De la démocratie
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De la démocratie
Petites nouvelles de cette petite Terre où l’on voit en son Occident l’instauration d’une dictature de la médiocrité la plus totalitaire qui soit, mais lisons :
« On ne saura rappeler à tout un chacun que la démocratie promeut la Liberté, l’Égalité, la Fraternité, qui semblent les règles tacites de la conduite des Peuples dans ce petit monde, hors quelques Nations prostrées dans l’infection socialiste, communiste, islamiste, où l’anachronisme est règne, où l’individu n’existe qu’à portion de son rendement à la collectivité, et où doivent disparaître pour le bon plaisir de l’avarice les faibles, celles et ceux qui ne se plient pas à la dictature et ses reîtres.
On comprendra que ce jour 16 novembre, date anniversaire du mouvement spontané du Peuple de France se battant contre la montée excessive des impôts et pour la reconnaissance d’une vie décente, que la Démocratie dans cette Nation n’est qu’un mot, un haillon ne cachant certainement pas les vices les plus totalitaires émanant du pouvoir en place, utilisant ses nervis pour casser et décrédibiliser ce mouvement, faisant gazer, à peine la manifestation commencée les participants, sans distinction, homme, femme, enfant, dont on rappellera que la même gouvernance a laisser défiler sans le moindre heurt celles et ceux qui vomissent la Nation, et ne sont là, comme des parasites, que pour escroquer les cotisations versées par les Françaises et les Français tant au niveau des caisses d’allocations familiales, que de la sécurité sociale et tutti quanti.
Le deux poids deux mesures de cette infamie en gouvernance, conchiant la France et son Peuple, est ici sans variable, tenue qu’elle est par ses serments aux banquiers stériles qui les agitent comme des marionnettes pour implanter une dictature sanglante permettant d’anéantir le Peuple de France et complémentairement d’implanter par la force des esclaves à bas coûts, faisant fi de leurs crimes journaliser, provenant de toute la misère du monde, qui loin de s’intégrer, profite sur le dos des Françaises et des Français des avantages sociaux initiés par les Français de souche.
La mâchoire de l’usure est ici parfaitement reconnaissable, des esclaves en col blanc tenus par leurs vices, leurs meurtres, leur pédophilie criminelle, leurs affaires, invariantes, leurs appartenances sectaires et maçonnes déviantes, une clique ignoble de parasites passibles de la justice, choisie en fonction de son incapacité notoire, aux fins de détruire jusqu’aux racines de la Nation, par l’accélération de sa paupérisation, via l’autre branche de la mâchoire, l’immigration massive, cinquième colonne de ce pouvoir de nain instrumentalisé par le vrai vecteur du pouvoir, l’usure anachronique vivant comme une sangsue sur le dos des êtres Humains.
Des êtres Humains qu’il ne cherche à élever, bien au contraire, à rabaisser jusqu’à la poussière pour qu’il soit son esclave économique ou sexuelle bon à jeter comme un kleenex lorsqu’il ne sera pas productif, des êtres Humains bons à pressurer jusqu’à la lie dans le mensonge et par la propagande afin qu’ils acceptent leur condition de chose, bonne à payer la dîme pour vivre, la dîme sur ce qui n’existe pas, ce qui est inventé de toutes pièces, les intérêts de la dette, la dette elle-même, et cerise sur le gâteau un pseudo-réchauffement planétaire ridicule s’inventant des icônes relevant de la débilité mentale la plus prononcée, eut égard à leurs actes comme leurs discours, lorsqu’on regarde les enfants travaillant dans ce monde dans les conditions atroces que l’on sait, pour faire reluire cette sous bestialité qui se veut « morale ».
Des êtres Humains dont le manche de cette mâchoire se sert comme torche-cul de ses vices les plus profonds, sa pédocriminalité la plus notoire découverte de jour en jour, utilisant l’enfance dont elle doit détruire l’avenir pour assouvir sa bestialité usuraire, voyant 118 millions d’enfants disparaître chaque année dans ce monde, sacrifiés par cet anachronisme trouvant ses ramifications jusqu’en les Institutions les plus renommées, sacralisées par des juges libérant l’abjection pédophile, voyant jusqu’à un migrant conservé sur notre territoire après qu’il ait violé un enfant de cinq ans, toute une dérive instituant la théorie du genre, de ce pauvre type s’étant châtré car incapable d’assumer la Vie et lui préférant l’illusion, toute une dérive contée par ce que l’on ose appeler l’organisation des Nations Unies qui n’est plus que le réceptacle de la perversité et de la criminalité la plus répugnante qui soit, toute une dérive diffusée par les pédophiles dans l’éducation dite Nationale, cette monstruosité qui pavane et pavane encore avec ses minorités agglutinées et prostrées sur leur fondement, des glaires assoiffées conditionnées par le venin de leur propre folie.
Voici les émules du nouvel ordre mondial, belle chose en vérité représentant tout à fait l’inversion des valeurs, encensant le criminel, destituant les victimes, comme on l’a vu dans ce que l’on ose appeler un Parlement européen où la vermine génocidaire a refusé une minute de silence pour les martyrs de l’attentat du Bataclan, assassinés grâce au laxisme d’un État aux ordres de l’usure, petit valet sordide de ce nouvel ordre qui est la devise des dégénérés en tout genre, cultivant sur la sueur et sur le sang des Peuples leur petit pécule, dans une arrogance confinant à la non-humanité la plus totale comme la plus totalitaire, représentée par quoi ? Cent soixante-dix mille multimilliardaires dans ce petit monde, qui se protègent via la face hideuse de gouvernances aux ordres et un cordon de police choisi.
Cette déréliction a choisi les vêtures de sa prouesse, la guerre, la guerre à outrance pour faire marcher le commerce des armes et voler impunément les ressources de chaque Nation, la mise en esclavage de Peuples entiers, comme on le voit en Afrique où comble de l’ironie, on voit prêter une partie des intérêts reçus en récompense du vol de ses ressources, à des Peuples qui doivent encore payer des intérêts sur ce prêt ! Mais cela n’est pas tout, pour se complaire et se faire belle, par le biais de la pestilence sous intellectuelle, elle a mis en œuvre une offensive lui permettant de tuer dans l’œuf les générations à venir par vaccination massive, au mercure bien entendu, par déversement de produits hautement nocifs dans l’atmosphère afin de faire perdre à l’existant sa capacité de cognition, et pire que tout cela invente journellement des médicaments qui ne sont pas là pour traiter des maladies mais bien pour les faire perdurer.
Et s’il n’y avait que cela, mais ces erreurs de la nature doivent conjuguer leur essor, et surtout ne pas subir les plaies qu’elle afflige aux êtres Humains, il lui faut des organes pour se régénérer, et bien entendu organise le trafic de ses dits organes quand il n’est pas légalisé par de pseudos démocraties aux ordres, et pour finaliser organise le trafic de la drogue pour servir ses opérations noires les plus courantes, et surtout pour que soient en addiction toute la jeunesse de ce monde, qui si elle ne peut être détruite par la pédo criminalité, par les vaccinations massives, par les laboratoires pharmaceutiques, doit disparaître dans l’illusion que procure la drogue.
Enfin le fin du fin relève de la folie prégnante qui l’anime, la régénération via les cellules-souches, la régénération rendue possible par l’avortement de masse, voyant découpés en tranche les embryons pour nourrir les peaux fanées de ces erreurs de l’humanité, dans une voracité sans nom et sans nombre qui s‘affiche devant le public avec des sourires hypocrites, déviants, innervant une fin de race cosmopolite et visqueuse, consanguine et grégaire qui n’a pas compris encore, malgré son cannibalisme, malgré ses théories fumeuses de mise en servage de l’humanité, malgré sa répression systématique via le meurtre légalisé de la conscience des Nations, les personnes âgées, par sédation et euthanasie, les êtres humains à naître , par l’avortement, les nouveau-nés, par vaccination mortifère, les vivants par déversement de produits chimiques, une nourriture avariée, les produits de laboratoires pharmaceutiques sans raison, la mise en œuvre du néant, par la pédo criminalité, la perversité, la zoophilie, la déviance totale, l’inversion de toutes valeurs humaines, que chacun de ses actes, que chacun de ses faits, est désormais sur la place publique, à la vue de toutes et de tous.
Toutes et tous qui commencent à se réveiller de cette torpeur gluante de vermine qui les souille, les humilie, voudrait les rendre infiniment petit, alors qu’ils sont infiniment grand, étincelles de lumière dans ce tout de la Lumière qu’assombrit cette pestilence qui se voudrait maîtresse de ce petit monde, une pestilence désormais connue et reconnue qui sera jugée, n’en doutons un seul instant, la rémanence formelle issue des Peuples qui se sont construits étant indestructible car partie intégrée de leur gène, ce que ne peut comprendre la fiction en pouvoir, cette fiction qui va se retrouver confronter au réel dans les décennies qui vont venir, et qui ne pourra faire face compte tenu de son nombre ridicule au tsunami qui s’active et jamais ne pourra être régulé par les chiens de guerre de sa perversion pandémique que connaît la Terre.
Voici donc la Démocratie dans ce pays de France, soumise à ce qui précède et où on parle d’égalité, de liberté, de fraternité, symboles qui désormais sont le cœur du Peuple de cette France que voudraient voir disparaître les gitons de l’usure, ces choses peureuses et avariées qui vident les villes qu’elles visitent de tout habitant, qui s’inventent de pseudos attentats quand elles ne les commanditent pas pour faire pleurer dans les chaumières et voir une partie ignorante du Peuple se précipiter dans leur giron, une Démocratie inexistante, où le Peuple est saigné charnellement, mutilé via l’infection qui garde la veulerie, où le Peuple est gazé via des grenades au cyanure, où le Peuple, malgré toute la répression, toujours se dresse fièrement, car le Peuple lui est honneur et non labour de fondements usuraires, il n’est pas le lèche-cul des fosses d’aisances de cette braderie de l’inconscience qui se vautre dans la fange, dans le sang, dans l’ordure, dans la défécation tribale de la pourriture simiesque qui tient ses assises dans les conseils d’administration d’entreprises de racket.
Il n’y a pas besoin d’être grand clerc pour comprendre que l’illusion n’a qu’un temps, lorsque la créativité, symbole d’évolution, a fait place à la nécrose, dont l’art ce jour montre le marais fétide, via un « art » dit moderne qui n’est que chiure de l’intelligence, via un théâtre ou bien un opéra où s’engraisse la pestilence en dénigrant les textes historiques, via un cinéma qui ce jour déploie ses artifices pour faire accroire à son invention en plagiant les auteurs classiques et en faisant croire que leurs personnages relèvent d’une multi culturalité stupide et bêtifiante. L’Art est toujours l’indicateur de la santé d’une civilisation, et lorsqu’il se roule dans le fumier, on comprendra à quel degré en est rendue cette civilisation. Et quoi de plus normal lorsqu’il est instrumentalisé par ce qui ne crée rien, sinon le néant, car soyons simples, quelle création existe dans la fabrication de la monnaie, fabriquée sur le vide, et source d’un intérêt indu qui nourrit le parasitisme le plus violent que la terre ait connu.
Cette illusion trouve aujourd’hui son aboutissement, dans cette conscience qui se lève et que rien ni personne ne pourra faire tarir, la conscience née de la rémanence formelle des Peuples, qui aspire à la réalité et non au formatage, fut-il Trans humaniste – qui sera totalement détruit lorsqu’il menace l’être-humain -, fut-il électronique via la surveillance de masse – qui peut être totalement détruite via l’infiltration de ses programmes et la liquidation de ses octets – fut-il né de la répression qui toujours trouvera en face d’elle une réponse appropriée, l’être humain n’oubliant pas son devoir sacré qui est celui de la liberté, inscrit génétiquement dans son capital humain, la liberté, seul critère permettant l’évolution et non l’involution, la liberté qui toujours a mené à la moisson des connaissances, à l’ardeur de la conquête, à la révélation de l’honneur et de la grandeur humaine, au-delà des scories qui veulent l’anéantir et la diminuer, sinon la faire disparaître.
La liberté qui permettra de faire renaître la Démocratie, souillée par la puanteur cadavérique des sectes maçonniques et autres les plus déviantes qui soient, tenant dans un squelette courbé devant l’usure les rennes de la Nation, pour son seul et simple plaisir qui est celui de l’orgiaque bestialité et ses adventices caractéristiques entreprenant la gloire de la désintégration, le prestige du génocide, dans une sous bestialité hurlant ses apostrophes à des Peuples qui en réflexion les voient comme elles sont, des borborygmes de gisants dans leur défécation tribale et malsaine, dont il convient d’éradiquer totalement les effluves comme les empreintes par toutes surfaces de cette terre, afin que les êtres Humains enfin respirent, enfin se détachent des carcans et des chaînes qui sont nées du désordre le plus purulent — qui se veut « ordre »- que l’humanité ait pu connaître depuis sa génération.
On le comprendra la Démocratie ne pourra renaître de ses cendres que lorsque les sectes n’auront plus aucun pouvoir dans le cadre des états, des sectes qu’il faut anéantir afin que les Peuples puissent enfin retrouver leur liberté de parole, leur liberté individuelle comme collective leur permettant de mettre à bas la dictature de l’usure et de ses féaux, la dictature du néant, cette atrophie malsaine réduisant l’humanité à sa plus simple expression, via ses crimes, ses génocides, ses guerres, ses pseudos révolutions, toute une aberration monstrueuse qui se réjouit de la liquéfaction du vivant, dont un Nuremberg mettra à bas la criminalité la plus torve, la plus répugnante qui soit, une criminalité d’atrophiés de la Vie, ne pouvant marcher que dans l’horreur, sa condition, qui n’est que celle de la destruction, au regard de son incapacité créative.
La Démocratie doit être lavée à grande eau des idéologies nées de cette usure et de ses féaux, le socialisme, le national socialisme, le communisme, le capitalisme sauvage, pour enfin renaître. N’oublions pas que ces idéologies sont la cause de deux cents millions de victimes à travers le monde, et on comprendra que ces idéologies s’allient avec l’islamisme qui est l’auteur de six cents millions de victimes à travers le monde, qui est l’idéologie de la soumission, cette soumission que voudrait bien voir naître toute cette hérésie qui porte ces idéologies afin que l’être humain soit un parfait esclave à ses ordres, un zombi par excellence qui sera désintégré lorsqu’il ne sera plus productif, qu’il ne s’endettera pas pour nourrir le parasitisme, qu’il ne conviendra pas à la pensée unique germée par la bestialité, le marxisme, le freudisme, le darwinisme, le friedmanisme, le einsteinisme, toutes tares que l’humanité porte comme un fardeau qui doivent être évacués globalement, sinon que pour servir à la recherche des causes profondes du dérèglement de l’intelligence humaine fondant l’esclavagisme par excellence.
Que l’on ne s’inquiète, cela se fera, l’Humanité dans sa diversité étant la formalisation de la Vie sur cette petite planète et en capacité de lutter contre la dizaine de millions d’atrophiés et leurs chiens de guerre qui veulent sa mise en esclavage, la conscience avance, les voiles de l’illusion se consument, et la vérité apparaît dans tout ce qu’elle a de terrible et de terrifiant pour celles et ceux qui marchaient aveugles, découvrant qu’ils ne sont que les jouets de l’abstraction, une abstraction voulue afin qu’ils ne se coordonnent pour évoluer, et se libèrent des chaînes de l’inutilité usuraire, mais bien régressent dans les fondements de la matière la plus brute et la plus totalitaire où ne règnent que des kapos, qui se veulent maîtres de toute réalité en l’obviant dans leur digression tutélaire, née du néant et voulant retourner au néant.
Pour mémoire, on remarquera que pour l’instant la dictature en profite en se servant de tous les instruments répressifs possibles et imaginables, relevant des crimes contre l’humanité, mais cette dictature parmi les autres, instrumentalisée par l’usure croit-elle un seul instant que lorsque le Peuple se redressera décisivement en répondant point par point à cette répression, qu’elle perdurera ? Soyons sérieux, que peuvent en France quelques centaines de milliers de féaux de la barbarie contre soixante millions de personnes décidées, unies et armées d’une seule volonté ? Rien.»
Le seuil de conscience évolue considérablement sur cette planète, les Peuples voient la fourberie de la barbarie en marche sur les quelques arpents qui lui restent, tandis que l’autre face de ce monde s’en libère. L’histoire est en marche et comme sur de multiples planètes, elle écrasera la dissonance pestilentielle née de l’atrophie la plus nauséeuse née du néant et cherchant à contraindre le vivant à se dissoudre dans ce néant.
© Vincent Thierry