Redondance

Redondance

 

Petites nouvelles de cette petite Terre où l’une de ses Nations est toujours sous le joug de l’usure et de ses valets. Mais lisons :

« Les assassins sont en marche dans un certain pays, liquidant sa société à la vitesse de l’éclair, bafouant tous les droits sociaux, se présentant comme la gouvernance des milliardaires, ignorant le Peuple, méprisant ses classes moyennes, et surtout, esclavagiste par excellence faisant entrer à tout va toute la misère humaine pour tuer l’intégrité nationale.

Lorsque son peuple manifeste, les reportages diffusés par les médias étrangers font ressortir la morgue de sa classe dite politique, des valets de l’usure, la jouissance profonde de leurs chiens de guerre bastonnant, tirant à ne plus savoir qu’en faire sur une foule pacifique.

Voilà ce pays dans le marais de la putridité et de la pédophilie alliée, voilà ce pays dans ce salmigondis d’ordures les pieds en équerre se gorgeant de sang comme leurs aînés l’ont fait pendant une soi-disant révolution qui a mis au pouvoir leur sous-humanité ne se gargarisant que de ses privilèges indus.

On ne peut avoir que dégoût de toute cette satanique errance, cette pédophilie votée par la lie de l’humanité jusque dans ses Assemblées, cette barbarie aux mains sanglantes qui est l’incarnation de la pourriture par excellence, la pourriture du vivant ne sachant pas marcher sur ses pieds, et ayant besoin d’une cane pour avancer, la cane du vice, du vol, du viol, du génocide.

Ce pays ne connaît sous ce règne, ni justice, ni répit, on y emprisonne à tout va, ou déleste les prisons de tous les criminels, surtout s’ils ne sont pas du cru, on y invente des interventions dans des zones de non droit qui n’existent pas, la soupe de la vente de la drogue étant bien bonne pour certains de ses partis, on y voit s’autoprotéger les criminels jusqu’en gouvernance, du fait de leur petit passeport maçonnique.

Pire encore, on vend une partie de son territoire, eh bien voyons ! Sans le moindre consentement du Peuple, ce Peuple haï par toutes les larves qui se pressent et s’empressent le fessier bien tendu pour honorer le dieu Mammon, et on appelle cela encore un pays ? Un pays où tous les jours la misère humaine assassine en toute impunité, égorgeant, ici et là et que l’on doit excuser pour la vermine qui la fait venir.

Il n’y a plus d’hommes et de femmes politiques dans cette Nation qui est devenue la fange de ce monde, il n’y a plus de justice, comme précité, la justice étant dévouée par serment maçonnique à toute la lie qui coiffe les pouvoirs, il n’y a plus d’armée sinon qu’au service de la bestialité, il n’y a plus de police sinon qu’au service de la répression tyrannique, il n’y a plus rien.

Et le Peuple dans tout cela ? Que fait-il ? Il subit et subit encore, mais combien de temps encore ? Il est fort à parier que son acte 100 verra se dresser des guillotines dans chaque quartier pour en finir avec cette bestialité qui trône qui ne représente pas 0,2% de la population. Ce Peuple manifeste pacifiquement pour l’instant, mais le jour où il décidera de se libérer de ses chaînes, il sera trop tard pour les bobos infects, les routiers de la maçonnerie putride, la fiente organisée générant l’assassinat collectif de ce Peuple.

Il prendra sa revanche, et cette revanche ne sera pas belle à voir, faisant passer pour de l’eau de rose les révolutions passées. Cela vient, il ne faut pas être grand clerc pour le deviner, et rien ni personne ne pourra empêcher ce qui, inéluctablement se produira, l’inintelligence comme la reptation et la veulerie, étant le creuset de ce qui voudrait s’appeler gouvernance dans cette Nation, ce creuset que personne d’humain ne défendra car antithèse de toute harmonie comme de tout devenir.

La Vie est homéostasie et revient toujours revient à l’équilibre, d’une manière ou d’une autre. Le mieux pour les uns les autres est que cet équilibre revienne dans la Paix, mais compte tenu de ce que nous observons depuis des mois, cela ne semble guère possible, et adviendra ce qu’il adviendra et comme beaucoup, nous nous en laverons les mains, car nul ne peut défendre l’indéfendable, l’ignominie, le vice, la prostitution de l’Esprit, la dictature de la médiocrité. »

Les événements se suivent et se ressemblent dans ce petit pays, et on comprendra que nous n’en recevions que peu de nouvelles, puisqu’elles seraient identiques les unes les autres. Espérons qu’une lueur de lucidité perce dans le regard de ceux qui y ont usurpé le pouvoir.

© Vincent Thierry