Sursaut ?
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Sursaut ?
Petites nouvelles de cette petite Terre où une partie du Continent Eurasien est prise en otage par l’abomination, mais lisons :
« La sagesse n’existe plus dans ce monde, obérée par le parasitisme d’une caste atavique et consanguine malsaine et perverse conduisant à l’abîme les Peuples Européens, en se réjouissant de leur infortune après leur avoir volé leur âme, leur esprit et désormais leur corps pour en faire des sous animaux qui serviront leur luxure et leur bestialité d’êtres atrophiés et innommables. Ces scories couchées sur leurs milliards volés aux Peuples se gargarisent, dans leur indigence mentale permanente, née de leur mutilation intellectuelle, aspirant dans une mégalomanie triviale à la domination de ce petit monde sous leurs auspices dégénérés et hystériques.
Rome a connu cela en son temps, via ses Néron, ses Caligula, les menstrues de la lie de l’humain gorgée par leur vénalité, leur cupidité, leur décor de pacotille où ne brillent plus que le paraître et sa hideur, se magnifiant dans leurs visages faisant ressortir leurs pustules abominables, les pustules d’âmes noyées dans l’absurde, dans la trépanation, dans le marais de la servitude à ce qui ne ressemble plus à rien, sinon au néant, enchanté ce jour par leurs sectes ovipares, une franc-maçonnerie délayée dans le vice et le meurtre ayant perdu toutes ses racines, des sectes de maniaques oppressifs s’imaginant avec leurs avoirs, avoir droit de cuissage sur l’humanité entière, un cénacle de choses avariées attendant avec orgie l’instant qui leur est sacral, l’holocauste de tout ce qui ne leur ressemble pas.
Ici on cherchera en vain l’intelligence qui ne s’invente pas, ne se falsifie pas, ne s’achète pas. Leurs derniers prix « nobel » reflètent avec permanence leur assiduité à la destruction de toutes les valeurs humaines, cautionnant le crime et la barbarie, le wokisme et ses strates lamentables d’où s’écoulent le fumier et l’ordure qui voudraient détruire toute culture au profit du vide, ce vide qui engloutit ces monstres dans leurs fumets et leurs gloses, leur transgenrisme, leur pitoyable condition de vivre ne se résumant qu’à leurs organes, des animaux, ce qui fait rire à l’envi la caste qui ne se mélange pas avec sa création, cette création insane et purulente qu’elle vomit continuellement via ses écoles qui veulent liquéfier l’être Humain, et ce d’autant plus qu’il est de souche européenne et bien entendu caucasien.
Car enfin, cette Race de génie gêne la médiocrité la plus déployée de leurs membrures atones et ficelées par l’inceste, la pédophilie, la criminalité, qui sont les refuges des incomplets, des incapables à vivre et procréer, l’image parfaite de ce qu’ils veulent pour autrui, à leur ressemblance dont la morve s’étale sur toutes images de cet Occident laminé par leurs degrés de déchéance, les voyant partout, par l’apport de l’argenture, souiller le vivant, et non seulement le vivant mais ses pures créations, par l’intermédiaire d’arts débiles initiés pour les débiles mentaux, un cinéma de carton-pâte où s’associent le triolisme et bien entendu le genre jusqu’à l’infini afin de faire perdre tout repère à l’être humain dans sa nécessité de transcendance, méconnue par ces avatars de la brume et de la tempête issue des fins fonds de l’hérésie, cannibales et promoteurs de la ruine de toute humanité.
Le mensonge est leur lien et, plus il est gros, plus il passe, voyant ce jour dans notre Nation des files de voitures quémandant le nécessaire pour travailler, après avoir sciemment coupé les routes de l’énergie de notre continent afin d’acheter à quatre fois son prix cette denrée dans l’îlot où végète son noir néant, ses circuits fermés où grouillent tous les suppôts de sa purulence et de ses ego, manifestant ici par-devers le droit l’application stricte d’une note de 2020 prévoyant la casse de l’énergie et la mise en coupe réglée des Français dans le cadre d’une diminution de l’émission de Co2, un Co2, rappelons-le, totalement nécessaire au fonctionnement de notre Planète, ne serait-ce que pour nourrir la flore, devisée suite à un pseudo-réchauffement climatique inexistant, qui n’est que le préambule au passe énergétique, le racket permanent de ce qu’il reste de l’humain, après le passage d’une thérapie génique génocidaire amplifiée par des mesures de coercitions sans égales.
Que venons-nous faire dans cette galère initiée par le WEF, l’ONU, ces organisations tenues par l’errance totalitaire, eugéniste, transhumaniste, relevant de la déshumanisation, portant atteinte à l’Humanité dans sa globalité, pour complaire à une strate de mendiants, de voleurs, de violeurs, de pédophiles, de pédocrates, de criminels, s’imaginant au-dessus des lois humaines, dans une mégalomanie de barbare et d’atrophié qui tente de ridiculiser et notre Histoire et notre avenir ? Voilà la vraie question qu’il convient désormais de se poser pour comprendre la dissociation existant aujourd’hui dans notre Nation entre ses différents éléments, comme parmi les autres Nations, les uns totalement aveugles et consentants, les autres encore inductifs et persévérants pour attraire l’avenir non dans l’immondice mais dans la réalité la plus pure.
Qu’avons-nous à faire avec ces choses sans lendemain, ces sectes demandant l’élimination de 90% de l’Humanité, nous qui sommes les descendants des Peuples ayant essaimé du grand Nord comme du grand Est jusqu’aux côtes de ce que l’on nomme ce jour la France, nous Indo Européens, avec ces valets de l’or et de la jouissance, ces imparfaits ruisselants les morts via leurs idéologies putrides et dénaturées, qui pourrissent depuis 1645 nos Nations, en France depuis 1789, qui ont généré la liquidation physique d’une majorité de nos Peuples Caucasiens en alimentant les guerres, afin de faire disparaître l’intelligence Européenne, et qui ce jour tentent de renouveler l’expérience.
Bonaparte en Égypte disait à ses soldats, « du haut de ces pyramides 40 siècles vous contemplent ! », eh bien n’en déplaise du haut de notre Continent des milliers de siècles contemplent nos Peuples, qui doivent s’en montrer digne, en plongeant dans leur culture réciproque pour reconnaître les fondements de leur réalité, ce jour voilée par ce qui ne vient que d’un épiphénomène sans le moindre intérêt pour l’avenir de l’Humanité, car coercitif, tyrannique, et sans le moindre degré permettant une quelconque évolution, l’Antiquité est notre berceau, de l’Asie, de l’Inde comme de la Chine, de la Perse comme de la Grèce, de Rome, nous sommes des Eurasiens et non des contempteurs de nombrils, des effacés de l’histoire, des larves au service de la bestialité et de son emprise, à qui nous ne devons strictement rien sinon l’émulation de pâles copistes, des plagiaires sans renommées, des décadents et de noirs mages.
Une géhenne tentant toujours de pervertir, aujourd’hui ayant trouvé ses assises dans toutes gouvernances par la corruption et ses mesures, impitoyables pour celles et ceux ne se pliant pas à leur parure, après d’en avoir goûté les frimas et l’inconscience, dessinant ainsi dans ces dites gouvernances non pas des êtres dignes et honorables, mais des golems obéissants, des tyrans assoiffés de biens et de sexes, des choses que l’on gouverne en les tenant par leurs attributs sexuels et leurs affaires, si bien mis en valeur dans la fameuse affaire epstein, maxwell et consorts, où l’on voit le bétail se ruer pour des honneurs factices, des strapontins, en léchant à ne savoir que faire les fondements d’une autorité déracinée, menant le bal du haut de ses milliards volés sur la sueur et le sang des Peuples aveuglés par le factice, la quincaillerie, à qui l’on jette quelques piécettes pour qu’ils se taisent et surtout se plient à la volonté de l’innommable.
Pauvres Peuples, ce jour sans âme, volée par les espaces tragiques du dépérissement, et de ses gargantuesques dénominations allant jusqu’à se marier avec Lucifer dans des meurtres rituels et sordides nés des cavernes, alors que déjà Harappa brillait de ses mille feux, dans une luminosité que personne n’a encore égalée, pas même l’Égypte avec la lie de sa consanguinité et de sa folie la menant vers les limbes, or le sursaut d’Akhenaton, découvreur du Monothéisme de cette région, renouant avec le sol Invictus de tous nos ancêtres, debout face au soleil et à son énergie vitale, y reconnaissant la Création de Dieu Souverain, sans égal, dont le fils bien plus tard sera immolé dans des souffrances atroces, les mêmes que nous reconnaissons sur le corps social de nos Nations ce jour, sous un joug semblable.
Pauvres petits Peuples, à qui l’on masque leurs racines pour les faire naître dans ce qui n’existait pas, l’Afrique, sinon que comme infime partie du Gondwana né de Pangée au même titre que la Laurasie, le cœur immortel de nos Peuples, qui doivent ce jour taire leur aventure pour l’usurpation, oublier jusqu’au nom des Cimmériens, des Aryas, des Scythes, des Sarmates, des Hephtalites, des Kouchans, des Parthes, des Mittaniens, des Hittites, des Kassites, des Louvites, des Iraniens, des Thraces, des Daces, des empires remarquables bâtis par les Achéménides, les Arsacides, les Han, les Celtes, la Grèce d’Alexandre, et tant d’autres etc, au nom du vide et de ses expérimentations barbaresques qui ce jour destituent le sens de la recherche comme de la Vie via des intelligences artificielles décomposées, des substituts pour les incapables à marcher debout, pauvres êtres handicapés qui se veulent prêtres de l’aventure humaine de ce jour.
Pauvres petits Peuples à qui l’on cache la beauté immémoriale de leur philosophie d’être, dans l’honneur et la grandeur, dans ce salut du don et de la fertilité, dans cette vocation, ne cherchant ni triomphe ni gloire, du sacrifice à autrui, en défense de l’enfant, de la femme et des pauvres êtres malmenés par la Vie, éludant l’esprit de sacerdoce pour celui de la goinfrerie, de la cupidité, de l’avarice ces métastases du corps social de l’humanité où grouillent la duplicité et la félonie, et déjà dans leurs décors la tyrannie la plus infâme qui soit, car sans respire de la création, inapte à toute création sinon celle se vautrant dans l’abstraction et ses délires aux permanences de viaducs vers la matière brute et ses décompositions les plus brutales.
Pauvres petits Peuples que l’on défait de leur culture multimillénaire, portée d’est en ouest et d’ouest en est, inlassablement, via les routes des échanges et des conquêtes où se confrontent puis s’anoblissent les Empires, issus d’une même voie, celle olympienne ne devant rien à la reptation ni à la servilité, mais tout à la raison comme à l’imagination, dont on verra pendant ces derniers millénaires l’expression fastueuse tant en Orient qu’en Occident de ce Continent Eurasien, portant à la splendeur de la réalité non dans ses basses-fosses mais dans ses électives promesses de dépassement, dans tous les domaines et de la philosophie et des sciences et de la marque religieuse, non celle de la soumission, mais bien de l’autorité sacerdotale naturelle.
Pauvres petits Peuples dont on défigure l’esprit, par de pauvres lumières qui ne sont que les caprices de la jalousie et de ses miasmes dont se sont faits fêtes les massacreurs en 1645 et les guillotineurs en 1789, et les assassins en 1917, qui tels des vols de corbeaux se sont insinués dans tous les rouages des sociétés pour en faire dépérir le sens comme l’horizon, afin d’y aventurer leur faune de roturiers, de basse noblesse comme de basse extraction, se vautrant dans le fumier et le sang d’autrui afin de faire prospérer leur médiocrité que l’on voit ce jour dans toutes gouvernances entre leurs mains, corrompues, assoiffées d’avoir, et non seulement, mais de viols et de vols, toujours cherchant par tous les moyens à conserver l’usage de leur cuissage.
Pauvres petits Peuples, ce jour se voyant déconsidérés de leur magnificence via la résorption de la Femme comme de l’Homme dans l’étron vivifiant les bannières de l’usurpation veilleuse, coordonnant ses efforts afin, après avoir détruit les trônes, les églises, de détruire l’être Humain dans sa réalité éloquente, le voir se cantonner dans les besoins et la satisfaction d’une hybridation révulsant, associée désormais à une thérapie mettant à mal sa réalité existentielle naturelle par apport d’un Adn modelé par l’ignominie la plus totale que l’humanité ait eu a contempler, issue de la purulence comme de l’abîme, pour offrir à ses maîtres la jouissance de voir définitivement succomber le vivant dans ses floralies, dans ce bubon qui demandera, après avoir bien servi sa caste sodomite, économiquement et sexuellement, son euthanasie.
Pauvres petits Peuples, hier si droits, si forts, si conscients du réel, ce jour s’abîmant dans les nuées des images et des rescrits de la pourriture qui glose, tempête, agite, ment comme elle respire, ce gruau de l’infection putride voyant le corps social grouillant de ses vers infects, de ses lombrics aux pustules si visibles dans leur faciès suant l’inhumain, l’hypocrisie, la morgue, l’inutilité, substituable jusqu’à ses derniers vermisseaux qui hurlent pour ameuter les troupeaux devenus afin de défendre l’indéfendable, la cosmétique de la lie, le sang des humains, versés sans condition, ici en se servant des Peuples jusqu’au dernier, en tous lieux, là en les volant de leur matière première, toujours à l’affût afin de molester l’humain fut-il Caucasien ou autre désormais, car seul son règne de dégénéré doit s’accomplir sur les ruines fumantes des civilisations qu’elle aura pourries jusqu’au fumier le plus morbide qui soit.
C’est sur le fumier que naissent les plus belles roses, nous dit le dicton, nous Peuples Caucasiens et non seulement Européens, devons comme nos Ancêtres, relever le gant du parjure qui officie, en mémoire de notre histoire multimillénaire, qui n’a pas a être éradiquée par une volition qui nous est externe, parasitant la moindre circulation de notre vitalité sociale, avec pour but de nous voir disparaître dans la fange qu’elle inscrit désormais sans se voiler, s’imaginant en terrain conquis, alors qu’il suffit de gratter son vernis glauque et suant la corruption, pour voir ce qu’il en ressort, ni nos Peuples, ni nos Nations ne doivent se coucher devant ce mantra de l’inconscience qui se veut maître de notre destin, tout doit être mis en œuvre par les Peuples Européens afin de se sortir de ce marais cherchant à les engluer et les terrasser.
Et l’urgence commence en ce jour par un sursaut face à la guerre imposée par la nécrose qui ne se voile mais dans sa haine profonde surgit ses lames de fonds les plus hostiles qui soient afin de voir servir de chair à canon chacun des Peuples de l’Europe, un sursaut rassemblant les Peuples de l’Oural à la France pour mettre un véto définitif aux ambitions mégalomaniaques de ce qui ne les concernent pas et ne les concernera jamais, une instrumentalisation en trompe-l’œil n’ayant pour vision que celle de dépecer les restes de notre Continent, la Russie, en régions, comme elle souhaite le faire de notre Europe, via sa création, l’Union dite européenne, que l’on doit appeler occidentale, à ne pas confondre avec notre Europe, sous le joug de sa médiocrité et de son transhumanisme caractérisant l’incapacité d’une strate du vivant à être, car nous ne sommes et ne devons jamais être esclaves de ces erreurs de la nature humaine.
Un sursaut des Peuples contre la Guerre, un sursaut contre le bras armé du néant qu’il faut quitter sans autres formes de procès, comme il convient de quitter définitivement cette UO qui n’est qu’un jouet entre les mains du parasitisme et de ses féaux, par des voies légales et signifiantes, celles du statisme total devant les apparences qui veulent voir nos Peuples se dissoudre dans le transgenrisme, la pédocratie et ses outrances, celles générant les élites choisies au sein des Peuples, sans appartenances à un quelconque parti comme à une quelconque secte, au niveau communal, régional et national, évacuant à jamais des votes les larbins du parasitisme pourrissant les bancs des assemblées et des gouvernances, via une organisation ouverte, contre pouvoir naturel éliminant toutes les inféodations comme les soumissions.
Le pouvoir n’appartient à personne, il se prend, et il est nécessaire de ne pas le confondre avec la souillure de l’argenture qui l’immole, l’usurpe et se l’approprie lorsque les Peuples baissent la garde, croyant l’intelligence en ses ramures, alors qu’aujourd’hui elle est inexistante avec ce que portent au pouvoir ses errances, ce travail sera ardu, mais il doit être pour l’avenir de nos Enfants et nos petits Enfants qui n’ont pas à servir d’exutoire à la bestialité du parasitisme, ni d’esclaves économiques, et encore moins d’objet de transmutation initiée par la perversité et la pédocratie les plus immondes qui voudraient voir dicter leurs lendemains à la terre entière, qu’il convient d’exposer sans relâche afin que leurs tenants et aboutissants soient éjectés de tous les pouvoirs quels qu’ils soient, et qu’enfin se dressent les regards vers la lumière de la Vie et non les ténèbres et la mort. »
La seule autorité est celle de la Vie et elle sera, comme à son habitude, se sortir du cloaque qui s’instaure sur une partie de cette petite Terre, soyons optimistes.
© Vincent Thierry