L’anéantissement
- Détails
- Catégorie : Politique
L’anéantissement
Petites nouvelles de Terre qui sont particulièrement inquiétantes pour le devenir Humain et son potentiel d’accession à la Liberté. Mais lisons :
« Nous voici donc à la croisée des chemins, soit l’anéantissement, soit la renaissance, qu’il suffit pour cette dernière d’inscrire dans un vote de salubrité publique, témoignant de l’immortalité de la France et de son Peuple.
Une France humiliée, une France martyrisée, une France décomposée par la pourriture bolchevique qui y règne comme elle règne dans cette chose malsaine qu’on ose appeler l’union européenne, sous les auspices de la malfaisance socialiste, la dépravation de pseudos républicains, la reptation à l’islamisme de toute une fange qui ne peut concevoir de vivre dans la grandeur, dans l’honneur, mais seulement dans la souillure, le déni du réel, le paupérisme intellectuel, la flatterie de la médiocrité, la bêtise couronnée.
Ces îlots communautaristes de la félonie, de la traîtrise, sont là et se veulent parades, niant l’existence de notre sol, de notre Peuple de son Histoire, niant de Vercingétorix à Charles de Gaule la vitale allégorie de notre Histoire, niant la réalité multimillénaire d’une Royauté qui a fait nos frontières, niant la vivacité et le témoignage de nos Maréchaux, de nos Généraux, de nos simples soldats qui ont conquis le monde, par toutes les terres, apportant avec eux une forme de civilisation, qu’aujourd’hui renient les bassets à la solde de petits pétroliers sans avenir, de petits banquiers qui n’ont jamais été que les moisissures de toutes les civilisations, et qui ce jour dans le déni de la réalité font la pluie et le beau temps, les guerres outrancières, les génocides barbares auxquels participent des gouvernances répugnantes, qui se voudraient mesures alors qu’elles ne sont que vermines associées qui mènent le monde vers les ténèbres et l’impuissance.
Le monde unipolaire est un danger pour l’Humanité, une contrition de la vanité, de la fétidité, de l’acculturation, de la mise à mort par la sédation ou l’avortement, toujours la vaccination et l’épandage de produits chimiques corrompant la raison, un laboratoire de sangsues avides qui n’ont aucunes valeurs, sinon celles de leur portefeuille, aucune raison d’être sinon que l’anéantissement d’autrui.
Cette unipolarité, totalement viciée, par le mensonge et par la propagande vend ses marques de savonnettes, dont le fumet pue la mort, si bien représentée par son valet servile et demeuré, qui n’a d’autre but que de détruire jusqu’à la moindre incarnation de la France, par une soumission totale aux décérébrés de la Terre, cette petite quantité négligeable qui s’imagine le pouvoir Humain parce qu’elle possède quelques deniers, un château de cartes établi sur des bases sablières que l’ouragan de la volonté humaine renversera au premier souffle, hissé par les valeurs du réel et non les agonies de la virtualité.
Ce quarteron de félons est là dans les belles lucarnes aux ordres, on les entend du matin au soir sur les ondes psalmodier leurs incohérences, leurs goûts infects, leur pensée unique de médiocres, leurs litanies qui sue la bestialité qui les ordonne, les contemple, les admet, les précipite et les ouvrage dans la perfidie, la traîtrise, l’ordure, tous messagers de l’abrutissement, de la dérégulation de toutes formes, aux fins de naître l’informe, la boue vorace qui les englue et les perpétue, faites de toutes les immondices, une panoplie qui renie toutes cultures et notamment la nôtre car incapable de la moindre créativité, sinon celle de la destruction qui les commet, les enhardit, jusqu’à la veulerie suprême, des goules dont l’haleine est la fétidité extrême, une meute ahurie, se complaisant dans la déréliction jusqu’à l’outrage, dans une perversité qui se répercute dans le néant qui leur tient lieu.
La Vie ce n’est pas cela, la Vie dans son architectonie déploie une imagination fertile qui voit en ses enceintes se propulser sa réalité, dans la multiplicité, les Êtres, les Peuples, les Races, l’Humanité, la beauté qui ne se soumet mais bien au contraire s’élève et correspond, dans la vitalité, la joie, sans abandon le moins du monde de ses racines, afin de progresser par la complémentarité vers l’apothéose et non ce subterfuge qui est prononcé, celui de l’esclavagisme le plus répugnant qui soit, encadré par des barbares pour mettre au pouvoir des barbares, des sanguinaires sans vergogne qui agitent les guerres économiques, les guerres sanglantes, et le terrorisme, cette belle invention qui leur permet d’asseoir la volonté afin que tout un chacun se réfugie dans leur giron.
Ce quarteron est nécrose,L’anéantissement incommensurable vivier de la perdition, encadrée par ses sectes, la maçonnerie déviante, les sociétés dites de pensées qui ne sont que des tremplins vers la gangrène et le cancer de l’humanité, des cercles qui ne sont que les fourre-tout des imbéciles trompés qui s’imaginent travailler pour un quelconque développement et qui en fait creusent leur propre tombe comme la tombe de l’humanité, et l’arme de cette bassesse est là, faite de tous ses ismes qui tentent de monopoliser l’attention, culpabiliser les ignorants, enhardir dans une milice les faibles d’esprits, les uns les autres encouragés par la lie de l’humanité à laquelle se correspond ce marché des ismes, car ne voyez là que les arbitres de la haine qui veulent vous faire passer pour ce qu’ils sont, des racistes, des antisémites, et j’en passe et des meilleurs, marque de fabrique du transfert habituel des tares qui dirigent cette opération tragicomique qui se voudrait l’infection suprême de toute réalité.
Quarteron des médiocres qui ne savent se tenir debout sans l’appui circonstancié de ce qu’ils appellent leur âme, une âme de dégénéré s’accouplant à l’or comme picsou si bien décrit dans la fameuse bande dessinée, qui n’ont d’autres volontés que de soumettre afin de gagner plus et plus encore sans comprendre que la finalité humaine ne se résout pas dans cette affligeante infirmité, une infirmité si bien représentée par la dette, la dette, nectar sublime des indigents, qui, sans ne rien faire, obtiennent des dividendes sur le sang et la chair humaine, ne pouvant concevoir que des Nations ne soient pas endettées pour les servir et payer leur fainéantise chronique qui relève de l’incompétence absolue, celle des néants qui voudraient s’inscrire pouvoir global de cette petite terre, et dont le pantin absolu ce jour, vendu par des médias aux ordres, s’avance, dans l’impunité la plus totale, une chose totalement ridicule qui ne véhicule que le mensonge et l’atrophie, auxquels emboîtent le pas toute la lie de la société humaine, les prévaricateurs, les voleurs, les faiseurs de guerre, les corrompus, les fallacieux, cette soupe populaire de la médiocrité qui depuis des décennies mène la France au tombeau.
On comprendra mieux ce jour l’empressement de cette bestialité à vouloir faire accroire, comme elle l’a fait aux États-Unis en son temps, aux fins de préserver ses privilèges indus, dans une mascarade où résonne la traîtrise, le parjure, toutes les orientations de la boue bolchevique qui s’est toujours servie des assassins et des truands pour tenter d’asservir, qui s’est servie du terrorisme pour convaincre, qui par tous les temps se sert de sa nécrose pour attirer tout un chacun dans sa méthodologie chronique de destruction, hissant le pavillon de ses milices jusqu’en les réunions de ses contradicteurs, dans la violence et l’impunité de la violence au motif de sa familiale latitude avec le socialisme sectaire qui pourrit les Nations comme ce petit monde depuis sa naissance.
Ne cherchez bien loin la source et le fléau de ce quarteron qui se résume dans ce socialisme, la démocratie sociale, le communisme, le national-socialisme, le communisme, tout un bestiaire de larves accouplées qui prétendent au pouvoir pour les intérêts du Peuple, qu’ils conchient immédiatement pour s’approprier les postes, tenir dans un goulag la Nation dont ils héritent par l’usurpation, et notamment de leurs loges maçonniques déviantes, à laquelle aucune République en France n’a échappé, voyant s’instaurer leurs bubons, dans une opération nécrophage n’ayant pour but que de livrer la France et son Peuple non seulement à leur pâture, mais à celle de leurs commanditaires, les usuriers les plus veules que la terre ait connue. Et l’on ne s’étonnera pas que leur pantin soit ce jour associé à la conquête à nouveau du pouvoir en France.
Ce fléau idéologique doit disparaître de la France comme il a disparu de nombre de Nations qui se respectent et se font respecter, un fléau qui naît dans des loges putrides qui doivent être mises sous haute surveillance, et conjointement voir leurs membres dissociés de toute gouvernance de la Commune à la Présidence, de toutes les Institutions, sans que jamais ils ne puissent revenir par l’étendue de la Loi de 1905 aux sectes maçonniques et sectes diverses, cercles de pensées, sociétés de pensées, fondations, etc, car personne ne peut servir deux maîtres à la fois, la France ou la subversion.
Ce jour cette subversion parade dans le déni du réel et l’exposition de ses leurres jusqu’à voir l’une de ses mantisses bolcheviques annoncer la saignée de la France par une imposition délirante, et bien entendu par le noyage de son Peuple par une invasion massive d’une Afrique qui devrait se battre pour retrouver sa liberté et non venir pleurer la mendicité dans des Nations qui n’ont pas les moyens de la nourrir.
Ce qu’il y a de terrible, c’est que par ignorance et propagande, des citoyennes et des citoyens vont tomber dans l’escarcelle de ces choses prétendantes dont l’Histoire nous démontre l’infamie, la bestialité, la dictature, un bestiaire insensé qui se voit couronné pour le socialisme par près de cent cinquante millions d’assassinats, et ne comptons les assassinats dans ce que l’on ose appeler le libéralisme forcené qui est redevable d’une croissance exponentielle, deux paravents de la même ignominie qui trône dans les conseils d’administrations de banques déviantes, couronnant une union européenne admettant le trafic d’armes comme de drogues dans le cadre des bilans, touchant très certainement sa dîme pour cette ignominie, comme d’ailleurs les verrous de la « paix sociale » qu’il conviendra pour tout gouvernement qui se respecte de déloger et juger manu military de toutes les institutions quelles qu’elles soient.
Observons jusqu’aux dernières limites la correspondance entre les sectes, l’une de la lie de l’humanité avec son mentor allant jusqu’à téléphoner aux citoyennes et aux citoyens comme une prostituée, et pire encore l’autre qui se présente comme le sauveur de la France, allant jusqu’à discréditer avec les mêmes armes, les sondages bidons, le cœur de la Nation, on comprendra que les mêmes méthodes sont employées pour taire la voix du Peuple de France, et si l’on pouvait hésiter un instant entre la Voix du Peuple et celui qui sous tendrait redonner une place prépondérante à la France, tout un chacun aura compris qu’il ne peut être qu’une illusion, aux motifs de sa propagande ridicule et de ses argumentations qui sonnent fausses désormais, voyant s’allier les mêmes discours contre les mêmes opinions.
Il y a là un bestiaire qu’il convient de nettoyer, dans l’urgence si l’on ne veut pas descendre dans les ténèbres qui sont le lieu commun de ces sectaires, de ces communautaristes, les uns du capital, les autres de toute la misère humaine, et tout un chacun aura compris qu’il n’existe désormais qu’une alternative pour se sortir de la boue qui tente d’inonder chaque volonté, dans le prisme de la décadence, de l’outrage, de la dysharmonie, les plus évidentes, celles qui tenteront de détruire le cœur de la France, comme elles ont bien failli le faire avec la manipulation du terrorisme à Marseille, fort heureusement stoppée par des femmes et des hommes de bonne volonté qui ne s’inscrivent pas dans cet hallali de la bestialité qui se veut maîtresse de toute pensée.
La croisée des chemins est donc là, et il convient que tout un chacun en prenne la mesure, celle de sa disparition ou bien de sa renaissance, une renaissance qui ne tient qu’à un acte de volonté, un vote de salubrité publique qui mettra hors de nuire les vampires fétides qui grouillent dans cette élection qui devient de plus en plus une mascarade, où se vautrent les gargouilles et les prédateurs les plus barbares que notre France ait connus. »
Pauvre petit Pays soumis à l’usure et la subversion associées dont nous avons depuis bien des millénaires renvoyés les scories. Espérons que cette Nation, qui a toujours été un phare sur ce Monde, se redresse.
© Vincent Thierry