Crimes contre l’Humanité

Crimes contre l’Humanité

https://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-autorites-politiques-ont-elles-organise-la-penurie-de-places-de-reanimation-dans-les-hopitaux-59250.html

"À l'image de leurs pairs, les bouchers bolcheviques et nazis, les assassins, et comment pourrait-on les appeler autrement lorsqu'ils permettent de tuer impunément nos aînés dans les Ehpad et les handicapés dans les hôpitaux psychiatriques, et autres, n'ont pas de limite.

La préméditation ne fait aucun doute quand à leurs actes, interdiction de la chloroquine, interdiction de toute plante permettant de traiter le coronavirus, frontières largement ouvertes, dissémination globale du virus par inaction, absence de masques et de tests, y compris pour le personnel soignant, refus de réquisitionner l'industrie pour fabriquer des respirateurs, inutilisation des cliniques privées prêtes à travailler, ce n'est plus de la mise en danger d'autrui, mais bien un crime réel, un crime contre l'Humanité parfaitement organisé et ciblé, en provenance de sectes répugnantes mondialistes esclavagistes, qui tentent maintenant de faire valoir une vaccination inutile, compte tenu de la mutation continue du coronavirus, afin de marquer comme des animaux les Êtres Humains et en disposer à leur guise, et surtout les faire disparaître, un vaccin à refuser systématiquement.

Plus personne aujourd'hui de conscient ne voit pas ce qu'ils sont, d'où ils viennent, ce qu'ils représentent, et ce qu'ils veulent mettre en place : la dictature de la secte qui pourrit l'humanité par excellence, que les Peuples Européens, qui n'ont strictement rien à voir avec cette secte, qui ce jour en sont les victimes, doivent évacuer de tous les pouvoirs, dans la légalité, qu'ignore cette secte, afin de survivre à leur invasion hystérique et innommable d'eugéniste et de pédo criminel associés, qui aujourd'hui veut tuer les enfants de France en les obligeant à aller à l'école, pour attraper le virus et le disséminer. Une secte ignoble qui ose passer des lois pour tenter d'amnistier ses crimes ! Une secte qui pourrit le monde depuis 1776, et via ses sociétés dites de pensées, recrute ses esclaves pour arriver à ses fins de barbare anachronique.

Il est temps que tout un chacun se réveille, et dépose plainte régulière au Pénal pour juger ses barbares anachroniques en lice! "

La secte qui pourrit le monde depuis 1776, et ses dernières sociétés dites de pensées, recrutant ses esclaves par atavisme pour arriver à ses fins de barbare anachronique.

Yulya Svetlova

hier à 4:02

La voilà la PANDEMIE à éradiquer..... le CORONA n'y est pour rien !

C’est là qu’Attali a présenté son jeune protégé à ceux qui comptent.

Et c’est probablement là qu’a été concoctée la stratégie pour faire du petit jeune homme le candidat synthétique au silicone, puisque leur Hollande était ruiné dans les sondages et le parti dit «socialiste» devenait imprésentable aux élections.
Il devra devenir le champion du pop-futurisme, transformer les Français en nomades idéaux à la Attali: une classe de précaires qui ont acquis une certaine compétence et un anglais passable, mais manquent d’un emploi stable, d’une profession fiable, d’un vrai salaire et d’un avenir: bref, exactement ce qu’avait prédit la Boldrini [Laura Boldrini, star de la politique italienne, ndt] la même année: «Les migrants sont l’avant-garde de la mondialisation, ils nous présentent un mode de vie qui sera bientôt très répandu pour beaucoup d’entre nous, parce qu’à l’ère de la mondialisation tout bouge. Les capitaux bougent. Les marchandises bougent. Les nouvelles bougent. Les humains bougent». Ou comme le souhaite le philosophe post-hégélien matérialiste Alain Badiou, les migrants doivent nous enseigner à devenir nous-mêmes des migrants, des étrangers dans notre propre maison, pour ne pas «rester prisonniers de cette longue histoire occidentale et blanche qui tire à sa fin».
Aujourd’hui, nous voyons que la très grande majorité des Français a dit oui à ce projet. Autour Macron s’est formé, et il est très grand, «le parti unique de la mondialisation heureuse, de l’Europe post-nationale et de l’ idéologie de la diversité» (Mathieu Bock-Côté), celle pour laquelle le mariage gay, l’invasion des immigrés, l’euthanasie , l’enseignement du genre dans les écoles maternelles, les mères porteuses et le changement de sexe sont Le Progrès. Un parti unique qui croit qu’une seule politique est possible (« plus d’Europe, plus de mondialisation, plus d’OTAN, plus de finance, plus d’inégalités»), et ses objectifs incontestables; qui unit les élites favorisées et le lumpen prolétariat des banlieues, non pas tant sans emploi qu’inemployables.

Francis Le-Lorrain

aujourd'hui à 12:15

Une excellente synthèse d' Alain Soral.

Bravo pour cette compilation de sa réflexion, avec l' omniprésente

liste de Schindler en leitmotiv.

Ma synthèse :

Vous le savez comme moi, l' épicentre du problème se situe aux états unis.

Ils ont essayé de détruire l' Amérique par la voie juridique avec la procédure d'empeachment de Trump.
Ca n'a pas marché.

Ils ont essayé ensuite la composante médicale avec le virus déployé partout dans le monde,
ça n' a pas marché.

Ils ont essayé l'effondrement économique mondial,
ça n' a pas marché.

Ils vont à présent déclencher les guerres civiles avec les immigrés dans tous les pays du monde (Europe, Allemagne, France, Angleterre ...).

Aux états unis, ils vont monter les noirs contre les blancs.

C'est la seule cartouche qui leur reste.

A vos armes.

La responsabilité pénale est totale, et que ne s'imaginent pas sortis d'affaires les barbares, il n'y a pas de prescription en matière de crime contre l'Humanité.

Alain Fabre

aujourd'hui à 17:01

Gestion catastrophique de la crise : «loi d’amnistie préventive»
Suite à la gestion douteuse de la crise sanitaire qui anime la société depuis plusieurs mois, l'avocat Régis de Castelnau dénonce la responsabilité pénale des décideurs publics de l'Etat français.
Toute la presse a répercuté les inquiétudes qui se sont fait jour au plus haut sommet de l’Etat concernant la mise en cause de la responsabilité pénale des décideurs publics – ministres et hauts fonctionnaires – dans le traitement de la crise du Covid 19. Jusqu’au président de la République qui a été jusqu’à fustiger, en les traitant d’irresponsables, les victimes qui osaient d’ores et déjà saisir les tribunaux pour faire valoir leur droit fondamental de s’adresser à la justice.
C’est chose normale, légitime et la marque d’un Etat de droit. Le Parlement contrôle l’activité politique du gouvernement, le juge pénal est saisi des fautes pénales commises par les personnes.
L’Etat de droit, pour quoi faire ?
Mais le respect de l’Etat de droit, c’est encore beaucoup trop pour Emmanuel Macron et sa bande.
Il est clair, compte tenu de l’incurie et de la gabegie qui ont caractérisé la gestion de la crise, et ce au plus haut niveau, que nous sommes confrontés à un florilège d’infractions pénales. Dont seront saisies par les victimes les juridictions compétentes, Cour de justice de la République pour les ministres et tribunal correctionnel pour les hauts fonctionnaires. Et cette perspective d’avoir à rendre des comptes est insupportable à l’équipe qui entoure le chef de l’État.
Ils ont imaginé une procédure afin de faire voter par le Parlement une loi que l’on ne peut qualifier autrement que de «loi d’amnistie préventive»
Comme chacun sait, face à l’impréparation et au manque de maîtrise de l’Etat dans le déconfinement, le gouvernement a décidé de faire appel aux maires. En particulier pour une rentrée scolaire ingérable à laquelle les communes seront nécessairement associées puisqu’elles ont la mission de fournir les moyens matériels au service public de l’Education nationale pour les écoles primaires. Beaucoup d’élus ont simplement refusé, et d’autres ont manifesté la crainte que leur responsabilité pénale soit mise en cause.
Alors, certains ont imaginé une entourloupe afin de mettre à l’abri les amis exposés. En s’emparant de la légitime et réelle inquiétude d’un certain nombre de maires et d’élus locaux face à la décision passablement irresponsable de la rentrée scolaire le 11 mai, ils ont imaginé une procédure afin de faire voter par le Parlement une loi que l’on ne peut qualifier autrement que de «loi d’amnistie préventive». L’ineffable Aurore Bergé a ingénument mangé le morceau dans un tweet publié dimanche à une heure du matin et dont il faut s’infliger la lecture pour mesurer la duplicité : «Nous proposerons une adaptation de la législation pour effectivement protéger les maires pénalement mais aussi toutes les personnes dépositaires d’une mission de service public dans le cadre des opérations de déconfinement. Des propositions que je porterai avec LAREM».
Avant de décrire le mécanisme du coup d’éponge envisagé, revenons sur la façon dont se pose le problème en l’état actuel du droit. Ce qui permettra de démontrer que si l’inquiétude des maires est compréhensible, elle est juridiquement infondée. Et la prétention des parlementaires LREM de vouloir les protéger simplement une imposture. Destinée à permettre un coup d’éponge salvateur pour les incapables, les désinvoltes, les menteurs, les cyniques et les amateurs à qui Emmanuel Macron a confié la gestion de la pandémie.


Protection des maires : que dit le droit ?
La principale infraction qui sera reprochée à ces décideurs publics défaillants sera celle d’homicides et blessures involontaires prévue et réprimée par tout d’abord l’article 221–6 du code pénal :
«Le fait de causer, dans les conditions et selon les distinctions prévues à l’article 121-3, par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement, la mort d’autrui constitue un homicide involontaire puni de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende.
En cas de violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement, les peines encourues sont portées à cinq ans d’emprisonnement et à 75 000 euros d’amende.»
C’est une infraction à caractère général, c’est-à-dire qu’elle concerne tous les citoyens quel que soit leur statut juridique. Il faut savoir que pour définir qui sont les personnes qui peuvent être incriminées, la France applique depuis toujours ce que l’on appelle la «théorie de l’équivalence des conditions» qui veut que tous ceux qui ont commis le dommage ou ont CONTRIBUÉ à sa réalisation sont pénalement responsables. C’est ce que l’on appelle les «auteurs directs» et les «auteurs indirects».
Dans les années 90, après la mise en œuvre des lois de décentralisation et en raison de mises en cause massives des maires dans l’exercice de leurs fonctions, le législateur a précisé les contours de cette responsabilité qui sont aujourd’hui définis dans l’article 121-3 du code pénal :
«Il y a également délit, lorsque la loi le prévoit, en cas de faute d’imprudence, de négligence ou de manquement à une obligation de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, s’il est établi que l’auteur des faits n’a pas accompli les DILIGENCES NORMALES compte tenu, le cas échéant, de la nature de ses missions ou de ses fonctions, de ses compétences ainsi que du pouvoir et des moyens dont il disposait.
Dans le cas prévu par l’alinéa qui précède, les personnes physiques qui n’ont pas causé directement le dommage, mais qui ont créé ou contribué à créer la situation qui a permis la réalisation du dommage ou qui n’ont pas pris les mesures permettant de l’éviter, sont responsables pénalement s’il est établi qu’elles ont, soit violé de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, soit commis une FAUTE CARACTÉRISÉE et qui exposait autrui à un risque d’une particulière gravité qu’elles ne pouvaient ignorer.»
Ce texte, fruit d’une élaboration particulière dans les années 90 à laquelle l’auteur de ces lignes a participé, avait évidemment un caractère général applicable à tous les citoyens, mais c’est bien la nécessité de préciser le périmètre de la responsabilité personnelle des maires en matière d’homicide et de coups et blessures involontaires, qui en était l’objectif premier. Retenons bien les deux nouvelles conditions exigées pour que l’auteur indirect du dommage puisse être condamné : d’abord n’avoir pas accompli les diligences normales en fonction des moyens dont on disposait, et ensuite commis une faute caractérisée exposant autrui à un risque grave qu’on ne pouvait ignorer.
Etat d’urgence sanitaire ou pas, si l’Etat envoie les maires au casse-pipe sans leur donner les moyens d’appliquer la politique qu’il a décidée, ceux-ci ne pourront pas être poursuivis. Ils sont d’ores et déjà protégés.
Alors, il faut insister sur ce point, les maires chargés de mettre en œuvre les décisions irresponsables du gouvernement avec le manque criant de moyens qui caractérise la gestion macronienne de la crise seront protégés des mises en cause pénales par la notion de «diligences normales […] en fonction du pouvoir et des moyens dont ils disposaient» contenue dans le code pénal.
État d’urgence sanitaire ou pas, si l’État envoie les maires au casse-pipe sans leur donner les moyens d’appliquer la politique qu’il a décidée, ceux-ci ne pourront pas être poursuivis. Ils sont d’ores et déjà protégés. Et ce d’autant que le Conseil d’Etat vient de rappeler, dans son ordonnance d’annulation de la décision du maire de Sceaux imposant le port obligatoire du masque sur le territoire de sa commune, que les pouvoirs des maires en état d’urgence sanitaire étaient strictement limités, sans pouvoir d’initiative, à la mise en œuvre des décisions de l’Etat.
Les parlementaires LREM en mode blanchisseurs
Mais dans certains crânes a germé l’idée que l’expression de cette inquiétude infondée des maires et des élus locaux permettrait de réaliser l’opération d’auto-blanchiment dont ils rêvent. La démagogie électoraliste d’un certain nombre de sénateurs dans la perspective des prochaines élections sénatoriales affirmant la main sur le cœur leur volonté de protéger leurs futurs électeurs en a fourni l’occasion.
«Profitons de la discussion et du vote de la loi de prolongation de l’état d’urgence, pour faire passer un texte salvateur sous forme d’amendement» : dans la confusion actuelle, avec un Parlement godillot, une modification des textes en forme d’amnistie préventive pourrait être adoptée subrepticement et mettre à l’abri tous ceux qui craignent que leur impéritie, leur négligence, leur désinvolture, leur amateurisme et l’ampleur de la catastrophe qu’ils ont tant aggravée les emmènent dans le box des accusés.
Premier leurre envoyé par le sénateur Hervé Maurey annonçant à grand son de trompe le dépôt d’une proposition de loi destinée prétendait-il à protéger les maires. Ce texte est à la fois inconstitutionnel et juridiquement inepte :

«La responsabilité, civile ou pénale, d’un maire ou d’un élu municipal le suppléant ou ayant reçu une délégation, appelé à mettre en œuvre une décision prise, durant l’état d’urgence sanitaire, et en lien avec celui-ci, par l’Etat ou d’autres collectivités territoriales que la commune, ne peut être engagée que s’il est établi qu’il disposait des moyens de la mettre en œuvre entièrement et qu’il a commis de façon manifestement délibérée une faute caractérisée.»
Tout d’abord, faire un régime spécial pour un élu afin de l’exonérer de l’application d’une infraction à caractère général concernant tous les citoyens, n’est pas possible. Ensuite la simple lecture de cette proposition démontre qu’elle n’est qu’une paraphrase du texte déjà existant. Pour un acte en lien avec l’état d’urgence sanitaire, l’élu ne pourra pour être condamné que «s’il disposait des moyens de la mettre en œuvre entièrement». Formidable innovation ! C’est précisément la définition des diligences normales déjà prévues à l’article 121-3 du code pénal (voir plus haut). Et la proposition de poursuivre : «l’élu ne pourra être condamné que s’il a commis une faute caractérisée» !
Alors pourquoi cette énormité juridique inutile ? La suite nous l’apprend lorsque la presse publie une tribune de 138 députés de la majorité annonçant, la main sur le cœur leur soudaine sollicitude pour les élus locaux et leur volonté de déposer une proposition de loi destinée à les protéger.
La proposition concoctée et présentée à la dernière minute lors du débat à l’assemblée sera votée dans les bruits de l’orchestre comme un amendement à la loi de prolongation de l’état d’urgence. Et les amis d’Emmanuel Macron blanchis seront ainsi tranquilles.
Mais là patatras, Aurore Bergé mange le morceau. Et confirme dans son intervention calamiteuse que bien sûr il s’agit de protéger les maires (dont on sait qu’ils sont déjà juridiquement couverts) mais c’est pour ajouter : «mais aussi toutes les personnes dépositaires d’une mission de service public». Mais quelle surprise ! Car qu’est-ce qu’une personne dépositaire d’une mission de service public ? On va en citer quelques-unes, comme ça au hasard : Edouard Philippe, Christophe Castaner, Laurent Nuñez, Sibeth Ndiaye, Olivier Véran, Agnès Buzyn, Jérôme Salomon, les directeurs des ARS, etc. etc.
Et voilà, passez muscade ! La proposition concoctée et présentée à la dernière minute lors du débat à l’assemblée sera votée dans les bruits de l’orchestre comme un amendement à la loi de prolongation de l’état d’urgence. Et les amis d’Emmanuel Macron blanchis seront ainsi tranquilles. Et la fête sera complète car tranquilles, ils le seront pour l’avenir mais également pour le passé. Car s’il existe un principe de non rétroactivité de la loi pénale, affirmé dans l’article 112–1 du code, on trouve dans son alinéa 3 la seule exception, celle de la loi pénale plus douce : «Toutefois, les dispositions nouvelles s’appliquent aux infractions commises avant leur entrée en vigueur et n’ayant pas donné lieu à une condamnation passée en force de chose jugée lorsqu’elles sont moins sévères que les dispositions anciennes.» Ce qui serait bien le cas si ce texte était voté. Le tour étant joué, ministres et fonctionnaires défaillants pourraient alors respirer...
Ainsi, sous la fausse raison de vouloir protéger les maires, on veut voter une amnistie préventive pour mettre à l’abri le petit monde des défaillants, des incapables des cyniques et des inconséquents. Ils n’ont déjà aucun compte à rendre à un Parlement caporalisé, ils veulent en plus une immunité et un privilège pénal.
Il est un devoir de s’opposer à cette scandaleuse manipulation. Qui est aussi un aveu : celui que les plaintes des victimes qui viennent et qui viendront sont fondées.
Ces gens-là nous auront tout fait.
Régis de Castelnau

Les crimes contre l’humanité ne sont jamais prescrits, donc les avocats vont avoir du pain sur la planche. Ils peuvent toujours essayer de s'amnistier, lorsqu'on voit que pratiquement personne ne s'est élevé contre le génocide des aînés, des handicapés, ils sont tous coupables et devront répondre de leur crime.

Franck Irribarria-Fernandez

aujourd'hui à 17:48

Le Sénat vient de voter l’amnistie des élus, des employeurs et des fonctionnaires !


LREM propose une amnistie « pour les maires »… < cela inclut-il les ministres ? >


https://www.les-crises.fr/le-senat-vient-de-voter-l-a..

https://www.mondialisation.ca/la-pandemie-de-coronavirus-covid-19-le-vrai-danger-est-lagenda-id2020/5642924

« Il semble que plus on écrit sur les causes du Coronavirus, plus les analyses écrites sont éclipsées par une propagande et un battage publicitaire alarmistes. Les questions pour la vérité et les arguments pour savoir où chercher les origines et comment le virus peut s’être propagé et comment le combattre, se perdent dans le bruit du chaos gratuit. Mais n’est-ce pas ce que veulent les « Black Men » [hommes noirs] qui sont à l’origine de cette pandémie prévue – le chaos, la panique, le désespoir, entraînant une vulnérabilité humaine – un peuple qui devient une proie facile pour la manipulation ?

Aujourd’hui, l’OMS a déclaré le coronavirus COVID-19 « pandémie » – alors qu’il n’y a pas la moindre trace de pandémie. Une pandémie peut être la condition, lorsque le taux de mortalité par infection atteint plus de 12%. En Europe, le taux de mortalité est d’environ 0,4 %, voire moins. Sauf en Italie, qui est un cas particulier, où le pic du taux de mortalité a été de 6 % (voir ci-dessous pour une analyse plus approfondie). »

https://infodujour.fr/societe/justice/33958-le-rapport-qui-accable-lordre-des-medecins?fbclid=IwAR12Jb31QFyGUXfH-ybHYwSw3JP3-Y9gK9nm7lJbnaXOcDeeSwyJwDRwe8g

« Les griefs sont légion. Dans leur rapport définitif publié en décembre 2019 – passé inaperçu pour cause de grève lié au débat sur les retraites – les magistrats de la Cour des comptes font un état des lieux peu reluisant de l’Ordre des médecins. Le diagnostic est si préoccupant qu’un traitement de choc est prescrit aux toubibs.

L’organisme a été contrôlé par l’IGAS il y a dix ans et en 2011 par la Cour des comptes. Mais, depuis, la situation n’a guère évolué semble-t-il . L’Ordre des médecins apparait encore comme un mauvais élève ou plutôt comme un mauvais étudiant en « gestion » de la médecine.
Nous avons épluché ce rapport définitif. Il n’est pas tendre avec la gouvernance de l’Ordre tant au niveau de son Conseil National qu’au niveau des 46 Conseils départementaux (sur 101) et les 24 conseils régionaux. Organisme dont le rôle « est de veiller au respect des principes de moralité, probité, compétence et dévouement indispensables à l’exercice de la médecine » »

https://vk.com/video531275407_456239754?list=4082f5aa48e8463929

« LE COVID ARRIVE EN FIN DE CYCLE !!!

Pr. J-F Toussaint, Directeur de l'Institut de recherche Biomédicale cite les données officielles de Santé Publique France : Le virus covid arrive en fin de cycle (95%), il n'y a aucune 2ème vague dans aucun pays du monde et le taux de mortalité entre pays confinés et non confinés est identique !! Bref exactement ce que disait RAOULT il y a une semaine...

Lien vidéo : https://youtu.be/G_KozKxoY7A

https://akratnode.wordpress.com/2020/05/02/tri-euthanasique-article-de-florence-aubenas-le-monde-26-avril/?fbclid=IwAR1KdbkBv-KKrztZpHCeAVl9MGoIwN6FbzGR8JP1JWhA4icfB0wWEeAe3i4

« Quand le ministre de la santé affirme qu’il n’y a pas de tri entre malades dans les hôpitaux, je réponds : « c’est faux ! » dit Pierrick Buchon, directeur général de l’association Marie-Pire, 330 personnes handicapées dans différentes structures. Au centre de Riespach, des résidents ont commencé à tousser début mars. […] Un vendredi soir Alain 58 ans se met à suffoquer. L’aide soignante se souvient d’avoir appelé le SAMU : « venez vite, il va me mourir dans les bras ! » L’opérateur évoque la surcharge. Deux JOURS plus tard, Alain expire dans sa chambre » […] Le cahier des transmissions internes raconte la nuit du 25 mars. A 20h30, le SAMU est alerté pour Marie-France, à 21h15 pour Bruno, à 1h30 pour Gilbert, à 2h45 pour Françoise. A 3 heures, c’est le SAMU qui rappelle lui-même : « Arrêtez de téléphoner, on est saturés. »

https://fl24.net/2020/05/05/exclusif-epidemie-en-france-voici-la-liste-complete-des-coupables/?fbclid=IwAR3Em_V95o8DhdO86B_6weUp5AyVTrooE03uVfwpZlvZw56sV-Y-Le-hYoM

Le Nuremberg Français, qui se tiendra, (il n'y a pas de prescription pour les crimes contre l'humanité), verra défiler du monde, aucun n'y manquera dut-il être recherché au bout du monde, le crime est trop insane !

« Résultat: le chaos, la paralysie, la défaite. FL24 démêle pour vous cette machine infernale. Aux postes de commande de la “guerre” contre Covid-19, on dénombre donc…

La Présidence de la République.

Le Ministère de la Santé.

La Direction Générale de la Santé.

La Direction de la Santé Publique.

La Direction de la Haute Autorité de Santé.

Les Directions des Agences Régionales de Santé.

La Direction de l’Agence Nationale Sanitaire.

La Direction de l’Alliance Nationale pour les Sciences de la Vie et de la Santé / Epidémiologie-France.

Le Centre National de Recherche Scientifique en Virologie Moléculaire

L’Agence Nationale de sécurité du médicament et de la Santé.

Et, comme si cette folie ne suffisait pas, ont été créés récemment:

Le Conseil Scientifique de la Présidence de la République, auquel a été adjoint un deuxième Conseil dont personne ne sait s’il a remplacé le premier ou s’il le concurrence.

Le Haut Commissariat de lutte contre les Epidémies.

Le Haut Conseil de Veille Sanitaire.

L’Agence Nationale de Sécurité de Logistique Médicale.

Oui, vous avez bien lu: la lutte contre le coronavirus a été gérée par quatorze organismes différents, chacun étant un mini-labyrinthe à lui seul, infesté de lutes de pouvoir, d’intérêts politiques n’ayant rien à voir avec la santé, d’idées directrices contradictoires, de méthodes incompatibles entre elles, de budgets pharamineux, de bureaucrates paresseux, etc. 

© Vincent Thierry