Mouvances
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- Catégorie : Politique
Mouvances.
Petites nouvelles de la Terre, toujours dans les fers barbelés et les miradors d’une subversion qui s’imagine déjà reine. Nous dit notre correspondant :
« Ab Ordo Chaos, voici la monade et la devise de la lie subversive, dont les faces de pieuvres araignes s'enseignent dans la croyance ridicule d'égaler Dieu, s'imaginant création alors qu'elles ne sont que surgeons défaillants, atrophiés et limités par leur atrophie. Un cénacle boueux voulant contraindre tout un chacun à la boue en décrétant la dénature de la matière vivante et organique, support de l'humain, qui, contrairement à ce qu'il laisse transparaître, lui est haine, en l'avilissant, en la violant, en la dépeçant, à l'image de ces fauves dans l'arène qui ne sont pas maîtres d'eux-mêmes, mais miroir de l'immondice qui les naît.
Et ce troupeau décrète, légifère afin de broyer l'innocence, inventant le mariage des sexes, subodorant la pédophilie comme leur perversion dernière envers l'humain, cet humain qu'ils haïssent, sans avoir compris un seul instant que c'est le vecteur de Dieu, sans avoir seulement senti son énergétique grandeur qui viendra à bout de ses infâmes tortures, celles violentant le corps, celles violentant le corps de la femme comme de l'homme, le corps de la famille naturelle, le corps du Peuple par métissage délirant, ce corps qu'il cherche à détruire en broyant les esprits.
En les inondant d'une littérature pour séniles et débiles mentaux, gravures de la folie qui s'auto-sodomise dans des livres de vingt pages sans la moindre orthographe, en les stérilisant par l'intermédiaire de médias consanguins puant la mort et ses axiomes, le meurtre et la pourriture, une litière pour affamés de la bassesse et de ses orgies, elle-même dans ses permissions s'abreuvant destruction de tout ce que représente la Chrétienté, son antithèse, de la droiture, de l’exemple et du courage les valeurs, qu'elle noie dans la religion de la soumission.
Ce troupeau n’a qu’un désir la liquidation de toute civilisation et bien plus la destruction totale d’une Race, dans un racisme qui se cache sous l’antiracisme, la destruction du blanc, hétérosexuel, catholique, qui doit, avant sa mort programmée, servir de paillasson à toute sa fange, à toute sa décrépitude, à toute l'horreur de son monde qui se goinfre de ses avoirs, voyant ses hordes soignées gratuitement, toucher des retraites sans jamais n'avoir travaillé, des allocations familiales, un bourbier sans nom, mesure d'une face de la tenaille de la boue qui manœuvre, l'autre face instaurant le paupérisme par l'usure et ses marchands du temple qui règnent en maîtres dans une Europe vouée à la disparition, une Europe de nains qui s'anéantira elle-même, tellement pourrie par les prébendes, les prévarications, les oboles, les sermons, les litanies du bréviaire de la génuflexion, par cette espèce de tison qui darde son derrière de péripatéticienne en chaleur, dont la veulerie n'est plus à mettre en exergue, tant ses féaux sont représentatifs de son errance bubonique tenue par le sexe, l'argent et le crime.
Souillure du vivant, cette apothéose oligarchique de marchands veut imposer ses lois excrémentielles, par la flagellation qui se veut orgueil, lorsqu’il n'est qu'avarie de l'esprit, manipulation, propagande monstrueuse tendant à faire respire ses désirs de bêtes inassouvies, jalouses et perfides.
Le pouvoir est actuellement entre les mains de leurs diktats qui sonnent le glas de l'Humanité, une lie sans fin en tablier de bouc qui égorge l'humain afin de s'enorgueillir de sa déréliction, de sa gnose déviante, lubrifiant l'abattoir qu'elle érige en sommet alors qu'il n'est que l'inverse du réel, une virtualité stérile qui s'invente une loi génocidaire pour faire croire à la disparition des floralies humaines dans son fumier gluant de vermines. Une vermine qui s'expose, triomphante, narguant les lois ataviques, brûlant tout sur son passage, reniant l'autorité pour s'y faire verbe, un verbe de fiente, composé de quelques mots, qui n'a d'autre statut que celui du ver, un ver que nous voyons partout courir et accourir, parfait esclave marchant sur les pieds des endogènes, bravant toutes consignes pour se croire maître alors qu'il n'est qu'esclave et portefaix de l'esclavage monstrueux qui brille de toutes ses lumières par ce monde, un monde de goulags économiques, obéissant aux humeurs financières devant lesquelles les gouvernances sont les larves labiales.
Lorsque tout un chacun aura compris ce trompe-l’œil, masqué par des "partis" ridicules, qui tous sont attraits par des lumignons en culs-de-poule qui devisent, chacun aura compris la désagrégation en marche, ce triomphe de l'immondice qui se masque sous les auspices de la Démocratie qu’il conchie allégrement, bestialement, sauvagement, dans l’esprit barbaresque qui est le sien, car constituant du néant qui est son fer de lance, son épée domestique, sa litanie réjouie, sa face d’épouvantail qui a si bien parlé, manipulée, afin de faire accroire en France qu’une Justice existât, tant pour les uns que pour les autres, et notamment à Trappes où l’étrangleur est libre et où quelques gagne-petit bien payés ont subi quelques peines, tandis que celles et ceux qui sont de souches sont molestés, emprisonnés, humiliés par la police politique qui sévit sur notre sol, une police ayant sa carte au syndicat de la gauche représentative qui ne voit plus ce qu’elle fait, tant elle est obnubilée par le service qu’elle doit rendre à cette chose ruisselant de sang que l’on nomme le socialisme, cette hérésie humaine, cette création de l’atrophie au service de l’atrophie, cette illumination bestiale au service de la bestialité, de la corruption, de la désintégration, du meurtre, de l’assassinat collectif tant des corps que des esprits que des âmes
Nous avons lutté contre le communisme qui en fait cachait sa matrice, le socialisme, cette horreur pénitentiaire, ce goulag mortuaire enchanté par toute la lèpre de ce monde, des tueurs nés qui se cachent dans les loges et défigurent les loges, tous ces néants qui se tiennent couchés devant la bestialité de l’usure, toute cette friperie endimanchée qui ne rêve que cornettes et argent tintinnabulant, que la liberté de jouir de ce monde dans la bassesse, l’élection de la bassesse, le droit de violer qui elle veut, tant les enfants que les femmes, tant les hommes d’ailleurs désormais, toute une atrophie qui depuis 1776 destitue le nom d’Être Humain au profit de celui de la pestilence, de ce cancer de l’Humanité qui voudrait ronger jusqu’à l’os la pensée afin de la gréer dans ses charniers. Et l’Humanité devrait se coucher à leurs pieds ? Qu’ont-ils fait ? Rien. Qu’ont-ils amené ? Rien, Qu’ont-ils créé ? Rien
Sinon le sordide, la désinence d’un darwinisme de pacotille qui fait rire les enfants, la désinence d’un freudisme totalement inculte en son anale domestication, la désinence d’un marxisme purulent qui compte ses millions de morts, la désinence d’un einsteinisme en trompe-l’œil qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez, la désinence d’un friedmanisme meurtrier dans son rituel, toute une pacotille d’idéologies factices qui ruissellent la mort et sa fétide incarnation dont ils sont les recteurs, de nubiles ectoplasmes qui s’imaginent pouvoir alors qu’ils ne sont qu’esclaves de leur parodie, de leur croyance élective, de cette hilarante bestialité qui les tient debout, alors qu’ils sont en reptation devant leur atrophie, êtres incomplets, nageant dans la fétidité et l’horreur, ne connaissant ni la compassion, ni l’altérité, comme précité dépeçant l’Être Humain pour qu’il soit à leur service, avortement requis, euthanasie requise, récupération d’organes requis, pédophilie requise, perversion requise, voilà leur enchantement qu’ils protègent en abrogeant la peine de mort.
Larves exquises qui demandent des larves soumises dans leur mondialisme qui sue la mort, le goulag, le camp de concentration, combien de morts dans les camps économiques ? Combien de morts en Grèce ? Combien de morts en Espagne ? Combien de morts en Italie, Combien de morts en France ? Combien de morts au Portugal ? Qui dans le paupérisme absolu se sont retiré des vivants pour laisser la place à cet enfer collectif qui ressemble si bien à l’enfer collectif soviétique. Et ils sont fiers ! Le plus bel exemple nous vient de Syrie où l’on voit s’occuper leurs troupes errantes, barbares à souhait, éventrant, étripant, décapitant, prenant en otage une population qui est un Peuple, qui a une Nation, et ne réprouve en aucun cas son Président ! Et toute cette basse-cour de s’agiter les mains pleines de sang pour faire croire à l’utilisation de gaz chimiques utilisés par eux-mêmes, voilà ce qui attend la France, voilà ce qui attend les Pays d’Europe, s’ils continuent à ignorer l’ardeur de destruction que commettent ces agitateurs publics, ces féaux de dictature incommensurable, la dictature du néant.
Au nom de leur « république universelle » une république qui n’en porte que le nom et charrie déjà par ses lois liberticides tout ce que le National-socialisme et le communisme n’ont pas eu le temps de mettre en œuvre. Est-ce un hasard si l’Armée n’existe plus en France, l’Armée du Peuple s’entend, qu’il conviendra de rétablir, est-ce un hasard si les libertés n’existent plus en France, remplacées par la Liberté maçonnique, érigée par les maçons pour les maçons, est-ce un hasard si l’acculturation est la règle enseignée par l’éducation dite nationale où règne la prostration à la flagellation et à la culpabilisation de tout ce qu’a fait l’Occident, est-ce un hasard si les valeurs d’honneur, de courage, de don, sont mortifiées, est-ce un hasard si le bac de ce jour est inférieur au certificat d’études de nos Parents, est-ce un hasard si on assiste au viol de nos Peuples dans le silence ahurissant des prétendus représentants du Peuple, vendus qu’ils sont et se taisant pour goûter à la démence qui les lie.
Regardez le monde non comme vous souhaiteriez le voir, mais comme il existe, et vous y découvrirez la sauvagerie, la bestialité et pire encore le cannibalisme, les sectes en leur dessein organisant la tuerie pour tenir en laisse leurs mendiants. Combien d'enfants disparaissent chaque année en France, combien d'adolescents, et de jeunes femmes et hommes, ainsi que dans toutes les Nations de ce monde, qui pour se régaler de chair fraîche, qui pour assassiner, torturer et violenter rituellement, qui pour assouvir un sadisme inconditionnel ? Des plaintes déposées contre certains de leurs prébendiers au pouvoir, dont l'arbre ne cache pas la forêt, classées sans suite par la justice elle-même, la police elle-même, noyautées par cette ignominie, noyant toute recevabilité. Oui, ne croyez un seul instant que les hordes barbares ne soient en action dans ce petit monde où se veut règne une oligarchie pourrie comme le fumier, par certains de ses bataillons aux ordres de la subversion la plus glauque, la plus intolérable qui soit, et qui tient le dessus du pavé dans cette hypocrisie immonde qui la caractérise.
Regardez comme rebondissent les violeurs de cette oligarchie, les pédophiles de cette oligarchie, les pervers consommés des médias qui déforment toute réalité afin d'enfanter l'accroire, cette facilité qui abreuve les vers qui les écoutent et applaudissent, non plus des êtres humains mais des choses qui, confiants dans leur sordide culpabilisation, ne disent rien de l'abjection, cette abjection de voir les corps politiques devenus des corps de voleurs, de truands, de complices de tous les charniers.
On se rappellera du virus H1N1, créé de toutes pièces afin de naître un génocide sans précédent de l'Humanité, dont une firme agraire se charge actuellement avec l'aide des grandes surfaces afin que chacun se nourrisse de la pourriture que son corps deviendra. Aucune règle, aucune loi ne s'appliquent à ces sectes qui siègent à l'ONU, à l'OMS, à l'OMC, au FMI, quadripartition de l'infâme qui se veut régence sous la pression de financiers apatrides et inconscients, atrophiés de la Vie qui atrophient la Vie, pauvres dégénérés qui ne méritent aucune considération, qui s'invente dans un jeu d'échecs des sociétés représentatives de leur tentative d'essor, le CNS, le Bilderberg, la Fabian Society, la Trilatérale, les Instituts de relations Internationales, l'Aspen Institute, le Tavistock Institut, la Mountain Table, etc, etc, dont les membres sont inconscients des actions qu'ils développent, aveugles comme le sont la plupart des francs-maçons, qui tous dans la déviance sont surexploités afin de les condamner à l'addiction, cette addiction du pouvoir usurpé, du pouvoir tronqué dans lequel chacun est élu comme une marque savonnette.
Il n'y a que les aveugles pour ne pas voir cette réalité contre laquelle ne se dresse aucun contre-pouvoir, sinon celui de quelques ONG, totalement subverties par les services secrets, qui obéissent au doigt et à l'œil. Que pourra faire cette oligarchie si les Peuples se réveillent, le rapport de force est clair, rien, et c'est bien pour cela qu'actuellement on assiste à une action particulièrement liberticide dans tous les États, en déclenchant comme cela s'est vu aux États-Unis un climat de terreur propice à l'abrogation de la Liberté. La terreur diligentée devient l'arme favorite de cette oligarchie, ne vous y trompez pas, et analysez les événements la concernant avec rectitude. Le plus bel exemple de manipulation dans notre Nation, hormis le phénomène de Trappes diligenté pour calmer l'opinion publique au regard des arrestations illégales, des violences physiques et verbales subies par la population de souche, concerne le train de Brétigny, qui cache le train transportant des matières nucléaires, dont les déraillements ont été produits de la même manière.
On cache sous un problème technique l'attentat patenté, afin que la population ne se dresse contre les exécuteurs et les commanditaires, très certainement en relation avec les événements déclenchés au Sahel, on cache le scandale du vol des affaires personnelles des victimes par des hordes barbares en provenance des zones de non droits, où les Lois de la République ne s'appliquent pas, où seules trônent la religion de la soumission, et les plaques tournantes de la drogue, qui enrichissent la violence et rétribuent les prostitués publics qui touchent leurs dividendes, en faisant croire que la paix sociale ne peut tenir que comme cela.
Manipulation s'il en fallait de plus répugnante qui masque la réalité afin d'obtenir quelques voix supplémentaires aux prochaines élections. Gruau que fertilisent des États étrangers afin d'y recruter leurs observateurs, leurs traducteurs, afin d'y initier l'Islam radical, transformant les zones de non droits en zones communautaristes, qui n'appliquent plus les lois de la République, forteresses de tout ce qui n'est pas la France et ne le sera jamais.
Que peuvent donc faires ces oligarques du néant devant les Peuples qui se respectent, qui ne se laissent asservir par le viol exogène de leurs Racines, qui ne se contemplent dans l'abrutissement larvaire et décadent que les suces queues médiatiques et "éducationnels" transparaissent ? Rien.
Ainsi demain s'éveilleront sept milliards d'Êtres Humains qui bouleverseront ce monde, renversant cet ordre qui n'est qu'un désordre enfanté par la haine des jaloux, des nains qui se croyaient des dieux alors qu'ils ne sont que des ectoplasmes humains. Cela viendra, n'en doutons un seul instant, par les urnes, souhaitons-le, mais plus sûrement par la violence, car la violence entraîne toujours à la violence, et la violence des États dont les pouvoirs sont détenus par les courroies de transmission de cette oligarchie triviale et barbare, est à son comble, la liberté menacée sur tous les fronts, et la moindre étincelle déclenchera un cataclysme.
Ce ne sera faute d'avoir prévenu quand il sera trop tard, le nihilisme ne peut continuer ainsi en sa minorité d'imposer ses lois à la majorité des Êtres Humains, en se masquant sous les voiles d'une démocratie qu'elle conchie, n'accordant d'importance qu'à sa soldatesque ubuesque représentée par ses sectes les plus diverses assignant à l'horizon une voie totalement inversée. Comme le disait fort bien Ponce Pilate, je dirais avec lui, je m'en lave les mains. Tellement d'horreurs culminées par cette oligarchie putride, jouant sur les valeurs économiques, condamnant à la mort par famine une partie de l'humanité, violant les Races, les Peuples, les Ethnies, les Identités, afin de créer la larve idéale, détruisant jusqu'au nom même de l'humain pour défendre son atrophie, écumant des guerres de rapaces en se servant de mensonges inouïs, que cela doit nous laisser de marbre quant à son devenir.
L’Être Humain en ses multiples racines n’est pas malléable à souhait comme le pensent les échotiers de la psychologie appliquée aux masses, car justement l’Être Humain est unique ce qui fait sa force, et sa force il ne la tire pas d’un quelconque héritage culturel mais bien de son héritage biologique, n’en déplaise, où là, subsiste, même chez les larves, l’instinct de survie de son capital génétique, qui va bien au-delà de ce que peuvent en penser les pauvres moutons qui s’imaginent que l’égalité existe entre les Êtres, - je ne parle pas ici de l’égalité des droits, inviolable – alors que n’existe que la complémentarité entre les Êtres, cette complémentarité aujourd’hui assujettie à une horizontalité bestiale qui ne ressemble à rien et dont on voit tous les jours les dégâts colossaux qu’elle fermente, délivre et détermine dans tous les domaines, quels qu’ils soient.
L’Être Humain tire de lui-même sa capacité à mettre un terme à ce qui lui nuit, à ce qui nuit à ses racines, à ce qui nuit à son évolution et à l’évolution de ses racines, - à telles fins que les scientifiques abasourdis ont pu remarquer en psychosociologie, que seuls s’assemblent ceux qui se ressemblent, et que la nature ainsi faite prouve que ce concert de mondialisation n’est qu’une utopie de secte en mal de pouvoir, un pouvoir qui sera rejeté n’en doutons pas, les anticorps dans le corps des sociétés prenant une ampleur insoupçonnée que rien ni personne ne pourra détruire, car la Vie se défend partout où elle est agressée, car la Vie n’est pas un troupeau mais une multiplicité de Vies qui dans leurs faisceaux se rejoignent naturellement et non sous le joug d’une quelconque autorité qui ne soit pas la sienne.
Cet oubli lamentable, - et comment pourrait-il en être autrement ? Car né de l’atrophie – fera que les temps à venir vont être des temps hallucinants, barbares et criminels, n’en doutons pas afin de réduire à sa plus simple expression le vivant. Mais que ne croit un seul instant la barbarie qu’elle va gagner du terrain comme on la voit œuvrer dans notre Nation, bien au contraire, et je souhaite comme précité que le suffrage universel renvoie dans leurs foyers tous les suppôts de sa dictature, de sa machinerie ignoble inventée par un minable jaloux des Jésuites, payé par le cénacle des marchands du Temple, qui, je le précise, ne sont ici désignés par confession, - car quelle confession pourrait ainsi rendre esclave l’Être Humain jusqu’à être pire que le ver ? Alors que toute confession cherche à élever l’Être Humain ! - pour officier sa litanie répugnante.
Mais cela sera-t-il le cas ? Ces temps sentent la guerre civile entre la barbarie et la Tradition, entre la Civilisation et le néant, ils suintent la guerre des religions, dont se sert d’ores et déjà la barbarie, ils témoignent de l’incapacité à régner de la subversion, de l’incapacité totale à gréer et forger l’évolution, et comment pourrait-il en être autrement ? Ces temps puent les camps de concentration et les goulags associés où ne dirige que la lie de l’être Humain, ces temps puent le génocide de l’Humanité en concaténation de laboratoires pharmaceutiques distillant la mort et de complexes agroalimentaires vendant tout ce qui est avarié, associé aux épandages déments d’aluminium et de baryum ainsi que de produits non déclarés, soi-disant pour lutter contre le réchauffement climatique.
À ce propos on assiste à une explosion sans précédent des cancers qui permettent à l’ingénierie de ce marché, car s’en est un, de se frotter les mains, alors que si nous revenions à un traitement à base de vitamine C à haute dose et de vitamine B17 d, les résultats seraient sans commune mesure sur le traitement de ces maladies, mais cela est une autre histoire, où l’on voit les marchands de la mort s’accoupler à un corps médical fragile qui ne peut résister à la manne que déversent lesdits laboratoires.
Ces temps sont hideux, il n’y a pas d’autres termes, et il serait temps que chaque Être Humain se réveille de son cocon ridicule, rejette la musique névrotique du crachat et de l’injure, le mensonge de pseudos actualités, afin qu’il regarde bien face son devenir et en tire les conséquences. Les leurres que projette la subversion ne peuvent toujours tenir tant la pourriture contrainte fait tomber le voile de leurs illusions cosmétiques, et les saltimbanques qui se glorifient dans les mots et en appliquent l’inverse n’y changeront rien, il est trop tard pour leur couronnement.
Les rapaces sont à l’œuvre, et les Aigles regardent sans aucune compassion. Et ces Aigles sont en chacun de nous, dans notre conscience génétique, mais pour la plupart assoupis et endormis par les litanies de la pieuvre qui se veut règne. Souhaitons que ce règne n’arrive jamais, et que chacun enfin se réveille de la torpeur qui l’englue et le réduit à l’état larvaire… ».
Triste monde que celui-ci, qui s’anéantit sur lui-même, fort heureusement, nous n’avons à nous soucier de son support, la subversion, qui est chez nous un objet de musée. Nous attendons la suite, en espérant que nos éclaireurs puissent encore nous répondre.
© Vincent Thierry