Un relent de pourriture

Un relent de pourriture

 

Un relent de pourriture empuanti le vivier de la subversion qui nous dirige. Les événements du Trocadéro, preuve s’il en fallait, démontrent que la gouvernance obéit à une Nation étrangère qui a demandé que les forces de polices soient minimisées lors de la fête d’un club de foot qui, comme par hasard, au bout de dix-neuf ans d’échec fête une «victoire», ce qui laisse vraiment perplexe lorsqu’on sait que le foot est l’objet de tous les paris et que ces paris relèvent de l’achat de certains pour advenir le perdre nécessaire à hisser l’un ou l’autre, suivant les humeurs des dérives.

Les services polices ont donc obéi à la gouvernance, qui elle-même a obéi au Qatar, en minimisant leurs forces face à cet événement, et avez-vous entendu une seule fois la désignation du Qatar comme coupable de cette affligeante condition que celle de voir les «casseurs» venus des banlieues, payés grassement par ce pays étranger, se défouler sur les biens publics et privés dans notre capitale, pour faire peur aux Françaises et aux Français de souche, en montrant leur vrai visage, celui d’une haine indéracinable, entretenue et armée, mesure des basses œuvres déléguées, pour assurer la «paix» sociale, dans ces réseaux immondes déversant la drogue, la prostitution dans notre Nation, avec la bénédiction des gouvernances successives.

La vérité n’est pas bonne à dire, relativement à cette dépendance qui devient de l’addiction. Et cela ne suffit dans la subversive reptation, on apprend que la gouvernance veut faire éduquer nos enfants dans les universités dans une langue qui n’est pas la nôtre et ne la sera jamais, tellement elle est pauvre en nuance, tellement elle est sans harmoniques, une langue sans intérêt, qui devrait détrôner de notre patrimoine notre langue, qui est une pure merveille de nuances, et qui n’est pas sujette à interprétation, comme l’est l’anglais.

La subversion, acculturée et développant l’acculturation, y voit là, par l’intermédiaire de ses agents, l’occasion de bouleverser notre capital intellectuel et le réduire au néant, encourageant l’éducation dite nationale dans l’apprentissage de l’illettrisme, afin de parfaire l’esclave couronné qui doit naître pour servir l’usure et ses exactions. Lorsqu’on veut suivre des cours en Anglais, on part en Angleterre où aux États-Unis, mais on ne vient pas polluer la culture Française par cette langue. D’ailleurs les Étudiants étrangers viennent en France, non pour entendre des cours en anglais, mais bien pour s’imprégner de cette langue unique qu’est notre langue et enfin sortir des lieudits de cette langue anglaise qui peut être utile pour l’usure où les mathématiques universelles, mais ne l’est en aucun cas pour l’étude de notre culture, une culture qui avance, et là je ne parle pas des romans du jour qui utilisent à peine cinq cents mots pour se vendre, qui se réduisent à vingt pages réelles, et se transcendent dans l’adoration du pénis ou bien du fondement, ou bien encore dans la dégénérescence de la violence, ou de la romance niaise et ridicule, se complaisant dans la contrition, la génuflexion, la reptation, se fouettant dans la bêtise, ou bien encore d’essais politiques qui feraient rire un âne du certificat d’étude primaire du siècle dernier, bien plus intelligent et remarquable que ces fourre-tout de la connerie.

Non, je parle de la culture réelle qui n’est pas le fait de ces remarquables agents de la sous-culture, celle qui inscrit la beauté, l’émerveillement, la grandeur et la splendeur, qui ne sont pas le fruit de ces temps obscurs où règnent l’idolâtrie de la perversion et ses raisons. Car il ne faut croire un seul instant que ne règne que l’étron dans notre Nation devenue fétide, la création y est toujours respire, n’en déplaise à la pensée unique et châtrée par contrition.

La création, expression magnifique de l’âme, de l’esprit, du corps, de l’unité du Vivant, est toujours là, bien souvent exilée, bien souvent cachée, bien souvent ignorée, car elle ne se veut objet publicitaire, car elle ne se veut compassion de l’aberration, mais bien au contraire fulgure pour toujours et encore apporter à l’Humain son droit indéfectible à l’élévation, à la Liberté, à l’expression, certes ruiné ces jours mais qui reviendra comme un boomerang pour destituer ces miasmes des marchands qui ne sont que convoitises de la dégénérescence et ses adulations.

La langue Française existe, restera et toujours rayonnera, n’en déplaise, et ce ne seront les publicités pour débiles mentaux utilisant un franglais ridicule, un allemand imposé, qui y changeront quelque chose et surtout pas cette gouvernance subversive qui se couche devant toute admonestation de l’usure et amplifie son mouvement avec son accord afin de réduire au silence le Verbe, ce Verbe qui n’est pas acquis mais inné et qui trouvera mesure de son combat en chaque Être qui défend la Vie et ne s’impose dans la haine de la Vie, la Vie qui est multicolore, qui est le fait de milliards et de milliards de facettes qui toujours seront retrouver le chemin de leur exfoliation au-delà de cette horreur de l’uniformisation, sortie d’esprits atrophiés qui voudraient que tout un chacun leur ressemble.

Nous pourrions ainsi écrire des tomes et des tomes pour la défense de la langue Française, mais elle n’en a pas besoin, car elle existe et existera toujours, par-delà la volition de la moisissure qui cherche à la convier à disparaître. La pourriture ne vaincra pas. Et elle est tellement viaduc de sa puanteur que l’on apprend que le félon à la vérité, celui qui a menti devant l’Assemblée Nationale, déjà se voit de nouveau en accès à la Députation, porté en cela par cette diarrhée médiatique qui le présente presque comme un héros, mais cela n’est-il pas normal dans ce moment de notre histoire, je parle bien de moment, car cela ne durera pas, où l’on présente le criminel comme un exemple, et la victime comme anormale.

La disparition de la petite Fiona devrait faire réfléchir, elle qui passe en faits divers, alors qu’elle devrait interroger certains procureurs sur les réseaux qui existent et vendent de la chair fraîche à des débiles mentaux qui les assassinent dans un satanisme sans résonance, sinon celle de la bestialité la plus dépravée qui se couronne et se protège dans toutes les couches de la société. La vermine ici est dans son déploiement, attendant avec impatience que le mariage gay soit transformé afin de se servir par adoption de ces pauvres enfants qui seront les victimes de ce meurtre autorisé, meurtre légalisé, de l’esprit comme de l’âme, du corps, d’Êtres qui n’ont rien demandé et encore moins à être adopté par des couples sans équilibre, sinon celui de leurs addictions sexuelles.

Addictions qui ont existé de tout temps, et qui n’ont point besoin de voir marier leurs impétrantes et impétrants pour conjuguer la vie d’un Enfant à leur sort. Ne nous leurrons pas, derrière, sans jeu de mots, ce mariage se cache la pédophilie qui avance à grand pas, l’enfant, dans cette désintégration du vivant, n’étant plus qu’une marchandise, un esclave brut qui sera éduqué  pour ne connaître que l’incohérence et deviendra un parfait chien de guerre, quand il ne sera pas un chien de sexe pour servir de serpillière à des malades mentaux dont Sparte se serait séparé dans la minute, mais que l’on protège par des lois iniques, oubliant la peine de mort, ajustant les peines, et surtout remettant en liberté cette folie lubrique dont les récidives ne sont plus à compter.

N’oublions pas qu’aux États-Unis 2000 personnes disparaissent chaque jour, qu’en France 40000 personnes disparaissent par année, il faudrait peut-être prendre ce problème à bras-le-corps, créer un service spécial concernant ces disparitions, et remonter les réseaux qui vendent l’Humain comme un vêtement quelconque, pour fournir les bordels du tiers-monde, pour fournir les loges avariées et criminelles qui torturent et assassinent des enfants, pour fournir des débiles mentaux, qui, dans leur croyance intime que leur pouvoir ou leur argent ne sera jamais atteint, usent et abusent dans le silence le plus complet des médias à leurs ordres, de toute personne humaine, jusqu’à les priser en chasse dans certaines régions, comme du gibier, jusqu’à se faire jouir devant les snuff movie où l’on assassine homme, femme, enfant, dans des tortures inouïes.

La réalité est là, dans son abjection la plus totale, et l’on s’étonne que ne progresse pas l’enquête concernant le trafic d’organes organisé au Kosovo, à part l’arrestation de quelques personnes, qui ne touchent en aucun cas les commanditaires et encore moins les aveugles payés pour se taire, - je pense au rire cynique de l’un d’eux répondant par la négation à la question d’un journaliste sur l’existence de trafic d’organes au Kosovo, en lui demandant de se faire soigner, un prétendu médecin petit valet du Bilderberg et du département d’État américain, qui est une tache sur la voie humanitaire, enrichit d’on ne sait quel argent, pour être à la tête d’un parc immobilier défiant toute concurrence à Paris.

Ces commanditaires furent destin de cette enclave créée de toutes pièces afin de faire transiter prioritairement la drogue en provenance d’Afghanistan, pour faire des ravages en Russie, s’alliant en cela avec toute la lie de la bestialité humaine qui en compensation poursuit impunément ses crimes avec l’aval de l’ONU, ce bestiaire sans nom dévoué à la Lucy Trust. Cette enclave du crime par excellence, dénoncée par Scott dans ses ouvrages, reçoit en outre la bénédiction des forces alliées, le silence des bases américaines, un silence consternant montrant à quel point la dénature achète bien le silence dans toutes les couches de la société.

Les relents de pourriture sont là, journellement étalés et désignés, non pas par les médias aux ordres, suces queues de toute l’usure, mais dans les millions de pages Internet qui révèlent l’horreur dans son abrupte désignation, au jour le jour, heure par heure, seconde par seconde, jusqu’à ce film de l’horreur totale tourné par les djihadistes combattant le régime Syrien, où l’on voit un de ses sbires découper un soldat Syrien et s’emparer de son cœur et de son foie pour les manger, en hurlant que tout un chacun devait faire la même chose.

Voici ce que nous vivons, caché par le masque du mensonge afin que personne ne se  retourne contre les atrophiés qui se veulent direction de l’Humanité, dans un silence imposé, le silence complice de toute la gangrène subversive qui s’agite dans les loges avariées, les basses loges, acceptant le cannibalisme de ses «alliés», formés par ses services secrets, dixit Scott, la mise à mort de nos enfants par des pervertis atrophiés, la destruction d’Êtres Humains par le servage, la pédophilie par consentement, l’outrage permanent à la Vie, aux fins d’instaurer ce camp de concentration dirigé par leurs kapos, ces tchékistes, commissaires politiques, ici en Europe, bientôt règne aux États-Unis, se fabriquant des attentats sous faux drapeau pour exécuter leur essai de contrôle total des populations.

Le rêve de tout dictateur. Mais que le dictateur, où l’apprenti dictateur, se méfie, même payé par l’usure, toute dictature a prouvé qu’elle ne tenait que le temps d’un règne, l’exemple Islandais, dont personne ne parle dans les médias pourris comme le fumier, est une illustration de ce qui arrivera inéluctablement. La domestication et l’acceptation ne durent qu’un temps.

L’illusion ne dure qu’un temps, cette illusion qui fait dire une partie de la vérité avec de forts mouvements de mentons, en cachant l’essentiel, telle l’information donnée sur l’injonction du Qatar, dictant des ordres au gouvernement Français, qui en s’abaissant a minimisé le déploiement de ses forces de police, en laissant agir toute la vermine du monde pour casser.

Telle l’information concernant le félon, encensé par les médias aux motifs qu’il est franc-maçon, qui veut de nouveau se présenter à la députation, en minimisant son action, car bien entendu un franc-maçon de la voie inversée dirige la France et entre petits frères on se récupère

Telle l’information concernant la Petite Fiona ne s’attaquant en aucun cas à cette réalité purulente qui couvre le monde, le trafic des enfants en vue de meurtres rituels ou bien en vue d’une prostitution globale, ou de trafics d’organes.

Telle l’information, tue, voyant notre régime défendre les djihadistes en Syrie qui se révèlent des barbares sans nom, des cannibales, et faire semblant de les combattre au Mali, où nos soldats sont tués par des armes que la gouvernance livre en Syrie.

Telle l’information concernant les ponctions subies par les retraités, alors que tout le corps politique se prépare des retraites dorées sous l’acclamation de ses troupes, dans le mépris total du Peuple de France, tout en laissant percevoir par les exogènes n’ayant jamais travaillé en France des retraites par couple de 1400 euros alors que la plupart des endogènes vivent avec des retraites de misère.

Toutes informations tronquées et éludées par l’action de la subversion putride dont les relents de pourriture ne peuvent en aucun cas ne plus se sentir par tout un chacun qui défend sa Patrie, sa grandeur et son honneur, notions vilipendées par cette gouvernance absolument et congénitalement déviante jusqu’à vouloir accorder une légion d’honneur à Bob Dylan, un chanteur étranger, enchantant la drogue et ses multiples formes, la déliquescence de la jeunesse, sa dépravation et son déshonneur.

La honte est là, dans ces multiples faits, qui ne peuvent pas passer inaperçus, n’en déplaise à toutes ces radios et télévisions perverties que plus personne ne regarde ou n’écoute, tellement le mensonge, l’abêtissement, l’acculturation en sont les fondements, propagande servile et rutilante qui ponctionne tout un chacun pour engraisser des fainéants, des familles entières qui se repaissent de leur putridité, sans parler des radios qui seraient la voix de la France tenues par la servilité absolue au mondialisme le plus répugnant, où jamais vous n’entendrez une seule émission  parlant de la France.

Pauvre France livrée à la pitoyable errance menée par le bout du nez par l’usure, pauvre France cloîtrée dans la dépendance où brillent les rubis des pétrolifères errances. Pauvre France, demain défendue par trois quatre soldats, notre Armée, massacrée par le précédent gouvernement, allant se trouver désormais nue, totalement nue, après le passage de la subversion la plus affligeante qui soit, celle du mondialisme socialiste, qui est une pure hérésie, une idéologie qui traîne derrière ses basques tous les génocides, toutes les guerres, toutes les manipulations de ces derniers siècles.

Monument de la reptation et de la flagellation, de ce complexe de Stockholm qui voit la permanence de ses délires se vouloir maître de notre destinée. L’outrance est à son sommet et les sondages d’opinion ne s’y trompent pas. On n’a jamais vu une gouvernance comme celle-ci, percluse, corrompue, en reptation devant l’usure, incapable de quoi que ce soit sinon que la destruction, de par des lois issues des bases loges avariées, qui seront proscrites, qu’il n’en doute, les véritables lois du redressement aujourd’hui étant celles qui permettraient à la France de se relever, en colmatant les fuites des caisses sociales vidées par les exogènes, en supprimant la CMU, en supprimant les allocations familiales pour les exogènes qui ne travaillent pas, en supprimant les retraites pour les exogènes n’ayant jamais travaillé en France, en supprimant le regroupement familial, en supprimant les rentes allouées par la sécurité sociale à toute la «misère» du monde qui vient se prostituer à l’usure, dans une lâcheté sans nom, celle de ne pas lutter pour le devenir de ses propres Nations.

Et conjointement en limitant le nombre de ministres à 9, ce qui est largement suffisant pour notre Nation, en limitant le nombre de Députés à un seul par département, ce qui est très nettement suffisant, en liquidant de la fonction publique tout ce qui n’a rien à y faire, et ils sont des millions, notamment dans l’«éducation» «nationale», en supprimant les régimes de retraites spéciaux, rackets permanents qui n’ont pas lieu d’être, et surtout en convoquant les banquiers internationaux pour leur faire comprendre qu’ils ne seront désormais payés que du principal et en aucun cas des intérêts indus, toute Nation qui se respecte émettant sa propre monnaie.

Et surtout en sortant de cette tour de Babel que l’on ose appeler l’Europe, alors qu’elle n’est que le refuge de toute la subversion où trône en son sein un Parlement qui se veut souverain qui n’a rien de l’Europe et ne sera jamais l’Europe.

Rassurons-nous, à cette heure on assiste à bien plus, laissant voir les loups surfaits, qu’ils arrivent à s’envier, à se détruire mutuellement, où l’on voit le Ministère des Finances aux mains des Bnai Brihgt, agent aux mains couvertes de sang par l’affaire du sang contaminé et par sa glose sur l’action des djihadistes en Syrie, qui hurle avec ces cannibales, donner de la voix pour démonter la présence du Bilderberg, dont les poulains sont regardés avec une loupe, et notamment ceux qui trônent au Ministère de l’Intérieur, pour démontrer  leur incapacité naturelle à combattre les fléaux qui ne sont qu’apparences, si bien téléguidés par les mêmes afin de détruire le Peuple de France, la Nation, l’Identité, pour faire table rase de leur réalité et la confondre dans la virtualité.

Et pendant ce temps on amuse notre bon Peuple avec ce festival de Cannes où l’on recherchera en vain ce qui n’appartient pas à l’errance, avec ses films téléguidés afin de bien faire larmoyer le petit Peuple, ou développer l’hyper violence de communautarismes qui s’imaginent déjà les maîtres de la France afin de mettre en place un «mondialisme» de pacotille avarié. Il aura fallu ce festival pour connaître l’existence d’une opération chirurgicale terrible, dont une actrice a été la patiente, alors qu’il existe déjà cinq cents femmes Françaises qui ont subi cette intervention, mais bien entendu ces cinq cents femmes que l’on découvre ne font pas partie de cette jet set dont le ridicule et la vanité, fort heureusement ne tuent pas, car alors il n’en resterait pas grand-chose.

Le cinéma comme la télévision ne sont, à part quelques exceptions, que des instruments de propagande depuis quelques années, visant à ce que l’opinion, bien entendu, accepte tout et n’importe quoi, dans le mensonge absolu dans certains films, dans la bêtise la plus affligeante dans les autres, fort heureusement les exceptions existent. On attend de cette pauvre léthargie cinématographique dite «Française» qu’elle s’intéresse à d’autres sujets que l’éternelle occupation, que l’éternelle génuflexion, que l’éternelle contrition, qui n’intéresse plus personne ce jour, ce jour, où dépassé, ces instruments commencent sérieusement à vieillir face à la créativité surgissant d’Internet, qui n’a pas besoin de mendier pour exister.

Ce festival comme d’ailleurs les «césars» mettent bien en évidence les liens qui relient la faune qui sévit dans ce «cinéma»  qui n’est plus qu’objet de propagande, et non, toujours à part quelques exceptions, le reflet de la réalité, cette réalité qui gêne tellement le cosmopolitisme qui s’accroît, voyant dans certaines régions du monde des enfants fabriquer leurs vêtements, leurs chaussures, tout cet apparat de la vanité qui se dresse et ne survit que grâce au portefeuille et à l’esclavagisme, et en aucun cas par l’intelligence, l’intelligence de l’image, l’intelligence du sujet, l’intelligence de l’élévation, tout un chacun ne voyant dans la plupart des films que le reflet d’un imaginaire tronqué par le délire, la barbarie, la contrition, mais en aucun cas par la marque d’une quelconque élévation comme d’une quelconque réflexion sur l’Humain, par l’Humain.

Les récompenses qui se font dans ces cohues ataviques n’ont rien, mais strictement rien d’intéressantes, car elles se conjuguent à la même destinée et ne s’interrogent jamais sur ce qui n’appartient pas à leur dorure factice, totalement surfaite, qui fait rire tout un chacun en voyant leur consanguinité, dévote au mensonge comme à la subversion, se séduire et se primer. 

Enfin, tout cela n’aura qu’un temps, car qu’est-ce que ces quelques centaines d’années de l’Humanité dominées par l’usure, tout ce que le devenir ne devra en aucun cas suivre, une involution retournant dans la matière car incapable d’affronter la Vie et de la suivre dans sa vitalité, lui préférant le refuge, dans une hystérie qui met en valeur sa lâcheté globale, dans laquelle tout un chacun devrait se noyer.

Cette noyade n’aura pas lieu, bien au contraire tous les indices de la vitalité Humaine sont au beau fixe, loin de ces enchaînements dans les relents de cette puanteur de la mort qui voudrait germer, issue de ces loges avariées qui ne sont que la soldatesque impuissante de la subversion agitée par l’usure pour traire les Peuples comme des vaches, pas de chance, les vaches restent Humaines et déjà de par le monde, en toute Nation se réveillent de l’aporie dans laquelle on voulait les inféoder. L’Islande hier, demain, n’en doutons pas les Nations Européennes qui doivent secouer le joug de l’usure afin de survivre, cela viendra, dans le pacifisme le plus total, n’en déplaise, car aujourd’hui aucun pouvoir n’est légitime, je dis bien aucun, vendu comme une marque de publicité qu’il est, marque sans renom sinon celui de la destruction dont les relents de pourriture apparaissent ces jours en pleine lumière. Amusons nous de voir aller à Canossa le Président de ce gouvernement, tel un bourgeois de Calais, défendre devant l’usure sa gouvernance. Une gouvernance qu’il lui doit, et qu’avec servilité il sert.

© Vincent Thierry