Que la honte soit
- Détails
- Catégorie : Civilisations
Que la honte soit
Mais voici d’autres nouvelles en provenance de cette petite planète en bute avec le mensonge et son fanatisme, mais lisons :
« Que la honte soit de cette ingérence dans les affaires intérieures d’une quelconque Nation ! Depuis quand le Peuple doit-il être sermonné par des étrangers, étrangers, qui plus est, qui ont fomenté un coup d’État, tel en Ukraine, ou pire encore envoyé leurs cohortes d’assassins, tel en Syrie. Est-ce que cela est désormais l’Occident, cette tuerie qui s’autorise, cette manipulation qui s’inscrit dans la barbarie, cette sauvagerie des faibles qui croient un seul instant apparaître des forts, lorsque leur monnaie ne vaut plus rien, lorsque la pandémie du brassage obligatoire des Races, liée à l’absurdité de la bêtise conjuguée à l’ignorance, voit le chômage s’accélérer, les couches exogènes des Nations percevoir plus que les autochtones, ces derniers autochtones étant pressurés comme des citrons pour servir sur un plateau des intérêts indus à l’usure ?
Il suffit de cette outrance tant dans le verbe que dans les actes, ce sida mental qui rôde dans toutes institutions qu’elles soient Nationales ou Internationales, de ces vers de terre qui se disent philosophes qui ne peuvent se conjuguer que dans le mondialisme tellement ils n’ont pas de racines, pauvres feux follets qui ne sont diserts que de la destruction et de ses ovipares constructions.
Moins que des animaux, car les animaux ne se combattent pas ainsi qu’ils le font, ces hères donnent leurs leçons de morale accouplées à leur bréviaire insane qui n’est que répugnance pour tout un chacun qui sait lire leurs vœux mortels. Ces prêtres de Thanatos s’enfoncent dans le sang, le sang des Peuples de l’Europe, le sang des Peuples du Moyen Orient, le sang des Peuples Asiatiques, dans une écume, bestiale à souhait, pire que le communisme, cœur de ce mondial socialisme qui est la cour du burlesque, de l’infantilisme, de la trépanation syphilitique atavique, de cette morgue qui se veut intellectuelle alors qu’elle n’est que le refuge du néant se masturbant dans le néant.
Les Peuples courageux ne se laissent faire par ce bubon, ce marécage puant, ce marais sordide, où les voix des agitateurs professionnels font houle, se font déferlantes, se font bravade, alors qu’elles ne sont que sourds bruits d’entrailles malpropres et malodorantes qui se veulent direction, concession, exploit, pantagruélique dérision de la dérision elle-même qui ne s’émeut devant tant de sordide, de bassesse, de reptation, un tas d’ordure que nous devrions acclamer, devant lequel nous devrions nous mettre à genoux, devant lequel nous devrions tendre la gorge !
Quelle défécation que ce triste sortilège vautré dans l’usure, immolant les Peuples au Dieu Mammon, cette rupture matricielle qui ne nourrit que des larves amères, des choses grouillant tous les vices et toutes les pourritures, se lavant dans leurs déjections qu’ils voudraient imposer à tous ! Écoutez-les, regardez-les, ils ne se respectent pas, ils ne respectent personne en dehors de leurs louvoiements, de leur égoïsme, du chancre qui les lie, de cette moisissure qui les relie, de cette boue qui les contraint et dans laquelle, pour émerger, ils doivent faire plus et plus encore pour leurs commanditaires, ces banquiers apatrides ne devant leurs fortunes qu’au sang versé des Peuples, qu’à la sueur versée des Peuples, qu’à la destruction de l’Humanité, qu’à la destruction des Êtres Humains, qu’à l’apologie de cette dérive fantasque qui se nomme la laïcité, cette chose sans but qui bouillonne du sang des martyrs de 1793, que la populace et non le Peuple, que la populace donc, enchantait de ses rires sanglants.
Roturiers de belle errance trahissant les uns les autres, volant et pillant les châteaux et demeures de cette aristocratie dont ils essaieront, vainement, de singer la perfection. N’est pas un aristocrate qui veut, car un aristocrate se bat et meurt pour son Peuple, et ne va pas se cacher ni à la City, ni à Wall Street, et encore moins dans ces paradis fiscaux qui sentent la mort, la mort des Peuples, l’immolation des Peuples, sous le régime de kapos qui s’imaginent gouvernance, ces kapos innommables qui battent le pavé de pseudos révolutions encanaillées par la virtualité et ses démoniaques croyances, sa démocratie qui n’est qu’un voile pour cacher sa turgescence ombiliquée, son évanescence spirituelle, sa décadence intellectuelle, son incapacité créative, toutes tares que les tares engendrent naturellement.
Car ne nous leurrons, nous vivons une décadence profonde, digne de celle de l’Empire Romain, où les Néron, les Caligula, et autres vampires de l’espèce sont en progression, un vent de barbarie sans commune mesure avec les Tamerlan, les Lénine, les Trotski, les Staline, les Hitler, les Pol Pott, tous ces pauvres hères engendrés par l’instinct de mort et ses diatribes commerciales, ses rictus et ses morves tutélaires, issus d’une haine pour tout dire de l’Humain, une haine sacralisée dans la reptilienne certitude de se croire au-dessus des Lois Humaines, et en cela capable de toutes les horreurs qui, pire encore, se congratulent derrière les haillons de ce que cette espèce nomme démocratie, cette ridicule prétention qui est spoliation de parvenus ne connaissant l’égalité, la liberté et la fraternité que pour eux-mêmes et en aucun cas pour les Peuples, ces Peuples qu’ils cherchent à dominer du haut de leur naine satisfaction, que nous devrions acclamer comme les débiles mentaux acclament des étoiles du spectacle, hissés sur le pavois de leur médiocrité afin d’advenir la médiocrité d’autrui.
Ce règne politico journalistique n’a que trop duré. Ses sillons puent la mort, ses remugles sentent la pestilence qui évoque des affaires, encore des affaires, des partis lavés dans le parjure comme la traîtrise, une diarrhée malsaine qui coule du corps des Peuples comme une lèpre avariée, dont les Peuples se rendent compte de plus en plus, au grand émoi de cette caste de pervertis et d’enrichis par le sang des Êtres Humains, asservis à leur errance, leur diatribe, leur trois pour cent, leur croissance, leur démonie d’une économie avariée par l’usure, et sans lendemain.
Éponges sont-ils de leurs vomissures, ils craquent d’outrecuidance et matraquent avec aisances, quand ils ne gazent pas, car le gaz ils connaissent, n’en doutez un seul instant, comme d’ailleurs les rafles qui sont communes mesures du mondial socialisme, comme du national-socialisme, ce petit frère en cour qui assassina les pauvres et surtout ne s’en prit aux fortunés, tout comme ce communisme, cet autre petit frère, issu de la lèpre comme de la fange se voulant reine, et qui fut reine dans le sang de cent cinquante millions d’Êtres Humains.
Voici où nous en sommes de cet équarrissage des Peuples dans ces États occidentaux devenus des abattoirs, où l’on tue à coups de taxes, où l’on dissèque à l’aide d’immigration massive, où l’on instruit à coups de slogan, dans un rituel fauve qui fait rire n’importe quelle personne éveillée par ce massacre, où l’on avorte et crucifie par l’euthanasie y compris les enfants pour le plaisir des cellules souches qui viennent enlever quelques rides à des inconstantes et des frivoles, d’ignares personnages qui sitôt nettoyés de leurs parfums exhalent une senteur nauséabonde, celle de leur futilité au regard de l’évolution de l’Humanité, une futilité masquée par l’abondance de leur sous culture qu’ils étalent comme de la confiture et qu’il faudrait admirer, alors que cette sous culture n’est que le ferment lacté de leur fosse d’aisance dans laquelle ils se baignent en s’admirant, consanguins de leurs rites sauvages et putrides qui s’amoncellent comme les eaux des égouts par toutes voies des ondes comme une prière, une prière qu’ils cherchent à exhausser, une prière répétée inlassablement qui sue le mensonge comme le parjure, qui ruisselle de l’infécondité et de ses abstractions, des chiures de mouches lovées sur un tableau qu’ils vendent des millions d’euros pour masquer leur incapacité congénitale à la moindre création.
L’Occident, ici, retombe dans la boue du primitif, ordonnée par l’assurance du matérialiste qui se veut catéchisme pour les ignorants, tandis que les spiritualistes conquièrent tout arpent de terre pour s’enrichir et s’enrichir encore au détriment de tout ce qui existe. La cour des miracles est si bien représentée ici qu’il n’est nul besoin d’y voir plus loin, car en dehors de ces limbes extrêmes qui rugissent leur férocité, que reste-t-il ? Bien plus que ne pourrait en conter cette philosophie de basse-cour qui se veut théurgie, une incalculable richesse physique, intellectuelle et spirituelle, masquée par le bâillon mis sur la Liberté, cette Liberté qui ne complaît à la médiocrité, qu’elle met sous le boisseau de sa débilité afin de profaner plus encore l’Humanité.
N’en déplaise, seuls les gorets sortent du lot de cette auge à cochon qui se fertilise de son gruau, d’une insolence rare, d’une impiété totale, nanti de son sida qui s’émonde et se trémousse, attendant la sodomie comme d’autres le Messie. Voyez, regardez, auscultez le corps social, une véritable ruche emprisonnant toute Liberté de Création, étouffant toute Liberté d’évolution, ramenant les brebis égarées dans le tombeau de sa servitude. Cette servitude plénière qui voit le Premier Président du plus grand État de ce monde, après avoir commis l’inqualifiable en Ukraine, comme en Syrie, comme en Libye, oser donner des leçons de morale à une Russie qui se redresse de cette boue que fut le communisme, un communisme qui s’instaure sous un nom plus caressant, celui du mondial socialisme, dans nos Pays d’Europe comme aux États-Unis.
Pauvre Monde de l’Occident, ce jour dénaturé par toute la dérive maçonnique, ce mont-de-piété pour les aveugles et les borgnes, hurlant en chœur comme des vautours assoiffés, des hyènes puantes et rigolardes, se précipitant dans les limbes de la destruction, dès que les loges noires et putrides décident d’aller à la curée. Voici donc ce qui nous gouverne, et ce que nous laissons gouverner, dans le rejet total de la démocratie, voyant moins de quinze pour cent de notre Population faire la Loi à cent pour cent de notre Population, au nom de trafics électoraux, et de convenances électorales suant la soumission, l’inféodation, ce ver dans le fruit qui ce jour suppure de cette infection.
La France est malade de cette abjection, les Nations Européennes de mêmes, et les États-Unis aussi, voyant leurs Peuples asservis par le mensonge et la dictature du mensonge de cette ignominie qui veut unipolaire ce monde sous le joug de sa bestialité, le mondial socialisme. Car ici nous sommes dans la bestialité, le sommet de l’arrogance fertilisant toute la pourriture comme une fricassée dont doit se nourrir le Peuple jusqu’à en crever. Le Peuple doit se nourrir de l’austérité, de l’innommable austérité, ne servant pas sa Nation encore moins son Identité, mais les mâchoires de la tenaille qui cherchent à le détruire, savoir l’immigration massive d’un côté et l’usure de l’autre.
Bel appariement que celui-ci, les larves consentantes et les tyrans de l’esclavagisme alliés afin de saper l’autorité morale comme la conduite morale des Nations ! Les élections dites européennes approchent. Que tout un chacun vote en considération de ce fruit pourri jusqu’à la moelle, et vide de toute consistance, une gelée qui mouille devant la prévarication, cette épistolaire démesure gargantuesque d’ubuesques personnages qui en viennent à demander que le SMIC, qui ne permet même pas de subsister, de nourrir et élever une famille, soit disloqué au profit de la mendicité ! Ne cherchons de l’honneur dans ce qui est étron et bestialité de l’Humanité.
Les non-humains qui ne s’accomplissent que dans le crime, dans la traîtrise et la fourberie, doivent être évacués sans tarder de tout vote. Repérez-les en conscience, demandez leur appartenance à ces jean-foutre qui gagnent des centaines de milliers d’euros par an et osent ainsi injurier le Peuple du haut de leur connivence, de leurs sociétés discrètes qui ne sont plus du tout discrètes et bien montrées en pleine lumière sur tous les réseaux sociaux, qui voient avec horreur se prononcer au nom des Peuples, sans leur accord, et sans la moindre légitimité tous les tyranneaux qui les animent, ces petits pieds qui ne savent rien faire dans la construction et ne s’abreuvent que dans la destruction.
Compassion pour ces laiderons de la création, qui, s’ils n’existaient pas, ne permettraient pas à l’Humanité en ses Races comme en ses Peuples, de faire la différence entre le néant et l’élévation, entre la subversion et la Création. Compassion ne veut pas dire démission et encore moins tolérance, cette invention du néant qui congratule le néant et pour laquelle il fut un temps il existait des maisons si bien dénommées, compassion ne veut en aucun cas dire admiration et encore moins soumission. Compassion veut dire regarder objectivement, sans la moindre haine, sans la moindre répulsion, sans le moindre désir, cette déchéance qui se veut gouvernance.
En conscience faut-il donc que chaque vote des Peuples Européens soit uniquement consécration des partis défendant la Nation, afin de faire renaître l’Europe de ce glauque et stérile marché du Temple dans lequel elle étouffe, agonise et hurle à la trahison ! Car nous sommes le Pouvoir, ne l’oublions pas, et ne l’oublions jamais, ce pouvoir n’appartenant en aucun cas à des frasques sectaires qui polluent ce monde de leurs invectives, de leurs apparats, de leurs mensonges, de leur médiocrité abyssale, de cette déviance qui est le propre de l’osmose, du phasme qui voudrait confondre la réalité dans ses apparences. Prenez mesure et votez comme il se doit, en boutant de tous les pouvoirs les escrocs intellectuels, les escrocs en nom propre, les affairistes, les ubuesques ventres mous des États qui sont plus larbins que les larbins eux-mêmes et qui osent prétendre à la Vérité, alors que tout un chacun n’est qu’un point dans la sphère !
Prenez mesure de cet échantillon qui hurle avec les loups pour détruire la véritable Démocratie, qui utilise son bréviaire de mort afin de vous satisfaire dans le genre, l’esclavagisme le plus parfait dont un de ses héros vient de vous faire comprendre ce qu’il pensait de vous, en vous intimant de vous rendre esclaves de ses ruts les plus répugnants. Soyez Femmes et Hommes, debout, sans la contrainte de cette boue glauque dont il vous faut émerger si vous voulez voir vos Enfants grandir dans la beauté et non dans les chiottes putrides d’une maçonnerie déviante qui vous confisque jusqu’au droit de vous exprimer, qui vous confisque votre droit de battre monnaie, qui vous confisque le droit à votre Identité, qui vous confisque le droit de prospérer, qui vous confisque le droit d’être tout simplement dans un État de Droit, qui respecte ses citoyens et ne libère pas des meurtriers pédophiles, des assassins en tous genres, des voleurs de grands chemins qui servent si bien ses milices de tueurs nés qui vous obstruent le droit de circuler, le droit tout court de vivre en société.
Et ne soyez dupes de leurs sourires, de leur obséquiosité, de leur morale à la petite semaine, eux qui tuent vos Peuples, vos Nations, qui immolent votre devenir au Dieu Mammon qui les tient par les testicules et les ovaires, les rabaissant comme ils cherchent à vous rabaisser afin que dans leur fange vous acceptiez leur laideur, l’avortement de vos compagnes, l’euthanasie de vos enfants et de vos aïeux, la marchandisation de votre corps à des fins économiques ou sexuelles, en vous vantant la « beauté » d’une « europe » qui n’est plus qu’un temple de marchands, d’usuriers et de financiers apatrides et vulgaires, qui s’associent avec tout ce que le crime compte, et notamment ces Femmes qui n’en méritent plus que le nom mimant des avortements dans nos églises, pissant et chiant dans nos lieux de culte, sans offenser bien entendu les autres lieux de culte.
N’oubliez ce que vous devez à cette faune : l’injure constante envers vos Peuples, envers vos Races, envers votre Humanité, l’injure constante envers vos croyances, envers la splendeur, envers la beauté, envers l’aristocratie tant intellectuelle que spirituelle. Vous ne leur devez rien, strictement rien, et comme toutes les sauterelles qui s’abondent, encore moins de leurs scories, de leurs spoliations, de leur routage vers la cruauté, la débilité, l’enfantement du sordide, de la débauche et du vice, dont le sacre est la pédophilie, les charniers d’enfants, les corps tronçonnés d’enfants africains jetés dans la Tamise, et tutti quanti, si tant dans leurs glacis ces êtres sans foi ni lois, sont les tremplins vers votre mise en esclavage. Ne consentez à cette fourberie, cette mascarade, relevez la tête et déniez à cette engeance cannibale la moindre parcelle de pouvoir, car elle ne le mérite pas.
Regardez vos Nations, exsangues depuis leur mise au pouvoir, économiquement, intellectuellement, spirituellement, mises au tombeau par tout ce qui est de l’ordre du néant, en sa conspiration, en son usurpation, en ses mensonges, en ses histoires réécrites pour les débiles assistés et illettrés qui sortent à la pelle de leurs « écoles » où croupît l’immonde accouplé à tout ce qui est subversion.
Les Nations doivent renaître rapidement et définitivement de ces menstrues cauchemardesques qui voilent l’horizon avec leurs prétendues orientations maçonniques, Erasmus, ah le bel Erasmus, comme si cela comptait pour un ouvrier qui ne peut même pas se cultiver, et encore moins faire se cultiver ses enfants dans cette société du néant ! La poudre aux yeux doit être aujourd’hui mise en équation et éliminée comme il se doit en renvoyant à leurs chères études dictatoriales tous les soupirants bienheureux de l’idolâtrie la plus perfide que ce monde ait connue, l’idolâtrie de l’usure !
Ces quelques mots en attendant ces élections qui devraient normalement éliminer profondément les scories qui pourrissent nos Nations, nos Nations Européennes, par lesquelles les États-Unis d’Europe naîtront dans le respect multilatéral de ses Peuples, de ses Nations, de ses Identités, physiques, intellectuelles, spirituelles, une Europe aux racines Grecques, Romaines et Catholiques, n’en déplaise à toute la foutaise qui pourrit notre monde, à toutes ces glauques dites « vérité » qui ne sont que les semis du chiendent qui détruit nos rives de vivants. »
Il serait effectivement temps que les Peuples se réveillent sur cette petite planète livrée en proie à des chacals barbares qui n’ont d’autres avenirs que celui de la destruction de la Vie.
© Vincent Thierry