La bestialité
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La bestialité
Petites nouvelles de cette petite Terre confrontée après le communisme, le national-socialisme, à la synthèse du communisme et du national-socialisme irradiée par l’islam. Mais lisons : «
http://algarath.com/2016/08/12/trump-accuse-obama-fondateur-disis-hillary-clinton-co-fondateur/
Une simple vérité débuchant sur le génocide diligenté par un faux Occident soumis à l’Islam.
Le mensonge du faux Occident, en soumission devant l’Islam, dénoncé dans les faits et les actes.
https://francais.rt.com/opinions/24772-etats-unis-djihadistes
La perversité des cols blancs agitant leurs mains sanglantes.
http://wearechange.org/isis-accounts-traced-to-uk/
La complicité la plus immorale.
https://francais.rt.com/international/25034-syrie-manbij-attirail-de-torture-de-daesh-decouvert
La torture islamique.
Des auteurs qui ont prévenu l’Occident du danger machiavélique de l’Islam.
« Quand Mahomet promet aux siens un paradis tapissé, paré d’or et de pierreries, peuplé de garces d’excellente beauté, de vins et de vivres singuliers, je vois bien que ce sont des moqueurs qui se plient à notre bêtise pour nous emmieller et attirer par ces opinons et espérances, convenables à notre mortel appétit »
(Montaigne / 1533-1592)
L’islam! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers »
(Bossuet / 1627-1704)
« Il est à croire que Mahomet, comme tous les enthousiastes, violemment frappé de ses idées, les débita d’abord de bonne foi, les fortifia par des rêveries, se trompa lui-même en trompant les autres, et appuya enfin, par des fourberies nécessaires, une doctrine qu’il croyait bonne »
(Voltaire / 1694-1778)
« La religion de Mahomet, la plus simple dans ses dogmes, semble condamner à un esclavage éternel, à une incurable stupidité, toute cette vaste portion de la terre où elle a étendu son empire »
(Condorcet / 1743 - 1794)
« Tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet. »
(Chateaubriand / 1768-1848)
« Si l’on préfère la vie à la mort on doit préférer la civilisation à la barbarie. L’islamisme est le culte le plus immobile et le plus obstiné, il faut bien que les peuples qui le professent périssent s’ils ne changent de culte. »
(Alfred de Vigny / 1797-1863)
« L’islam, c’est la polygamie, la séquestration des femmes, l’absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux qui force de cacher sa vie et rejette toutes les affections du coeur du côté de l’intérieur de la famille »
« J’ai beaucoup étudié le Coran. Je vous avoue que je suis sorti de cette étude avec la conviction qu’il y avait eu dans le monde, à tout prendre, peu de religions aussi funestes aux hommes que celle de Mahomet. Elle est, à mon sens, la principale cause de la décadence aujourd’hui si visible du monde musulman. Je la regarde comme une décadence plutôt que comme un progrès »
(Alexis de Tocqueville / 1805-1859)
« L’islam est contraire à l’esprit scientifique, hostile au progrès ; il a fait des pays qu’il a conquis un champ fermé à la culture rationnelle de l’esprit. »
« Mahomet nous apparaît comme un homme doux, sensible, fidèle, exempt de haine. Rien de moins ressemblant à cet ambitieux machiavélique et sans cour. »
« Toute sa conduite dément le caractère entreprenant, audacieux, qu’on est convenu de lui attribuer. Il se montre habituellement faible, irrésolu, peu sûr de lui-même. M. Weil va jusqu’à le traiter de poltron ; il est certain qu’en général il avançait timidement et résistait presque toujours à l’entraînement de ceux qui l’accompagnaient. Ses précautions dans les batailles étaient peu dignes d’un prophète. »
« Le plus mauvais état social, à ce point de vue, c’est l’état théocratique, comme l’islamisme et l’ancien État pontifical, où le dogme règne directement d’une manière absolue. »
« L’islamisme ne peut exister que comme religion officielle; quand on le réduira à l’état de religion libre et individuelle, il périra. L’islamisme n’est pas seulement une religion d’État, c’est la religion excluant l’État. »
« Là est la guerre éternelle, la guerre qui ne cessera que quand le dernier fils d’Ismaël sera mort de misère ou aura été relégué par la terreur au fond du désert. L’Islam est la plus complète négation de l’Europe; l’Islam est le fanatisme »
« L’Islam est le dédain de la science, la suppression de la société civile; c’est l’épouvantable simplicité de l’esprit sémitique, rétrécissant le cerveau humain, le fermant à toute idée délicate, à tout sentiment fin, à toute recherche rationnelle, pour le mettre en face d’une éternelle tautologie : Dieu est Dieu… »
(Joseph Ernest Renan / 1823-1892)
« L’influence de cette religion paralyse le développement social de ses fidèles. Il n’existe pas de plus puissante force rétrograde dans le monde. Si la Chrétienté n’était protégée par les bras puissants de la Science, la civilisation de l’Europe moderne pourrait tomber, comme tomba celle de la Rome antique. »
(Winston Churchill / 1874-1965)
« Mais pourquoi nos femmes s’affublent-elles encore d’un voile pour se masquer le visage, et se détournent-elles à la vue d’un homme ? Cela est-il digne d’un peuple civilisé ? Camarades, nos femmes ne sont-elles pas des êtres humains, doués de raison comme nous ? Qu’elles montrent leur face sans crainte, et que leurs yeux n’aient pas peur de regarder le monde ! Une nation avide de progrès ne saurait ignorer la moitié de son peuple ! »
« Vous venez me parler des avantages que nous a valu notre conversion à l’Islam, et moi je vous dis : regardez ce qu’elle nous a coutée ! »
« L’islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies. »
(Mustapha Kémal Atatürk / 1881-1938)
« Les Nazis sont les meilleurs amis de l’islam. »
(Grand Mufti de Jérusalem en 1943).
« Je n’ai rien contre l’Islam, parce que cette religion se charge elle-même d’instruire les hommes, en leur promettant le ciel s’ils combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille: bref, c’est une religion très pratique et séduisante pour un soldat. »
(Heinrich Himmler – Reichführer SS / 1900-1945)
« Les données actuelles du problème portent à croire que des formes variées de dictature musulmane vont s’établir successivement à travers le monde arabe. Quand je dis "musulmane", je pense moins aux structures religieuses qu’aux structures temporelles découlant de la doctrine de Mahomet. »
(André Malraux, 1956)
« Des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Ils n’iront pas en tant qu’amis. Ils iront pour le conquérir, et ils le feront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre fécond de nos femmes qui nous donnera la victoire. »
(Houari Boumediene – 2ème président de la république algérienne).
« Les mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats. »
(Erdogan – Président de la Turquie).
L’Histoire n’est qu’un perpétuel recommencement :
« M. Denys Cochin :
Pendant deux, trois, quatre jours, la terreur régna à Constantinople ; les Arméniens en foule, assiégeaient les églises, s'y enfermaient, refusaient en tremblant d'en sortir ; et, pendant ce temps, la populace turque armée de gourdins et de sabres, par la police ; la police elle-même, dans tous les quartiers de Constantinople donnait la chasse aux Arméniens.
C'est par centaines que l’on compte ceux qui ont été massacrés à Constantinople pendant les jours qui ont suivi le 30 septembre. Cela résulte de tous les rapports, de toutes les ambassades, cela ne peut être ignoré de personne. On ne sait le sentiment qui l'emporte, de l’horreur ou de l’étonnement. On vit, par exemple, les ouvriers turcs, soulevés par le fanatisme, armés par la police, se rendre dans leurs ateliers et y massacrer leurs camarades. Le fait arriva à l'usine à gaz de Dolma-Bagtché : des hommes se ruaient sur ceux avec lesquels ils avaient conversé ou travaillé la veille.
Le calme se rétablit à peu près à Constantinople. Mais aussitôt il semble que déplace en place un voile de deuil s'étend à ce moment sur toute l'Arménie. A Erzeroum, à Trébizonde, à Bitlis, dans tous les grands centres, pendant les mois d'octobre et de novembre 1895, sans provocations, sans explications possibles, une partie de la population se jette sur l'autre. Les Kurdes, les Turcs s'élancent sur les Arméniens. On entend ces cris : « Ils viennent ! Ils viennent ! » et dans les rues, dans les boutiques, le sang coule.
Quels sont ces hommes qui viennent apportant la terreur et la mort ? Ce sont les compatriotes, les camarades de la veille, les gens qu’on a coudoyés, qu'on a rencontrés, avec lesquels on a travaillé à l’atelier, avec lesquels on a fait le commerce. Ils tuent ; quelques-uns pillent; quelques-uns pris d'une fureur de prosélytisme, exigent des conversions à Allah et Mahomet. La plupart assomment sans raison, pour le plaisir, par aveugle obéissance.
J'ai vu des témoins oculaires ; j'ai vu un Arménien d'Orpha, échappé par miracle. Je lui ai demandé comment ces horreurs commençaient, et il m'a répondu : « J'étais dans les champs avec des ouvriers Kurdes que je connaissais depuis longtemps. Ils me dirent : Nous allons te tuer. Le commandeur des croyants le veut : il le faut. Nous ne pouvons pas faire autrement, TEL EST LE MOT D'ORDRE ! »
La répétition de tous ces crimes, est monotone. A Marache, à Baïbourd, à Kharpout, à Bitlis, on procède avec le même ordre et les assassinats officiels s'opèrent avec la même régularité. Le dernier massacre de cette triste année, le plus abominable, le plus extraordinaire, c'est le massacre d'Orfa. Orfa, c'est l'ancienne Edesse ; c'est une ville du sud de l’Arménie, qui dépend du vilayet d'Alep. La terreur a régné là pendant deux mois. Il y a eu au mois d'octobre une première crise. Comment a-t-elle éclaté ?
Un jour, suivant les procès-verbaux d'enquête, un marchand arménien vend à un Turc un certain nombre de vieilles pièces d'or pour faire des ornements de femmes à la mode dans ces montrées. Le Turc ne l'ayant pas payé, l’Arménien va le lendemain réclamer son dû. Le Turc le lui refuse et le tue. Les Arméniens présents arrêtent l'assassin, le livrent à la police ; les Turcs viennent délivrer leur coreligionnaire. Une bagarre s'engage, il y a des blessés. Mais quel rapport, quelle proportion entre cet incident et ce qui suit.
Le massacre commence méthodiquement. Le champ de carnage s'étend. La foule se rue vers le quartier arménien et, par centaines, par milliers, les assassinats s'accomplissent. Les Arméniens se barricadent dans leur quartier et, chose extraordinaire, pendant deux mois sont soumis à un véritable siège. La conduite d'eau qui alimentait ce quartier est coupée ; les assiégés veulent s'adresser à l'autorité, faire passer des messages : tous les messages sont arrêtés, toutes les correspondances sont interceptées. Pendant deux mois, ils sont restés là en pleine terreur, attendant la mort. Le gouverneur de la ville ne trouve qu'un mot à leur dire : « Vous avez des fusils Martini, rendez vos armes. » Des fusils, ils n'en ont pas. Et puis, ils savent où cet ordre les mène. Avant les massacres, le premier mot des Turcs était : « Vous avez des armes, donnez-les ! »
Les quelques couteaux qu'ils peuvent avoir, ils les abandonnent de guerre lasse et alors, le lendemain de Noël, deux mois après les premiers événements, leur quartier est de nouveau envahi. Au lever du soleil, on entend une sonnerie de trompette ; aussitôt la populace, la police, l'armée même, se précipitent sur eux, et pendant toute la journée le massacre s'accomplit. A un coup de trompette ; le soir, tout rentre dans le calme ; on n'entend plus que quelques gémissements étouffés. Le lendemain, la trompette résonne encore et le massacre recommence. Puis, le soir de ce second jour, a été commis un forfait presque sans exemple dans les plus horribles annales de l'histoire.
Une foule tremblante d'hommes, de femmes, de vieillards, d'enfants s'était entassée dans la cathédrale d'Orfa. Les uns furent massacrés sur le sol de la nef et du chœur. La cathédrale était entourée de tribunes construites en bois. Là, était montée une foule tremblante demandant grâce, pleurant, et dans toute l'agonie de la terreur. Les premiers bourreaux montent sur l'autel et en tuent quelques-uns à coups de revolver. Puis, trouvant que le travail dure trop longtemps, ils barbouillent les piliers de bois de ces tribunes avec du pétrole et on y met le feu. Ils barrent l'entrée, ils barrent la porte par laquelle ces victimes veulent se sauver et pendant deux heures on entendit les cris et les gémissements de cette foule qui était brûlée sous les yeux des Turcs, aux instigations de ces autorités, avec l'infâme complicité du gouvernement ottoman.
(Applaudissements sur divers bancs.)
- Jaurès : « Et de l'Europe ! »
Des rapports ont été, dit le député catholique, communiquées aux cabinets européens et à la Porte : nous le savons de source certaine, par une lettre de Sir Philip Gurrie, ambassadeur d'Angleterre que ses journaux anglais ont publiée. Or, il établit de la manière la plus indéniable la responsabilité, la part que les agents, les fonctionnaires du gouvernement ottoman ont prise aux massacres qui ont ensanglanté l’Anatolie.
Partout, comme par l’effet d'un mot d'ordre, les choses se passent de même. M. Cochin l’a rappelé tout à l'heure : le signal de la tuerie est donné pour ainsi dire officiellement : ici par un coup de canon, comme à Diarbekir et à Orfa ; là, comme dans presque tous les villages, par une sonnerie de clairon, ou, comme hier à Eghin par une salve de coups de fusil militairement exécutée. Et quand, enfin, après deux, trois, quatre jours de sac, de meurtres et de violences, on se décide à en finir, le même signal, aussitôt obéi, arrête ces exécutions.
Les massacreurs, il est entendu pour le monde européen, pour l'opinion publique, que ce sont des bandes de barbares sanguinaires et indisciplinés, contre lesquelles le gouvernement est impuissant et désarmé, des Kurdes, Lazes sauvages et pillards, des Tcherkesses qui vivent de rapines.
Oui, mais parmi ces Kurdes, il y a ceux que le Sultan a lui-même organisés en milice régulière, il y a les Hamidieh qui portent son nom et, par là, ont reçu une espèce d'investiture officielle. Je ne veux pas mettre en doute l'intention dans laquelle a pu être fait cet effort de discipline ; mais en fait, il paraît bien ressortir de tout ce que j'ai lu qu'on a surtout réussi à transformer les Kurdes en massacreurs organisés.
- Jaurès. — Officiels.
- Le Comte De Mun. — Mais, il n'y a pas que les Hamidieh : il y a aussi les rédifs, qu'on trouve partout la main dans les massacres ; ceux-là sont des soldats turcs, ce sont des hommes qui appartiennent à l'armée territoriale ; et il y a même très souvent des zaptieh, c'est-à-dire des gendarmes chargés du service de police et du service de place. Et les gouverneurs, les valis, les mutessarifs, les caïmakans, qu'est-ce qu'ils ont fait ?...
Le vali de Trébizonde déclare qu'on lui passera sur le corps plutôt que de toucher à un Arménien. Puis, pour enlever, dit-on, tout prétexte à l'agression des Kurdes, on désarme la population chrétienne, et quand tout est ainsi bien préparé, le gouverneur assiste, les bras croisés, à l'odieuse boucherie ; à Diarbekir, il la regarde du haut d'une terrasse en fumant des cigarettes, jusqu'à ce que en ayant assez, il y mette fin d'un signe ; à Orfa, il s'en va non sans avoir persuadé aux chrétiens de se réfugier dans cette église dont on vous a parlé, qui doit leur servir de lieu d'asile et où 3 000 malheureux sont un moment après, brûlés vifs...
Et à Constantinople, dans celte effroyable Journée du 26 août, qui a massacré, qui a fusillé huit à dix mille innocents, surpris, traqués dans les rues et dans les maisons ? Il n'y avait pas de Kurdes, pas de Lazes ni de Tcherkesses, ou, s'il y en avait, c'était donc qu'on les avait amenés d'avance pour une besogne préméditée ?
Mais non ! Ceux qui ont commis ces atrocités en pleine Europe, à deux pas des stationnaires, représentants immobiles de l'Europe impuissante, sous les yeux de nos officiers frémissants d'indignation et des passagers de la Gironde, dont j'ai lu les lettres partagées entre l'angoisse et la colère, ce sont des soldats réguliers, commandés par des officiers (européens), — les récits de tous les témoins oculaires en font foi, — c'est la population turque transformée en bandes d'assommeurs armés de gourdins tous pareils et distribués d'avance, et si bien préparée à sa besogne que, par une étrange coïncidence, le massacre commençait à Stamboul à l'heure même où, après l'agression de la Banque ottomane, il éclatait à Galata, qui est séparé de Stamboul par une énorme distance !
Voilà les faits ! continue M. de Mun. Nul ne peut les contester, tous les documents publics et privés les établissent. Et la complicité n'est pas seulement dans les massacres ! La répression ! jusqu'ici, où a-t-elle été ? a-t-on appris que ces valis, ces mutessarifs d'Anatolie, qui ont ordonné le brigandage, qui y ont assisté, impassibles et satisfaits, aient été châtiés ? que le sang d'un seul d'entre eux ait payé pour celui des milliers de victimes égorgées avec leur connivence ?
Non ! Pas un seul n'a été même réprimandé. En revanche, les plus coupables, les plus compromis sont traités avec faveur, récompensés, quelques-uns même appelés à Constantinople et comblés d'honneur !
En revanche, aussi, ceux qui ont fait à peu près leur devoir, qui ont essayé de résister, ont été blâmés, disgraciés, quelquefois punis plus sévèrement, et le Temps de ces jours derniers nous apprenait encore que le maréchal Fuad pacha (d'origine slave), dont la courageuse conduite avait sauvé les Arméniens de Kadi-Keui, en face de Constantinople, de l'autre côté du Bosphore, venait d'être arrêté et enfermé en prison ! »
M Jaurès. — Lorsque dans les rapports des délégués et de la commission d'Erzeroum chargés d'examiner les faits qui s'étaient produits à Sassoun ; lorsque dans les rapports officiels des consuls de l'Europe sur les faits des six principaux vilayets d'Asie Mineure, j'ai lu le détail des brutalités atroces commises de concert par les Kurdes et par la soldatesque du Sultan ; lorsque j'y ai vu les premières résistances de cette population arménienne si longtemps moutonnière et passive à l'arbitraire et aux pilleries des Kurdes ; lorsque j'y ai vu les premières rencontres sanglantes de ces nomades, dans les ravins et dans les bois, avec les pâtres et les laboureurs de l'Arménie, et la fureur soudaine des Kurdes, et la guerre d'extermination qui a commencé, et l'émigration des familles arméniennes partant de leurs maisons détruites par l’incendie, et les vieillards portés sur les épaules, puis abandonnés en chemin et massacrés ; et les femmes et les mères affolées mettant la main sur la bouche de leurs enfants qui crient pour n'être pas trahies par ces cris dans leur fuite sous bois, et les enfants cachés, tapis sous les pierres, dans les racines des arbres, et égorgés par centaines ; et les femmes enceintes éventrées, et leurs fœtus embrochés et promenés au bout des baïonnettes; et les filles distribuées entre les soldats turcs et les
nomades Kurdes et violées jusqu'à ce que les soldats les ayant épuisées d'outrages les fusillent en un exercice monstrueux de sadisme, avec des balles partant du bas-ventre et passant au crâne (…) ; et le soir, auprès des tentes où les soldats et les nomades se livraient à la même orgie, les grandes fosses creusées pour tous ces cadavres, et les Arméniens fous de douleur qui s'y précipitaient vivants ; et les prêtres décapités, et leurs têtes ignominieusement placées entre leurs cuisses ; et toute cette population se réfugiant vers les hauts plateaux. Puis, lorsque tous ces hommes se sont aperçus que l'Europe restait indifférente, qu'aucune parole de pitié ne venait à ceux qu'ils avaient massacrés et violentés, la guerre d'extermination prenant tout à coup des proportions beaucoup plus vastes de petits groupes qu'on massacrait, mais dans les villes par grandes masses de 3 000 et 4 000 victimes en un jour, au son du clairon, avec la régularité de l'exécution d'une sentence ! ».
Puisque l'Europe a montré son incapacité d'agir dans cette question ; puisqu'elle a été paralysée par toutes les jalousies et toutes les convoitises, à ce point qu'elle a laissé s'accomplir à sa porte un meurtre épouvantable sans pouvoir remuer la main pour le prévenir, c'est de constater devant les travailleurs du monde entier cette faillite de la vieille Europe gouvernementale {Vifs applaudissements à l’extrême gauche). Oui, vous n'êtes même plus, gouvernements divisés de nations antagonistes, capables de remplir la vieille et élémentaire fonction de la civilisation et du christianisme!
- de Mun, tout à l'heure, parlait éloquemment des obligations qui engagent France envers les communautés chrétiennes. Certes, ce n'est pas, il s’en faut de beaucoup, à nos yeux, l'obligation unique ; plus — je demande à M. Hubbard la permission de le lui dire — qu'il ne nous suffit que la plupart des Arméniens là-bas soient chrétiens pour que nous considérions qu'il y a des circonstances atténuantes à l'abstention de la France. Mais il y a quelque chose de plus graves et de plus significatif, c'est que ce soit justement à propos de l'Orient où le Christianisme, il y a dix-huit siècles, avait surgi en annonçant une sorte d'universelle douceur et d'universelle paix, que ce soit précisément à propos cet Orient et des questions qui s'agitent là-bas de Trébizonde à Jérusalem qu'éclate la faillite morale de la Vieille Europe chrétienne et capitaliste.
Et alors puisque les gouvernements, puisque les nations égarées par eux sont devenues incapables d’établir un accord élémentaire pour empocher des actes de barbarie de se commettre au nom et sous la responsabilité de l'Europe, il faut que partout le prolétariat européen prenne en mains cette cause même. Il faut que partout il manifeste son indignation et sa volonté et qu'il oblige ainsi les puissances misérables, qui, pour ne pas se dévorer entre elles, laissent assassiner tout un peuple, à accomplir leur devoir d'élémentaire humanité avec un ensemble qui supprimera toute possibilité de résistance et de conflit et qui conciliera l’œuvre de paix et l'œuvre de justice.
Journal Officiel, 3 novembre 1896.
LETTRE DE MONSEIGNEUR FAVA
ÉVÊCHÉ DE GRENOBLE
Grenoble, 11 août, 1896.
Cher Monsieur Kimon,
Je vous remercie de m'avoir envoyé les deux articles que vous avez publiés dans La Libre Parole, les 6 et 23 juillet. Ils sont pleins d'intérêt.
En ce qui concerne, le 6 juillet, vous dites la colère d'Abdul-Hamid, sultan de Constantinople, un soir, que vous supposiez la France et l'Angleterre fondant sur la Mecque et emportant la dépouille du Prophète, pour la déposer au Louvre, à titre de curiosité... Vous ne pûtes achever devant son courroux.
A ses yeux, c'était un sacrilège que vous proposiez, et ce sacrilège eût discrédité l’islam, jusqu'à l’ébranler. Si à cela on eût joint la prise de Constantinople, c'en était fini de l’lslam.
C'est que, pour les Mahométans, la religion d'un peuple est liée avec la puissance de ce peuple, qu'une fois cette puissance tombée, la religion tombe avec elle. En 1871, après la victoire de l'Allemagne sur la France, on disait sur les côtes d'Abyssinie aux missionnaires français : « France n’a plus, allez-vous en. » Selon ces Abyssins, le Catholicisme était tombé avec la France, lequel s'incarne en elle. Donc, détruire Stamboul et la Mecque avec le tombeau de Mahomet, ce serait détruire le Mahométisme ; détruire l'Angleterre, ce serait détruire le Protestantisme ; et maintenir les méthodistes à Madagascar, c'est y maintenir la puissance de l'Angleterre, bon gré mal gré. Avis à nos gouvernants. C'est pourquoi Abdul Hamid rêve de force et de puissance pour son peuple. Dieu s’est servi des Mahométans pour punir les Grecs schismatiques, et il est probable qu'il s'en servira tant que durera le schisme. Les Russes eux-mêmes ne prendront pas Stamboul, tant qu'ils seront schismatiques.
Vainement auriez-vous recours à des moyens humains pour écraser les musulmans qui écrasent tout
sur leur passage, vous n'arriverez pas à vos fins. Convertissez-vous et la face du monde changera.
Envoyez votre Esprit, Seigneur, et la face de la terre sera renouvelée. Les dieux de ce monde se rient de cette politique sacrée ; mais ces dieux n'en sont pas, et les Kurdes sont vainqueurs.
Venons-en à votre article du 23 juillet. Vous y rappelez que les massacres sont dus aux Kurdes : dites
plutôt aux Turcs, en général.
L'empire turc est l'ennemi des chrétiens, en vertu du Coran, qui nie la divinité de Jésus-Christ et n'en fait qu'un prophète. Il regarde le chrétien comme un idolâtre et le méprise : idolâtre parce qu'il adore Isa, Jésus, qui n'est, selon lui, qu'un homme. C'est pourquoi il nous méprise et voudrait nous anéantir.
Vous l'avez compris, monsieur ; aussi dites-vous « que les Musulmans se jettent sur les femmes chrétiennes avec l'impétuosité d'une guerre sainte et avec une émulation inspirée. »
Oui, pour eux, détruire les chrétiens a toujours été guerre sainte et aussi émulation inspirée. Par qui !
Disons-le hardiment : par leur chef, qui est Satan.
Vous l'avez reconnu vous-même, monsieur, en disant que dans certains oratoires où vous vous trouviez avec les Musulmans, tout à coup le prêtre de la socle venait de donner le signal, lorsque soudain une horrible clameur éclata ; tous les assistants, une centaine environ, se transformaient en bêtes fauves en fureur, vociférant avec un ensemble extraordinaire : « Mort aux Ghiaours ! » Quels torrents d'imprécations ! Quelle tempête de malédictions ! Quel volcan de haine et de colère ! Et quelle puissance d'anathèmes ! Celui qui n'a jamais assisté à un pareil spectacle n'a jamais vu un coin de l'enfer ; il est incapable de se faire une idée, si minime soit-elle, de ce qu'est un Sabbat islamique ou hébraïque, c'est-à-dire une réunions d'hommes démons.
Je défie, dites-vous, monsieur, nos meilleurs écrivains, nos informateurs incomparables, de produire un compte rendu, si peu exact que ce soit, sur une telle assemblée. Qu'on s'imagine cent individus parvenus au maximum de la férocité, des monstres à la gueule en feu, hurlant avec une voix, non, avec une rage effroyable et les yeux sortant de leur orbite, et avec un ensemble comparable à des décharges électriques : « Massacrons les Ghiaours l Chiens de chrétiens ! » et on n’aura qu'une insignifiante idée de la réalité ; Quand le prêtre criait: « Violons les femmes des Ghiaours ! » la phrase n'était pas encore achevée, que les sectaires, avec la symphonie d'un choeur d'opéra, la répétaient plusieurs fois avec des stridences inouïes : « Déchirons leurs entrailles pour qu'elles ne survivent plus. » Arrachons de leur corps l'enfant maudit, et coupons-le en morceaux avec nos épées effilées. » Et quantité d'autres horreurs de ce genre que nous refusons de reproduire.
Monsieur, vous en aurez assez dit pour prouver que Satan inspire ces assemblées et qu'il préside, lui, ces oratoires musulmans comme les oratoires juifs et francs-maçons. Que disons-nous !
Le Christ a déclaré ceci : « Lorsque deux personnes se réunissent en mon nom, je me trouverai au
milieu d'elles. » Il en est de même de Satan, qui possède ses sujets, et, à certains jours, nos Chambres n'offrent-elles pas le même spectacle ? Allez-y, et vous verrez : Un vénérable sénateur, à qui nous en parlions, n'a pas craint de nous dire que parfois, quand il monte à la tribune, il n'a plus de figures humaines, en général, sous ses regards.
Ainsi, monsieur, les mêmes causes produisent les mêmes effets. Et vous ajoutez : « Il n'y a plus à l'heure actuelle de mesure plus urgente que celle de la mise en demeure du gouvernement turc de fermer ou de supprimer les oratoires des sectes des confréries musulmanes, par une loi martiale, dans les villes où il y a des chrétiens. »
Le gouvernement français et les gouvernements anglais et hollandais feraient bien à leur tour d'imiter, sur ce point, l’énergique politique de la Russie, qui ordonna par un ukase, la dissolution de toutes les associations secrètes, religieuses ou non, dans la région tartare et interdit les prières dans les oratoires.
La France, dans ce cas, aurait alors moins à redouter dans un moment critique, dans ses possessions africaines, des explosions musulmanes, et l'Angleterre n'aurait plus à déplorer périodiquement dans l'Inde, des insurrections et des massacres imprévus de ses soldats en Afghanistan.
Qu'on ne l'oublie pas : l'oratoire musulman, qui n'a rien de commun avec la mosquée, est la synagogue de la violence, de la haine et du crime.
(Libre Parole, 18 août 1896).
http://www.christianophobie.fr/document/14-aout-1480-800-martyrs-dotrante#.V67VXClkj9Y
14 Aout 1480, le génocide des Chrétiens organisé par l’Islam.
La suppression de l’immigration illégale.
L’invasion assistée et programmée par la gouvernance socialiste.
La voie de l’Islam dans l’éducation dite « nationale ».
La justice complice de l’immigration illégale et de l’islamisme.
La racaille des zones de non droit en butte aux Chinois.
Les « intellectuels » au service de l’Islam.
Une Réponse face à l’Islam et son désir de conquête, encouragés par la lie de la Société.
LETTRE OUVERTE DU GENERAL ANTOINE MARTINEZ AU PREMIER MINISTRE :
PARACHUTISTE FRANCAIS·SAMEDI 13 AOÛT 2016
Monsieur le Premier ministre,
La réponse que vous apportez aux drames qui étaient prévisibles et qui viennent de frapper la France à plusieurs reprises démontre à quel point, avec le Président de la République et votre gouvernement, vous créez l'émoi et l'incompréhension mais également la colère et l'exaspération en raison de votre déni de la réalité.
Et vous vous obstinez avec une sidérante ténacité qui confine à la folie, à répondre non seulement à côté mais hors sujet.
Car l'enjeu à ce stade ce n'est plus le vivre ensemble qui est devenu une utopie, mais l'adoption de mesures d'exception pour inverser le cours funeste des choses que nous devons au manque de clairvoyance de la classe politique dans son ensemble. Nul ne pourra cependant contester la forte aggravation de la situation depuis 2012. Honte à tous les naufrageurs et fossoyeurs de notre belle France !
Quel pacte voulez-vous passer avec ceux qui rejettent nos valeurs, nos traditions, nos modes de vie, avec ceux qui rejettent nos lois et veulent imposer les leurs ? Un pacte avec le diable ?
Pourquoi pas un traité qui abandonnerait à ceux encore minoritaires tous les droits quand on sait – mais peut-être ne le savez-vous pas – que dans les pays où ils sont majoritaires ils n'accordent aucun droit aux minorités ? Il ne s'agit pas de passer un pacte. Ce serait signer un aveu de faiblesse compris comme l'acceptation de la dhimmitude, c'est à dire de la soumission.
Il s'agit au contraire, et il serait grand temps, de soumettre l'islam en France à nos règles et de lui poser nos conditions. Et ceux qui ne les acceptent pas doivent partir. Au besoin, il faudra même les expulser.
Car il faut bien que vous compreniez que le problème c'est bien l'islam. Ce n'est pas l'islam-isme, l'islam radical, l'islam politique, l'islam modéré, l'islam psychiatrique, le salafisme, ou même l’État islamique.
Non, comme M. Erdogan répondant sèchement à un journaliste qui l'interrogeait sur l'islam modéré, il faut le dire : « il n'y a pas d'islam modéré, l'islam c'est l'islam ».
Et partout dans le monde on tue au nom de l'islam. Depuis que l'islam existe, ses combattants n'ont eu de cesse de tuer, de massacrer les populations non musulmanes et en particulier les chrétiens. D'ailleurs, il y a tout juste 100 ans, se déroulait le génocide arménien décidé par les Turcs musulmans. Finalement, qu'est-ce que l'islam a apporté à l'humanité si ce n'est la violence, l'esclavage et la mort ?
Contrairement à ce que vous affirmez, l'islam n'est pas compatible avec la démocratie. Et c'est simple à démontrer: en effet, en démocratie c'est l'homme qui fait la loi. En islam, c'est Dieu qui a fait la loi et il n'est pas permis à l'homme de la changer ; elle est inscrite définitivement dans le Coran.
C'est pourquoi vous n'obtiendrez jamais une réforme de l'islam. Pas plus que vous ne réussirez à dé-radicaliser ces fous d'Allah. Et c'est pourquoi il n'y a pas d'islam de France mais l'islam en France.
Et pour comprendre cette guerre qui est menée sur notre propre sol et sur celui de l'Europe par l'islam, il faut aller à la racine du mal. C'est bien les versets du Coran – qui régit l'islam – qui appellent au meurtre des infidèles. C'est bien les versets du Coran qui institutionnalisent l'infériorité des femmes. Et la laïcité est contraire à la culture musulmane. De plus, la Charia a été jugée incompatible avec la démocratie par la CEDH en 2003.
Le Coran, cette « constitution politico-religieuse », est donc incompatible avec la Constitution française.
Des centaines de versets sont, en effet, non seulement en opposition frontale avec notre culture mais sont même susceptibles d'action pénale dans la mesure où ils constituent une évidente provocation à la haine, à la violence, à la discrimination, au racisme, au sexisme, à l'antisémitisme. Et le discours tenu par ceux avec qui vous voulez pactiser n'est que manipulation, enfumage et mensonge.
Quant aux propos tenus par un imam de Nice, après le carnage du 14 juillet, affirmant que les musulmans refuseront la laïcité, ils sont inadmissibles et inacceptables. Les patriotes ne pourront plus tolérer très longtemps ce type de discours que vous avez d'ailleurs favorisé en prônant un laïcisme virulent appliqué, en réalité, uniquement à l'égard des chrétiens. Car votre laïcité présente un visage à deux faces.
La première, telle une dague, a frappé violemment les catholiques, il y a un peu plus d'un siècle, avec la loi de séparation des Églises et de l’État imposée dans la douleur. La seconde s'est transformée en armure pour protéger et pour favoriser l'expansion d'un culte non seulement étranger mais incompatible avec la réalité historique de la France, de sa culture, de ses traditions.
Ce mépris du peuple de France et de ses racines chrétiennes est insupportable et irresponsable. C'est indigne car c'est trahir l'âme de la France.
Le résultat aujourd'hui c'est la radicalisation d'habitants du territoire français sous l'emprise continue d'imams dégénérés qui n'auraient jamais dû pouvoir prêcher sur notre sol.
Cela veut dire que des centaines de milliers d'habitants de notre pays, voire plus, sont aujourd'hui radicalisés et n'ont pas l'intention de s'intégrer à la communauté nationale, bien au contraire, puisqu'ils ont été « éduqués » dans la haine de la France et des Français.
C'est ainsi que 24 % des jeunes de 18 à 34 ans dans notre pays ont une opinion favorable à l’État islamique et que 35 % des musulmans français approuvent les attentats kamikazes pour défendre l'islam ! (sondage ICM Research 2015). Alors – soyez-en certain – des dizaines de milliers de « déséquilibrés » bénéficiant de la solidarité de leurs frères et sœurs dans la multitude de « Molenbeek » constitués par les territoires perdus de la République se tiennent prêts à agir au signal.
Comment réagirez-vous à la prochaine tuerie de masse, lorsque nous dénombrerons des centaines de morts ? Car le pire est devant nous.
Et « en politique, il faut toujours envisager, non pas le mieux, mais le pire, pour que ce pire ne se produise pas, pour que l'on se donne les moyens de le combattre ». Mais le combattre c'est le rôle et la responsabilité du politique qui doit savoir décider et anticiper au lieu de réagir aux événements dans l'urgence et dans l'hésitation.
Un chef de guerre ne commente pas ; il analyse, décide et frappe vite et fort. Par ailleurs, ce n'est pas à l’État de s'occuper des affaires cultuelles et à mettre en place un système de financement pour permettre la promotion d'une culture qui, de surcroît, est hostile à la nôtre.
Et l'idée saugrenue de la fondation pour l'islam est devenue une ineptie car nous ne pouvons plus « vivre ensemble » avec qui nous veut du mal. Alors, pourquoi vouloir promouvoir une culture qui veut notre mort ? C'est insensé et criminel !
Devant ce qui devrait être l'évidence pour un responsable politique soucieux de la protection de la collectivité et de son avenir, vous vous préparez à faire de nouvelles concessions pour ménager un électorat qui a déjà permis en 2012 l'élection de l'actuel Président de la République.
On n'a pas le droit de sacrifier le peuple français sur l'autel des intérêts à court terme d'un parti politique quel qu'il soit. Car sur le long terme, sachez-le, vous serez balayés par ceux-là mêmes que vous avez encensés jusqu'ici pour des raisons électorales et avec lesquels vous voulez passer un pacte.
Alors, si on veut éviter la guerre civile ethnique qui vient, il est temps que le politique se rende à l'évidence.
Et c'est donc l'inverse qu'il faut dorénavant envisager sérieusement, à savoir engager un processus de désislamisation du pays pour réduire progressivement mais fortement la part de la population de confession musulmane dans notre collectivité qui doit retrouver un minimum de cohérence interne si on veut obtenir un jour la concorde au sein d'une société apaisée.
Il faudra du temps, probablement trois ou quatre décennies à condition de le vouloir, et cela, tout en respectant l'état de droit.
Car conduire la politique dans un État de droit, c'est à dire gouverner une démocratie, c'est respecter la Constitution et les lois et faire appliquer ces dernières, ce que précisément vous ne faites pas. C'est donc un virage à 180 degrés qu'il faut entreprendre pour supprimer tout ce qui a contribué à cet appel d'air migratoire insensé depuis très longtemps pour amorcer le mouvement inverse.
Et sans énumérer toutes les mesures immédiates répondant au principe de précaution et celles à inscrire sur le moyen/long terme, on citera :
-L'arrêt de l'immigration issue de pays musulmans
-L'arrêt du regroupement familial
-La fermeture et la destruction de toutes les mosquées salafistes et des écoles coraniques,
-L'expulsion des imams étrangers
-L'arrêt de toute nouvelle construction de mosquée
-L'interdiction de l'abattage rituel des animaux et donc du halal (barbarie à l'échelle industrielle contraire à notre tradition et indigne d'un pays civilisé)
-L'interdiction des burqas, qamis et autres accoutrements vestimentaires et des prières de rue
-L'expulsion des familles polygames
-La réforme du code de la nationalité
-La suppression du droit du sol et l'adoption du droit du sang
-La suppression de la double-nationalité
-L'expulsion des clandestins
-La suppression de l'AME
-La dissolution de l'UOIF, annexe des Frères musulmans
-Le retour dans leur pays des étrangers sans emploi
-L'instauration de la préférence de civilisation …
L'ensemble du plan de mesures doit viser à faciliter le renvoi dans leurs pays d'origine, y compris par la contrainte, de cette immigration (y compris les binationaux après déchéance de la nationalité française), qui ne respecte pas nos règles de vie et nos traditions et qui ne doit plus pouvoir imposer sa culture mortifère sur notre territoire. C'est d'ailleurs l'intérêt de nos compatriotes musulmans intégrés, voire assimilés.
L'heure est grave et les années qui viennent seront de toutes façons difficiles et douloureuses. Alors, que nos responsables politiques ne perdent plus de temps et s'attellent à la mise en œuvre d'un véritable plan de sauvegarde de la France et de la Nation !
Car face à une situation qui se détériore de jour en jour, vous ne pourrez pas vous soustraire à ce dilemme :
Le sursaut ou le suicide. En refusant le sursaut vous choisiriez le suicide, votre suicide politique qui ne serait qu'anecdotique s'il n'entraînait pas, en fait, le suicide de la France. Il ne resterait plus alors au peuple que deux solutions : la révolte ou la soumission, dans les deux cas des larmes et du sang. Pour ma part, mon choix est fait : je ne me soumettrai jamais.
Le 9 août 2016
Général (2s) Antoine MARTINEZ
Coprésident des Volontaires Pour la France
http://algarath.com/2016/08/07/morts-providentielles-protegent-hillary-clinton-5-morts-4-semaines/
Assassinat en série aux Etats Unis.
http://yournewswire.com/man-who-leaked-clintons-medical-records-found-dead/
http://www.snopes.com/hillary-clinton-medical-records-leaked/
Bulletin de santé d’une prétendante au pouvoir aux Etats Unis.
https://francais.rt.com/international/25016-russie-deploie-missiles-sol-air
La Crimée qui vient de subir des attentats en provenance de la junte ukrainienne, voit se déployer pour sa défense des missiles sol air S-400.
Le réchauffement climatique, la plus vaste arnaque que ce monde ait connue qui n’a pour seul but que la mise en soumission des Etres Humains au mensonge global. »
Cette petite Terre saura-t-elle terrasser les idéologies bestiales qui marquent la désintégration de la Vie au profit du matérialisme le plus répugnant qui soit ? L’Histoire le dira.
© Vincent Thierry