Manipulation, Médias, neurosciences.
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Manipulation, Médias, Neuroscience
La propagande, le mensonge, l’illusion sont les échelles permettant de conférer à la médiocrité ses apparences trompeuses et dénuées de tout intérêt. Ces items ne sont mis en place que pour masquer la réalité, une réalité confondante permettant de voir qui dirige réellement les Peuples comme les Nations vers l’abattoir de l’esclavagisme et de la barbarie. Le contrôle équivoque de cette déréliction se tient dans la permanence de sociétés discrètes ou secrètes, elles-mêmes aux mains d’esclavagistes en puissance, les usuriers avariés.
Les méthodes de tromperie concernant les Peuples sur la réalité sont parfaitement connues et instrumentalisées depuis des décennies, tant dans le domaine de la psychologie sociale que par les sciences sociales et physiques, ou neuro sciences, qui permettent, lorsqu’elles ne sont pas en bonne main, de conditionner l’Être Humain jusqu’à le faire disparaître dans une masse amorphe, docile, que l’oligarchie de la servitude peut alors commander sans le moindre problème, réguler par l’avortement comme l’euthanasie, la boucherie née de l’interdiction de penser, l’interdiction de créer, l’interdiction de se composer en dehors de la fange qu’elle inspire et conditionne afin de garder les avantages que sa nature avariée a produit, résultats de l’usure la plus pernicieuse qui soit se commettant par la dette, enchaînant tant les Êtres Humains que l’Humanité.
Le vingt et unième siècle sera celui qui verra s’effacer cette immondice de la Terre, n’en doutons un seul instant, la dictature de la médiocrité ne pouvant perdurer compte de la rémanence initiée par les Peuples combattant, toujours, la destruction, au profit de l’élévation. Cette rémanence, issue de l’action intra personnelle comme extra personnelle de l’Être Humain, qui préexiste et existe toujours malgré les leurres qui cherchent à l’égarer, aura un combat déterminant à mener dans les années à venir pour éclairer les uns les autres aux fondamentaux de sa condition d’évolution humaine.
Le premier combat à mener reste et restera le combat culturel face au déni de la culture apostrophée par les centres médiatiques aux ordres qui sont les déserts qui servent l’usure pour façonner l’inintelligence, l’illettrisme, l’acculturation, l’athéisme le plus profond, la déperdition de la cognition comme de l’empathie, aux fins de naître l’esclave parfait. On se référera aux auteurs approuvant cette fange de l’esprit pour bien comprendre les mécanismes outranciers que facilitent des sociétés multinationales qui n’ont d’autres buts culturels que de semer dans les esprits la glorification de la désintégration, l’annihilation de l’Être Humain, des Peuples, des Races, des Nations au profit de l’empire dictatorial et névrosé d’une oligarchie vaniteuse, réductible à la valeur de ses avoirs, dont le but privilégié est d’asseoir la servitude pour continuer à prospérer dans la boue et par la boue qu’elle instaure.
Aldous Huxley nous dit dans sa préface du « Meilleur des Mondes » : «Les forces impersonnelles sur lesquelles nous n’avions presque aucun contrôle semblent toutes nous pousser en direction du cauchemar meilleur-mondiste ; et cette poussée impersonnelle est en train d’être sciemment accélérée par les représentants des organisations politiques et commerciales qui ont développé un certain nombre de techniques pour manipuler, dans l’intérêt d’une certaine minorité, les pensées et sentiments des masses.», nous enseignant par là même sur la nature et l’intérêt profond pour la désincarnation de l’humanité des initiateurs de cette prébende intellectuelle. Walter Lippman dans son ouvrage « Opinion Publique » nous dit : « Que cette fabrication du consentement soit capable de grandes améliorations, personne, je pense, personne ne le nie. Le procédé par lequel les opinions publiques se présentent n’est certainement pas moins subtil qu’il l’est apparu dans ses pages, et les opportunités de manipulation qui s’ouvrent à quiconque comprend le procédé sont suffisamment claires… comme un résultat de recherches psychologiques alliées avec les moyens de communication modernes, la pratique de la démocratie a pris un tournant. Une révolution se produit, infiniment plus significative que toutes les variations du pouvoir économique… sous l’impact de la propagande, pas nécessairement au sens péjoratif du mot, les vieilles constantes de notre pensée sont devenues variables. Il n’est plus possible, par exemple, de croire au dogme initial de la démocratie ; que la connaissance nécessaire à la gestion des affaires humaines sort spontanément du cœur humain. Lorsqu’on agit selon cette théorie on s’expose à l’auto déception, et à des formes de conviction que nous ne pouvons vérifier. Il a été démontré que nous ne pouvons pas compter sur l’intuition, la conscience, ou les accidents de l’opinion faite à la va-vite pour traiter avec le monde au-delà de notre portée. », initiant un charabia déconcertant dont la philosophie consiste à faire croire que l’élément moteur du discernement, l’Être Humain, n’existe pas et donc que tout un chacun doit dans l’acceptation se réfugier dans une masse informelle dont la direction relève de l’abstraction la plus totale comme la plus létale. Steve Jacobson dans son livre «Contrôle mental aux États-Unis » nous confirme cette dernière opinion : « Le pouvoir politique et économique aux États-Unis est concentré entre les mains d’une «élite dirigeante » qui contrôle la plupart des corporations multinationales les principaux médias, les fondations les plus influentes, les universités privées les plus importantes et la plupart des services publics basés aux États-Unis. fondé en 1921, le council of foreign relations est le lien clé entre les grosses corporations et le gouvernement fédéral. On l’appelait « l’école des hommes d’états » et « ce qui se rapproche d’un organe de ce que c. wright mills appelait l’élite du pouvoir – un groupe d’hommes aux intérêts et modes de pensée similaires façonnant les évènements depuis des positions invulnérables dans les coulisses. La création des nations unies était le projet du cfr, tout comme le fonds monétaire international et la banque mondiale. », nous y sommes et ce pouvoir déborde largement les États-Unis, on a très bien pu le voir en action dans le cadre de l’élection de la marque de savonnette dirigeant la France, via la fondation franco américaine, via le Bilderberg, via les loges maçonniques avariées. Carl jung défini dans son texte : « le concept d’inconscient collectif », les arcanes noirs de ce diktat : « Ma thèse, donc, est comme suit : en plus de notre conscience immédiate, qui est d’une nature tout à fait personnelle et que nous croyons être le seul psychisme empirique (même si nous ajoutons l’inconscient personnel en appendice), il existe un second système psychique d’une nature collective, universelle et impersonnelle qui est identique à tous les individus. Cet inconscient collectif ne se développe pas individuellement, mais on en hérite. Il consiste en formes préexistantes, les archétypes, qui peuvent seulement devenir conscientes de manière secondaire, et qui donnent une forme définie à certains contenus psychiques. ». Diktat approuvé par Edward Bernays le manipulateur de l’inconscient, qui écrit dans son ouvrage « Propagande » : « la manipulation consciente et intelligente des habitudes et opinions organisées des masses est un élément important d’une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible de la société constituent un gouvernement invisible qui est la vraie force dirigeante du pays. Nous sommes gouvernés, nos esprits sont façonnés, nos goûts formés, nos idées suggérées, en grande partie par des hommes dont on n’a jamais entendu parler. C’est un résultat logique de la manière dont notre société démocratique est organisée. Un vaste nombre d’êtres humains doivent coopérer de cette manière s’ils veulent sous peu vivre ensemble dans une société qui fonctionne sans difficultés. Nos gouvernants invisibles sont, dans beaucoup de cas, inconscients de l’identité de leurs collègues dans le cercle fermé. ». On appréciera ici le degré de reptation dont fait état cet auteur devant la dictature imposée par une oligarchie qui au regard des événements historiques, géographiques, politiques, n’a pas la moindre ambition de développer l’Humain mais bien au contraire l’asservir physiquement, mentalement, spirituellement à son esclavagisme. La formule de l’asservissement a été trouvée par Harold Lasswell dans sa fameuse phrase : « qui, dit, quoi, à, qui, par, quel moyen, avec, quel effet ». Vendre la médiocrité pour mieux contrôler les masses devient donc le rêve de conquête des belligérants combattant l’Humanité et surtout l’évolution de l’Humanité. Et cela passe fatalement par le texte, l’image, plus proche de nous la vidéo, le film, le jeu informatique, et bien entendu la presse dite d’opinion, et la concentration globale de leurs outils en quelques mains afin que se perdent la réalité au profit de la virtualité qui doit s’imposer pour avoir entre les mains des larves consentantes et non des Êtres Humains dont l’esprit critique peut remettre à leur place toutes les dérives enfantées par cette armée d’involution par excellence. Cette armée se retrouve dans quelques sociétés si bien exposées par Ben Bagdikan, dans son ouvrage « Le monopole des médias » : « une liste des propriétés contrôlées par AOL TIME WARNER prendrait dix pages dactylographiées qui listeraient 292 compagnies séparées et filiales. Parmi elles, 22 sont des sociétés en participation avec d’autres majors impliquées à divers degrés en opérations médiatiques. Ces partenaires incluent 3COM, EBAY, HEWLETT-PACKARD, CITYGROUP, TICKETMASTER, AMERICAN EXPRESS, HOMESTORE, SONY, VIVA, BERTERLSMANN, POLYGRAM, et AMAZON.COM. Quelques-unes des propriétés plus familières détenues à 100% par AOL TIME WARNER : BOOK-OF-THE-MONTH CLUB : LITTLE BROWN EDITEURS ; HBO et ses sept chaînes ; CNN ; sept chaînes spécialisées et en langues étrangères ; « BIP-BIP et VIL COYOTE » ; les studios WARNER BROS ; POPULAR SCIENCE et 52 autres labels de disques différents. ». À titre d’information on se rappellera que AOL Time Warner possède : 64 magazines, dont Time, Life, People, MAD Magazine et DC Comics. Waner Bros, New Line et Fine Line Features dans le cinéma. Plus de 40 labels musicaux dont Warner Bros, Atlantic et Electra. Beaucoup de « networks » télévisuels tels que AB Network, HBO, Cinemax, TNT, Cartoon Networket CNN. Madonna, Sean Paul, les Whites Stripes. Viacom possède CBS, MTV, MTV2, UPN, VH1, Showtime, Nickelodeon, Comedy Central, TNN, CMT et BET, Paramount Pictures, Nickelodeon Movies, MTV Films, Blockbuster Videos, 1800 écrans de cinéma à travers Famous Players. La Walt Disney Company possède ABC, Disney Channel, ESPN, A&E, History Channel Walt Disney Pictures, Touchstone Pictures, Hollywood Pictures, Miramax Film Corp., Dimension et Buena Vista International, Miley Cyrus/ Hannah Montana, Selena Gomez, les Jonas Brothers. Ben Bagdikan nous rappelle à juste titre : « la propriété de Disney d’une équipe de hockey appelés les MIGHTY DUCKS D’ANAHEIM ne suffit pas à décrire l’immensité de son royaume. Hollywood reste son cœur symbolique, avec huit studios de productions et distributeurs : WALL DISNEY PICTURES, TOUCHSTONE PICTURES, MIRAMAX, BUENA VISTA HOME VIDEO, BUENA VISTA HOME ENTERTAINMENT, BUENA VISTA INTERNATIONAL, HOLLYWOOD PICTURES ET CARAVAN PICTURES. la compagnie WALT DISNEY contrôle huit maisons d’édition sous WALT DISNEY COMPANY BOOK PUBLISHING et ABC PUBLISHING BOOK ; 17 magazines ; ABC TELEVISION NETWORK avec ses dix stations qu’elle possède et qu’elle fait fonctionner y compris dans le top 5 du marché ; 30 stations de radio, dont toutes les plus grosses du marché; 11 chaînes câblées dont DISNEY, ESPN (conjointement) ; A&E et la chaîne histoire ; 13 chaînes de diffusion internationale qui vont de l’Australie au Brésil ; 17 unités sportives et unités de production autour du monde ; et 17 sites internet, ce qui inclut le groupe ABC, ESPN.SPORTZONE, NFL.COM, NBAZ.COM et NASCAR.COM. Ses cinq groupes musicaux incluent LA BUENA VISTA, LYRIC STREET et les labels DISNEY, et des productions cinématographiques « vivantes » d’où sont sortis des films comme le roi lion, la belle et la bête, et le roi david… ». Vivendi Universal possède 27% des ventes de musique aux États-Unis, ses labels comprennent : Interscope, Geffen, A&M, Island, Def Jam, MCA, Mercury, Motown et Universal ; Universal Studios, Studio Canal, Polygram Films, Canal +. De nombreuses compagnies téléphoniques et Internet, Lady Gaga, The Black Eyed Peas, Lil Wayne, Rihanna, Mariah Carey, Jay-Z. Sony possède Columbia Pictures, Screen Gems, Sony Pictures Classics, 15% des ventes de musique aux États-Unis, ses labels comprennent : Columbia, Epic, Sony, Arista, Jive et RCA Records Beyonce, Shakira, Michael Jackson, Alicia Keys, Christina Aguilera. ». Où l’on voit ici la tentative d’implanter un standard dans la pensée humaine, surtout le standard de la médiocrité et de ses avatars. Un standard révélé dès 1928 par Edward Bernays dans son ouvrage « Propagande » : « le cinéma américain est le plus grand transporteur inconscient de propagande dans le monde aujourd’hui. C’est un grand distributeur d’idées et d’opinions. Le cinéma peut standardiser les idées et habitudes d’une nation. Parce que les images sont faites pour satisfaire les demandes du marché, elles reflètent, soulignent, et même exagèrent les grandes tendances populaires, plutôt que de stimuler de nouvelles idées et opinions. Le cinéma use des idées et des faits qui sont en vogue. Tandis que les journaux cherchent à offrir les faits, il [le cinéma] cherche à offrir du divertissement. ».
Une standardisation dont les méfaits sont évoqués par Théodor Adorno et Herbert Marcuse qui en identifient les principaux problèmes : la réduction des Êtres Humains au statu de masse, ne permettant plus à l’individu de s’émanciper et prendre des décision rationnelles, le remplacement de l’autonomie de la conscience de soi par la paresse sécurisante du conformisme et de la passivité, et l’ancrage de l’Être Humain, devenu une larve consommatrice, du fait de la virtualité proposée par les médias, sans souci d’esprit critique. En fait une larve consentante, telle qu’on peut s’en rendre compte au regard des publicités télévisées qui s’adressent au sous-humain et en aucun cas à un Etre Humain raisonnant et ayant conservé son esprit critique, comme d’ailleurs aux regards des émissions de jeux télévisés et distractions télévisées, où le néant domine le néant dans son affirmation de médiocrité consommée.
Abêti, acculturé, illettré, l’Être Humain noyé dans la masse, ne recherche plus une once de vérité, bien au contraire dans un mimétisme carnassier s’extasie de sa propre déréliction et acclame la déréliction, devient acceptant comme, hypocritement, Adlous Huxley semble s’en rendre compte dans son ouvrage « Le meilleur des mondes » : « en ce qui concerne la propagande, les premiers défenseurs de l’alphabétisation universelle et de la presse libre envisagèrent deux possibilités : la propagande peut être vraie, où elle peut être fausse. Ils n’ont pas prévu ce qui est en fait arrivé, surtout dans nos démocraties capitalistes occidentales – le développement d’une vaste industrie de consommation de masse, concernée dans l’absolu ni par le vrai ni par le faux, mais par l’irréel, le plus ou moins totalement dénué de pertinence. En un mot, ils ont échoué à prendre en compte l’appétit presque infini de l’homme pour la distraction. », ce n’est pas l’être humain qui est en cause ici, mais bien la larve qu’il est devenue à cause de la propagande décérébrée devant laquelle il est invité à se prosterner. Jacques Ellul quant à lui ne s’y est pas trompé en précisant : « c’est l’émergence des médias de masse qui rend possible l’utilisation de techniques de propagande à échelle sociétale. L’orchestration de la presse, de la radio et de la télévision pour créer un environnement continuel, durable et total rendant l’influence de la propagande virtuellement insoupçonnée précisément parce que ça crée un environnement constant. Les médias de masse fournissent le lien essentiel entre l’individu et les exigences de la société technologique. » ; Les exigences de la société technologique font vraiment rire, les exigences des mentors de cette exigence seraient plus appropriées. La manipulation de l’individu est parachevée par la mise en œuvre de fonds illimités programmés à cette fin. Comme le dit Marshall Mcluhan dans son ouvrage « Les extensions de l’homme » : « aucun groupe de sociologistes ne peut se rapprocher des équipes publicitaires en ce qui concerne le rassemblement et le traitement de données sociales. Les équipes publicitaires ont des milliards par an à dépenser dans les recherches et tests de réactions, et leurs produits sont de magnifiques accumulations de substance concernant les sentiments et expériences vécues par la communauté entière. » et comme le dit si bien jacques ellul : « c’est aussi bien avec la connaissance de l’être humain, de ses tendances, de ses désirs, de ses besoins, de son mécanisme psychique, de ses automatismes que celle de la psychologie sociale et de la psychologie analytique que la propagande peut affiner ses techniques. ».
Ce mariage du pouvoir de l’argent avec l’Humanité réduit considérablement l’évolution de la dite Humanité, comme le dit si bien Michael A Hoffmann II dans son ouvrage « Sociétés secrètes et guerre psychologique » « on dit à ces esclaves aveugles qu’ils sont « libres » et « bien éduqués », même quand ils marchent au pas derrière des signes qui feraient s’enfuir d’eux paniqué et en criant n’importe quel paysan du moyen-âge. Les symboles que l’homme moderne embrasse avec la confiance naïve d’un enfant équivaudraient à cet écriteau sur une pancarte : « direction votre mort et l’esclavage », comme le comprendrait un paysan de l’antiquité ».
On ajoutera à cette tentative de désincarnation de la réalité humaine, les neuro sciences associées qui ont pour but par les ondes électromagnétiques de détruire la capacité cognitive de l’Être Humain, comme particulièrement les déversements de produits neuro toxiques dans l’atmosphère, baryum, aluminium, etc, ainsi que la vente dans la grande distribution de produits avariés et toxiques, pour bien faire comprendre que le combat à mener doit être total contre cette tentative de réduction en esclavage non seulement de l’Être Humain, des Peuples, des Races, de l’Humanité toute entière par des non-humains qui se cachent dans leurs conseils d’administration, des financiers véreux, agitant leurs pantins politiques ridicules et méprisables qui acceptent cette mise en servage et ne travaillent que pour cela.
On s’intéressera aux neuro sciences et notamment à l’ouvrage de Marco Della Luna et Paolo Cioni «Neuro-esclaves » Edité par http://macrolivres.com, pour aller plus loin et mieux comprendre l’aphasie, la stérilité des Peuples comme d’une majorité d’individu devant leur mise en esclavage.
© Vincent Thierry