Désintégration
- Détails
- Catégorie : Etre-Humanité
Désintégration
Le principe de la désintégration réside dans le reniement de toutes les valeurs, puis la mise en œuvre de leur inverse dans le cadre des lois de manière à ce que les coutumes prennent le pli de la régression vers cet ultime rivage composite, celui de la pierre brute, condensée à l’extrême, permettant la mise en application de toute dictature, formelle, comme informelle, tel le lot de pseudos démocraties enfantées par la médiocrité et la lâcheté.
Ce principe se conforte dans ses expressions les plus délétères comme les plus massives, hâlant des principes la mise en exergue de l’infiniment petit, de l’incohérence et ses décilles, toute une vacuité ne représentant en aucun cas une majorité mais s’échevelant à paraître pour faire accroire qu’elle est le sommet de la civilisation, son aboutissement, alors qu’elle en est la difformité comme l’anormalité les plus prégnantes.
Pour se défendre, elle s’invente une formalisation inexistante, de grossières et labiales convergences menant vers cette risible permanence, qui est celle de l’incapacité, une incapacité en tout, car volition de béquilles s’appuyant sur le vide et se consacrant au vide dans des outrances dont les critères sont utilisés à bon escient par des forces qui n’ont d’autres buts que la destruction afin de préserver leur petite non-existence.
Une non-existence basée sur l’égoïsme forcené, ignorant la Vie et les vivants, en se croyant par ses valeurs aurifères ou fiduciaires, légitime du pouvoir, et conquérant ce pouvoir dans l’abstraction, dans la déliquescence née de son esprit obvié, reflétant ses vices par des ordonnances tendant à écraser toutes formes pour la rendre à son apparence, dans la lie la plus globale.
Cette action née de la perversité graduelle, inconsciente, car générée par une matrice intellectuelle considérant l’osmose comme levier de sa congénitale barbarie, dans le mépris absolu de la réalité qui elle, ne prend en compte que la symbiose pour valeur naturelle, dans le mensonge et la propagande permet de faire perdurer la dysmétrie totalitaire existant sur le champ du Vivant.
L’ignorance est son moment, sa force, et son dessein, car elle lui permet de caractériser en profondeur le chemin qu’elle désire voir prendre par les masses dont l’acculturation comme l’illettrisme lui profitent grandement, accélérant même leur processus par l’intermédiaire d’écoles comme d’universités cloitrées par ses crédits.
La plus grande illusion de ce monde réside dans la croyance que le savoir se dissipe par l’intermédiaire de ces pôles contrôlés comme sont contrôlés par ailleurs ce que l’on appelle des médias qui ne sont que des usines propagandistes ne travaillant, toujours du fait du même crédit, que pour complaire aux pouvoirs instaurés par la non-existence elle-même, via le jeu cognitif violant la conscience par la peur comme la terreur qu’elle induit en chaque être non averti, acculturé, illettré, glissant imperturbablement son bulletin de vote pour élire ses bourreaux, aux ordres de la non-existence.
Pour cette dernière le jeu est simple, il faut réduire à sa plus simple expression l’être humain, il faut qu’il n’existe plus en tant qu’être mais en tant que chose, en tant qu’objet économique ou sexuel, n’ayant aucune conscience de son identité, n’ayant aucune conscience de ses racines, de son histoire, de sa race, de son peuple, et surtout de son pouvoir de créativité qui pourrait le mener à la critique qui doit être décimée afin que tout un chacun s’imagine par mimétisme en concordance avec le « progrès ».
Les mots eux-mêmes sous ce joug n’ont plus de sens, le progrès comme on le voit est une régression, le racisme est employé à tout bout de chant pour flageller la conscience identitaire, en faisant valoir l’identité d’autrui, ce que l’on appelle la novlangue devient la prêtrise de cette errance qui souhaite non pas la parole, mais le balbutiement, l’onomatopée, le rejet de la langue mariée par des trivialités barbaresques, mises en exergue via la pluridisciplinarité de l’écriture, qui devient composite, aphone, décimée, anémiée.
Pour mieux détruire ce qui est le fer de lance de chaque Peuple, sa culture se trouve ici le jeu de cette insolence, où l’on voit ces jours désormais les œuvres classiques flouées de leur réalité par le viol de ces œuvres par tout ce qui reflète l’incapacité créative par excellence au nom d’une dilution primitive qui déjà avait bien commencé dans le cadre de la musique classique, et notamment de l’Opéra où se bousculent les destructeurs et les copieurs les plus triviaux que la Terre puisse porter.
Culture, histoire, identité, sont les cibles de la non existence, jusqu’à la voir ce jour influer pour remplacer les Peuples après que d’avoir légitimé les minorités sexuelles jusqu’en cette dérive totalement dénaturée qui est la procréation pour autrui, jusqu’à inventer des vaccinations massives contenant des produits cancérigènes et de l’aluminium pour tuer les enfants et leurs parents, jusqu’à légaliser l’avortement comme l’euthanasie systémique, voyant les Nations submergées par des esclaves à bas coût ayant plus de droit que les autochtones, égorgeant, pillant, massacrant, à l’image de leurs contemporains insinués dans toutes les Institutions des Etats pour complaire à leur désir de destruction totale de toutes les valeurs humaines, par une alliance perfide.
La désintégration ainsi s’avance, subversive, criminelle, revêtue du mensonge et de la propagande, initiée par la non-existence s’auto protégeant via des réseaux de pseudos sociétés de pensées, couveuses de son idolâtrie comme de sa confusion mentale, accueillant le néant retournant au néant par les viaducs institués de la perversité la plus ignoble, voyant, dernier combat de cette hydre, combattre l’enfance dans toute son innocence, la réduisant à ses vices, allant jusqu’à la sauvagerie de ses meutes ruisselant du sang de l’avenir de l’humanité.
On voit ici que le « progrès » enchanté par les licteurs de la non existence n’est pas un progrès mais bien une chute abyssale vers la matière brute, l’innommable, une régression totale vers des temps anachroniques où on livrait au boucher au nom de pseudos religions et de pseudos croyances les êtres humains pour leur mise à mort pour complaire à la bestialité et ses entreprises conquérantes.
Il ne faut pas se faire d’illusion concernant le potentiel de lutte des êtres humains face à cette collectivisation forcenée, où bientôt la reconnaissance faciale via l’intelligence artificielle, née d’esprits incomplets ayant besoin d’une cane pour marcher, - une intelligence artificielle qui doit être détruire dans ses applications nuisibles à l’Humanité - verra tout un chacun connaitre l’épée de Damoclès au dessus de sa tête, une épée qui le détruira s’il cherche à se rebeller contre sa condition de larve devenue, tel qu’on peut le voir dans une Nation actuellement, où vous disposez un nombre de point vous permettant de vous juger, et très certainement, mais on le sait pas encore, vous liquider si vous n’en avez plus, afin de servir très certainement les réseaux de trafic d’organes légaux et autres.
La Désintégration est marchandisation, surveillance, mise en place de la terreur, instrumentalisation du terrorisme, et en cela on ne peut la nommer que par son nom, la subversion, cette subversion qui depuis des décennies lutte contre la vie, veut imposer ses rouages via des « ismes » totalitaires et dénués de tout fondement, car ne respectant en aucun cas la vie, en faisant croire l’inverse bien entendu, une subversion toujours née et attisée par la non existence, vivant comme le chiendent de la terre, en réduisant à l’esclavage soit économiquement, soit physiquement, pour faire prospérer son indigence intellectuelle la plus virtuelle, lui faisant accroire sont éternité sur cette Terre.
Tout un chacun comprendra ici, s’il n’est bubon de cette désintégration, que sont les tenants et aboutissants de cette désintégration, et ce qu’il faut affermir pour lutter d’égal à égal contre cette subversion, par la restauration de la culture, par la résurgence de l’identité, par la remise en œuvre de lois naturelles, par l’élection et l’éviction par élection des déviants au service de la non existence, ceci est un travail de longue haleine, la moisissure de cette subversion touchant toutes les strates de la société comme de l’Humanité.
© Vincent Thierry