. C'est la coutume que l'Ancien Testament désigne par l'expression. « faire passer ses enfants par le feu » et dont les yahvistes mosaïstesne parlent qu'avec la plus grande horreur. Les principales victimes des Sacrifices humains chez les Phéniciens furent. les enfants, surtout les plus chers,
les premiers-nés, les plus beaux, quelquefois des jeunes filles nubiles. (M. Tiele, de Leyde). Annales du Musée Guimet, REV. DE l'Hist. DES RELIG., Paris, t. III, p. 207,208). Certes, ils furent abominables au suprême degré, ces Initiés des Mystères antiques dont les doctrines se traduisaient par la Prostitution Sacrée mâle et femelle en même temps que par les Sacrifices Humains. Mais les Initiés aux Mystères modernes valent-ils beaucoup mieux? Eh bien l'abrutissement des peuples, leur corruption voulue, favorisée, devenant pour les Sociétés Secrètes d'autrefois de hideux instruments de règne, nous retrouverons tout cela codifié, systématisé dans les papiers secrets des Illuminés de Weishaupt (1778) et des membres de la Haute-Vente (1846).
En outre, si pendant de longs siècles les Initiés de Babylone, de Tyr et de toutes les Sodomes chananéennes ont immolé à leurs dieux sanguinaires des milliers d'hommes, d'enfants et de jeunes filles, qu'est-ce donc que les milliers d'êtres humains, de vieillards inoffensifs, de vieilles femmes chargées d'années, de jeunes filles à peine pubères qui furent sacrifiés pendant la Terreur au Moloch franc-maçonnique et à la Déesse Guillotine, cette Aschérah moderne dressée non plus sur un autel mais sur un échafaud?
Le Crime intégral.
A l'immortel honneur du Judaïsme primitif et pur, qu'un abîme sépare du Judaïsme adultéré du Talmud, Moïse est presque le seul législateur de l'Antiquité qui ait énergiquement proscrit les trois souillures dont les Sociétés Secrètes des anciens Initiés salirent les Mystères par la magie, les vices contre nature et le sacrifice humain qui flétrit l'esprit, la sodomie (Solon et Lycurgue n'ont rien tenté ni contre la sodomie, ni contre les sacrifices humains, qui ont continué à fleurir en Grèce longtemps après eux. Quant à Zoroastre, il a fait de louables efforts, mais combien inférieurs à ceux de Moïse! ) qui souille la chair – le sacrifice humain, qui fait couler le sang, véhicule de la vie, le sang dont la Bible dit qu'il contient l'âme. Car l'âme de toute chair est dans son sang. » (Lévitique, eh. xvn, 14).
Réunir en un seul ces trois crimes contre la chair, l'esprit et ce qui semble infuser l'esprit dans la chair, n'est-ce pas commettre le Crime intégral, le Crime suprême? Or, jamais peuples ne le commirent autant que les peuples chananéens, grâce à l'effrayante démoralisation où les avaient jetés les Loges de sorciers, d'Initiés, de Kedeschim et de Kedescliot. Aussi avec quelle véhémence la Loi de Moïse interdit aux Hébreux le triple Crime contre l'Esprit, contre la Chair, contre le Sang. Trois chapitres du Lévitique entremêlent avec des règles de simple morale sociale les objurgations de Jéhovah contre ces trois tares chananéennes qui nous apparaissent dans les textes bibliques comme unies étroitement ensemble.
Et qu'ils n'offrent plus leurs sacrifices aux démons auxquels ils se sont prostitués que ce leur soit une ordonnance perpétuelle dans les âges.
Si quelqu'un de la famille d'Israël ou des étrangers qui font leur séjour parmi eux, mange de quelque sang que ce soit, je mettrai ma face contre celui-là qui aura mangé le sang, et je le retrancherai du milieu de son peuple.
Car l'âme de la chair est dans le sang. (Lévitique, ch. XVII).
L'Eternel parla à Moïse et lui dit : Parlez aux enfants d'Israël et dites-leur Je suis le Seigneur, votre Dieu, vous n'agirez point selon les coutumes du pays d'Egypte où vous avez habité, et vous ne vous conduirez point selon les mœurs du pays de Chanaan dans lequel je vous ferai entrer; vous ne suivrez point leurs règles.
Vous ne donnerez point de vos enfants pour les faire passer par le feu en l'honneur de Moloch et vous ne souillerez point le nom de votre Dieu. Je suis le Seigneur.
Vous ne commettrez point cette abomination où 'on se sert d'un homme comme si c'était une femme.
Vous ne vous approcherez d'aucune bête et vous ne vous souillerez point avec elle. Et la femme ne se prostituera point à une bête, car c'est un crime abominable.
Vous ne vous souillerez point par toutes ces infamies dont se sont souillés tous les peuples que je chasserai devant vous; Qui ont déshonoré ce pays-là; et je punirai les crimes détestables de cette terre et elle vomira ses habitants.
Mais prenez garde que si vous commettez les mêmes crimes qu'ils ont commis, cette terre ne vous vomisse à votre tour, comme elle aura vomi les nations l'habitant avant vous. (Lévitique, ch. XVIII; pour les notes bibliographiques, voir Sainte Bible commentée, abbé Fillion, t. I, p. 384).
Après les lois d'interdiction, voici les lois pénales :
Quiconque des enfants d'Israël. donnera de de ses enfants à Moloch, sera puni de mort le peuple du pays l'assommera de pierres.
Si un homme se détourne de moi pour aller chercher les magiciens et les devins. je l'exterminerai du milieu de son peuple.
Si quelqu'un abuse d'un homme comme si c'était une femme, qu'ils soient tous deux punis de mort, comme ayant commis un crime exécrable leur sang retombera sur eux.
Si un homme ou une femme a un Esprit de python ou de divination, qu'ils soient punis de mort ils seront lapidés et leur sang retombera sur leurs têtes. (Lévitique, eh, XX).
Mais il était bien puissant sur le cœur d'Israël, l'attrait vertigineux de ce qui se cache dans l'avenir et du commerce des Vivants avec les Morts, des Mortels avec ces Esprits immortels que savaient évoquer les sorciers de Chanaan – Pourtant la voix de Jéhovah s'est élevée à nouveau :
Quand vous serez entrés au pays que l'Eternel votre Dieu vous a donné, vous n'imiterez point les abominations de ces nations-là. ·
Et qu'il ne se trouve personne parmi vous qui fasse passer par le feu son fils ou sa fille, ni devin qui se mêle de dévoiler l'avenir, ni aucun qui fasse des prédictions ni qui use de maléfices;
Ni enchanteur qui use de sortilèges, ni homme qui consulte l'esprit de python, ni aucun qui interroge les Morts
Car quiconque fait ces choses-là est en abomination à l'Eternel, et c'est à cause de ces abominations que l'Eternel. votre Dieu le chasse de ces nations-là de devant vous. (Deutéronome, XVIII).
Ne nous hâtons point de sourire à la pensée de ces « faiblesses » (comme diraient les génies de la libre Pensée, (les Ferdinand Buisson, les Homajs et les Cardinal) prédictions, envoûtement, conversations avec les Morts, toutes choses qui constituent les spiritismes d’aujourd’hui comme d’autrefois car ce ne sont point seulement des pauvres d'esprit qui en usent. Le grand, l'intègre, l'incorruptible F. Maximilien de Robespierre avait en effet d'étroites relations avec les Loges martinistes. Or au dire du Dr Papus, Grand-Maître des Martinistes modernes, les travaux poursuivis par ses Frères du xvine siècle portaient « sur l'étude de la Magie cérémonielle, sur le rituel des évocations d'esprits.» Les compagnons du F. Willermoz, le haut maçon lyonnais, organisateur du Martinisme ainsi que de plusieurs des convents maçonniques qui préparèrent les saturnales sanglantes de la Terreur, les compagnons de Willermoz, dis-je, et le F. Willermoz lui-même étaient, écrit M. Papus, en rapports fréquents « avec des êtres étranges, d'une essence différente de la nature humaine» Ainsi donc, certains des Francs-Maçons qui ont déchaîné les brutes terroristes avaient été les dévôts des pratiques spirites les plus fantastiques, c'était par la Magie qu'ils avaient préludé aux sacrifices humains, tout comme faisaient deux mille ans auparavant les nations chananéennes. Rien de nouveau sous le soleil.
La Sorcière d'Endor.
Nous reviendrons sur la sorcellerie du Martinisme qui, aujourd'hui, joue un rôle bien plus sérieux qu'on ne pense généralement. Mais voici, dans la Bible, un épisode qui caractérise le Spiritisme antique, avec sa nécromancie : Et Saül ayant vu le camp des Philistins fut frappé de crainte et son cœur fut saisi d'angoisse. Il dit à ses officiers cherchez moi une femme qui ait un Esprit de python; j'irai la trouver et je saurai par elle ce qui doit nous arriver. Les serviteurs lui dirent il y a à Endor une femme qui a un Esprit de python.
Saül se déguisa donc et s'en alla, accompagné de deux hommes seulement. Ils vinrent la nuit chez cette femme et Saül lui dit « Découvrez-moi l'avenir par votre Esprit de python et évoquez-moi celui que je vous dirai. » La femme lui dit « Qui voulez-vous que je vous évoque? » Il répondit « Faites-moi venir Samuel. » La femme ayant vu paraître Samuel jeta un grand cri et dit à Saül « Pourquoi m'avez-vous trompé? Vous êtes Saül. » Le roi lui dit « Ne craignez pas. Qu'avez-vous vu? » – J'ai vu, lui dit-elle, un Dieu qui sortait de la terre. Samuel dit à Saül « Pourquoi m'avez-vous troublé en me faisant venir ici. Saül lui répondit « e suis dans une grande détresse, les Philistins me font la guerre et Dieu s'est retiré de moi. »
Samuel lui dit ; « Car le Seigneur vous traitera comme je vous l'ai dit de sa part; il déchirera votre royaume ; Demain vous serez avec moi, vous et vos fils. »
Saül tomba aussitôt la face contre terre, car les paroles de Samuel l'avaient épouvanté. (I, Reges, xxvm.)
Baal-Phégor.
Baal-Phégor était un dieu phallique, et la montagne (de Phégor) était regardée comme le phallus du dieu du ciel qui, sur ce point, s'unissait à la terre pour la féconder. (M. Tiele,de Leyde, Rev. hist. des Relig., Annal, du Musée Guimet, Paris, 1881, t. III, p. 178).
A l'attirance des divinations spirites, les Mystères chananéens joignaient, nous l'avons dit, l'attraction des plaisirs sensuels. La Bible nous en donne la preuve documentaire quand elle montre par quel calcul d'une perversité profonde les hauts Initiés, comme le sorcier chaldéen Balaam, savaient conseiller le secours de la Prostitution Sacrée pour entraîner aux Mystères de nouveaux prosélytes.
En ce temps-là, Israël demeurait à Settim, et le peuple tomba dans la fornication avec les filles de Moab. Elles appelèrent les Israélites à leurs sacrifices et ils en mangèrent et ils adorèrent leurs dieux.
Et Israël fut initié aux Mystères de Baal-Phégor.
Il arriva qu'un des enfants d'Israël entra dans la tente d'une Madianite (Moabites et Madianites étaient alliés, de races voisines). Phinées, fils d'Eléazar, entra après l'Israélite dans la tente et les perça tous deux, l'homme et la femme, d'un même coup dans les parties cachées.
Et la femme madianite qui fut tuée se nommait Cozbi et était fille de Sur, l'un des plus grands princes parmi les Madianites. (Nombres, en. xxv.)
Il est clair que si une fille de grande tente (comme l'on dit chez les Arabes modernes), une princesse se livrait ainsi à des étrangers avec ses compagnes, ce ne pouvait être que sous l'empire d'une superstition infâme mais rituélique. Nous avons donc là sous les yeux une scène de Prostitution Sacrée; la Bible en témoigne d'ailleurs en ces versets, en même temps qu'elle désigne Balaam comme ayant conseillé ce moyen de prosélytisme.
Voici, ce sont elles (les femmes de Moab et de Madian) qui, selon ce qu'avait dit Balaam, ont donné l'occasion aux enfants d'Israël de pécher contre l'Eternel à Phégor. (Nombres, ch. xxi, 16).
Ce sont d'ailleurs les princesses chananéennes entrées dans le harem des rois hébreux qui furent plus tard, au dire de la Bible, les principales causes de l'apostasie de leurs époux, attirés au culte sensuel d'Astoreth (Astoreth, la Vénus androgyne. Milcolm, « Notre roi », ou Moloch « le Roi », ou Baal « le Seigneur ».) avant d'être englués dans les cérémonies sanglantes en l'honneur de Moloch, le mâle cruel de la déesse de volupté.
Or, le roi Salomon aima plusieurs femmes étrangères, outre la fille de Pharaon, des Moabites, des Ammonites, des Iduméennes, des Sidoniennes et des Héthéennes.
D'entre les nations dont l’Eternel avait dit aux enfants d'Israël « Vous n'irez point vers elles. car, certainement, elles détourneraient votre coeur pour suivre leurs dieux. » Salomon s'attacha à elles avec passion. Et Salomon suivit Astoreth, dieu des Sidoniens, et Milcolm, idole des Ammonites. (I. Rois, XI).
Le Sacrifice de Mésha, roi de Moab.
Il fallait, certes, que les prosélytes de cette religion de sang fussent affolés au préalable (et les Kedeschim avec les Kedeschot étaient faits pour cela) Sinon l'on ne pourrait comprendre cette scène d'une dramatique horreur Mésha, roi de ces mêmes Moabites que nous venons de voir prostituer rituéliquement leurs filles aux Hébreux, était assiégé par les rois d'Israël et de Juda; la ville allait succomber mais, pour forcer ses dieux à lui prêter secours, pour défier aussi les assiégeants d'accomplir un plus haut sacrifice, plus capable que le sien de mériter la victoire,
Mésha prit son fils aîné qui devait régner après lui, et il l'offrit en holocauste sur la muraille, et les Israélites eurent horreur, et ils s'en retournèrent en leur pays. (IV, Rois, ch. m, v. 27).
Israël gagné aux Mystères Chananéens.
Le culte de l'impudique Astoreth, à qui l'honneur des filles et des femmes était sacrifié, voilà l'appât. Puis, une fois la bête humaine dans les rets de la luxure. la vue du sang humain coulant dans les immolations rituelles et la Magie avec tous ses prestiges achevaient de faire perdre la raison aux néophytes. Les Mystères de Baal et d'Astoreth avaient subjugué les nations chananéennes. Ils conquirent à leur tour, et pour de longs intervalles, presque tous les Israélites. « Et ils oublièrent leur Dieu, adorant les Baalim et les Astaroth » (Juges, III, 7.)
Tous les crimes contre lesquels Moïse les avait mis en garde, ils les commirent les sorciers, les nécromanciens pullulèrent sur la terre d'Israël, et même, ajoute l'Ecriture, il y eut des Efféminés (Kedeschini) dans le pays et les enfants d'Israël firent toutes les abominations des peuples que le Seigneur avait broyés devant leur face. (III, Rois, xiv, 24).
Presque à chaque page de la Bible, revient une accusation comme celle-ci : (Les enfants d'Israël) avaient aussi dressé des Hammanim et des Aschérahs. (IV, Rois, XVII, 10), c'est-à-dire des stèles de pierre en l'honneur du Dieu mâle et solaire (Baal, Moloch, Adôn) et des pieux de bois consacrés à Astoreth; c'était ainsi, a raconté Lucien de Samosate, qu'au temple de Hiérapolis on voyait deux phallus colossaux consacrés par Bacchus (Adonis) à Junon (Astarté). (Lucien, De Dea Syra).
Les enfants d'Israël firent aussi passer leurs fils et leurs filles par le feu; ils s'adonnèrent aux divinations et aux enchantements (IV, Rois, xvn, 17)..
La Vulgate porte Astaroth, pluriel d' Astoreth; le texte hébreu donne Aserot, pluriel d'Aschérah. Nous avons vu que l'Aschérah était le symbole d'Astoreth, représentée sous la forme d'un pieu de bois ou d'une cippe conique en pierre.
Bref, tous les rois d'Israël sauf Jéhu, et quinze rois de Juda sur vingt-et-un (les trois quarts !) furent plus ou moins dévots aux Mystères obscènes et sanguinaires d'Astoreth et de Baal. A l'exemple des Chananéens, on installa des « Kedeschot» et des « Kedeschim » jusque dans le parvis du temple de Jéhovah, devenu semblable ainsi à ce temple de la Vénus de Chypre où les prostitués des deux sexes travaillaient à grossir le trésor de la déesse.
Quant aux sacrifices humains chez les Hébreux apostats, ils furent si fréquents, si généreux de la chair des premiers-nés que, selon la forte expression du psaume CV, « la terre fut infectée de sang » (v. 38). Deux rois de Juda, molochistes tous deux, Aehaz et Manassé donnèrent l'exemple et accomplirent eux-mêmes un crime rituel pareil à celui de Mésha, roi de Moab ils brûlèrent vifs deux de leurs fils en l'honneur de Moloch, dans la vallée de Topheth, au pied de la montagne de Sion.
Les Rabbins assurent que la statue de Moloch était de bronze, assise sur un trône de même métal, pâtée des ornements royaux; sa tête était comme celle d'un veau et ses bras étendus comme pour embrasser quelqu'un. Lorsqu'on voulait lui immoler quelques enfants, on échauffait la statue en-dedans par un grand feu et lorsqu'elle était toute brûlante, on mettait entre ses bras la malheureuse victime qui était bientôt consumée par la violence de la chaleur. (Bible Vence, Edit. 1820, t. III, p. 44).
Dans son langage magnifique, Jérémie l'a chanté ; c'est pour avoir accumulé ces crimes de toute sorte (inspirés et multipliés par les Mystères chananéens) que les Juifs anciens furent emmenés en esclavage, leurs villes incendiées et rasées, Parce que les enfants de Juda ont fait ce que j'ai en horreur, dit l'Eternel; parce qu'ils ont mis leurs abominations dans la maison où mon nom est invoqué.(Jérémie, VII). Et parce qu'ils ont bâti des hauts-lieux à Baal, pour brûler au feu leurs fils et en faire des holocaustes à Baal. (Jérémie, XIX).
La Contagion, l’Hérédité.
Combien sont évocateurs de visions et de pensées, les passages de la Bible que nous avons cités, avec Balaam et les filles de Moab, Salomon et son harem rempli de princesses étrangères, et les enfants brûlés vifs dans la vallée de Topheth. Si l'on réfléchit à l'empire voluptueux des Mystères chananéens, à la force avec laquelle ils rendaient esclaves les Initiés par la terreur, terreur inspirée par les pratiques magiques et encore plus par les sacrifices humains on est stupéfait que le peuple juif n'ait pas sombré pour toujours dans l'idolâtrie, en se confondant à jamais avec les nations pourries qui le pénétraient de toutes parts.
Qu'il se soit laissé corrompre bien des fois et de toute manière, c'est un fait. La Bible, dit un éminent criminologue, est remplie d'aveux catégoriques ou de sous-entendus qui prouvent les abandons du peuple juif aux sollicitations suggestives d'une perversité de voisinage. (Dr Corre: Le Meurtre et le Cannibalisme rituels, édit. de la Société Nouvelle, 1893, p. 13).
Mais ce qui est prodigieux, miraculeux, c'est qu'il se soit toujours trouvé, au sein de la nation juive, une minorité irréductible pour conserver pures sa tradition et sa foi, une élite «au cou raide », comme dit l'Écriture, inaccessible à la démence de l'amour du sang et de la débauche.
Le monde entier, ne l'oublions pas, était couvert de sang et d'ordure, alors que, seul entre tous les peuples de la terre, le peuple juif gardait intact un culte séculaire, exempt des souillures amoncelées sur le fumier des Sociétés secrètes initiatiques.
En particulier, c'est avec une extraordinaire vigueur que les hontes phéniciennes – Magie, prostitutions sacrées, Sacrifices humains – ont proliféré dans toutes les colonies de Tyr et de Sidon. Ces arbres aux mauvais fruits enfoncèrent dans le sol des racines tellement vivaces, qu'aujourd'hui encore, là où les marchands chananéens installèrent leurs comptoirs, ils installèrent en même temps leurs Molochs sanglants et leurs lupanars sacrés ; on retrouve les traces de leurs coutumes.
Aussi bien, à n'en pas douter, c'est une survivance du culte de la Vénus carthaginoise, que la prostitution des filles des Ouled-Naïls, en Algérie. Nous avons une preuve encore plus frappante à fournir de la lointaine persistance des pratiques implantées par les vieilles Sociétés secrètes. Il s'agit cette fois du culte rendu à l'organe féminin – en grec « le ctéis ». Cela fait le pendant au culte obscène dont les Mystères égyptiens honoraient le phallus d'Osiris. Sur une pierre gravée d'origine syrienne, M. Lajard, de l'Institut, constate en effet la présence de « l'organe même du pouvoir générateur femelle », parmi les attributs placés autour d'une image de la Vénus androgyne, Astarté-Mylittâ. Il donne plusieurs exemples du même symbolisme. Un autre cône, dit-il, qui a été publié par La Chausser nous offre même la représentation d'un prêtre revêtu d'un costume asiatique et accomplissant un acte d'adoration devant un autel sur lequel on voit un ctéis et l'étoile de Vénus ou le Soleil ( Comparer l'étoile de Rempham et les stèles solaires ou Hammanim, chez les Juifs gagnés au culte de Moloch.
Ici, le ctéis semble devenir l'emblème de la déesse elle-même, et nous fait songer au surnom de Ctesulla sous lequel étaient adorées Aphrodite à Julis, et Artémis dans les autres villes de l'île de Géos. Ces doctrines assyro-phéniciennes, à travers une longue série de siècles et de révolutions religieuses ou civiles, ont laissé sur le sol de l'Asie occidentale des traces si profondes que l'adoration du ctéis n'a pas cessé d'être en usage chez certaines sectes de l'Orient et notamment dans une localité célèbre autrefois par le culte dont Vénus y était honorée. De nos jours, en effet, les Druzes du Liban, dans leurs vêpres secrètes, rendent un véritable culte aux parties sexuelles de la femme; (pour les Druzes), le plus grand de tous les péchés est la fornication avec les « Soeurs » ou Initiées.
Mais chez les Nozaïriens, qui ont aussi conservé la cérémonie de l'adoration du ctéis, la cohabitation charnelle est considérée comme le seul moyen par lequel puisse s'accomplir parfaitement l'union spirituelle. (De Sacy, Journal asiatique, lre série, t. X, p. 334-335. Félix Lajard Sur une représentation figurée de la Vénus orientale androgyne, mémoire lu le 13 décembre 1833 à l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1837, p. 52, 53, 54.)
Nous dirons la part qu'ont prise les ancêtres des Druzes et la Secte des Assassins (ou Haschichim) à la corruption de l'ordre des Templiers en qui certains Francs-Maçons érudits aiment à se reconnaître des ancêtres. Et nous verrons ainsi, par une chaîne ininterrompue, les doctrines de nos Frères adeptes du Malthusianisme et de l'Amour libre, se relier aux amours non moins libres bien que salariés que pratiquaient dans les temples phéniciens les prostitués mâles et femelles. C'est également ainsi que nous verrons le culte de la Pensée soi-disant libre se rattacher aux cultes antiques du phallus d'Osiris et du ctéis de la déesse Astarté.
Mais si le trafic de la pudeur des femmes est un crime qui marque d'un stigmate infamant les vieilles Sociétés secrètes asiatiques, le Sacrifice humain, leur autre tare fondamentale, était plus odieux encore.
A des scènes de luxure comme celles qui se répétaient sans cesse dans les parvis des temples d'Astarté, succédaient à bref délai les funèbres accents d'une dévotion barbare et les immolations meurtrières qu'elles provoquaient. (MM. Perrot et Chipiez, Histoire de l'Art dans l'Antiquité, Paris, 1885, t. III, p. 75.)
Pour l'étude des Crimes Rituels phéniciens, nous ne pourrions mieux nous adresser qu'à Philon de Byblos, le philosophe néoplatonicien qu'on appelait le « Platon juif » et qui étudia, en Phénicie même, les vieux livres des collèges sacerdotaux
C'était la coutume chez les- anciens Phéniciens, a-t-il écrit, dans les grandes calamités qui frappaient la ville ou la nation, et dans le but de racheter un désastre public imminent, de vouer quelques-uns en sacrifice aux dieux infernaux. (Philon, liv. I, cité par Eusèbe,Proepar. Euang., IV, 16.)
Les Sacrifices humains à Carthage.
Les Phéniciens et les phananéens ne se contentèrent pas « d'infecter leur terre de sang », comme dit la Bible; leurs marins ont colporté les crimes rituels en l'honneur de Moloch sur toutes les plages d'Asie, d'Afrique et d'Europe, en même temps que le rite de la prostitution sacrée. Effrénés prosélytistes tant au point de vue cultuel qu'au point de vue industriel, Tyriens et Sidoniens furent, selon le mot de M. Ph. Berger (de l'Institut), « les commis-voyageurs » du monde antique, en religion comme en commerce Nous verrons tout à l'heure quel fut leur apport sanglant, en Grèce et en Italie. Mais il nous faut nous étendre sur l'importance affreuse que les Sacrifices humains eurent si longtemps à Carthage, la principale colonie phénicienne, qui fut, il y a 2200 ans, la grande forteresse du Sémitisme en face des races aryennes toujours grandissantes.
Au premier siècle de notre ère, Diodore de Sicile écrivait Il y avait à Carthage une statue de Saturne (Moloch) en airain qui étendait ses mains creuses vers le sol de telle sorte que l'enfant posé sur leur paume en roulait dans un trou rempli de feu. (L. XX, ch. xiv.)
Plutarque, Initié aux Mystères, et comme tel expert dans les choses religieuses, dit que les Carthaginois sacrifiaient leurs propres fils. et ceux qui n'en avaient point achetaient, pour être immolés, des enfants à des pauvres. La mère de l'enfant sacrifié était présente elle ne devait ni pleurer, ni gémir. Et devant la statue du dieu, on faisait retentir les trompettes et les tambours pour que les cris des victimes ne pussent être entendus. (Plut. De la Superstition, ch. XII, éd. Firmiri Didot, p. 203).
Dans ses « Vengeances tardives de la Divinité » (ch. vi), Plutarque raconte que Gélon de Syracuse n'accorda la paix aux Carthaginois qu'à la condition qu'ils n'immoleraient plus leurs enfants à Saturne.
L'historien Justin, au temps de Marc-Aurèle, rapporte que Darius, roi de Perse, fit défense aux Carthaginois de sacrifier des victimes humaines. (L. XIX, ch. i;.) Deux siècles plus tard, Carthage, vaincue de nouveau par les Siciliens, immola cinq cents enfants dont deux cents tirés au sort dans ses familles les plus illustres. (Diod. de Sic, L. XX, ch. xiv).
Sept siècles après au dire d'un témoin ces abominations se commettent encore à Carthage.
En Afrique (écrit vers l'an 200 après J:-C. le carthaginois Tertullien) on immola publiquement des enfants à Saturne jusqu'au proconsulat de Tibère. Il fit attacher les prêtres de Saturne aux arbres mêmes du Temple qui couvrait ces affreux sacrifices, comme à autant de croix votives. Je prends à témoin les soldats de mon pays qui exécutèrent les ordres du proconsul. Cependant ces exécrables sacrifices continuent encore en secret. (Tertull. Apologét., ch. ix. Edit.Panthéon littér., p. 15, 16).
Mettant en oeuvre avec un. art merveilleux les données historiques des vieux auteurs que nous venons de résumer, Gustave Flaubert, dans son admirable roman « Salammbô », dépeint l'un des sacrifices où les Carthaginois faisaient, suivant l'expression consacrée par la Bible, « passer leurs enfants par le feu », en l'honneur de Moloch. Il s'agissait pour eux, ce jour-là, d'obtenir le secours du dieu pour leur ville en proie à la famine et aux souffrances d'un horrible siège. « Cependant un feu d'aloës, de cèdre et de laurier brûlait entre les jambes du colosse. Ses longues ailes enfonçaient leurs pointes dans la flamme; les onguents dont il était frotté coulaient comme de la sueur sur ses membres d'airain. Autour de la dalle ronde où il appuyait ses pieds, les enfants, enveloppés de voiles noirs, formaient un cercle immobile et ses bras démesurément longs abaissaient leurs paumes jusqu'à eux, comme pour saisir cette couronne et l'emporter dans le ciel. Les Riches, les Anciens, les femmes, toute la multitude se tassait derrière les prêtres et sur les terrasses des maisons. Une angoisse infinie pesait sur les poitrines, et le peuple de Carthage haletait, absorbé dans le désir de sa terreur. Avant de rien entreprendre, il était bon d'essayer les bras du dieu. De minces chaînettes partant de ses doigts gagnaient ses épaules et redescendaient par derrière où des hommes, tirant dessus, faisaient monter, jusqu'à la hauteur de ses coudes, ses deux mains ouvertes qui, en se rapprochant, arrivaient contre son ventre, elles remuèrent plusieurs fois de suite, à petits coups saccadés. Puis les instruments se turent. Le feu ronflait. Les pontifes de Moloch se promenaient sur la grande dalle, en examinant la multitude. Il fallait un sacrifice individuel, une oblation toute volontaire et qui était considérée comme entraînant les autres. Mais personne jusqu'à présent ne se montrait, et les sept allées conduisant des barrières au colosse étaient complètement vides. Alors, pour encourager le peuple, les prêtres tirèrent de leurs ceintures des poinçons. Et ils se balafraient le visage. On fit entrer dans l'enceinte les Dévoués. On leur jeta un paquet d'horrible ferraille et chacun choisit sa torture Ils se passaient des broches entre les seins, ils se fendaient les joues; ils se mirent des couronnes d'épines sur la tête; puis ils s'enlacèrent par les bras et, entourant les enfants, ils formaient un autre grand cercle qui se contractait et s'élargissait. Ils arrivaient contre la balustrade, se rejetaient en arrière et recommençaient toujours, attirant à eux la foule par le vertige de ce mouvement tout plein de sang et de cris. Enfin, un homme qui chancelait, un homme pâle et hideux de terreur, poussa un enfant; puis on aperçut entre les mains du colosse une petite masse noire; elle s'enfonça dans l'ouverture ténébreuse. Les bras d'airain allaient plus vite. Ils ne s'arrêtaient plus. Chaque fois que l'on y posait un enfant, les prêtres de Moloch étendaient la main sur lui, pour le charger des crimes du peuple. Les victimes à peine au bord de l'ouverture disparaissaient comme une goutte d'eau sur une plaque rougie, et une fumée blanche montait dans la grande couleur écarlate. Puis des fidèles arrivèrent dans les allées, traînant leurs enfants qui s'accrochaient à eux; et ils les battaient pour leur faire lâcher prise et les remettre aux hommes rouges. Les joueurs d'instruments quelquefois s'arrêtaient épuisés alors on entendait les cris des mères et le grésillement de la graisse qui tombait sur les charbons. » (Gustave Flaubert, Salammbô, Paris, Charpentier, 1887, édit. définitive, p. 295 à 298).
Dans les poitrines où dort la grandeur évanouie de Carthage, le souvenir des atrocités qui la souillèrent semble avoir, jusqu'à nos jours, traversé les siècles. Nous lisons en effet dans la Revue Britannique : Un savant belge, M. Vercoutre, a eu l'occasion d'étudier, en Tunisie, les tatouages dont les tribus nomades se couvrent la face et les membres. Il a pu constater que la plupart de ces tatouages figurent une sorte de poupée, les bras étendus, juchée sur une espèce de gril, sous lequel on voit parfois un feu allumé. (Pierre Guerraz, Rev. Brit. janv. 1893, p. 431). »
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k109840h
© Vincent Thierry