Le parasitisme
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- Catégorie : Philosophie
Le parasitisme
Lorsque l’atrophie domine, qu’elle soit intellectuelle ou spirituelle, l’atrophie physique n’étant pas un critère, on se retrouve alors dans une involution marquée par une contraction temporelle dont les marques se retrouvent parfaitement dans le monde de ce jour.
Un monde par plus de sa moitié ciselé dans l’anachronisme et la barbarie la plus totale qui puissent exister, en ce qui concerne cette dernière pire que celle qui s’est exposée durant les courants de l’histoire humaine, car voulue et sanctifiée par ce que l’on peut nommer l’ennemi le plus total de l’humanité, le parasitisme.
Le parasitisme agit sous forme d’une tenaille pour régir ses exactions les plus communes comme les plus troubles, afin d’inféoder tout à un chacun, dans une prosternation sans limite, à sa duplicité la plus agressive comme la plus létale quelle que soit la Nation dans laquelle il prospère, des Nations voyant sa lie s’incruster comme la vermine sur les corps en voie de liquéfaction, qu’il détruit à plaisir.
Il a pour mesure la constante de ses appropriations par vol, gangrène culturelle, malversation en tout genre constituant son acclimatation, et le désignant comme receleur de l’inhumanité la plus torve qui soit, car pédant en ses convictions, s’imaginant le phare alors qu’il n’en est que triste condition sans la moindre lumière sinon celle qu’il développe avec ténacité en instaurant sa civilisation de mort.
Par ses délits et ses corruptions, il est maître à bord de l’outrage, du déshonneur, de la tromperie, du dol, du crime, du viol, de la décrépitude, maître de la mort qu’il raffine, construit, instruit jusqu’en ses devises les plus surannées comme les plus éblouies, raillant la vie dans tout ce qu’elle affirme, dans tout ce qu’elle est, savoir la construction, l’élévation, la transcendance.
Il manifeste son autorité de nain dans tous les pouvoirs pour affermir sa position délétère, sans le moindre respire sinon que celui qui exhale sa puanteur dont les cataclysmes sont prononciations de toutes indéterminations comme de toutes provocations, les unes les autres le montrant, comble de l’ironie, le présentant comme victime qu’il faut avec compassion aider, dans un agenouillement précis qui comble sa glose inepte.
Qu’il suffise de regarder les fers de lance de sa philosophie pour comprendre qu’il n’est qu’un frein à toute humanité où qu’elle soit, une philosophie de pacotille dont la rédaction représente bien souvent le copier-coller de ce qu’il est incapable de créer, et qu’il noie dans son dialecte dithyrambe de sa bucolique complaisance à son hystérie malveillante, incarnée par le déséquilibre le plus total de son entité, osmotique à souhait, dans l’incapacité de connaître une quelconque symbiose de ses éléments, une symbiose qu’il rejette pour se complaire dans sa fange.
Une fange qu’il veut faire valoir de toute condition humaine, ici dans l’acceptation de son esclavage, ici dans l’acceptation de sa mort programmée, par avortement pour nourrir les laboratoires cosmétiques qui servent le visage de ses femelles malsaines, par sédation, pour les plus jeunes afin de leur voler leurs organes revendus comme de la quincaillerie par toutes surfaces de ce monde, pour les moins jeunes, pour les tuer le plus rapidement possible afin qu’ils ne bénéficient pas des jours heureux qu’ils escomptaient grâce à leurs cotisations de retraite, qui seront volées bien entendu pour nourrir la bestialité et ses horizons.
La destruction est son plaisir, la laideur son troupeau et son indice de valeur, mais bien pire la chose son souffle, cette chose asexuée, débile, prostrée, dont son impuissance à besoin pour se faire jouir, car ce sous animal, qui n’a rien d’humain, ne peut admettre qu’il existe des Êtres Humains, et en cela doit-il le détruire, le rendre à l’état de larve pour le souiller de ses immondices, ce dont il ne se prive pas en torturant, violant, et pire encore en dévorant le devenir de l’Humanité, un devenir qu’il ne peut concevoir tant il est déjection de lui-même.
Il ne supporte l’Humain en ses racines, en ses conquêtes, en ses flamboyances, quel que soit le domaine qu’il embrase, et en tout domaine cherche à avilir ce qu’il est incapable de composer, ici en réduisant l’histoire humaine à sa simple expression qui est le néant, là en plagiant et dénaturant toutes les œuvres d’Art jusqu’à voir l’Art devenir le sommet de sa déficience mentale la plus totale, qu’il résume dans l’art dit moderne qui n’est que la loupe de sa confusion individuelle la plus grotesque comme la plus simiesque.
Ne comprenant ce qu’est un foyer Humain composé d’une Femme, d’un Homme, et d’enfants nés de l’amour de cette femme comme de cet homme, il cherche à détruire ce foyer par tous les moyens en soudoyant l’homme par la pédérastie, la femme par le lesbianisme, et les enfants par le culte de la chose et de la dépravation la plus totale, l’allégorie de la pédophilie la plus outrancière et la plus criminelle qui soit.
Ne concevant qu’il puisse exister des Nations qui sont les foyers induits par la rémanence formelle Humaine, il cherche à les détruire par tous les moyens en sa possession, en se servant bien entendu du servage mais bien plus en se servant des éléments de sa définition pour miner les Nations, les détruire dans tout ce qu’elles ont d’honneur, de grandeur, par la voie de migrations massives, par la voie de la trahison, par la voie de l’usurpation, par la voie funèbre de ses sectes les plus ovipares comme les plus ténébreuses.
Ne pouvant supporter que l’Être Humain soit pensée et participe de fait à l’existence politique de sa Nation, il cherche à détruire tout ce qui pourrait permettre à l’Humain de penser, de construire, de civiliser, d’élever, de s’exprimer, et en cela défait toutes structures de cette volonté pour anémier le dire de l’humain et le remplacer par ses logorrhées qui sont l’abîme d’oligarchies monstrueuses incarnées par la déficience mentale la plus prononcée qui soit, viviers d’esclaves tenus par leurs vices, leurs meurtres, leurs affaires les plus douteuses et les plus criminelles qui soient.
Le parasitisme, on le comprend, ne supporte ni la vie, ni sa forme, ni sa désinence, ni son pouvoir de transcendance, une transcendance qui doit disparaître pour ce vivipare insecte dénué de toute volition, qui entraîne la destruction de toute spiritualité, et notamment le Christianisme, afin de voir évoluer les larves dans une religion contraignant tant l’homme que la femme à l’anachronisme le plus totalitaire qui soit, enfantant la pédophilie, l’ignorance de la femme, la dénature dans tout ce qu’elle sacre et glorifie.
Le parasitisme est ainsi, et personne ne le voit ou ne veut le voir, tenu qu’il est par l’avanie de cette scorie qui parade, inventant l’inexistence sur des prêts sans valeurs, officiant dans une pyramide se noyant elle-même, des critères d’échanges qui ne sont que des fumerolles insanes où grouillent les vermines accouplées de l’indigence la plus bestiale, la guerre, la famine, la pauvreté, toutes vanités de cette scrofule s’enrichissant en maniant leurs armes pour glorifier son abondance, une abondance née de charniers, née de génocides, née du sang et de la sueur de milliards d’Êtres Humains asservis par cette chose dont l’ignominie est brouet, une gangrène dont l’Humanité devra obérer les pulsions afin de pouvoir naître au réel, et non renaître, car il n’est, sous le joug de cette nécrose, jamais né.
Qu’il suffise de regarder les choses qu’il crée, acculturées, illettrées, composites de marches pieds électroniques dont ils ne connaissent ni le fonctionnement ni la nature technologique, s’abreuvant de l’insanité, sans le moindre esprit critique, chevauchant une langue qui ne leur appartient, dont ils ne connaissent pas les mots, dont ils ne connaissent pas le sens des mots, se lovant et se blottissant, dans un syndrome de Stockholm approprié, pour défendre les maîtres de leur fouet, dans des manifestations ridicules, où résonnent les mots d’ordre de la nullité intellectuelle, de la nullité spirituelle, de la nullité physique elle-même, des rats de laboratoires s’égosillant jusqu’à l’étable des Nations, pour faire valoir leur indigence totale et totalitaire.
Qu’il suffise de regarder les Peuples qui se réveillent de son joug fatal, qui osent aller à l’encontre de ses litanies de précieuses ridicules, pour voir qu’il ordonne leur destruction, via des gaz au cyanure, via des tortures infinies, des arrestations arbitraires, des blessures ignobles, via la mort parfois, donnée par ses chiens de guerre, ses choses ignorantes ayant fait leur classe dans le crime dans des Nations où la guerre est initiée, des barbares sans foi ni loi rampants devant leurs maîtres pour recevoir leur prime de meurtriers en puissance, aidés par les colonnes infernales nées de l’immigration sauvage, obéissantes lorsqu’elles doivent mettre en œuvre la terreur pour que se poursuive le règne de l’horreur de la bestialité.
La bestialité de ce parasitisme tonitruant, ce parasitisme de ce que l’on ne peut appeler des humains, mais une sous animalité représenté par des choses associés, conditionnés par leurs vices, leur dénature profonde, se croyant une élite alors qu’elle n’en sont que la poussière par excellence, car incapables d’élever le moindre humain à sa condition naturelle et transcendante, lui préférant la larve agraire, convenable, acceptant son euthanasie lorsqu’elle n’est plus productive, acceptant son avortement pour que ses laboratoires dits pharmaceutiques puissent créer des vaccins composites destinés à la mise à mort à brève ou longue échéance de sa progéniture, acceptant d’être la serpillière sexuelle de ce règne répugnant.
Où le parasitisme s’ébat, se satisfait, s’ébroue, se justifie, s’honore, se complimente, se façonne, s’adule, s’aime, se victimise surtout, attendant de voir les masses pleurer sur son sort, gémir en chœur pour accepter leur servage, cette infection purulente atrophiant le devenir de l’humanité, dans une désintégration forcenée issue non de l’esprit, mais de l’accouplement de la stérilité et de la vacuité, dont les pavois sont degrés de toute dépravation, menant vers ce néant, cette pierre brute qui est l’aliment de son sérail le plus nocif et pernicieux.
Face à ce sordide illuminé par la faune dantesque qui s’y réfugie pour se contempler et s’accoupler, il n’est qu’une seule autorité, celle de la Nature Humaine, qui doit émerger de ce marais putride, en s’accordant avec la réalité, voyant l’Humain comme l’Humanité, par l’éveil de sa spiritualité, de son potentiel énergétique, par sa culture non dévoyée, par la reconnaissance de ses racines et de leur histoire, se hisser au-dessus de cette fange, en connaissance des valeurs universelles qui sont celles de l’honneur, du courage, de la persévérance, de l’altruisme, de l’altérité, toutes valeurs lui permettant d’accéder à son degré de transcendance qui en accord avec l’immanence, le rendra libre de toute atrophie comme de toute inversion temporelle.
Et en cela, lui permettra de lutter efficacement contre le néant et ses scories, et leur maître, le parasitisme totalitaire dont les invariants sont la bestialité et la barbarie, par toutes forces de l’Histoire Humaine, toujours combattues, et qui ce jour doivent être combattues avec la même détermination, la même inflexibilité, le même désintéressement, par les armes du Verbe qui sont autrement plus puissantes que toutes armes physiques,- qui ne font que détruire la matière mais en aucun cas l’esprit et encore moins l’âme -, un Verbe au service d’autrui, un Verbe, qu’il soit issu de la Spiritualité la plus noble ou bien de l’intellectualité la plus vive, qui doit porter la vague permettant de défaire l’inhumanité qui se veut conquérante, un Verbe qui doit fulgurer par la Voie de l’Art, qu’il soit inscrit ou politique, qu’il soit rescrit ou métapolitique, toujours en veille quelle que soit l’impéritie, dans une imperturbabilité constante.
© Vincent Thierry