Bis repetita

Bis repetita

 

D’autres nouvelles nous parviennent de cette petite Terre située aux confins de la grande banlieue de cette galaxie que nous scrutons en tant qu’observateurs, mais lisons :

« Dans cette Nation ruinée par la reptation, il devient normal de traiter les uns les autres de tous les noms, et s'en suit suivant la routine des deux poids deux mesures, le choix du mécréant, et bien entendu de ses racines, afin d’enfanter l’indignation, le larmoiement, la colère. Cette dérive manipulée de toutes pièces trouve son lieu dans la subversion, qui faute d'argumentation, face à la désintégration de notre Peuple qu'elle acclame, officie, et encourage, cantonne dans cette méprise afin de culpabiliser les uns les autres.

Cette fumisterie de cette gouvernance aux mains du Grand Orient et de ses utopies dont la "république" universelle, le goulag parfait pour les médiocres, ne doit surtout pas faire oublier son idéologie mortifère. Et cette idéologie doit être combattue jusqu’en ses fondements, qui sont la bassesse de l’Humanité, sa trivialité, sa décadence, son infortune, sa déliquescence. Combattre les idéologies mortifères ce n’est pas combattre les femmes et les hommes qui les défendent, qui ne sont que des instruments égarés, les pieds en équerre, aux ordres de la subversion qui les enchaîne. Oui, nous sommes « nous », pour répondre à un discours prétentieux, mais je rétorquerai qu’il y a le « nous » qui élève et le « nous » qui détruit, cela fait une différence considérable, née de l’idéologie que ce « nous » défend. Il y a le tolérable et l’intolérable, et il y a bien plus l’intolérable tolérance, qui sera évacuée, n’en déplaise, car contraire à toutes les Lois Humaines, contraire à toutes les Lois de la Vie qui ne s’appuient pas sur la virtualité mais bien sûr la réalité pour prospérer.

Ici en aparté on comprendra bien que le terme raciste ne correspond à rien, sinon qu’à une virtualité qui se protège par des lois génocidaires, génocidaires de cette réalité qui fait qu’un Être Humain qui se respecte, respecte tout un chacun quelle que soit sa couleur de peau, et qui attend en contrepartie qu’on le respecte, ce qui n’est pas le cas dans cette chose que l’on nomme la « république » dont la gouvernance est agenouillée devant les communautarismes, sur lesquelles elle s’appuie pour orienter la désintégration de notre Nation en ses valeurs multimillénaires, dans le plus grand mépris de son Peuple.

N’oubliez jamais que le viol psychologique des foules commence par le fait de créer une action, regarder ensuite le degré de vacuité de la foule considérée vis-à-vis de cette action, ensuite arriver en sauveur si l’action ne complaît. Ainsi en va-t-il de ces aberrations auxquelles nous sommes invités à correspondre, lorsque tout un chacun ne doit s’y commettre, car donnant des armes à la subversion, à la police politique de la pensée, à la Tcheka que nous connaissons actuellement, qui ne l’oublions pas, gaze, emprisonne abusivement, détient arbitrairement, et qui n’attend qu’une manifestation pour s’en donner à cœur joie via ses milices tant d’extrême droite que d’extrême gauche qu’elle manipule à outrance.

L’indifférence face à ce type d’événement purement médiatique, est de rigueur, car cet événement ne cache en aucun cas la paranoïa que revêt l’arbitraire, qui pour se défendre, s’invente des ismes afin de parfaire sa vertu que tout un chacun doit accepter, vertu qui n’est autre que celle de la destruction.

Ainsi et pour en terminer sur ce sujet, soyons à cent lieues de ce « nous » inverse qui est le symbole de la désintégration et faisons en sorte que le « nous » qui élève le Peuple redevienne pouvoir, ce pouvoir qui n’appartient à personne, un pouvoir sous la surveillance du Peuple et non des commis d’une maçonnerie déviante, un pouvoir remis à celles et ceux qui élèvent le Peuple et ne cherchent par aucun moyen à le désintégrer dans les phasmes de l’allégorie des lamentations qui cachent leurs vices les plus tenus dans leur enchaînement à la corruption de la subversion.

Le 11 novembre fut l'anniversaire d'un armistice laissant derrière lui dans la tombe un million trois cent cinquante mille Français, dont 5% de troupes coloniales, morts pour la Patrie, notre France, combattants héroïques qui doivent aujourd'hui se retourner dans leur linceul à la vue de ce qu'est devenue notre France tombée entre les mains de la subversion la plus dégradante qui soit. Honneur donc à ces combattants, dont mon Grand-Père, et ses Frères, qui combattirent à Verdun, au Chemins de Dames et aux Dardanelles. Honneur donc à ceux qui surent se battre avec honneur et subirent dans leur chair leur don de sacrifice, leur mépris du danger pour consacrer les valeurs immortelles de la France que conchie aujourd'hui toute la subversion bolchevique qui parade.

Honneur donc à ceux qui sont morts ou qui ont été blessés dans ce combat d'une violence terrible. Que personne qui se respecte et respecte ses morts n'accorde la moindre attention aux discours officiels déformés par la haine de tout ce qu’est le Peuple de France, sur le centenaire de cette guerre, qui fut fomentée par la couronne d'Angleterre en plein accord avec la noblesse Allemande, aux fins d'asphyxier l'économie Allemande et lui faire perdre toute valeur et aussi balayer d'un revers de main l'intelligence Européenne au profit d'un cosmopolitisme outrancier.

Ces discours rédigés par les loges noires n'ont aucun intérêt sinon celui de voir à quel point la dégénérescence s'accentue, et en cela l'inévitable sursaut qui viendra, n'en doutons pas, lors des élections à venir, afin que l'on respecte nos morts, nos combattants, qui se sont sacrifiés pour la France, et non pour de quelconques "républiques universelles" qui ne sont que les utopies de l'atrophie et de celles et de ceux qui n'osent se révéler en place publique afin d'argumenter, préférant par des lois iniques imposer leur pensée unique, cette pensée servile qui demain sera dans l'obligation de respecter la France et ses légions de combattants qui l'ont construite, la France éternelle, n'en déplaise aux maquilleurs de l'histoire, aux menteurs patentés, experts de poubelles, experts inventoriés en fonction de leur vertu dilatoire, experts en tous genres l'arrière-train troussé pour obtenir quelques euros permissifs pour leur délation rituelle, auquel chacun d'entre nous ne doit accorder, comme je le disais, aucune importance, car leurs verbes sont sans portée par rapport au courage, à l'Honneur, à la force comme à la grandeur du sacrifice de nos grands-parents et pour certains arrières grands parents qui ont levé haut le drapeau de la France, et ne se sont jamais dégradés pour le desservir, hors quelques composantes dévouées à la cause de la révolution mondiale qui s'engage dès 1917 ne l'oublions pas, personnes égarées par la propagande de l'infecte subversion allant détruire 60 000 000 de Russes, dont personne ne parle plus ce jour.

Mais cela viendra. Soyons en sûr. On le voit, le meurtre est le panache de la subversion, en son souci de destruction des Peuples pour implanter sa dictature universelle, qui appelée république universelle ne date pas d'aujourd’hui mais de 1776. Aujourd’hui cette destruction atteint son paroxysme, quand on pense aux deux cent mille avortements de Françaises, deux cent mille vies qui sont remplacées par deux cent mille entrées d’exogènes dans notre Nation. Nul besoin d’être un grand mathématicien pour comprendre que la subversion remplace la population de souche par le jeu de l’avortement et demain de l’euthanasie.

Que l'on consente à l'avortement par nécessité, on est d'accord, mais consentir à l'avortement de masse relève du génocide le plus singulier, et nous vivons ce génocide, grâce aux agents les plus putrides que naît le beau socialisme qui depuis 1917 a occasionné sous ses bannières plus de cent cinquante millions de morts pour lesquels on attend toujours un jugement de leurs meurtriers de masse. Le respect de la Vie n'existe pas dans le cadre de la subversion, et pour ceux qui opposeraient le surplus de population, je rétorquerai que cette surpopulation n'existe que dans les idées destructrices, car ce que l'on appelle surpopulation, aurait dû trouver depuis des dizaines d’années, si et si seulement on avait employé les moyens nécessaires, son apurement grâce à la conquête de l’espace, le reste n’est que fumisterie idéologique née d’esprits atrophiés.

Ces quelques impressions troussées par les médiatiques errances attirant l’attention sur un tireur fou (manipulé par la police politique pour faire diversion ?), et le match de football, ô souveraine glorification qui sent la vente à plein nez d’une équipée que l’on cherche à faire plaindre, mais n’est-ce pas la mode, et dont l’inutilité n’est pas à prouver au regard d’un audimat d’un million sept cent mille personnes, alors que la France en compte pratiquement soixante-dix millions. Donnez-leur des jeux ! Ils oublieront qu’ils ont faim ! Le reste n’est que discours de politiciens vaniteux, les pieds en équerre, qui feignent l’altercation, et dans leur plus grand mépris de la réalité se consolent comme ils le peuvent avec leur pacte noir, le pacte « républicain », le pacte de la hideur par excellence dont les valeurs sont celles de l’esclavagisme et de la dictature, que défendent le menton haut et fortement tous les agents de ces méprises, dignes de celles des soviets.

La propagande continue à battre son plein, voyant le gazeur des enfants devenir l’élu du cœur des Françaises et des Français, mais de quelles Françaises et de quels Français parlons-nous ? De celles et de ceux, qui sans papiers, bénéficient des largesses d’une peau de chagrin qui est celle de notre économie ? Pauvre économie où l’on voit dilapider toutes les ressources péniblement mises en caisses, qui de sécurité sociale, qui de retraites, par les Françaises et les Français de souche, par le déploiement régalien de la fainéantise constituée notamment par l’Aide Médical d’État. Un trou sans fond, un trou anonyme, qui n’est pas le seul, le coût de l’immigration annuel étant de quatre-vingt-quatre milliards d’euros, voyant les Françaises et les Français asséchés de leurs petites économies pour nourrir toute la misère de la terre, et nonobstant la misère toute la lâcheté de cette Terre, qui préfère vivre en parasite sur les terres d’une Nation qui n’est pas la sienne, plutôt que de combattre les régimes dictatoriaux qui régissent ses propres Nations.

On peut concevoir l’asile politique pour celles et ceux qui combattent pour la Liberté dans leur Nation, mais en aucun cas pour celles et ceux qui ne cherchent avant tout que prébendes, dans cette légalité dont les lois seront débarrassées, consistant à voir un site Africain faire comprendre comment on pouvait gagner jusqu’à 3000 euros sans ne rien faire dans notre Patrie, pour toute personne désirant émigrer, comme il en est actuellement des personnes ayant plus de soixante-cinq ans qui touchent en couple jusqu’à mille trois cents euros de retraite sans avoir versé une seule cotisation, alors que la France est composite de huit millions de pauvres !!!

Huit millions pour lesquels rien n’est fait, sinon pour les vieillards que de les faire crever au plus vite, les lits d’hôpitaux ne pouvant plus être occupés par les Françaises et les Français de souche, voyant deux cent vingt mille exogènes bénéficiant de l’AME, voyant composite une jeunesse abandonnée à la stérilité de la reptation et de la repentance afin qu’elle accepte le chômage irrémédiable qui va la contraindre, alors qu’il existe presque cinq millions de chômeurs déjà engrangés par une politique économique et fiscale totalement débile, voyant nos usines se délocaliser, nos ingénieurs partir, nos chercheurs s’enfuir, etc etc …. 

Bis repetita. Il est temps que tout cela change et il est temps de remettre de l’ordre dans cette gabegie instaurée par l’ordre noir maçonnique subversif, par ces jaloux et ces cloîtrés qui bien entendu ne veulent surtout pas faire disparaître le cumul de leurs mandats, dans l’aberration qu’ils sont de honnir le Peuple, ramenant tout à eux, à leurs petites personnes ridicules qui ne trompent plus personne, voyant en leur cénacle les traîtres, les fourbes, les lâches, les vendus, toute une sous-aristocratie de la perversion qui gangrène nos Institutions, tous les pouvoirs, et qui s’enrichit sur le dos de la France, cette pauvre France, vendue en ses fonds souverains, au Qatar, à l’Arabie Saoudite, à la Chine, tout ce qui sera racheté irrémédiablement par la sortie de cet euro minable et tragique n’ayant entraîné que paupérisme, calvaire des Peuples, mépris de toute humanité.

La TVA va être augmentée au premier janvier afin de parfaire les subventions accordées, notamment à l’AME, aux fins de détruire totalement les fondements économiques de notre Nation. Il n’y a que les aveugles pour ne pas le voir et se bercer d’illusion. La bulle économique est loin d’être résorbée, elle va exploser, laissant pantelant l’euro qui va perdre jusqu’à 70% de sa valeur, n’en doutons pas un seul instant, il est temps d’en sortir. Et l’on entend dans l’hypocrisie la plus absolue de prétendus politiques parler du retour de la croissance ! Que l’on s’en amuse si ce n’était pas si triste, car cela sera au prix du paupérisme de l’ensemble des Peuples, belle aubaine pour les esclavagistes et leurs féaux, ces réseaux morbides mondialistes qui puent la mort qu’enchantent toutes les liesses des petits porteurs, des déviants corrompus, des boursicoteurs en herbe, toute cette masse non-humaine qui spécule sur le prix des denrées alimentaires, comme d’autres sur le prix des matières premières.

Il ne faut être alarmiste mais réaliste ce que ne peuvent plus ces prétendus hommes politiques inféodés à leurs serments maçonniques qui les conduisent à la tombe, et s’il n’y avait qu’eux, ce ne serait pas grave, mais ils emportent avec eux les Peuples qu’ils dirigent par viol psychologique, par mensonge, par illusionnisme. Mais qu’est-ce donc ce serment ? Sinon celui symbolisant la destruction des Nations, la destruction des pouvoirs, la désintégration de toute spiritualité, le serment de faire naître dans la bestialité et la corruption la nouvelle religion du nihilisme, qui n’est autre que le symbole de la barbarie.

Et pendant ce temps, au lieu de régir la France, le pouvoir actuel s’en va présenter les clés de la France à des Nations qui ne sont pas la sienne et ne seront jamais la sienne, se glorifiant d’une politique étrangère totalement infantile, courbant l’échine devant qui le veut, avec une obséquiosité sans bornes, des rodomontes alléchées sentant le graillon et la chienlit, dans la prosternation et l’outrage. Un outrage si grand qu’il faut ici remercier la Russie comme les États-Unis que de l’avoir renvoyé aux calandres grecques, car sans cela nous aurions eu une troisième guerre mondiale, non pour le profit de la France, mais pour sa déchéance la plus désacralisée.

Voici où mène le nihilisme, à la guerre, à la destruction, à ce nectar qui embaume toutes ces loges noires qui paradent jusqu’au cœur de l’Élysée et qui dictent leurs paraboles de prêtres de la mort à des nains politiques qui les absolvent. Françaises, Français, réveillez-vous, demandez impérativement que soit proscrit tout mouvement maçonnique ou issu de sociétés de pensées, de tous les corps de l’État, de l’État lui-même, où ses agents ne sont là que pour détruire la Nation, notre Nation, n’en déplaise, multimillénaire où seulement depuis 1789 s’agitent ces troupes nauséabondes et perfides qui sont les mentors de fleuves comme de mers de sang, le sang de notre Peuple comme le sang des Peuples de ce monde.

Ne confondons pas la Révolution Américaine avec cette révolution « Française » qui n’en porte que le nom qui est Allemande avant tout, financée par l’Angleterre, afin d’amoindrir la vitalité de la France, afin de la réduire au néant, ce que n’acceptera pas Napoléon Bonaparte, qui sera lui-même emporté par cette singularité déviante qui ce jour parade dans tous les corps de notre État, et dans l’État lui-même. La Loi de 1905 doit être rectifiée, et y additionner la Franc-Maçonnerie et toutes sociétés discrètes ou de pensées, à l’Église. Une séparation stricte doit être observée si on veut seulement se sortir de la purulence dans laquelle nous a conduit cette maçonnerie déviante, alliée en cela avec les sociétés de pensées mondialistes anachroniques et dictatoriales qui ce jour sont parfaitement reconnues jusqu’en leur fondement.

La France peut retrouver la clarté de jours difficiles, certes, mais bien moins stériles que nous connaissons actuellement, car ces jours ne seront pas là pour détruire mais construire, et nettoyer les écuries devenues de nos Institutions, de nos grands corps d’État, où se sont immobilisées toutes les pustules de ces mouvements déviants qui font la perte de la France. Il faut demander que soient rendues publiques les appartenances, avant même que les élections municipales ne viennent. Le seul corps politique capable de faire cette demande n’est pas au pouvoir, conchié qu’il est par toute l’idolâtrie morbide qui trône, par toutes ces idéologies pestilentes, nauséabondes, sulfureuses, bâties sur le néant, relevant de l’atrophie mentale la plus pulvérulente.

En aura-t-il le courage ? Même si en son sein naissent quelques Francs-maçons qui semblent comprendre à quel dessein on les employait, ce dessein de la mort inscrit en toutes lettres sur le parvis des autels de la « république » Liberté (pour les esclavagistes) Égalité (pour les esclavagistes) Fraternité (pour les esclavagistes) le Peuple n’ayant son mot à dire comme cela s’est si bien vu pendant la fameuse « révolution » où les comités étaient composés de 90% de Francs-Maçons, dont certains en aucun cas fils de France. La haine du Peuple a toujours été le let motif de cet assemblage hétéroclite de confessions diverses essentiellement anticatholiques, qui agité par l’usure, s’en est toujours donné à cœur joie pour entreprendre la destruction de tout ce qu’elle touchait, et pour ceux qui ne pourraient y croire, il leur suffit de regarder ce jour pour le comprendre, ce jour où l’Être Humain doit être assimilé au genre, où l’avortement et l’euthanasie demain vont être des règles de gouvernement et de comportement, où les Races ne doivent plus exister au profit d’un « métissage » chronique et non consenti, où l’anus devient le lieu commun de tout un chacun que tout un chacun doit inscrire dans le bréviaire de ses attitudes pour correspondre à la démence de pseudo-psychologues.

Un jour où la liturgie laïque doit être la panacée de tout un chacun se devant de renier ses racines, son histoire, au profit de la débilité accentuée qui ne raisonne plus que par cinq cents mots, et je suis gentil lorsque je parle de cinq cents mots. On suffoque dans ce jour devenu par l’action subversive, un cloaque où l’immondice se veut glorieuse, tétanisant la connerie qu’il invente pour promontoire vers son néant, cette acculturation programmée, cet abysse d’où ne sortent plus que des sons glauques, des peintures en formes de chiures de mouche, des sculptures en formes d’étrons, tous de ce phasme accroché aux basques de l’Humanité comme un boulet dont il faudra se séparer si l’Humanité veut survivre.

Nous pourrions ainsi discourir encore et encore, mais il faut craindre que le pire reste à venir, ce pire voyant les soustraits, les traîtres et les perfides, vouloir s’accrocher par tous les moyens à ce pouvoir qui n’appartient à personne, et il faut même craindre l’assassinat des personnalités des mouvements de Droite, je ne parle pas de l’extrême droite qui n’est qu’un doigt de la main que la subversion agite, comme on le voit si bien en Grèce, où la liquidation systémique des meneurs des mouvements Nationaux est l’objet d’écartement (diligentée par les services noirs de l’union européenne, n’en doutons un seul instant, qui ont liquidés le gouvernement Polonais dont l’avion le menant en Russie avait les ailes bourrées de TNT).

Donc méfiance, méfiance totale vis-à-vis de la subversion qui règne et de son autre visage qui cherche encore à convaincre les aveugles et les sourds et les muets.

Rappelons nous que dans la coordination de ses privilèges, le meurtre est son occupation préférée lorsqu’on voit comment ont été arrêtées arbitrairement soixante-treize personnes, lors de la manifestation du 11 novembre, dans un déni du droit le plus total,  faisant ressembler les services d’ordre – normalement au service du Peuple - à la Tcheka, à la Gestapo, tous petits frères en socialisme, ne l’oublions jamais.

En attendant le bilan est simple, huit millions de pauvres, cinq millions de chômeurs, une jeunesse laissée à l’abandon, l’accumulation des zones de non droit où les combats se multiplient pour y faire régner le trafic de drogue, - combien y en a-t-il qui touchent sur ce trafic pour que ces zones ne soient pas nettoyées ? - Une insécurité de plus en plus visible où rôdent toutes celles et ceux qui ne sont pas punissables d’un emprisonnement de deux ans, un service de soin qui se réduit comme peau de chagrin, malgré, je le dis, la dévotion, du corps médical, des infirmiers et infirmières, des laboratoires de biologie médicale, une Armée sur le déclin faute de moyen que l’on préfère donner à l’AME, une servilité sans fins à tout ce qui n’est pas la France et ne le sera jamais, et dans tout ce bazar honteux en lui-même, la parade du glauque et de la mort qui se réjouit.

Patience, l’Histoire nous prouve que des régimes suant la mort ne durent que ce que durent les roses, sans jeu de mots. Et pour celles et ceux qui croiraient que se sortir de cette impasse est impossible, je ne leur rappellerai jamais assez ce qu’a fait le Peuple d’Islande, une révolution du Peuple, pour le Peuple et par le Peuple, une révolution sans une goutte de sang qui devrait faire réfléchir les plus rétifs sur ce que peut être le devenir de la France qui se respecte et se fait respecter. »

Nous ne pouvons que compatir et voir enfin le Peuple de cette France se redresser et non plus s’enliser dans la fourberie, le crétinisme, la bêtise, la léthargie, l’ineffable contrition.

© Vincent Thierry