Le mépris
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Le mépris
Petites nouvelles de la Terre, mais lisons :
« Dans ce petit monde, il est interdit de formuler des remarques sur certaines personnes dépendantes et appartenant à des communautés qui se mettent en valeur dans le cadre de la pensée unique, un petit cénacle qui s’imagine la portée de la grandeur comme de l’honneur alors qu’il en est le désert absolu, d’une prétention qui représente bien là, la folie ordinaire qui couve dans les braises de ses abjections comme de son infantilisme le plus réducteur. La norme de cette paresse mentale est là, et s’effraie, injure, conchie ce sol de France dont elle s’est servie pour grandir en se servant de ces ismes ridicules qui ne la regardent qu’elle et en aucun cas ceux qui se respectent et se font respecter.
Devrions-nous être en adoration devant ce qui ne représente rien dans la Culture, sinon ses basses-fosses où s’agglutinent comme des parasites les fredaines ridicules, les bancs d’honneur pour la disparition des Identités et leur soustraction dans le néant ? Devrions-nous à chaque fois que l’esprit critique naturel répond à celles et ceux qui injurient la France, les Françaises et les Français, être soumis au joug des ismes les plus délirants, ces inventions de la subversion, de l’incapacité, de l’acculturation, de la débilité mentale, de l’abstraction dans la virtualité, qui s’imaginent le règne, alors qu’ils n’en sont que les scories, les miasmes ataviques qui se réjouissent du néant et ne se conditionnent que dans la fange ?
Voici ce qu’on appelle la Liberté dans cette Nation écrasée par le paupérisme mental relayé par la médiatique errance ! Là où le ridicule est atteint, c’est de voir celles et ceux qui prétendent défendre la Nation, la Patrie, le Peuple de France, s’avilir jusqu’à s’excuser de ce qui ne vient pas d’eux. Cette dévotion à la flagellation est une caractéristique de cette chape de plomb qui pèse sur l’Occident, un Occident métissé par l’acculturation la plus profonde, par ce chapelet de récitants qui prend les Peuples pour des idiots, et qui dans leur sein invoque le fouet pour tout un chacun qui oserait tenir tête à sa débilité.
Non, le Peuple n’a pas à supporter cette hérésie, cet empire du néant qui veut le noyer dans les bas-fonds de la pensée, en faisant surgir de sa nuit des idoles composites qui crachent sur eux, les dénient, assassinent leur pensée critique au nom de leurs communautés qui nient la République une et indivisible, et la renvoient à l’encan dans le dédale d’une uni polarité insipide où chaque Être Humain ne sera plus qu’esclave de quelques sordides personnages qui, en fonction de leurs avoirs, se désignent comme maîtres de ce petit monde.
Nous voyons ici la soumission de ce parti multiple qui dans le mensonge a recueilli les voix de la France et de son peuple. Il serait peut-être temps de se rendre compte que son degré de liberté devient particulièrement ténu au regard de l’entrisme qui y progresse, là des loges maçonniques, là des communautarismes les plus virulents, et où viennent se perdre des têtes bien faites qui n’y resteront pas, n’en doutons pas, devant cette allégorie à la soumission à laquelle nous assistons actuellement. Il faut le dire, il n’y a plus de choix dans cette Nation soumise. Voir le politique s’incliner devant le show-business, qui plus est dans la propagation de sa pensée infantile et réduite à la ceinture, marque ici le degré absolu de la désintégration.
Résumons, le droit à la critique est uniquement accepté sous la condition d’appartenir à une communauté quelconque, qui se permet tous les droits d’injures tels qu’on les voient appliquer dans des torchons journalistiques menés par les mêmes tenants et aboutissants de ces cliques de la pensée qui veulent mener l’Humain à sa perte, encouragées en cela par une maçonnerie déviante, composites du paupérisme intellectuel le plus niais qui ait pu exister sur notre sol.
En conséquence de quoi, il convient de faire le ménage le plus total de ces cliques, les faire retourner à l’âge de pierre qu’elles n’auraient pas dû quitter et qu’elles ne peuvent pas quitter, car consomption du retour brut à la matière, par effet de désintégration, par complaisance à l’appel de la vanité, de cette vanité qui les enorgueillit de bimbeloteries, qui ne passent pas inaperçues à l’intelligence.
Car l’intelligence existe encore dans cette Nation soumise, et les chaînes qui l’endeuillent ne sont des chaînes que pour les acculturés et les illettrés, qui ne sont pas encore majoritaires, bien au contraire, et cette intelligence ne se laisse pas enchaîner et garde son esprit critique lorsque mugit le chant des hyènes, en bandes organisées, ce chant d’une mafia qui ne se réjouit et ne vit que par et pour la fange, car atrophié en sa modélisation systémique et asymétrique qui le meut. Le mensonge est son écume, la propagande sa révélation, et l’un l’autre masque la dérive profonde des siècles qui l’agite, cette profondeur de la croyance en sa ridicule infériorité qui se transforme en complexe de supériorité aux noms de valeurs sans fondements, des valeurs iniques et cyniques, des valeurs qui ne sont pas celles et ne seront jamais celles de chaque Être Humain par cette Terre qui se respecte et se fait respecter.
Il convient face à cette aversion de l’intelligence de restaurer les valeurs éternelles des Peuples qui ne se condamnent, qui ne se dissolvent dans cette fange, libérer l’esprit critique qui doit répondre à toute injure en provenance de cette lie qui s’imagine vertu alors qu’elle n’est qu’immondice, car réduction globale du potentiel de transcendance de chaque Être Humain. Il convient de boycotter toute la littérature comme toute la musique, toute la peinture comme toute la sculpture, de cette aberration mentale qui en voyant un point sur une toile lui déclare une valeur de millions d’euros, alors qu’elle ne vaut que le prix de son encadrement, de cette aberration mentale qui sous couvert de comique se complaît dans l’injure envers le Peuple qui le nourrit, de cette aberration mentale qui couve dans de symphoniques errances en se masturbant sur scène pour mieux oindre de sa fange le public, de cette aberration mentale qui voit naître une littérature de vingt pages encadrée par deux cents pages de publicité, de cette aberration mentale qui conchie ce monde et qui cherche ses fanatiques.
Très peu pour nous de ces saltimbanques du marais nauséabond, aux relents de perversité congratulés, aux remugles et aux borborygmes décadents, à cette outrance qui sent la glauque servitude, la puante bestialité. Nous ne nous laisserons injurier par cette faune adventice, ces phasmes de la dérision, cette cour de la stupidité alliée à la mendicité. Cette mendicité qui se lit dans les taxes payées sur ces téléviseurs pour nourrir cette défécation de l’esprit qui de plus souille le nom de la France et de la majorité de sa population. Qu’ils aillent braire ailleurs, il n’y a que les trépanés du cerveau pour écouter leurs niaiseries, leurs duplicités, tous ces égarements d’une pensée déséquilibrée qui cherche des canes pour marcher, pour se justifier, justifier d’une contraction individuelle qui sue la peur, la terreur d’exister.
Pauvres hères maladifs qui trônent et se voudraient morale, on en rit, qu’ils n’en doutent et ne se fassent l’illusion d’accroire qu’ils sont vestales, ce sont à peine des urinoirs mal lavés qui n’atteignent pas la Pensée avec un P majuscule, celle qui ne se laisse aller à leur pantomime, caducité de la perversion qui rôde et déglutit, leur sous-art, on le leur laisse, il n’a aucun intérêt pour le devenir de l’Humanité, leurs cris de hyènes on les leur laisse, car ils ne sont que turgescences de la subversion qui les anime, leurs bellâtres consommations, on les leur laisse pour ce qu’elles sont, des impacts que met en jeu la publicité en violant le soma des Peuples qui voudraient y trouver mesure, mais qui n’y trouvent que le suint du pourrissoir qui les endeuille.
Personne n’a à s’incliner devant l’immoralité, l’injure, le mensonge allié à la propagande, toute cette boue qui ruisselle jusque dans le monde politique où l’ordure du verbe devient la mesure de notre Occident, où la mesure devient celle de l’Est, comme si il y avait un retournement de situation. Un retournement grotesque qui ne fait rire que celles et ceux qui le partagent, ces ubuesques fioritures qui ne s’appartiennent pas mais appartiennent à leurs maîtres, les usuriers en tous genres, qui trouvent façons dans ce show-business interlope de l’insolence et de la fange qu’ils engraissent de leurs deniers.
La Liberté n’est pas le monopole de la servitude au glauque et à l’insane, mais resplendit la vérité de ce qui est, et lorsque ce qui est, est nuisible pour la société ou n’agrée pas à la société qui le nourrit, celle ou celui qui la conchie, personne ne l’oblige à y rester, personne, je dis bien personne, car on ne transige pas avec la bestialité, on la réduit, on la démobilise, on la sanctionne, on la fait disparaître, comme doivent disparaître des rayons des poubelles médiatiques tous les titres et toutes les « œuvres » de la bestialité, en n’achetant et ne faisant acheter aucun des produits de cette fange qui conchie notre Nation, de même d’ailleurs qu’en ne votant en aucun cas pour celles et ceux qui se couchent devant ce nombril de la fange.
Nous n’avons de leçons de morale à recevoir de personne, et certainement pas de ces féaux de la luxure, ces paranoïaques en puissance qui ne pouvant rester équilibrés s’imaginent poursuivis par toute une Humanité qui serait là comme une ennemie. Pauvre genre, pauvre stance que nous entendons marmonner depuis 1945. La vie intellectuelle, hors la vie scientifique s’est éteinte dans notre Nation depuis cette année fatidique, et lorsqu’on pense aux soldats qui ont donné leur vie pour rendre la Liberté aux Pays d’Europe, on voit là le martyr de leurs enfants qui doivent aujourd’hui se retourner dans leur tombe en voyant ce qu’il est advenu de leur combat. Une décadence de l’Occident sans égale, la chute de l’Empire Romain n’étant rien à côté, où se presse la populace des médiocres pour s’engraisser sur le sang et la chair de nos contemporains, petits agioteurs, petits prévaricateurs, petits donneurs d’ordre, petits, si petits artistes, qu’en les voyant on ne peut que les mépriser.
Voici l’arme qu’il convient d’user pour vaincre ces petits pieds, ces pauvres minables qui ne représentent que leur conscience, encore faudrait-il qu’ils en aient une, et en aucun cas la conscience de notre Peuple, un Peuple multimillénaire qui a conquis l’Europe, qui a fait ployer le joug des diktats, qui dans sa filiation Chrétienne a transfiguré ce monde, trop d’ailleurs, car enfin ce qu’il a transfiguré en veut encore plus, toujours plus, jusqu’à voir des enfants Africains naviguer vers ses côtes dans le déni de la réalité la plus brutale.
Ce déni voyant les Pays Européens ne pouvant nourrir toutes ces vies à qui l’on promet le paradis, et qui ne trouveront que des terres de désolation où seul s’enrichit la médiocrité, la bêtise, la bestialité, pauvres hères qui serviront d’esclaves dans les usines, les champs et bien pire encore d’esclaves sexuels à ces nouveaux parvenus qui dans leurs loges de ténèbres pratiquent des sacrifices humains et enculent des enfants de moins de neuf ans pour obtenir des énergies païennes, qui ne sont que des leurres, odes à la bestialité qui tient dans son carcan les pouvoirs en place et contre lesquelles rien n’est entrepris, jusqu’à l’oubli du trafic d’organes au Kosovo par une « europe » dégénérée où se battent encore des esprits qui se voudraient libres.
Cette fosse à purin est le propre du monde subversif, de ses élytres, de ses « penseurs », de tous ses marchands, de toute cette médiocre servitude qui se congratule, s’arroge des médailles, des titres, des légions d’honneur, des prix, oh le beau prix de l’eurovision qui marque là, la servitude imposée à nos Peuples à ce qui n’existe que dans le miroir des fantasmes de ceux qui se renient et ont besoin de faire valoir leur ineptie pour exister, lorsque personne ne leur demande rien et qu’ils peuvent être ce qu’ils veulent dès l’instant qu’ils ne nuisent pas à autrui. La purulence de cette décadence est bien représentative dans les discours de cette puanteur qui s’allie, allant jusqu’à traiter de nazi et de Hitler les représentants du Peuple, ce Peuple ignoré, injurié qui devrait se taire devant l’outrage, lors qu’Hitler et le national-socialisme sont la création de ce socialisme pourri qui sévit dans nos Nations, de ce mondial socialisme grand guignolesque qui bat ses rappels de la côte ouest des États-Unis jusqu’en Ukraine.
Que trouvons nous en réponse à ces injures, les propos du créateur du Front National, déformés bien entendu par la médiatique errance, parjurés par les insinués au Front National, qui ne pouvant se défaire de leur habit de mendiant, crient avec les hyènes qui se pressent, lorsque ce Parti aurait pu renvoyer les uns chez les autres en faisant comprendre que les propos d’une personne n’engageaient que sa personne et en aucun cas un Parti. Pauvre monde où l’on voit se déliter le fleuron de ce qui aurait pu devenir le parti de la France, qui devient le parti croupion de Janus, idolâtre de ses perversions, de ses flagellations, de ses culpabilisations nées des ismes qui ne sont inventions que de celles et de ceux qui ne se respectent pas et ne respectent personne en dehors de leurs communautarismes.
Il suffit de cette dépendance, il convient d’en rompre définitivement les chaînes, et nettoyer ce parti de ses scories, de ceux qui bêlent le discours de ce bien penser qui n’est que l’expression de la haine et aucun cas le reflet de la paix. Cette haine qui surgit et tourbillonne dans chaque média aux ordres, dans chaque parti croupion, dans chaque écrit en reptation, une milice de médiocre au service des médiocres, qui n’est et ne sera jamais la France qui se respecte, qu’on se le dise. Face à ce déni d’existence de la Liberté d’expression dans notre Nation, il convient de nettoyer et nettoyer encore dans chaque parti la livrée domestique, et assembler autour d’une seule flamme, toutes les femmes et les hommes de bonne volonté qui en ont assez de la fange et ne veulent s’y noyer pas plus que leurs enfants et leurs petits-enfants.
La France doit redevenir libre, indépendante, militairement structurée, et non laissée à l’abandon ou au bon vouloir d’intérêts qui ne sont pas les siens, l’ordre et la sécurité doivent être sa priorité, et cela engage au déploiement d’une police efficace, faisant céder les zones de non droits, d’une justice nette et précise ne libérant en aucun cas les criminels sous caution d’une diminution de peine, et pas le moins du monde les criminels sexuels, la France doit se sortir du carcan de l’euro et reprendre sa liberté monétaire afin de redevenir concurrentielle, la France doit cesser d’être les mamelles du tiers-monde, qui doit se battre pour éliminer ses dictateurs, ses présidents maçons, tous ces pseudos pouvoirs tenus par des traités qui ne profitent qu’aux multinationales dont nous ne sommes pas les prétoriens.
La France doit retrouver son droit inaliénable à l’expression, à la recherche, et se défaire des lois qui masquent les crimes les plus atroces de l’histoire humaine, notamment de ceux qui ont choisi la voie du communisme, ce petit frère du socialisme, qui a commis, je le répète intentionnellement, plus de cent cinquante millions de victimes par ce monde, dont soixante millions en Russie soviétique. La vérité est fruit de la Liberté, et lorsqu’on verra à quel point elle a été voilée par celles et ceux qui ont voulu masquer leurs crimes, on comprendra mieux cette insistance à châtrer les Peuples de leur raison. L’Histoire devra être redécouverte et non seulement depuis 1945 mais depuis 1776, à la lumière du coup d’état promulgué par tous les dégénérés de l’usure s’imaginant les maîtres de ce monde alors qu’ils n’en sont que les nains
On y puisera à la lumière des sources qui ne peuvent être détruites, tous les aliments permettant de mettre en exergue leurs méfaits, leurs crimes, leurs traîtrises, leurs délires parachevés par cette outrance, ce mondial socialisme uni polaire qui se voudrait gouvernance de ce monde. L’ordure est leur vivier, eh bien il faudra mettre les mains dans leur ordure pour reconnaître leur bellicisme, leur degré absolu de convoitise, leur inhumanité congénitale, leur délire d’accroire qu’ils sont les élus, alors qu’il n’existe aucune élection de qui que ce soit et que tout un chacun est participe d’un tout, et que donc chacun peut se croire élu de ce tout, et qu’il n’existe ni supériorité ni infériorité mais seulement l’existence d’une complémentarité qui est l’exact pouvoir d’ascension de l’Être Humain par ce petit monde.
En substance comme en essence, donc, avançons pour faire triompher la Liberté, ne nous laissons rendre au jeu des « remontrances », de la «culpabilisation», de la « flagellation » de ces petits outils de la subversion que sont les « stars » de ce show-business ridicule dont la bestialité est le maître chanteur qui ne doit être public que de ses avatars et de ces pauvres homoncules les oreilles rivées par des casques hi-fi écoutant leurs litanies dépravées ou niaises à souhait.
La politique ne se fait pas et ne se fera jamais avec ces serpillières du mondial socialisme outrancier. Elle se fera dans le mépris absolu de ces mendiants que la subversion nourrit et à laquelle ils rendent service comme ces petits pions utiles d’un jour qui disparaissent aussi vite qu’ils sont venus lorsque le Public averti les ignore et ne leur donne plus aucun crédit. Et tant s’en faut que le monde Politique lui-même n’ait de compte à rendre à cette lubricité de la subversion ! Là existe une erreur magistrale dans les déclarations de certains membres de ce Parti qui veut libérer la France du joug de ses prédateurs, et ses électrices comme ses électeurs doivent en demander compte devant le piaillement ridicule de certains de ses membres, se confondant avec les hyènes qui chaque jour injurient la France et les Français. Mais cela est le propre de ce parti qui devra faire le ménage de ces incantations. Cela met en exergue une chose essentielle pour le devenir de la France, que ce Parti lui-même, s’il reste en l’état de soumission, ne peut être représentatif, et qu’il convient d’ores et déjà de penser à sa rénovation, son adaptation, et plus encore son élargissement au-delà des critères de toute soumission envers la subversion. »
Où l’on voit que les Partis lorsqu’ils sont insinués ne sont plus ce qu’ils représentent mais bien au contraire deviennent les féaux de leurs propres ennemis.
© Vincent Thierry