Petite chronologie de la subversion

Petite chronologie de la subversion

Avertissement

La subversion n’est pas le fait des Ordres Traditionnels, du Christianisme, du Judaïsme, de l’Islam angélique, du Bouddhisme éclairé, ainsi ne confondons pas ses agents avec ces voies de la préhension de la Vie dans son Éternité, même si parfois elle semble se diluer dans les unes les autres de ces orientations décisives, car tel est son dessein, celui de subvertir, car sa commande atavique par génération ou agrégation n’est pas de s’inféoder mais de diriger par l’outil de l’usure, et ainsi au-delà de toute religion ou philosophie de la Vie d’implanter son ordre obscur, qui rendra l’Humanité esclave de sa théurgie bâtie sur le retour à la pierre brute qu’elle associe à sa vacuité qui n’est qu’autre qu’une atrophie la voyant prétendre gouverner l’Humanité à son seul profit, qui n’est pas celui de l’élévation, mais de la concaténation dans l’abstraction de la matérialisation la plus brute, une virtualité totale qui lui permet de fondre cette atrophie dans l’absolutisme et sa barbarie naturelle.

Cette chronologie succincte va de la fin de l’Empire Romain jusqu’aux années 1950, matrice par excellence de la mise en place et de la coordination de la subversion que l’Humanité aujourd’hui subit de plein fouet. On rendra ici hommage à WG. CARR et NESTA WEBSTER dont est tiré une partie de ce texte synthétique.

En cette origine, on distingue, qu’on le veuille ou non, deux Races de l’esprit, la Race Sémitique et la Race Aryenne.

Les ancêtres communs de la race aryenne proviennent de la chaîne du Pamir. Le terme Aryen comprend les groupes linguistiques des Indo Européens, qui comprennent deux groupes, celui de l’ouest ou européen, et celui de l’est ou arménien. Les langues du groupe Aryen ont une origine commune par leur vocabulaire, leur système syntaxique et leur vocabulaire. Le mot Aryen signifie «un honorable seigneur du sol». On distingue au sein du monde Aryen le groupe Teutonique, le groupe Romain et les races slaves qui s’établissent en Europe de l’ouest. Les Turcs, les Magyars, les Basques, les Finnois ne sont pas de race aryenne.

La race sémitique est divisée en deux parties, dans l’une nous trouvons les Peuples Assyriens, Araméens, Hébreux, et Phéniciens, dans l’autre, les groupes arabes et Ethiopiens. Un grand nombre de Peuples qui acceptent la religion Juive n’est pas sémite, ils descendent des Hérodiens, Iduméens de sang turco-mongol, soit des Edomites.

Les Races non sémites et turco-finnoises, vers le premier siècle s’infiltrent en Europe à partir de l’Asie. Leurs Peuples que l’histoire nomme Khazars, fondent un puissant royaume commandant le transit entre le Nord et la Mer Caspienne. Païens, ils se convertissent au judaïsme, le préférant au Christianisme et au Mahométisme. Leur royaume s’étend sur la plus grande partie de l’Europe de l’Est, à l’ouest de la chaîne de l’Oural, au Nord de la mer Noire, dure presque cinq siècles, jusqu’au treizième siècle, avant d’être envahi par les Varingiens, les Russes d’aujourd’hui.

L’exemple est donné durant ce temps que l’outil magistral pour parvenir au pouvoir reste outre la division de facto, l’usure de fait.

En effet pour parvenir à la dictature totale sur l’espèce Humaine, la subversion doit détruire toutes les autorités existantes, qu’elles soient politiques ou religieuses, pour cela  jouer sur la division, les antagonismes naturels, et quel meilleur profit que celui d’utiliser la division existante en cette origine entre les races de l’Esprit, la Race Sémitique et la Race Aryenne, afin de parvenir à ce but. La manipulation des uns des autres va muer ce vecteur de conquête en conquête par l’intermédiaire de l’usure.

Cette usure qui détermine la crucifixion du Christ, qui voit l’obligation à Sénèque de se donner la mort par impératif de Néron en 65 après Jésus Christ, Néron dont le règne atroce est consomption de tout ce que l’usure lorsqu’elle tient entre ses mains le pouvoir, est capable. Par son «Corpus Juris Civilis» Justinien 1er tente de mettre fin à ces dérives, qui ne sont pas seulement celles du prêt usuraire mais aussi le commerce en général et plus particulièrement le trafic d’esclaves qui est sa principale source de revenu, la contrebande en gros, d’alcools, de parfums, de bijoux, la prostitution en général. Ces participes de l’usure viennent à bout, malgré l’action de Justinien, de l’Empire Romain, assurant sa suprématie désormais dans les échanges qui sont réservés à ses féaux. Cette domination s’étend sur toute l’Europe. Les hommes de guerre à la tête des Aryens, devant cette tentative de corruption de leurs gouvernements comme de leurs royaumes se déterminent à briser le contrôle sur les échanges, le commerce, et l’argent en Europe.

En 1095, ils organisent avec le soutien des chefs Chrétiens, la première croisade, où guerre Sainte, qui n’a pas d’autres buts. Huit croisades sont organisées entre 1095 et 1271, voyant se réaliser la division systémique en deux camps, préambule à une prise de pouvoir mondial, un camp pro sémite, un camp anti sémite.

En 1118 est fondé l’Ordre des Templiers, pouvoir indépendant de la monarchie, afin d’assainir les échanges monétaires et les prêts usuraires, et dans sa représentation guerrière officier la délivrance de Jérusalem et la défense des pèlerins.

En 1185 naît la Confrérie de la Paix.

En 1215, le Concile du Latran, organisé par la Hiérarchie Catholique et Romaine, statue sur l’agression de l’usure sur tous les pays de l’Europe. Ce Concile arrête et vote des décrets pour mettre fin à l’usure et aux méthodes répugnantes de ses féaux. Le quatrième Concile du Latran oblige les féaux de l’usure à vivre dans leurs propres quartiers, et la dissolution des sociétés anonymes permettant aux usuriers d’utiliser des prêtes noms pour leurs basses opérations. Tous ces décrets encouragent la haine des usuriers envers l’Église Catholique, une haine qui s’absout dans l’idéologie d’un laïcisme leur permettant de faire fructifier leurs déplorables méthodes, en conviant les pouvoirs à organiser la séparation des églises des états.

En 1253 la France expulse les féaux de l’usure. Ils trouvent refuge en Angleterre, où ils détiennent toute puissance sur les corrompus, ecclésiastiques et nobles

dès 1255, comme le prouve après le meurtre rituel de St Hugh de Lincoln, une enquête diligentée par le Roi Henri III, mettant en évidence à la tête de cette corruption les maîtres de l’argent et leurs féaux qu’ils fussent civils ou religieux.

En 1272, le Roi Edouard 1er ordonne aux féaux d’abandonner la pratique de l’usure.

En 1275 il fait voter au Parlement le statut de l’usure, destiné à freiner le pouvoir exercer par ses féaux sur les débiteurs Chrétiens et Juifs.

En 1290 le Roi promulgue le décret de grande éviction des usuriers.

En 1306 La France promulgue le décret de grande éviction des usuriers.

En 1312 a lieu la dissolution de l’Ordre externe des Templiers.

En 1313 les Templiers essaiment l’Ecosse et le Portugal, l’Allemagne du Nord et la Suède, où résident d’importantes communautés juives. Notons que ce sont là, or l’Ecosse, les berceaux du protestantisme.

En 1348 la Saxe promulgue le décret de grande éviction des usuriers.

En 1360 la Hongrie promulgue le décret de grande éviction des usuriers.

 

En 1370 la Belgique promulgue le décret de grande éviction des usuriers.

En 1380 la Slovaquie promulgue le décret de grande éviction des usuriers.

En 1381 un Mouvement subversif naît en Angleterre, celui de Wat Tyler, Jacq Straw et John Bail.

Au XV siècle les Hussites en Bohème, les Taborites, les Frères de Bohème, d’inspiration et d’origine Cathare, s’élèvent contre la morale, la Religion et la société Chrétienne.

En 1420 l’Autriche promulgue le décret de grande éviction des usuriers.

En 1444 les Pays Bas promulguent le décret de grande éviction des usuriers.

En 1492 l’Espagne promulgue le décret de grande éviction des usuriers. L’Espagne se garantit de ce fléau en instituant la Sainte Inquisition, qui n’a pour but que de démasquer les féaux de l’usure et non comme il est souvent dit les sorciers et les sorcières. Grâce à la Sainte Inquisition, sous le règne d’Isabelle et de Ferdinand, tous les traîtres qui complotaient pour renverser l’Eglise et l’Etat sont supprimés.

En 1495 la Lituanie promulgue le décret de grande éviction des usuriers.

En 1498 le Portugal promulgue le décret de grande éviction des usuriers. Commence alors pour l’Occident la Renaissance. L’usure se déplace vers l’Est dans une zone de résidence s’étendant des rivages de la mer Baltique jusqu’à ceux de la Mer Noire, ancien royaume des Khazars, où elle contient ses féaux dans des kahals, en initiant en eux la haine et la vengeance, et le sentiment d’une supériorité élective spirituelle qui leur permettraient d’hériter de la terre. Elle transforme cette haine en action par fédération d’un réseau d’infiltration systématique des pays dont elle a été chassée, réseau occulte par excellence qui va submerger lentement mais sûrement l’ensemble des pays d’Europe, permettant l’implantation de trafics illégaux qui forgera sa fortune.

En 1500 retour de l’usure en Hongrie.

En 1540 l’Italie promulgue le décret de grande éviction des usuriers.

En 1551 la Bavière promulgue le décret de grande éviction des usuriers.

En 1562 retour de l’usure en Slovaquie. En 1582 la Hongrie chasse les usuriers.

En 1600 infiltration d’agents des banquiers internationaux dans le ministère du Trésor Espagnol.

En 1645 en Angleterre, l’usure décide de provoquer des dissensions entre les participes de l’Etat de droit, divisant ainsi son Peuple en Catholiques et Protestants, puis en Protestants conformistes et non conformistes, après que d’avoir créé de toute pièce le protestantisme, son outil en vue de détruire la religion Catholique par ses intermédiaires, Luther et Cohen dit Calvin. Le Roi Charles 1er en désaccord avec son gouvernement, voit l’arrivée de Oliver Cromwell, introduit par un féal de l’usure Hollandais, Manassech Ben Israël qui met à sa disposition d’importantes sommes d’argent, accompagné en cela par des banquiers Allemands et Français, afin de détruire son trône. Le principal fournisseur militaire de Cromwell, Fernandez Carvajal, Portugais, organise son armée des Round Heads. La conspiration ourdie, l’usure fait rentrer des centaines de ses agents en Angleterre pour semer des troubles et expéditions militaires, qui se réfugient chez De Souze, Ambassadeur du Portugal, bénéficiant ainsi de l’immunité diplomatique pour favoriser leur projet.

En 1647 le 12 juillet, Cromwell reçoit missive qu’une aide financière serait accordée sous réserve que le Roi soit renversé, et les féaux de l’usure acceptés.

Le 12 novembre est offert au Roi la possibilité de s’enfuir. Capturé, il est tenu à concessions, qui sont acceptés par le Parlement comme étant propices à un arrangement avec l’usure. Cromwell, égorgeur public, fait donner sa troupe dans le Parlement pour l’épurer des fidèles à la cause du Roi, pour toucher les deniers que lui a promis l’usure. Cette épuration connue sous le nom d’épuration de Pryde, donne le pouvoir absolu aux quelques cinquante parlementaires encore en vie.

En 1649 le 9 janvier, une haute cour de justice intente un procès au Roi. Les deux tiers de son Tribunal sont aux ordres de Cromwell. Pas un seul homme de loi Anglais ne désire ester à l’encontre de son Roi. De fait, la charge de l’accusation revient à un juif étranger Isaac Dorislaus, agent de Manasseh Ben Israël, sous les hospices de Carjaval. Le Roi est déclaré coupable envers les banquiers internationaux apatrides et le 30 janvier est décapité, menant ainsi à la victoire l’usure contre le trône, qui s’arroge désormais le contrôle de l’économie et du gouvernement d’Angleterre. Sur cette tête de pont, afin d’affaiblir les trésoreries et ainsi endetter les autres Nations, l’usure manipule les uns les autres afin de faire des guerres contre l’Angleterre. Cromwell engage une guerre contre l’Irlande, les protestants britanniques sont accusés de persécution envers les Catholiques Irlandais.

En 1650, Montrose en rébellion contre Cromwell est capturé et exécuté.

En 1651, Charles II envahit l’Angleterre, est battu et renvoyé en France.

En 1652 Cromwell entre en guerre contre la Hollande.

En 1653, Cromwell s’autoproclame «Lord Protecteur d’Angleterre». 

De 1654 à 1656, de nouvelles guerres sont engagées et des troubles sont fomentés dans les colonies américaines.

En 1657, meurt Cromwell, son fils Richard lui succède.

En 1659, Richard abdique.

En 1660 la maçonnerie jacobite d’Angleterre réussit avec l’aide des juifs d’Amsterdam à ramener Charles II sur le trône. De par son exil en France, elle insinue certaines sphères philosophiques, notamment celle de Fénelon.  Richard II est proclamé Roi.

En 1661, la mise en évidence des exactions de Cromwell père, provoque des réactions violentes du Peuple.

En 1662, la lutte religieuse est engagée entre les réformistes et les traditionnalistes protestants.

En 1664, nouvelle guerre contre la Hollande.

En 1665, une dépression économique (manipulée par la mise en œuvre de guerres successives vidant le trésor) frappe l’Angleterre, chômage, famine et peste assaillent les Anglais.

En 1667, les agents de l’usure fomentent de nouvelles dissensions religieuses et politiques.

En 1674, la paix est instaurée entre la Hollande et l’Angleterre. 

En 1677, mariage de Mary d’Angleterre et du Prince Orange, déstabilisation du pouvoir de Charles II.

En 1683, tentative d’assassinat de Charles II et du Duc d’York (complot de Rye House).

En 1685, mort de Charles II, avènement du Duc d’York qui devient James II, Catholique. L’usure déclenche une campagne d’infamie contre James II, le Duc de Monmouth, son agent, dirige une insurrection en vue de déposer le Roi. Lors de la bataille de Sedgemoor le Duc est battu, emprisonné, exécuté le 15 juillet. Trois cent des conspirateurs sont mis à mort suite à l’ouverture des «assises sanglantes» initiées en août par le Juge Jeffreys.

En 1688, sur ordre de l’usure, le Prince d’orange, Protestant, débarque à Torbay le 5 novembre. Le Roi James abdique et s’enfuit en France.

En 1689, le Prince d’orange, aux mains de l’usure, est nommé Roi. Le 15 février le Roi James débarque en Irlande, pour reconquérir son trône, est battu le 12 juillet à la bataille de la Boyne. L’Angleterre est désormais totalement entre les mains de l’usure qui a si bien manipulé les tendances religieuses pour les faire s’affronter, se détruire et se ruiner. A peine sur son trône, le Prince d’Orange persuade le trésor Britannique d’emprunter 1250000 livres aux usuriers qui l’ont placé à la tête de l’Angleterre. Ce prêt est consenti sous réserves que les noms des créanciers restent secrets et qu’ils leur soit accordé une charte de fondation de la Banque d’Angleterre, que les directeurs de cette Banque se voient accordés le droit de définir l’étalon or de la monnaie, par lequel ils peuvent développer le crédit à concurrence de 10 livres pour chaque livre en valeur or déposée dans leur coffre ; enfin qu’on leur laisse consolider la dette Nationale en leur garantissant le paiement des sommes dues en principal et en intérêts de la dette par imposition directe du Peuple. La boucle est bouclée dans cette Nation pour l’usure, qui nonobstant le pouvoir visible en détient le pouvoir invisible. Afin d’accentuer leur pouvoir et affaiblir les autres Nations pour opérer la même action, l’usure va maintenant accélérer le mouvement des dettes, ainsi en quatre ans, la dette anglaise va progresser jusqu’à 16 000 000 de livres, motivée principalement par les guerres fomentées et engagées sous sa férule. John Churchill devient pendant cette période la personnalité militaire dirigeante, Guillaume d’Orange le fait Duc de Marlborough, il devient en 1701 commandant en chef des armées de Hollande, et reçoit pour services rendus une rente de 6000 livres de l’usure représentée par le banquier hollandais Salomon Médina. Exemple parmi les nombreux exemples existants.

L’Angleterre est à la botte, et prépare tous les événements qui vont suivre, de la Révolution française aux guerres napoléoniennes.

Sa dette atteindra en 1945 la somme de 22 503 532 372 livres, les frais de commission s’élevant seuls à 445 446 241 livres, fruits de l’usure, sans la moindre valeur,  stockés et multipliés par les frais des autres Nations,  par l’usure en vue de sa prise de pouvoir mondial.

La maçonnerie orangiste chasse Jacques II et installe sur le trône une dynastie protestante et favorable aux juifs, celle de Guillaume de Nassau.

L’Angleterre est jugulée, il convient pour l’usure maintenant de détruire la monarchie exemplaire, la France, fille aînée de l’Eglise.

En 1700 la Lituanie chasse les usuriers.

En 1717 fondation de la Grande Loge de Londres, où n’est jamais évoqué rien de ce qui touche le gouvernement où la Religion.

En 1740 fondation de la Grande Loge Nationale en France recevant ses chartes de la Grande Loge de Londres.

En 1744 la Slovaquie chasse les usuriers.

En 1754 création de l’Ordre des Martinistes par un juif portugais Martinez Pashallis, qui conçoit un système à base de gnosticisme, de christianisme judaïsé et de philosophies grecques et orientales. Cet Ordre se scindera en deux, une branche fidèle à l’esprit initial poursuivit par Saint Martin, l’autre par un organisme révolutionnaire d’où sortira la Loge des Philalèthes (dixit amis du vrai), et par Willermoz.

En 1770 Benjamin Franklin arrive en Angleterre en tant que représentant des intérêts des colonies Américaines. Les associés des Rothschild lui demandent la raison de la prospérité de ces colonies, à cela il répond «C’est simple, dans les colonies nous émettons notre propre argent, nous l’appelons émission coloniale, en des proportions raisonnables selon les exigences du commerce et de l’industrie». Cet affront fait à l’usure ne peut passer inaperçu, dès lors Amschel Mayer Rothschild, toujours en Allemagne, mais fournissant des mercenaires à l’Angleterre, réussi grâce à la Banque d’Angleterre entre les mains de l’usure à faire passer une loi interdisant cette émission de monnaie, et obligeant les colons à utiliser les services de la Banque d’Angleterre. Les colonies retirent donc leur monnaie, hypothèquent leurs actifs près de la dite banque, puis lui empruntent de l’argent pour faire fonctionner leur économie. En un an, la prospérité disparait et une dépression s’installe voyant le chômage pulvérulent. Ceci s’explique par le déni de la monnaie des colonies qui voit la Banque d’Angleterre refuser de donner plus de 50% de sa valeur nominale aux colons.

En 1772 fondation du Grand Orient de France, Grand Maître le futur Philippe Egalité, bâtard de son grand père qui ne l’a pas reconnu.

L’agent de l’usure est ici Mirabeau, endetté par sa dissolution, qui prête serment aux Illuminés, et devient leur agent en France, un agent virulent par manipulation ourdie, la présentation de Madame Herz par Moses Mendelssohn un des grands financiers de l’usure, sa participation à une débauche somptuaire, le faisant l’objet de toute infamie de la part de ses pairs, le menant à un désir de vengeance qu’il transformera en fougue révolutionnaire. La fonction de Mirabeau n’a pour but que de convaincre le Duc d’Orléans de prendre les rênes du mouvement révolutionnaire en France. Il est entendu que le Duc d’Orléans après le renversement de la Monarchie deviendra le chef des Institutions en France. Jamais l’usure ne laisse entendre tant à Mirabeau qu’au Duc d’Orléans que leur intention est d’assassiner le Roi, la Reine, et la noblesse, comme elle l’avait si bien fait en Angleterre.  Elle fait croire que la révolution n’a pour but unique que la libération de la politique et de la religion du despotisme. Mirabeau présente le Duc d’Orléans et Talleyrand à Weishaupt qui les initie aux secrets de la franc-maçonnerie du Grand Orient.

En 1773 le Duc d’Orléans introduit le rituel du Grand Orient dans la franc-maçonnerie Française.

Dissolution de la Compagnie de Jésus.

Réunion de dirigeants juifs à Francfort, dont Amstel Mayer Rotschild, Itzig, Wesely et le financier Friedlander. Le but de cette réunion n’est autre que la recherche d’une alliance irréversible entre les différentes fortunes de l’usure aux fins de financer et contrôler les mouvements révolutionnaires chargés de détruire l’ordre établi, qu’il soit religieux ou politique, afin d’advenir son règne.

Préambule, il y est remarqué que les résultats financiers ne seront rien en comparaison des gains que permettra, telle la révolution anglaise, une révolution française, compte tenu de la richesse de la France.

Le plan est mis au point entre ces félons du genre humain.

Il comporte la création d’une situation économique désastreuse, par prêts impossibles à rembourser par l’intelligentzia Française, provoquant chômage, famine, guerre civile, dont seront rendus responsables l’Aristocratie emprunteuse, et la Royauté, l’Eglise, les Industriels, en utilisant une propagande insidieuse, cette propagande ayant pour but d’exacerber la haine, la vengeance, contre les maîtres du Royaume, en utilisant le vrai comme le faux, dans l’immoralité la plus judicieuse.

Il prévoit le renversement de la Monarchie Française par la force brutale et aveugle, l’usage de la violence et du terrorisme, qui doivent devenir forces de la Loi, le droit résidant dans la Force, permettant d’instaurer un gouvernement à leur botte. Conjointement, afin de destituer l’idée de la Liberté politique, il assigne que le Libéralisme devra être la seule Liberté autorisée de manière à enchaîner par l’usure la majeure partie du Peuple en quête de biens. Ce plan prévoit que cette seule liberté remplacera la Foi, entraînant un conflit entre les possédants et les dénudés, qu’il conviendra d’encourager, cela n’ayant aucune importance, le Capital étant entièrement entre leurs mains.

Il indique que la fin justifiant les moyens, la ruse comme la mystification devront être permanences, car la sincérité comme l’honnêteté restent des vices en politique. Il démontre qu’en ces actes l’usure deviendrait souveraine sur toutes celles et ceux ayant abandonné volontairement leurs droits et pouvoirs pour se corrompre dans la voie du Libéralisme.

Il précise que la puissance des moyens mis en œuvre pour parvenir à cette fin devait rester invisible jusqu’au moment où elle aurait acquis assez de force pour qu’aucune ruse ou force contraire ne puisse la détruire.

Il recommande ensuite l’utilisation du comportement des foules pour obtenir leur contrôle, la pertinence des masses étant liée à la suggestion, et par là même à l’incapacité mentale, permettant d’asseoir la volonté despotique pour la guider, la Liberté ne la menant qu’à l’anarchie, qu’il convenait aussi de contrôler.  Il recommande l’emploi de l’alcool, de la drogue, de la corruption morale en tous vices afin de corrompre la jeunesse, notamment aristocrate ou noble, qui seraient les futurs agents de leur subversion.

Il insiste pour que toute propriété d’autrui leur revienne en instituant un régime de terreur permettant une soumission aveugle des masses, lesquelles seraient utilisées pour commettre des monstruosités telles, qu’en élection, ce principe serait accueilli par le Peuple avec ferveur voyant ainsi leurs agents considérés avec dévotion comme étant les libérateurs des horreurs qu’il subit, libérateurs qui mettront à mort tous les agents, à leur solde, de ces monstruosités.

Il enseigne que leur aristocratie de l’argent se substituerait à l’Aristocratie naturelle, les idées de Liberté, Egalité, Fraternité, qui ne seront jamais appliquées n’étant que les viaducs permettant de rameuter les foules et leur permettre d’asseoir leur pouvoir.

Il préconise que la France soit en confrontation globale avec les autres Nations, afin d’affaiblir celles-ci par une dette incontournable, donc manipuler les guerres comme ferment de leur asservissement, contrôlées en détail par eux-mêmes.

Il insiste pour qu’au-delà de la France et en elle, il convenait d’ores et déjà de choisir les conseillers des futurs gouvernements afin d’infléchir toute action qui tendrait à inverser le cours de l’histoire tracée qui devaient les conduire au pouvoir total, mondial. Il désigne les moyens,

l’accaparement de la presse dans son intégralité afin de flatter leurs agents et conspuer celles et ceux ne manifestant pas leur asservissement à leur cause,

la création de toutes pièces de dépressions économiques et financières, la pénurie de nourriture,  afin que les masses viennent manger dans leur main et les accueillent comme leurs seuls libérateurs,

l’insinuation de toute la franc-maçonnerie continentale afin de la retourner de son but pour qu’elle devienne l’outil de l’usure, en dispensant une idéologie matérialiste et athée qui permettrait aux humains de se retrouver à l’état de bestiaux, plus facile à manipuler que par la raison, planifiant aussi la destruction systématique de cet outil lors de l’avènement du règne de l’usure, permettant de rayer le nom même de Dieu sur ce globe.

Il passe en détail les grandes lignes de cette guerre révolutionnaire déclarée à l’Humanité, l’art du combat de rue, la manipulation, insiste sur le fait que la terreur devait être instituée afin d’amener la population à une sujétion totale, manipulation qui devait se retrouver d’ores et déjà dans la manifestation de la Diplomatie en tout État quel qu’il soit, permettant ainsi que aucun accord ne soit passé entre États sans la mainmise de l’usure sur un quelconque projet, qui toujours devrait être signé dans le cadre même de ses intérêts et en aucun cas des intérêts des dits États.

Il signifie que le but ultime de tout cela est l’instauration d’un gouvernement mondial dont l’usure sera le maître absolu.

Il enseigne que pour parvenir à cette dernière fin, devront être établis des monopoles gigantesques, des accumulations de richesses colossales, prévenant ainsi la banqueroute internationale qui suivra inévitablement des états nationaux, qui en nasse des guerres économiques internes et externes tendant à les priver de toute autorité sur les industries, le commerce, l’agriculture, étranglés par les dettes, se rendront à l’usure sans coup férir, après les avoir manipulés pour que leurs Peuples s’entretuent le plus possible, afin que ne resta sur la terre qu’une masse idiote, quelques millionnaires dévoués, une police et des soldats en nombre suffisants pour assurer la protection des intérêts de l’usure.

Il détermine que les membres du gouvernement mondial seraient nommés par le dictateur qui choisirait ces hommes parmi les scientifiques, les économistes, les financiers, les industriels et aussi quelques millionnaires.

Il précise que pour se protéger contre une quelconque réaction des Peuples à l’encontre du règne de l’usure serait mis en place une organisation pratiquant une terreur telle que même les plus vigoureux trembleraient devant les horreurs qu’ils commettraient, en toute impunité, grâce au pouvoir de l’usure se substituant au pouvoir de façade.

Ainsi en 1773 des roturiers de l’usure initiaient dans le mépris le plus absolu de l’Humanité comme de l’Etre Humain ce plan machiavélique qui maintenant s’enfantait. Une fois attisé l’esprit de révolte contre l’autorité constituée dans les masses, l’élan révolutionnaire devait tout dévaster dans un régime de terreur programmée qui trouverait ses vecteurs dans la perversion de la franc-maçonnerie nouvellement établie, qui deviendrait l’instrument de diffusion du matérialisme historique, dialectique et athée. Weishaupt éduqué par ce Kahal est alors nommé pour diriger la pointe de la subversion en sa partie active et révolutionnaire.

En 1775 suite à la spoliation par la Banque d’Angleterre sous la férule de l’usure, qui voit la dite Banque donner 50% de la valeur de la monnaie de sa colonie Américaine, ont lieu les premiers affrontements le 19 avril entre les colons et les britanniques.

Le 10 mai, le deuxième congrès continental se réunit à Philadelphie et nomme Georges Washington à la tête de l’insurrection. Il en prend le commandement à Cambridge.

En 1776 : le premier mai fondation des Illuminés de Bavière par Weishaupt. Weihaupt (spartacus) Grand Maître, premier adjoint Herr von Zwack conseiller privé du Prince Von Salm ( caton), le Marquis de Constanza ( diomède), Massenhausen ( ajax), Hertel (marius), le Baron de Schoekeinstein ( mahomet), le baron de Mengenhofen (sylla).

Cet Ordre a pour but de conquérir le pouvoir mondial et les richesses et de saper les gouvernements civils et religieux, et de s’investir en ses dirigeants les maîtres du monde. Le secret, l’espionnage, la délation, l’hypocrisie, le retournement, l’insinuation, le mensonge, la sexualité débridée, la perversion, sont les armes de cet Ordre qui se fait accroire en sa base comme un christianisme détaché de l’église catholique puis en ses hauts grades comme le vecteur de la raison humaine contre la croyance évangélique.

Les objectifs des illuminés se résument en cinq points : Abolition de la monarchie et de tout gouvernement établi ; abolition de la propriété privée et du droit d’héritage ; abolition du patriotisme ; abolition de la famille, c'est-à-dire du mariage et de la moralité, et institution de la communauté d’éducation des enfants ; abolition de la religion.

Adam Weishaupt, ancien élève des Jésuites,  recruté par les usuriers en 1770, - dont l’idée dirigiste est née  lors de la réunion à Francfort sur le Main en Allemagne au comptoir d’Amschel Mayer Bauer en 1773, qui déclare : Laissez nous battre et contrôler la monnaie d’une Nation et nous ne soucierons pas de qui fait les lois ;  et une trentaine d’argentiers et d’orfèvres -,  est chargé par ceux-ci de mettre au point le plan exclusif permettant par l’intermédiaire de la franc-maçonnerie de détruire tous les  gouvernements, l’abolition de l’héritage, l’abolition de la propriété , l’abolition du patriotisme, l’abolition de la maison individuelle et de la vie familiale, l’abolition de toutes religions établies et existantes aux fins d’instaurer l’idéologie luciférienne du totalitarisme sur l’Humanité.

Il achève son travail spéculatif en 1776. L’organisation est pyramidale, trouvant en sommet treize initiés, soumettant un conseil de trente-trois illuminés. Ce plan prévoit la division du «bétail humain» en partis opposés multipliés qu’ils soient politiques, religieux, associatifs, etc.  Les partis ainsi en opposition, doivent être armés afin, qu’à un instant déterminé ils se combattent et ainsi affaiblissent les gouvernements et les institutions religieuses, pour faire place à la gouvernance de l’usure.

L’organisation des illuminés se met en ordre de bataille. En usant du mensonge, en faisant accroire à ses recrues que le but de l’ordre était l’instauration d’un gouvernement mondial permettant à tous les hommes en capacité d’en prendre les commandes, que ce soit dans les domaines politiques, des arts et des lettres, des sciences et de l’éducation, de la finance et de l’industrie, taisant bien entendu que seule l’usure serait dominante, cet ordre se retrouve en très peu de temps à la tête de deux mille adeptes.

Afin de s’assurer une certaine impunité, il infiltre les loges existantes du Grand Orient qui désormais seront aux racines de son pouvoir.

Le plan de spéculatif devient opératif. Les initiés doivent pour l’accomplissement du but, user de toute ignominie, malversation monétaire, débauche sexuelle, aux fins principalement de contrôler les personnes en poste de gouvernance, par acquis ou bien par dépravation organisée, et conjointement pour abattre par les calomnies, le mensonge, le chantage, toutes personnes liées au pouvoir qui ne s’inscriraient pas dans le but circonscrit par l’ordre. L’action ne se situe uniquement dans l’apparat des pouvoirs, mais dans les universités et collèges, afin d’attraire et recruter des personnalités intellectuelles en provenance principalement de bonnes familles, pour les entraîner aux relations internationales, et par leurs vices faire effet boule de neige dans toutes les institutions existantes.

L’argent n’est pas un problème, dispensé sans limite par l’usure, permettant de délivrer bourses et divers aux agents recrutés ainsi qu’aux agents en action. L’objectif des initiés, recrutés et recruteurs, est de parvenir au plus haut niveau des pouvoirs quels qu’ils soient, dans l’ombre bien entendu, mais en droit de manipuler les orientations de toute gouvernance, qu’elle soit politique ou religieuse, intellectuelle ou physique.

A cette fin une opération de contrôle global de la presse est mise en œuvre, ce qui permet à l’ordre de diffuser des nouvelles déformées, de fausses nouvelles, afin de semer le doute dans les esprits, et par ce viol les amener à détester toute autorité. Des écoles propres à l’ordre sont investies, Gordonstoun en Ecosse, Salem en Allemagne, et Anavryta en Grèce. Elles forment ses «élites» dans la croyance intime qu’ils sont les seuls capables de diriger le monde, par un savant lavage de cerveau.

L’avertissement du Gouvernement Bavarois en 1784 reste lettre morte devant la puissance de l’ordre, qui dissous, insinue encore plus profondément la franc-maçonnerie du Grand Orient afin de faire renaître son ordre dans cette éponge devenue et choisi Genève en Suisse comme quartier général, en accord avec leur politique, une Nation neutre à l’écart de tous les conflits internationaux, où peuvent instruire ses agents, simples exécutants de ses ordres. Pour cacher ses activités subversives à l’extérieur de la Suisse, cet ordre utilise la philanthropie.

Le 4 juillet, le Congrès des États Unis adopte la Déclaration d’indépendance.

En 1778 premier rapprochement de l’illuminisme avec la maçonnerie.

En 1780 Accord élargi entre l’illuminisme et la maçonnerie conclu à Francfort, berceau des Rothschild, avec le représentant de la maçonnerie, le baron von Knigge et le représentant de l’illuminisme le Marquis de Constanza.  La Banque d’Angleterre délègue son homme lige Alexander Hamilton, aux États Unis, que d’aucuns pensent patriote. Celui-ci propose la constitution d’une Banque Fédérale, bien entendu aux mains d’intérêts privés, sous réserve que l’émission et le contrôle de l’argent reste aux mains du gouvernement élu par le Peuple. Cette banque de capital nominal de 12 000 000 de livres verrait la participation de la Banque d’Angleterre à hauteur de 10 000 000 de livres, le restant étant porté par de riches personnalités des États Unis.

En 1781 mise au point des classes inhérentes à l’alliance illuminisme-maçonnerie, savoir, les minervaux, les Francs-Maçons, les initiés à la classe des mystères divisée en deux : les mystères mineurs et majeurs, ces derniers comportant à leur tour les grades de prêtres et de régents, et celle-ci ceux de mages et d’hommes rois.

Vague de philo judaïsme sur l’Europe initié par le livre de Dohm : «De l’amélioration de la condition des juifs», écrit sous l’influence de Moïse Mendelssohn. Notons que ce livre décrit les Chrétiens comme de cruels barbares et les Juifs come d’illustres martyrs, dixit Graetz dans Histoire des Juifs. «Lettre sur les Juifs» de Anarchasis Clootz.

Le 17 Octobre, le Général Cornwallis capitule avec toute son armée devant les colons Américains. Au cours des sept années qui précédèrent, l’usure préconisa et finança cette guerre coloniale, voyant les Rothschild amasser une fortune considérable en fournissant des soldats Allemands à l’armée britannique, les Anglais n’ayant aucun animosité contre les colons jusqu’à sympathiser secrètement avec eux.

En 1782 Congrès de Willemstad scellant l’alliance entre illuminisme et franc maçonnerie, rassemblant tous les représentants des sociétés secrètes, les martinistes comme les francs-maçons, les illuminés qui comptaient alors trois millions de membres à travers le monde. Les illuminés prennent le pas sur ces diverses sociétés et deviennent maîtres du jeu. Défection de certains francs-maçons d’origine notamment le Comte de Virieu qui dira dans ses mémoires : «le complot est si bien ourdie qu’il sera impossible à la monarchie et à l’église d’en réchapper.». Les juifs peuvent désormais entrer en loge. Notons que les juifs étaient déjà admis dans les loges de l’Ordre de Melchisedech en Allemagne du Nord, et l’Ordre des Frères initiés d’Asie. Notons aussi que les Juifs avaient déjà créés plusieurs des principaux rites, le martinisme, le rite de Memphis, et l’illuminisme.

Transfert à Francfort, haut lieu de la finance juive sous le contrôle de Rothschild Mayer Amschel, Oppenheimer, Wetheimer, Schuster, Stern, de la franc maçonnerie illuministe.

En 1783 Le Comte de Chatham et son fils William Pitt dénoncent tous les deux la politique des banquiers vis-à-vis des colonies, notamment Américaine. Le Roi Georges III choisit William Pitt comme premier ministre, convaincu que les usuriers entraînent les pays européens dans des guerres pour servir leurs propres intérêts.

Le 3 septembre le Traité de Paix de Paris reconnait l’indépendance des États Unis, premier coup porté à l’Empire Britannique par l’usure. Mais cela n’est pas tout, l’usure tente d’enchaîner les États Unis nouvellement créé à son destin de prébende.  Les agents de la subversion de l’usure s’attèlent à ce qu’existent de nombreux désaccords entre les différents États des États Unis afin de promouvoir ses prêteurs d’argent partout où elle le peut.

Le projet initié par la Banque d’Angleterre de soumettre à l’usure les États Unis voit le jour et la Banque Of America est créée, sous les hospices de Hamilton et son associé Robert Morris. Ce dernier en tant que Directeur financier du Congrès Continental, a réduit le Trésor des États Unis à l’indigence, aux termes des sept années de guerre entre les colons et l’empire Britannique. Afin de s’assurer de cette indigence totale, Morris transfère alors le solde du Trésor à l’actif de la Banque Of America. Devant ce casus belli, le Congrès refuse d’accorder le moindre privilège à la Banque Of America.

En 1784 la foudre frappe un courrier à destination du Grand Orient de France, à côté de Ratisbonne, contenant les plans des illuminés de Bavière, le mouvement révolutionnaire mondial et des instructions à propos de la révolution française en particulier, adressé au Grand Maître du Grand Orient de France, en l’occurrence le Duc d’Orléans, initié par Mirabeau, à la solde des illuminés.

La perquisition des loges du Grand Orient de Bavière ainsi qu’aux domiciles de leurs ligueurs met en évidence la trame d’une tentative de coup d’état par l’intermédiaire des loges, prévoyant l’utilisation de guerres et de révolutions, afin d’établir un gouvernement à la botte des ligueurs.

En 1785  Convent de Paris sous l’égide des Philadelphes, issus de la loge mère des Chevaliers de la Bienfaisance de Lyon, centre du Martinisme international, reconnue comme loge dirigeante de tout le système Templier de la stricte observance jusqu’en Allemagne, en correspondance avec les Illuminés de Bavière.

Le Gouvernement Bavarois déclare les Illuminés de Bavière hors la loi. Ceux-ci trouvent refuge en Suisse et plus tard après la deuxième guerre mondiale au Harold Pratt Building à New York substituant ainsi les Rothschild aux Rockefeller. Il publie les pièces obtenues du courrier frappé par la foudre et de ses perquisitions dans un ouvrage intitulé : «The original writings of the order and sect of the Illuminati.» révélant les vastes ramifications du mouvement des Illuminés de Bavière. Il en envoie des exemplaires aux dirigeants de gouvernements et des églises en place.

En 1786 Grand congrès de Wilhenstad sous l’égide des Philadelphes initiant le processus de la Révolution, ayant pour chef de file le Duc Ferdinand de Brunswick, reconnu comme chef de toute la maçonnerie. Grand congrès maçonnique de Francfort où sont décrétées les morts de Louis XVI et de Gustave III de Suède.

Le Grand Orient de France qui était démocratique en ses racines, s’unit avec le Grand Chapitre, où frères du rite Templier, (hauts grades de la maçonnerie, Martinistes, stricte obédience Templière, Illuministes) d’orientation révolutionnaire par essence, voyant la révolution s’accomplir au bénéfice de la classe supérieure avec le Peuple comme instrument. A la loge des «amis réunis» s’institue le Comité de propagande réunissant les hauts membres du Grand Orient, tissant les fils de la conspiration Nationale et internationale.

Adrien Duport, Illuminé de haut grade, jeune conseiller au Parlement, Député de la noblesse aux États Généraux, membre du Comité de Propagande, avec Mirabeau, Barnave, Talleyrand, le duc de la Rochefoucauld et Savalette, y planifie le cours violent et terroriste de la révolution à venir. Duport, a l’idée d’utiliser les services d’organisateurs d’émeutes pour favoriser cette révolution, comme Hanriot, Chabot, Fabre d’Eglantine, Pache, Roux, Momoro.

C’est dans cette même loge que Bode et le baron de Busche, illuminés délégués par Weishaupt, négocient la fusion de l’Illuminisme et des loges du Grand Orient.

Publication par le Gouvernement de Bavière à l’ensemble des Nations européennes des «Ecrits originaux de l’Ordre des Illuminés», décrivant le plan des Illuminés savoir l’instauration de la révolution universelle qui donnerait le coup fatal à la société. Création de la première loge des illuminés en Virginie.

En 1787 les Pères fondateurs des États Unis se réunissent à Philadelphie pour instituer une législation qui les protégeraient des banquiers apatrides. Malgré le lobby organisé par les usuriers, et leurs tentatives d’intimidation habituelle, le paragraphe 5 de la section 8 de la Constitution des États Unis est adopté en son texte qui précise que le Congrès à pouvoir de frapper monnaie et d’en fixer la valeur.

John Adams dit «Toutes les perplexités, les confusions, et les afflictions ne viennent pas des défauts de la Constitution, ni du mauvais accueil ou du manque de mérite, mais aussi de l’ignorance quant à la nature de l’argent, de sa circulation, du crédit» mais encore Thomas Jefferson «Je crois que les Institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées régulières. Elles ont déjà constitué une aristocratie de l’argent qui défie les gouvernements. Le pouvoir d’émettre l’argent devrait être retiré aux banques et redonné au Peuple à qui il appartient de droit.», mais encore Andrew Jackson «Si le Congrès a le droit de par la Constitution d’émettre le papier monnaie, il leur a été donné de l’utiliser et non de le déléguer à des individus ou à des sociétés.».

En 1788 reconstitution de l’Ordre des illuminés sous le nom de Deutsche Union, par Knigge et Bahrndt de la Halle. Il y avait en France plus de deux mille loges affiliées à la franc-maçonnerie du Grand Orient et le nombre d’adeptes dépassait les cent mille.

Ainsi l’usure grâce à Moses et Weishaupt s’était introduite et rendue maîtresse de la franc-maçonnerie Française. A l’intérieur des loges ses agents organisent des comités révolutionnaires chargés de mettre en œuvre la destruction de la monarchie.

Conjointement pour tenir dans ses rets le Duc d’Orléans, comme avec Mirabeau, elle agit afin qu’il lui soit redevable de dettes incommensurables, qui se traduisent par la mise sous tutelle de son patrimoine par l’usure même. Pour gérer cette tutelle est nommé Chordelos de Laclos,  dont l’immoralité sans bornes, va permettre de pervertir une bonne partie de l’aristocratie, invitée à se défouler dans les jardins du Palais Royal et au Palais Royal lui-même à une licence obscène et meurtrière, d’où se répandent les «idées» des «lumières» dont les mots d’ordre vouent à la destruction globale de la foi religieuse et de la moralité publique Française.

Cagliostro, alias Joseph Balsamo rejoint Chordelos de Laclos pour transformer les propriétés du Duc d’Orléans en imprimerie, publiant des pamphlets révolutionnaires et des romans libertaires. En sus de cette littérature sont organisés dans ces locaux des concerts, des pièces de théâtre, des débats destinés à réduire l’Humain dans la fange et favoriser les causes de la révolution. Balsamo organise ici la délation de tout ce qui ne rentre pas dans le cadre du plan ourdi pour cette révolution, en se servant de toute la lie de la société spécialisée dans l’exécution de l’assassinat mental d’un quelconque adversaire. Centres de la politique révolutionnaire, les domaines du Duc d’Orléans servent tant à la perversion des corps, des esprits que des âmes, mais surtout permettent aux agents de la subversion par le chantage d’incorporer toute une gente félonne et en initier les dirigeants potentiels tant de la révolution que de l’après révolution.

Afin de salir la Reine Marie-Antoinette, Weishaupt et Mendelsshon montent l’affaire du collier de diamants. Ils font réaliser par un de leur agent un collier d’une valeur d’un quart de millions de livres qui est amené à la Reine qui le refuse, ne l’ayant jamais commandé, ce d’autant plus que la trésorerie de la Cour est au plus bas. Ils se dépêchent de répandre la nouvelle inverse par l’intermédiaire de Balsamo par une opération de propagande d’envergure, et Marie-Antoinette est traînée dans la boue par cette campagne de calomnies. Après cette campagne infâme, Balsamo fait imprimer des milliers de brochures affirmant qu’un amant secret a adressé ce collier en hommage des faveurs royales. Comme si cela ne suffisait pas d’un faux en écriture, l’utilisation d’une prostituée dans le rôle de la Reine, en rencontre du Prince de Rohan est inventé de toute pièce afin que la calomnie soit totale. Après avoir servi ce dessein répugnant, le collier est envoyé en Angleterre où le juif Eliason en conserve la majorité des diamants pour prix de sa fabrication. Ces scènes pré révolutionnaires ne seraient pas complètes si l’on ne comprenait le motif principal qui allait permettre l’écrasement de la Monarchie Française, l’action usuraire par excellence.

A la veille de la Révolution, la France est consumée par les dettes, et non seulement les dettes mais bien entendu les taux usuraires qui se dressent d’une manière exponentielle, sous les mains expertes des agents en action, les Moses Monyifiore et leur associé Moses Moccata d’Angleterre, Daniel Itsig de Berlin, David Friedlander, Herz Cerfbeer d’Alsace, et bien entendu les Rothshild. Sir Walter Scott dans son ouvrage la «Vie de Napoléon» résume ainsi la situation : «Ces financiers traitèrent le gouvernement Français comme les usuriers les faillis prodiges, alimentant leurs extravagances d’une main, tirant de l’autre sur leurs fortunes ruinées, des dédommagements complétement déraisonnables pour leurs avances de fonds. Par une longue suite d’emprunts et de concessions ruineuses accordées pour les garantir, on mit les finances de la France dans le désordre le plus absolu.». 

L’horreur n’est à son comble pour les finances de la France que lorsque demandant à l’usure un nouveau prêt, cette dernière accorde favorablement sous condition de nommer son agent Necker Conseil du Roi de France afin qu’il purge les difficultés de la France, ce qu’il ne fait en aucun cas, quatre ans après sa nomination la dette Nationale se montant à 170 000 000 de livres, livrant cette Nation pieds et poings liés à l’usure. Comme le dit le Capitaine A.H.M Ramsay, «La scène est alors prête pour le coup révolutionnaire. L’emprise de la main droite, la finance, produit la paralysie pendant que la main gauche, la révolution, tient le poignard et donne le coup fatal. La corruption morale facilite tout le processus.».

Pendant que la propagande bat son plein sous les ordres de Balsamo, les agents des illuminés forment les doctrinaires de la «Révolution». Parmi ces doctrinaires, Danton, Robespierre, Marat. Un plan secret pour affermir la terreur est initié au Couvent des Jacobins ou se rencontrent ces hommes. Il y est décidé de la libération de tous les criminels et de tous les fous qui serviront d’instruments à la terreur, sous la direction de Manuel, Procureur de la Commune, la capture de toutes les personnalités politiques importantes, les dirigeants du Clergé et des officiers de l’Armée que l’on sait fidèles au Roi, et bien entendu leur massacre ; on notera que ce personnage, ainsi que son acolyte, David, membre du comité de «salut» «public», introducteur du «culte de l’être suprême»,   furent les auteurs de l’arrestation et de l’exécution d’environ 8000 personnes pendant les massacres de septembre en 1792.

De ce fameux Couvent, lorsque la «Révolution» éclate, agitée par la propagande, le mensonge, et l’ignorance, et non comme on aime le dire par les «lumières», les Jacobins prennent le contrôle. Le Duc d’Orléans est utilisé afin qu’il vote la mort du Roi, puis liquidé sans autre considération. Lorsqu’il réalise que les conjurés veulent mettre à mort le Roi, Mirabeau, essaie d’organiser sa fuite pour qu’il puisse se mettre sous la protection de généraux fidèles, mais ses plans révélés au jacobins par la traîtrise, il est «suicidé» par empoisonnement. Pour se venger de leurs ennemis et éliminer les personnes qui lui font obstacle, l’usure se sert de Danton et Robespierre, jusqu’à ce qu’elle les fasse exécuter.

Le 28 juillet 1794 Robespierre déclare en accusant ses maîtres : «Je ne puis les nommer maintenant en cet endroit, ni déchirer entièrement le voile qui recouvre ce profond mystère d’iniquité, mais je puis affirmer avec certitude que, parmi les auteurs de ce complot, il y a des agents de ce système de corruption et de scandales, le moyen le plus puissant parmi tous ceux inventés par les Etrangers pour la ruine de la République, je veux dire les apôtres impurs de l’athéisme et de l’immoralité qui est son fondement.» A peine eut-il dit on lui tira un coup de feu dans la mâchoire et le lendemain le conduisit à la guillotine.

En 1789 Essai sur la secte des Illuminés du Marquis de Luchet prédisant ce qui allait se dérouler en France durant l’année en cours. Mars les 266 loges du Grand Orient de France passent sous la tutelle de l’Ordre des Illuminés suite au dépôt du Code de Weishaupt par les Illuminés Bode et le baron de Busche, invités de Mirabeau, Illuminé lui-même, à la loge des «amis réunis».

14 juillet, début de la révolution Française, prise de la Bastille, déclenchée par la conspiration Orléaniste aux mains de l’Illuminisme, qui organise la pénurie artificielle du blé et des farines au printemps et à l’été.

22 juillet, manipulation de l’opinion par les Illuminés partout en France, le même jour à la même heure, prétendant qu’une ordonnance du Roi stipule que les châteaux, hors celui du Roi, soient brûlés. Notons que tous les attentats, qu’il s’agisse de l’attaque des ateliers Réveillon en avril ou de l’assassinat du boulanger François en octobre sont dirigés contre des hommes qui avaient nourri le Peuple ou avaient été des amis des pauvres, afin d’instaurer la raréfaction des approvisionnements et exciter le Peuple.

Octobre Croquis ou projet de Révolution de Mirabeau décrivant les instructions les plus destructrices de l’Ordre des Illuminés.

On notera que l’Angleterre de William Pitt et Georges III se félicitent de cette révolution, l’estimant un juste châtiment pour l’aide que la France a concédé à l’indépendance Américaine, et déversent via Philippe d’Orléans, intime du Prince Galles et ouvertement en liaison avec le Cabinet Saint James, quantité d’or pour pousser aux émeutes, incitées entre autre par Danton et Mirabeau, agents à la solde de Saint James. Frédéric II de Prusse n’est pas en reste, lui qui rêve de briser l’alliance Franco-Autrichienne, et d’unifier l’Allemagne sous domination Prussienne, utilisant les services de ses agents prussiens avec à leur tête un juif nommé Ephraïm pour infiltrer la populace révolutionnaire et enflammer les passions, et en se servant d’un agent Français du nom de Carra. Notons aussi que Frédéric II fut initié par son ministre rose-croix, Johan Cristhof von Willmer  au spiritisme et à la magie noire au château de Charlottenburg. Ce Wollmer apparaîtra s’opposer ensuite à Weischaupt. La formation de Clubs de Jacobins organisés en comités révolutionnaires directement inspirés par les Illuminés de Bavière va permettre d’étendre l’influence des dits Illuminés sur la «Révolution Française». Cette formation permettra à un signal donné de déclencher des insurrections dans toutes les parties du pays simultanément.

En 1790 Invasion des armées révolutionnaires des pays d’Europe, facilitée en Allemagne, en Italie, et en Savoie par les maçons des pays envahis. La bataille de Valmy est menée par le Duc de Brunswick, chef de toute la maçonnerie européenne illuminée, qui se vend pour une partie des joyaux de la couronne Française afin d’éponger ses dettes. Kellermann n’a donc jamais gagné cette «bataille». Cependant aux États Unis à la mort de Benjamin Franklin l’usure fait une nouvelle tentative pour obtenir le contrôle de ses finances et fait nommer au Trésor son agent Hamilton, qui bien entendu fait accorder par le gouvernement une charte à la Banque Of America  qui dès lors usurpe le droit de frapper monnaie fondée sur les dettes publiques et privées. L’argument le plus consistant est de faire valoir que l’argent émis par le Congrès sur le crédit de la Nation est sans valeur pour le commerce avec l’étranger, alors que l’argent emprunté aux banquiers, avec intérêt, est accepté comme garantie légale dans toutes les transactions. Cette tromperie voit le capital de la Banque of America, porté à 35 000 000 de livres dont 28 000 000 en provenance de banques européennes sous dominance des Rothschild. Son action entendue, Hamilton est «tué» lors d’un duel manipulé. Afin d’appauvrir les couches de la population Américaine, et les asservir à l’usure, les banquiers commencent à ouvrir large le crédit et battre monnaie en conséquence, puis, par le jeu d’une dépression classique et manipulée, commencent à réduire les crédits, annuler les emprunts à recouvrer et diminuer la masse d’argent en circulation, ce qui permet aux banquiers de s’adjuger une masse de biens considérables pour un montant largement inférieur à leur valeur nominale.

En 1791 Décret d’émancipation des juifs adopté par l’Assemblée Nationale Française sous l’influence de Mirabeau et l’abbé Grégoire.

Loi Le Chapelier du 14 juin 1791 interdisant les syndicats professionnels qui existaient auparavant sous le nom de corporations d’ouvrier.

En 1792 Fermeture de toutes les loges maçonniques. La maçonnerie suit là son double tranchant, de doctrinaire et éducative, elle se dissout au profit de l’arbitraire révolutionnaire, dans le cas présent dans le cadre des clubs de Jacobins, maîtres de la France, pour ne pas apparaître être impliquée dans l’action révolutionnaire qu’elle guide en sous-main. Par ailleurs le Club de la Propagande dirige l’action internationale subversive. Ce Club lance par l’intermédiaire de la Convention en décembre une invitation aux peuples dans toute l’Europe à se soulever contre tous les gouvernements établis, appel qui ne sera pas suivi, premier acte de la révolution mondiale.

10 Août abolition de la monarchie, l’illuminisme entre en action, la bannière tricolore est remplacée par le drapeau rouge de la révolution sociale ordonnée au cri de Liberté, Egalité, Fraternité. Les massacres commencent auxquels échapperont ceux qui savent répondre aux signes maçonniques.

En 1793 la campagne contre la religion est étendue à toute la France.  Sur ordre de l’illuminé Chaumette (anaxagoras) campagne d’affichage dans les cimetières. Fêtes de la Raison célébrées dans les églises de France avec pour emblèmes des prostituées.

Dévastation des villes manufacturières de France, destruction des bibliothèques, campagne contre l’éducation, en cela suivant les préceptes établis pas Weischaupt et sa secte.

Le vandalisme fait la fortune des receleurs et marchands juifs vendant en Angleterre et ailleurs les meubles, tableaux, objets d’art, pillés des églises, des couvents, des châteaux. Le bureau de Louis XIV du Palais de Versailles, réapparait chez Christie à Londres en 1999, mis en vente pas les Rothschild. Les financiers agioteurs spéculent sur les biens nationaux vendus en monnaie de papier et remboursables à terme au cours du jour, complot bien documenté dans lequel on retrouve Clootz, Pereyra, les banquiers judéo maçons belges Walckiers et d’autres.

En 1794 l’instruction publique est déclarée inexistante en France. Le chômage des ouvriers est pandémique compte tenu de la destruction des industries manufacturières. Dubois Crancé, en avance sur le malthusianisme, propose la dépopulation d’un tiers de la France, en raison du chômage.

Trois cent mille Françaises et Français sont assassinés par la terreur, dont environ 3000 aristocrates et le Roi de France. Les guerres de Vendée sont un génocide organisé par la folie meurtrière de pseudos généraux de la République. La Révolution laisse la France en guenille. 

On n’oubliera pas la participation active de la finance apatride à la mise à sac de la France, par l’intermédiaire des financiers maçons avec leurs alliés, le juif illuministe Clootz, proche des banquiers hollandais Van der Yver et cousin de Proli et leurs amis dont Duport qui a tout fait pour se débarrasser de la Monarchie pour la remplacer par un régime politique qui serve leurs intérêts. On n’oubliera pas ceux qui trempent dans le scandale de la liquidation de la Compagnie des Indes, outre Fabre d’Eglantine, le défroqué Chabot  du Comité de sûreté générale devenu beau-frère des banquiers juifs polonais Debrouchka venus s’installer à Paris, alias Junius et Emmanuel Frey, le banquier Kock, le juif Jacob Pereyra, l’Espagnol Guzman, non plus que les plus virulents francs-maçons aristocrates, membres du grand orient, les frères Lameth juifs d’ascendance, qui entretiennent une bande d’émeutiers nommée le sabbat, l’avocat Bergasse qui réunit une loge de révolutionnaires dans la maison parisienne du financier juif Kornmann, Madame de Staël la fille de Necker, Madame Récamier femme de financier, le salon de Madame Tallien, fille d’un banquier espagnol, de l’abbé Sieyès, Barras, Cambacérès et Bonaparte. Après la mort de Robespierre, la Franc Maçonnerie renaît sous la direction de Laréveillère Lepaux et organise le culte théophilanthropique repris par l’Eglise deux siècles plus tard.

En 1795 Babeuf, fils spirituel de Weishaupt, édite ses journaux, le Cri du Peuple et le Tribun du Peuple. Bonaparte met fin à ses agissements.

En 1796 Manifeste des égaux de Babeuf, reprenant point à point les préceptes de Weishaupt. Bible par excellence du communisme si bien défini par Buonarroti : «Dans l’ordre social, le Pays s’empare de l’individu naissant pour ne l’abandonner qu’à sa mort. Il s’en occupe dès ses premiers instants, lui fournit le lait et le soin de celle qui lui donna naissance, le protège de tout ce qui pourrait attenter à sa santé ou affaiblir son corps, le préserve de la fausse tendresse et le conduit par la main de sa mère à la maison de la Nation, où il acquerra la vertu et la lumière nécessaire à un véritable citoyen.»

Où le parfait esclave régit en fonction des besoins de la Nation, ce qui exclut toute culture, et du suprême principe d’égalité, ce qui exclut toute identité comme toute racine. Un traitre dans la secte Babouviste, Grizel, permet de faire échouer la tentative de renverser le pouvoir par Babeuf.

En 1797 Exécution de Babeuf et Darthé. Buonarroti reprend le flambeau de la subversion.  Les Illuminés ont infiltré les loges Anglaises en initiant John Robinson, qui met en garde les ordres maçonniques de l’infiltration de la secte dans leurs obédiences dès 1789, et fait éclater le but de cette secte en 1797 dans un ouvrage intitulé «Preuve d’une conspiration pour détruire tous les gouvernements et les religions».

En 1798 Thomas Jefferson, illuminé est déclaré hors la loi par son gouvernement, qui avec ses amis infiltrent alors les loges du Rite Ecossais en Nouvelle Angleterre. La secte est dénoncée par David Pappen, Président de l’Université de Harvard, en prétention du pouvoir total, dénoncé par John Quincy Adams, qui s’oppose à Jefferson lors des élections à la Présidence suprême.

Entre 1799 et 1815, on assiste alors à la prise du pouvoir méthodique de toutes les Institutions par l’usure et ses agents subversifs dans toute l’Europe. Les banquiers décident d’utiliser Napoléon Bonaparte, 33eme degré du rite écossais, initié par Saliceti, comme outil de leur volonté, ils organisent les guerres napoléoniennes pour détrôner les têtes couronnées et exporter leur idéologie satanique. Sieyès et Cambacérès tous deux maçons, Talleyrand et Fouché, illuminés, portent au pouvoir Bonaparte. Premier Consul puis Empereur, il officialise la Franc-maçonnerie à la mode anglaise. Il pense la dominer alors qu’elle se sert de lui. L’Empire compte 1200 loges dont 337 de hauts grades.

En 1804, Napoléon se proclame Empereur, il nomme son frère Joseph Roi de Naples, Louis, Roi de Hollande, et Jérôme, Roi de Westphalie. Au même moment Nathan Rothschild s’arrange pour que les rênes de la finance européenne reviennent à ses frères.

En 1808 défilé des membres de l’Ordre du Temple, convocation d’un Sanhédrin du Judaïsme. Tant qu’il sert les besoins de la destruction du catholicisme sur toutes les terres d’Europe, il obtient un incontestable succès, consacrant les principes de Weishaupt par l’Université destinée à former les cadres de l’illuminisme, le code civil encadrant la société civile, la déstabilisation du Catholicisme en Espagne, en Italie, synthétisée par le concordat et ses articles organiques.

Pouvoir occulte derrière les trônes napoléoniens nouvellement créés, les banquiers transportent alors leur siège en Suisse, là ils organisent tous les trusts et cartels à l’échelle internationale, de façon à servir l’un l’autre des combattant, au seul intérêt du profit, injectant leur argent dans l’armement, la construction navale, l’exploitation des mines, l’industrie chimique, les fournitures pharmaceutiques, l’aciérie, la fripe et le vêtement. Ils placent leurs agents aux postes clés dans les services de ravitaillement, de communication, de transport et de renseignement, de toutes armées quelques soient leur nationalité, afin de faire et défaire les victoires, spéculant sur chacune comme sur chaque défaite afin d’enrichir leur patrimoine, tout simplement en usant des agents précités chargés de saboter les ravitaillements, en interceptant les ordres, en délivrant des messages contradictoires, en organisant le chaos que ce soit dans l’armée traditionnelle comme dans la marine. Lorsque Napoléon se heurte à leur volonté, alors qu’il rentre triomphant en Russie, cette entreprise de sabotage trouve son plein emploi, les troupes de Napoléon ne sont plus fournies ni en munition, ni en vêtement, laissant à la mort, ce génocide organisé, la grande Armée. Forcé à l’abdication, Napoléon se voit exilé dans l’Ile d’Elbe dont il s’échappe en 1814. Nathan Rothschild ayant joué la carte des Allemands contre les Français, déploie ici tout ce que la déloyauté peut produire dans l’Humanité aux fins d’augmenter sa fortune. Par un système de pigeons voyageurs, il exporte de fausses nouvelles aux différentes armées qui vont s’affronter à Waterloo, inventant une défaite en Angleterre, une victoire en France, voyant principalement les valeurs en Angleterre s’effondrer qu’il rachète et fait racheter, s’établissant ainsi à la tête d’une fortune astronomique.

En 1811 aux États Unis Le renouvellement de la charte donnée à la Banque of America n’est pas accepté par le Congrès. Nathan Rothschild présente alors son ultimatum «Ou la demande de renouvellement est acceptée ou bien alors les États Unis seront impliqués dans une guerre désastreuse» et devant le refus du Congrès «Donnez une leçon à ces américains impudents. Ramenez-les au statut colonial.».

En 1812 Guerre d’Angleterre contre les États Unis diligentée sous la houlette de l’usure.

En 1816 fin de la guerre entre l’Angleterre et les États Unis, laissant l’économie de ces derniers exsangues. Sous la houlette de l’usure, les membres du Congrès pour la plupart sous la menace, accordent le renouvellement de la charte de la Bank Of America permettant de nouveau d’enserrer le Peuple Américain dans l’usure.

En 1825 Nicolas 1er en Russie succède à Alexandre 1er. Suite à la tentative par Alexandre 1er de réaliser l’unité, pour résister à l’avance de la Grande Armée,  de l’Empire Russe en 1812,  qui le vit entre autre desserrer l’étau de restriction imposé aux Juifs dans leur zone de résidence fixe dès 1772, les obliger en 1804 à l’école publique,  tenter leur assimilation, Nicolas 1er est effaré par leurs rapides avancées dans l’économie Russe, sans qu’ils témoignent du moindre degré d’assimilation.

En 1826 aux États Unis, La secte des illuminés commandite l’assassinat du Capitaine William Morgan qui s’apprêtait à dévoiler son action aux États Unis. Cet assassinat dont l’exécuteur est Richard Howard, illuminé, emporte une désapprobation des loges qui à hauteur d’environ 40% font sécession.

En 1829 la secte des Illuminés se réunit à New York, sous le patronage d’un illuminé britannique, Wright, pour mettre au point la fédération des sectes nihilistes et athées avec leur organisation subversive, afin de constituer une organisation internationale permettant de fomenter la guerre et la subversion sur tout le globe. Clinton Roosevelt, Horace Greeley, Chas Danas, constituent un fond nécessaire à l’entreprise de cette mafia. Une partie de ce fond sert au financement de Karl Marx et d’Engels, notamment pour la propagation de leurs écrits, volés au Révolutionnaire Français Hebert, «le manifeste du parti communiste» ainsi que «le capital».

En 1830 mort de Weishaupt qui prescrit à ses kapos qu’il convient pour la secte d’organiser, financer, diriger et contrôler toutes les organisations internationales et tous les mouvements existants afin d’embraser la terre d’où surgirait le «gouvernement» mondial. Pendant de Karl Marx, le professeur Karl Ritter rédige l’antithèse du «manifeste du parti communiste». Son travail est poursuivi par le pseudo philosophe Friedrich Wilhelm Nietzsche qui fonde le nietzschéisme, qui sera le socle du national-socialisme permettant de fomenter la première et la deuxième guerre mondiale.

En 1834 les Illuminés choisissent Guiseppe Mazzini pour diriger leur programme de destruction.

En 1840 le Général Albert Pike, révoqué de l’armée Américaine pour crimes de guerre, devient l’adjoint de Mazzini et fonde la prêtrise luciférienne.

Entre 1859 et 1871, il met au point tous les détails concernant trois guerres mondiales qui permettront d’asseoir le pouvoir de l’usure. Les illuminés devenus suspects dans les loges ordinaires, il les regroupe dans des loges au rite Palladien nouveau et réformé, établit trois suprêmes conseils un à Charleston en Caroline du Sud, un à Rome en Italie, et le dernier à Berlin en Allemagne. Il fait établir par Mazzini vingt-trois autres conseils à travers le monde qui deviennent les quartiers généraux de la destruction.

En 1846 Cette destruction est accentuée par les panthéistes du laïcisme, nouvelle religion portée par C.J Holycake et C. Bradlaugh qui précisent que l’intérêt de l’homme doit être limité aux considérations de la vie présente. Le plan de Pike s’avère efficace, il induit que le communisme, le national-socialisme, le sionisme politique soient utilisés et organisés de manière à fomenter trois guerres mondiales, la première permettant de renverser les dernières couronnes, notamment celle du Tsar de Russie, et de transformer ce pays sous le diktat du communisme athée, le conflit terminé, ce communisme devant être le levier international permettant la destruction de tous les gouvernements ainsi que de toutes les religions. La deuxième guerre doit être fomentée en jouant sur les antagonismes entre le national-socialisme et le sionisme, permettant la destruction du national-socialisme, et conjointement permettant de faire naître l’Etat d’Israël, le communisme quant à lui étant jugulé avant qu’il ne serve les desseins d’un cataclysme final. La troisième guerre mondiale doit être fomentée en utilisant les divergences entre le sionisme et le monde musulman, jusqu’à leur destruction mutuelle. Ces trois guerres permettant la naissance du «gouvernement» mondial sur les ruines des gouvernements et des églises.

En 1855 Alexandre II succède à Alexandre I et consacre son règne à améliorer les conditions de vie des paysans, des classes les plus pauvres, et des juifs.

En 1857 Judah P.Benjamin, parent des Rothschild, stratège aux mains de l’usure, initie le déclenchement de la guerre civile américaine qui divise l’Union en deux camps. Conjointement, à la même époque les banquiers persuadent Napoléon III, leur pantin, d’étendre l’Empire Français jusqu’à Mexico. Les banquiers accordent un crédit illimité aux États du Sud, et prêtent 201 500 000 francs à Napoléon III pour étendre son Empire.

En 1861 Nicolas 1er de Russie affranchit 23 000 000 de serfs. Il décrète que tous les diplômés juifs ont la possibilité d’exercer leur profession dans le gouvernement de la grande Russie en 1879. Mais les dirigeants révolutionnaires juifs ne tiennent pas compte de cette réforme, décidés qu’ils sont à poursuivre leur mouvement de révolution mondiale ; leurs groupes terroristes commettent provocations sur provocations, travaillant pour s’assurer le soutien des intellectuels Russes et pour enraciner l’idée de révolution violente dans les esprits de la population ouvrière.

En 1863 Lorsque les États du Sud des États Unis ont besoin d’aide, l’usure offre à Napoléon III le Texas et la Louisiane en échange de son intervention contre les États du Nord. Le Tsar de Russie, déclare alors aux gouvernements d’Angleterre et de France qu’il rentrerait en guerre immédiatement si une quelconque aide militaire était donnée aux États du Sud. Il envoie ses navires de guerre mouiller en rade de New York et San Francisco et les met à disposition de Lincoln. Lorsque les États du Nord se trouvent en difficulté financière, l’usure, jouant sur les deux tableaux, lui accorde un prêt contre intérêts portés à 28%, intérêts calculés de telle façon qu’elle puisse lui permettre de contrôler l’économie du Pays. Lincoln essaye alors de brise les liens financiers qui étranglent les États du Nord, il méprise les avances des banquiers et fait imprimer 540 000 000 $ d’argent sous la garantie des actifs de la Nation. L’usure bien implantée par ses valets dans le congrès décrète alors que l’on n’accepte pas ces billets en paiement des intérêts sur les obligations du gouvernement et les taxes d’importation, ramenant la valeur des billets à 30 % de valeur nominale, en en rachetant la totalité et monnayant la contrevaleur de cette totalité dollar contre dollar en achetant des titres du Gouvernement.

De cette manière, encore une fois, ils extorquent à l’État 70% de 540 000 000 $ par une simple loi qui se transforme en simple jeu d’écriture, un vol qualifié par excellence. 

Un article du London Time résume la situation au profit de l’usure : «Si cette méchante politique financière qui a son origine en Amérique du Nord devait être soutenue inconditionnellement, alors ce gouvernement produirait son propre argent sans coût. Il paierait ses dettes et serait sans dettes. Il aurait tout l’argent nécessaire pour commercer et devenir prospère. Ce serait sans précédent dans l’histoire du monde. Les cerveaux et la richesse de tous les pays iraient en Amérique du Nord. Ce pays doit être détruit où il détruira toute «monarchie» sur ce globe» s’entend bien entendu par «monarchie» le règne de l’usure.

Les banquiers financent les campagnes électorales de suffisamment de sénateurs et d’hommes du Congrès pour que le projet de Banque Nationale se transforme en Loi en 1863 malgré l’hostilité de Lincoln.

La curée peut commencer, autorisée par Rothschild et Frères en son courrier du 25 juin 1863 à l’attention de Messieurs Ikelheimer, Norton et Vandergould n 3 à Wall Street New York «Chers Messieurs, un certain John Sherman nous a écrit d’une ville de l’Ohio pour nous indiquer les profits qui pourraient être réalisés dans les affaires bancaires nationales, selon une décision récente de votre Congrès. Un exemplaire de cette loi figurant en annexe. Apparemment, on a élaboré cette loi d’après un plan formulé par l’Association des Banquiers Britanniques et par cette association recommandée à nos amis américains, elle s’avérerait promulguée, hautement rentable pour la fraternité bancaire dans le monde entier. Monsieur Sherman nous déclare que les capitalistes n’ont jamais eu une telle occasion d’accumuler de l’argent comme le fait entendre cette loi. Elle accorde à la Banque Nationale un contrôle presque absolu sur les finances nationales. Les seules personnes qui comprennent ce système, dit-il, seront tellement intéressés par ces profits, ou bien en dépendront d’une manière ou de l’autre, qu’il n’y aura aucune opposition de cette classe tandis que de l’autre côté, la masse populaire, incapable de saisir les avantages terribles que le capital tire de ce système supportera ce fardeau sans se plaindre et peut-être sans même suspecter que le système est hostile à ses intérêts.» . La réponse à cette lettre est éclairante : «Nous accusons réception de votre lettre du 25 juin dans laquelle vous faites référence à une communication que vous avez reçue de l’honorable John Sherman de l’Ohio, en citant les avantages et les bénéfices que l’on pouvait espérer d’un investissement américain, selon les articles de la loi sur les activités bancaires nationales. Monsieur Sherman possède au plus haut degré les caractéristiques type du financier prospère. Son tempérament est tel que quels que soient ses sentiments, ils ne lui font jamais perdre de vue le point essentiel. Il est jeune et rusé et ambitieux. Il a fixé ses yeux sur la Présidence des États Unis et est déjà membre du Congrès (il a également des ambitions financières). Il pense avec raison qu’il a tout à gagner en étant amical avec les hommes, les institutions, en ayant d’importantes ressources financières qui parfois ne sont pas négligeables pour obtenir une aide gouvernementale ou bien pour se protéger d’une législation hostile. Quant à l’organisation de la Banque Nationale, à la nature et aux bénéfices de tels investissements, nous vous prions de consulter nos circulaires imprimées envoyées dans notre pli. C'est-à-dire : tout groupe de cinq personnes au minimum a la possibilité d’organiser une société bancaire nationale ; une banque nationale ne peut pas avoir moins de $ 1 000 000 de capital sauf dans les villes de moins de 6000 habitants ; ce sont des sociétés privées organisées en vue d’un profit privé et qui sélectionnent elles-mêmes leurs cadres et leurs employés ; elles ne sont pas soumises au contrôle de l’État sauf à celles que le  Congrès  peut promulguer de temps en temps : elles peuvent recevoir des dépôts et prêter de même pour leur propre bénéfice, elles peuvent acheter et vendre des titres, escompter du papier et réaliser toute sorte d’affaires bancaires ; pour constituer une banque nationale de l’ordre de $ 1 000 000 il sera nécessaire d’acheter ce montant de même valeur en titres du gouvernement des États Unis, on peut acheter en ce moment les titres à 50% de leur valeur si bien qu’il est possible de constituer une banque au capital de $ 1 000 000 pour seulement $ 500 000, on doit déposer ces titres au Trésor des États Unis à Washington en tant que garantie pour la monnaie de la banque nationale que le gouvernement fournira à la banque ; le gouvernement des États Unis paiera 6% d’intérêt sur tous les titres or, les intérêts étant payés tous les six mois, constatons qu’au prix actuel des titres, les intérêts payés par le gouvernement seront de 12% en or sur tout argent investi ; le gouvernement des États Unis ayant déposé les titres susdits au Trésor Public, fournira en monnaie nationale, à la banque ayant déposé ces avoirs, un intérêt annuel de 1% en rémunération de la forte garantie réelle prise ; la monnaie sera imprimée par le gouvernement des États Unis et aura exactement l’aspect des dollars papier si bien que le Peuple ne verra aucune différence bien que la monnaie ne soit qu’un engagement de payer la banque ; la demande d’argent est si importante qu’on peut immédiatement prêter de l’argent au peuple au guichet des banques à un taux d’escompte de 10% à 30,60 jours, réalisant dans les 12% d’intérêts sur la monnaie ; l’intérêt sur les titres, plus l’intérêt sur la monnaie que le titre garantit, plus les accessoires en affaires, devraient donner à la banque des gains énormes de l’ordre de 28% à 33,33% ; les banques nationales ont le privilège d’accroître et de réduire la monnaie à volonté, et bien sûr, peuvent autoriser ou refuser des prêts si elles le jugent opportuns, comme les banques ont une organisation nationale et peuvent facilement agir de concert en refusant des prêts ou en les autorisant, il en résulte qu’elles peuvent, en combinant leur action et en refusant d’accorder des prêts, provoquer un resserrement du marché de l’argent et une baisse de tous les produits du pays en une semaine ou un seul jour ; les banques nationales ne paient pas d’impôts sur leur titres, sur leur capital et leurs dépôts ; En vous priant de considérer tout cela comme strictement confidentiel, vos très respectueux Ikelheimer, Norton et Vandergould» .

Où l’on voit ici la manipulation afin d’attraire les Peuples, sans qu’ils n’aient mot à dire.

Suite à l’échange de ces lettres, la ruée sauvage commence, voyant les manipulations s’efforcer les unes les autres, et par ce fait les banquiers à la solde s’enrichir en exerçant des saisies sur les biens et les garanties accordés pour des prêts accordés que les clients ne pouvaient plus rembourser, les banquiers agissant de concert retirant la monnaie et restreignant les crédits dans des proportions telles qu’il était impossible à la majorité des emprunteurs de rembourser leur dette. Technique de l’usurpation, du vol manifeste qui n’est désormais plus prêt de s’arrêter.

En 1865 en visionnaire Lincoln déclare «Je vois dans un proche avenir une crise s’approcher qui me consterne et me fait trembler pour la sécurité de mon pays. Les sociétés sont quasiment sur un piédestal et une vague de corruption dans les hautes sphères va déferler, et la puissance monétaire de ce pays s’efforcera de prolonger son règne en causant un préjudice au Peuple jusqu’à ce que la richesse soit accaparée par quelques mains et la République détruite.».

Peu après avoir prononcé ce discours, Lincoln est réélu Président mais avant qu’il ait pu promulguer une législation qui aurait pu stopper le vol des banquiers de la richesse de la Nation, il est assassiné par John Wilkes Booth, téléguidé par l’usure, dans la nuit du 14 avril 1865.

Salmon P Chase, Ministre du Trésor relate «Mon action destinée à promouvoir l’acceptation du projet de banque nationale fut la plus grande erreur financière de ma vie. Elle a amené la constitution d’un monopole qui touche à tous les intérêts du Pays. On devrait l’abroger, mais avant qu’il en soit ainsi, nous disposerons le Peuple d’un côté et banquiers de l’autre ; la compétition sera terrible et on n’aura jamais vu une telle bagarre dans ce pays».

En Espagne, les agents de Karl Marx organisent la première grève politique générale.

En 1866, il y a $ 1 906 637 70 en circulation aux États Unis, en 1876 il n’y a plus que $ 605 250 000. Les banquiers ont provoqué durant cette période 56 446 faillites représentant une perte de plus de  $ 2 245 105 000  d’investissements en espèces, en d’autres mots, en réduisant la masse monétaire et en limitant le crédit, l’usure et ses agents se sont enrichis de plus de $ 2 000 000 000 en dix ans. Tentative d’assassinat de Nicolas 1er de Russie par les révolutionnaires juifs.

En 1866 puis en 1879 ils tentent d’assassiner le Tsar. Ces deux attentats échouent,

il est décidé par ce mouvement alors de le destituer car sa bienveillance va à l’encontre de leurs revendications qui prévoient d’instituer rapidement des réformes dans le cadre d’une révolution rapide.

En 1868 les dirigeants du mouvement révolutionnaire mondial envoient le Senior Fanelli en Espagne pour affilier les anarchistes aux révolutionnaires marxistes. Fanelli est un ami intime de Bakounine, proche associé à l’époque de Marx et Engels.

En 1870, les usuriers Européens décident qu’il faut démonétiser l’argent aux États Unis, au regard qu’il existe plus d’argent que d’or aux États Unis, et plus d’or que d’argent en Europe, ceci afin de pouvoir obtenir le contrôle absolu de l’économie des États Unis. A cette fin, les usuriers envoient Ernest Seyd, porteur de $ 500 000 pour corrompre les membres de la Législature américaine.

En 1871 le 15 aout, Pike explique à Mazzini que à la fin de la troisième guerre mondiale, il convenait que le «gouvernement» mondial provoque le plus grand cataclysme social afin que son autorité ne soit jamais remise en cause.

En 1872, à l’instigation des usuriers, certains agents soumettent un projet de loi qualifié de projet pour réformer la frappe de la monnaie et les lois sur la monnaie aux États Unis.

Le Sénateur Sherman appuie ce projet, soutenu par le congressiste Samuel Hooper qui le présente le 9 avril 1872. Le projet est adopté et le Président Grant le signe sans lire son contenu. Selon les archives du Congrès, aucun des membres, sauf ceux du Comité qui soutinrent le projet de loi, n’en comprirent la signification.

En Espagne, Bakounine influence les dirigeants révolutionnaires et leurs faits constituer l’Alliance Socialiste Démocratique. Décrétée illégale par le gouvernement, elle poursuit son «œuvre» dans les basses loges du Grand Orient. 

Lorsque Mazzini meurt, il nomme Adrianno Lemmi comme successeur. Sa succession revient ensuite à Lénine, initié sur l’Ile de Capri par les héritiers du Sandredin Juif de Caïphe, et Trotski.

En 1873 première République Espagnole suite à la révolution organisée par la Camorra, bras armé des dirigeants révolutionnaires. La terreur s’instaure, l’anarchie se développe sauvagement, finalement le Général Pavia reprend le contrôle de l’Etat.

En 1876 Défaite des Carlistes en Espagne, suite à une guerre civile dirigée par le mouvement révolutionnaire mondial par l’intermédiaire de ses agents.

En 1878 un nouveau retrait de la masse monétaire aux États Unis et la limitation des crédits provoque 10478 faillites. 

En 1879, l’émission d’argent supplémentaire sur insistance du Congrès aux États Unis met un frein à la récession créée artificiellement, les faillites tombent à 6658.

Naissance de Staline – Joseph Vissarionovitch Djougachvili en Georgie, Russie. En1882 l’usure frappe encore plus sévèrement aux États Unis portant le nombre des faillites entre 1878 et 1892 à 148 703, avec un nombre proportionné de saisies sur les fermes et les biens privés. Les usuriers créent délibérément des conditions de pauvreté et de désespoir afin d’amener la situation qui permet de recruter les forces révolutionnaires nécessaires à leur instrument le «Parti révolutionnaire mondial».

En 1881 assassinat de Nicolas 1er par les révolutionnaires juifs dans la maison de la juive Hesia Helfman.

La mâchoire de la tenaille de l’usure pendant ce temps s’agite pour essayer de fomenter une guerre entre l’Angleterre et la Russie, depuis ses quartiers généraux d’Angleterre, de Suisse, et des États Unis. Le résultat final de cet engagement aurait été l’affaiblissement de ces deux empires ce qui aurait permis à l’action de la première mâchoire, révolutionnaire, de «libérer» la Russie de sa Monarchie, et de la livrer entre les mains de l’usure. Dans le numéro d’octobre 1881 du «dix-neuvième Siècle» Goldwyn Smith, Professeur d’Histoire moderne à Oxford écrit «Lorsque j’étais dernièrement en Angleterre, on était au bord de la guerre avec la Russie ce qui aurait entraîné l’Empire tout entier. Les intérêts juifs en Europe et leur organe principal, la presse juive de Vienne, faisaient leur possible pour nous y pousser», exemple par excellence de l’antisémitisme, dont se contrefiche l’usure qui se sert des uns et des autres afin d’aboutir à ses fins.

L’assassinat du Tsar provoque un ressentiment général qui se manifeste par une explosion de violence à l’égard des populations juives. Le gouvernement Russe promulgue les «Lois de mai», et de nouveau les Juifs sont punis pour l’exaction de quelques-uns des leurs manipulés par l’usure.

 

En 1882 le 23 mai, une délégation juive conduite par le Baron Ginzberg, représentant officiel de la maison Rothschild en Russie, rend visite au Tsar Alexandre III et proteste contre les «Lois de mai». Le Tsar promet une enquête approfondie, et le 3 septembre prononce le discours suivant «Pendant un certain temps le gouvernement s’est consacré aux juifs, à leurs problèmes et à leurs relations avec le reste de la population de l’Empire. Il a constaté les tristes conditions de vie que la conduite des juifs dans les questions financières avait imposées à la population Chrétienne. Au cours des vingt dernières années, les juifs ne se sont pas seulement immiscés dans toutes les branches du commerce et des affaires. Ils ont également accaparé une grande partie de la terre par achat ou fermage. A quelques exceptions près, ils ont comme un seul homme consacrés leurs efforts, non pas à enrichir ou faire bénéficier le pays, mais à frustrer le peuple Russe grâce à leurs ruses. Les pauvres ont particulièrement souffert de cette conduite qui a provoqué les protestations justifiées du Peuple, ainsi que des actes de violence envers les juifs. D’un côté le gouvernement faisait de son mieux pour supprimer ces troubles et délivrer les juifs de l’oppression et des massacres, d’un autre côté, il considérait qu’il était urgent et juste d’adopter des mesures radicales pour mettre fin à l’oppression des juifs vis-à-vis des autres habitants et pour débarrasser le pays de leurs malversations qui étaient, nous le savons bien, l’origine de l’agitation anti-juive.»

Les «Lois de mai», n’avaient pour but uniquement de juguler l’action des juifs mais surtout de réguler l’économie Russe qui risquait de faillir devant leurs malversations.

En réponse à ce discours l’usure impose des sanctions économiques contre l’Empire Russe, qui l’accule à la banqueroute. Ils exercent un embargo sur les échanges et le commerce. Elle finance, via Jacob Shiff, et organise via ses agents, dont une bonne partie formée aux États Unis dans l’assassinat, la corruption, le terrorisme, le «Parti Social-Révolutionnaire» dont Gershuni prend le commandement, laissant Yevno Azev mettre sur pieds les sections combattantes. Ce parti enrôle notamment Vladimir Ulyanov qui deviendra Lénine, et Alexandre Ulyanov, qui participe à l’attentat contre Alexandre III, condamné à mort, renforçant la fougue révolutionnaire de son frère qui sera arrêté et emprisonné en 1897 jusqu’en 1900.

En 1893 11 mars, l’usure écrit «Les intérêts des banques nationales nécessitent une législation financière immédiate de la part du Congrès des États Unis. La monnaie en argent et les billets du Trésor doivent être retirés et l’on doit émettre des billets de banques nationaux basés sur l’or, unique étalon. Cela nécessitera l’autorisation de nouvelles mises en place de prêts d’un montant de $ 500 000 000 à $ 1 000 000 000 comme norme de circulation. Vous retirerez de suite un tiers de la masse monétaire en circulation et rappellerez la moitié de vos prêts. Veillez à créer un resserrement monétaire chez vos clients et principalement les hommes d’affaires influents. La vie des banques nationales en tant qu’investissements fixes et sûrs, dépend d’une action immédiate, car il y a un sentiment sans cesse croissant en faveur de la monnaie légale du gouvernement et de la frappe de la monnaie en argent.». Cet ordre donné est exécuté et créé la panique de 1893. William Jennings Bryan tente d’enrayer la conspiration de l’usure, mais par la presse aux ordres, la population croit que la cause de son malheur est liée aux fautes du gouvernement. 

En 1896, les banquiers internationaux provoquent la guerre des Boers en Afrique du Sud afin de s’emparer des richesses de ce Pays.

En 1898 assassinat par les mouvements «révolutionnaires» de l’Impératrice d’Autriche.

En 1899 J.P Morgan et Antony Drexel se rendent en Angleterre pour assister à une réunion des banquiers de l’usure. Lorsqu’ils reviennent aux États Unis, J.P. Morgan est nommé représentant des intérêts des Rothschild aux États Unis. Le résultat de la conférence de Londres voit entre autre, la J.P Morgan de New York, Drexel de Philadelphie, Grenfell de Londres, Morgan Harjes de Paris, les Warburg d’Allemagne et d’Amsterdam, et la maison Rothschild s’associer.

La guerre économique est déclarée aux groupes qui ne se soumettent pas à l’usure, par absorption, rachat, troubles internes manipulés. Conjointement Morgan Drexel réussit à placer son pion, le candidat Théodore Roosevelt, ce qui a pour effet d’éliminer les poursuites à leur encontre pour les méthodes illégales qu’ils avaient employées pour se débarrasser de toute compétition. Les Morgan Drexel s’associent alors avec la Kuhn Loeb.

Afin d’assurer leur puissance, ils créent la panique de Wall Street de 1907. La réaction Publique envers ces méthodes de gangster s’avère suffisante pour que le gouvernement commence à agir. Trompe l’œil, le gouvernement nomme une commission monétaire nationale sous la direction du Sénateur Nelson Aldrich. Aldrich a des intérêts financiers dans les trusts du tabac et du caoutchouc. Homme de paille, il part en Europe étudier les pratiques financières, et en revient trois ans plus tard sans établir un plan précis permettant de légiférer sur les dites pratiques aux États Unis.

Et que l’on ne s’étonne en apprenant qu’une de ses filles se marie avec un des Rockefeller. Rien n’est donc fait pour déjouer l’équipe de gangster mettant en coupe réglée les États Unis.

En 1900 Lénine se rend en Suisse rejoindre les forces de la Révolution mondiale financée par l’usure, il y retrouve les juifs Vera Zasulich, Léo  Deutsh, Axerold et Jules Tsederbaum, et avec eux constitue un mouvement marxiste à l’échelle mondiale, le «Groupe pour l’émancipation du travail». Tsederbaum, terroriste impitoyable et agitateur accompli de la zone de résidence, change son nom en celui de Martov et devient le dirigeant des Mencheviks, Lénine, celui des Bolcheviks. Il fonde le journal «le Iskra» dont le conseil éditorial est composé de Plekhanov, Zasulich, Axerold, Protesov, Martov, que rejoindra deux ans plus tard Trotski. Le journal est imprimé à Munich, et le conseil éditorial se réunit à Londres sous la protection de l’usure. Le journal réclame la convocation d’un congrès d’unification des mouvements révolutionnaires à Bruxelles pour

  1. Assassinat par les mouvements «révolutionnaires» du Roi Humbert d’Italie.

Entre 1900 et 1906, le «Parti Social-Révolutionnaire» provoque de graves troubles en Russie, incitant à la haine entre les classes, à la haine envers l’orthodoxie, à la haine envers le pouvoir établi, caractéristiques du plan de Weishaupt. 

En 1901, le «Parti Social-Révolutionnaire»  assassine le ministre de l’instruction Bogolepov, en se servant d’étudiants juifs. Assassinat par les mouvements «révolutionnaires» du Président McKinley.

En 1902, le «Parti Social-Révolutionnaire»  assassine le ministre de l’intérieur Sipyagin, les juifs qui étaient assignés dans la zone de résidence sont commis pour cet assassinat.

En 1903, le Gouverneur d’Ufa, Bogdanovitch est assassiné. Le congrès d’unification des mouvements révolutionnaires se tient à Bruxelles, où sont représentés, les sociaux-démocrates Russes, les sociaux-démocrates polonais sous l’égide de Rosa Luxembourg, le groupe pour l’émancipation du travail de Lénine, et le groupe Maximaliste. Ce congrès marque la scission entre Mencheviks, sous l’égide de Martov et les Bolcheviks sous l’égide de Lénine. La police Belge intervient voyant les principaux dirigeants de ce congrès se réfugier à Londres.

En 1904 le premier ministre Russe, Vischelev Von Plehve est à son tour assassiné, concomitamment, les usuriers entraînent la Russie dans une guerre désastreuse contre le Japon, la maison Rothschild répudiant ses aides financières à la Russie, pendant que son Associée, la Kuhn loeb de New York octroient tous les crédits demandés par le Japon.

En 1905 la guerre entre le Japon et la Russie continue à faire rage, les transports par voie ferrée sont sabotés empêchant le renfort de troupes et de ravitaillement dans l’Est, le 2 janvier suite à l’annonce de la perte de Port Arthur, pris par les Japonais, maquant la défaite de la Russie, des émeutes manipulées par le «Parti Social-Révolutionnaire» et notamment Trotski, éclatent dans les Usines Putilov à Saint Petersburg. Le père Gapon, qui s’était manifesté par la mise en œuvre de syndicats légaux aux fins d’améliorer la condition ouvrière, se déclare conciliateur près du Tsar à la grande majorité des ouvriers, ce qui ne convient en aucun cas au mouvement terroriste.

Le 22 janvier, des milliers d’ouvriers en bon ordre, accompagnés de leur femme et de leurs enfants, se joignent au père Gabon aux portes du Palais. Sans le moindre avertissement, les ouvriers font l’objet d’un feu nourri de fusils et de mitrailleuses, les voyants par centaines massacrés. Le Tsar Nicolas II n’était pas dans son Palais et n’a jamais pu donner un tel ordre, cet ordre étant le fait d’un seul officier, membre d’une cellule révolutionnaire ? Quoi qu’il en soit cet assassinat renvoie dans les rangs de la révolution la majorité des ouvriers, occasionnant ainsi une vague de contestation sans précédent. Le Tsar fait diligenter une enquête sur les causes de ce massacre, qu’il confie à la Commission Childovsky. Le 17 février l’oncle du Tsar est assassiné, le Grand-Duc Serge. En août le Tsar prend des dispositions pour l’établissement d’un corps législatif, la Douma. Lénine et ses dirigeants bolcheviks reviennent en Russie. Rien de ce que fait le Tsar n’entrave la marche des révolutionnaires.

En Espagne le 31 mai tentative d’assassinat d’Alphonse XIII et du Président Emile Loubet par le mouvement révolutionnaire mondial.

En Russie, le 20 octobre, l’Union des chemins de fer Russes tenue par les Mencheviks se met en grève, le 25 octobre, des grèves se déclarent à Moscou, Smolensk, Koursk, et dans plusieurs villes.

Le 26 octobre le soviet de Petersburg est constitué et assume les fonctions de gouvernement national. Le gouvernement soviétique est dominé par les Mencheviks, son premier Président, Zborovisk est rapidement remplacé par Georgi Nosar, puis le 9 décembre par Lev Trotski.

Le 16 décembre des militaires arrêtent Trotski et trois cent membres du gouvernement soviétique.

Le 20 décembre Parvus assume la direction du nouvel exécutif soviétique, appelle à la grève générale, voyant 90000 personnes à Petersburg , 150 000 à Moscou, suivre le mouvement, des insurrections ouvertes proliférer à Chita, Kansk et Rostov.

Le 30 décembre, les fidèles du Tsar guidé par le Général Dubrassov reprennent le contrôle de l’Empire et mettent fin à cette révolution qui n’était pas téléguidée par l’usure. Le Tsar Nicolas II fait constituer la Douma et un parlement est élu. A l’image de la monarchie Anglaise, la monarchie absolue Russe devient une Monarchie constitutionnelle. Le premier ministre Akadyevich Stolypine qui dirige la Douma se révèle un réformateur d’envergure. Son projet de Constitution garantit les droits civils à tous les Paysans. Ses réformes agraires permettent d’accorder des aides financières aux Paysans de manière à ce qu’ils achètent leur ferme. Mais cela ne va pas dans le sens des dirigeants révolutionnaires.

En 1906 le Général Dubrassov qui a éliminé les terroristes est assassiné par la secte révolutionnaire qui essaie en vain d’assassiner le Premier Ministre de la Douma Stolypine.

L’usure décide que Lénine sera désormais le fer de lance de leur programme révolutionnaire en Russie. L’échec de la révolution de 1905 pousse Lénine à organiser un comité de direction international qui étudie et dirige ensuite le mouvement révolutionnaire. Lénine met sur pied le Komintern, lui-même parrainé par l’usure, de manière à poursuivre ses buts, et pouvoir par son appui permettre de liquider les éléments extrêmes qui y siégeraient, en toute impunité. Partant du principe que suivant ses dires «Tout ce qui est légal et illégal et qui favorise le mouvement révolutionnaire est justifié.»

Lénine recommande la création d’un miroir international dans l’ombre du parti qui sera toujours soumis à ce miroir, chargé des activités criminelles, des assassinats, de toutes opérations subversives permettant l’œuvre révolutionnaire.  Lénine préconise que chaque stade de l’entraînement révolutionnaire doit comprendre pour chacun de ses membres, le cambriolage d’une banque, la destruction d’un poste de police, et l’élimination physique d’un traitre ou d’un espion.

En 1907 le cinquième congrès du parti ouvrier socialiste Russe a lieu à Londres, Lénine représente le parti Bolchevik avec 91 délégués ; les Mencheviks dirigés par Martov ont 89 délégués, Rosa Luxembourg et ses démocrates sociaux Polonais viennent avec 44 délégués, le «Bund» Juif dirigé par Rafael Abramovitch en a 55, les démocrates sociaux Lettons, dirigés par Danishevsky dit Herman complètent cette assemblée de 312 personnes dont une centaine seulement sont où avaient été ouvriers. Après des querelles et la remarque pertinente que Lénine tirait ses sources de financements dans le vol, le racket et toutes opérations subversives, le Congrès se décide à plus d’unité et l’édition d’un journal commun défendant la même politique éditoriale, celle du parti. Lors de ce congrès un délégué sans importance, Staline, se lie d’amitié avec Lénine. Pour mettre à l’épreuve Staline, Lénine lui demande de cambrioler la banque de Tiflis. Staline avec son compagnon l’arménien Petroyan alias Kamo, ayant appris que la banque allait commettre un transfert monétaire par transport en commun, font exploser ce véhicule, tuant trente personnes, et récupèrent une cassette contenant 250 000 roubles qu’ils remettent à Lénine. Staline venait de prouver qu’il était un dirigeant potentiel.

En 1908 les bolcheviks publient le «Proletarie», sous la férule de Lénine, Dubronvsky, Zinoviev, Kamenev; les mencheviks «Golos Sotsial DémoKrata», sous la férule de Plehhanov,  Axelrod, Martov, Dan et Martynov ; Trotski quant à lui publie le «Vienna Pravda».

Assassinat par les mouvements «révolutionnaires» du Roi et du Prince de la couronne du Portugal – la preuve de l’implication des francs-maçons pervertis est donnée par Furnemont, Grand Orateur du Grand Orient de Belgique en citation du 12 février 1911 (extrait du Bulletin du Grand Orient de Belgique 5910 page 92.

En 1909 Lénine obtient le soutien inconditionnel de ses amis juifs Zinoviev et Kamenev. Ils constituent la troïka qui devait durer jusqu’à la mort de Lénine en 1924.

En 1910 en janvier, 19 dirigeants du mouvement révolutionnaire mondial se réunissent à Londres sous l’égide du nom de «Plenum de janvier du comité central».

Le but est d’unifier les mouvements «révolutionnaires» dans le dessein de provoquer une guerre entre tous les états capitalistes, dans le but de liquider la possession du capital par les intérêts particuliers afin de les donner aux intérêts apatrides, arrêter une tactique, basée sur l’assassinat politique afin d’advenir ces guerres, conjointement d’amener les loges maçonniques du Grand Orient à l’agrément de ce dessein en y actionnant un prosélytisme pour leur idéologie révolutionnaire et athée ; Lénine y est sommé d’abandonner son désir d’indépendance de politique financière, ce qu’il accepte en brûlant les derniers billets issus du cambriolage de Titlis. Le Plenum fonde le journal «Sotsial Demokrata» ; les bolcheviks nomment Lénine et Zinoviev, les Mencheviks Martov et Dan, rédacteurs en chefs, Kamenev et Trotsky s’occupant toujours de l’édition de la «Vienna Pravda».

L’objectif final de ces actions politiques et de propagande est de voir la classe ouvrière se dresser contre le «capital» individualisé afin de le réduire à néant et de se livrer pieds et poings liés à l’usure qui, par les soviets en chaque Nation, sera désormais en mesure de constituer une dictature totalitaire.

Complément de cette mise en œuvre dans la nuit du 22 novembre, une réunion se tient sur l’Ile Jehyl en Georgie, entre le Sénateur Aldrich, Piatt Andrews, économiste haut représentant du Trésor,   Shelton, secrétaire d’Aldrich, Franck Vanderlip, Président de la National City Bank de New York, représentant les intérêts pétroliers des Rockefeller et les intérêts ferroviaires de Kunh Loeb, instigateur de la guerre contre l’Espagne en 1898 qui lui permis de devenir  maître de l’industrie sucrière cubaine, HP Davidson, associé principal de la JP Morgan, Charles D Norton, Président de la first national Bank de Morgan à New York,  Paul Warburg, Benjamin Strong. L’objet de la réunion est de s’approprier la totalité du système monétaire des États Unis par des banques privées, définir les moyens et les méthodes de s’assurer que la législation proposée pour mettre un frein aux escroqueries et manipulations financières, soit sabotée, et qu’une législation favorable soit énoncée pour les intérêts de l’usure.

Paul Warburg est choisi pour formuler des propositions, ce qui aboutit par le vote du Congrès en 1913 de la «Loi de la Réserve Fédérale de 1913». Cette loi permet aux banquiers associés d’Amérique et d’Europe d’être maîtres des États Unis. Elle leur permet de provoquer et contrôler entre autre la première guerre mondiale, afin, à l’aide de leurs pions, de déclencher la révolution Russe de 1917 pour rayer de la carte toute prétention monarchique, et institutionnaliser un de leur bras armé, le communisme, aux fins d’attraire cette Nation, comme le sont les États Unis et l’Europe, sous leur joug.

En 1911 la secte révolutionnaire fait assassiner le Premier Ministre Stolypine par un homme de loi juif Mordecai Bogrov.

En 1912 Réunion en Suisse des dirigeants du Mouvement Révolutionnaire Mondial et des hauts gradés de la Franc Maçonnerie continentale qui arrêtent l’assassinat de l’Archiduc François Ferdinand d’Autriche, afin de provoquer la première guerre mondiale.

En 1914 le réseau de la réserve fédérale aux États Unis comprend 12 banques qui ont acheté pour $ 134 000 000 de fonds de la réserve fédérale. Le 29 mai 1939, ils réalisent un profit de $ 23 141 456 197 ; en 1940 les avoirs de la réserve fédérale se montent à $ 5 000 000 000, en 1946 ces avoirs se montent à $ 45 000 000 000, voyant les actionnaires réaliser un profit de $ 40 000 000 000, nous pouvons voir que la seconde guerre mondiale comme la première a bien été orchestrée par l’usure aux fins de s’enrichir au détriment des Peuples. Les bénéfices sont distribués illégalement entre les mains des actionnaires, jusqu’à ce que la loi de 1922 régule ce vol qualifié.

On note que depuis l’institution de cette réserve fédérale, que ne contrôle ni le Peuple, ni le Gouvernement, des États Unis, 14000 banques font faillites jusqu’en 1950.  Les déposants légitimes dans ces banques ont perdu toute leur richesse au profit du vol qualifié de l’usure.

28 juin assassinat par la secte révolutionnaire par le bras armé de maçonnerie déviante de l’Archiduc François Ferdinand d’Autriche et de son épouse à Sarajevo – la preuve de l’implication de la maçonnerie déviante du grand Orient est ici mise en exergue par les minutes du procès du 12 octobre 1914 où l’on voit que cette «maçonnerie» avait condamné à mort comme précité sur l’année 1912, l’Archiduc.

En 1915 le 28 janvier, M.Asquith , Premier ministre d’Angleterre note dans son journal : «Je viens de recevoir de Herbert Samuel un mémorandum intitulé : «L’avenir de la Palestine» Il pense que nous devrions implanter sur ce territoire à peu près trois ou quatre millions de juifs européens. On a presque l’impression de lire une nouvelle édition de «Tancred». Je confesse ne point être séduit par cette proposition d’accroissement de nos responsabilités …» Devant cette réticence, l’Angleterre se trouve subitement à court de produits chimiques dans la fabrication d’explosifs si bien que les canons et explosifs destinés à la Russie ne peuvent être livrés. Frédérik Nathan est le responsable de la production. Il se voit adjoint Brunner et Mond pour redresser cette situation. Ils construisent une usine chimique à Silverstown , Mond alors se trouve nommé commissaire des Ateliers de sa Majesté, par la suite deviendra le chef de l’agence juive en Palestine. Le niveau de production redevint stable, mais, par le plus grand des hasards, l’usine en fonction explose causant la mort de 40 personnes, détruisant 800 bâtiments et habitation, voyant la Grande Bretagne dans l’incapacité de nouveau de livrer armes et munitions à la Russie, cette dernière essuyant des revers sur le front de l’Est à cause de cette pénurie, voyant ses armées se battant avec des bâtons et à poings nus massacrées par les troupes Allemandes. Le professeur Pares écrit : «Je dois déclarer à mon humble avis que l’échec malheureux de Vickers-Maxim et co quant à la fourniture de munitions à la Russie, qui auraient dû arriver dans ce pays il y a cinq mois, met gravement en danger les relations entre les deux pays et en particulier leur coopération dans la guerre actuelle. Je déclare formellement que jusqu’ici, aucun ravitaillement en provenance d’Angleterre n’a atteint la Russie…» Lloyd Georges est chancelier de l’Echiquier, Ministre des finances, et responsable du financement de la guerre. Ernest Cassels contrôle Vickers-Maxim et co, qui est associé à Kuhn Loeb de New York, eux-mêmes associés aux Rothschild et aux banquiers internationaux d’Angleterre, de France et d’Allemagne, la boucle est bouclée.

En 1916 le 4 février le parti révolutionnaire russe d’Amérique, tient réunion à New York, révélant que des rapports secrets en provenance du parti en Russie estimaient le moment favorable pour que la révolution russe éclate, qui serait financée par Jacob Shiff, principal associé de la Kuhn Loeb et co de New York. Une cinquantaine des protagonistes de cette réunion avaient participé activement à la révolution de 1905. Ils seront utilisés de nouveau au profit de Lénine qui usurperait leur victoire pour le compte des banquiers internationaux.

Le siège du comité d’urgence sioniste provisoire est transporté à New York sous la direction de L.D Brandeis. Jacob de Hass écrit : «Le service sioniste des transferts a des ramifications qui s’étendent dans toutes les zones militaires occupées par les alliés, en Turquie, en Syrie, en Palestine, en Transjordanie ainsi qu’à Bagdad. Pas un cent sur les millions brassés n’est perdu. En commençant par utiliser les services adéquats du Département d’Etat des États Unis,  comme moyen de communication et de cautionnement, ce service obtient le succès et l’efficacité nécessaires si bien que le Trésor des États Unis l’emploie pour transmettre les fonds et les messages que le gouvernement ne peut communiquer avec succès. Les ambassades des capitales européennes avancent du liquide à la demande du ministre de l’exécutif sioniste de New York.» L.Fry déclare : «A partir de ce moment-là, on ressentit de plus en plus l’influence sioniste dans les cercles politiques d’Europe et d’Amérique, en particulier le Zionist transfer Department, avait la possibilité de transférer des fonds et des informations aux éléments subversifs des pays ennemis.» M.Erzberger déclare : «le 16 mars 1916, l’Alliance Israelite versa au Grand Orient de Paris la somme de 700 000 francs et le 18 mars eut lieu le transfert de un million de livres au Grand Orient de Rome.». M.Asquith, Premier Ministre depuis 1914, antisioniste, est déposé en Angleterre, après compromission, chantage et manipulation dans un bordel de luxe le Glass Club payé par les banquiers apatrides, pour mettre au pouvoir David Lloyd George, avocat du mouvement sioniste financé par les Rothschild, Winston Churchill et Arthur James Balfour.

Lord Kitchener, chargé de la restructuration de l’Armée Russe, ce qui aurait pu changer la face de la guerre, par le Gouvernement Anglais, disparaît en pleine mer, à bord du HMS Hampshire le 5 juin, navire manifestement coulé par un agent à la solde de l’usure qui alors finançait le mouvement révolutionnaire bolchévique et le sionisme.

On note une erreur d’appréciation calamiteuse de la part de Winston Churchill qui envoya, contre la volonté de Lord Kitchener, des troupes mal entraînées dans les Dardanelles. Les troupes affectées en nombre insuffisant, furent obligées d’attaquer des troupes particulièrement entraînées dont les chefs avaient été mis au courant des projets alliés. Cette opération vouée à l’échec couta la vie à des régiments entiers d’Anglais, de Français. Une entreprise de mise en cause de Lord Kitchener visant à salir sa mémoire se met en route, dès lors, afin de dissimuler les actes nuisibles des agents de l’usure.  Suite à la «démission» d’Asquith, A.N. Fields déclare que : «l’influence juive dans la politique Britannique se fit d’avantage ressentir après l’accession au pouvoir de Llyod George»

En 1917 Trotski entraîne des «révolutionnaires» à New York. Lénine et Martov sont en Suisse. La Russie termine sa guerre avec le Japon avec la perte du meilleur de son armée, 3 000 000 d’hommes, trahie par toute la mouvance «révolutionnaire» en action. En janvier les sabotages des systèmes de communication et de ravitaillement provoquent cette défaite.

En février le rationnement de la nourriture est manipulé pour exacerber les foules. L. Fry déclare : «La première réunion politique sioniste eut lieu le 7 février 1917, dans la demeure de Moses Gaster. Etaient présents Rothschild, James de Rothschild, Mark Sykes, Herbert Samuel, Herbert Bentwich, Harry Sacher, Joseph Cowen, Chaïm Weizmann, et Nathum Sokolov. Y fut discuté tous les aspects du programme sioniste qui devait server de base aux négociations officielles englobant les futurs mandats, Palestine, Mésopotamie, et Royaume du Hedjaz.”. J.M.M Jeffries déclare : «Les minutes de cette réunion furent chiffrées et communiquées à l’organisation sioniste des États Unis, et à partir de ce moment-là, sa branche politique commença à façonner et à diriger la politique Britannique ainsi que ses affaires ;»  

Le 5 mars les queues devant les boulangeries en Russie grossissent (cela rappelle la méthode utilisée lors de la «révolution» Française).

Le 6 mars, les rues se remplissent de chômeurs.

Le 7 mars les dirigeants juifs du parti Menchevik rassemblent les femmes pour qu’elles manifestent contre le manque de pain. Le 8 mars elles sont manipulées par les «révolutionnaires» et défilent en différents endroits, aussitôt dispersées par les Cosaques, sans qu’une seule perte Humaine n’ait lieu, le précédent de 1905 ayant suffi. 

Le 9 mars, nouvelles manifestations, jamais réprimées par le gouvernement ce qui exaspère le mouvement révolutionnaire, qui déploie des mitrailleuses en différents endroits de la ville afin de provoquer l’étincelle qui permettra de naître l’incendie.

Le 10 mars, près de la Gare Nicolas, un homme est assassiné dans des conditions horribles par la foule des manifestants, qui devient hystérique et descend la perspective Nevsky en détruisant tout sur son passage, excitée par les agents du mouvement «révolutionnaire». Ces derniers tirent sur la foule afin que dans son aveuglement elle croit à des tirs en provenance des policiers qu’elle lynche jusqu’au dernier.

Le 11 mars, les criminels relâchés par le mouvement «révolutionnaire» pillent, violent, tuent, traduisant ainsi l’exacerbation des foules dont la Douma ne peut arrêter le déferlement. Le Tsar est désinformé par les cellules «communistes» infiltrées dans les moyens de communication et, dans l’ignorance de ce qui se passe, ordonne la dissolution de la Douma, se privant ainsi du soutien de la majorité des membres qui lui restent fidèles. Le 12 mars plusieurs régiments noyautés par le mouvement «révolutionnaire» se révoltent et tuent leurs officiers, la garnison de la forteresse St Paul et St Pierre se joint aux forces de la «révolution». Un comité de la Douma se créé, Menchevik, constitue un gouvernement provisoire avec l’accord du soviet de St Petersburg. Par l’entremise des banquiers internationaux, dont Warburg et Cie, Lénine est mis en relation avec les dirigeants militaires Allemands, et leur explique que la politique du gouvernement provisoire de Kerensky et celle du soviet menchevik, est de maintenir la Russie en guerre contre l’Allemagne. Paul Warburg de New York, officier des services de renseignement de l’Armée Allemande, négocie avec Lénine pour le compte du haut commandement Allemand et se charge du sauf conduit permettant à Lénine de passer en Russie. Le gouvernement provisoire amnistie 90000 criminels qui forgent la main armée révolutionnaire de Lénine et de Trotski. 

Le 15 mars, le Tsar abdique. Jacob Shiff de la banque Kuhn Loeb et co de New York annule alors les restrictions imposées quant à la prorogation d’une aide financière aux alliés. Mortimer Shiff reçoit l’ordre de télégraphier à Sir Ernest Cassels «Du fait de l’action récente en Allemagne et des événements en Russie, nous ne nous abstiendrons pas plus longtemps de financer les gouvernements alliés.»

Le 5 avril, le gouvernement Britannique annonce qu’il envoie James Balfour, Ministre des Affaires étrangères, aux États Unis afin de faire savoir aux banquiers Américains que le gouvernement allait soutenir ouvertement le plan sioniste, à condition que les États Unis entrent en guerre aux côtés des alliés. L’Amérique rentre immédiatement en guerre et le 7 juin ses troupes débarquent en France.

Le 18 juillet, Rothschild écrit à Balfour : «Je puis vous envoyer enfin les conditions que vous me demandiez. Si le gouvernement de sa Majesté m’envoie un message en les acceptants et que vous les acceptiez également, je le transmettrais à la Fédération sioniste lors d’une réunion qu’on organisera. Les conditions sont les suivantes : 1) Le gouvernement de sa Majesté accepte le principe selon lequel la Palestine sera transformée en un foyer national pour le peuple juif ; 2) le gouvernement de sa Majesté fera tout son possible pour garantir la réalisation de cet objectif et discutera des méthodes et des moyens à employer avec l’organisation sioniste.» Le gouvernement et Balfour acceptent ces conditions.

Le 28 aout, Herbert Samuel, Alfred Mond et Rothschild persuadent le gouvernement Britannique d’envoyer Reading (alias Rufus Isaacs) négocier un accord semblable aux États Unis. En septembre, Jacob Shiff écrit à Friedman : «… Je crois vraiment qu’il faudrait s’assurer la bonne volonté de l’Amérique, de l’Angleterre et de la France, quels que soient les événements, pour que notre peuple puisse s’établir en grand nombre en Palestine. Ensuite lorsqu’il sera possible d’obtenir de ces puissances l’assurance formelle que la Palestine deviendra indépendante, dès que sa population se sera accrue, en des proportions suffisantes pour la justifier.»

Le 26 septembre, Louis Marshall représentant légal de Kuhn Loeb, écrit à Max Senior :» Le major Lionel de Rothschild, de la société des juifs britanniques m’informe que son organisation est en plein accord avec le comité juif américain. La déclaration Balfour avec le consentement des puissances, est un acte de la plus haute diplomatie. Le sionisme n’est qu’une étape d’un plan à longue échéance : c’est le piédestal sur lequel on peut installer une arme puissante. Toutes les protestations que les opposants pourraient faire seront vaines et les soumettraient individuellement à des sanctions détestables et concrètes, mais très impressionnantes. Je préfère ne pas penser aux conséquences qui pourraient en résulter.» Ce plan est tout simplement celui qui verra dans son aboutissement les financiers internationaux remporter le contrôle absolu des richesses, des ressources naturelles, du potentiel humain, du monde entier. Lord Allenby reçoit en avril, suite à la déclaration Balfour l’ordre de chasser les Turcs de Palestine. Les troupes arabes, trahies, après l’entrée triomphale d’Allenby à Jérusalem, les banquiers internationaux persuadent les gouvernements alliés d’obliger leurs émissaires politiques en Commission sioniste. Le dessein de cette commission est de conseiller le Général Clayton de façon à ce que son administration militaire puisse favoriser leurs plans secrets. Au cours de l’Eté, se réunissent en Suède, les représentants des banques internationales Grande Bretagne, États Unis, Allemagne, France, Russie ; participent notamment à cette réunion Protopopoff, Ministre Russe de l’intérieur, Warburg de Hambourg. Il y est décidé que Kuhn Loeb de New York mette 50 000 000 $ à la disposition de Lénine et de Trotski à la Banque de Suède, pour financer leur révolution.

Les officiers de renseignements Britanniques et Américains rapportent ces faits à leurs gouvernements respectifs. Le Commandant E.N Cromie du Consulat de Saint Petersburg est assassiné par la meute bolchévique, sans que cette dernière ne puisse saisir les faits évoqués ci-dessus. Le gouvernement Américain avertit le gouvernement Britannique de ce financement, ainsi que Oudendyke, ministre des Pays Bas à Petrograd.  Trotski et sa horde de tueurs est arrêté à Halifax au Canada. Sous la pression de l’usure, ils sont relâchés et obtiennent un sauf conduit pour traverser la zone de blocus britannique. Le Gouvernement de Lloyd George aide les banquiers internationaux à faire entrer Trotski en Russie.

Au même moment le haut commandement Allemand aide Lénine accompagné de son gang de révolutionnaires à passer de Suisse en Russie en leur donnant sauf conduit et un wagon de chemin de fer privé pour traverser l’Allemagne. Petrovski révèle que Milioukoff, ministre des affaires étrangères Russe, fut le négociateur de ce passage dans des Nations en guerre. En remerciement de la coopération du haut état-major Allemand, le gouvernement Britannique accepte la libération de Litvinov.

Né Finkelstein, cet espion Allemand, en rejoignant le mouvement révolutionnaire changea son nom en celui de Meyer Wallach, et lorsqu’il décida de rejoindre Lénine en celui de Maxim Litvinov. Assassin, receleur d’argent volé, espion, gangster international et chef d’orchestre des menées révolutionnaires dans de nombreux pays, ce personnage sera élevé Président du Conseil des Nations Unis. 

Arrivé en Russie, en wagon plombé avec les vœux du haut commandement Allemand et grâce au financement de l’usure, Lénine déploie un service de propagande tendant à avilir le gouvernement provisoire qui lui avait accordé le pardon ainsi qu’à ses acolytes. L’effort de guerre est soutenu à l’encontre de l’Allemagne, le parti Bolchevik y étant minoritaire, y compris par le soviet de St Petersburg sous les hospices de Tcheidze, Skobelev. Ils pensent qu’en défaisant les Allemands, ils peuvent contribuer à aider les mouvements révolutionnaires Polonais et Allemands à se défaire de leurs gouvernements. Lénine, n’a lui qu’un objectif, la destruction du gouvernement provisoire, qu’il attaque via la propagande mais aussi par l’agitation, menée par ses agents ainsi que la clique de Trotski arrivant droit des États Unis, sa grande majorité parlant le yiddish, afin de semer le trouble dans la communauté juive de Russie. Ces pions seront mis à mort dès que Lénine prendra le pouvoir.

Dès le 17 juillet, des troubles sont fomentés, Kerenski fait tirer dans la foule des agitateurs. Lénine et Zinoviev se cachent à Sestroretsk, Trotski, Kamenev et Lunatchrsky sont arrêtés. Staline, rédacteur à la Pravda est épargné. Le Prince Lvov abdique et Kerenski devient premier ministre. Son influence décline rapidement. Lénine convoque le 6eme Congrès du parti ouvrier social-démocrate Russe le 8 aout. Il dure jusqu’au 16 aout. Lénine en sort responsable des groupes révolutionnaires unifiés, qui prend le nom de Parti communiste. Au Congrès un comité secret est mis en place dit comité central d’octobre devant préparer les phases du coup d’état révolutionnaire. Staline est élu au présidium de ce 6eme congrès. Le coup d’état devait se produire avant que le Gouvernement provisoire par l’intermédiaire du conseil Constitutionnel mette au point une élection à l’échelle de la Nation. Kamenev est libéré le 17 aout, Trotski un mois plus tard.

Le 24 septembre Trotski est élu Président du soviet de Saint Petersburg à la place de Cheidze.

Le 26 septembre, le soviet vote le transfert du pouvoir militaire à un comité révolutionnaire militaire dirigé par Trotski. Le service de propagande de Lénine fait circuler une rumeur qui dit que le deuxième congrès pan Russe se tiendrait le 7 novembre, afin de tromper l’attention.

Le 4 novembre le comité militaire révolutionnaire organise de vastes manifestations, préparation à la révolte. Le 5 novembre, la garnison Pierre et Paul prend parti pour les Bolcheviks.

Le 6 novembre Kerenski ordonne l’arrestation des membres du comité militaire révolutionnaire, ses ordres ne sont pas transmis. Lénine sort de son repaire, rejoint le comité militaire révolutionnaire à Smolny.

le 7 novembre, à 14h il donne le signal de la révolte. A 15h il fait un discours enflammé au soviet de st Petersburg. A 21h les troupes bolchéviques assiègent le quartier général du gouvernement provisoire au Palais d’Hiver. A 23h le deuxième congrès Pan Russe des soviets se réunit et les bolcheviks s’y assurent la majorité. Le congrès devient ainsi le gouvernement officiel de la Russie, Kamenev est élu Président, Lénine premier ministre, Trotski devient commissaire aux affaires étrangères. Le 21 novembre un juif du nom de Sverdlov, expert financier, succède à Kamenev. On notera que Sverdlov meurt 2 ans après sa prise fonction, ayant accompli sa tâche et en sachant trop. Lénine applique la terreur implacable, comportant les souffrances physiques, les angoisses mentales et la dégradation morale, afin d’obtenir le contrôle absolu de St Petersburg, voyant son sol noyé de sang par des massacres organisés de populations. Il décide de conserver le 25 novembre pour des élections programmées par le gouvernement précédent. Il laisse faire puis fait arrêter les membres de la commission spéciale ayant prévu la convocation des élus en Assemblée. Il lui substitue une commission de l’assemblée constitutionnelle dirigée par le bolchevik Uritsky, ce qui lui donne plein pouvoir sur les élus. Ses sbires créent la zizanie lors de la convocation de l’assemblée, qui ne peut rien faire, les bolcheviks s’en retirent, et la dissolvent par la force.

En 1918 en Mars la Commission sioniste se met en place. Siègent parmi ses membres, le Major Ormsby-Gore qui devint par la suite Lord Harlich, directeur de la Midland Bank, de la Standard Bank of south africa, et de l’union corporation, le Major James de Rothschild, fils d’Edmond de Rothschild de Paris, qui possédait auparavant les colonies Rothschild en Palestine et fut membre libéral du Parlement Britannique, le Lieutenant Edwin Samuel qui devint par la suite Chef de la censure Britannique, nommé directeur en chef de la radiodiffusion de Palestine après la fondation de l’Etat d’Israël, M. Israël Sieff, directeur de «Marks and Spencers», nommé directeur du comité de planification économique, «Commandeur de l’ordre des Maccabées», Léon Simon, anobli et placé à la tête des Postes générales Britannique, Elder, Joseph Cowen, Chaïm Weizmann.

La Commission est envoyée en Palestine avant que la conférence de la Paix n’intervienne afin de créer une atmosphère favorable à l’établissement d’un foyer national pour les juifs mais également pour stimuler les financiers qui l’appuyaient.

En Russie, en mars, les bolcheviks et leur parti ouvrier social-démocrate Russe, migrent vers Moscou, intitulant leur parti le Parti Communiste. Le deuxième congrès pan russe devient alors leur conseil d’administration officiel. Le parti social révolutionnaire dirigé par les juifs ne veut pas de Lénine.

Le 30 aout deux de ses membres tentent d’assassiner Lénine. Uritzky, nouveau directeur de la Tcheka, est tué. Lénine se lance alors dans une chasse à l’homme, faisant assassiner, torturer, déporter, tous ceux qui le gênent à travers tout le pays. Environ 12 000 000 de Russes perdent la Vie dans ce premier génocide organisé sous les hospices du communisme, des dizaines d’autres millions n’ont que le choix de se retrouver dans les camps de concentration du communisme si bien désigné les Goulags, camps d’extermination par excellence qui allaient bientôt servir de modèle à leur petit frère en socialisme, le national-socialisme.

Rosa Luxemburg et son «Spartacus Bund» à direction juive avait prévu de reproduire en Allemagne, la révolution Russe. Les révolutionnaires de Luxemburg ont infiltré la flotte allemande de haute mer et sont très actifs. La propagande bat son plein, qui sur un baroud d’honneur, qui sur une invasion de l’Angleterre, et son contraire. Les marins allemands se mutinent le 3 novembre.

Le 7 novembre un important corps de marins déserte. Les soulèvements entraînent la fermeture d’usine dans de nombreux centres industriels. La situation se détériore jusqu’au 9 novembre, date de l’abdication du kaiser. Le parti social-démocrate constitue immédiatement un gouvernement républicain.

Le 11 novembre, le haut commandement Allemand demande l’armistice de façon à pouvoir se consacrer à prévenir la révolution communiste. L’armistice est signé en tant que prélude à une paix négociée.

Les chefs spartakistes ayant mis aux postes clés leurs agents dans le gouvernement et parmi les forces armées, le chaos commence à s’instaurer. Luxemburg oblige le gouvernement socialiste à donner l’ordre de démobilisation générale. Cette action entrave le haut commandement qui ne peut plus utiliser ses troupes pour faire frein à la révolution imminente.

En 1919, le gouvernement Britannique édite un livre blanc démontrant l’implication des banquiers internationaux dans la révolution de 1917.

Y sont accusés ces banquiers de financer les apatrides pour mettre à exécution leurs plans de dictature internationale. Afin de contrecarrer cette idée, l’usure fera remplacer Lénine, très certainement assassiné, par Staline, qui initiera une petite purge d’apatrides pour donner le change à la conscience internationale, devant les méfaits considérables et notamment le génocide organisé du Peuple Russe,  causés par les apatrides. Les banquiers internationaux par l’intermédiaire de la Banque d’Angleterre, font interdire la publication de ce livre blanc, et lui en substitue un autre dans lequel disparaissent toutes les références aux juifs internationaux, afin de masquer leur intrigue et surtout leurs outils. 

Pendant que les Alliés combattent sur tous les fronts Lénine réorganise le mouvement révolutionnaire mondial sous le nom de troisième internationale qu’il préside, avant de laisser place à Zinoviev. Le but est de renforcer les partis révolutionnaires dans chaque pays du monde et de prendre des dispositions pour fournir une aide financière à leurs dirigeants, les conseiller et les aider en de nombreux points considérés comme nécessaires au succès de la révolution mondiale populaire. L’action révolutionnaire se traduit en trois phases : 1) le remplacement de la forme existante de gouvernement en un état socialiste si possible par voie constitutionnelle ; 2) le remplacement de l’état socialiste par une dictature prolétarienne par l’action révolutionnaire ; 3) le remplacement de la dictature prolétarienne par une dictature totalitaire avec suppression de toutes les personnes influentes pouvant s’y opposer.

Après 1918, tous les juifs Russes ou bien les juifs révolutionnaires se déterminent dans le marxisme en œuvrant à l’établissement d’une internationale des républiques socialistes soviétiques, où s’immergent dans le sionisme pour retourner en Palestine. Tous sont contrôlés par le pouvoir de l’usure qui agit derrière le mouvement révolutionnaire mondial. La révolution Allemande sous le contrôle de Luxemburg éclate en janvier, et ne peut prospérer faute des subsides annoncés par Lénine aux fonds constitués chez l’ambassadeur soviétique en Allemagne, Joffe. Après que cette révolution dominée par les Juifs aux exactions morbides échoue, le Peuple Allemand prend sa revanche et fait exécuter un certain nombre de juifs, dont Luxemburg et Liebknetch, son bras droit. Afin d’intensifier et de prolonger la haine du peuple Allemand envers les juifs, la propagande dirigée par l’usure les accuse d’avoir provoqué la défaite des armées allemandes, ainsi que les termes injustes et humiliants du traité de Versailles : la voie vers l’avènement de Hitler est préparée. Après la signature de l’armistice, l’usure donne comme instruction à Lénine de consolider les acquis communistes et de préparer les états soviétiques à se défendre contre une agression capitaliste. Lénine suit cette politique, Trotski s’en détourne, rappelé à l’ordre par le premier afin d’établir une zone d’influence dans tous les pays du monde situés entre le 35eme et le 45eme parallèles de l’hémisphère Nord, l’action révolutionnaire ne devant être déclenchée qu’en Espagne, Italie, Grèce, certaines régions d’Asie mineure, dont la Palestine, certaines régions de la Chine et la zone comprise entre le Canada et les États Unis. Le plan stratégique de Lénine connu sous le nom de «Plan du bœuf musqué» justifie son abandon de Luxemburg en prétextant qu’il avait ainsi pu organiser les Armées Russes et résister aux attaques des Pays capitalistes. Le traité de Versailles relève de la pure fumisterie. On voit arriver en janvier M. Paul Warburg qui a instauré la FED, (le Président Wilson dont les élections ont été financées par Kuhn Loeb fait preuve d’une obéissance absolue) pour la délégation américaine, son frère Max pour la délégation Allemande. Le mandat de Palestine qui sera évoqué est élaboré par Frankfurter, éminent sioniste Américain qui sera le conseiller de Roosevelt, secondé par Herbert Samuel, Jacobson, Fiewel, Sacher, Landman, Ben Cohen, Lucien Wolfe. Aux conférences préparatoires, Mandel (Rothschild) est le secrétaire particulier de Clémenceau. Morgenthau Henri occupe la fonction de contrôleur général (père du futur ministre des finances de Roosevelt). Oscar Strauss y intrigue quant à lui pour la fondation de la société des Nations. Louis Klotz signe le traité pour la France, le Baron Sonino pour l’Italie, Edwin Montagüe pour l’Inde, tous de confession juive. Par ses termes le traité de Versailles donne le contrôle du réarmement de l’Allemagne et de son redressement économique aux banquiers internationaux. Une fois cette tâche accomplie, ils passent des accords avec le haut commandement Allemand et acceptent que les soviétiques fournissent secrètement aux généraux allemands toutes les armes et munitions dont ils ont besoin pour équiper une armée moderne de plusieurs millions d’hommes. Ils obtiennent également du dictateur soviétique de grandes facilités pour l’entraînement de leurs armées mais aussi pour leur permettre de former les officiers et les sous-officiers dont ils ont besoin pour encadrer cette nouvelle armée qu’ils veulent constituer lorsqu’ils jugeraient le moment opportun. Au printemps, Bela Kun usurpe le pouvoir en Hongrie et tente de mettre en application les idées de Lucien Wolfe. Sa dictature dure trois mois pendant lesquels des dizaines de milliers de Chrétiens sont mis à mort sans jugements. On compte parmi ses victimes toutes les couches de la société. Le gouvernement de Bela Kun est exclusivement composé de juifs qui occupent tous les postes administratifs. Après ces trois mois de pillage systématique, d’assassinats en tous genres, de mutilations, Bela Kun est déposé et enfermé dans un asile psychiatrique pour le protéger. Les agents de l’usure le font libérer pour qu’il exerce dans la Tcheka en Russie ses dons ignobles, en Ukraine, où il fera tuer sauvagement ou bien périr de faim plus de vingt-cinq millions d’Ukrainiens. On le retrouvera en Espagne au moment du coup d’état des Soviets aux fins d’organiser le règne de la terreur. La teneur du traité de Versailles n’est pas encore arrêtée lorsque le 28 mai Shiff adresse un câblogramme qui dicte en cinq points ce qu’il doit être, mandat de Palestine, devenir de la Haute Silésie, réparations allemandes, devenir du corridor de Dantzig et de la Sarre et Fiume. L’usure donne comme instruction de rendre les termes de ce traité de Paix si rigoureux qu’il sera impossible au Peuple Allemand de les tolérer plus longtemps, car visant à susciter une haine des Allemands pour tout ce qui est Français, Anglais, Américains et juifs de façon à ce qu’ils soient de nouveau prêt à se battre pour récupérer ce qu’il leur appartenait de droit.

En 1920 drôle de guerre en Russie où les troupes blanches sont trahies par les banquiers internationaux au profit du bolchévisme.

En 1921 vainqueur des troupes blanches en Russie, Lénine déclare que l’Espagne doit être le prochain pays soviétisé, et accuse Luxemburg d’avoir été la cause de la vague d’antisémitisme ayant déferlé en Allemagne. Il envoie Karl Radek dans ce dernier pays pour organiser la révolution, qu’il ne pourrait mettre en œuvre que sur ordre du Komintern, aux mains des banquiers internationaux. Ces derniers conjointement avec leur plan sur l’Allemagne, décident de subventionner le sionisme politique, dont le but est l’instauration d’un foyer national juif, mais plus encore le contrôle de la richesse minérale cachée en périphérie de la Mer morte. Winston Churchill déclare à une délégation de dirigeants Arabes, en Palestine : «Vous me demandez de désapprouver ma Déclaration Balfour et d’arrêter l’immigration juive, ce n’est pas en mon pouvoir et ce n’est pas dans mes intentions, nous pensons que c’est bon pour le monde, pour l’Empire Britannique et aussi pour les Arabes. Nous veillerons à ce que cela soit.». Le chaos est instauré en Espagne. Afin d’empêcher le parti communiste de provoquer une nouvelle révolution, le Roi d’Espagne demande au Général Primo de Rivera de prendre la tête d’une dictature militaire.

En 1922 Lénine subit une attaque qui le paralyse en partie. Il nomme un triumvirat pour représenter le gouvernement : Zinoviev, Kamenev, Staline.

En 1923, en assemblée de personnalités financières et de quelques membres de la société des Nations, le Grand maître du Grand Orient porte un toast : A la République Française, fille de la Franc-maçonnerie Française, à la République universelle de demain, fille de la Franc-maçonnerie universelle. Relativement au Traité de Versailles, les citoyens Allemands sont d’accord sur le fait suivant qu’ils ont gagné la première guerre mondiale avant d’être trahis, avant que de voir exercer des représailles contre eux, les banquiers internationaux avaient utilisé contre eux de soit disant démocratie, Française, Anglaise, Américaine, pour infliger une défaite à leurs armées. Le parti communiste dirigé par les juifs les avait menés vers le chaos, la signature de l’armistice et la révolution qui s’en suivit dans leur Nation. Les Allemands étaient d’accord pour briser l’étau économique et militaire qui les enserrait. La plupart des dirigeants étaient d’accord sur le fait de libérer leur Nation, sauf les communistes, pour se dégager de l’aide financière, de la subordination aux banquiers internationaux, et rompre ainsi la procédure de financement des affaires internationales qui obligeaient à contracter des dettes que les banquiers internationaux avaient imposées à l’Angleterre depuis 1694, à la France depuis 1790, aux États Unis depuis 1791, système démentiel voyant le principe des dettes devenir astronomique dont le paiement en principal et intérêts étaient garantis et assurés par l’imposition directe sur le Peuple. Les dirigeants Allemands décident qu’ils émettraient leur propre argent et utiliseraient en garantie des nouvelles émissions leurs avoirs nationaux, tels que la valeur de leurs biens immobiliers, de leur potentiel industriel, de leur production agricole, de leurs ressources naturelles et de la capacité de production de la Nation. Le Peuple Allemand constate que ses convictions sont partagées par les Peuples d’Italie, d’Espagne et du Japon. Naissent ainsi les Puissances de l’Axe sous dominance idéologique de type fasciste, l’Etat au service du Peuple et le Peuple au service de l’Etat qui a pour principal objectif de se débarrasser du poids de l’usure. C’est sans compter avec les loges Allemandes, agents de la subversion aux ordres de l’usure, qui préconisent la guerre totale afin d’en finir avec l’usure, reprenant en cela le plan ourdi dès 1914, pour initier la seconde guerre mondiale, plan, voyant l’Espagne rester neutre, communiqué aux Alliés pendant la première guerre mondiale par des officiers des services de renseignements des Armées Britannique et Américaine, prévoyant dans un premier temps d’infliger une défaite du communisme l’Est, en second lieu l’élimination du communisme en Europe, en troisième lieu l’affermissement du contrôle de l’Europe continentale, en quatrième lieu, l’envahissement de la Grande Bretagne et de la France afin d’asservir leurs populations, en cinquième lieu l’envahissement des États Unis en suivant deux mouvements en tenaille, le Japon devant débarquer des forces d’invasion sur la côte ouest du Mexique, dans le sud, et dans les territoires du Nord, l’Allemagne devant envahir le Canada par voie aérienne au nord et les forces germano-italiennes devant contrôler l’Atlantique à partir de l’Afrique et attaquer les États Unis, à partir de l’Amérique du Sud et du golfe du Mexique. Ces forces devaient se rejoindre aux environs de Chicago, descendre le Mississipi, pendant que les forces d’invasion du sud-ouest et du sud-est devaient se rencontrer à la Nouvelle-Orléans et pousser vers le Nord à partir du Mississipi, divisant ainsi le Pays en deux moitiés. La conquête de la Grande-Bretagne et des États-Unis achevée, les forces de l’Axe prévoyaient la liquidation des féaux de l’usure. Hitler est en désaccord avec ce dernier plan, et se retrouve emprisonné. Il en profite pour écrire «Mein Kampf» où il affirme en dernière page que : «Le Parti National Socialiste en tant que tel, soutient le Christianisme authentique mais ne s’attache pas à des questions de doctrine, de quelque nature que ce soit. Il combat l’esprit matérialiste juif à l’intérieur et à l’extérieur de notre Pays.». Le nihilisme des loges Allemandes l’emportera, et malgré ses intentions, Hitler va devenir l’outil des agents de l’usure pour fomenter cette seconde guerre mondiale qui serviront leurs intérêts, l’implantation du sionisme politique.

En 1924, Herriot est fait président de la République Française, jouet au service du Grand Orient : en 1923  le GO décrète la suppression de l’Ambassade au Vatican, le Parlement Français met cet ordre à exécution le 24 octobre 1924 ; en 1923 le GO exige le triomphe de l’idée de laïcité, le 17 juin 1924 Herriot fait une déclaration ministérielle en ce sens ; le 31 janvier 1923, le GO exige une amnistie générale pour toutes les personnes condamnées et notamment les traîtres à la Patrie, cette amnistie est votée le 15 juillet 1924, voyant ainsi le crime et les agents des illuminés libérés ; en octobre 1922, le GO lance l’idée d’un engagement des relations diplomatiques avec Moscou, Herriot établit ces relations le 28 octobre 1924. Staline en Russie devient dominant. Le GO décide de faire de la Société des Nations en l’infiltrant un outil international de la franc-maçonnerie. Intention dénoncée par Trotski «Aujourd’hui il existe une tour de Babel au service de Staline et un de ses principaux centres se trouve à Genève, nid d’intrigues.». Propos confirmé par le frère Garcia, Grand Maître du Grand Orient d’Espagne en 1924 qui déclare : «J’ai assisté à Genève aux travaux des commissions, j’ai entendu Paul Boncour, Jouhaux, Loucheur et Jouvenel, tous les Français avaient le même esprit. A côté de moi, il y avait les représentants de la Franc-maçonnerie Américaine qui se demandaient : mais où sommes-nous ? Dans une Assemblée laïque ou bien dans un convent maçonnique ? …» Le frère Joseph Avenal est le secrétaire général de la SDN… Les États Unis n’adhèrent pas à la SDN, devant la prise du pouvoir en son sein du Grand Orient, bras armé de l’usure. L’usure décide alors son sabordement.

En 1925 en Russie, Staline écarte Trotski du poste de commissaire à la guerre. Il cesse toute relation avec Zinoviev et Kamenev, et s’allie à Boukharine, Rykov et Tomsky. Zinoviev, Kamenev et Trotski s’allient contre Staline.

 

En 1926 Staline exclue du politburo Kamenev et Trotski. Staline ordonne alors l’épuration de la Russie de tous les hommes qui peuvent faire obstruction aux plans à longue échéance de ses mandants, les banquiers internationaux. Pendant cette purge, des dizaines de millions de personnes sont massacrées et de même des dizaines d’autres sont envoyés dans les camps de concentration. De nombreux hommes qui avaient été les dirigeants du mouvement révolutionnaire depuis la constitution de la première internationale sont traqués jusqu’à la mort ou emprisonnés, parmi eux, Trotski, Zinoviev, Kamenev, Martynov, Zasulich, Deutch, Parvus, Axelrod, Radek, Uritsky, Sverdlov, Dan, Lieber et Martov.

En 1927 Staline écarte du parti Kamenev, Zinoviev et Trotski. Ce dernier tente de provoquer une révolte contre Staline.

En1929 Krach économique manipulé par l’usure, afin d’occasionner la plus sauvage dépression que le monde non communiste ait connu. Cette manœuvre liée à la théurgie des bulles économiques, dans tous les domaines, le retirement de masses d’argent considérables, enfin la limitation des crédits ordonnés, a pour effet de réduire à la misère des millions de personnes, et d’enrichir trois cent millionnaires informés qui se voient transformés en milliardaires. Pendant qu’en Occident cette panique économique broie tout sur son passage, les soviétiques se portent bien, aidés en cela par les banquiers internationaux, développant leur industrie comme leur agriculture et surtout développant le potentiel de guerre Allemand, donnant un sérieux coup de fouet à leur économie. On notera que la Russie emploie des millions d’hommes et de femmes, véritables esclaves conditionnés, pour des salaires dérisoires, ce qui leur donne un avantage supplémentaire par rapport aux Nations qui paient leurs employés correctement. Pour garantir les emprunts, les banquiers internationaux exigent de Staline de leur laisser le contrôle du commerce d’import-export des Nations soviétisées, et réclament la collectivisation des fermes. Staline en fait décrets et les fait appliquer de force. Plus de cinq millions de paysans sont exécutés froidement et plus de vingt-cinq millions sont condamnés à mourir de faim (Ukraine) et ceux qui subsistent, environ 5 000 000, pour refus d’obéissance, envoyés en camp de concentration. L’achat concomitant par les banquiers internationaux de blé soviétique ajouté au blé mondial, ainsi que de viande traitée et congelée notamment en Argentine, condamnent les producteurs occidentaux à ne pas trouver de débouché sur les marchés, les réduisant à la misère. La chute des exportations entraîne des importations massives en provenance des soviets, de l’Allemagne et du Japon, l’utilisation de transit non britannique systématique, par concurrence déloyale, provoque des dissensions entre les pays du Commonwealth, laissant l’Occident la proie de l’agitation voulue par les banquiers internationaux afin, d’accomplir leur dessein, la deuxième guerre mondiale lorsqu’ils le jugeraient bon.

En 1930 en Espagne, le Général Prima de Rivera met fin à la dictature militaire et demande à deux socialistes Beisteiro et Saborit de réorganiser le système électoral pour que le Peuple puisse décider entre Monarchie et gouvernement Républicain. Les deux socialistes fabriquent un système sur mesure pour instaurer un gouvernement socialiste. Dès cet instant, comme à l’accoutumée, le service de propagande bolchévique se met à l’œuvre pour discréditer aux yeux de l’opinion publique le Roi d’Espagne et sa famille. Le vote qui viendra sera l’expression de la fraude la plus globale, au motif que seuls des bulletins tamponnés sont pris en compte.

En 1931 en Espagne, Les loges du Grand Orient auxquels sont affiliés vingt et un généraux dans «l’Union Fraternelle Militaire, pour la plupart à la va vite, - recevant 1500000 pesetas en supplément pour obéir au conseil de l’Ordre - sur vingt-trois, hors Franco qui refusa l’offre de la franc-maçonnerie, usent des serments de fidélité pour faire abolir la Monarchie. La plupart des Généraux, trompés par la maçonnerie, rompent leur serment lorsqu’ils sont convaincus qu’on les utilise pour favoriser les plans secrets de Staline, les tenant lui-même de Lénine, aux fins de transformer l’Espagne en une dictature communiste. Les comptes de l’internationale communiste espagnole révèlent qu’elle a reçu 240 000 livres pour aider les révolutionnaires espagnols, auxquels se surajoutent 2500000 pesetas pour l’achat d’armes et de munitions. Le 14 Avril, la deuxième République Espagnole est proclamée, le Roi Alphonse XIII, sans abdiquer, décide de se retirer de la vie publique afin de n’être pas la cause d’une guerre civile. Les socialistes qui dirigent le gouvernement sont infiltrés par les communistes qui enrayent chacune de leurs actions, et traitent ce gouvernement d’incapable à l’extérieur, en s’alliant avec les anarchistes demandent une dictature du prolétariat, mouvement en sous-main dirigé par les agents de Moscou qui commettent toutes sortes de crimes pour jeter le discrédit sur les responsables de la sécurité intérieure. Après le départ du Roi, le Général Franco déclare : «La République a été proclamée en Espagne. Il est maintenant du devoir de tous de coopérer avec discipline et fidélité pour que la Paix puisse régner et que la Nation ait la possibilité de se gouverner par les voies juridiques habituelles. Jusqu’à présent à l’Académie, il y a toujours eu de la discipline et un parfait accomplissement du devoir. Aujourd’hui ces qualités sont plus que nécessaires ; L’Armée a besoin avec sérénité et dans un esprit d’union, de sacrifier à toute pensée idéologique au bien de la Nation et à la tranquillité de la Patrie.», preuve s’il en faut que le Général Franco n’a jamais été un fasciste, comme le prétendra plus tard la propagande communiste. La monarchie renversée, est introduite la laïcisation dans les écoles et une campagne est mise en place destinée à détruire l’autorité parentale et celle de l’église. Le 14 mai se tient une réunion au Club Ateno à Madrid où huit points sont arrêtés : 1) la création d’une dictature Républicaine, 2) la punition immédiate de toutes les personnes responsables d’agissements illégaux en temps de dictature, 3 ) la dissolution de la garde civile, de l’armée, de la police, et la substitution de groupes républicains armés choisis dans la classe ouvrière et dans les clubs républicains, 4) la confiscation des propriétés de l’ordre religieux, 5) la nationalisation des terres, 6) l’interdiction de toute agence de presse hostile à la cause républicaine, 7) l’utilisation des écoles techniques et autres bâtiments en vue du bien public, 8) l’ajournement des séances du Cortès jusqu’à ce que le programme soit adopté. Le libéral Azana, le socialiste Prieto, et le communiste Caballero sont les instigateurs de ce programme qu’Azana lorsqu’il arrive au pouvoir met en place. Sous couvert d’une Loi pour la défense de la République, est mise ainsi en place une dictature impitoyable. Un révolutionnaire, formé à Moscou, Jiminez Asua prépare un projet de nouvelle constitution. Il concentre alors tous ses efforts sur la destruction des églises et la persécution envers les ordres religieux.

En 1932 en Espagne, Jiminez Asua fonde la ligue de l’Athéisme dont le périodique «Sin Dios» est financé par les deniers publics.

En 1933 les États Unis le 16 novembre reconnaissent la Russie Soviétique, la Société des Nations les accepte comme membre ce qui cause sa perte, les francs-maçons qui en font partie ou bien membre du personnel s’en chargent. Henri Wickham Steed affirme : «J’affirme que les premiers instigateurs qui obligèrent les puissances alliées à reconnaître les bolcheviks étaient Jacob Schiff, Warburg et d’autres financiers internationaux qui souhaitaient par-dessus tout soutenir les bolcheviks juifs de Russie.». En Espagne, en Catalogne, les activités révolutionnaires reprennent. Un correspondant du Morning Post rapporte que «La police à découvert de gigantesques dépôts de bombes, fusils (90000 fusils, 33000 révolvers) et munitions (500000 cartouches), de très importantes sommes d’argent pour appuyer la cause révolutionnaire. De très nombreuses personnes sont arrêtées portant des valises de billets de banque.». Hitler dévoile sa politique vis-à-vis de la Grande-Bretagne, il fait remarquer que Marx, Lénine et Staline, ont tous déclarés à maintes reprises que la Grande Bretagne et son Empire devaient être détruit pour que le communisme international puisse atteindre ses objectifs ultimes. Face à cela, il déclare :» Je suis décidé à défendre l’Empire Britannique par la force si l’on m’y invite.» et il déclare aussi relativement au Traité de Versailles : «Ce n’était pas une invention britannique, mais avant tout une invention juive pour détruire l’Allemagne.» ajoutant : «Même en Angleterre, on assiste à un combat incessant entre les représentants des intérêts de l’Etat Britannique et ceux de la dictature juive mondiale. Pendant que l’Angleterre s’épuise à maintenir sa position dans le monde, le juif d’aujourd’hui se comporte comme un rebelle en Angleterre, le combat contre la menace juive mondiale commencera là-bas aussi.».

En 1934 M Hannen Swaffer écrit : «Je connaissais depuis de nombreuses années Otto Kahn – né en Allemagne, émigre aux États Unis, devient l’associé de Kuhn Loeb et co, épouse la petite fille de M. Wolf, un des fondateurs de Kuhn Loeb et co – Je l’ai connu lorsqu’il était un patriote allemand et lorsqu’il fut américain patriote. Naturellement lorsqu’il voulut faire partie de la chambre des communes Britannique, il rejoignit le parti patriotique. Il serait devenu Président de l’Union des pays de langue anglaise si l’on n’avait pas accidentellement dévoilé ses activités révolutionnaires – rappelons que Madame Kahn en visite officielle à Moscou fut reçue avec les égards d’un chef de gouvernement et que l’Armée rouge se devait de la saluer – il fut prouvé que sa demeure était le centre de réunion d’agents soviétiques tels que Nina Smorodine, Claire Sheridan, Louis Bryant et Margaret Harrisson.»

L’usure de 1920 à 1934 dirige l’intrigue internationale de telle manière que les dirigeants du communisme, en Russie, travaillent main dans la main avec les dirigeants du nazisme, en Allemagne.

Le communisme comme le nazisme sont athées, nient l’existence de Dieu, ont recours pour subvertir à la guerre, à la haine et à la force. Ils utilisent tous les deux la franc-maçonnerie déviante aux fins de propagande. Leur chef du conseil des trente-trois est le Président du conseil exécutif des treize, et en contrition du fait du serment de chaque franc-maçon dévié de ne reconnaître, ni Dieu, mais son chef qui est Dieu sur terre, chacun d’entre eux se révèle en soumission depuis 1770 aux banquiers internationaux, lesquels se servent des seigneurs de la guerre, chefs des loges allemandes.

Le lien communisme nazisme est le socialisme, cette abjection dévouée, père et mère de ces deux idéologies extrémistes, destructrices de l’Humanité comme de l’Etre l’humain, ce qui est incontestable dans les faits et les actes, extrémistes qui ne représentent pas l’Humain et encore moins l’Humanité, et qui en cette époque deviennent les bras armés de la pieuvre de l’atrophie qui se veut règne, l’usure.

La première guerre mondiale fomentée par celle-ci afin d’amener une situation favorable à l’action révolutionnaire et leur permettre ainsi d’obtenir le contrôle de l’Empire Russe et de ses richesses, afin de destituer les têtes couronnées d’Europe où les soumettre à leur joug, afin d’obliger les gouvernements britannique et Français à accepter l’établissement d’un foyer national pour les Juifs en Palestine, est hautement visible dans le fait de voir le gouvernement Britannique obligé d’apporter son aide au plan des banquiers afin d’obtenir l’entrée en guerre de l’Amérique aux côtés des Alliés, afin de piller les ressources de la Palestine dont les gisements de l’époque se montaient à 5 billions de dollars.

En Espagne, un soulèvement se produit en Asturie, le 14 septembre, un rapport mentionne que des fonctionnaires du Ministère de la guerre et des officiers de l’armée sont impliqués dans des ventes d’armes. Le Général Franco fait un effort désespéré pour réorganiser l’armée Espagnole et pour mettre fin à l’anarchie, mais il n’est pas soutenu par le gouvernement socialiste. L’Espagne est ravagée, plus de trois cent églises sont brûlées au même moment dans de multiples villes par les agents de la subversion communiste. La torture, les mutilations, les viols, les incendies, les effusions de sang, la mort sur contrat, sont employés sans relâche par les communistes pour arriver au pouvoir qui appliquent les préceptes de Lénine : «La légalité chez les communistes consiste à baser le terrorisme sur des principes fondamentaux.».

En 1936 la France tombe entre les mains d’un agent des plus vivaces de l’usure, Léon Blum, l’un des dirigeants du Grand Orient, qui se fit remarquer lors de l’affaire Dreyfus, et est nommé premier ministre en 1936. Il occupe ce poste jusqu’en juin 1937, réélu en mars, il le restera jusqu’en avril. En juin il est nommé vice premier ministre et occupe ce poste jusqu’en janvier 1938. Sa tâche, conjointement aux efforts du Kominterm est de déstabiliser l’Espagne afin qu’elle se donne une république sous le modèle de la République Française de 1789. Son «parti collectiviste» est dénoncé comme parti antireligieux, deuxième succursale de la franc-maçonnerie, parti de la lutte des classes et de la révolution sociale» par M.Gustave dès 1929. Léon Blum met à exécution les ordres qui lui sont donné pour ravitailler en armes et en vivres les républicains espagnols en lutte contre les franquistes, laissant la frontière des Pyrénées ouvertes.

En Espagne, devant l’anarchie, le Président Alcala Zamora prononce la dissolution des Cortès.

Le 16 février une élection générale a lieu, mettant en lice Gil Roblès et Calvo Sotelo, anticommunistes, et les communistes se présentant sous l’étiquette «les amis de la Russie», dont le chantre est en prison Largo Cabarello. Ce dernier interviewé par Edward Knoblaugh (Correspondant in Spain» déclare : «Nous remporterons au moins 265 sièges. Tous les règlements existants seront changés. Azana jouera le rôle de Kerensky face à Lénine, moi-même. En l’espace de cinq ans, la République sera si bien organisée que mon parti pourra l’utiliser facilement comme tremplin pour notre objectif : une Union des Républiques Ibériques, voilà notre but. La péninsule Ibérique sera de nouveau un seul pays. Le Portugal y entrera paisiblement, nous l’espérons, mais par la force s’il le faut. Vous voyez derrière ces barreaux le futur maître de l’Espagne. Lénine déclarait que l’Espagne serait la deuxième République soviétique en Europe, la prophétie de Lénine va se vérifier. Je serai le deuxième Lénine et je ferai de cette prophétie une réalité.»

Le 16 février le front populaire se hisse au pouvoir et devient le second parti de l’Espagne avec 200 sièges, lors de l’élection dont l’illégalité des moyens employés n’est pas à démontrer. Pour consommer cette illégalité, le front populaire alliant ses forces avec celles des Basques et autres minorités, font élire un comité de vérification des élections qui, après décompte des voix, donne au front populaire les 265 sièges prévus par Cabarello. Pour obtenir le pouvoir total, les staliniens déclenchent alors un chaos global au niveau de l’Espagne.

Avant les élections, le rapport gouvernemental Espagnol mentionne : «A partir de la chute de la dictature de Primo de Rivera en 1931, la révolution a tué 2500 personnes, produit 7 révoltes, 9000 grèves, cinq prorogation du budget, deux milliards de supplément de dépenses publiques, mit mille municipalités en sommeil, vu 114 journaux interdits, deux années et demie d’état d’exception. Après six semaines de Front Populaire, sous la direction d’Azana, Caballero, et Prieto, il y a eu en matière d’agressions et de vols, 50 aux quartiers généraux politiques ; 105 dans les établissements privés et publics ; 36 dans les églises ; en matière d’incendies, 12 aux quartiers généraux politiques ; 60 dans les établissements publics et privés ; 106 dans les églises ; en matière de troubles, 11 grèves générales ; 169 soulèvements et révoltes ; 76 personnes tuées ; 346 blessées.

Caballero déclare : «Nous devons détruire l’Espagne de façon à la refaire suivant nos vues. Le jour de la vengeance nous ne laisserons pas pierre sur pierre. Avant les élections nous demandons ce que nous voulons. Après les élections nous prendrons ce que nous voudrons, par n’importe quel moyen.» Azana proclame : «L’Espagne a cessé d’être Catholique» La dirigeante communiste Marguerite Nelken annonce : «Nous réclamons une révolution. Celle qui a eu lieu en Russie ne nous sera d’aucune aide. Nous voulons des flammes que l’on apercevra par toute la planète et un déluge de sang qui rougira les mers.» . La doctrine subversive est inlassablement prônée, les jeunes s’y réfugient par obligation, les députés du Cortès chantent l’hymne national soviétique. Les méthodes utilisées pour retourner et pervertir les jeunes sont révélées par Francisco Ferrer : «Afin de ne pas effrayer le Peuple et ne pas donner au gouvernement un prétexte pour fermer les établissements scolaires, je les appelle «écoles modernes» et non pas écoles pour les anarchistes. Nous voulons provoquer la révolution toutefois nous devons nous préoccuper d’enraciner l’idée d’un soulèvement violent dans les esprits des jeunes. Ils doivent apprendre que contre la police et le clergé, il n’y a qu’un seul moyen d’action, la bombe et le poison.» Ferrer sera jugé ultérieurement et condamné à mort pour ses activités, au grand damne de toutes les loges du Grand Orient Espagnol qui protesta auprès des loges maçonniques du monde en prétendant que Ferrer avait été condamné à mort du fait de ses activités anti catholiques.

Adaptant le principe de Lénine : «Le meilleur révolutionnaire est un jeune dénué de toute morale», ce mot d’ordre devient une loi dans les organisations communistes, permettant d’advenir de la jeunesse des asociaux et des débauchés. On enseigne la révolte contre la discipline familiale, permettant ainsi la destruction de la cellule familiale, on raconte que la religion est l’opium du peuple, on monte les enfants chrétiens contre le clergé, on ridiculise la religion chrétienne, présentant Jésus comme un fils illégitime de Marie, comme un falsificateur, comme un illusionniste, les douze Apôtres étant simplement ses complices, on le dit contrebandier d’alcool, on dit les chrétiens comme le Christ, cannibales, on enseigne le libéralisme, l’anarchisme. D’après les enseignements subversifs : «Moins il y a de lois, mieux c’est. Faites ce que vous voulez, sauf désobéir aux ordres des dirigeants, abandonner son poste, divulguer les secrets du Parti.».

La phase suivante consiste à lancer la jeunesse antisociale dans un véritable conflit avec la police, norme la conduisant l’underworld communiste, lui permettant d’accepter le viol, le meurtre, le vol, la perversion sans état d’âme. La bande dessinée devient porteur de cette propagande, les jouets en forme de fusils, de révolvers, etc, eux-mêmes permettent d’accoutumer à l’utilisation d’armes ainsi qu’aux scènes de violence et de mort violente dissipées par le cinéma, les livres et revues pornographiques sont diffusés abondamment afin de taire l’expression de l’amour pour la rendre animale, addictive, permettant ainsi à tout un chacun de devenir violeur ou objet de viol, dans le dessein de faire sauter le verrou de la décence, de la vertu, principes moraux que la civilisation Chrétienne a inculqué.

Les jeunes asociaux, antireligieux, endurcis et abrutis par la propagande sont envoyés à Moscou ou on leur enseigne les principes de la guerre révolutionnaire ainsi que les combats de rue. La guerre psychologique subversive révolutionnaire bat son plein, travaille à l’accomplissement de ses objectifs et ne cessera jusqu’à ce jour, permettant l’acceptation du crime, du génocide, de la torture, de la bestialité, de la barbarie.

Ne se suffisant de l’Espagne, le mouvement communiste subversif infiltre le Peuple Basque dont il prend les commandes et mènera au massacre. Devant la manifestation d’implanter une dictature communiste par toute la subversion, le Général Franco met en garde le gouvernement Républicain et demande qu’on instaure la Loi martiale afin de remettre de l’ordre. Pour toute réponse, il est exilé aux Iles Canaries. Il conserve ses relations avec les Généraux Mola et Varela qui lui certifient que devant la terreur agitée par les loges, la plupart des Généraux dépendant des loges militaires du Grand Orient rompraient avec cet ordre et le rejoindrait pour mettre un terme à cette terreur.

Dès que Franco est exilé, la subversion se déchaîne. Entre février et juin, se déclenchent 113 grèves générales, 218 grèves partielles, 284 bâtiments, 171 églises, 69 clubs et 10 locaux de journaux sont incendiés, 3300 assassinats sont commis. Sotelo ayant cité dans son discours au Cortès cette information, Dolores Ibarrubi, agent de Staline, dénommée la passionaria à cause de ses actions fanatiques, hurle ;» Cet homme a prononcé son dernier discours.» Sous le commandement du Capitaine Don Angel Moreno, Sotelo est arrêté, conduit dans un cimetière et assassiné sauvagement. Cet événement incite de nombreux généraux espagnols à rompre leur serment au Grand Orient et les pousse à demander à Franco de prendre le pouvoir.

Le meurtre de Sotelo le 13 juillet, ainsi que la connaissance par la découverte chez les miliciens, militants communistes  et anarchistes de documents et de plans montrant qu’un complot soigneusement préparé a été mûri en vue d’un soulèvement qui renverserait jusqu’au gouvernement central de Madrid pour établir une dictature soviétique, décide Franco. Les instructions émises par le Komintern via les communistes Français sont claires et édictées dans un document «instructions destinées à la milice rouge», il se résume ainsi :

1) renforcer les troupes de choc et la garde, membres du parti communiste,  dans les casernes et leur fournir des pistolets automatiques.

2) Ces troupes seront mises en relation avec les groupes qui investiront les casernes ; ces derniers seront en uniforme et sous les ordres de nos officiers en lesquels nous avons une entière confiance.

3) Lorsque le combat commencera, nos officiers pourront entrer en contact secrètement avec leurs groupes. Ils prendront contact avec les comités respectifs, et mettront à exécution le plan d’attaque programmé à l’avance à l’intérieur des casernes.

4) Les comités provisoires, dans les casernes, devront renouveler tous les deux jours leurs listes d’ennemis, de neutres, de sympathisants et d’experts. Lorsque les casernes auront été investies, les personnes classées comme ennemies, c'est-à-dire en priorité tous les commandants et officiers, seront rapidement éliminées sans hésitation.

5) Chaque membre des comités recevra une liste de noms répertoriant les individus qu’il devra exécuter. 6) Après avoir exécuté tous les ennemis, on soumettra les neutres à des tests sévères pour éliminer en eux cette habitude que l’on rencontre chez les caractères indécis, l’hésitation.

7) Les comités qui traiteront les neutres feront le nécessaire pour que les groupes de vigilance, à l’extérieur, puissent entrer dans les casernes, le prétexte sera l’aide à apporter pour mettre fin à la rébellion.

8)9) Les groupes qui auront pour fonction de liquider les généraux d’active se composeront de dix hommes armés de révolvers, les généraux ont à leur disposition deux adjudants-majors et un secrétaire que l’on devra exécuter chez eux. Ceux qui seront chargés de les éliminer ne se déroberont pas, quels que soient les obstacles ou l’opposition, l’âge ou le sexe.

10) Les groupes qui auront pour fonction d’éliminer des généraux qui ne sont pas en situation d’active seront constitués de trois hommes qui mèneront à terme leur mission comme précisé ci-dessus.

11)12) Précisions sur la façon dont les habitations et les emplacements situés sur des positions stratégiques doivent être occupés par les militants communistes pour être secrètement armés et fortifiés afin de tendre des embuscades aux troupes qui pourraient s’échapper des casernes. Puisque des officiers de l’armée disposent de voitures blindées, certains groupes de nos militants devront se rendre à des points stratégiques, tels que des carrefours dans des voitures et des camions armés de mitrailleuses afin d’empêcher qu’une aide soit apportée aux personnes qui résident au centre des villes. Les camions devront transporter des stocks de grenades.

13) Nos militants mettront rapidement les uniformes qu’ils auront obtenus au préalable et recevront des fusils.

14) Lorsque la révolte éclatera, nos groupes de militants revêtus des uniformes de la garde civile et de la garde d’assaut, dotés de l’équipement qui a déjà été préparé à leur intention, arrêteront les dirigeants de tous les partis politiques. Ils brandiront le prétexte de la protection personnelle pour se justifier. Une fois en détention, le processus d’élimination des généraux qui ne sont pas d’active sera appliqué. Les groupes en uniforme arrêteront également et mettront en prison les capitalistes importants dont les noms sont mentionnés dans l’appendice B de la circulaire 32.

15) Nous n’emploierons pas la violence contre les capitalistes, saufs sils résistent ; nous les obligerons toutefois à nous livrer le solde de leurs comptes courants bancaires et leurs valeurs. En cas de dissimulation, nous les éliminerons sans exception, y compris leur famille. Il est nécessaire que les cellules travaillent à leur service en tant que domestiques ou ouvriers, là où ils peuvent nous être utiles. (Cet ordre de protéger les banquiers et les capitalistes qui travaillent comme agents de l’usure fut en tout point comparable à ceux que l’on donna pour protéger les Rothschild pendant la révolution Française).

16) 17) En ce qui concerne les membres des forces armées qui se prétendent sympathisants, nous emploierons la même tactique utilisée en Russie. D’abord, utiliser leur service et ensuite les éliminer comme ennemis. Pour le succès de notre cause et sa pérennité, un officier ou un soldat neutre est préférable à un officier ou un soldat qui a abandonné son uniforme parce qu’il craignait pour sa vie. Il est probable qu’un homme agissant ainsi n’hésiterait pas à nous trahir si l’occasion se présentait.

18) Les instructions à notre milice relatives à la mobilisation, aux mouvements de transports, à l’utilisation des armes et à l’habileté au tir, doivent être intensifiées.

19) La milice postée aux carrefours doit éliminer les troupes qui viennent d’être défaites et qui essayent de s’échapper.

20) Les nids de mitrailleuses seront situés dans des bâtiments sur la ligne de front, derrière les arsenaux, les postes de police, les casernes de pompiers, aux abords et aux sorties des villes. Si, malgré ces consignes, l’ennemi arrive à sortir, nous devrons l’attaquer à la grenade à main.

21) D’autres miliciens attendront dans des véhicules blindés placés en des positions stratégiques, dans les villes, à une distance n’excédant pas un kilomètre, ils seront également armés de mitrailleuses.

22) Les liaisons se feront pas voitures express et par cyclistes armés de révolvers.

23) 24) Les détails les plus intimes concernant la vie et la réputation des neutres et des sympathisants doivent être collectés et soigneusement répertoriés, y compris leurs besoins familiaux et le poids que l’amour de leurs enfants et le désir de leurs besoins nécessaires, peuvent exercer sur eux. Si des membres de notre milice, des neutres ou des sympathisants, font preuve d’un quelconque signe de faiblesse ou de résistance aux ordres, ils doivent être dénoncés au comité le plus élevé de l’organisation comme coupables de complicité ou de réaction. 

25) Nos miliciens doivent être organisés de façon à pouvoir travailler en dehors de leur foyer et lieu d’origine : l’expérience nous a enseigné qu’au dernier moment, par sentimentalisme, les hommes qui travaillent dans leur propre village, au milieu de leur famille et de leurs amis, ne peuvent mener à terme nos instructions et manquent d’enthousiasme.

26) Tous les propriétaires de dépôts de marchandises seront considérés comme des capitalistes importants. Ces dépôts devront être organisés pour subvenir aux besoins du prolétariat par le biais des groupements administratifs.

27) Diverses instructions concernant l’utilisation de l’arme de la famine, capable de réduire rapidement l’opposition et confirmant ce qui a été dit quant à son emploi dans les conflits nationaux et la guerre internationale. Au cours de la première semaine et jusqu’à ce que la situation soit devenue normale, la fourniture de boisson et de nourriture aux bourgeois est interdite.

28) Les stocks de vivre dans les casernes et ceux qui sont aux mains de nos ennemis, mais qui ne peuvent être saisis, devront être rendus inutilisables par adjonction de paraffine, pétrole, ou autre matière.

Devant ce plan Franco envoie un message codé aux généraux qui ont juré de se battre pour sauver l’Espagne et l’empêcher  de devenir un état satellite de la Russie, Mola, Goded, Fanjul, Sanjuro, Saliquet, Queipo de Llano etc. Franco s’envole vers Tetuan ou il sait compter sur la fidélité des troupes Marocaines, l’armée nationale n’étant pas sûre. En effet, Franco sait que Julio Alvaarez del Vayo, Ministre des Affaires étrangères dans le gouvernement républicain et commissaire général, a nommé des centaines de commissaires politiques dans l’armée républicaine, ces derniers obligeant les soldats à rejoindre le parti communiste en leur offrant des avantages et des promotions s’ils acceptaient et les menaçaient de toutes les sanctions qui étaient en leur pouvoir s’ils ne s’exécutaient pas.

Le 23 juillet, Franco définit l’enjeu du combat : «Il est du devoir de tout homme de participer à ce combat évident entre la Russie et l’Espagne.» Le professeur Unmuno résume : «C’est le combat du Christianisme contre la barbarie.» La guerre civile commence.

Les communistes, agités par le Komintern, se déchaînent, les atrocités sont désormais leur fer de lance, tortures, mutilations, viols, assassinats de milliers de personnes innocentes. Loi de la guerre civile que Franco, comme le Roi Alphonse XIII a cherché à éviter, cette barbarie touche les extrémistes des deux camps.

Sous l’instigation du «général» Kleber, russo-canadien, formé à l’Institut Lénine de Moscou, une loi d’amnistie est émise, permettant de libérer 30000 communistes, puis le 17 juillet 40000 criminels de droit commun sous la réserve qu’ils s’engagent dans les forces du front populaire. Ces criminels bien utilisés par la subversion seront pour la plupart liquidés après avoir servis dans l’atrocité. Dès que Franco a fait sa déclaration, les meutes rouges insinuées dans l’armée, la police, les services spéciaux massacrent les deux tiers de l’armée Espagnole. Le nombre de victime est sans importance pour le gouvernement populaire, appliquant strictement les directives léninistes qui préconisent le terrorisme afin d’asservir les masses, méthode rapide qui agit de fond en comble et qui sacrifie les compagnons de route sans la moindre pitié.

Avant juillet, les agents de l’usure se mettent en place, Moses Rosenberg en tant qu’ambassadeur de Moscou, qui sera surnommé le Tsar de Madrid, Anteneff Avseenko s’installe à Barcelone, puis assume le commandement de l’armée rouge Catalane, et Dimitrov arrive pour diriger personnellement les persécutions religieuses. Les agents de Moscou mettent en placent des escadrons de purification, autrement dit des escadrons de la mort, qui sous le couvert de lutter contre le fascisme, sont chargés de liquider toute opposition à la mise en place d’une république socialiste soviétique en Espagne. Les exactions de ces personnages sont absolument révulsant et multiples, comptant le massacre des sœurs, par exemple celles du Couvent des Dominicaines de Barcelone, le massacre de familles entières, par exemple celle du Senior Salvans, l’assassinat systémique des frères, par exemple les frères convers, infirmiers volontaires, la torture devient une exaction courante ainsi que la bestialité et la barbarie, par exemple le démembrement de prêtres ou autres personnes, notamment le coureur automobile Varez,  le viol systématique des nonnes ou des jeunes filles, le viol des mères devant leurs filles, quand ce n’est pas des prêtres, physiquement où à l’aide de crucifix, toute la barbarie est en action, répertoriée dans le rapport issu du Comité qui enquêta sur les atrocités commises en Espagne sous le joug communiste en 1939, que M.Arthur Bryant préfaça, dévoilant que des centaines de milliers d’espagnols ont péri ainsi sous la férule de la main rouge et cela ne lui suffisant pas, ses massacres s’accompagnant de la dérision envers les morts, par exemple l’exhumation des corps de sœurs et leur empalement, etc, la liste est impressionnante de ce que peut faire l’atrophie humaine à l’Humain.

Ces atrocités bien entendu voient le démenti des communistes qui jamais n’osent toucher à un seul cheveu d’une personne, prétextant qu’elles avaient été commises par des éléments incontrôlés qui furent punis lorsqu’on les captura. Mensonge flagrant pour la religion totalitaire dont l’agent Lénine précise :» Il n’y a pas de morale en politique, il n’y a que l’opportunité, un gredin peut nous être utile tout simplement parce que c’est un gredin… Les jeunes révolutionnaires devraient immédiatement commencer leur formation guerrière par des opérations pratiques, du type, liquidation d’un traitre, assassinat d’un espion, destruction d’un poste de police, ou cambriolage d’une banque, procurant ainsi des fonds en vue d’un soulèvement. Ne passez pas à côtés de ces expériences, elles peuvent dégénérer en excès, mais c’est une nécessité pour l’avenir.».

La barbarie rouge est à son comble et enrôle les enfants dans ce précipice, voyant se vanter certains d’avoir émasculés deux prêtres et après leur avoir mis leurs organes dans la bouche les regarder périr d’une mort lente.

L’Histoire d’Espagne de ce temps est une mare de sang que réécrivent des menteurs à la solde de l’usure depuis en faveur de ses outils barbares. Nous pourrions citer des milliers de cas, que la propagande soviétique a essayé de faire oublier, tel celui de Ciempozuelos, où plus d’une centaine de religieuses sont assassinées dans des conditions atroces, après que les communistes aient armé de couteaux des fous qu’ils venaient de délivrer d’un asile.

Le pouvoir de l’usure derrière le mouvement révolutionnaire qui manipule les communistes, prouve dans cette guerre civile ses intentions, savoir transformer l’Espagne dans une dictature, demain transformer le monde dans la même dictature.

En Angleterre sacre du Roi qui n’a pas l’intention d’être manipulé par la puissance financière, la presse dès cet instant, aux mains de l’usure, se déchaîne à son encontre. Edouard VIII est obligé d’abdiquer sous la pression, en recevant cet ordre du Premier Ministre, Baldwin, agent de l’usure.

En Allemagne, Hitler ne se départit pas de l’opinion selon laquelle la survie de l’Allemagne dépend d’une alliance avec l’Empire Britannique. En janvier, il engage des pourparlers pour essayer de sceller cette alliance. Il prend des dispositions pour que des entretiens officieux se déroulent entre Diplomates Allemands et Britanniques, Lord Londonderry représente les Britanniques, Goering, Von Ribbentrop et Hitler l’Allemagne.

Les Allemands précisent leurs intentions, savoir libérer les Peuples soumis au communisme, amenant les preuves authentiques témoignant que le communisme avait été organisé, financé et dirigé par des juifs puissants monétairement et influents qui avaient par ailleurs organisé, financé, et dirigé le sionisme politique pour imposer leurs ambitions et instaurer l’Age Messianique.

Hitler promet dans le cadre de l’alliance avec l’Empire Britannique de s’opposer au nihilisme des loges Allemandes prévoyant l’instauration d’une guerre totale, et limiter son activité à la lutte contre le communisme.

Lord Londonderry déclare douter que le gouvernement Britannique prenne part à un plan visant à abolir le communisme.

Hitler fait un compromis, et déclare que l’Allemagne se chargerait de cette opération, pourvu qu’un traité existe dans lequel l’Angleterre reconnaisse qu’elle ne portera pas ses armes contre l’Allemagne pendant les dix années qui suivent.».

Hitler surenchérit : «La seule façon pour l’Angleterre, la France et la Russie de secouer le fardeau ruineux et insupportable des dettes nationales toujours croissantes, est de dénoncer puis de rétablir l’émission monétaire et la régulation des flux monétaires au profit du gouvernement qui en est détenteur de droit depuis les origines.» Il fait remarquer aussi que le dessein du National-Socialisme est de mettre immédiatement et pour toujours fin à la puissance et à l’influence qu’exercent les banquiers internationaux dans les affaires nationales et internationales : ils obligent toutes les Nations indépendantes à s’enfoncer de plus en plus dans les dettes.

Von Ribbentrop fait valoir qu’il convient de nettoyer de la corruption les Nations et que la seule façon de la nettoyer c’est d’atteindre les trois cent hommes du sommet qui constituent le pouvoir occulte car c’est lui qui conçoit et dirige les forces négatives dont les influences diverses et les activités criminelles soutiennent tous les plans à longue échéance des dirigeants du Mouvement révolutionnaire mondial.

Goering passe en revue les agissements des banquiers internationaux, l’histoire des juifs riches et influents qui se sont arrogé le contrôle économique et politique de chaque pays dans lesquels ils se sont infiltrés, en utilisant des méthodes illégales et corruptrices, leur rôle dans la mise en place de la révolution Russe en 1917, ce qui permit une dépression économique sans précédent pour les pays libres.

Hitler rappelle les millions de Chrétiens impitoyablement assassinés depuis octobre 1917 dans les pays communistes, cite les noms des responsables de ces tueries qu’il nomme des gangsters internationaux. Le dernier point cite les instructions de Lénine à Staline pour l’instauration d’une dictature communiste en Espagne. Tout le schéma de l’intrigue internationale est mis à nu, la façon dont on a permis secrètement le réarmement de l’Allemagne, la façon dont la politique française est contrôlée par la franc-maçonnerie du Grand Orient, la façon dont on a persuadé la Grande Bretagne de désarmer pendant que ses ennemis potentiels étaient en train de réarmer.

Leur solution est de neutraliser le communisme international comme le sionisme politique, ainsi tous les mouvements révolutionnaires disparaîtraient d’eux-mêmes, sinon une autre guerre serait inévitable, faute d’appui irréversible, les tensions sous-jacentes portées par les extrémismes nihilistes agitées par la main de l’usure ne pouvant être contrôlées.

Hitler déclare : «Je suis convaincu que l’Empire Britannique et l’Eglise Catholique Romaine sont deux Institutions universelles dont le maintien est absolument essentiel, en tant que remparts, pour la préservation à l’avenir de la loi et de l’ordre dans le monde.»

Le 21 février, Lord Londonderry écrit à Von Ribbentrop relativement à cette conférence : «Ils (Hitler et Goering) oublient qu’ici (en Angleterre), nous n’avons pas subi les désastres d’une révolution depuis plusieurs siècles… En ce qui concerne les juifs… Nous n’aimons pas la persécution, mais en outre il y a la sensation physique de cette force terrible dont vous parlez et qui peut exercer ses ravages dans le monde entier… Il est possible de suivre la trace de leur action dans la plupart des désordres internationaux qui ont causé d’importants dégâts, dans de nombreux pays. Mais d’un autre côté, nous pouvons constater que de nombreux juifs se sont particulièrement impliqués dans l’autre camp et ont fait leur possible, à l’aide de la richesse et du pouvoir dont ils disposaient, pour contrecarrer les activités malveillantes et nuisibles de leurs congénères.» Hitler après l’échec de ces négociations, montre à quel point il aurait souhaité cette alliance : «Celait aurait signifié l’abandon de nos colonies et de notre influence en tant que puissance maritime, ainsi que l’abstention de toute immixtion dans l’industrie britannique par voie de concurrence.»

L’échec de la conférence convainc Hitler qu’aucune politique modérée ne desserrerait jamais le contrôle qu’exerçaient les banquiers internationaux sur la politique étrangère britannique. A son corps défendant, il reconnaît que Karl Ritter a raison lorsqu’il déclare : «Le pouvoir qu’exerçaient les financiers juifs sur le communisme devait être détruit ainsi que le pouvoir des dirigeants du mouvement révolutionnaire mondial, avant l’établissement de la paix et de la liberté économique dans le monde.».

En juillet, devant la menace communiste en Espagne, Hitler, Mussolini et Franco se rapprochent. 

Afin d’éliminer cette menace, ils s’entraident afin d’empêcher Staline d’établir sa zone d’influence aux alentours du 40 eme parallèle en Europe, ce qui aurait pu avoir comme effet de prendre en tenaille les derniers pays résistants au communisme.

Hitler tombe sous l’autorité du noyau dur des loges noires, païennes, nihilistes, qui lui conseillent de passer à l’offensive. Dans un premier temps il s’y refuse et subit un premier attentat auquel il survit, voit réduite son influence sur le Peuple Allemand, tandis qu’une action de propagande s’évertue en provenance des loges noires pour faire accepter au Peuple Allemand, la déification de l’homme, la suprématie de la Race Aryenne, etc.

Le conflit avec l’Eglise Catholique et l’Eglise Protestante éclate, voyant les loges noires protester contre leur agression au motif que les Églises n’ont pas à interférer dans les décisions du pouvoir étatique. Hitler tente de calmer le jeu, en interdisant les loges du Grand Orient en Allemagne, mais les dirigeants de ces loges rendent cette mesure caduque en transformant les loges en Ordres de chevalerie. Nous voyons ici l’action de la subversion séparant en deux, deux forces qui peuvent lutter contre le communisme.

En 1937, le 14 mars, le Pape Pie XI dénonce l’idéologie des loges noires du Grand Orient d’Allemagne en ces termes : «Quiconque prend la Race où le Peuple où l’Etat , où la forme de l’état, où les dépositaires du pouvoir, où toute autre valeur fondamentale de la communauté humaine – toutes choses qui tiennent dans l’ordre terrestre une place nécessaire et honorable, - quiconque prend ces notions pour les retirer de cette échelle de valeurs, mêmes religieuses, et les divinise par un culte idolâtrique,  celui-là renverse et fausse l’ordre des choses créé et ordonné par Dieu : celui-là est loin de la vraie foi en Dieu et d’une conception de la Vie répondant à cette foi… Notre Dieu est le Dieu Personnel, Surnaturel, Tout-Puissant, Infiniment Parfait, Unique dans la Trinité des personnes et Tri personnel dans l’Unité de l’Essence Divine, le Créateur de tout ce qui existe, le Seigneur et Roi et l’Ultime consommateur de l’histoire du monde, qui n’admet ni ne peut admettre à côté de Lui aucun autre dieu… Seuls des esprits superficiels peuvent tomber dans l’erreur qui consiste à parler d’un «Dieu National», d’une religion «Nationale», ; seuls ils peuvent entreprendre la vaine tentative d’emprisonner Dieu, le Créateur de l’Univers, le Roi et le Législateur de tous les Peuples, devant la grandeur duquel les Nations sont «comme une goutte d’eau suspendue à un seau» ( Isaïe XL, 15), dans les frontières d’un seul Peuple, dans l’étroitesse de la communauté de sang et d’une seule Race.».

On remarque à cette époque la similitude existant entre les convictions nihilistes des communistes et des nationaux-socialistes, les uns les autres élevés dans les loges du Grand Orient, les uns forgés avec les anciens rituels kabbalistiques, les autres avec les anciens rituels païens remontant au temps où les Aryens déferlaient sur l’Europe. Mâchoires, qui allaient s’affronter dans une lutte à mort, tenues par le même levier de l’usure, afin de faire progresser ses ambitions de domination mondiale. On remarque aussi, que le fascisme est toléré car respectueux des traditions et en aucun cas dévoué à la terreur comme à la martyrologie. Hitler ne peut désormais plus reculer, acculé par les loges qui ont investies tous les pouvoirs, et qui veulent impérativement mettre en œuvre le plan précité de 1914 tendant à la conquête totale. En Italie, en Espagne, en Allemagne, en France, au Japon, des millions de citoyens pacifiques se retrouvent confrontés au dilemme d’avoir à choisir entre le fascisme et le communisme, pire encore en Allemagne entre le National-Socialisme investit par les loges noires de la subversion et le communisme. Choix de Hobson par excellence.

Ainsi les Nations se disposent par cette intrigue diabolique à entrer dans la deuxième guerre mondiale. Hitler provoque l’hostilité des banquiers internationaux lorsqu’il annonce sa politique financière et son programme de réforme monétaire. Il persuade le Japon, l’Espagne et l’Italie de le soutenir dans sa volonté de remettre en question la puissance des cartels et des monopoles financés et contrôlés par les dits banquiers, notamment leur conception personnelle de Banque des règlements internationaux.

Le Reich Allemand abroge alors la clause de la Constitution qui fait du Docteur Hans Luther, Président de la Reichsbank, un personnage inamovible, ne pouvant être remplacé sans son consentement et sans une majorité de votes émanant du conseil de la Banque des règlements internationaux. – Depuis la première guerre mondiale, les banquiers internationaux avaient mis en place plus de vingt-six banques centrales sur le modèle de la Banque de réserve fédérale des États Unis instituée d’après la théorie de Warburg, associé de la Banque Kuhn Loeb et Co de New York. La FED avait constamment tenté de mettre en place une Organisation Bancaire Centrale qui ne reconnaîtrait au-dessus d’elle aucune autorité mondiale.

Hitler savait que si Warburg et ses associés imposaient leur vue, la Banque des règlements internationaux deviendrait aussi autocratique dans les affaires internationales que la Banque d’Angleterre dans la politique étrangère et les affaires intérieures britanniques.

On demanda aux politiciens et hommes d’états d’appuyer cette requête au motif de stabiliser le système bancaire mondial, en réalité pour abandonner toute souveraineté et participe d’instaurer un esclavage inconditionnel des Peuples à l’usure.

Hitler choisit face à cela une position nette et claire et refusa que l’Allemagne soit associée à un conglomérat d’Etats monopolisateurs, contrôlés par l’usure. C’est là l’essence de la soit disant Démocratie moderne. Roosevelt savait qu’à moins d’expulser les banquiers internationaux du temple moderne de la finance internationale, seule une guerre mondiale serait en mesure de résoudre la situation chronique de blocage financier qu’avaient instauré ces dits banquiers à l’échelle de la planète par les restrictions monétaires, l’encadrement du crédit, et les autres manipulations financières. Mais il fut bientôt docile devant le carcan imposé par cet état dans l’Etat, et diminué physiquement, dut obéir à leur diktat. Il mourut dans la maison de Bernard Baruch, considéré comme le Roi des Banquiers, auquel Winston Churchill venait cherchait ses ordres de marche. Le terme de Démocratie est une expression trompeuse, il signifie aujourd’hui l’abandon à l’usure de tout pouvoir quel qu’il soit. 

En 1939, lorsque les puissances de l’Axe refusèrent les pratiques usuraires des banquiers internationaux, on leur laissa l’alternative de rejoindre la «grande famille», de «voir la lumière» de «jouer le jeu», sous peine de subir la guerre totale, car il n’y a aucune pitié pour les Nations dont les dirigeants refusent de courber la tête ou de se prosterner aux pieds de Mammon. Celles qui refusent l’usure des grands prêtres du Dieu de l’argent, satanistes par excellence, encourent le châtiment, toutes doivent payer le tribut qu’ils exigent, sinon…

En mars, Chamberlain est contraint de signer un accord pour protéger la Pologne d’une agression Allemande, au regard d’un rapport falsifié selon lequel un ultimatum de 48 heures aurait été notifié au gouvernement Polonais. En fait, le gouvernement Allemand n’a jamais notifié un tel ultimatum, son mémorandum ne propose que des suggestions raisonnables pour une solution pacifique aux problèmes créés par le Traité de Versailles, en ce qui concernait le corridor Polonais de Dantzig.

Hitler est l’objet d’une calomnie sans précédent pour avoir osé se dresser contre l’esclavagisme des usuriers. Ses paroles sont interprétées, dévoyées, et notamment sur l’affaire du corridor pré cité, La deuxième guerre mondiale est déclenchée pour donner à l’usure l’occasion de «se débarrasser des barrières de castes, de croyances et de préjugés». Son Idée sur la nouvelle civilisation doit être mise en place dans un monde en guerre.

Le 11 septembre 1939, à l’adresse de l’Amérique, un de ses pions, A.Eden déclare en radiodiffusion : «Pouvons-nous finalement débarrasser l’Europe des barrières de castes, de croyances et de préjugés ? Notre nouvelle civilisation doit être mise en place par un monde en guerre. Malgré la guerre, notre nouvelle civilisation sera tout de même construite.» La manipulation du sionisme, de l’antisémitisme, du communisme, du fascisme, du national-socialisme, du socialisme et du capitalisme, tous mouvements agités par l’usure, va prendre une expansion sans bornes dans cette guerre putride, aux fins de tenter d’instaurer une dictature à l’échelle de notre monde. La monstruosité classique initiée par l’usure se déchaîne, dans un camp comme dans l’autre, voyant pousser des camps de concentration en Allemagne et dans les pays occupés, à l’image des goulags en Russie, la mort conditionnelle d’un pan de l’Humanité européenne, trop pauvre pour aller s’enrichir dans d’autres Nations, trop humble et croyante pour accroire à l’horreur dont feront preuve tant les communistes que les nationaux-socialistes de l’ordre noir des loges du Grand Orient Allemand, entre 1939 et 1945. Le dépeçage de la Pologne, le massacre de l’armée Polonaise à Katyn par les communistes, commence ce désastre Humain, où l’on voit l’Angleterre commise par sa signature à engager la guerre, une guerre molle qui déplaît aux banquiers internationaux qui entreprennent une campagne de calomnie contre le Premier Ministre Chamberlain, afin de mettre en place leur homme lige, Churchill qui n’hésitera pas à faire bombarder les villes et villages Allemands, après que d’avoir envoyé une expédition en Norvège, qui comme aux Dardanelles pendant la première guerre mondialen s’est révélée un échec cuisant.

En 1940, en mai, Churchill s’allie avec les socialistes pour constituer un nouveau gouvernement. Le jour même de son investiture, le 11 mai il fait bombarder les villes allemandes, sans souci des cibles militaires, au mépris de l’accord passé avec la France qui stipulait qu’aucune cible civile ne devait être l’objet d’un quelconque bombardement, l’Allemagne devant cet acte de barbarie totale touchant des civils, fait de même. Cet acte vient tout droit des banquiers internationaux d’Occident souhaitant donner à Staline qui s’en était émancipé, une garantie certaine de leur sincérité et de leur désir de mettre à exécution leur politique de coexistence pacifique entre le communisme oriental et l’illuminisme occidental.

Le 23 mai Churchill remet en application l’ordonnance de sécurité 18-B permettant d’arrêter toute personne qui avait l’intention de commettre des actes de harcèlement ou de sabotage, autant dire tout le monde. Des centaines de britanniques sont arrêtés et sont jetés en prisons sans le moindre procès. Quelques-uns y restèrent jusqu’en septembre 1944 et furent traités comme des criminels simplement pour avoir dénoncé la main de l’usure derrière cette guerre ignoble. Le Capitaine Ramsay, qui fut au nombre de ces prisonniers politiques raconte ces événements dans son livre : «The Nameless War» et l’Amiral Sir Barry Domvile qui connut le même sort dans son livre «From Admiral to Cabin Boy», à lire impérativement pour quiconque veut encore vivre libre. Chamberlain meurt après avoir combattu toute sa vie l’usure, comme l’avait fait William Pitt avant lui. Les loges noires allemandes veulent une guerre à outrance contre le communisme, leur but étant la domination mondiale, elles rentrent en conflit avec Hitler qui applique une politique fasciste ne concernant que la Nation.

En 1941, en mai ses féaux se réunissent en secret et décident d’utiliser la politique complaisante de Hitler envers la Grande Bretagne. Leur agent Rudolf Hess s’envole vers l’Ecosse pour rencontrer Lord Hamilton et Churchill afin de persuader le gouvernement Britannique de signer un traité de paix, leur laissant les mains libres à l’Est. En contrepartie, leur plan prévoit de se débarrasser de Hitler. Churchill refuse d’accepter cette offre, dès lors par l’intermédiaire des généraux allemands à leurs solde, ils pressent Hitler d’entreprendre une guerre totale contre la Russie, de manière à ne pas être poignardé dans le dos lors de ses opérations au Sud et à l’Ouest.

Le 22 juin, les troupes allemandes envahissent la Russie. Les «alliés» organisent alors des convois de bateaux via Mourmansk et le Golfe Persique. Roosevelt et Churchill, au nom de la coexistence pacifique pré citée, fournissent à Staline tout ce qu’il désire. Ils empruntent des sommes astronomiques aux banquiers internationaux et leurs paient des intérêts colossaux. Ils rajoutent intérêt et principal aux dettes nationales pour que les contribuables, ignorants, paient ce tribut, un tribut laissant aux banquiers internationaux des centaines de millions de dollars. Le sang et l’argent des Peuples, répandus avec générosité par l’usure, pavent le chemin des réunions organisées par la suite des «trois grands» à Téhéran, Yalta, et Potsdam. A Téhéran pour tester la bonne volonté des banquiers internationaux, Staline obtient leur soutien financier et l’aide militaire des États Unis. A Yalta, Staline dissout le Komintern, Roosevelt préconise le génocide des officiers de l’Armée Allemande, et donne une partie de l’Allemagne à Staline qui pourra désormais compter sur six cent millions d’esclaves et va plus loin encore en souhaitant donner Hong Kong à la Chine communiste.

En 1943 le 16 février, Staline n’en poursuit pas moins ses objectifs par note adressée aux officiers généraux des Armées soviétiques il explique »Les gouvernements bourgeois avec lesquels nous avons conclu une alliance pourraient croire que nous considérons comme notre tâche unique d’expulser les fascistes de notre pays. Nous, bolcheviks, et avec nous les bolcheviks du monde entier, savons que notre véritable tâche ne commencera qu’après la fin de la deuxième phase de la guerre. Ce sera la troisième et dernière phase qui sera pour nous la plus décisive. La phase de la destruction du capitalisme mondial. Notre but unique est et demeure la Révolution mondiale, la dictature du prolétariat. Nous avons conclu des alliances parce que c’était nécessaire pour arriver à la troisième phase, mais nos chemins se sépareront là où nous trouverons nos alliés naturels, (les socialistes) dans l’accomplissement de notre but final.»

En 1945, Staline rompt ses pactes dès qu’il investit Berlin, mettant sous domination du communisme une grande partie de l’Europe. La peur de voir Staline s’allier à Mao Tsé Toung pousse les banquiers internationaux par l’intermédiaire de Roosevelt à donner à Staline tout ce qu’il exige en Extrême Orient. Alors que le Japon essaie de négocier une paix avec les généraux Américains, bien avant ses concessions à Staline, Roosevelt meurt dans la maison du «Roi» des Banquiers, Bernard Baruch. Mort naturelle ou non, les conseillers du gouvernement Américain aux ordres de l’usure, décident de terrasser le japon à l’aide de bombes atomiques, pour montrer à la Russie les réserves militaires dont ils disposent si la Russie ne se maintenait pas aux plans arrêtés par les différentes rencontres entre «alliés».

James V. Forestal tente en vain de mettre en garde le gouvernement Américain sur les actes des banquiers internationaux totalement impliqués dans le génocide de la deuxième guerre mondiale. En vain, il est «suicidé» par les illuminés afin qu’il se taise à jamais. Ce plan est clair, et réside dans la destruction de toutes formes de gouvernements constitutionnels comme de toutes églises, afin d’instituer une dictature mondiale dont l’usure usurpera le pouvoir absolu.

En 1946, l’idée d’un super gouvernement mondial ressurgit dans la mentalité des Nations. Sur les ruines de la SDN se construit alors l’ONU, organisation des Nations Unies qui incluent les deux membres les plus puissants de l’époque, les États Unis et la Russie. L’ONU donne aux Israélites sionistes un territoire pris sur la Palestine, qu’ils réclamaient depuis un demi-siècle. Preuve de son infiltration déjà par l’usure avec l’aide de son bras armé, la franc-maçonnerie, l’ONU initie la déstabilisation de la Chine, la Corée du Nord, la Mandchourie, la Mongolie, Les Indes Orientales Hollandaises et l’Indochine, au profit de dictatures communistes.

Rappelons-nous que Lénine avait indiqué que les forces du communisme s’étendraient sur le monde Occidental à partir de l’Est. L’ONU est le cheval de Troie de la conspiration internationale et le fer de lance du mouvement révolutionnaire mondial. Alger Hiss, espion soviétique, reconnu parjure, écrit la plus grande partie de sa charte. Le chef de la force de police mondiale (secrétaire du conseil des Nations Unies) en ses origines a toujours été un communiste Russe, le directeur suppléant ayant la responsabilité de l’éducation de l’UNESCO aussi bien que le responsable de l’instruction secondaire sont des communistes. Le président, le Vice-Président et neuf juges de la Cour de Justice internationale sont à l’origine, eux aussi communistes.

En 1947, assassinat du Comte Bernadotte de Suède, par des extrémistes juifs, qui afin d’équilibrer les ressources de la Palestine entre les peuples Palestiniens et Juifs, proposa que les Juifs abandonnent tout le sud de la Palestine et reçoivent la Galilée de l’Ouest au Nord.

En 1952 M.Eustace Mullins cite dans la revue américaine : «Rapport en provenance d’Europe du Rabbin Emmanuel Rabinovitch lors d’une réunion spéciale du Conseil d’urgence des Rabbins européens tenue à Budapest en Hongrie le 12 janvier – Salutations mes enfants. Nous vous avons appelé ici afin de récapituler les principales étapes de notre nouveau programme. Comme vous le savez, nous avions espéré disposer de vingt années entre les deux guerres pour consolider les gains énormes que nous avons réalisés grâce à la deuxième guerre mondiale. Mais l’accroissement de notre population dans certaines zones vitales provoque une opposition contre nous. Nous devons maintenant travailler en usant de tous les moyens mis à notre disposition pour précipiter la troisième guerre mondiale dans un délai de cinq ans. Le but pour lequel nous avons tant lutté, tous unis depuis trois mille ans, est enfin à notre portée et son accomplissement est d’une telle évidence qu’il est dans notre intérêt d’accroître nos efforts et notre prudence davantage encore. Je puis sans crainte vous promettre qu’avant dix ans notre race aura pris la place qui lui revient dans le monde, à savoir que tout juif sera roi, et tout gentil, esclave. Vous vous rappelez du succès de notre campagne de propagande dans les années 1930 qui exacerba les passions anti-américaines en Allemagne et les passions antiallemandes en Amérique et qui a abouti à la deuxième guerre mondiale. Une campagne de propagande semblable est menée de façon intensive dans le monde, actuellement. Nous développons une fièvre guerrière en Russie par une incessante campagne anti américaine pendant qu’une panique anti communiste à l’échelle de la Nation déferle en Amérique. Cette campagne oblige toutes les petites Nations à choisir entre une association avec la Russie ou une alliance avec les États-Unis. Notre problème le plus urgent, en ce moment, est d’enflammer l’esprit militariste à la traîne des américains. L’échec de la loi de service militaire fut un grand revers pour nos plans, mais nous sommes assurés qu’une mesure appropriée sera prise par le Congrès aussitôt après les élections de 1952. Les Russes aussi bien que les Peuples Asiatiques sont tout à fait sous notre contrôle et ne s’opposeront pas à la guerre. Mais nous devons attendre, pour circonvenir les américains. Nous espérons le faire grâce à la résurgence de l’antisémitisme qui travailla si bien à unifier les américains contre l’Allemagne. Nous comptons fortement sur des rapports de violence antisémite en Russie pour nous aider à susciter une indignation aux États-Unis et amener un front de solidarité contre la puissance soviétique. Simultanément, afin de démontrer aux américains la réalité de l’antisémitisme, nous prêterons, grâce à de nouvelles sources, d’importantes sommes d’argent aux éléments fortement antisémites d’Amérique pour augmenter leur efficacité. Puis, nous provoquerons des réactions antisémites dans plusieurs de leurs grandes villes qui serviront notre double dessein qui consiste à révéler les mouvements révolutionnaires en Amérique – nous leur imposeront alors le silence – et de souder les États-Unis en un bloc homogène antirusse. En l’espace de cinq ans, l’objectif de ce programme sera atteint : une troisième guerre mondiale qui surpassera en destruction tous les conflits antérieurs. Israël bien sûr, restera neutre, et lorsque les deux partis seront dévastés et épuisés, nous nous poserons en arbitres, grâce à notre Commission de Contrôle qui visitera tous les pays ruinés. Cette guerre mettra fin une fois pour toute à notre combat contre les gentils. Nous révélerons au grand jour notre identité et celles des races d’Asie et d’Afrique. Je peux déclarer avec assurance que la dernière génération d’enfants blancs vient de naître. Nos commissions de contrôle, dans l’intérêt de la paix et dans celui d’effacer les tensions inter raciales, interdiront aux blancs de se marier avec des blancs. Les femmes blanches devront cohabiter avec des hommes de races foncées, et les hommes blancs avec des femmes noires. Ainsi la race blanche disparaîtra, car mélanger le noir avec le blanc signifie la destruction de l’homme blanc. Notre ennemi le plus dangereux ne sera plus qu’un souvenir. Nous nous embarquerons pour une ère de 10000 ans de paix et d’abondance. La pax judaïca, et notre race exercera un contrôle absolu du monde. Notre intelligence supérieure nous permettra facilement de régner en maîtres sur un monde de peuples foncés… Il n’y aura plus de religions. Non seulement l’existence d’une classe de prêtres demeurerait un danger perpétuel pour notre domination, mais la croyance en une vie après la mort donnerait une force spirituelle aux éléments inconciliables dans de nombreux pays et leur permettrait de nous résister. Nous maintiendrons toutefois les rites et les coutumes du judaïsme en tant que signe de notre caste dirigeante héréditaire, et nous renforcerons les lois raciales de façon à ce qu’aucun juif ne se marie en dehors de notre race et qu’aucun étranger ne soit accepté. Nous pourrions être amenés à laisser se reproduire les jours sinistres de la seconde guerre mondiale – lorsque nous fûmes obligés de laisser les bandits hitlériens sacrifier une partie de notre peuple – pour disposer des prétextes ou des témoignages adéquats et justifier ainsi dans la légalité les procès et les exécutions des dirigeants d’Amérique et de Russie, jugés en tant que criminels de guerre, après que nous ayons dicté la paix. Je suis sûr que vous avez, que vous aurez besoin d’un peu de préparation pour un tel ouvrage, car le sacrifice a toujours été le mot d’ordre de notre peuple et la mort de quelques milliers de juifs en échange de la domination mondiale est vraiment un prix infime à payer… Afin de vous convaincre de la certitude de cette domination, laissez-moi vous faire remarquer comment nous avons transformé toutes les inventions de l’homme blanc en armes qui se sont retournées contre lui. Ses imprimeries et ses radios sont les portes paroles de nos désirs et ses industries lourdes, les instruments avec lesquels il arme l’Asie et l’Afrique contre lui. Nos intérêts à Washington soutiennent magnifiquement les programmes en quatre points concernant le développement de l’industrie dans les zones les plus reculées du monde de façon à ce qu’après la destruction des industries et des villes d’Europe et d’Amérique par la guerre atomique, les blancs ne puissent résister aux importantes masses de peuples de couleurs qui maintiendront une suprématie technologique incontestée. Ainsi en ayant la vision de la victoire mondiale devant vos yeux, retournez dans vos pays et intensifiez votre admirable travail jusqu’à ce jour proche où Israël se révélera dans sa destinée glorieuse comme la lumière du monde.» . On le voit communisme, fascisme, sionisme, ont même origine et sont financés indifféremment afin d’abstraire du vivant toutes celles et tous ceux qui ne sont nés d’un peuple qui se désigne lui-même dans ce discours.

En 1954 Winston Churchill déclare au cours de sa visite à Bernard Baruch : «Je suis un sioniste et j’ai toujours encouragé le sionisme. Je recommande fortement la coexistence pacifique avec les Nations Communistes.» 

Etc., etc., quant à l’histoire moderne, il suffit de relire Yan Moncomble, mort curieusement dans la trentaine,  et tutti quanti pour se faire une idée de la progression affligeante de la course à la dictature imposée par cette «élite» monétaire et en dessiner les ramifications qui tels les membres d’une pieuvre tiennent en leur main tout gouvernement démocratique quel qu’il soit à travers le monde, et en cela l’ensemble des Nations dont les Peuples sont pressurés journellement par leur usure, sachant que sur chaque bien créé ou vendu, une dîme par intérêts composés leur revient.

Rappelons que en 1865 Fondée en Angleterre la Societas Rosicruciana in Anglia société secrète supérieure pratiquant la magie d’illumination sexuelle, dont fait partie le sataniste Eliphas Levi, ex abbée Constant, et le théosophe Samuel Liddel Mathers, membre de l’Ordre secret tantrique de l’OTO, fondé par Théodor Reuss, SRIA que préside à partir de 1871 Lord Bulwer-Litton, dont John Ruskin fut l’adepte, propageant à Oxford des cercles secrets d’esprit impérialiste anglais et socialiste illuministe.La SRIA donnera plus tard naissance, sous l’égide du Dr Wyn Wescott, haut maçon du rite de Swendenborg, et mage noir, à la Golden Dawn, société secrète luciférienne et cabaliste fondée en 1887 près de Manchester, qui très vite installera à Londres et diverses villes, dont Paris, des Temples d’Isis, selon un rite dont Blavatski s’était faite l’instauratrice, et propagera le contre évangile du « fais ce que tu veux » qui sera plus tard celui du mage noir, Aleister Crawlay, le « père du rock » et du juif Herbert Marcuse au USA, évangile sataniste que popularisera Mike Jagger, leader des « Rolings Stones ». Aleister Crawlay est un successeur d’Albert Pike et fut le grand pontife mondial du satanisme du XXeme siècle. La Golden Dawn professait la domination du monde par une élite de dirigeants satanistes à l’aide de l’immoralisme et des drogues : Bulwer Lytton fut le ministre des colonies anglaises lors de la guerre de l’opium en Chine ( qui servit directement les intérêts du roi de l’opium, le clan juif des Sassoon de l’Inde, qui aura l’un des siens comme conseiller de LLyod George, et plus tard ministre. Danc cette filiation, on trouve Bernar Shaw, A.Toynbee, H.G Wells, Swinburn, Yeats, TS Eliott, plus tard Aldous et Julian Huxley (Premier Président de l’Unesco), neveux de Thomas Huxley, le fondateur de la Round Table en 1909 sous l’égide de Cecil Rhodes. Ces personnalités allaient fonder en 1884, la Fabian Society (en référence au Général Romain Quintus Fabius Maximus Cunctator et à sa stratégie de victoires limitées, mais poursuivies, assurant une pénétration lente de l’ennemi) pour propager la doctrine d’une réorganisation socialiste autoritaire du monde entier, par pénétration des élites et des universités. La société Fabienne essaimera à Oxford, Cambridge, ainsi que dans les Universités Américaines, dont 52 auront en 1914 un Comité pour la Paix d’inspiration Fabienne (infiltrées par l’illuminisme juif dans les années 1880 sous la direction de T. Dwight à Yale et de Daniel Coit Gollman de l’Ordre des Illuminés, et ce dernier président de l’université de Californie puis de la Hopkins, par William Russel et par les professeurs formés à l’hégélianisme et l’illuminisme dans les universités Allemandes comme Stanley Halln Welch, Ely, Morris ; ce mouvement sera appuyé par les écrivains Sinclair et London). Dans le même axe, avec Sydney Webb, la société Fabienne créera en 1894 La London School of Economics, d’administration et d’inspiration marxiste, dont l’ENA en France est la copie parfaite. Ce sont ces hauts personnages qui fonderont en Angleterre en 1919 avec l’aide du juif Ashkénase Ernest Cassel, associé de la Loeb, et ami intime d’Edouard VII, et avec l’historien A.Toynbee, le cercle élitiste mondialiste fabien le Royal Instaure of International Affairs, en France l’Institut des Affaires Internationales, dans l’esprit du Britisch Israël. Ce RIIA est issu de la Pilgrim Society, fondée en 1902 après la mort de Cecil Rhodes, mais dans son esprit avec l’aide du financier juif George Morton, société très élitiste, issue elle-même de la société secrète illuministe fabienne et théosophique, la Table Mountain fondée en 1891 par Lord Rotschild et Cecil Rhodes. Pilgrim society et RIIA donnent naissance à la Round Table en 1909, comme noyaux centraux du pouvoir occulte de domination mondiale. H.G Wells, membre de la Fabian Society, de la Fondation Rockfeller sera l’inventeur du terme, nouvel ordre mondial. La boucle est bouclée concernant le mondial socialisme, outil à la disposition de l’usure pour fomenter son coup d’Etat mondial, en utilisant une branche parmi les branches de sa volonté de puissance d’asservissement de l’Humanité…

Voici une petite histoire de notre asservissement par l’usure, qu’il conviendra de remettre au pas dans le cadre des Institutions d’une véritable Démocratie née du Peuple, par le Peuple et pour le Peuple, faisant retrouver aux Nations comme aux Identités, aux Races comme à l’Humanité leur dignité inviolable, dans le cadre de l’Universalité…

© Vincent Thierry