La guerre
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La guerre
Petites nouvelles de cette petite Terre livrée au fléau en Occident de la bestialité et de ses féaux, mais lisons :
« La guerre est un invariant phénoménologique contre lequel on ne peut lutter que si on la dépasse, au sens de l’Esprit le plus signifiant. Toute guerre naît d’une confusion des genres, du rejet des identités, du rejet formel de la réalité Humaine, de ses Races, de ses Peuples, de ses Ethnies, un rejet incommensurable bâti principalement par l’appât du gain, le vol, le viol, le pillage, actions classiques de l’incapacité congénitale à créer, innover, élever, entreprendre. La barbarie est en ce lieu, car il convient ici de bien mettre en exergue l’agresseur face à l’agressé. L’agresseur est toujours un barbare qui ne peut s’ignorer, une barbarie donnant lieu à toutes les exactions, toute la putridité matérialisée par la dégénérescence chronique de la bestialité qui rôde dans l’atrophie liée à la désunion motrice de l’Humain, qui au lieu de se regarder symbiose du corps, de l’esprit et de l’âme, se renferme sur deux de ces composants, une osmose donnant naissance au matérialiste brut, au spiritualiste brut et au primitif brut.
La guerre est le produit donc de l’atrophie Humaine. Résultante envers laquelle l’agressé doit comprendre qu’il doit réagir s’il veut survivre, une réaction saine, sans pitié, sans état d’âme qui doit entreprendre l’éradication totale de la barbarie à ses portes comme en son sein. L’univers est violent, et il faut le comprendre ainsi pour être en correspondance avec le degré d’action nécessaire à la liquidation totale de l’atrophie qui cherche à nuire à l’homéostasie des souches de l’Humanité, souches nécessaires, car complémentaires, permettant l’élévation et non la destruction, la complémentarité multipliant les intelligences, la dilution provoquant une exponentielle inverse de l’intelligence.
Lorsqu’on observe le présent, on peut voir sans stupéfaction, l’atrophie se vouloir maîtresse des strates humaines, déployant les hordes primitives au nom de l’atrophie tant spiritualiste que matérialiste dans un bain de sang qui trouve ses racines dans la manipulation la plus totale des éléments humains vecteurs de l’atrophie. Ainsi on peut voir que lorsque le pouvoir est laissé entre les mains des spiritualistes comme des matérialistes, manipulant à souhait les primitifs, ce pouvoir, sans contre-pouvoir, dérive vers l’abîme, et parsème notre terre de désastres concomitants.
La guerre au regard de cette dérive doit être donc totale vis-à-vis de cette adversité, née de toute carence humaine. Elle ne pourra être dépassée que dans le cadre symbiotique, dans le respect multilatéral de toutes strates humaines, et ce respect passe inévitablement par la remise en cause globale des artefacts qui veulent présider aux destinées humaines et dont les vecteurs sont tant primitifs, que spiritualistes, que matérialistes, les opérandes liés à une atrophie que l’on peut qualifier d’osmotique, car ne tenant compte que de deux faces du réel vivant, esprit-corps, ou corps-âme, ou esprit-âme. En tout état de cause, il ne faut pas craindre la guerre qui est déclarée à l’humanité dans son ensemble, mais bien au contraire affermir les positions respectueuses de la réalité Humaine pour contrebalancer définitivement la barbarie qui sévit.
Cette barbarie doit être anéantie totalement et globalement, tant au niveau de ses mains sanglantes qu’au niveau de ses donneurs d’ordre. Ce n’est qu’à ce prix que l’Humanité ce jour sortira de cette contraction temporelle la menant vers la désintégration. Pour celles et ceux qui craindraient la nécessité de combattre, je ne saurais trop leur enjoindre de lire et relire la Bhagavad Gîtâ, le livre de l’excellence de nos véritables racines, qui compose au devoir du combat contre la barbarie et ses esclaves. La guerre n’est pas seulement physique, elle est celle de l’Esprit comme de l’Âme, elle celle de la culture contre l’acculturation et la propagande, elle est celle de la Spiritualité contre la dictature de pseudos monothéismes déracinés, elle est celle de l’Unité symbiotique contre l’atrophie osmotique, elle est totale, globale, et civilisatrice.
L’affrontement est toujours évitable dans le cadre du respect multilatéral, il ne l’est plus dans le cadre de la soumission à la barbarie et de ses féaux, de ses valets insipides corrompus et multiformes qui rampent devant leur propre agonie. On ne transige pas avec la barbarie, on la combat jusqu’à son agonie, jusqu’au triomphe de la volonté qui doit terrasser son adversité dans ses composantes, ses strates, son levain, cette gangrène qui souille l’Humanité au plus profond d’elle-même, par mensonges, affabulations, consternante propagande, mettant en œuvre le viol psychologique des foules, le viol systémique des populations, initiant l’ordure comme sommet suprême, tant dans les arts que dans le corps social, tant dans ce que l’on ose appeler le «politique» que dans toutes les Institutions usurpées, dans le mépris total des Peuples, par des castes égarées qui n’ont de doctrine que l’implantation de la dictature Universelle, déguisée sous le doux euphémisme de « république » universelle.
La guerre d’agression envers l’Humanité qui est menée par la non-Humanité doit trouver réponse en chaque strate des sociétés, dans les syndicats, dans les organisations ouvertes, discrètes, secrètes, dans les Institutions, dans tous les corps politiques, dans les sectes les plus infâmes qu’elles soient, afin d’en détruire les moteurs et les pouvoirs, par un entrisme total, désintéressé, unanime qui permettra de renverser le mausolée de la terreur qui se veut règne. Il n’y a pas d’association qui ne doit pas être insinuée, par de partis qui ne doivent être insinués, pas de sectes qui ne doivent être insinuées, tout doit être totalement investi, dans une guerre silencieuse, une guerre totale contre les limbes de la pourriture qui y gémissent et s’y concertent, s’y vautrent et régissent une haine farouche envers l’Humanité.
Le gant de la guerre doit être relevé dans toutes les Idées, sur tous les fronts qui cherchent à anéantir le réel au profit du virtuel. Tout ce qui induit une liquidation de la réalité Humaine doit être poursuivi sans relâche, jusque dans les toilettes publiques s’il le faut, le déni du vivant, le déni de la vie, le déni des Races Humaines, le déni des Peuples Humains, le déni des Ethnies Humaines, le déni de l’Histoire Universelle Humaine et de ses Peuples comme de ses Civilisations, le déni de l’Être Humain, de la Femme comme de l’Homme, le déni du devoir Politique, le déni du droit inaliénable des Peuples à disposer d’eux-mêmes, le déni de la transcendance Humaine.
Ainsi l’acculturation, l’irrespect des langues Humaines, fourriers de la lâcheté Humaine, doivent être combattus sans relâche, les droits de l’Homme sans le moindre devoir, de même, car ces «droits » sans la moindre valeur au regard de devoirs complémentaires sont les fourriers du laxisme, de la soumission, de l’esclavagisme les plus totalitaires qui soient et dont nous voyons au vingt et une nième siècle ce qu’ils donnent : des régimes où la corruption devient un système, où la Démocratie n’existe plus remplacée par des oligarchies primitives, où la République n’est plus qu’un leurre voilé par le mensonge et l’abstraction, où la barbarie condescendante est un drapeau, où les communautarismes minoritaires deviennent les leviers de citoyens de première et seconde classes, la dernière étant représentée par les Peuples qui ont donné leur Vie pour leur Nation respective.
Les valeurs Humaines ne sont de ces terriers prédateurs, et encore moins de leur lie visqueuse qui se congratule dans la défécation et la zoophilie quand ce n’est pas dans la pédophilie la plus écœurante, ici il faut bien comprendre que l’immoralité la plus répugnante est son domaine, vouée qu’elle est à ses abstractions les plus séniles, celle du gain qu’il soit primitif ou sexuel. Nous n’avons pas à faire avec ses représentants démultipliés à des Êtres Humains au sens noble mais bien à des avatars Humains dont la prédation est le propre de l’incapacité à toute création, des infirmes sans talents qui ne se réjouissent dans leur médiocrité qu’avec la médiocrité humaine et en aucun cas avec la capacité humaine.
La guerre est de leur fait, de leurs désirs de gain, de leur inconscience humaine qu’ils travestissent en «valeurs». Lorsqu’on observe ces « valeurs » on ne peut être que préoccupé de leur santé mentale : au nom d’un droit inexistant d’ingérence le décret de toutes guerres possibles et imaginables, sous des prétextes mensongers les plus ineptes, empourpré par l’illusion de l’instauration de régimes «démocratiques » totalement pervertis par leur domination sectaire, la manipulation de milices à leurs ordres commettant les exactions les plus monstrueuses que la terre ait connues, jusque dans leur propre terre afin d’insinuer la terreur, l’arme des lâches et des proscrits, des apatrides et des serviles, de tout ce que l’Humanité peut engendrer par aveuglement, inconsistance, défaut de caractère, jalousie, haine, toutes voies menant à la déperdition de toute réelle valeur humaine.
Lorsqu’on observe ces « valeurs », le déshonneur comme marque de fabrique, la traîtrise et la fourberie comme moteurs, la soumission et la reptation comme pierres d’œuvre, on ne peut avoir sinon que du mépris que de la compassion pour ces pauvres hères qui ne vivent que par leur insuffisance humaine et voudraient que tout un chacun leur ressemble. Sauf à être complice, tout un chacun perçoit par-delà les limbes de la propagande, qu’il y a quelque chose de totalement pourri sur cette face du monde que l’on appelle l’Occident. Les Peuples n’y sont plus maîtres, leur pouvoir usurpé trônant dans une assemblée babélienne totalement soumise à des sectes morbides ne cherchant qu’à assouvir leur désir de gain, voyant jusqu’à naître au nom du flux migratoire, composé par un esprit dérangé au-delà de l’Atlantique, un marché aux esclaves dans le cadre Européen, une typologie qui est la faconde de peuples moyens orientaux avec lesquels les Peuples Européens n’ont aucune valeur commune.
Si tout un chacun regarde au plus profond des États Européens, chacun peut voir la densité de l’usurpation par cette monstruosité qui planifie dans une bureaucratie digne de celle des Soviétiques d’antan, la mort des Nations qui feront place non pas à une fédération Européenne mais à un laboratoire mondialiste où le vivre ensemble devra être loi, la loi des communautarismes les plus belliqueux, la loi des proxénètes et des violeurs, la loi d’une mafia gargantuesque, servie par une horde de barbare politiques vendus comme des marques de savonnettes par des médias aux ordres, indigne d’ailleurs des règles de la Mafia telle qu’on la connaît, où le pire côtoie l’immonde, où la permissivité est la règle, jusqu’au viol des citoyens et citoyennes de souche, jusqu’au racket nauséabond de masses de lâches incapables de se battre dans leur propre Nation pour y établir les règles élémentaires de vie, loi invasive s’il en fallait de plus répugnante où l’on voit naître le génocide des Peuples Européens, ceux-ci n’ayant aucun droit de contredire les gouvernances ineptes et les dirigeants inaptes, ces dernières leur envoyant les forces de l’ordre pour les faire taire, alors que ces forces de l’ordre se replient devant les mouvements invasifs comme on l’a si bien vu à Calais.
Les sphères politiques sont totalement pourries, des Mairies aux gouvernances, touchant très certainement le butin de leur reptation, via des comptes discrets dans ce monde où s’autoprotège la bestialité humaine. Les Peuples Européens sont en soumission devant cette panurgique essence dont la substance est criminelle. Criminelle jusqu’en ses lois conduisant à la liquidation des enfants à naître et des vieillards qui ont servi leur Nation, criminelle jusqu’à faire accroire en un genre qui n’est que la putréfaction de l’Être Humain, un objet servile destiné à devenir esclave sexuel ou économique des médiocres qui n’ont d’intelligence que la valeur de leur portefeuille. Criminelle jusqu’en l’aide servile de milices aux frontières de la Russie et ailleurs, pour œuvrer à une troisième guerre mondiale qui satisferont les béquilles de ce temps, non les Êtres Humains mais les atrophiés qui se prennent pour des humains et qui voudraient régir l’ensemble de ce petit monde sous les auspices de leurs minables « philosophes », de ces pâles copieurs et stériles individus qui sont la bien pensée de leur médiocrité devisée et acclamée.
Ces satrapes dans leur nausée s’imaginent des théories, et la plus belle de leur invention est celle du mondialisme, travesti en Universalisme, alors que l’Universalité c’est le respect inconditionnel des Peuples et des Nations existantes et non la boue putride qu’impose ce « mondialisme » qui est le chaos par excellence. La forge de leur glose, de leur « gnose » se tient dans les Institutions mondialistes qu’ils ont créés de toutes pièces, l’ONU pour asservir l’Humanité sous les arcanes de la Lucy Trust, le FMI pour asservir financièrement l’Humanité sous la férule de la Banque des règlements internationaux, l’OMC pour asservir les économies nationales sous la férule d’illusions devenues de sociétés qui ne pensent plus mais bien au contraire excluent toutes pensées, l’OMS afin de détruire l’Humanité enchaînée par les malthusianismes milliardaires et les laboratoires pharmaceutiques déviants, comme on a si bien vu cette organisation en action avec le H1N1, invention d’un laboratoire Américain avec d’autres d’ailleurs, dont le vaccin était pourri par des adjuvants, etc, etc, la cour est pleine.
Mais ces Institutions ne sont que des paravents des machines de guerre mises en place pour rendre esclave l’Humanité, les réels pouvoirs se tenant à la FED aux États-Unis et à la City à Londres, dont les rapines s’officient à la Banque des Règlements Internationaux, le saint des saints du culte de l’esclavagisme, dont les banques centrales sont dominions, telle la banque centrale Européenne, qui rappelons-le est totalement hors des lois humaines, comme le sont toutes les banques centrales. Ce vivier infect pourrit le monde Occidental depuis des siècles et désormais, en carence économique, alors qu’il suffit d’éteindre les dettes, remettre le curseur à zéro, ne nous prépare même pas dans le secret, mais dans la propagande la plus irréelle, une troisième guerre mondiale comme elle a préparé et la première et la seconde pour s’enrichir encore plus, et surtout détruire toute intelligence humaine, ne laissant de l’Humanité que des larves consentantes à leur mise en esclavage, sous domination scélérate de la médiocrité la plus bestiale et barbare.
Signe byzantin par excellence, signe invasif auquel Lépante a mis fin, auquel Poitiers a mis fin, mais qui poursuit imperturbablement son objectif. Un objectif condescendant voyant jusqu’à de pseudos alliés devenus s’immiscer dans nos programmes d’éducation, eux qui érigent des murs pour se défendre de l’immigration sud-américaine, pour nous faire accepter sans broncher notre génocide racial et ethnique, dont ils sont les promoteurs. Ici brille le phare de la soumission dans toutes ses attitudes, dans toutes ses pénétrations, dans tout son machiavélisme, dans toute son horreur, une horreur masquée par la léthargie provoquée de nos contemporains, ne vivant plus le réel, mais la virtualité qui s’impose, jusque dans des publicités pour les débiles usant et abusant de tout ce qui permet la destruction des langues au profit de cette chose anglo-saxonne qu’on nomme la langue anglaise sans nuances, sans finesse, une langue de brute qui assoit sa volonté par la barbarie, fief même de cette nausée que provoque son outrecuidance, sa malhonnêteté, sa fourberie, digne en cela de ses caractéristiques profondes issues de ces conseils d’administration où végètent les incapables à toute créativité, licencieux boulimiques s’imaginant l’Éternité, alors qu’ils ne sont que comme tout un chacun que de passage sur cette petite Terre.
Ces féaux de la morbidité, ont déclaré la guerre à l’Humanité, investis toute strate de la société humaine, tenant par leurs vices les prétendants aux pouvoirs, tenant par leur faille tout cet aréopage de nuisibles, d’incapables, qui prolifèrent dans les administrations, dans les institutions, petits paravents qui donnent l’illusion d’une démocratie inexistante, les voix de ces personnages étant achetées par avance au degré de la lie qui les immole, les rendent litière de toute admonestation, de toute flagellation, vendus et corrompus qui marquent de leur morgue les couloirs des Assemblées, profiteurs en tous genres qui spolient la dynamique des Nations pour l’étouffer dans leurs limbes maladifs, leur haine incommensurable de ce que représente l’Être Humain, de ce que représentent les Ethnies Humaines, de ce que représentent les Peuples Humains, de ce que représentent les Races Humaines, de ce que représente l’Humanité elle-même, que ces chiens couchés vomissent en traitant les uns les autres de sans dents, pitoyables individus dont la belle image est donnée par la représentation singulière de cette fourberie que l’on appelle aujourd’hui «les républicains », mièvres personnages faisant écrire des livres à deux sous pour vendre leur corruption à ce qui n’est pas la France et ne le sera jamais.
Têtes de liste de ces arcanes on y voit les mêmes issus de la fondation dite franco américaine, fourrier de la Fabian society, devisant le bolchevisme universel, qui végète dans la gouvernance actuelle, poudre de perlin pimpin pour les gogos et les bobos qui se flagellent en chœur, lorsqu’on leur dit de regarder ce qu’ils sont et non ce qu’attendent leurs maîtres qu’ils soient, personnages sans envergure qui s’imaginent les maîtres du monde dès lors qu’ils ont eu le cerveau lavé par des opinions étrangères, allant jusqu’à remettre des légions d’honneur à des tyrans qui exécutent journellement au nom de leur religion dans leur propre pays. Lorsqu’on regarde à quel degré d’ahurissement en sont ces personnages qui plongent dans la guerre comme on plonge dans une piscine, insouciant du sang d’autrui, aidant, armant, entraînant, les mains sanglantes qui dépècent les Chrétiens d’Orient et les Musulmans modérés, qui dans leur morgue haïssent les Nations qui se respectent, il faut vraiment avoir perdu toute morale comme toute conscience pour les mettre au pouvoir, et continuer à les vouloir au pouvoir, ou bien être totalement complice de leurs crimes.
La guerre est totale, mais ne doutons pas que les Êtres Humains qui se respectent aient des alliés, de vrais alliés jusque dans les Institutions internationales, dans les Nations elles-mêmes, jusque dans les corps d’Armée et de police tant Nationales qu’internationales, jusque dans les sociétés les plus discrètes comme les plus secrètes, l’apparence n’étant que le fait de déracinés inconscients qui s’imaginent mener la barque du monde mais qui connaîtront invariablement le désastre comme toute dictature a connu. Car le corps social est comme le corps Humain, et les anticorps qu’il dresse lorsque la maladie devient infectieuse, lentement mais sûrement se mettent en place pour cicatriser les plaies immondes que provoquent les densités qui s’exagèrent de par ce monde.
La guerre n’est donc pas seulement la guerre que tout un chacun doit mener contre la déliquescence, mais la guerre que doit mener tout un chacun qui se respecte appartenant aux Institutions les plus diverses comme les plus variées, à tous les niveaux, afin d’éradiquer le terrorisme global, le terrorisme des cols blancs agitant les mains sanglantes, que nous vivons en Occident. Elle doit être le fait de la Justice comme de la Police, de l’Armée comme des Administrations, en tous lieux, en toutes places, jusqu’à la plus humble mairie pour en élaguer les membres pourris, corrompus et vicieux, qui s’enrichissent au détriment de la communauté Nationale, et bien pire pour certains au détriment de la communauté internationale.
Le travail n’est pas si considérable, la médiocrité a su investir toutes les arcanes des pouvoirs, la capacité devrait largement le faire, et sans le moindre problème, car enfin que peut l’inintelligence contre l’intelligence ? Rien, sinon bien entendu que d’invectiver, de molester, de flageller, de hurler, de tuer, tant son incapacité est réductrice à ce qu’elle ne sait que faire, savoir la destruction. C’est bien pour cela que cette guerre à mener doit être totalement silencieuse. Le nombre défilant dans les rues dont l’intelligence diminue comme le carré de son échantillon, n’a plus aucune valeur face à la morbidité, aux chiens de guerre et aux milices grassement payés par les pouvoirs médiocres pour anéantir toutes pensées, seul l’individu multiplié à l’infini résoudra l’équation de cette dérive macabre qui se veut gouvernance.
Une gouvernance de tueurs nés qui n’ont d’autres opérandes que la destruction de l’Être Humain, la destruction des Peuples, la destruction des Nations, au profit d’une dictature universelle dont les prémisses existent globalement dans nos Nations Européennes. Un petit exemple de cette dictature dans notre propre Nation, relève du changement de nom de nos Régions, totalement arbitraire, de la réforme de l’orthographe, totalement délirante, de la théorie du genre enseignée à des enfants de six ans qui bientôt, si ce n’est pas déjà le cas, devront se masturber et se sodomiser devant des pédophiles souillant l’éducation dite nationale, de la réforme du Code du travail qui désormais se trouve à l’état de serpillière afin de transformer en esclave tout travailleur quel qu’il soit, de la réforme pénale qui laisse à l’abri les assassins en tout genre, du prosélytisme Islamique évertué par de pseudos dirigeants vendus comme des marques de savonnettes à cette religion par haine globale de leurs racines, du Catholicisme prioritairement, un régime perverti et sans ancrage sinon celui des sectes qui le domine et l’anéantit progressivement, etc, etc.
La cartographie de la médiocrité abyssale est là dans ses orientations qui n’ont pour but que le laminage des Peuples, la disparition de leur Histoire, la consécration du néant et de ses abîmes où se réjouissent tous les impotents, les illuminés, les parasites, les vendus et les traîtres, de cette pauvre petite Terre. Ce qu’il y a d’amusant avec ce sordide, c’est qu’il fait accroire à l’inéluctabilité de son mouvement, un mouvement inverse qui va à la vitesse de la lumière dans le mur de ses ténèbres. Il peut bien rêver, la lumière n’étant ni de son fait ni de ses actes, sa permanence relève déjà de l’impermanence au regard que porte vers lui la majorité des Peuples, une majorité qui se respecte et se fera respecter, n’en doutons un seul instant dans les décennies à venir, tant l’ignominie est à son faîte.
Cette ignominie est le véhicule même de sa précarité, qu’un seul mouvement de vent renversera comme le château de cartes qu’il est, car ne reposant non pas sur l’acceptation commune, mais sur le rejet commun de son outrecuidance. Que représente-t-il en nombre ? Rien, 0,0002% des Êtres Humains, un ratio insignifiant qui telle la grenouille se veut plus gros que le bœuf, s’imaginant qu’avec les armes, les armées, les milices à ses ordres, il pourra terrasser toute velléité des Peuples à reprendre leur liberté. C’est oublier que les armées ne sont uniquement des armées politiques, mais bien composées, comme les polices, les services de renseignements, et tutti quanti, d’Êtres Humains qui aspirent à autre chose que d’être des machines à tuer pour des guerres qui ne concernent pas la sécurité des Peuples. La grande erreur de cette machinerie est là, sa fragilité de même. Elle ne représente strictement rien aux yeux de l’Univers comme de l’Humanité sinon qu’un avatar qui sera écarté comme il se doit d’un revers de main lorsque l’Humanité globalement cessera d’en être l’esclave.
Le principe qui permet de briser ses rouages est d’une simplicité extrême, une grève illimitée tant Nationale qu’internationale, sans le moindre défilé (en général totalement investi par les soudards des oligarchies triviales) ayant pour but la restauration tant de la Démocratie que de la République dans chaque Nation par élection de citoyennes et de citoyens ordinaires en capacité et capables ne dépendant d’aucune autorité or celle du Peuple, qui doit être son conseil de surveillance global. Le reste piaillé par ce que l’on ose appeler des partis n’est toujours que souci de duplicité, d’immoralité, de conditionnement. Cela viendra, car à force de prendre les Peuples pour des vaches à lait, à force de prendre les Peuples pour des imbéciles congénitaux, les Peuples œuvreront pour retrouver leur légitimité usurpée par les sectes barbares qui pavanent comme des singes sur les ruines des sociétés qu’ils laminent.
La guerre est donc là, intérieure comme extérieure, manipulée à souhait, le terrorisme est là, intérieur et extérieur, manipulé comme jamais, un terrorisme qui ne dit pas son nom mais explose à la vue de chacun qui regarde la bestialité en action. En France, les élections Nationales auront lieu en 2017. Pour garder un avenir à la France, à son peuple, il convient d’ores et déjà d’éliminer systématiquement des votes toutes les marionnettes et les pantins sectaires qui sévissent dans le pouvoir où attendent de prendre le pouvoir, il faut cesser de voter pour les images vendues par une presse aux ordres, que plus personne ne lit ni ne regarde d’ailleurs, n’en déplaise. Rappelez-vous la vente du dernier Président. Une offensive tous azimuts pour vendre ce personnage, par la télévision, la presse écrite. Nous assistons au même principe avec son alter ego chez les Républicains de ce jour. Alter ego car représentant la même secte et les mêmes orientations de cette secte. Et l’on brouille encore plus les cartes en présentant différentes facettes de cette secte dans l’intronisation de tel ou tel personnage de ce dit parti qui est le même parti que celui qui officie actuellement de par ses appartenances. On pourrait s’en amuser, si cela n’était aussi triste de manipulation et de connivence, ce qui d’ailleurs n’échappe pas à cette majorité silencieuse, par obligation du fait qu’elle est devenue paria dans sa propre Nation.
Ici se tient le lieu exact de la guerre menée contre les Peuples, la fabulation, le laisser croire, dans le déni de la réalité des appartenances. Cette guerre doit être gagnée par le Peuple de France, qui ne doit plus se fier aux marques de savonnettes estampillées néoconservatrices, bolchevique, socialiste (ah la belle injure à l’Humanité que celle-ci, une pseudo-droite ne le sachant pas ou étant complice votant pour le socialisme universel !) ou autre, ventre mou par exemple d’un centre ridicule et sans la moindre perception sinon celle de sa propre corde au cou aux sectes vivipares qui la façonnent. Une guerre qui se résoudra tout simplement dans les urnes et par les urnes en évacuant totalement l’arbitraire d’oligarchies aux ordres qui roulent dans la fange la Démocratie comme la République, dont elles se réclament comme un paravent à leurs traîtrises et leurs parjures, en faisant croire qu’ils les défendent alors qu’ils les renient jusqu’à la lie la plus totale
Ce qui est vrai pour la France, l’est tout autant pour les autres Nations Européennes, or certains Pays de l’Est qui ont vu le parjure manifeste de l’erreur conjuguée que l’on nomme encore l’ « Union Européenne », un travestissement du réel au profit d’un fédéralisme vendu à tout ce qui est étranger à l’Europe, se prosternant devant les revendications d’une Turquie qui la rackette sans discontinuer au nom de la théorie des flux qu’ont acceptés des dirigeants de Nations Européennes en méconnaissant totalement la finalité de cet opérande qui est celui de voir l’Europe devenir le marché aux esclaves de pseudos alliés. Lorsqu’on prépare une armée pour tirer sur les Peuples en cas de rébellion, lorsqu’on est une Europe qui se respecte et se fait respecter, on utilise cette armée pour stopper aux frontières les millions de migrants si bien payés par le népotisme apatride qui se veut dominant, et on ne fait rentrer sur nos terres que des réfugiés et non des migrants économiques. Mais cela est beaucoup trop demander à des patronats en mal d’esclavagisme qui, à l’image de leurs ancêtres, devisent les bénéfices qu’ils peuvent faire sur ce trafic d’Être Humain qu’ils pourront payer à bas coût.
L’irresponsabilité congénitale est là, dans cette fiction morbide, dans ce dépotoir mental, dans cette avanie qui ruisselle le sang des innocents, tant à l’intérieur de l’Europe qu’à l’extérieur de l’Europe, menant tout droit les Nations Européennes sous la férule de la dictature Islamique si les Peuples n’y prennent garde et évacuent de tous leurs votes les primitifs qui cherchent à anéantir leur Culture, leur Identité, leur force naturelle. Bouffis d’orgueil ces monstres égotiques ne voient plus la réalité, s’imaginant des Empereurs Romains, alors qu’ils n’en sont que des menstrues, dignes de Néron, Caligula et non de César, Hadrien ou Marc Aurèle. L’Europe se fera, mais une Europe des Nations respectueuses de ses Peuples et de ses Existants, et cette caverne d’Ali Baba, cette tour de Babel vendue aux lobbies qui y trouvent là la matière à toute servilité pour quelques euros, disparaîtra.
Ce qui est vrai pour les États est vrai pour cette Europe spoliée, végétative de toutes les sectes qui la déstructurent. Je ne saurais rappeler que ce ne sont pas les Institutions qui sont en cause, mais le parasitisme qui règne en leurs enceintes, que ce soient les Institutions Nationales, comme Internationales et que le combat doit être mené en leur sein pour en destituer les moisissures. Les Anglais s’apprêtent à quitter ce navire sans capitaine, et ils ont bien raison, d’ailleurs ils n’ont en aucun cas besoin de ce terreau infertile, l’Empire Britannique existant leur suffisant bien pour œuvrer à leur prospérité. L’Europe ne sera jamais l’Europe si elle ne s’unit dans le cadre de l’Europe des Nations, avec la Russie, n’en déplaise. Ce n’est qu’à ce prix qu’elle redeviendra une puissance naturelle, et non une esclave proscrite que certains cherchent à détruire en la violant, et en la soumettant.
Le devenir Européen passe par l’Eurasie et en aucun cas par une vassalisation aux États-Unis d’Amérique, qui d’ailleurs ont bien autre chose à faire avec leur zone Pacifique plutôt que de s’appesantir sur une terre livrée à la bestialité la plus totale et la plus globale. Ce n’est que lorsque l’Europe qui se respecte et se fera respecter existera, grâce à l’Europe des Nations, qu’alors pourront s’engager les grands mouvements pour une gouvernance de conseil, et non de pouvoir, mondial, par l’équilibre sine qua non voyant naître les grands espaces que seront les États-Unis, le Canada, l’Europe, la Russie, pour une part, l’Afrique pour seconde part, l’Amérique du Sud pour troisième part et enfin l’Asie. Mais pour cela il convient de revisiter totalement les écueils et les élaguer de ce qui prostitue ce petit monde à l’ambition aveugle de sectes diverses et variées qui n’ont pas à usurper les pouvoirs comme l’autorité des Peuples composants.
La guerre est là, dans ces deux conceptions du monde que sont d’un côté le mondialisme où la dictature universelle, et l’Universalité, et en aucun cas l’universalisme qui est une litière du mondialisme, voyant naître un Ordre mondial naturel respectueux de toutes Nations comme de tous Peuples, et notamment du droit des Peuples à disposer d’eux-mêmes sans être sous la férule du vice et de l’ordure, de l’esclavagisme, au nom de pseudos droits d’ingérence dénués de tous fondements, sinon ceux de la spoliation, de la mise en esclavage, du vol comme du viol légalisé. La guerre est donc là, et il faut l’assumer, ne pas la craindre et encore moins la regarder à la légère. Gageons que la bonne volonté Humaine saura gagner ce combat qui est celui de la droiture, de l’honneur, de l’élévation, contre la traîtrise, la fourberie, le déshonneur, la destruction.»
Pauvre petite Terre où fort heureusement se lèvent des Nations pour corriger la bêtise et la haine, la corruption et la félonie, l’esclavagisme putride dans lesquels se fourvoie l’inhumanité la plus corrompue et la plus bestiale. Espérons que les Êtres Humains se réveillent de cette virtualité immonde que nous avons combattue il y a bien des siècles et dont aujourd’hui nos enfants et nos petits enfants qui essaiment les étoiles tiennent compte afin de libérer du joug des vies entravées par l’atrophie et ses constituants.
© Vincent Thierry