La nécrose
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La nécrose
Quelques nouvelles de cette petite Terre où la folie domine quelques terres encore, alors que se dresse l’Humanité contre ses enfers. Mais lisons :
« Face à la barbarie et les immondices, la propagande et le mensonge, il n’y a que le silence qui puisse intercéder pour analyser l’état de dépravation mentale qui assiège une partie de notre humanité. De facto, on perçoit dans ce marasme une ligue abstraite furieuse, régalienne, coercitive, dantesque, mégalomaniaque dirigeant vers l’enfer des populations qui n’ont demandé qu’à se dresser vers le soleil, et non se voir anéanties pour quelques sorts lapidaires issus de ressources pillées et volées par des ladres et des déshumanisés. Une face qui n’en est pas à sa première offensive pour tenter d’abattre les Humains, les rendre lâches et serviles, s’en servir comme de vils animaux, inscrivant leur QR code et souillant leur vie pour les faire disparaître le plus rapidement possible via des injections mortifères, afin de faire d’une pierre deux coups, en retirer un bénéfice et voir mourir ce qui ne lui complaît et ne se prosterne pas devant sa dérive intellectuelle, née de ce qu’elle ne pourra jamais dépasser, son incapacité à vivre, totale et totalitaire.
L’Histoire nous en conte les détails, les exactions multiples, les génocides caractérisés, et il y en a pour s’étonner de ses accomplissements du jour, alors qu’elle n’est que pillage, usure, perversité et mendicité de cette perversité, organisée, instrumentalisée, pour retirer quelques larmes aux âmes ne sachant écouter le bruissement qui se cache derrière cette fortitude de la vie, acclamant sa présumée destinée qui n’est que celle de la fourberie, de la démence, et de l’hystérie convulsive que l’on reconnaît aux fous enchaînés, nuisibles pour eux-mêmes comme pour l’ensemble des sociétés dans lesquelles elle végète, suppure, telle la lèpre s’étend, ruisselle, atteignant tout ce qui ne lui semble pas en accord avec sa piété pour son « moi », son ego tutélaire, bâtisseur de règnes inutiles car toujours vecteurs de tous les plus grands crimes contre l’humanité, qu’elle honnit, en dehors d’elle bien entendu.
Cette prismatique mésaventure inféode les strates qu’elle paie avec l’argenture du vol, dans des vertiges qui ne se comptent, broyant des enfants dans des Nations qui en sont vassales, pour nourrir ses équipées et développer ses potentiels, tous axés sur la mort, son héritage et sa complice, celle qui est le fruit de ses drapeaux comme de ses oriflammes, gargantuesque dans ses extases, ses compromissions, ses reptations, ses divagations, dont l’art lui-même rejette les morves attitrées, ces étrons couchés sur des toiles visqueuses qui représentent si bien sa pauvreté d’esprit, son implacable désinence née de ses faiblesses comme de ses pulsions hâtives, voulant faire valoir sa laideur et l’ambition de sa laideur consommée, dans des atours dont les frigides émancipations se congratulent dans l’anéantissement, pour son plus grand plaisir.
Une destruction parfaitement organisée, des corps par l’expression de sa mutilation qui doit devenir universelle, bien pire par le châtrage d’individus pour complaire à sa nature tribale qui ne peut concevoir de voir se perpétuer des êtres humains qui ne sont de sa mesure comme de son déploiement, une destruction des esprits par l’annihilation de toute culture, turgescente d’une bêtise portée à ses sommets, et dont les sonnets bavent leurs diarrhées par toutes ondes afin de rendre à la tourbe les potentiels tant d’expressions et de créations, dont elle est totalement infirme, et voir enfin se noyer dans la fange ce qui la dépasse totalement, ce qu’elle n’atteindra jamais, tant sa consanguinité la mène vers la folie, l’abstraction si visible dans sa tentative de destruction de toute spiritualité, cherchant dans la pierre fauve et les rituels le cœur palpitant qui ne résonnera jamais dans la noirceur de ses états vertigineux.
La monstruosité est son élégance et dans son indécence ne se flagelle ni ne se console, mais explose avec toutes ses hordes jusqu’à assigner la faiblesse chez celles et ceux qui ne sont de son prurit, pauvres hères égarés pour quelques substances, quelques monnaies, quelques jouissances, quelques égarements, tenus par leurs vices, leur corruption phénoménale, acceptant ici leur déroute pour laisser place à son sommet qui est son alcôve, celui de la destruction systématique, planifiée, acceptée, dans une outrance faisant passer des barbares pour de simples anges déchus, au nom de quoi ? au nom de qui ? au nom de cette indigence prosternée sur le vide qui la lie aux profondeurs du néant et de ses invectives, l’embrasant dans une danse démoniaque où elle rugit dans des spasmes délirants dont chaque représentation ne s’assouvit que par la mise en œuvre du mal absolu.
Génocide, surtout des enfants, tortures physiques, sadisme inconditionnel, sont les fruits de son charnier, méthodique, signifiant et signifié par ses actes les plus putrides, voyant jusqu’à ses gourous demander la mise à mort de milliards d’êtres humains pour satisfaire leur incurie congénitale via le transhumanisme où, cloportes, ils s’imaginent vivre des milliers d’années sur la fosse d’aisances devenue de cette petite planète sous leur joug, dans une sous bestialité où ruisselle la destruction de tout ce qui existe, qui devrait devenir le phare d’une humanité qui ne s’en laisse toutefois pas conter par cette dérive de pustules associées ne recherchant que la flatterie de leur prostate au détriment de la Vie, de sa création, de la Femme et de l’Homme, qui ne se laissent circonscrire dans cette horreur insatiable voulant la berner, la tromper, la châtrer, et la vider de tout potentiel, et notamment celui de sa créativité.
Et quoi de plus naturel que de voir cette réaction humaine face au diktat de ce qui ne représente pas 1% de l’Humanité avec ses alliés tenus par leurs vices, leur corruption, leur dépendance, et leur mégalomanie ? Cette minorité se place d’elle-même en dehors de l’humanité et c’est là son plus grand drame, poussé à ses extrémités pour ne faire valoir que ses strates les plus virulentes, les plus décomposées comme les plus mortifiantes, atteintes de ce délire d’une grandeur inexistante, dans de grands brassages dénaturés qu’elle voudrait l’apogée pour ce qu’elle considère comme des esclaves, des animaux à traire par tous les moyens, instaurant à cet effet cette ferme des animaux, ces villes débiles quinze minutes, l’implantation d’une surveillance inique, et bien entendu voulant très rapidement, pour son confort, après ses injections mortifères, pucer les nombres afin de pouvoir les liquider comme elle l’entendra si jamais se rebellaient des souches qui ne pourraient que lui déplaire.
Ce monument de diktat est hué par pratiquement toute l’humanité, qui se réveille lentement de l’aporie intellectuelle dans laquelle elle était engluée par autant de vermisseaux au service, médias et compagnies, voulant instaurer sa pensée unique, délétère, formidable de médiocrité, sous jacente à toute la bestialité putride qui y parade, où l’on retrouve là tous les chancres, les déviants sexuels, et surtout les pédophiles qui se servent des Humains comme des kleenex afin d’humilier le vivant, qu’ils haïssent, afin de détourner de l’avenir le regard de l’enfant, prostré, incapable de réaction, sinon que primitive, ce qui fait jouir cette portée de l’enfer qui s’imagine la gloire du monde alors que ce n’en est que la poussière répugnante.
Cette minorité connaît sa faiblesse et en cela doit convaincre pour aliter son autorité dans les déserts intellectuels et spirituels qu’elle a commis, et d’ores et déjà, nous le vivons journellement, attise les uns contre les autres, instrumentalisant le crime en provenance de souches diverses pour que les Peuples de souche soient prêts à se confronter avec ce qui lui ne convient pas, des Peuples soudés par leur religion, contre lesquels elle martèle ses croisades, s’imaginant le centre, alors que ce n’est que l’anomie la plus complète, dans une inversion des valeurs qui est la gangrène des Nations et de ce monde particulier, où elle porte à l’exacerbation le conflit majeur duquel elle retirera la satisfaction de voir se détruire tout ce qu’elle souhaite soustraire à la Vie, tout ce qui, pour elle, l’usurpatrice foncière, la détourne de ses projets qui sont nés d’un délire ascensionnel, la domination totale de tout ce qui existe pour faire valoir son siècle de démence absolue.
Voyant les enfants mutilés, décérébrés, devenus objets de ses instincts de bête atrophiée, qu’elle pourra à loisir conduire vers la mort par euthanasie, et dont elle surveillera les quelques naissances après avoir fait avorter dans le fumier tout ce qui lui apparaît surnuméraire, pas pour elle, car elle en gravite déjà les organes les transformant en crème de beauté pour ses cerbères, et bien plus vend au marché noir les organes de ces morts nés, qui viennent en supplément de ceux des soldats immolés dans ses guerres infectes, qui lui sont régals monétaires, toute guerre déployant ses vices, qui par la vente des armes, qui par la vente des drogues, qui par le trafic d’organes en découlant, qui pour enfin la voir débarrassée de ce qu’elle nomme les inutiles et les substituables.
Face à cette dérive aux inversions absolues, l’Humanité, fort heureusement fait front, via de nouvelles organisations, défendant le droit de vivre, rejetant la déviance et le cannibalisme ordurier de la pédophilie et de ses chantres, insère par respect mutuel des Nations entières qui se dirigent vers un monde équilibré qui n’est pas entaché par la plaie suppurante qui parade dans quelques pays en déperdition, permettant ainsi de voir se ressaisir les Vivants face à l’atrophie voulant la décimer pour complaire à son culte dégénéré du « moi », sélectif, électif, basé sur ses règles immorales dont la bassesse n’est plus à conter, viciées jusqu’à l’os, venues d’un décille d’individus nécrosés dans les abîmes et par les abîmes qu’ils voudraient perpétuité pour chaque être humain sur cette petite planète, qui par la Vie et en la Vie, et pour la Vie, se réveille enfin de sa léthargie gargantuesque.
En tout il y a l’ivraie et le bon grain, ainsi n’est-il question de tomber dans le piège de cette minorité voulant exclusivement se prévaloir de l’injustice pour formaliser ses aberrations tumultueuses et sanguinaires, génocidaires et destructrices de tout ce qui existe, dès lors convient-il d’abstraire cette formalisation pour ne regarder que l’essentiel et son essence, les vivants et les morts cérébraux se débattant dans leurs délires vides de sens, au regard de l’immensité des multi-univers qui brillent de tous leurs feux, et voir ainsi le ridicule des admonestations, des singeries, de cet opium qui voudrait balayer la conscience pour parfaire à l’ignominie d’une dictature sur la pensée, sur la création, sur la spiritualité, sur l’ineffable composition dont nous sommes tous issus qui nous demande de nous élever et non de nous décliner en reptation devant ce qui n’est qu’imaginaire, complaisance à la rêverie douteuse aux pernicieuses allégories.
Il devient urgent pour tout un chacun qui respecte la Vie sous toutes ses formes, et toutes ses représentations, de ne pas se mêler à cette déshérence, de l’ignorer totalement lorsqu’elle devient écume et barbarie, de la laisser pour ce qu’elle est, le néant absolu, que l’Absolu lui-même regarde avec compassion, tant elle ne représente strictement rien dans l’avenir et le devenir des Vivants, qui doivent s’élever et non se liguer et encore moins se dissoudre dans cette infirmité de la raison et de la puissance, cette négligence fortuite ramenant tout à elle dans l’espoir d’émerger de la gangue dans laquelle elle s’enferre avec révérence, dévotion, et pitoyable incongruité, semant la discorde de son mental dans un fleuve charriant les ossements de celles et de ceux, qui par hypnotisme, se sont laissés prendre dans ses rets malsains et outrecuidants.
Face à cette triste condition, le monde se régénère, dessillant ses pupilles pour honorer la Vie, la multiplicité, l’ordre naturel du monde, basé sur le respect multilatéral de chaque être humain, de la Femme, de l’Homme, de l’Enfant, des Ethnies, des Peuples, des Races, de l’Humanité, et de leur œkoumène, dans une réciprocité facilitant l’émergence de la Paix, dans cette fragrance qui porte les valeurs de la Vie à leur sommet et non dans les abîmes tortueux et conditionnés par la mégalomanie et ses astreintes pernicieuses, débiles et surannées, dans lesquels, comme précité, le monde des vivants ne se reconnaît pas, et déjà œuvre pour surpasser leur exaction lépreuse ne répondant à aucun critère de la Vie, sinon qu’en la souillant et la sous bestialisant.
D’ores et déjà, nonobstant l’ignorance totale de cette virtualité, convient-il pour tous les Peuples de l’évacuer par des votes de salubrité publique, lesquels doivent être d’hygiène physique comme mentale et spirituelle, de tous les pouvoirs que sa minorité usurpe, l’Humanité n’ayant pour avenir de se voir tressée en troupeaux au service de cette aberration monumentale qui s’imagine hors de toutes lois, nageant historiquement comme ce jour dans le sang de centaines de millions de victimes, dans le déni de son monde composé, où des institutions barbotent dans la fange, qu’il faut entièrement revoir et recomposer, en éjectant de leurs pouvoirs toutes les varices infernales et séditieuses qui y bâtissent leur nid de larves, pour les remplacer par l’honnêteté et la probité, l’honneur et la grandeur qui, si elles y existaient auraient depuis l’origine mis un terme aux conflits et aux atteintes aux Vivants que subit l’Humanité depuis des décennies en provenance de cette inexistence manifestant ses orientations malsaines et putrides, à évacuer totalement de l’avenir de l’Humanité par écartement de tous les pouvoirs quels qu’ils soient.
Gageons que les égarés, délaissés, ignorés, reviennent à de plus harmonieuses conditions pour renaître au firmament et ne plus se songer dans le néant, cela sera, car la Vie, jusque parmi ces nécroses qui, perfides, hurlent leur dévotion à la mort, surgira bien un nombre pour enfin aspirer à autre chose qu’à la destruction, qui se rendra compte de l’imperfection misérable qui le conduisait vers un destin fatal, mais cela sera le fruit d’une autre histoire, qui sera celle de l’Éveil et non de l’endormissement, de cette nue où sombrent les plus belles nefs lorsque spoliées et polluées par la démence et ses surgeons. En attendant que tout un chacun aspire à l’élévation et cesse de couronner dans la contrition ce qui ne mérite aucun regard, sinon qu’une simple compassion devant tant de dévastation son emprise qui ne fait plus l’unanimité, voyant se dresser devant elle 95% d’une Humanité qui aspire à Vivre et non se figer dans les avens de la folie pure et de ses membres institués. »
Combien de planètes souillées par la mégalomanie, synonyme de l’impuissance à être, mais combien aussi libérées de cette démence cherchant à les enliser ! Espérons que se fortifie dans ce lieu l’Humanité pour se débarrasser des chaînes de cette nécrose. À suivre…
© Vincent Thierry