L’injure comme devenir politique ? Où allons nous !
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- Catégorie : Au fil du temps
L’injure comme devenir politique ? Où allons-nous !
Nouveauté du cycle qui se prépose, s’affinent les vecteurs d’une désintégration pertinente, la France frémis sous ce vent de litanies complaisantes, ses racines, dissoutes par le levain de l’hérésie la plus puissante qui soit, celle d’un mondialisme aphone, larvaire, esclave, s’insurgent, se dressent telles des oriflammes au-dessus de son corps en décomposition.
Elle lutte de toute sa lumière pour échapper à la gangrène qui sourd dans ses membres, cette maladie purulente léguée par l’obstination belliqueuse de suppôts d’un règne mythique qui disparaîtra dans l’abîme, car né de rien, retournant à rien, car issu du néant, retournant au néant. Son souffle, que tant voudraient diminué, dans un élan porteur et sans refuge se dresse, frisson du jour devient un vent d’écume puis de gerbe pour d’une vague vivante décimer les passementeries en loque de son drapeau saturé par l’abjection, l’injure, la putridité mentale !
La nuit stérile s’offusque de ce sursaut, comment, la France n’est pas morte ? Pourtant, avilie dans son règne, dans son peuple, dans ses racines, dans sa destinée, arasée dans sa plénitude, son potentiel, sa productivité, défigurée par la léthargie, l’offense, l’invective, ne devrait-elle pas rendre l’âme ? Cette terre de l’intelligence, du savoir faire, du savoir vivre, pourquoi donc ne serait-elle pas anéantie ? Que se passe-t-il donc ? Y aurait-il encore une résistance après le laminage qu’elle a subie ?
Brassage d’ethnies, migrations conjuguées organisées et légiférées, révolutions culturelles multiples portant aux nues l’instinct et non la raison, l’ignorance elle-même légiférée comme maître à penser, toutes voies développant l’égoïsme le plus pur, charriant une agressivité s’établissant comme institution naturelle, chacun ayant droit ce jour d’incendier, détruire, pour le seul désir de se faire entendre, et pire, dans le laxisme le plus désaxé voyant jusqu’aux prétendants au pouvoir injurier ouvertement la souche de ce pays en en parlant comme de "petits blancs", racisme éhonté porté par ceux-là mêmes qui se défendent d’être racistes, qui nonobstant la souche se permettent plus encore en traitant de "sous-homme" des ethnies qui ont réellement versé leur sang pour la France !
France qui s’éveille, se réveille d’un sombre sommeil sous l’injure la plus profonde, le crachat le plus abject, France dont l’éveil toujours a su transfigurer le monde, que ce soit sous le règne de ses Rois, lors de ses multiples révolutions, lors de l’empire, France en renaissance qui lors de ces élections à venir prononcera son nom, que cela plaise ou non aux injurieux, aux tenants de ces pouvoirs de destruction qui s’imaginent les maîtres alors qu’ils ne sont que les esclaves de leur propre atrophie, celle de leur incapacité de vivre pour la Vie, esclavage qu’il voudrait faire partager au monde entier, mais que le monde entier refuse, voyant, avec le bon sens de l’humain, malgré la désintégration culturelle forcée et légiférée, le vrai visage de leur monstruosité, celle du néant !
Épiphénomène au sens de cette histoire qu’ils reconstruisent sans arrêt pour qu’elle leur complaise et les sacre, histoire qui ne se laisse prendre, car l’histoire se construit chaque jour et est comme le temps, impalpable, car créatrice, ce que ne sont pas ces sources du néant qui voudraient voir réduit à néant notre pays, la France, ce qui ne sera pas, le corps malade sécrétant les anticorps qui lui permettent de survivre et de faire rayonner la Vie !
Ainsi ce chemin qui va et ne s’interrompt, ainsi ce chemin de la Vie qui ne se porte dans l’espérance mais dans une action maîtrisée permettant à chaque être Humain de trouver la plénitude loin des silences assourdissants des fétides reptiles qui croient dominer alors que déjà ils ne sont plus que poussière dans la vague qui s’élance et ne s’interrompra pas tant qu’elle n’aura pas lavé l’affront fait à la Vie par toutes faces de cette Terre, qui ne se laissera mortifier dans l’esclavage, qui n’abdiquera la Liberté pour le nom des chaînes les plus ignobles qui puissent exister, celles de la mystification et du mensonge, de l’abjection et de la parodie, du paraître et de l’ignorance, fatuités conjointes des atrophiés qui s’imaginent encore détenir une quelconque importance dans ce monde qui se bâtit, non le monde qu’ils souhaitent fait de ruines, mais le monde respectueux de chaque identité comme de chaque existant, ce que chacune comme chacun comprend au-delà des logorrhées miasmatiques de leurs injurieuses prétentions déliquescentes !