Films divers

Films divers

Ainsi à la veille de ces élections dites européenne, recevons-nous de cette petite Terre, cette lettre d’un de ses ressortissants :

« Alors que l’antichristianisme bat son plein, que les églises sont brûlées, taguées, volées, pillées, que les Chrétiens font l’objet des pires sévices tant au Moyen Orient, qu’en Afrique, qu’en Asie, voyant certains d’entre eux décapités, crucifiés, brûlés vifs, vient sur le devant de la scène cette mise en cause d’antisémitisme en raison d’un film qui peut être sujet à controverse, qui nous rappelle l’acte barbare dont fut l’objet une jeune femme d’origine Africaine dans un hôtel aux États-Unis, perpétré par un ressortissant Français de confession juive.

Il y a là quelque chose qui ne tient pas, qui n’a pas lieu d’être et qui est une injure à la face de ce monde, que de vouloir traiter d’antisémite tout un chacun qui se doit de juger par les actes et non par la virtualité tout un chacun qui commet de tels méfaits. Je rappellerais ici le viol d’une jeune Française par cinq mineurs, trois d’origine Turcs, et deux d’origine d’Afrique du Nord, qui après l’avoir battue à mort, violentée et souillée, sous la menace d’un couteau, au motif que c’était dixit « une putain blanche », dans cette bonne ville d’Evry dont chacun sait qui a été le Maire, n’a pas fait l’objet d’une quelconque note dans la presse dite bien-pensante, alors que ce fléau se perpétue dans chacune de nos villes dans le ravissement semble-t-il des communautarismes, et des ligues de vertus qui n’osent affronter le réel en se cantonnant dans les dits communautarismes.

On me dira mais quel rapport ? Mais ce rapport est total, initiant là le véritable drame de notre Société Française flagellée, mortifiée, culpabilisée, par l’outrance et ses propos, cette dérive du sens de chaque mot qui voit dans chaque Française et chaque Français un « raciste », un « antisémite » et que sais-je encore dans la gloire des « ismes» qui sont les mamelles de la terreur la plus inique qu’il nous soit donné à vivre, pire que l’inquisition, qui elle avait un motif légitime de combattre l’insinuation de l’Église par toutes les dérives possibles et imaginables.

Soyons clairs, toute personne qui se respecte, respecte autrui, quelle que soit sa confession ou son origine raciale, et doit se faire respecter. Depuis plus de cinquante ans, on flagelle sans discernement un Peuple en fonction de ces anachronismes que sont les « ismes, voyant aujourd’hui le Peuple de France, toute confession confondue, sous les sarcasmes pitoyables de toute une junte qui voudrait réguler la pensée, et qui dans ses abstractions, sa vulgate consternante, voit ce jour un Peuple à genoux, sans vitalité, sans correspondance, dans un abîme en lequel il s’abrite pour complaire à ses geôliers.

Soyons clairs, je respecte Israël et son Peuple, ainsi que les Êtres Humains de confession juive, je respecte l’Islam ainsi que les Êtres Humains de confession musulmane, je respecte les Races quelles qu’elles soient, et ceci pour tourner court à toute l’imbécillité chronique dont la France crève, se voir taxé de ces « ismes » ridicules qui sont le gagne-pain d’une hystérie totalement sans fondement.

Les Êtres Humains, les Peuples, les Races, sont complémentaires les uns des autres, et ne devraient pas perdre leur temps dans cette caractérisation totalement désuète, qui est le miroir de la virtualité, laquelle profite uniquement à celles et ceux qui préfèrent diviser pour mieux régner, et surtout ne pas unir, car cette union de la volonté se multiplierait et écraserait leurs invectives et leurs injures à jamais. Il ne s’agit ici de nier les particularismes de chacun, mais bien au contraire de les révéler et les multiplier dans le couronnement du savoir, sachant que nul n’a la vérité, et que cette vérité ne peut être révélée que dans la complémentarité qui sied à l’intelligence.

Si nous prenons le cas de la confession Juive, on verra qu’elle est éclairée dans le cadre de la Kabbale qui tire l’enseignement de la tradition Bouddhiste dans une forme symbolique qui ne peut qu’être valorisation de chaque Être Humain, au même titre que l’enseignement du Christ dont les opérandes sont de la clarté la direction de la Voie par excellence. Le Coran lui-même est une source d’inspiration sous la réelle convenance de ne pas exacerber ses interprétations, telle qu’on le voit malheureusement en œuvre actuellement.

Ces trois religions monothéistes sont des phares pour l’Humanité et ne sont ni supérieures ni inférieures dans le cadre de la Voie, de la Législation et de ses ordonnances capitales. En ce creuset qui est l’accomplissement d’une civilisation qui se devrait phare de l’Humanité, car concaténation du Verbe si bien défini par la tradition Védique et ses diverses manifestations notamment bouddhistes, remontant à des centaines de millénaires, sinon plus, on verra que sa division entraîne irrémédiablement une chute qui peut se comparer à une contraction temporelle, qui elle-même n’est que la manifestation d’une involution dont aujourd’hui semble la longue-vue de tout ce qui ne veut comprendre et cherche dans l’hystérie d’une supériorité vaine, un décor de vanité qui est sans fondement.

Pour en revenir au tumulte occasionné par ce film que personnellement je n’irai pas voir, car donnant trop d’importance à ce qui relève uniquement du voyeurisme et en aucun cas du judiciaire, qui est le fait de notre monde actuel totalement lové dans la fétidité d’une pensée unique abstraite, il convient ici de voir qu’il y a usurpation d’une thématique que certains appellent l’antisémitisme, qui n’existe que dans le cœur de ceux qui ne se respectent pas et donc ne respectent pas autrui et plus encore ne se font pas respecter, que tout un chacun de confession juive ou autre doit remettre à sa place. Car enfin comment peut-on allier le viol ou la tentative de viol qui ressort uniquement de la législation, dans le cadre d’un acte commis délibérément, à une confession quelconque, et qui de ce fait se voudrait soustrait du Pénal au motif de ladite confession ?

Il faudra ici expliquer à tout un chacun qu’il existerait du fait de l’appartenance à une confession quelconque des passe-droits qui détermineraient vertu ce qui est crime. Je ne doute pas un instant que les Êtres Humains de confession juive quels que soit leur Pays d’adoption et leur Nation propre, rejettent avec consternation cet amalgame nauséabond. Si j’étais de confession Juive, je m’insurgerai contre cette prétention, car comment combattre le viol si on considère que le viol est autorisé par ma confession ? C’est là et on le voit que le terme antisémitisme est sans fondement. Ce terme n’existe que pour masquer, désunir, obliger, bâillonner le réel au profit du virtuel.

Et là, comme l’a souvent prouvée la Nation Israélienne, fer de lance de l’Occident au Moyen Orient, lorsqu’elle est attaquée de toute part, il convient d’attaquer cette prétention et demander raison à ce détournement fallacieux et totalement ridicule de ce barbarisme qui ne doit en aucun cas être omnipotence, au titre du respect mutuel et inconditionnel entre chaque Être Humain, chaque Peuple, chaque Race Humaine.

Que l’on fasse procès au film pré cité dans le cadre du Pénal et même du Civil, pour atteinte à la personne, cela emporte l’agrément de chacun, mais pour antisémitisme, cela est sans fondement, sans légitimité, sinon celle encore et encore de fermer les yeux des Peuples qui respectent les uns les autres, les renvoyer dans cette virtualité qui n’a d’autres leviers que celles de faire accroire qu’il existât de par ce monde deux poids deux mesures en fonction de sa confession. Chaque Être Humain de notre terre, quelle que soit sa condition, sa confession, sa Race, son Ethnie, son Peuple, est redevable d’une loi commune, une loi qui ne doit pas être déviée par une quelconque appartenance.

Nous attendrons là la suite de cette mascarade qui ne peut que nuire dans ses obligeances à la confession Judaïque, par une interprétation inique qui ne ressort pas de la raison, mais bien plutôt d’une adhésion à laquelle ne peut souscrire aucun membre de confession Judaïque qui se respecte de par ce monde.

Nous en venons maintenant à un tout autre film qui fait débat, savoir : « Mais qu’est-ce que j’ai fait au Bon Dieu ? » Ce film est un témoignage d’une réalité que les bien-pensants veulent ignorer, savoir la permanence naturelle d’un rejet, qui n’est lié en aucun cas à un quelconque racisme, mais à la résultante scientifique de l’appariement entre les différentes Races, Ethnies de notre petit monde Humain, qui veut que s’assemblent ceux qui se ressemblent et ce de tout temps, sans qu’il y ait là une connotation subjective telle qu’ourdie ce jour de peur de l’autre, de ce « racisme » ridicule qui tel une déferlante voudrait faire accroire que tout un chacun aurait peur l’un de l’autre, posant en victimes idéales les immigrants d’origine Africaine ou Asiatique.

Mon oncle qui a combattu pour la France en Indochine et a été assassiné par les sectes Vietminh s’est marié par amour avec ma tante, Vietnamienne d’origine, mariage qui a été consommé et a vu fleurir la naissance de deux enfants, mes cousins Eurasiens. Ce film fait ressortir que ce n’est que l’amour entre deux Êtres quelle que soit leur origine qui peut les mener à cette aventure de la Vie, et en aucun cas le manège sémantique du métissage forcé qui ne rime à rien sinon qu’à produire des couples désunis et des enfants malheureux, incapables de se situer dans le temps comme dans l’espace tant dans l’Histoire que dans la philosophie de cette Histoire.

Dans ce film surgissent entre les différents amours des rejets entre les personnages qui ne sont que naturels et non pas issus d’un quelconque «fascisme », ou idéologiquement «national-socialiste » (ces vecteurs du socialisme dont le frère en isme, le communisme ont occasionné, je le rappelle intentionnellement plus de cent cinquante millions de victimes dans ce monde, les dernières revenant à l’Ukraine où on a vu la parade nationale socialiste faire brûler vif vingt-deux personnes et en assassiner dans les caves plus de cent dix après les avoir torturés, lynchés, étripés, évidés, comme seule la monstruosité de cette idéologie socialiste peut le faire, et cela bien entendu avec l’aide des mercenaires de ce que sont devenus les États-Unis comme de cette « europe » répugnante.).

Donc là, nous sommes loin de ces clichés et tout entièrement livrés à cette vérité naturelle qu’il n’existe de communion entre les Races, les Confessions, que l’amour pour dissiper le jeu prouvé scientifiquement du qui se rassemble s’assemble. Cela gêne considérablement toutes les officines qui défendent l’antiracisme, et nous ne pouvons que le constater, jusqu’à voir, dans ce film très vivant et très comique, des salles entières ne pas oser rire, tellement la culpabilisation de ce qui n’existe pas, est devenue l’eau dormante de la plupart de nos concitoyens.

Vu à La Rochelle, qui après avoir été l’un des ports les plus célèbres des Templiers, devenue ville Protestante, ce film effectivement, et j’en suis témoin, n’a vu rire que sept à huit personnes, ce qui est le comble du ravage des lieux dits qui exterminent toute pensée motrice et créatrice s’il en fallait. La virtualité endeuille la réalité, et cette réalité dans ce film qui peut être et doit être vu par tout un chacun pourra peut-être faire comprendre que ce que certains appellent « le racisme », qui n’existe que dans le cœur de celles et ceux qui ne se respectent pas et ne respectent pas autrui, n’est en aucun cas unilatéral mais multilatéral et total.

La parabole de ce film enseigne qu’il n’y a que dans la réalité de l’amour et en aucun cas dans la contrainte législative ou bien la philosophie négationniste de la réalité Humaine, que des Êtres Humains peuvent s’apparier et se comprendre, le reste n’est que conditionnement et bien plus tiroir-caisse de tout ce qui ne se respecte pas et bien entendu ne respecte pas autrui s’il n’est de sa communauté. Cette face qui fâche tous les ténors de la virtualité, mise en exergue par ce viol collectif de mineurs sous menace d’une arme au motif que la victime est une « putain de blanche » dans la bonne ville d’Évry, doit faire réfléchir et permettre de désengorger le cerveau de nos concitoyens, quelle que soit leur confession, leur Race, leur Ethnie, de toute cette armature initiée par la bêtise, l’accouplement du mensonge, la propagande stérile qui voudrait voir en chacun d’entre eux, un immonde «raciste », un immonde « fasciste ».

Ces mots n’ont aucun sens et révèlent ici la purulence qui n’est qu’une face de la division que cherchent à instaurer celles et ceux qui se voudraient pouvoir alors qu’ils n’en sont que des nains, tant ils sont soumis au négationnisme de l’Existence Humaine, ne pouvant en cela élever l’Humain mais bien au contraire le rabaisser dans le néant qui est leur lieu commun. Un néant issu de ces idéologies perverses et sans fondements, sinon ceux de la mise à mort de l’Humanité, le socialisme, viaduc des loges et des sociétés de pensées perverties et insinuées par l’atrophie de la pensée, ce matérialisme purulent qui ne surnage que par l’horreur, le meurtre, le false flag, la dénaturation, la déliquescence, la bêtise, la propagande, telle qu’on peut le voir actuellement dans nos Nations soumises à cette effrayante bestialité.

Une bestialité qui ne vient que de celles et de ceux qui ne supportent pas la Vie, qui la réduisent à cette défécation qui surgit si bien dans leur art dégénéré, dans leur littérature déficiente, dans leur philosophie cannibale, dans leur orientation politique signant toute la dégénérescence qui se veut vertu, morale, alors qu’elle n’est que retour vers le vide, vers cette matière brute qu’ils ne savent tailler, mettre en œuvre, tant la création n’existe pas en leur lieu, et par conséquent se réfère à la destruction pour survivre.

N’oubliez jamais que leurs moteurs sont là dans ces deux abstractions que reflètent si bien ces films, ces « ismes » qui ne sont que les preuves s’il en fallait de leur crainte de les percer à nu, de voir avec effarement qu’il existe des Êtres qui sont cacophonie et non harmonie et qui dissipent leur haine d’eux-mêmes sur le reste de l’Humanité qu’ils considèrent comme un troupeau de bêtes, lorsque l’Esprit sème où il veut, et que personne ne peut se dire élu de cet Esprit, que personne ne peut accroire s’y inscrire en Vérité, la Vérité n’appartenant à personne et devant se révéler en chacun et par chacun, au-delà de ce négationnisme de la réalité Humaine, qui est le plus fantastique atout de l’Humanité, car en la complémentarité de tous émergence de toute transcendance tant individuelle que collective.

Mais allez parler de transcendance de l’ensemble de l’Humanité à celles et ceux qui se résorbent dans leur petit «moi », oubliant le « soi » qui est la racine même de l’élévation Humaine ! C’est parler au néant, à la liturgie de la déficience mentale, à cette dérive spoliant la réalité pour le profit d’une virtualité basée sur l’abstraction la plus négative. Ici se confrontent deux mondes, là ce monde basé sur la désintégration, ici un monde naturel basé sur la construction.

Voici l’enjeu de ce siècle que de voir le négationnisme du réel réduit à sa plus simple expression afin que se redresse le monde naturel que cherchent à plier, et ils n’y arriveront pas, les féaux de toutes les infections, de toutes les gangrènes, de tous les mensonges qui s’initient propagande, qui œuvrent à la destruction de l’Humain. Le reste n’est que supputations sur le sexe des Anges.

Deux races de l’Esprit vont se confronter irrémédiablement, la Race des féaux de la destruction, et la Race de l’Esprit par excellence, qui est celle de la construction. Cette confrontation n’a pas besoin d’être guerrière au sens strict du terme, mais sera intellectuelle prioritairement, une guerre totale et sans compassion pour ce qui protège le crime, le viol, le génocide, la subversion, les idéologies mortifères, les enseignements ridicules dévoyant la réalité en la niant, les théories politiques réductrices, les théories économiques anémiées et dévouées à l’usure, les théories scientifiques mensongères et dénaturées, les arts dévoyés et dégénérés, la littérature atrophiée et réductrice, la musique propagandiste et déviante, tous ces miasmes qui se fardent, se congratulent, se réclament, s’idolâtrent, se veulent nobélisés, tous ces phasmes qui masquent le réel afin d’instaurer une société esclavagiste et purulente qui ne vit que sur le sang d’autrui, un monde de cannibales qu’aucun Terrien ne doit accepter.

Que l’on se rassure, les Peuples se réveillent, et à l’image du Peuple d’Israël qui se fait respecter, feront respecter leur Nation, au-delà des prébendiers, des voleurs, des violeurs, des génocidaires, des guerres factices, des tentatives de coups d’État par le nihilisme qui est l’ennemi numéro un, car rouage de la subversion la plus glauque, au-delà de ces « ismes » martelés à l’infini et qui ne correspondent strictement à rien sinon qu’à porter la division entre les Peuples, entre les Races, entre les Ethnies, entre les Nations, au sein même des Nations qui ne se verront réduire à portion congrue par un régionalisme issu de l’esprit univoque de quelques atrophies qui se veulent règne sur cette nouvelle division qu’ils veulent instaurer.

Nul ce jour ne peut être aveugle et encore moins aveuglé par la perversité qui se veut règne, par cette bestialité qui voit tout un chacun sous la menace de la virtualité, sous le joug de la virtualité, baignant dans une propagande dont le ridicule chaque jour devient lumière pour les uns les autres de son conditionnement par tout ce qui n’est pas l’Humain et ne le sera jamais.

À l’heure où des élections se préparent pour cette tour de Babel que l’on ose appeler l’Europe, en conscience de ce drame collectif qui voudrait tout un chacun soumission au motif des mots d’ordre de la virtualité, chaque Peuple doit se réveiller, bouter hors de tout pouvoir tous les meneurs, les trompeurs, les négationnistes de la réalité qui sont légion d’impétrants à cette course au pouvoir et faire valoir leur Peuple comme leur Nation, dans ce qui sera demain l’Europe des Nations, et non des aberrations, une Europe politique forgée et œuvrant pour le salut du bien commun de chaque Peuple en son sein, et où chaque Nation restera souveraine dans les choix attributifs qui la placeront debout derrière cette table ronde instruisant le destin commun.

Le temps du Temple des marchands doit faire place au Temple chevaleresque qui doit dans le réel officier cette détermination, et amener tout un chacun à son pouvoir d’évolution qualitative, et non à cette dramaturgie inventée par la marchandisation, qui est par essence médiocrité car incapable de la moindre création, voulant jusqu’à instaurer la marchandisation de l’Humain, petite chose dont se serviront ces outres vides de contenance, comme esclave économique ou sexuel et qui sera euthanasié après que d’avoir été pressé comme un citron.

L’outrance a des limites, et son sommet vient d’être atteint et nul ne doit se cacher les yeux pour la voir papillonner comme une prostituée afin de faire accroire à sa splendeur qui n’est que déception, prurit de l’inintelligence la plus achevée et la plus délétère. Le respect n’est pas unilatéral mais bien multilatéral et tout un chacun doit en prendre conscience, et ce respect commence par le respect de soi-même, et conditionnellement d’autrui duquel il faut se faire de même respecter. Voici les limites de la tolérance, le reste n’est que soumission au négationnisme et à son vertige absolu qui voit les complexes d’infériorité se transformer en complexes de supériorité, et en cela provoquer toutes les intolérables tolérances qui sont abstractions, mouroirs de l’Humanité et de sa préciosité.

Ce n’est donc qu’au prix de l’enlèvement du voile que voudraient voir sur les yeux de chacune et de chacun, que tous, par un seul répons affirmeront leur autorité dans le pouvoir qui n’appartient ni au mensonge ni à la propagande, mais à chacun d’entre nous, et ainsi pourront au-delà du négationnisme de leur existence, prouver leur réalité et affirmer leur réalité dans ce monde qui n’appartient en aucun cas à de sectaires entreprises n’ayant pour volition que la destruction aux fins de complaire au maître mot de cette gangrène qui pourrit le monde jusqu’à l’os, l’usure, savoir le servage d’autrui au profit de ce que l’on pourrait nommer ni plus ni moins qu’une mendicité indue.

N’oubliez pas, pour paraphraser Napoléon Bonaparte, que votre Civilisation est multimillénaire et ne doit rien à ces révolutions outrancières n’ayant pour but que de vous condamner à l’esclavage. Nous ne saurions de même rappeler que dans notre France, il fut un temps avant cette « révolution dites française » où ce que l’on nommait l’aristocratie avait le devoir de protéger le Peuple comme les frontières, et était gardienne de la stabilité du royaume, que le Peuple ne mourrait en aucun cas de faim, que bien au contraire ses aspirations allaient au-delà du matérialisme et permettaient de voir s’élever les esprits les plus brillants de notre Europe, jalousés par ces pauvres prévaricateurs que furent Rousseau comme Voltaire, deux enfants de la subversion, permettant ainsi par la perversion des mœurs de la bourgeoisie de faire œuvre de la plus basse exploitation, une bourgeoisie qui a terrassé l’aristocratie par l’usure, pour la remplacer afin de mieux rendre esclave notre population jusqu’à vouloir la décimer, par génocide comme en Vendée, et soustraire par eugénisme les trois quarts de sa population au chômage ce dut à l’abolition des corporations.

Voici un exemple de la tyrannie de la médiocrité qui ce jour brille de tous ces feux, dont la noirceur est le signe de la corruption, du mensonge, de cette parure insane qui est le propre de tout ce qui ne donne rien à la société, de ce qui n’est que menace pour l’élévation de l’Être Humain, en le mutant dans l’abstraction, cette abstraction qui est actuellement gouvernance de notre Nation, la voyant avant même que d’être élue, se prosterner à la City, devant cette finance apatride et internationale qui est le joug de l’Humanité, décréter ses vœux mortifères aux familles, en les culpabilisant dans l’outrance de l’esclavagisme, sans tenir compte  qu’il n’est pas le fait de leur génération, en les souillant par le mensonge, un mensonge mis en œuvre pour masquer l’action des commanditaires de l’esclavagisme, la traite des esclaves étant diligentée par les Mauresques et les Chefs de Tribus Africaines, quand il n’était pas à charge des prébendiers en tout genre qui s’en flattaient, un mensonge masquant la mise en esclavage du Peuple de France à l’usure et ses féaux.

En signant un traité transatlantique relevant de la pure forfaiture envers les Françaises et les Français comme les Peuples Européens qui désormais seront des esclaves patentés, notamment de multinationales sans foi ni loi qui vont conditionner le travail à moindre coût, le défaut de mesure de prévention et de protection des travailleurs, la liquidation de leurs acquis sociaux, la disparition progressive de leur économie au profit du travestissement du réel notamment en matière agricole, par l’obligation d’importer la pourriture en termes de nourriture, les bovins dopés aux hormones, les poulets lavés à l’eau de javel, les OGM et tutti quanti, n’en jetons plus, la cour est pleine de ces immondices.

Voici donc ce qui nous est gouvernance, tant en France que dans nos Nations Européennes, une médiocrité à genoux devant les marchés internationaux, petits pions dociles d’un règne économique ne visant qu’à la destruction, qu’ils encouragent avec la mise en œuvre systématique de l’avortement, demain de l’euthanasie comme on le voit si bien dans cette Belgique dont les parlementaires qui devraient être traduits devant la Cour Pénale Internationale pour crime contre l’Humanité, osant aller voter l’euthanasie des enfants !

Ce monde est totalement infesté par la pourriture viciée de cette gangrène qui se veut maîtresse d’esclaves dociles qui n’auront pour toute nourriture spirituelle que l’enchantement du nihilisme, pour toute nourriture intellectuelle que l’enchantement de la bêtise, pour toute nourriture corporelle que l’enchantement de leur sexualité, et ce jusqu’à l’étouffement dans le cadre du bâillon des « ismes » issus de la prostration dans l’abîme de la démence outrancière qui ne respecte rien.

Beau monde, belle Europe, belle France, que ceux-ci, éclairés par les mentors de la putridité nauséeuse, signe du Kali Yuga par excellence. Nous y sommes et il est temps d’en sortir aussi vite que nous y sommes rentrés par contrainte propagandiste et mensonge, sévissant depuis trop longtemps dans notre Occident qui fut le fer de lance de l’Humanité, et se trouve ce jour exsangue de sa puissance comme de sa volonté, jusqu’à voir les Peuples de nos Nations ne plus œuvrer pour l’avenir, tant obnubilé par la permanence des on-dit de la machiavélique opération de castration de nos Peuples, de notre Race, de nos Ethnies, par toute la contrebande intellectuelle de dévoués à la flagellation, à la culpabilisation, pourvoyeurs des hydres des plus insignifiants aux plus dénaturés, qui masquent le génocide de nos sources, de nos racines, de notre grandeur comme de notre honneur.

Non, le devenir de notre Europe ne sera pas celui-ci, pas plus que le devenir de la France, pas plus que le devenir des Nations Européennes. À l’image de la Nation Israélienne, il convient de porter le fer immédiatement dans la plaie qui veut détruire et anéantir notre vitalité, dans ces urnes qui doivent ne voir sortir que les noms de celles et de ceux qui défendent les Nations, libres de toutes appartenances sectaires, afin de les protéger contre la bestialité qui rôde, cette émergence économique qui devra se plier à l’Ordre politique et en aucun cas s’y substituer, qu’elle le veuille ou non.

Nous avons un exemple avec Israël, soyons moteur comme l’est cette Nation qui prend les devants et n’attend pas qu’on la détruise, voici ce qu’est le véritable message de cette Nation, qui doit être un exemple pour tout un chacun qui veut défendre sa Nation contre l’imposture, le néant, cette gangrène frigide et dénaturée qui spolie le devenir de nos enfants comme de nos petits enfants qui devraient apprendre dès l’âge de cinq ans à se masturber et à se sodomiser en chœur dans ces écoles de la putridité que l’on ose appeler Nationales et qui ne sont que les viviers infâmes de la pédophilie la plus ignoble, afin que nos enfants et nos petits enfants vivent dans un monde où la Liberté, et notamment d’expression, ne soit plus un vain mot, afin que leur devenir soit le souci constant des impétrants au pouvoir, sous surveillance d’un contrepouvoir naturel qui écartera toute la lie qui se vautre dans la fange de la destruction telle qu’on la voit en action actuellement, afin que l’unité harmonieuse des Nations se fasse sur cette Terre, ce jour broyée par le mensonge et son néant, permettant à l’infamie d’être règne par spoliation, esclavagisme et tutti quanti, afin que nos enfants et nos petits-enfants vivent dans un monde multipolaire, dont Les États-Unis d’Europe seront partie intégrante, dirigés non pas par des boutiquiers et des usuriers, mais par des femmes et des hommes politiques qui n’auront d’autres considérations que l’élévation de l’Humanité en ses multiples facettes, en ses Races, ses Peuples, ses Ethnies, au sein de leur Nation respectée et respectueuse dans un cadre multilatéral qui ne laissera place à la destruction, mais bien au contraire par multiplication des savoirs, des idéaux, permettra à chacun de s’élever tant spirituellement, qu’intellectuellement, que corporellement, par-delà les atrophies et leurs épanchements de moisissures qui sont la plaie de notre Humanité.

À suivre donc dans le cadre de ces élections Européennes où on voit toute la boue tenter de salir les femmes et les hommes qui défendent leur Peuple comme leur Nation, cette boue qui doit disparaître au regard du résultat des votes qui viendra, et dont l’ampleur est certitude devant tant de bassesse consommée, devant tant de reptation, devant ce qui est la virtualité représentée par tous les féaux, les valets, les esclaves de l’usure qui ne mettent en œuvre que le pillage, le vol, le viol des Peuples, leur asservissement.

Pour en terminer, rappelons que ce jour le politique est soumis à l’économique et que là se tient le lieu du mal absolu qui ronge notre terre, nos Nations, l’Humanité, nos Peuples, et que les théories de l’absurde, si bien résumées dans les deux films en exergue de ces «ismes » qui ne sont que les phares d’un proxénétisme virulent, tels d’ailleurs le darwinisme, le marxisme, le freudisme, le friedmanisme, doivent être dissoutes par l’intelligence afin que l’Humain puisse se relever de leur esclavagisme, de leur mensonge, par toute personne qui se respecte, respecte autrui, et se fait respecter.

Les Peuples Européens sauront-ils se faire respecter par un vote de salubrité publique ? La suite nous le dira. »

Deux Idéologies effectivement ici s’affrontent, gageons que l’Esprit de la construction sera sémantique de l’avenir de cette petite Terre. Nous attendons la suite avec impatience…

© Vincent Thierry