L’abjection

L’abjection

Petites nouvelles de Terre et plus spécialement de la France, cette Nation tombée entre les mains de la barbarie la plus anachronique qui soit, mais lisons :

« Les nécrophages sont en action dans ce beau pays que l’on nomme la France, montés sur leurs ergots, ils s’acclament, s’autoprotègent, et, gargantuesques, à se vouloir plus gros que le bœuf, s’imaginent l’avenir alors qu’ils en sont la pente ultime, celle qui mène vers les catacombes. Ces ectoplasmes, tant ils n’ont aucune personnalité, sinon celle qu’inscrit dans leur gènes la putrescence maçonnique avariée par l’usure immonde, se gobergent de toute la prescription de l’inaudible, de cette racine qui est le viaduc de la stérilité, où l’on voit déshabiller Paul pour habiller Pierre, dans le manifeste propre à la racaille, à la mafia en permanence, cette poubelle de l’esprit qui habite désormais les palais argentés d’une République qui n’est plus dédiée au Peuple, ne l’a-t-elle jamais été ? Mais bien aux sectes les plus infâmes les unes les autres, se servant de la Nation pour voler, piller, dans un silence assourdissant les caisses payées par un Peuple sourd, aveugle, incapable d’émettre un son, tant l’analphabétisme comme l’acculturation sont devenus ses maîtres à penser, des idiots utiles en reptation devant les pouvoirs de la médiocrité qu’il a élue dans l’inconscience, la pérennité de cette inconscience vassalisée par des médias aux ordres qui ne sont pas là pour instruire mais pour mentir journellement à l’aide de toutes les fausses nouvelles qu’ils peuvent inventer, surtout pour faire passer les couleuvres distillées par le bestiaire incarné qui le gouverne désormais. Une assemblée ridicule, ignorante, laquais de toute la pourriture où l’on voit préserver l’intégrité des violeurs, des pédophiles, des assassins, de toute cette lie humaine qui fait le charnier de l’humanité si bien protégée par une justice aux ordres, une justice dérisoire qui n’applique en aucun cas le droit mais bien la préférence de tout ce qui n’est pas la France et ne le sera jamais, à l’image composite des serviles valets de l’usure qui prétendent gouverner. La France ici est tombée à son niveau le plus bas et n’est pas prête à se reconfigurer tant la laideur est son image, tant la boursouflure de ses dirigeants sont la morgue et le bréviaire de sa hideur devenue. Qu’il suffise de regarder ce qu’est Paris aujourd’hui, une léproserie assistée par une assemblée de rats qui circulent librement dans les rues, où le règne de la poubelle écume, une auge à gorets où les gorets, bobos en tout genre, larves criminelles par essence, pataugent avec ardeur, car il ne faut plus rien attendre de cette populace le cul tendu vers tout ce qui pourra la sodomiser, léchant à qui mieux mieux tout ce qui est bien entendu exogène, et participe à la monstruosité qui s’organise, dont Hitler aurait rêvé très certainement, le génocide de notre Peuple, en intention et par sédation financière de ses habitants, voyant les caisses de l’État se vider pour tout ce qui est étranger et en aucun cas Français, grâce à la rapine des larves usuraires qui dirigent cette Nation vers sa perte. Irrémédiable ?

Ce serait toutefois bien surprenant, car il existe une rémanence formelle des Peuples qui reste inattaquable, quel que soit le moyen mis en place pour le détruire, qu’il s’agisse des taxes, qu’il s’agisse comme on va le voir de restreindre la liberté d’expression, la virtualité n’ayant aucune valeur face à la réalité, qu’il s’agisse de faire accepter le remplacement d’un Peuple par un autre, et surtout la religion originelle par une autre religion anachronique et sanguinaire, rien ne pourra mettre à bas cette rémanence et en aucun cas cette médiocrité atavique et répugnante qui se commet dans l’État, qui n’est plus un État de droit, mais une dictature sordide et abjecte.  Une abjection servile que les affaires étrangères renvoient dans le miroir de la décomposition la plus affligeante qui soit, à l’image de sa gouvernance, mettant la lumière sur sa reptation vis-à-vis des tueurs islamistes, de ces djihadistes qui se révèlent la main armée d’un occident, qui n’a rien de l’occident, mais tout de la puanteur moyen orientale qui voudrait dicter le droit de penser aux Peuples Européens, esclaves de cette horreur qui depuis des siècles pourrit le monde, à tout le moins cette « europe » entre ses mains gangréneuses et stériles. Nous sommes et depuis déjà bien longtemps dans ce régime de l’abjection la plus totale qui soit, dont le parvis ce jour montre son front de lépreux et d’attardés mentaux, de pédophiles en tout genre, toute cette volaille qui pue la mort, qui enchante la mort, qui est l’infection par excellence de toutes les valeurs humaines, un brouet qui se régale de la misère, qui appauvrit les retraités, les handicapés, les agriculteurs, vends les fleurons de la Nation, pour payer les menstrues de ce monde en proie aux banques centrales et leurs prédateurs, en proie à ces familles de voleurs et d’assassins qui gouvernent derrière les pantins avides en génuflexion devant leur déréliction la plus complète qui soit.

À trop vouloir, la corde cède et il ne faut pas se faire d’illusion, lorsque le Peuple crèvera de faim, qu’il verra qu’il n’a aucune alternative, qu’il passe après la misère du monde, ce Peuple, comme tout Peuple normalement constitué, va se révolter pour mettre à bas les privilèges de cette caste de mendiants aux ordres de l’usure qui le gouverne, bien pire en cela que les Rois d’antan qui avaient au moins le respect de leur Peuple et cherchait à tout le moins son bonheur, là où ce jour ne voit bien au contraire que l’accouplement de la bestialité et de l’ordure vouloir sa disparition la plus complète pour le remplacer par des esclaves à bas coûts, dans une barbarie ignoble se masquant sous la poudre du paraître, cachant des sous humains en mal de pouvoir, des avaricieux et des larves sous-traitantes. Qu’on me pardonne ce terme, mais la France ce n’est pas cette sous merde, ce glissement vers les égouts, cette fange attitrée qui se donne des titres de noblesse comme Monsieur Jourdain faisait de la prose, ce n’est pas cette assemblée de nécrosés et d’idiots utiles vendus comme des marques de savonnettes par les loges maçonniques avariées, non ce n’est pas ce dol, qui se donne de l’importance, ce n’est pas cette prévarication de la vulgarité, ce n’est pas ce précipice de l’acculturation, ce n’est pas cette plaie béante de l’idiocratie, de la crétinisation, de la bestialité qui règne, une bestialité voulant voir pour complaire à la pédophilie la majorité sexuelle à treize ans pour nos enfants, ce n’est pas cette lèpre préférant les assassins aux victimes, relaxant les criminels, nourrissant toute la pourriture humaine criminelle dans des prisons de luxe, ce n’est pas cette engeance qui regardée de très près, pue la connivence, la traîtrise et la fourberie. Non ce n’est pas cela, ce régime a vécu et devra disparaître dans la légalité la plus globale qui soit, dans le respect du droit, conchié par cette outrance, le plus total.

Mais 1968 a existé, mai 2018 pourrait être le tremplin permettant de liquider cette machiavélique errance qui gouverne par effraction, non, par la violence, il est si simple de rester tout simplement chez soi et d’attraire soixante millions de Françaises et de Français dans une grève illimitée jusqu’à ce que cette gouvernance aux ordres de l’usure se défasse de l’usure et enfin s’occupe pleinement du Peuple de France, ou bien comme cela fut pour le pauvre Roi Louis XVI, se voit, tel en Islande, démissionné pour incapacité, une incapacité qui se voit actuellement comme le nez dans la figure, une incapacité dont la lourdeur systémique naît d’un assujettissement qui ne dit pas son nom mais que tout un chacun doit considérer, l’assujettissement des esclaves à ses maîtres qui se retrouvent aujourd’hui dans les conseils d’administration des banques internationales, qui n’ont que faire des Peuples et ne cherchent qu’à les rendre esclaves pour plus de profits. Ce jour les Paysans sont dans les rues et ont parfaitement raison, spoliés qu’ils sont par l’ignominie des grandes surfaces, par les prébendes d’oisifs et de renégats, par cette barbarie économique qui nantie ses pulsions grâce à la vermine qui spolie les grands corps de l’État. Qui laisse faire ? L’État. Ne cherchez pas plus loin la lie de la société, non que l’État soit le sauveur en tout, mais à tout le moins doit-il faire entendre sa voix afin que cessent les prévarications en tout genre de toute offensive destinée à attraire l’esclavagisme sous toutes ses formes, mais lorsqu’on a un État esclave du fait de l’esclavage de ses membres, on comprendra mieux que rien ne puisse être fait par ses représentants, sinon que du vent, acclimaté par des mensonges oniriques comme on le voit si bien avec les chiffres falsifiés du chômage de masse, encouragé par la bestialité incarnée représentée par un patronat anachronique et ridicule.

Et si tout cela résumait à l’économie, mais tout y passe grâce à cette idiocratie, la santé principalement voyant les hôpitaux traités comme des entreprises, la sédation des personnes âgées, l’invitation à l’avortement et la vaccination obligatoire à l’aluminium pour nourrir les laboratoires au regard des maladies qu’engendrent ces vaccinations, des moyens de gouverner, un gouvernement d’assassins en intention par excellence que n’auraient certainement pas reniés les nationaux socialistes pendant la deuxième guerre mondiale. Tout y passe et tout devrait y passer jusqu’à faire table rase de la France, de son Peuple, dans le cadre de l’idéologie témoignant de cette abjection en gouvernance, une idéologie nazi communiste, synthèse s’il en fallait des deux vermines socialistes, communisme et national-socialisme, ayant occasionné des centaines de millions de victimes à travers le monde, dont soixante millions de Russes. On comprendra que dans notre Nation encore aux mains de cette idéologie de la mort, la Russie soit l’objet de tant d’anathèmes, elle qui s’est sortie de cette puanteur extrémiste djihadiste par excellence, et on comprendra que tant de bons esprits soient la litière du djihadisme actuel, jusqu’à laisser en liberté les retours de Syrie, aux mains sanglantes, dans le déni de toute humanité, la référence en la matière étant leur dieu, Robespierre, cette horreur absolue qu’a engendré la jalousie, car là on peut parler de jalousie, des médiocres qui face à l’aristocratie ne sont et ne resteront que des roturiers, des larves, de pitoyables individus ayant besoin de la matière pour se mouvoir, tant leur respire est caduque de toute volonté d’élévation, par putréfaction atavique.

L’abjection est là dans son égocentrisme le plus eugéniste qui soit, dans sa manifestation la plus magistrale incarnée par ses égos impuissants qui se voudraient raffinement alors qu’ils en sont la morve et le prurit. Que sera demain face à cette fange qui associe la dictature pour se conserver ? À tout le moins le déclin dans son exacte formalisation, voyant la barbarie officier, sauf à penser qu’un réveil se manifeste démocratiquement pour bouleverser cette configuration de l’abjection. Demain nous le dira, peut-être, mais toutefois sûrement, car aucune dictature ne peut se maintenir, quelle qu’elle soit, où qu’elle ait pris naissance, en quelque siècle que cela soit. Le mensonge comme la propagande ne peut perdurer longtemps face à cette réalité terrible voyant le Peuple de France paupérisé comme jamais, son Peuple en voie de remplacement par des esclaves, son Peuple spolié, violenté et en voie de génocide financier comme sanitaire, toutes propriétés qui devront faire l’objet d’une plainte devant le tribunal Pénal International pour tentative d’épuration ethnique. »

Ce conditionnement est la phase critique de bien des univers livrés à la parodie de la Vie, qui ne peut que s’exténuer sur le long terme, comme on le constate régulièrement par les sphères.

© Vincent Thierry