Quelle crise économique?

Quelle crise économique ?

 

La crise économique, quelle crise ? Il n'y a de crise que dans le cadre de ce mondialisme totalement inféodé et aux mains de la reptilité la plus néfaste pour l'Être Humain, les Peuples, les Nations. La forfaiture voulant que tout un chacun doive considérer la "mondialisation" du crime, donc de l'usure, comme inexorable, trouve ici ses limites. Contrefaçon de tout art de diriger se tient ici le lieu, et dans ce lieu des limites errantes commence l'implosion globale de ce système bâti sur la servilité. Tout le monde doit se réjouir, il n'y a pas lieu ici de pleurer sur la mort annoncée d'un système n'ayant d'autre vocation que l'asservissement de l'humanité dans le plus grand camp de concentration jamais connu où règnent l'incapacité motrice, le parasitisme et ses féaux, hommes et femmes politiques, transgenres d'une duplicité hors du commun agenouillés devant le veau d'or qui se fissure lamentablement et qu'il faut détruire totalement afin que l'humanité se sorte de son carcan de vice et de perversité associés, destruction légale de l'illégalité tonale, par le vote approprié renvoyant à leurs chères études tous les incapables qui veulent régir notre planète, venin subtil de l'atrophie qui s'imagine contrôler, mais qui en vérité ne contrôle rien, car ce sont les Peuples qui sont souverains, et en aucun cas l'errance et sa mythologie ridicule.

Il n'y a plus rien à attendre de ce que l'on ose appeler une oligarchie, qui n'est qu'un rapiéçage de tout ce que compte ce petit monde de prébendiers, de voleurs attitrés, d'esclavagistes institutionnels, de violeurs institutionnalisés associés aux pédophiles les plus outranciers, tout un monde interlope se réjouissant d'une sous intelligence qui frise la démence, entourée de serviteurs zélés, qui n'auraient pas duré une seconde dans l'acropole, tant ils sont ignares, conjugués dans une bêtise atavique qui ferait rire n'importe quel enfant de maternelle s'il était éduqué correctement, et non conditionné par le fléau du mensonge associé à l'éthylisme de la perversité institutionnalisée.

Crise économique ? Non il n'y a pas de crise, et il n'y en aura plus lorsque les Nations se feront respecter et n'accepteront plus d'être notées comme des vaches qu'on mène à l'abattoir par de ridicules instituts autofinancés par les prébendiers en tout genre, lorsqu'en Europe elles auront renvoyé aux oubliettes cette monnaie de singe qu'on appelle l'euro, uniquement mise en forme pour permettre la désintégration économique de l'Europe, lorsqu'elles renforceront leurs barrières douanières et reviendront à leur propre monnaie, lorsqu'elles sépareront les banques d'affaires des banques de dépôts, lorsqu'elles enverront paître les banques centrales apatrides aux mains de l'errance et associés, lorsqu'elles restitueront aux organisations internationales leur dessein, lorsqu'elles se sépareront de toute la lie portée aux nues desdites institutions dont l'incapacité est notre règne de ce jour.

Le copinage de l'errance n'a que suffit dans ce petit monde livré en pâture aux hyènes qui se régalent de la charogne encore chaude des Nations et des Peuples dont l'intelligence a failli. Sursaut, les Peuples en leurs représentants de la capacité doivent se dresser d'un seul bloc contre les kapos économiques, les chiens de garde des goulags que sont devenues leurs Nations. Le vent salutaire de la remise en vigueur de la réalité doit renvoyer à la poussière les arcanes de la virtualité, leur domesticité, tous ces beaux parleurs hilarants de la débilité chronique et motrice de ce petit monde, tous ces officiants du crime que représente ce que l'on appelle "l'élite économique" qui favorise la destruction de l'humain sur toutes surfaces et par toutes surfaces, négriers en puissance qui devraient être traduits devant une cour internationale de justice pour crime contre l'humanité.

Cela viendra lorsque enfin les esprits agiront et s'uniront au-delà de ce grand guignol droite gauche écologie agité par la main de l'usure, plus vite qu'on ne le pense, la famine conditionnant la révolution irréversible comme le démontre l'Histoire avec un H majuscule, une révolution des urnes qui brisera le carcan inadmissible de l'esclavage, de ses roitelets bien protégés par leurs nervis, leurs chiens de guerre, des armées qui ne sont plus les armées du Peuple, mais servilisées par leurs menstrues pantagruéliques.

Cela viendra dans le cœur de ce monde livré en pâture à l'infamie, à la prostitution de l'esprit, à la dictature de cette pensée unique ignare et débile qui arpente en prêtresse les allées de pouvoirs déchus par l'incapacité qui y règne. Ce n'est qu'une question de temps, et ce temps n'appartient déjà plus à l'immondice qui prône le vice contre la vertu, la bassesse contre l'aristocrate détermination, toutes impérities de la tragédie humaine qui se joue à l'aube de ce nouveau millénaire et dont il ne restera aucun souvenir lors du suivant, car gréé par une nef sans lendemain à la coque trouée par tout ce qui compte de vers anthropophages dont les représentations politiques qui se battent sur le navire France , représentent bien les hordes Barbares, payées par la même main qui les agite, errance tragique, disloquée et qui tel Ouroboros s'autodétruira dans un cri de hyène que tout un chacun ne pourra qu'applaudir s'il n'est larbin de ce vice. Le temps mûri, laissons le mûrir, laissons le prospérer sur le fumier duquel naîtront les plus belles roses, celles de la capacité.

© Vincent Thierry