Regards.
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- Catégorie : Etre-Humanité
Regards.
Les événements se succèdent dans une temporalité totalement dépourvue de vie, car ici on tue, on tue les jeunes Syriens en les égorgeant parce qu’ils ne veulent pas suivre les djihadistes, on tue les jeunes palestiniens à grand renfort de bombes au phosphore parce qu’ils désirent tout simplement un territoire pour vivre libre, on tue les jeunes israéliens dans un esprit de vengeance acclimaté, on tue au Mali, on tue partout, quand ce ne sont pas les États-majors de gouvernements entiers comme on l’a vu pour la Pologne.
Victoire de la mort sur la Vie ? Non, il y a encore des milliards d’Êtres Humains qui aspirent à la Paix, et cette frange inamovible qui voue sa vie à la destruction, une frange contre sept milliards d’Êtres Humains, qu’est-ce que cela vaut ? Rien.
Les événements sont donc là, comme si on prenait les Êtres Humains pour des imbéciles, ou des idiots congénitaux, car que voyons-nous s’accélérer, le processus de la guerre militaire en Syrie tout simplement, Gaza n’étant rien par rapport à ce que voudraient bien mettre en œuvre certains bons samaritains qui lorgnent par-delà la Syrie, l’Iran.
Singulier monde que celui-ci où les agissements ténébreux sont aux commandes, où la destruction de la famille se veut Loi dans notre Nation, laissant la porte ouverte à toute la démesure et toutes les perversions de la nature lorsqu’on ose accorder en dehors du couple naturel l’adoption d’enfants dont on a vu aux États Unis un couple de Lesbiennes demander la castration de leur «enfant» mâle à onze ans pour remplacer ses organes génitaux masculins par des organes génitaux féminins.
Tout peut arriver dans ce monde et la cruauté comme la débilité sont les charniers de l’innocence, une innocence bafouée, broyée par la pourriture qui se veut genre, la dénature qui se veut intellectualité, la bassesse qui se veut spiritualité, et les monades de cette pourriture au pouvoir s’agitent en tous sens, pour détruire tout ce qui fut, la loyauté, l’honneur, la grandeur, l’aristocratie, la beauté de la famille, la splendeur de la Nation et la désinence de l’Identité.
Si nous faisons le tour des sujets touchant à l’Humain, on ne s’arrêterait pas, car les tueurs nés de l’Humanité sont partout pour ne pas faire varier une seconde leur symbolique d’apparat. Si nous parlons de soins, les États-Unis viennent de s’apercevoir avec stupeur (feinte bien entendu) que la chimiothérapie sur les patients atteints d’un cancer est désastreuse et ne résout en rien les problèmes. Dès 1905, les Médecins avec un M majuscule ont mis au point un traitement à base vitamine B17 et de vitamine C, les cellules cancéreuses n’étant en aucun cas externes à l’Humain mais bien en l’Humain, et nécessaire dans son âge primitif pour son évolution, puis mises en sommeil. Et tant de choses que la pseudoscience de la mort veut oublier au regard des maladies orphelines, des maladies de la peau, et j’en passe et des meilleurs. Il faut bien engraisser les laboratoires pharmaceutiques, il faut bien engraisser les fabricants de machines à rayon, et surtout il faut bien vite faire en sorte que les malades crèvent le plus rapidement possible pour nourrir toute cette hérésie.
On le voit la mort est partout, et le civil tue autant que le militaire, sinon plus, il n’y a qu’à se rappeler des scandales liés à l’amiante, des scandales liés aux transfusions sanguines, des scandales qui naissent liés à l’exploitation du gaz de schiste, etc, etc… La cour est pleine et les tribunaux relaxent à tout-va toute la pourriture qui les corrompt.
La civilisation de la mort doit dominer, et elle domine, accaparant tout, jusqu’aux modalités du travail où l’on voit des cadres se suicider devant l’assaut de la médiocrité, car on ne vous parle jamais de la médiocrité, elle existe et bien souvent dans ces relégués au deuxième ou troisième rang qui, petits chefs, en guise de divertissement font apparaître leur sadisme bestial sur autrui, un sadisme, couvert par une hiérarchie débile dont la bêtise ouvragée fait tant de ravages dans les industries quelles qu’elles soient.
Cette panoplie se retrouve régnante, que ce soit dans l’État, dans la fonction publique comme dans le privé, et toute cette boue dissout petit à petit toutes les vitalités comme toutes les alacrités. Car ne pensez émettre une Idée dans ce consortium qui s’autoprotège, se légifère, se masturbe le cerveau en commun, si vous n’en faites pas partie, vous resterez sur le chemin.
Cet État dans l’État au sein de toutes nos institutions, de toutes nos industries n’a que suffit, ces caciques ont fait leur temps, et il faut les dénoncer partout où ils sont, les dénoncer noir sur blanc sur le tableau de l’intelligence en fonction de leur duplicité, les écarter de tous les pouvoirs quels qu’ils soient, car ce sont des freins à l’imagination, des freins à toute réalisation.
Regardez actuellement tous ces «économistes» de pacotille qui dénoncent le coût du travail ! Des minables qui ne savent pas de quoi est constituée une entreprise, des morbides qui ne savent pas que simplement l’entreprise est égale au capital plus les investissements plus le travail, oubliant globalement les deux autres parties pour faire macérer leur disette intellectuelle. Et ces ignares de prospérer sur leur lubie de médisance sans mettre en équation les charges patronales, les charges salariales, l’investissement et surtout cette virtualité que l’on nomme la rémunération du capital.
Un capital sans travail c’est un jour sans lumière, et donc il convient de s’y intéresser de très près pour s’apercevoir sans stupéfaction que pour complaire au capital les salaires se sont réduits de plus en plus depuis les années 1980, nets d’inflation, tandis que la rémunération du capital a augmenté à une vitesse vertigineuse, et ne parlons pas des investissements délaissés au profit du parasitisme et de ses associés.
On a envie de dire, un ton plus bas Messieurs les non-être, esclavagistes payés pour dire des aberrations que tout un chacun appréciera. Quant aux charges n’en parlons pas, qui sont là pour nourrir toute la misère du monde, pour soigner toute la misère du monde, qui sont là comme une hémorragie sans fin qui vide la Nation pour le monde et non les travailleuses et les travailleurs, et non les petits patrons de France, et non les enfants de France, dont on voit certains coucher dans leur voiture à Vincennes pour travailler dans la journée et rejoindre leur voiture qui leur sert de garde lit faute de pouvoir se loger, tandis qu’un Ministre loge des sans-papiers dans des hôtels à 150 euros la chambre !
Ce scandale n’est rien au regard de la gabegie totale faites sur le dos des travailleuses et des travailleurs Français, il n’y a qu’à voir l’AME, le beau projet que l’on ne peut plus se permettre de payer, les retraites accordées à des étrangers sans papiers lorsqu’ils ont plus de soixante-cinq ans, les rentes données à l’ensemble des Peuples de la Terre lorsqu’ils sont sidaïque ou autre, et si on ne me croit pas que tout un chacun visite nos hôpitaux, où je dois me rendre régulièrement, voyant une infirmière interroger un petit garçon de sept à huit ans pour traduire ses demandes auprès de ses parents très bien habillés, avec montre cartier, n’est-ce pas, ou bien chez mon médecin qui me racontait qu’il avait été agressé de multiples fois par des sans-papiers qui ne présentaient aucune maladie afin d’obtenir des rentes de la sécurité sociale.
Ce monde est à l’envers, ce monde des ismes est le pourrissement total de la terre, et ce ne sont pas les ismes qui sortiront les Êtres Humains de la fange dans laquelle ils baignent, des écouteurs greffés dans les oreilles, pour écouter les chants de la bestialité, les yeux rivés sur un écran de télévision ne donnant pour seul programme que ceux de l’histoire réécrite, de la science falsifiée, de la philosophie de comptoirs, de la politique de l’ignorance accouplée au mensonge, des émissions débiles que les enfants ne regardent même pas tant elles sont ridicules.
Et pour cet écran qui sue la merde on augmente les taxes pour mieux nourrir la lèpre intellectuelle qui en vit grassement, en étalage d’une surdité dévote accouplée aux pouvoirs quels qu’ils soient, de la pensée unique, cette pensée de l’étron avarié, qui glousse du matin au soir en accentuant ses résonances avec une martyrophobie qui n’intéresse plus personne devant la réalité brute de l’assassinat de Peuples entiers.
Ce monde est ainsi fait et les jeunes générations qui ne s’en laissent pas conter par son ignominie sauront remettre de l’ordre dans cette masure infectée par la lèpre. Je n’en doute pas un seul instant, le plus légitimement du monde, par la voie des urnes tant qu’ils ne seront pas condamnés à mourir de faim comme en Grèce ou bien au suicide comme en Italie. Il est bien évident qu’en ces dernières extrémités, les Peuples utiliseront des moyens plus rigoureux pour se sortir de cette impasse de laquelle l’Islande s’en est sorti en envoyant derrière les barreaux toute la fumisterie des parasites de ce monde et en renvoyant à ses chères études un gouvernement pitoyable de vendus et de traîtres à leur Nation.
À ces enfants de demain je souhaite une autre action bien plus efficace, la reprise en main de tous les pouvoirs dans chaque société qu’elle fut discrète ou ouverte, dans chaque institution, dans chaque entreprise, partout où l’amorce du pouvoir se fait entendre, qu’elle soit Nationale ou Internationale, afin d’en déloger toute la médiocrité, la duplicité, la félonie, l’abrutissement, le gargarisme du néant, afin d’en nettoyer la fange qui s’y accroche comme l’avare à sa cassette. Et par les pouvoirs reconquis, défaire à jamais l’emprise de l’illuminisme en rétablissant les Lois Humaines qui ne sont pas les Lois de l’usure et de ses dévots.
© Vincent Thierry