Éléments sur le virus

Éléments sur le virus

Une simple vérité, sur l'organisation, l'instrumentalisation du coronavirus par le mondialisme esclavagiste. La boucle est bouclée un laboratoire Chinois financé par la subversion, un laboratoire Chinois intronisé en grande pompe par la gouvernance Française dont l'un des parrains est le mari d'une ex-ministre, appartenant au gouvernement actuel dont la campagne a été, entre autres, financée par la subversion. Les journalistes d'enquête, les vrais, ont du pain sur la planche. 

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Le virus est atificiel, a fait l’objet de brevets déposés par un Institut Français, il comporte entre autre, une séquence de la malaria. On comprendra dès lors que le protocole du Professeur Raoult fonctionne, puisqu’il lutte via la chloroquine contre ce séquençage de la malaria incluse dans le virus, et l’on comprendra pourquoi la gouvernance interdit l’usage de la Chrloroquin 

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La fraude au chiffre est intentionnelle pour faire peur. La France est l'exemple concret où personne n'est dépisté, les personnes décédées, quelle que soit la cause, sans dépistage rentrent dans les statistiques du coronavirus ? Les journalistes devraient enquêter sur ce sujet et cesser de prendre pour argent comptant les dires des valets des laboratoires pharmaceutiques, et d'une gouvernance profitant de cette crise sanitaire pour tuer nos aînés, par décret, pire que les nazis, en faisant croire qu'ils décèdent du coronavirus, qui est très bien soigné à Marseille et par des médecins qui respectent leur serment, des aînés qui pourraient donc être soignés et non assassinés.

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On devine par ailleurs ce qui instrumentalise cette crise, ce virus parfaitement crée pour rendre esclave les populations, c'est la vérole pédo criminelle qui pourrit les Nations, la sous-humanité par excellence qui est l'ennemie acharnée de l'Humanité.

https://www.contrepoints.org/2020/04/16/369206-face-au-coronavirus-letat-nest-pas-notre-ami?utm_source=Newsletter+Contrepoints&utm_campaign=7477ce3d6b-Newsletter_auto_Mailchimp&utm_medium=email&utm_term=0_865f2d37b0-7477ce3d6b-114123425&mc_cid=7477ce3d6b&mc_eid=98922f9729

Alain Fabre

hier à 9:45

Face au Coronavirus, l’État n’est pas notre ami

CORONAVIRUS By: Nik Anderson - CC BY 2.0

« Le coronavirus ravit tous les ennemis de la liberté » nous alerte l’écrivain Mario Vargas Llosa. Avec le confinement généralisé, le virage autoritaire de la gestion de cette crise est au moins aussi inquiétant que le coronavirus lui-même.

Depuis quelques jours, plusieurs enquêtes journalistiques font état de graves défaillances dans la machine d’État.
Médiapart décrivait le 2 avril dernier comment la réquisition des masques avait totalement désorganisé les circuits nationaux et internationaux de distribution. Des administrations incompétentes ont laissé filer des opportunités commerciales de se faire livrer des millions de masques, exposant les soignants et les malades dénués de protection à des risques d’infection très élevés pendant de longues semaines. D’autres exemples édifiants illustrent l’incurie des normes protectionnistes, qui limitent les importations de matériel pourtant parfaitement adapté.
Une autre enquête, celle de Géraldine Woessner de l’hebdomadaire Le Point, publiée le 3 avril, révèle comment la bureaucratie s’assoit sur un potentiel de plusieurs centaines de milliers de tests hebdomadaires depuis le 15 mars. Les laboratoires départementaux vétérinaires qui disposent des compétences et du matériel nécessaires n’ont toujours pas reçu l’autorisation de les réaliser.
Sur ce même sujet, un autre article de L’Opinion explique que les laboratoires de ville n’ont pas eu l’autorisation de pratiquer les tests avant le 6 mars, l’État imposant le monopole aux hôpitaux. Les tests sont pourtant essentiels pour réagir au plus vite en début de pandémie.
Cette défiance vis-à-vis du secteur privé s’illustre aussi par les lits vides que les cliniques privées ont pris soin de libérer pour accueillir des patients. Certains directeurs de ces hôpitaux à but non lucratif témoignaient aux Échos du fait que les agences régionales de santé (ARS) ne leur donnent pas la priorité pour leur envoyer les patients alors que ceux-ci sont parfois transférés par train ou par avion à l’autre bout du pays.


L’ÉTAT, UN FACTEUR AGGRAVANT L’INSÉCURITÉ SANITAIRE

Si médecins et infirmières font ce qu’ils peuvent avec les moyens qu’ils ont, les révélations de ces derniers jours démontrent que l’État n’assure pas notre sécurité sanitaire et se révèle même être un facteur aggravant la crise.
Manque d’anticipation, désorganisation des circuits existants, normes protectionnistes, bureaucratie inadaptée, mensonges : ces défaillances sont malheureusement inhérentes à la centralisation jacobine. Deux cents ans d’histoire et de théorie économique devraient pourtant nous rappeler que la planification ne fonctionne jamais. Les conséquences sont dramatiques et nous ne sommes pas à l’abri de la découverte de blocages administratifs supplémentaires faisant perdre eux aussi des capacités de soins considérables, voire peut-être des vies.
Le secteur privé assure le service après-vente des défaillances systémiques de l’État. Des ateliers artisanaux de confection de masques aux fleurons industriels qui transforment en urgence leurs chaînes de production, la solidarité spontanée et volontaire fait des miracles. Les initiatives privées, associatives, individuelles, petites ou géantes, réalisent des prouesses d’inventivité et de logistique.
SYNDROME DE STOCKHOLM : ET POURTANT L’ÉTAT APPARAÎT TOUJOURS COMME LE SEUL SAUVEUR
Beaucoup affirment à longueur de journée que le manque de moyens, d’anticipation et de souveraineté explique notre incapacité à faire face aux pandémies. Le procès de la mondialisation et l’apologie du « service public » sont sur toutes les lèvres.
Lors de son discours télévisé du 12 mars dernier, le chef de l’État n’a pas hésité à cultiver la récupération étatiste en déclarant : « Ce que révèle cette pandémie, c’est qu’il est des biens et des services qui doivent être placés en dehors des lois du marché. Déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner notre cadre de vie au fond à d’autres est une folie. »
C’est pourtant l’État qui a participé à la pénurie après avoir mis en dehors des lois du marché les tests, les masques et les gels hydroalcooliques en contrôlant les prix, rationnant leur distribution ou réquisitionnant les importations et les producteurs intérieurs.
Accuser le (néo/ultra) libéralisme pour l’impréparation, les rationnements, le manque de place en réanimation dans un des pays où l’industrie de la santé est la plus socialisée et étatisée du monde relève de la dissonance cognitive.
L’IREF avait publié une analyse prémonitoire sur le fonctionnement de l’APHP en 2017. Nous y dénoncions la bureaucratie kafkaïenne, des problèmes de gouvernance avec l’ARS, le manque d’efficience, l’incapacité d’adaptation et les rigidités associées au statut de la fonction publique hospitalière. Nous appelions à une libération des prix ainsi qu’à une privatisation des hôpitaux sur la base de modèles étrangers pour augmenter le rapport qualité des soins/prix.
Le libéralisme, ce n’est pas rendre exsangue l’hôpital pour « faire des économies ». C’est libérer l’hôpital de la gestion bureaucratique et inefficace de l’État et de ses agences régionales de santé pour laisser faire les professionnels compétents, avec le financement des assurances santé et des mutuelles solidaires.


L’AGONIE DES LIBERTÉS FONDAMENTALES, UN EFFET SECONDAIRE DU CORONAVIRUS ?

Mais il faut prendre garde à un danger encore plus grand. « Le coronavirus ravit tous les ennemis de la liberté » nous alerte l’écrivain Mario Vargas Llosa. Avec le confinement généralisé, le virage autoritaire de la gestion de cette crise est au moins aussi inquiétant que le coronavirus lui-même.
Les témoignages de l’arbitraire des policiers se multiplient autant que les discours martiaux du préfet de Police de Paris. À Sanary-sur-Mer dans le Var, le maire interdit les achats de pain à l’unité et a tenté, avant d’y renoncer, d’imposer à ses administrés de ne pas sortir à plus de 10 mètres de chez eux. La prolongation des délais maximum de détention provisoire inquiète les défenseurs des libertés publiques. La loi d’urgence suspend les délais de transmission et d’examen des questions prioritaires de constitutionnalité. Le Conseil constitutionnel est donc aux abonnés absents au moment où l’on a le plus besoin de protéger les droits humains face aux risques de l’arbitraire et des dérives autoritaires.
L’avocat François Sureau, auteur de Sans la liberté, nous met en garde : « Les Français ne sont pas un troupeau de moutons ou une garderie d’enfants. Ils n’ont pas nécessairement besoin d’être d’abord protégés ou rassurés, ils ont besoin d’une autorité politique qui leur dise la vérité, et qui les traite comme des citoyens adultes. »
Le formulaire de déplacement dérogatoire est la marque de l’infantilisation d’État, comme si le comportement insouciant d’une minorité impliquait de traiter tous les Français comme des irresponsables. Nombre de nos voisins européens n’ont pas besoin de ce genre d’attestation humiliant notre responsabilité pour appeler la population à observer un comportement conforme aux consignes de distanciation sociale des médecins.
Ces précédents historiques ne seront pas sans conséquence. Nous risquons de nous relever de cette crise avec l’idée que le gouvernement a toute légitimité pour contrôler notre liberté d’aller et venir. Le passeport, outil de contrôle liberticide des déplacements internationaux des individus, n’existait pas avant la Première Guerre mondiale et son instauration se voulait strictement provisoire le temps du conflit. Nous ne sommes pourtant jamais revenus dessus.
Aujourd’hui, si personne n’envisage sérieusement que ce formulaire soit conservé après la fin du confinement, le discours antimondialisation qui devient la norme ne nous garantit pas de retrouver l’ensemble des libertés de circulation aux frontières (Schengen survivra-t-il ?) et de commercer à l’international, d’avant le virus.
Les humains qui sont au pouvoir ne sont que des humains. Demain, plutôt que d’attendre toutes nos réponses d’un État surpuissant, notre impératif sera d’inventer des institutions qui ne nous mettent plus jamais à la merci d’une classe politique qui n’hésitera pas à s’asseoir sur nos libertés au moindre prétexte.
Si nous devons bien entendu suivre les consignes des professionnels de santé de manière responsable, notre devoir est de nous méfier tout autant de l’État que du coronavirus. Les libéraux de tous bords doivent être plus vigilants que jamais et exiger, dès que cela sera possible, le rétablissement sans délai de toutes les libertés disparues pendant la crise.

En attendant, il est urgent que le gouvernement n’agisse plus sur les marchés des tests, masques et appareils de ventilation. L’omnipotence des administrations d’État retarde de plusieurs semaines les réponses face au virus et limite l’émergence de solutions privées et décentralisées.

https://www.letemps.ch/monde/loms-vacille-apres-gel-contributions-americaines?fbclid=IwAR37gaDUQYiSVcyFMc79ePeuVyYMQdsvxvElp8ZWOrAUMfIUXznjry_zQyg

https://vk.com/video426512158_456239165?list=77ead3e4a6208f9b73

Que vaut un organisme payé par Gates ???? et les suces queues des laboratoires ?

https://www.lalibre.be/international/europe/didier-raoult-annonce-la-fin-de-l-epidemie-a-marseille-le-medecin-se-fait-recarder-5e96ec109978e27ca7fd211f

Sébastien Hairon

hier à 8:45

ça tapine sec chez les journaputes du pseudo journal, "la libre" !

Libre d'écrire des titres dégueulasses, c'est sûr ! Car, si vous vous contentez du titre, vous pourriez penser que le professeur Raoult est content qu'il y ait une épidémie. Or, ce n'est, bien entendu pas le cas ! Il est content parce qu'à Marseille, l'épidémie recule ! La presse-titué en Europe de l'ouest sur le cas du professeur Raoult a eu et a encore, un comportement absolument honteux. Tout ceci cache beaucoup de choses, même si nous nous doutons bien pourquoi ces gamelards invitent des tocards sur les plateaux tv ou dans leurs journaux pour cracher à la gueule de ce Gaulois irréductible !

J'aime bien reprendre cette expression d'Alain Soral: un journaliste c'est soit une pute, soit un chômeur ! Les salles de rédaction ressemblent de plus en plus à des maisons closes, la classe en moins !

 

https://www.collective-evolution.com/2020/04/12/new-york-state-senator-introduces-bill-to-study-the-health-environmental-impact-of-5g-technology/

Impact de la 5G

https://vk.com/video531275407_456239607?list=dcf1b9e28fc8f55492

Le bout du tunnel

http://www.thomasjoly.fr/2020/04/coronavirus-de-l-euthanasie-deguisee-avec-l-utilisation-du-rivotril.html

L’assassinat par décret de nos aînés par la gouvernance nazi communiste.

https://vk.com/video531275407_456239612?list=826e99c9f200b7b40a

https://drive.google.com/file/d/1vIrJSKeOxBwigwBULaaq1fGLBCql9KvJ/view

Une simple vérité, sur l'organisation, l'instrumentalisation du coronavirus par le mondialisme esclavagiste. La boucle est bouclée un laboratoire Chinois financé par Soros, un laboratoire Chinois intronisé en grande pompe par la gouvernance Française dont l'un des parrains est le mari d'une ex ministre, appartenant au gouvernement Macron dont la campagne a été, entre autre, financée par Soros... Les journalistes d'enquête, les vrais, ont du pain sur la planche. On comprend très bien pourquoi le protocole du Professeur Raoult fonctionne, puisqu'il lutte via la chloroquine contre le séquençage de la malaria inclue dans le virus.

https://www.youtube.com/watch?v=bAaJZOK93Sg&fbclid=IwAR2ahwZzCfqpzxpQj7y6l6xRTCgL5dFjvYNwBNW3IQM1lR8n4bR4hDj0aUo

La fraude au chiffre est intentionnelle pour faire peur. La France est l'exemple concret ou personne n'est dépisté, les personnes décédées, quelle que soit la cause, sans dépistage rentrent dans les statistiques du coronavirus ? Les journalistes devraient enquêter sur ce sujet et cesser de prendre pour argent comptant les dires des valets des laboratoires pharmaceutiques, et d'une gouvernance profitant de cette crise sanitaire pour tuer nos aînés, par décret, pire que les nazis, en faisant croire qu'ils décèdent du coronavirus, qui est très bien soigné à Marseille et par des médecins qui respectent leur serment, des aînés qui pourraient donc être soignés et non assassinés. On verra par ailleurs ce qui instrumentalise cette crise, ce virus parfaitement crée pour rendre esclave les populations, c'est la vérole pédo criminelle qui pourrit les Nations, la sous humanité par excellence qui est l'ennemie acharnée de l'Humanité.

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1435281/sherman-meurtre-honey-barry-declaration-proches-enquete-police

Remontons dans le temps : les propriétaires du principal laboratoire au Canada APOTEX, produisant de la chloroquine et de l'azytromicine, (L'azithromycine n'est pas la chloroquine mais le 2e médicament le macrolide, en fait le plus important car des médecins l'utilisant sans chloroquine ont aussi d'excellents résultats) du protocole du Pr. Raoult. - avec quelques temps plus tard l'interdiction pour ce laboratoire de fabriquer ce dernier médicament - sont assassinés en 2017. A chacun d'y voir ce qu'il veut y voir. Mais on s'interrogera tout de même sur cet assassinat, en regard du protocole du Professeur Raoult, qui est dénoncé par les mondialistes esclavagistes... Aux journalistes d'enquête de fouiller...

https://fr.sputniknews.com/international/202004171043581875-le-patron-de-loms-remercie-macron-pour-son-leadership-mondial-face-a-la-crise-sanitaire/

Tout est dit. Les tueurs en marche.

https://russiepolitics.blogspot.com/2020/04/geopolitique-du-coronavirus-le-combat.html?fbclid=IwAR10eaLOTB8GzDOXKWw_Xm_qE3Er7F5mUqJFh6iwmzw7Jtf3Q7opcDIz41c

Et bien sûr, la Russie, encore la Russie. L’OMS charge la Russie qui ne compte pas dans ses statistiques, les rhumes, les bronchites et les infections pulmonaires …

https://www.youtube.com/watch?v=q7HXR6dy-_w&feature=share&fbclid=IwAR3WhC-W6ZeA6HxWUm7HhWDX6KikmjolOr99r5x5ngM82F6Lj8b7iUEBEfE

L’OMS corrompue totalement, sous la coupe des criminels eugénistes en col blanc, toute la lie de l’humanité qu’il convient d’éradiquer.

https://lilianeheldkhawam.com/transhumanisme-2/

Les ennemis de l'Humanité ayant besoin de l'intelligence artificielle pour marcher, ces dégénérés doivent se régaler avec le coronavirus dont on peut se demander s'ils n'ont pas participé à sa création comme à son expansion.

© Vincent Thierry