Les ismes

Les ismes

 

Ainsi dans ces jours qui se suivent et ne se ressemblent pas, où bat le fer des mots dans un verbe qui devient sordide de jour en jour de la part de ces Hérauts nécromants des ismes contrariés par la puissance du Peuple qui s’éveille et qui balaie toutes les scories qui nichent dans son inconscience, portées par les labiales suffocations des médiatiques errances, couronnant la frontale destruction qui se veut gloire de toute détermination ! Ainsi, alors que s’enchaînent la génuflexion et la reptation, les hurlements de hyènes des loges inverties dont le prétendant devient de plus en plus ignoble, commissaire politique de ce chiendent de la terre aux cent cinquante millions de morts qui s’amoncellent par toutes Nations et qui réclament justice !

Justice pour leur mise en détention dans ces goulags de la mort, dans ces camps de concentration chimique, dans ces usines de la mort, ce pourrissoir de toute atrophie humaine voyant organiser la famine de l’Ukraine entraînant des millions de morts, hommes, femmes, enfants, sans distinction, pour le plaisir sadique de cette face épervière ayant fondu sur la Russie, aidée par tous les potentats financiers de cette époque, qui ce jour plastronnent dans leurs habits au miroir de sang, et que vient défendre cet héritier de la Tcheka, accompagné par ces journalistes qui n’ont que l’insulte à la bouche, accompagnés de ces spécialistes de l’économie incapables de calculer vingt-cinq pour cent de quarante pour cent ! Drame de la bêtise, de cette Louveraie de l’infection où trône l’imbécillité associée à l’ignorance, qui ose se déclarer Élite des Nations !

Qu’il suffise de cette parodie, de cette litière de la mort qui s’agite en tous sens quand la Vie vient au-devant d’eux, qu’il suffise de cette outrance barbare qui cachée derrière ses lois iniques ne se vante de ses arriérés dus à l’Humanité entière, telle qu’on les voit ce jour derrière ces goulags économiques où le suicide est la seule échappatoire ! Triomphe de la non-Humanité, ne pouvant admettre dans son atrophie la réalité de l’Humain, qui dépasse tous les carcans, toutes les ruines, afin d’œuvrer la réalité et l’élévation de son destin, par-delà les haines, par-delà la vindicte, par-delà la futilité et l’érosion du Vivant ! Que leur fierté d’administrateurs de la mort se taise devant la Vie qui se prononce ! Le courage politique s’amoncelle, et nous ne disconviendrons du courage du prétendant sortant, un courage qui eut pu faire de lui le couronnement de l’Europe, le couronnement de la France, si et si seulement il avait su reconnaître l’ignominie de nourrir l’usure d’intérêts indus, alors que chaque Nation a le droit inaliénable de battre monnaie !

Quelle défaite et quelle désespérance dans ce regard que nous aurions voulu majeur et qui s’est enferré dans les détails pour ne plus œuvrer que ce monument abstrait, cette tour de Babel qui correspond en tout point à la médiocrité adventice, à cette imperfection qui se ronge elle-même dans l’abrutissement d’une gloire soumise, que l’on ose encore appeler l’Europe alors qu’elle n’est que l’ombre d’elle-même !

Nous attendons du politique qu’il soit Art, un Art véritable du devoir de gouverner et aristocrate converger dans la défense du Peuple qu’il s’autorise à gouverner, tel n’est pas le cas actuellement où le silence ou bien la lâcheté cachent la réalité dans ce qu’elle a de plus brute, la désintégration des Peuples et des Nations par les scorpions qui palabrent, des insectes nuisibles qui se tiennent entre eux par le relais des affaires, les affaires tout court, les affaires de sexe, les affaires de mort telles qu’on le voit dans des parodies grotesques qui destinent à la mort l’enfance, macabre constat qui relie entre eux toute la dégénérescence de la réalité, une putride horreur qui baigne ses scories par toutes faces de nos institutions qu’il convient de nettoyer de fond en comble afin de leur rendre leur luminosité !

Mais quel est celui ou celle qui pourra destituer la pourriture qui enlise les lendemains qui chantent, qui dans la réforme de l’État si bien engagée se passera des îlots de caciques, des nains qui circulent et des esclaves qui ingurgitent, tous liés et reliés par le panache de la cordonite et par l’ascension et l’élévation du parasitisme le plus éprouvant ! De l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace disait Danton, et bien aujourd’hui il faut avoir le courage de l’audace, balayer la maison France de ses scories, de ses toiles araignes, de cette infection qui pourrit tous les rouages de l’administration publique. Un nettoyage de la maison France, c’est ce que nous attendons les uns les autres, un nettoyage dans l’administration des deniers publics qui n’ont pas à errer dans des associations toutes les unes les autres en prébendes de la fainéantise incarnée, un nettoyage de ces écuries d’Augias où se baignent tous les circonscrits du parasitisme. Ce nettoyage ne suffit, faut-il nettoyer la maison Europe, une maison qui se couche, une maison qui s’étreint dans la reptation la plus horrible qui soit, la reptation devant l’usure.

Les Institutions sont saines, ce sont les hommes qui les corrompent et quelle corruption ! La corruption de l’intelligence par excellence, lorsque l’on voit tous ces veules s’asservir à des dominations fantoches, des présidents aussi fantômes qu’inexistant qui suivent les préceptes imposés par le Bilderberg, courroie de transmission de la bonne pensée de la monarchie Britannique, en reptation devant La City ! Ah ! Pauvre Europe, Coudenhove-Kalergi doit se retourner dans sa tombe, à voir cette enluminure de la désuétude, des Nations totalement agenouillées devant l’usure, des lois bicéphales, tricéphales n’ayant pour volonté que de condamner les Peuples et les Nations à l’oppression, dont le couronnement est ce Reich qui ne se dit pas, un Reich de la morgue incitée par la City, qui lui-même n’est qu’un esclave patenté de la couronne ! Oligarchie vous avez dit ? Ce n’est rien d’autre qu’une meute qu’agite le sifflet de l’usure et auxquels devraient obéir tous les Peuples au nom d’un Démocratie falsifiée, de la vente marketing de présidentiables qui se réfugient dans les cours pour s’inviter à la désintégration des Nations, saltimbanques asservis qui ne servent plus rien, sinon de pauvres ambitions déchues, et tout cela sous le rire à la cantonade de l’Eurasie qui se forge, de l’Asie qui est, des États-Unis qui poursuivent leur marche triomphante, des États-Unis d’Amérique du Sud qui s’unissent, rigolant les uns les autres de cette pétaudière dont l’imbécillité chronique est litière de toute répugnance, flagellation collective des ignares qui paient des péchés qui n’existent que dans l’irrésistible rire qui s’incarne dans le fanion de celles et de ceux qui ont forgé de toutes pièces l’hérésie que nous vivons et que d’autres Nations en d’autres temps ont forgé pour faire éclater ces première et seconde guerre mondiale où les banquiers s’affairaient, orchestraient, les a-t-on vus jugés ceux-ci ?

Ah que la réalité un jour perce le monceau de mensonges accumulés depuis des décennies ! Ce communisme si beau enchanté par des légions de poètes et de romanciers aveugles, comme le furent pour d’autres ismes issus de la même synchronie des poètes et des romanciers, notamment Français que l’on fusilla, a-t-on fusillé ceux qui ont enchanté et continuent d’enchanter les charniers communistes qui trouvent leur absolution près de tous les pédants des ismes ! Cent cinquante millions de morts, qui dit mieux et assassinés par qui, qui a financé la révolution de 1917, qui a fait passer Lénine, nom d’emprunt, en Allemagne ? Qui était et guidait ce premier gouvernement de cette aberration monumentale 

Qui le dit si bien ? Soljenitsyne qui est tue aujourd’hui, relégué aux poussières de la recherche, car il a dévoilé la vérité dans un livre fracassant l’ignorance totale de nos congénères, « Deux siècles ensemble » édité chez «Fayard». Le mensonge a fait le reste, je vous invite à retrouver cet ouvrage par les chemins du net international, tout le monde peut le lire et en toute connaissance s’affranchir. Tout cela est de l’Histoire ainsi attendons-nous le mea culpa des communistes et l’élévation dans les goulags de monuments commémoratifs afin de comprendre que malheureusement la nature même est égale dans tous les chapitres de la terreur et de l’horreur comme cela fut dans notre Nation pendant la guerre Vendéenne qui fut un véritable massacre, un génocide comme malheureusement il y en a tant eu et comme ils se poursuivent dans les camps d’extermination économiques communistes.

L’Europe doit-elle devenir cela, tel que cela commence à se produire en Grèce et inévitablement se fera en Espagne, au Portugal, en Italie, et même dans notre pays, la France ? Non, il ne le faut pas, donc il faut faire le ménage de ces écuries-là aussi, revenir à une Europe des Nations, et non ce vivier infertile qui se commet que pour et par l’usure. Et pour cela que faut-il donc faire, mais tout simplement reprendre le pouvoir dans toutes les Institutions, rendre aux Peuples leur Pouvoir, par l’intermédiaire de représentants qui n’aient d’autre mission que de défendre leur Nation, leur Peuple, et l’Europe, dans le cadre d’une représentation politique et non seulement économique, une représentation élue par les Peuples et non s’auto-élisant dans une cooptation putride libellée par le Bilderberg et consorts, aux ordres de la City, de la couronne Britannique qui n’a que faire de l’Europe sinon que l’asservir, et donner ce droit de cuissage à cette Allemagne dont la morgue ressemble si bien à la morgue anglaise.

Il est temps de se réveiller et enfin construire, et non plus être larvaire et esclave d’une ignorance pathétique ! Le sort et le devenir de l’Europe sont à ce prix, le sort de nos Nations de même ! Il est temps de dépasser la monoculture et ainsi dissoudre tous les communautarismes pour voir renaître les Peuples, sans la moindre distinction d’appartenance à ce qui n’est pas les Peuples et ainsi forger l’unité de notre Europe, l’Europe des Nations qui n’a pas à être esclave de ce qui n’est en aucun cas elle ! Et pour celles et ceux qui ne comprendraient pas par ignorance, il serait temps qu’ils lisent Arnold Toynbee, qui ce jour est relégué dans les étagères poussiéreuses des bibliothèques, car le pauvre avait osé parler de Civilisations, nous en reparlerons.

Je vous rassure et ne rassure pas tous les éclopés de la monoculture, la Culture se fait sans vous, et continuera à se faire sans vous, et chaque Pays de l’Europe fera valoir comme il le fait très bien sur le net ses particularités, qui multipliées par la connaissance et la Culture de l’ensemble des Peuples vont submerger obligatoirement la pourriture qui y végète, ce n’est qu’une question de temps, mais le temps aujourd’hui se rétrécit de manière admirable, et la guerre silencieuse qui ce jour est ouverte trouvera toujours celles et ceux qui la combattront pour défendre la Liberté, la Liberté de penser, la Liberté de créer, la Liberté de circuler, qu’elle se le dise, il est déjà trop tard pour elle. Et comment pourrait-elle survivre face à la réalité, elle ne le pourra jamais sauf par l’oppression, la dictature, et tout un chacun alors se révoltera, ce qui est naturel, dans l’ordre et dans la loi de la Nature, faisant disparaître jusqu’à la dernière trace de cette hérésie qui se veut gouvernance.

© Vincent Thierry