Le syndrome de Copenhague

Le syndrome de Copenhague

 

L’affabulation, le mensonge, la tromperie, la duperie, la forfaiture, sont les piliers de nos civilisations. Le simple bon sens permet de mettre en évidence le souci manipulateur qui les prédestine : soit l’appât du gain, soit l’appât du pouvoir, et lorsque se rejoignent ces deux tendances, nous nous trouvons alors dans le fléau de l’aberration, tel celui qui inonde notre planète de ses scories que l’on nomme l'"écologie politique".

In fine sur quoi se base cette fumeuse théorie du "réchauffement planétaire", son fer de lance ? Sur le produit du mensonge allié à la bêtise, décuplée par l’ignorance, sevré par cet appât tant du gain que du pouvoir précité. Il n’y a pas un scientifique sérieux pour cautionner la thèse d’un réchauffement climatique dû à l’activité humaine, les analyses scientifiques sérieuses contredisent en tout point les données manipulées par de pseudos scientifiques aux ordres de l’ONU, qui elle-même n’est que vassale de donneurs d’ordre qui n’auront de cesse de s’instituer gouvernance mondiale. Au même titre que le football, cette nouvelle religion, basée sur le trucage et l’argent, participe à la tentative d’un rassemblement des populations sur un thème commun qui doit porter au pouvoir le mondialisme en marche.

Ne nous leurrons pas, ses exécutants de basses œuvres, succédanés de rouages grassement payés, que l’on voit s’agiter fébrilement à Copenhague, disparaîtront lorsqu’ils auront bien servi leurs maîtres, car ne vous y fiez, ce millénarisme de pacotille, trompe-l’œil majeur, ne peut que faire rire les impétrants au pouvoir mondial, et en cela ils ont bien raison. La stupidité des individus et des Peuples au regard de ce phénomène accentué par les dérives médiatiques aux ordres est participe de cette dérision.

Il n’y a de jour, d’heure, de minute, de seconde sans que la propagande ne cesse, qui par les ondes, qui par l’image, sur ce sujet hautement distinctif de la culpabilisation ordonnée, et tout un chacun de gémir, et tout un chacun de pleurer, et tout un chacun en génuflexion devant cette nouvelle religion institutionnalisée. Au regard de cette contrition, nous pouvons discerner que les lendemains ne chanteront pas : nous allons nous trouver en face d’un monde à deux vitesses, un monde technico bâtisseur, et un monde d’esclaves statiques, en involution.

Car n’en déplaise aux bestiaires de l’ours et du loup, les progrès scientifiques ne s’arrêteront pas pour leur plaisir, et notamment dans les domaines de l’énergie, qui verront se manifester à moyen terme dans des applications civiles des porteurs gravitationnels, ainsi que des centrales gravitationnelles qui réduiront à leur plus simple expression les "centrales éoliennes", cette pollution visuelle, dont le seuil de rendement est nul, les centrales "solaires" dont le rendement ne peut satisfaire aux demandes énergétiques tant de l’industrie que des agglomérations urbaines, les centrales au "gaz" et au "charbon" qui ressembleront à des objets de musée.

Ce monde à deux vitesses qu’il aurait été possible d’atténuer dans le cadre du respect inconditionnel de la Vie Humaine déclarée ici coupable par l’acharnement de l’incapacité à vivre, cette atrophie mentale tirant ses participes de la pandémie du sida mental en laquelle nous baignons, n’aura de cesse de prendre une ampleur sans précédent dans les décennies à venir, et nous pouvons penser fort justement que le malthusianisme des corps s’il n’a réussi, réussira fort opportunément dans le cadre des esprits, réduisant ainsi la majorité de nos concitoyens à cet état d’inconscience larvaire, accentué par la propagande médiatique, leur permettant d’accepter un servage indifférencié dont les prémisses se configurent actuellement dans le cadre de cette "religion" de l’autodestruction.

En face de cette autodérision se tiendront les faces actives et réservées de la science et du pouvoir, alliés irréductiblement au profit de castes monopolistiques qui feront le devenir des souches larvaires précitées qui leur seront dévouées, politiciens de tous ordres chargés de cette non-humanité acculturée et demeurée, que l’on nous prépare activement, sans que la moindre révolte ne saille des acteurs de ce génocide intellectuel auquel nous assistons.

Face à ce fléau, il convient de rester éveillé et ne pas perdre son esprit critique, œuvrer par contre-pouvoir au rétablissement de la vérité sur l’ordre naturel qui a existé, existe, et existera par-devers les "philosophies" chtoniennes qui veulent enliser le réel dans la virtualité, confondre le mensonge et la duplicité en invitant les scientifiques et notamment les climatologues à parler de leur domaine sans peur de voir couper leurs subsides par un pouvoir politique ignorant qui voit avec aubaine se dessiner les taxes carbone qui vont servir à renflouer ses caisses vides.

Le terrain ne doit pas être abandonné aux humanicides en tout genre qui veulent spolier l’Humanité de son devenir qui n’est pas de se voir rongée par ce ver infect de la culpabilité, mais bien au contraire s’élever vers sa condition bien naturelle qui est celle de la conquête et de sa densité géographique, et de son espace. Le courage des scientifiques, et ils sont nombreux à s’être exprimés est de s’unir contre cette gabegie de l’intelligence et renverser ce monopole "institutionnalisée" de l’organisme privilégié de l’ONU qui contrefait la réalité pour satisfaire à la voie inversée empruntée par ses tribuns et doctrinaires.

Le récent piratage de quelques archives de cet organisme, que chacun a pu lire sur Internet laisse pantois quant à la rectitude "scientifique" qu’il déploie ! Au regard de cette errance qui veut dicter le devenir, il est temps de créer une contre-organisation permettant de restituer au réel ses fondements et non son endoctrinement. La voie d’internet semble la plus appropriée dans un premier temps, et j’engage ici tout scientifique sincère a y faire acte de volition pour écraser l’infamie et la duplicité chronique.

© Vincent Thierry