Conscience Humaine

Conscience Humaine

 

N’avons-nous pas tout entendu dans ce cycle de contre involution ? On vient nous parler de conscience Humaine, mais de quelle conscience parle-t-on ? De celle qui ne reconnaît pas aux Nations le droit d’être Souveraines ? De celle qui en toute connaissance de cause facilite l’ingérence continue de nations étrangères dans ce que l’on ne peut absolument pas considérer comme un conflit et encore moins une guerre civile, mais une tentative d’annexion d’un État par un surnuméraire qui n’a d’autres ambitions que d’instaurer la dictature de la médiocrité dans ce Pays afin d’en prendre les rênes de la production, et au-delà de la production de s’en servir comme base avancée pour une offensive contre l’Iran ? De celle qui sait parfaitement l’illégitimité des troupes en action qui égorgent, pillent et tuent, en violation du droit Humain, comme elles l’ont faite en Libye, actuellement en Syrie ? De quelle conscience parlons-nous là ?

De la conscience Humaine, en aucun cas, de la conscience inhumaine qui voue les Peuples à l’étoile d’un nouvel ordre mondial illicite, usurpé, dictatorial dans ses principes, immoral dans sa morale, duplicité de tous les féaux de cette terre tenue par ses obédiences en dehors du réel, diarrhée de l’infortune qui depuis maintenant plus de deux cents ans détruit toutes les valeurs au profit de sa recherche de pouvoir, le pouvoir de la médiocrité, de la servilité, de la duplicité, de la cruauté, qui compte déjà plus de cent cinquante millions de morts sur sa conscience avec l’usage des ismes qu’il en a fait, toute cette dépravation de l’Humanisme, qui s’appelle trotskisme, communisme, socialisme, national-socialisme, idéologies par essence de la destruction de tout ce qui est Humain au profit de l’idole par excellence, le veau d’or et sa justification !

Le veau d’or conscience de l’Humanité, une Humanité qu’il vilipende, une Humanité qu’il défigure, une Humanité qu’il vomit et dont il se sert comme esclave pour faire passer des jours heureux à sa nomenclature abominable, qui se croit dans l’impunité, au-dessus des lois Humaines, droit de cuissage, droit de viol, droit de détruire des Nations, droit de guerre, droit de tout ce qui n’est pas Humain, jusqu’à la lie suprême entonnée par le satanisme et ses décompositions sordides, le cannibalisme et le meurtre rituel.

De quelle conscience parlons-nous ? Issue des loges enténébrées par l’illuminisme qui ne croit qu’à une seule solution, celle de la destruction de toutes les valeurs du passé pour instaurer son ordre d’illuminés ayant droit de vie et de mort sur des milliards d’esclaves consentants, que l’on cherche à faire mourir sous toutes conditions, et quand ce n’est pas avec le H1N1, produit de la pharmacopée, avec la famine tout simplement en truquant les marchés des matières premières tel qu’on le voit actuellement !

De quelle conscience Humaine parlons-nous ? Il ne s’agit pas ici de conscience mais d’illuminisme pur et dur, cet illuminisme du mensonge qui s’accroît dans ses tribales ascensions, dans ses vespérales logorrhées, dans ses simulacres pavloviens où viennent roucouler toutes les pestilences de l’Humanité, philosophes de pacotille la chemise au vent appelant leur mère sous les balles des snipers de Sarajevo, toute cette lubrique insanité qui dévore la culture, viole les Peuples sans leur assentiment, toute cette luxure de la dépravation qui ment comme elle respire pour instaurer les carcans, que dis-je, les chaînes de son immonde atrophie, ne voyant plus qu’un être virtuel là où se dressent encore des Êtres Humains qui savent reconnaître la Conscience Humaine, qui savent avertir lorsqu’on l’utilise à contre-courant, dans cette léproserie de l’indigence la plus terne, celle de la féodalité au surnuméraire.

Ce surnuméraire apatride et errant qui s’imagine déjà présider ce Monde, mais dont ce monde renversera les idoles, ces chiens couchants de l’inutilité qui aboient par toutes places publiques, répétant inlassablement leurs litanies de la bêtise, dans la corruption la plus immonde qui soit, celle de l’intelligence. Car de l’intelligence il y en a à revendre dans cette écurie d’Augias, mais si bien entretenue dans la perversité des valeurs qui ne sont en aucun cas celles de la République, que déjà la souplesse s’y laisse transparaître, cette souplesse de l’échine devant le surnuméraire qui peut lui apporter la mondanité et ses vanités, toutes frivolités auxquels ne savent résister les bestiaires en place, ces moniteurs de la conscience qui ne sont que pure inconscience, astreints sont-ils à leur appartenance.

Non, la conscience Humaine n’appartient pas à ces leurres qui s’époumonent et il suffit de regarder tous les reportages sur la Syrie depuis l’origine et principalement sur la toile, de ce bestiaire pour voir l’action menée qui par des pays étrangers, qui par des forces noires qui entretiennent ces commandos de la mort qui savent si bien utiliser la terreur, formés sont-ils par les services spéciaux, et qui pour terroriser les populations n’hésitent pas à commettre les crimes les plus atroces, - fort heureusement l’information ne provient pas des instruments de désinformation que sont devenus ces télévisions et ces radios aux ordres, dont les chiens couchés ne sont que haine pour celles et ceux qui réfléchissent et ouvrent les yeux sur le réel.

Le combat du régime Syrien est donc tout à fait légitime, et ce ne seront ces marionnettes agitées par un Occident aux ordres du surnuméraire qui y pourra quelque chose pour effacer la réalité. Fort heureusement que ce monde, enfin, devient multipolaire et que s’opposent drastiquement deux Nations à l’escalade de ce qui n’est non pas une guerre civile mais une guerre tendant à éradiquer le terrorisme étranger de sa terre que mène la Syrie. Le bourrage de crâne utilisé par tous les suppôts du surnuméraire est totalement affligeant, mais de là à utiliser la terminologie conscience Humaine, cela devient outrageant, outrageant pour l’Humanité elle-même qui ne peut cautionner cette dérive, qui mènera comme tout un chacun sait à la guerre mondiale, la Syrie tête de pont vers l’Iran ne laissant pas d’autres alternatives que de s’opposer à la volonté du surnuméraire par les armes multipolaires qui ne laisseront en aucun cas se laisser profaner l’Iran au profit du veau d’or et ses sinistres représentants.

C’est ainsi que le combat Syrien pour retrouver son intégrité en tant que Peuple et Nation est des plus importants sur l’échiquier planétaire, car aujourd’hui c’est le seul Peuple à prouver que le droit des Peuples à se diriger eux-mêmes n’est pas une phrase vaine. On comprendra mieux maintenant pourquoi il faut manipuler l’opinion d’une manière encore plus insidieuse par les prétendants à la destruction de ce Pays, par les prétendants à cette guerre mondiale, prédite par Pike et Mazzini, deux beaux représentants de l’illuminisme, dont les faiseurs de contes sont les descendants, aux fins que cette guerre ait lieu, afin d’assurer la pérennité de la dictature qui embrasse désormais l’Occident comme jamais cela n’a été auparavant, une dictature molle certes, mais une dictature réelle dans les faits, dans les actes, notamment dans cette « europe » de larves défendant le veau d’or aux mains de la City via ses sociétés de pensée qui n’en sont plus, tellement percluses par le ressort de l’insondable vanité de ses clercs à s’accroire la divinité de ce monde qu’ils voudraient régir du haut de leur médiocrité comportementale.

Qu’il suffise donc de ces mots qui sont sans consonances dans le discours des Nations, sinon que signant là la propagande la plus hideuse, l’usurpation du Verbe par le surnuméraire sur le Droit Humain, sur le droit de l’Humanité à vivre sans être féale des sectes et de leurs mentors. Assez de cette propagande dictée par les commissaires politiques de cette dictature de l’illuminisme ! Le Verbe ne leur appartient pas, et ce qu'ils devraient apprendre avant tout, c'est le respect inconditionnel de l’Être Humain comme de l’Humanité, en ses représentations, ses Nations, avant que de se vouloir morale, car cette morale venant de l’immoralité que suent les temples adorateurs de la mort, de l’avortement, de l’euthanasie, ne convient pas dans le contexte évoqué et ne peut que prêter à la répugnance devant tant d’incongruité tant dans les mots que dans les phrases prononcées. Mais qu’attendre d’autres de celles et de ceux qui sont inféodés à la barbarie, qui se croit au-dessus des Lois Humaines ?

© Vincent Thierry