La pestilence rouge brune
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- Catégorie : Politique
La pestilence rouge brune
Petite nouvelle de cette petite Terre où la pestilence rouge brune couvre ce pauvre pays que l’on nomme la France, mais lisons :
« L’abjection est à son comble devant ce régime pourri jusqu’à la moelle par la mafia mondialiste esclavagiste, dont la vermine insupportable infecte les bancs des Assemblées, la gouvernance, le Conseil Constitutionnel et tutti quanti. Le Sénat vient de rendre son rapport sur cette maffia trônant dans l’exécutif, voyant un de ses sbires passer des contrats pour 2,2 millions d’euros avec un oligarque Russe, et 7 ,7 millions d’euros avec la Chine. On s’interroge sur les rétros commissions accordées à cet antre de la prévarication, du vol, de la prostitution que l’on nomme l’Elysée. Le responsable en titre se tait, préférant botter en touche, allant avec contrat de claque se faire applaudir par les riches agriculteurs au Salon de l’Agriculture, tout en diligentant contre les Gilets Jaunes ses forces de police, mutilant, assassinant, blessant, humiliant, avec son blanc-seing. On voit là la lâcheté du personnage qui devant le rapport du Sénat, digne de l’affaire du Watergate, devrait sur le champ démissionner, et qui pour se faire plaindre parle de se faire tuer par une balle, comme si quiconque voudrait en faire un martyr. On ne fait pas de martyr avec l’expression de la désintégration, du vol, de l’ignominie parfaite, bien au contraire, on l’expose et la garde bien vivante pour montrer aux générations du futur ce qu’aucune gouvernance ne doit être.
Le ridicule comme l’abjection est bien ici à son comble. Le mensonge et sa permanence de même, voulant faire croire par ses Instituts de sondage tenus par ceux qui ont fait prospérer l’élection du régime et par les fils de famille, que ce régime verrait plus de trente pour cent de gens satisfaits de ses actes, alors qu’à peine dix-sept pour cent en sont satisfaits, des masochistes, des aveugles et des vendus à la corruption, la pédophilie, l’ordure, la prévarication, le crime, si dignes de ce régime dont les dérives mafieuses ne sont plus à prononcer. Et nonobstant les dérives mafieuses l’ordure du langage appliqué à tout un chacun du Peuple de France, une ordure qui n’est là que pour humilier le Peuple en vue de son grand remplacement par toute la misère humaine, esclaves à bas coût d’une économie délirante, d’une économie qui n’est pas faites pour l’humain, mais pour les dégénérés mentaux qui n’ont toujours pas compris que tout un chacun est complémentaire l’un de l’autre, et que sans les uns et les autres, dans une société digne de ce nom, rien ne peut fonctionner. Mais n’en demandons pas trop à « l’intelligence complexe » dont la définition parfaite est celle de l’incapacité la plus totale à synthétiser les problèmes pour faire évoluer l’être Humain.
La France en est donc là en l’Acte XV du mouvement des Gilets Jaunes, un franc succès avec plus de deux cent mille personnes, totalement ignorés par le régime qui s’invente un débat soit disant suivi par un million de personnes alors qu’il n’est suivi que par cinq cent mille personnes, pour asseoir sa suffisance mafieuse par excellence. Pol Poth n’est pas loin, dans l’arbitraire que l’on a pu voir voté par des souillures de l’intelligence, ne pensant qu’à défendre leur petit pré carré de maçons déviants et de sectaires putrides, ne voulant surtout pas que l’on découvre leurs liens ignominieux, leurs larvaires dépendances à tout ce qui n’est pas la France et ne le sera jamais. Pire que le régime soviétique et nazi réunis, ce régime abat ses cartes liberticides les unes derrière les autres, allant jusqu’à vouloir faire voter que l’antisionisme soit déclaré hors la loi, alors que le sionisme n’est qu’une idée politique, prouvant en cela que tout un chacun ne doit penser que dans sa ligne morbide, ignoble, meurtrière, génocidaire pour le Peuple de France. Les Gilets Jaunes auront démontré à tout le moins cette puanteur qui cerne ses pouvoirs, cette déliquescence et cette théurgie qui le pousse à toute la bestialité dont il fait état. Nous ne sommes plus en France gouvernés par des hommes et des femmes politiques, mais par des pantins vendus aux laboratoires pharmaceutiques, aux multinationales, à la finance apatride et délétère.
Et ce n’est pas un hasard si le drapeau « européen » est brûlé en place publique, et ce n’est pas un hasard si le RIC sans condition est demandé, et ce n’est pas un hasard si la revendication principale des Gilets Jaunes est la reprise en main de notre monnaie, spoliée par les banques centrales pour nourrir les parasites de l’humanité toute entière par des intérêts indus. Toutes revendications légitimes pour un Peuple qui ne veut pas survivre et disparaître, mais vivre tout simplement. Le Monde regarde cette pauvre France, où l’autisme du régime fait feu de toutes ses cartouches de bonimenteur, de propagandiste, de menteur. Et il y en a encore pour croire à la moindre parole émanent de cette sphère de parjures, de félons, de domestiques, et d’esclaves ? Que grand bien leur fasse, mais toute personne naturelle, équilibrée, jamais, ô grand jamais ne se salira les mains pour en saluer les prédéterminés, ces « choses » qui sont nuisibles, substituables, remplaçables, mythomanes par excellence et dont se servent leurs maîtres comme des kleenex.
En attendant, on aimerait voir l’ONU se manifester autrement que par des paroles, et la Cour Européenne de Justice se dresser contre cette infamie, et toutes les Nations jeter l’opprobre sur cette manifestation de la désintégration intellectuelle, cette chose qui ne voudrait voir que des consommateurs à la place des êtres humains, des bouches et des sexes à satisfaire par des jeux idiots, des émissions idiotes, animés par des idiots congénitaux, des larves sans lendemains qui sont les portes voix de cette parade de la puanteur qui souille toute la réalité humaine, pervers et pédophiles, meurtriers en tout genre, voleurs et canailles, un aréopage digne de celui qui était en reptation devant Lénine, qui ne voulait que des assassins dans son parti, Staline, Hitler et Pol Poth réunis. L’histoire est un perpétuel recommencement. Fort heureusement on sait comment se termine toute dictature, et l’on se rappellera l’exemple de la Roumanie qui dans notre Nation risque un jour, si il n’y a aucun issue donnée par ce régime aux revendications légitimes des Gilets Jaunes, de se reproduire.
Espérons que cela n’arrive pas, car alors cela voudrait dire que la guerre civile battrait son plein, et ce régime, ce n’est que mon avis, s’il peut contraindre plus de deux cent mille personnes, ne pourra jamais contraindre 40 000 000 de personnes qui décideraient de s’en débarrasser. On a vu d’autres Nations se lever d’un seul coup après des coups de semonce, on a vu l’Islande mettre en prison ses banquiers et politiciens vérolés, on a vu les soulèvements populaires des Pays de l’Est de l’ex bloc soviétique, la Pologne et les autres Nations se lever pour liquider le communisme, et jusqu’aux forces révolutionnaires, au Vietnam par exemple mettre à bas tout système meurtrier voulant contraindre le Peuple. Il ne faut jamais oublier l’Histoire avec un H majuscule, et en aucun cas celle réécrite par la pensée unique qui n’est que la chiure de mouche de l’intelligence atrophiée, il ne faut jamais oublier que devant les exactions morales, physiques, spirituelles, de tout temps et par tout temps les Peuples se sont dressés pour faire respecter l’honneur comme la grandeur.
En attendant, patience dans l’azur, les élections arrivent et il convient lors de ces dernières de liquider la prétention du régime à vouloir devenir maître de la pensée, et demander à ce que des observateurs de l’ONU viennent vérifier le contenu des urnes, car ne rêvons pas, ce régime va utiliser toutes les vieilles ficelles dites « démocratiques », faire voter les morts, faire voter des invisibles, faire voter, comme il tente de le faire actuellement, les criminels dans les prisons, (contre remise de peine ?)pour tenter d’obtenir ce quorum qu’il veut assise de sa dictature ignoble. Sa pestilence est telle qu’on l’a vu jusque dans les écoles tenter d’embrigader les enfants, ce que faisaient tant les communistes que les nazis, les uns avec les jeunesses communistes, les autres avec les jeunesses hitlériennes, ce qui prouve à quel stade d’ignominie il est parvenu. »
Pauvre petit pays entre les mains d’une pieuvre bestiale dont il doit mettre en valeur le surgeon qui le souille afin d’évacuer à jamais le venin qui tente de l’immobiliser.
© Vincent Thierry