La fange

La fange

 

Petites nouvelles de cette petite Terre où l’on voit l’Occident s’enfoncer dans la fange et notamment cette Nation que l’on nomme la France, laboratoire de la servilité et de la bassesse les plus consommées. Mais lisons :

« Nous voici donc de nouveau dans le régime du faux drapeau pour complaire aux désirs de conquête des ornementations de la virtualité qui fondent sur l’humanité afin d’en détruire la finalité. Ce que l’on entend en provenance des États-Unis comme de cette pauvre France, sur l’utilisation d’armes chimiques par le gouvernement légal de cette Nation est aberrant, contradictoire, totalement inverse à la réalité qui voit les djihadistes, armés, entraînés, par toute la lie de l’Humanité, utiliser ces armes, sans le moindre atermoiement d’un pseudo-occident ce jour livré à la bassesse, la cruauté, la bestialité. Pauvre monde qui s’imagine civilisation alors qu’il n’est que barbarie, barbarie répugnante qui s’imagine règne, voyant tous ses offices se dresser les uns avec les autres pour finaliser une guerre mondiale qui verra leur disparition, un monde aux mains en Occident de maîtres d’esclaves accomplis qui par défaut cognitif acclament toute cette déperdition, cette tare que porte en elle une Humanité qui ne s’élève pas mais se consume dans le vénal, l’arbitraire, la démesure, auge d’un déclin engendré par ces sous humains qui veulent la diriger vers le néant.

Compassion pour ces tristes demeurés qui n’ont pas compris un seul instant, du fait de leur cécité, que l’Humanité n’a d’autres ambitions que son élévation et non sa déperdition dans les limbes grossiers de la déliquescence la plus globale. Fort heureusement se dressent à l’Est des Nations qui ne s’en laisse pas conter avec ces crispations de la boue qui voudraient voir tout un chacun se rouler dans sa fange. Une fange qui s’inscrit si bien désormais dans notre pauvre petite Nation, la France, où l’on voit se pavaner l’incongruité élue avec moins de vingt pour cent des voix Françaises, et déjà charpenter sa volition qui n’est pas celle, on ne s’en étonne pas, d’élever son Peuple mais bien de le rabaisser dans la lie de ses vices par ses ordonnances et ses clameurs mielleuses et susurrées comme en écho par toute une presse aux ordres qui sue la reptation la plus bestiale qui soit.

Que l’on observe déjà les premières manifestations de cette boue qui se veut lucre alors qu’elle n’est que luxure de la désintégration. On entend la liquidation des droits sociaux acquis par le sang, les larmes et la sueur de Françaises et de Français qui ont donné leur vie pour enfin sortir de l’esclavage initié par la décadence qui a initié une révolution dite française, pour s’accroire plus roi que le Roi, en singeant les armes de la Liberté, de la fraternité, de l’Égalité, qui ne concernent que ce sérail de l’impudicité, et en aucun cas le Peuple, qui doit toujours courber la tête s’il ne veut en être dépossédé. Que l’on observe dans le cadre même de la santé ce que prépare cette infamie qui conditionne désormais la mise en place de onze vaccins pour les enfants, des vaccins aux adjuvants à l’aluminium qui sont les fondements des maladies auto immunes, qui sont la destruction par excellence, tout cela pour complaire à des laboratoires qui sont la mort par excellence et ne cherchent en aucun cas à guérir mais bien  au contraire à prospérer sur les maladies qu’ils inventent.

Eugénisme et eugénique donc est cette gouvernance dont on comprendra que les conflits d’intérêts subodorent les dépendances. Voici ce qui s’avance désormais dans ce lieu qui devient une fosse d’aisances, un camp de concentration que les  nazis nous envieraient, où la mort frappe à toutes les portes, qui pour l’avortement, qui pour la sédation, qui pour la vaccination, un meurtre légal et légiféré par la bestialité en pouvoir qui ne cherche qu’à liquider définitivement le Peuple de France pour le remplacer par toute la misère humaine, encouragée par ses voix multiples qui comme des coups de hache détruisent le tronc de l’Identité, afin que le servage règne, un servage brutal qu’applaudissent tous les néants industriels qui prospèrent sur la misère, sur la lâcheté, qui encouragent la perfidie, l’acculturation et l’illettrisme pour mieux épanouir des fortunes bâties sur la ruine de toutes civilisations. Et l’on y entend par-ci par-là quelques novations qui font rires le monde entier, au nom d’une égalité inexistante, la création de classes de douze élèves uniquement dans les zones de non droits, dans le plus grand mépris des classes accueillant les Français de souche qui doivent disparaître pour cet égarement de la pensée, cette proximité de l’anarchie, cette fringale de la destruction.

On y entend que le prince nommé comme une marque de savonnette, qui se prend pour Napoléon se ferait entendre avant même que sa gouvernance présente son programme, pour initier un coup d’État ? Cela reste dans le domaine du vraisemblable lorsqu’on voit le personnage imbu de sa petite autorité qu’il détient des sectes qui le portent, et qui ne tolère en aucun cas la moindre remontrance, qui s’imagine que les Françaises et les Français l’ont choisi alors que même pas un quart de ceux-ci ne l’officient. Tout est possible pour la médiocrité qui se veut règne, tout est possible lorsqu’on laisse s’insérer dans le pouvoir la dépendance la plus globale, allant jusqu’à attiser le devoir des reptiles qui est celui de s’aider pour dépecer les Nations et les réduire à la poussière, comme on l’a entendu en provenance de ce personnage, petit agent des Anglo-Saxons, prêtrise de l’action sans finalité contre la Syrie aux motifs mensongers si bien bâtis par la précédente gouvernance qu’ils ont fait rire le monde entier.

Où se trouve l’intelligence du personnage dans le cadre de ce conflit ? Il n'y en a aucune sinon celle qui l’intime à la pérennité des exactions en tout genre initiées par l’état profond, le pouvoir réel qui se commet dans la prédation, la destruction, et l’entreprise de mort qui le tient. Et il y en a pour voir dans ce valet de la prostitution la plus vindicative le renouveau de la France! Lorsqu’il en est le destructeur impassible, froid, viscéralement tortionnaire par vocation, par apprentissage et par élection mensongère. La France n’a jamais été aussi en danger que ce jour, tout comme ce monde où l’on voit s’agiter les fléaux d’une maçonnerie déviante, les grumeaux des sectes les plus voraces, tout un aréopage qui ne se complaît que dans le crime de guerre, que dans la destruction des peuples, que dans le servage de l’humanité. On constatera que ce sérail présente les faits et les actes comme s’ils allaient de droit, usant et abusant d’une propagande qui fait rire un enfant de cinq ans, une propagande qui vole en éclat dès que l’on se penche sur les problèmes évoqués qui ne sont des problèmes que pour ceux qui les évoquent, qui n’existent que pour complaire à l’absurdité d’un trois pour cent qui n’existe que dans la tête de pseudos gouvernances notamment européenne qui au lieu de participer à leur défense bénéficient de la défense Française, et notamment de son armement atomique sans verser le moindre denier.

Belle « europe » de satrapes et de vandales qui vocifèrent contre une Russie qui n’est pas agressive pour complaire à leur ego, leur larve attitude de lâche qui attend tout des autres, et rien d’eux-mêmes, des assistés qui réclament et réclament encore, et qui  attendent tout sans rien ne donner. Une «europe» dans laquelle la France n’a rien à faire sinon que pour se dissoudre, ce qui n’est pas fait et ne le sera jamais, n’en déplaise à toute la boue qui veut l’humilier et la dénaturer, une « europe » de vassaux, de valets aux ordres de l’État profond Américain qui est leur donneur d’ordre, leur donneur de volonté, leur donneur de leçon, qu’ils écoutent avec l’obséquiosité des bourgeois de Calais, fin de races qui s’imaginent l’aristocratie alors qu’ils ne sont que la plèbe et pire que la plèbe les esclaves compulsifs de l’étranger. Nous n’avons strictement rien à faire avec cette déshérence qui est l’inverse de l’Europe, une Europe fière de ses Nations, de ses Cultures, de ses Peuples, et non en adoration devant leur déliquescence.

Tout est lié et tant que la France restera sous le joug de la corruption, si bien mise en évidence par le départ de quatre de ses ministres, et tant d’autres en attente corrompus par les lobbies, les conflits d’intérêts, les affaires, les vices et les sectaires dépendances, qui puent la collusion, l’instrumentalisation, il est bien évident que rien ne changera dans la sphère publique, une sphère ignorée pour de petits intérêts qui nuisent à l’intérêt général, qui doit être masqué par des effets d’annonce, des prévarications, des destructions, y compris via la voie du terrorisme instrumentalisé, pour que cet intérêt général soit liquidé dans l’esprit de chaque être composant la Nation.

L’illusion est le grand rite de cette perversité qui s’avance masquée mais qui ne peut longtemps durer au regard de ses délibérations, de ses libations, de ses astreintes et de ses contraintes. La France s’éveillera-t-elle de cet oripeau gargantuesque qui se veut sa finalité ? S’éveillera-t-elle devant l’insanité portée à ses acquis sociaux, saura-t-elle se réveiller devant l’infamie et l’outrage de la perversion et du mensonge concernant le Moyen Orient, saura-t-elle dans le cadre de la Loi souveraine écarter l’inconduite des féaux qui s’imaginent règne avec vingt pour cent de voix, au nom d’une démocratie outragée, d’une république endeuillée de sa réalité ?

La France est en danger, non seulement elle va perdre sa démocratie, outragée par des lois liberticides, mais non seulement sa démocratie, qui n’existe pas au regard de cette pseudo-élection, mais sa République, une et indivisible qui va se retrouver sous le joug de communautarismes plus dangereux les uns que les autres, de la fange aux manifestations les plus grossières, divinisant la chose, de la fange dont  l’abstraction glose, la virtualité quémande, tout cela enrobé par la grossièreté la plus impudente qui soit, celle de la croyance en une quelconque capacité d’une gouvernance qui ne peut prendre aucune décision, sinon celle que lui impose le diktat trotskiste qui sévit à Bruxelles.

Enfin, n’est-ce pas sur le fumier que naissent les plus belles roses ? Ce fumier, espérons-le sera levain de la probité, de l’honneur et de la grandeur, du dépassement, pour vivifier l’avenir et le restituer dans l’élévation et non dans la désintégration. Le temps qui vient le dira. »

Ce n’est que lorsque la dramaturgie d’un fait atteint ses dissonances que le rêve s’effondre et que le réel paraît afin d’être labouré aux fins d’en éliminer toutes les scories, ainsi de certaines de ces planètes que nous visitons, en cours de renaissance, espérons que la Terre et son Humanité en comprennent la raison qui est celle de l’évolution et non de ses contractions.

© Vincent Thierry