Destitution

Destitution

Petites nouvelles de cette petite Terre, où la France voit son État dirigé par la dictature s’aidant de nervis attitrés dans le mépris du droit le plus absolu, mais lisons :

« Que vont faire les représentants du Peuple de France, je ne parle pas des parasites d’en marche vers l’ignominie, mais les autres, face à la déclaration digne d’une petite frappe que vient de commettre en toute responsabilité un « Président de la République » qui assume pleinement ses actes de fourberie, dans une lâcheté incommensurable au regard du commencement de l’affaire qui préoccupe aujourd’hui les Françaises et les Français ? Nous nous trouvons en face d’un personnage qui dans le mépris du Droit s’est créé une milice gestapiste sous le toit même de l’Élysée pour répondre à ses besoins personnels, une milice qui ne doit pas être uniquement à l’Élysée mais a dû essaimer dans toutes les régions de France, afin de casser les opposants, comme on l’a vu lors de la manifestation du 1er mai, mais non seulement, recueillir des renseignements sur ces opposants et les exposer à la vindicte, à la raillerie, ou tout simplement, n’en doutons un seul instant à la liquidation

Nous voici là dans les préambules du National-Socialisme avec sa gestapo, dans les préambules du communisme avec sa Tcheka, où l’on voit que les termes de Démocratie, et encore moins de République ne peuvent s’appliquer. L’article de la constitution prévoyant la destitution d’un Président de la République dans le cas manifeste de sa dysfonction est pleinement applicable. Et l’application de cet article peut se faire sans aucun problème au regard de sa reconnaissance du fait, et pire encore de l’état bravache qu’il manifeste en l’annonçant, se plaçant là au-dessus des Lois de la République, comme s’il s’imaginait être immanence alors qu’il n’est que le marais putride dans toute sa répugnance.

Que vont faire les Représentants du Peuple ? S’ils ne font rien, s’ils ne mettent en route le processus de la destitution de cet imposteur, de cet usurpateur, la France va entrer dans la phase d’une dictature totale, qui verra l’arbitraire consommé et gageons que les opposants vont disparaître par rétention administrative, corvée de bois, et camp d’internement. La Résistance alors s’imposera dans sa globalité, car nulle confiance ne pourra être accordée à aucun de ses collabos, de toute cette faune simiesque qui le veut trône, menteurs attitrés, affairistes, corrompus, violeurs, racailles en conflit d’intérêts pour la plupart avec leurs fonctions, bandits de grands chemins, tueurs par procuration de nos enfants, tueurs de nos retraités, tueurs tout court qui ne méritent même pas la corde pour les pendre, tellement la hideur de leurs actes comme de leurs lois est à l’image de la nécrose qu’ils représentent.

Les Françaises et les Français sont en vacances, et profitent du peu de liberté qu’ils peuvent encore avoir, gageons que si le mécène de la pègre n’est pas relégué, ce peu de liberté disparaîtra comme une peau de chagrin. Nous attendons des actes forts tant de l’Assemblée Nationale qui n’est pas aux mains de la pègre, que du Sénat pour mettre un terme à cette dictature de fait, qui ignorant le droit, le bafoue dans tous ses fondements, qui ignorant la morale se complaît dans le vice et la pourriture, qui ignorant le devoir consacre la racaille, quitte à inventer des sauvetages providentiels, qui ignorant le droit international massacre le Peuple Syrien et Yéménite, qui ignorant de tout se sert de nos Armées comme il se sert de la racaille qui le protège pour rendre esclave les Peuples au même titre que le Peuple de France, ce jour sous le joug de la nausée la plus éclatante, la plus spongieuse, la plus délirante qui soit, issue de la névrose d’un personnage qui n’a aucune qualité pour gouverner sinon celle nécessaire pour gouverner les bases fosses de la pourriture et de ses scories. »

Pauvre France, pauvre petit Pays de cette petite Terre, voyant des Nations balayer la vermine dictatoriale sans le moindre état d’âme, et restant en attente de voies providentielles qui ne viendront pas, si son Peuple ne fait pas valoir le droit, à tous le moins ses représentants légaux. 

© Vincent Thierry