La plaie

La plaie 

Petite nouvelle de la Terre, cette si petite planète située aux confins de la Galaxie, et sur laquelle on sent se redresser la Vie.

« Dans la noblesse du chant existent le sens et son harmonie. Il n'y a ici que de très concevable éternité ou bien déclin. La cacophonie rituelle à laquelle nous assistons dans notre Nation, encouragée par toute la subversion en action, nous désigne ici le déclin le plus putride comme le plus glauque dans lequel s'enfonce notre navire France.

Citadelle devenue de la permissive attitude, par le remplacement éhonté, passible de la cour martiale pour haute trahison, de notre population de souche par toute la misère et la lâcheté de ce monde, par l'abject encensement du cosmopolitisme réduit au métissage le plus esclavagiste qui soit, tant des modes que des idées, par la castration tant de la femme que de l'homme au profit d'un genre grotesque, marchandise avariée d'un professeur Nimbus atteint de delirium tremens aigu, par l'implantation systémique de l'avortement comme de l'euthanasie, voyant ainsi l'apothéose de la mise en œuvre d'un génocide de notre Peuple au profit de tout ce qui lui est exogène, par le déni d'emprisonnement de tout ce qui ne mérite pas deux ans de prison, tandis qu’on maintient en geôle un jeune homme n’ayant fait que se défendre contre la milice politique de la gouvernance, par le relâchement abusif de criminels sexuels, mettant ainsi tout un chacun dans le No mads land du crime, au détriment des victimes, par la théorisation abjecte du racisme qui n'existe que dans le cœur pervers de celles et ceux qui éprouvent un sentiment futile d'infériorité et qui par ce sentiment abstrait veulent que tout un chacun soit leur égal, par la réécriture de notre histoire multimillénaire par une "république" de francs-maçons déviants aux ordres de la destruction, de la déstructuration, de l'avilissement, par ce pouvoir né de l'aveuglement du néant intellectuel, du néant spirituel, de Janus qui se veut triomphant en ses deux visages complémentaires, le socialisme ubuesque et une pseudo-droite ridicule, tous deux dévoués à l'usure et sa tentative meurtrière, génocidaire, d'implanter sa puanteur esclavagiste représentée par le "nouvel ordre mondial", dont l'Europe, notre pauvre Europe est le laboratoire.

La nullité, la perversité, le crime, sont les mamelles de cette truie qui se veut gouvernance, attisant dans ses loges noires le sacrifice des Peuples, de leur économie, de leur force de frappe, de leur culture, de leur spiritualité au profit de ce marais nauséabond qui veut paraître.

Nous sommes actuellement au cœur du typhon de son prisme bestial, voyant au nom de la Nation des va en guerre se réjouir de la dissection des Chrétiens Syriens, en armant cette armée délétère forgée par nos services secrets et les services d'autres Nations, aux fins de juguler la présence Russe en Afghanistan en son temps, voyant ce ventre mou obéir à des conditions étrangères, dont on peut espérer que ces dernières n'aient que mépris pour cette souplesse de l'échine qui les pérennise, voyant ainsi la France devenir supplétive de tout ce qui n'est pas la France et ne le sera jamais.

Certains se réjouissent dans cette fétidité, cette traîtrise, cette duplicité, et d'autres, ignorants des appartenances subversives de leurs élus, acclament comme des bestiaux allant à l'abattoir, d'autres encore qui désormais sont la majorité dans notre Nation, identifient les scories, et analysent la pourriture qui se commet.

Ne nous trompons pas, ici les femmes et les hommes n'ont aucune importance, car jouets de leurs atrophies, seules les idéologies et ce qui les sous-tend sont l'objet de toute préoccupation afin d'en éradiquer à jamais le mal qu'elles font, les crimes qu'elles diligentent, les contrefaçons dont elles font œuvre, le factice comme l'illusion qu'elles ordonnent, la violence atavique qu'elles mettent en œuvre, comme on l'a vu dans la répression bolchevique des manifestations contre le mariage gay, des intrusions délétères et coercitives qu'elles hurlent à tout venant, de la propagande qu'elles initient, des mots d'ordre et des emblèmes qu'elles développent.

Dans ce fatras, l'observateur a vite fait de s'y retrouver et de dresser la cartographie de la corruption, de ses sédentarisations, une tumeur au cœur de la Nation, un abcès local qui devra être éliminé de tous les bureaux de vote si la République veut se redresser et sortir de ces ornières qui sont le poison vénéneux de son essor. Car enfin qu'est-ce que la République, sinon celle du pouvoir du Peuple, en son autorité et par son autorité, et en aucun cas une réunion dysfonctionnelle de toute la misère intellectuelle de ce monde, de cet îlot mortifère, incapable de s'assumer en pleine lumière, qui se cache dans les ténèbres, non pour œuvrer pour la lumière mais bien pour œuvrer pour les ténèbres. Des aveugles au service des aveugles, une litanie mortuaire qui se barde de tabliers en peau de bouc tant dans la gente féminine que masculine, obviée par ce qu'elle croit un accomplissement, qui n'est en fait en ses degrés que destruction de tout ce qui est, reniant tout sur son passage, jusqu'à l'Être Humain, objet de toutes les haines de cette atrophie.

Ici se tiennent le lieu, le temps, l'imprescriptible délire du matérialisme athée, de la désintégration avouée, de cette larvaire circonstance qui s'imagine maîtresse alors qu'elle n'est qu'esclave de ses miasmes, si bien représentée par la boue usuraire qui les guide. Nous sommes bien loin là de la Chevalerie et de ses règles, de la Voie Templière et de son Ordre, nous sommes là à l'opposé, qui, sous l'édit de tolérance découvre son intolérable tolérance pour masquer sa lie, ce gruau de la bestialité qui s'enfante et se correspond, une chienlit qui s'approprie en ses mots d'ordre, Liberté, Égalité, Fraternité, qui ne sont applicables qu'à elle, le genre Humain étant exclu de cette devise fourvoyée, humiliée, violée, par toutes les tares de l'Humanité.

Et cette boue est là et parade, hissant le drapeau des ismes pour cacher cette terrible vérité qu'elle est le sida physique, intellectuel, spirituel de l'Humain, une gangrène dont il faudra débarrasser l'Humanité, en tous lieux, en toute Nation afin que se réveille ce droit inaliénable de voir les Peuples disposer d'eux-mêmes, sans l'ingérence de cette puanteur déféquée par la subversion. Il est temps de demander des comptes aux prétendants des pouvoirs, dépendance, serment à une société de pensée qu'elle soit secrète ou discrète, et n'élire que des impétrants dignes de ce nom, en capacité de servir le Peuple et non l'usure.

La bouffonnerie a assez duré, basée sur la servilité, la duplicité, la traîtrise, elle doit disparaître de notre paysage politique. Et les tartuffes pour accroire encore de ces "nobles" institutions vouées à la destruction, nous les laisserons à leur lit de larmoiements, de génuflexion, de courbettes assermentées, toutes veuleries qui les occupent plus qu'elles ne les préoccupent.

Être un Être Humain, c'est être debout et non en reptation, c'est honorer et être fier de ses racines et non les vouer aux gémonies, c'est chérir sa Patrie comme sa famille dans le droit inaliénable du sang, et non vomir sur son Identité, c'est respecter tout autre Être Humain quelle que soit sa Race, et respecter toutes les Nations construites bio géo historiquement, et non conchier les autres, et se faire respecter par les autres Nations, les autres Races et les autres Peuples, le respect n’étant pas unilatéral mais multilatéral, indivisible.

On peut comprendre l’autisme de certaines tranches de la société ayant vécu la dernière guerre mondiale, sevrée du matin au soir par la génuflexion, la flagellation diluée par les médias suce queue, tranche qui s’est vouée à un européanisme dont le ridicule ce jour surgit en pleine lumière, voyant des potentats s’ériger sans le moindre accord des Peuples, créant leur banque au-delà de toutes lois humaines. Cette génération qui a cru bien faire tant l’ordre de la flagellation était là dans sa misère, cachant les crimes communistes, petit frère du socialisme, sous les litanies du national-socialisme, autre petit frère du socialisme. Cette génération a été violée, le constat est là, et les générations suivantes devraient dans l’ordre de ce chaos mental l’être de nouveau.

Là où le bât blesse, c’est la métamorphose des relations individuelles qui par l’intermédiaire des réseaux permet l’information, une information qui circule à la vitesse de la lumière sur les faits et gestes des commis de cette reptation infernale qui n’abuse désormais personne, et surtout pas les jeunes générations qui ont très vite compris que le système n’avait plus l’ombre d’une valeur, un système déviant ordonnant la déviance.

Ceci n’est plus une fatalité, et il est intéressant de voir se manifester au-dessus du glauque des étincelles d’intelligence qui désormais sont un brasier que rien ni personne ne pourra arrêter dans la reconquête d’un pouvoir laissé entre les mains d’arrivistes, de prébendiers, d’affairistes, d’escrocs, de voleurs en tous genres.

Les racines de cette plaie sont profondes mais si bien mises en lumière par les intelligences qui travaillent à en cerner, jusque dans les chiottes comme le dit si bien le Président Poutine, les contours et les « respectabilités » qui sous leurs étoffes cachent leur mendicité, leur dépendance, leur drogue quotidienne que de s’accroire puissance alors qu’elles ne sont qu’impuissance dans la réalité, une impuissance qui marque de son fer rouge la société dans tout ce qui permet de la prévaloir, son économie, son armée, sa puissance intellectuelle, sa force spirituelle. Ici, nous ne le dirons jamais assez, le néant s’y fait place, et ce néant est apothéose dans ces jours qui passent, glorification de sa propre nécrose jusqu’à voir le visage de Dieu conchié par tout le nihilisme qui s’imagine pouvoir alors qu’il n’en est qu’une larve infecte dont l’atrophie incommensurable relève de la démence.

La France depuis la fin de la deuxième guerre mondiale est circonscrite dans ce monument d’hypocrisie qui la cerne de tous côtés, ne parlons des philosophes de pacotille qui s’inventent dans leurs chiures de mouche des mondes matérialistes, ne parlons de ces romanciers à l’encan qui vivent de bandeaux publicitaires dans ce qu’ils appellent des livres, lorsque ce ne sont que des torchons dont on ne se servirait même pas pour se torcher les fesses de peur de se voir inoculer leur sida intellectuel, ne parlons pas des peintres du rien, de ce rien qui fait qu’un point sur une toile représente une valeur pour les demeurés, de l’argent dépensé par un soi-disant Ministère de la Culture qui alimente un troupeau de pseudos artistes aux États Unis, alors qu’il existe en France de vrais artistes qui bien entendu ne sont pas valorisés par la débilité mentale qui dissipe l’argent pour des étrons, comme on le voit actuellement à Versailles avec cette horreur putride qui s’invite sous les auspices de ses maîtres afin de faire accroire pure merveille ses bouts de tuyaux auxquels on rajoute un jeu de lumière, que l’on paie bien entendu.

Ne parlons pas de la musique, totalement dégénérée, symptôme d’une décadence profonde qui fera une génération perdue dans la virtualité, n’ayant aucun sens de la réalité, qui s’ébruite à longueur de journée dans les oreilles de nos enfants qui, soit dit en passant, risquent une tumeur au cerveau en utilisant des écouteurs introduits dans les oreilles, la relation de cause à effet, la recrudescence des tumeurs chez les jeunes générations étant exponentielle, ne permettant plus d’accroire qu’il n’y ait aucune relation entre ces gadgets standardisés et ces tumeurs, une autre manière de parfaire le génocide des Peuples.

Si l’on considère que l’Art est symbolique du pouvoir, de tout temps et en toute civilisation, on comprendra mieux à quel degré ce pouvoir en est arrivé, finalisant ainsi la doctrine marxiste, cette nécrose avariée, s’inventant dans son nihilisme forcené une religion dantesque, celle de l’esclavagisme parfait, où se régale l’usure.

Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre la relation systémique qui s’établit ici, l’établissement d’un mondial socialisme qui n’est qu’un communisme déguisé à la mode national socialiste, faisant par propagande interposée croire aux Peuples qu’ils sont encore maîtres de leur destin, alors qu’ils en sont les dupes. Le masque du génocide des Peuples par le socialisme en tout genre, ici, tombe, et clairement désigne les viols successifs des populations aux fins de cacher ses crimes, dont l’énormité saillie l’Humanité d’un tombeau que nul juge n’a encore jugé, mais cela viendra, n’en déplaise aux serviteurs du crime et du génocide de cent cinquante millions d’Êtres Humains à travers ce petit monde.

Nous retrouvons ici la junte mensongère qui déguise sous des lois iniques le droit à la vérité, qui réécrit l’Histoire, qui ne se laisse pas réécrire, et dévoile, le temps venu les exactions en tout genre qui ont été commises et leurs acteurs, si visibles dans les archives du KGB, si visibles dans les archives de la Stasi, si visibles dans toutes ces archives qui font sauter les verrous du mensonge et de ses errements, de la stalinisation de la pensée, encouragée par les fers de lance de la subversion dont nous tairont les noms, car nous ne jugeons les personnes mais les idéologies qu’elles défendent.

La France ce jour est dans les limbes de ce linceul, et il appartiendra à son peuple en ses individualités non soumises au diktat de l’usure de se prononcer dans les urnes afin de renverser ce monument ridicule qui fait rire le monde entier, ce Janus interlope et vaseux, marécageux, qui jouit de ses sarcasmes, se régale de son insanité, et se prostitue à sa perversité, jusqu’à aller défendre le crime de viol envers des mineurs et pire encore le viol bestial d’une femme de chambre à New York, et voir ses suces queue recevoir en liesse et en fanfare cette lie de la société qui émarge dans la luxure à cette usure qui la tient par les testicules quand ce n’est pas par le crime.

Pensons aux cimetières d’enfants dans le Nord de la France, pensons aux réseaux pédophiles internationaux qui enlèvent les enfants de France, pour les vendre à des malades mentaux qui les torturent et les démembrent jusqu’à en boire leur sang et se nourrir de leur chair – et si l’on ne croit pas à cela, qu’on s’intéresse plus profondément à la cartographie des crimes, y compris aux restes d’enfants Africains retrouvés démembrés dans la Tamise, et si l’on ne croit pas à cela, qu’on s’intéresse aux journalistes d’enquête sur ces réseaux, qui se sont « suicidés » pour les uns et ont « disparu » pour les autres. Le crime est là, patent, en provenance de toute une société qui grouille dans ses mensonges et dans ses meurtres, soumis au joug de l’usure et de ses féaux.

La France en est donc là de ces écheveaux barbares, de ses rituels sortis de l’imagination de la folie, de l’atrophie, et de leur bestialité. Couronnement typique de l’allégeance, on voit toute cette glauque avanie se dresser à l’encontre de tout ce qui représente la France, alliée en cela par des serments de sang, des serments putrides qui ne sont là pour impliquer la capacité mais bien la médiocrité dans tout ce qu’elle comporte, une médiocrité sans valeurs qui surtout ne touche pas à ses privilèges, s’accordant de multiples mandats, se préservant dans ses retraites dorées, placenta de la mort qui ruisselle dans nos fleuves, dans nos terres, dans nos villes, comme des serpents venimeux, alliant le monde politique avec le monde des suces queue, alliant les piliers de la société, l’Armée, la Justice, la Police, sous la même domination purulente dont l’infection se montre dans les faits divers.

Un fait divers notamment bien tu tant de la personnalité et de ses origines du tireur fou venant des milices du pouvoir en place, cette milice se servant dans le mensonge approprié dans la jeunesse de notre Pays qui passe ainsi de la juvénile adolescence au cadre noir et répugnant de l’agression. Une milice qui bien entendu ne doit pas être dissoute, car regroupant les tueurs nés et entraînés qui serviront demain afin de mettre le pays à feu et à sang au nom du socialisme, de ce parjure qui depuis sa naissance n’a de cesse de se servir du meurtre pour grandir.

N’est-ce pas Lénine qui disait préférer dans les militants communistes, des voleurs et des tueurs, et qui demandait que ces derniers fassent leur preuve avant que d’être admis au Parti Communiste Russe, soit en tuant, soit en volant, où les deux ? Et oui, l’Histoire avec un H majuscule surgit pour faire valoir les doublons qui existent à la surface de notre petite terre, et notamment dans notre Nation où, comme dans la République Espagnole de 1936, le meurtre est autorisé, les assassins et les fous sont en liberté, les voleurs et les escrocs sont ravissement, les Églises et les cimetières catholiques sont profanés, etc, etc, relire ici le réquisitoire fait à la sortie de cette période funeste de l’Espagne en 1939 par un comité souverain.

Image de l’Espagne de 1936, la France part donc à va l’eau, mais cela ne saurait durer, son peuple, même s’il subit le viol continu dans sa pensée comme dans sa chair, n’étant dupe de cette situation favorisée par l’autre face de Janus qui, soumise à ses serments, ne peut avoir d’autre attitude que celle de jouer les effarouchées. Les élections approchent, souhaitons qu’elles soient fermes et définitives quant aux prétentions de celles et de ceux qui gouvernent avec tout ce qui est exogène et en aucun cas endogène. Il y aura les municipales puis les « européennes », souhaitons que la voie de la Nation y soit prospère et déterminante.

Le temps des perclus de cette junte maçonnique déviante mondial socialiste ont sonné. Cette junte le sait, et il faut donc s’en méfier comme de la peste rouge qui l’identifie, car elle est capable de faire commettre par ses milices, sous faux drapeau, toute l’ignominie dont elle est gourmande, tel qu’on a pu le voir aux États-Unis avec ce soi-disant attentat de Boston qui ne résiste à aucune analyse sérieuse, pas plus d’ailleurs désormais que l’Attentat du world center à New-York, qui a permis l’instauration de la terreur dans ce monde qui n’en avait pas besoin. Les scénarios peuvent être multiples, y compris l’utilisation de djihadistes de retour de Syrie, nous ne sommes à l’abri de rien.

Est-ce pour cela que l’on se fournit en drone, pour mieux frapper toute résistance à cette fétidité glauque qu’est le mondial socialisme ? L’avenir nous le dira, mais si cela était nous ne serions plus dans un État de droit, mais l’est-on aujourd’hui ? En aucun cas, car la gouvernance ne représente que 15 % de notre population. Mais cela est une autre histoire qui sera réglée dans les urnes, n’en doutons pas. Le reste n’est que puérilité, démagogie, licence anachronique d’une dialectique matérialiste qui donne la nausée, tellement leurs glorifications du nihilisme sont contraires à toute réalité Humaine, et le seront toujours. »

Attendre et voir, la patience est là, et cette patience portera ses fruits, n’en doutons pas et espérons-le pour cette Humanité contrainte par le viol systémique de ses valeurs naturelles.

© Vincent Thierry