Les masques du foot Ball

Les masques du foot Ball

 

Petite nouvelle de Terre où le jeu devient la raison d’une humanité larvée dans le factice, mais lisons :

« Le foot Ball est l’opium de l’Humanité, une chose curieuse que l’on appelle jeu, mais n’est-ce pas ce qu’il faut donner aux Peuples, du pain et des jeux ! Le fantasme mondialiste trouve ici sa garantie, dans les acteurs de cette « folie» rendant l’Être Humain bien en dessous des qualités intellectuelles du singe. Lorsqu’on regarde la télévision, que l’on écoute la radio, bien entendu sous propagande obligatoire compte tenu des fonds qui tiennent ces organes de désinformation, on est stupéfait de voir que ce jeu passe avant les actualités de fond, que le monde se tait dans l’attente des résultats de Pays divers et variés, qui, comble de l’ironie, mettent en valeur leur Nation comme leur Identité dans le cadre de ce que l’on appelle un événement.

Lorsqu’on se promène dans les rues au moment des fameux matchs, les rues nous appartiennent, il n’y a pas un chat, à peine un pauvre chien qui déambule. Quel beau prétexte pour un coup d’État ! La vie s’arrête, et on s’amuse de voir agglutinés comme des veaux des êtres humains qui trépignent devant des écrans, de plus en plus grands, pour leur faire croire qu’ils deviennent acteurs de cette fête décérébrée à souhait. Car enfin qu’y a-t-il de noble et de grand à taper dans un ballon comme les otaries dans un cirque? Comment peut-on payer des millions d’euros ou de dollars des joueurs divers et variés ne sachant faire que cela et prenant leur « retraite » à trente ans et moins !

On en rit, tant le ridicule atteint ici ses sommets. Que l’on aime le Foot Ball, dans le cadre d’une joute sans contrepartie financière, cela est admissible, mais que l’on aime des joueurs de Foot Ball payés des millions lorsque le salaire moyen en France est de mille cinq cents euros, cela ne fait plus rire du tout et démontre l’inanité totale de nos concitoyennes et concitoyens qui se réfugient dans l’artifice, le virtuel, pour tenir debout. Et lorsqu’on regarde l’énergie dépensée lors de ces « messes » pour le prolétariat, on se dit que si cette énergie était dépensée pour assurer la dignité de la Nation, tant économique, culturelle que spirituelle, cela bouleverserait la donne politique, où l’on voit une gouvernance oser gouverner avec trois pour cent d’acquiescement, et bien entendu correspondrait plus à la réalité que l’on ne la perçoit.

« Fête » mondiale, cet artefact se retrouve bien là dans le cadre de cet opium qui voit des Peuples entiers s’adonner à des danses tribales, des cris délirants, des ovations sans raison, pour ce qui est finalement petit, sans avenir pour l’Humain sinon que sa propre désintégration dans une parodie, une parodie sportive où encaissent celles et ceux qui savent si bien en tirer profit. Un profit de servage, servage de joueurs qui ne se rendent même pas compte qu’ils sont achetés et vendus comme n’importe quel esclave et qui en sus doivent rapporter à leurs maîtresses, ces équipes qui vivent sur le dos d’une charité bien ordonnée qui commence toujours par celle du vivier qui pourrit l’activité sportive pour ses petits et grands profits.

L’exemple de ce Brésil est extraordinaire, que de voir préférer affamer son Peuple plutôt que de ne pas être le pays d’accueil de cette farce ridicule, jusqu’à envoyer les chiens de guerre pour empêcher que la réalité soit mise en évidence devant des yeux étrangers, qui, n’en doutons pas, se voilent la face, tellement ils sont insignifiants, des yeux de bobos, des yeux bling bling, qui n’ajouteront et ne retireront rien au devenir de l’Humain, fort heureusement, quantité négligeable de petits suces queues de leurs maîtres qui paradent. On se rappellera sur ce propos le film remarquable Rollerball qui n’est plus de mise dans le cadre de la science-fiction, mais bien mis en œuvre actuellement dans le cadre de cette « fête » sans intérêt pour celles et ceux qui se respectent, qui respectent leur corps qu’ils ne vendent pas pour un gain quelconque. Et pendant qu’on amuse tous ces spectateurs qui ne se livrent qu’au regard et en aucun cas à l’action, le temps des assassins arrive, dans un laisser-aller remarquable, voyant le Conseil d’État demander l’arrêt de la Vie d’une personne végétative, et un jury populaire acquitter le meurtrier de personnes âgées sous l’étiquette de sa fonction de médecin !

Dans quelle Nation vivons-nous ? Dans celle du meurtre officialisé, dans celle de l’assassinat individuel par ce que l’on ose encore appeler médecin, qui ne sont pas la majorité fort heureusement, dans le cadre de l’avortement sans raison, dans le cadre de l’euthanasie barbare de tout un chacun ! Voici ce qu’est devenue cette République chargée de protéger les citoyennes et les citoyens, le vecteur de ce camp de concentration qui se réalise où les plus faibles doivent disparaître afin de laisser leur place à une invasion exogène amplifiée et statufiée.

Notre Peuple est en train de se faire assassiner en sus que de se faire violer par ce monde entier qui nous coûte presque cent milliards par an à notre détriment. Car dans l’esprit de cette incarnation de la dénature, il convient de tuer, de tuer encore et plus les Peuples, les souiller par le viol, les humilier par la flagellation, les culpabiliser pour mieux les détourner de la Voie de leurs racines afin qu’ils s’étouffent dans la boue qui ruisselle. Cette boue fétide née des loges maçonniques avariées, cette boue fétide engendrée par l’usure et ses féaux, cette boue dont la morve transpire sur les écrans de télévision et sur les ondes des radios, la morve du tueur consommé, du Kapo, de cette non-humanité qui s’imagine vouloir briser l’essor de l’Humanité.

Car qui peut nous faire croire un seul instant que l’on puisse se comporter en Être Humain, lorsqu’on décrète la mort pour les faibles que l’on doit protéger, que l’on doit soigner ? Oui, nous sommes dans le temps des assassins, et ces assassins se trouvent au sommet du pouvoir, dans toutes les cours de justice et pire encore, dans cet ordre que l’on appelle des médecins ! La gangrène maçonnique trouve ici son lieu, son respire, son autorité, cette gangrène qui parle au nom de sa secte et en aucun cas de l’humain, cette plaie de l’Humanité qui s’autorise par inféodation, par duplicité, par traîtrise, par toutes les saloperies que l’on puisse imaginer, à incliner les pouvoirs à ses ordres de meurtrier ! Il suffit de cette boue glauque, de cette infection qui ruine les Nations, ruine l’Humanité de ses embellies, ruine l’Humanité de son réel pouvoir qui est celui de la transcendance, si masquée ce jour par ce bubon nauséeux qui pue la mort, la charogne.

Partout où elle est, il convient de la dénoncer pour ce qu’elle fabrique de nauséeux en son appartenance, sa volition, ses horreurs consommées, secte infecte qui ose avec obséquiosité et onctuosité se rebeller contre la nature Humaine, contre la Vie, contre l’Humain comme l’Humanité, afin de réduire son nombre à cinq cents millions d’esclaves à sa botte. On ne peut avoir que du mépris pour l’engeance sortie de son sein, qui se vend comme une prostituée, et celle-ci a de l’honneur dans son métier, afin d’obtenir de substantiels revenus supplémentaires, des grades, des places, tout cet attirail qui la mène vers le gouffre duquel elle ne peut sortir, parler, imaginer un seul instant de liberté, pauvre misère pour laquelle on ne peut avoir que de la compassion en sus de ce mépris qui doit devenir l’arbitre de ce monde en regard de cette situation qu’elle provoque.

Lorsqu’on voit le chœur des tueurs se lever dans notre Nation, il n’est pas difficile de prouver leurs appartenances à cette immondice de la pensée humaine née dans le prurit du fumier des loges basses à la solde de l’usure ! Ceci est la honte de l’Humanité, la bestialité accouplée au meurtre, le parjure de la Vie, tout ce qui ne représente aucune valeur humaine, et qui doit être rejeté en bloc par les défenseurs de la Vie, cette Vie qu’exècrent les tenants et aboutissants de cette bestialité, ces nains grotesques qui ne sont en jouissance que lorsqu’ils portent la mort partout où ils passent, ces nains simiesques qui n’ont d’autre culture que celle de la mort.

Lorsqu’on entend les témoignages diffusés par la radio, émis par la télévision sur ces deux affaires, on ne peut qu’être effaré par le conditionnement du corps médical qui n’a plus vocation de préserver la Vie mais bien de liquider la Vie lorsqu’il ne sait plus faire, lorsque son ignorance est telle qu’il est paralysé par le phénomène qui se présente devant lui. Que d’impuissance, reflet désormais de cette coordination voulant volition l’euthanasie ! Une impuissance programmée par les usuriers en tout genre qui ne donnent pour la recherche que de pauvres deniers, tandis qu’ils se régalent de leurs places, de leurs sièges, de leurs petites affaires, de leurs retraites dorées, une impuissance autorisée par un enseignement qui n’en est plus un, où les diplômes s’achètent pour certains, révélant leur incapacité notoire, une impuissance légalisée désormais par cet arrêt du Conseil d’État, et cet invraisemblable jugement du meurtrier de personnes ne pouvant faire connaître leurs dernières volontés.

Que chacun ici mesure le déploiement, le déferlement dans l’hypocrisie absolue, de cette errance qui se veut pouvoir, initiant la mort dans le déni de la Vie. Que chacun désormais fasse connaître ses dernières volontés, en entrant dans un quelconque hôpital d’où l’on sait désormais qu’y rôdent parmi de vrais docteurs, de purs assassins, des tueurs en série, toute une faune de minables n’ayant pas compris que lorsqu’on est en face d’un problème médical, on cherche non pas à détruire le Patient, mais à vaincre sa maladie, quelle qu’elle fût, lorsqu’on respecte le serment d’Hippocrate. Et l’on cherchera la haine où elle se situe dans ce brouhaha ignoble qui relève de la pure propagande des assassins qui veulent désormais gouverner la société humaine, et l’on se rappellera que le Conseil d’État a décrété l’assassinat d’un Être Humain, n’en déplaise, et qu’un jury, payé par qui ? A décrété l’assassinat comme une règle en relaxant un meurtrier.

Oui, la haine de la Vie est ici, une haine incommensurable qui trouve ses racines dans l’abjection de l’atrophie qui mute l’Humain au rang de la bestialité, dans ce chancre où végètent tous les esclaves de l’usure et de leur portée. Ces tueurs ont décidé de la mort de la Vie, ces homoncules ont décidé de combattre le Vivant pour l’anéantir, se servant de leurs théories abstraites, le darwinisme, le freudisme, le marxisme, le einsteinisme, le freidmanisme, le malthusianisme, le noachisme, faute de pouvoir créer, car impuissants à créer, car c’est là bien le témoignage de leur impuissance intellectuelle comme spirituelle, une impuissance globale qui ne rentre pas dans le cadre des valeurs de nos civilisations Indo Européennes, une impuissance contraignante dont on retrouve par l’Histoire les miasmes putrides par toutes faces de l’Humanité, une impuissance caractérisée qui est le lieu même de tout ce qui n’est pas valeur Humaine mais rejet de toute Humanité au profit de cette exacerbation d’un petit moi qui est le ridicule consommé.

Il serait temps que l’énergie dissipée dans ce néant que l’on nomme le foot Ball soit libérée dans l’action Politique, avec un P majuscule, soit l’Art de diriger par la capacité, et non plus par la médiocrité. Cette médiocrité qui s’affiche dans le déshonneur le plus total, confère ce triumvirat d’un Parti qui désormais met à sa tête ceux qui pour partie ont eu affaire à la justice pour prévarication, confère ce parti minoritaire qui se pâme de la destruction en ayant annexé le Pouvoir dans notre Nation, cherchant à la morceler, la réduire, pour faire plaisir à celles et à ceux qui ne rêvent que d’un fédéralisme basé sur les Régions, en accentuant ainsi la division qui leur permet de régner.

Que l’on ne se trompe, l’Europe basée sur les Régions – les régions ne peuvent se concevoir qu’à l’intérieur d’un territoire bio géo historique constitué, savoir la Nation - sera à l’origine de toutes dissensions, et nous fera retourner au Moyen Âge avec ses particularismes exacerbés qui se termineront dans des guerres larvées interminables. La destruction des Nations est un leurre permettant la division, ne l’oublions jamais. Elle n’instruit que la faune hilarante qui se baigne dans le bling bling dont les fastes sont les non-être qui s’affichent avec tant d’empressement pour recueillir les miettes que leur servent les féaux de l’usure qui dirigent ce petit monde.

Donnez-leur du pain et des jeux, et ils ne réfléchiront pas, accepteront jusqu’à l’outrance, la perversion dans laquelle ils se rouleront comme des truies dans la fange, leur esclavage qu’ils demanderont, réclameront aux fins d’être des assistés dont l’euthanasie comme l’avortement, les nouvelles déités de cette plaie qui se veut dirigeante, se chargeront. Nous sommes dans le sacre de ce massacre, agité par les épouvantails qui s’imaginent des élites alors que ce sont de pauvres hères qui ne se gouvernent pas, mais comme des pantins, s’animent en fonction des désirs de leurs maîtres, avec beaucoup de courbettes, de sourires, une hypocrisie globale qui ne résiste pas à l’analyse, et éprend simplement les ignorants et les acculturés, toute l’hybride dénaturation qui dans ses fantasmes se voudrait morale de la République.

A-t-on vu une République aussi souillée, aussi affaiblie, aussi effacée, une République de courtisans rendant grâce à leur obédience et prenant leurs ordres dans leurs basses loges, les unes les autres appliquant les préceptes de Weishaupt avec gourmandise, car impuissants à toutes créations, petits outils de la subversion qui se pâment désormais devant l’acceptation obtenue par viol de l’avortement et bientôt de l’euthanasie, après la soumission à toutes les perversions de l’humanité, voyant les violeurs et tueurs d’enfants relâchés dans la nature pour inscrire dans le sang de nos enfants le sacre de ce chiendent de l’humanité, dont ils ont plein la bouche, mais qu’ils ne respectent en aucun cas, le meurtre de cette humanité étant leur respiration, leur causalité, leur détermination.

Les tueurs nés sont là, dans cette boue noirâtre qui ruisselle dans le ghetto maçonnique, donneurs d’ordre à des pantins politiques qui n’ont de but que de respecter ces ordres, en fonction de prévarications ordonnées et licencieuses. Cette puanteur qui monte de notre Nation, est une infection tellement visible que rien ni personne ne peut ne pas la voir, inscrivant la destruction de la Vie en Lois, inscrivant la destruction de la Culture en Décrets, inscrivant l’anéantissement de la spiritualité et principalement catholique en lettres de sang.

Ce n’est pas une évolution mais bien l’involution la plus débile qui puisse exister, celle animant le retour vers la matière brute de l’ensemble Humain, le noyant dans la désintégration physique, intellectuelle et spirituelle la plus nauséeuse. À l’image de ce foot Ball monétaire, à l’image de cette entreprise de dévaluation de l’Être Humain, d’avilissement de l’Être Humain. »

Que d’étranges comportements permettant de spolier l’Humanité de son droit essentiel, celui à la Vie, et en ce qui concerne ce « foot Ball » à l’esprit critique.

© Vincent Thierry