Nation croupion

La Nation croupion 

D’autres nouvelles de cette petite Terre qui mérite certainement mieux que ce qu’elle connaît actuellement, mais lisons :

« Il est une Nation croupion qui s’aligne sur les faiseurs de paupérisme. À tel point que désormais les classes doivent renaître pour « protéger » le pouvoir d’achat de ses membres. Le terme «protection» relève de la farce digne d’Ubu Roi, initiant là une régression sans finalité, sinon que de rendre exsangue les uns les autres de ce Pays entre les mains de la Fondation Franco-Américaine, des loges avariées, et de cette pieuvre que l’on nomme la subversion. Donc, au lieu d’augmenter le pouvoir d’achat des Françaises et des Français par une législation forte advenant la règle du tiers dans les entreprises, un tiers des bénéfices pour les actionnaires, un tiers des bénéfices pour les investissements, un tiers des bénéfices pour les travailleurs, on légifère sur la quadrature du cercle, savoir comment faire pour que les Françaises et les Français dépensent moins ou pas du tout, ce qui serait le mieux.

L’innovation ici trouve sa raison dans le fait qu’un citoyen ne doit en aucun cas prendre l’avion, et encore moins le train, mais désormais vivre confiné dans des autocars pendant des heures pour se déplacer à moindre coût. Nonobstant le fait que ce mode de transport n’a rien d’écologique, on voit là la prétention de cette gouvernance à briser l’essor des couches moyennes et surtout des couches populaires, désormais considérées comme des poids pour les « actionnaires », pour ces parvenus qui trônent sur la sueur et le sang des esclaves devenus des Françaises et des Français dans cette ère totalement abstraite qui tire sa vanité de tout ce que peut comporter la haine du Peuple par ses roturiers.

Ce défaut d’intelligence de ce qui se fait nommer «élite» alors qu’elle se révèle une élite de la médiocrité, sonne ce jour le glas de l’unité des Françaises et des Français. On attend que toute cette déréliction se déplace désormais en autocar et en aucun cas en jet, aux frais du contribuable, pour montrer l’exemple. Que nenni, cette chose liée par la finance apatride et avariée ne voyagera pas en autocar, mais bien au contraire contentera toute cette imbécillité chronique que l’on retrouve dans un patronat désuet qui se croit encore au dix-neuvième siècle en ne comprenant pas que sans le facteur travail, capitaux et outils ne valent rien. La prévarication, le vol comme le viol sont leur loi commune, ne l’oublions jamais.

Prévarication des droits des travailleurs au profit d’une hygiène douteuse, vol des fruits du travail par une « rentabilité » à deux chiffres, viol du travail des Françaises et des Français par apport d’une immigration massive à moindre coût. Il n’y a là d’autre explication que ce remplacement de Peuple auquel on assiste, nous faisant pleurer sur des pauvres gens croyant trouver la liberté en Europe alors qu’ils vont y trouver l’esclavage, disparus en mer, oubliant de nous parler du dernier viol d’une fillette de deux ans par un ressortissant de l’immigration, pour ne pas affoler les chaumières, mais par contre invectivant le Peuple de France sur ce que l’on ne peut que condamner, le viol d’une jeune femme de confession juive et le vol de son appartement, sans dénoncer les auteurs qui comme chacun le sait désormais sont issus de cette immigration sauvage à laquelle nous assistons.

Deux poids deux mesures. Que ne ferait-on pas pour taxer le Peuple de France d’antisémitisme, de racisme, alors que le Peuple de France a tout au contraire assimilé de multiples populations qui ont été intégrées, ce qu’elles ne recherchent plus du tout désormais, car support de votes pour la subversion qui les anime et les affilie. Nous y voici donc dans cette déréliction qui trône, voyant désormais se manifester la pyramide totalement inversée, où l’on voit la médiocrité en pointe dans cette inversion s’accroire l’adage du devenir Humain lorsqu’elle n’en est que le retour brutal vers la matière brute, cette chose informe qui sue la mort et se prosterne devant la mort.

Les symboles ce jour sont inversés, dans leur globalité et s’enlisent dans le marais d’une putridité qui ne dit pas son nom, qui est celle de la barbarie sans fin, une barbarie œuvrée et multipliée par ces pseudos élites qui s’imaginent de nouveaux rois, de nouveaux empereurs, lorsqu’ils ne comprendront jamais que la Royauté comme l’Empire ont pour devoir la construction et non la destruction. Soyons sérieux, nous ne pouvons en France continuer à être dirigé par cette insolence née des viviers de cette dérision idéologique qui se nomme le mondial socialisme, cette errance, née de l’errance se statufiant dans des abstractions sans lendemain qui mènent vers le vide, vers la paupérisation, vers l’acculturation, vers l’illettrisme, vers cette larve humaine prônée, ce genre ni homme ni femme, inverse de l’androgyne, livré en pâture à la démonisation d’une économie désaxée et triviale, œuvre des roturiers et des aristocrates châtrés, œuvre de cette lie de l’humanité qui ne conditionne non pas l’avenir mais ses petits avoirs au détriment de leur Peuple, de l’Humanité tout entière qui doit crever de faim, devenir un butut vide de conscience pour parfaire à sa mise en esclavage au service de cette caste inique.

Je ne le rappellerai jamais assez, nous ne devons rien à cette caste, que le paupérisme, la barbarie, la vanité du glauque, la répugnance des égouts, et conjointement des génocides à répétition, qui n’ont d’autres buts que de servir une cause ridicule, celle d’accroire que le paradis est sur cette Terre pour quelques élus. Entendez la populace de cette caste nous parler de village en nommant la Terre, sans reconnaître la moindre réalité aux Identités qui fondent très justement la Terre, entendez ces illusionnistes s’imaginer vivre dans des mégalopoles où tout un chacun asexué se mettrait à l’ouvrage pour la plus grande gloire de gouvernants invisibles, représentés par des banquiers et de pseudos sages, qui dirigeraient l’Humanité à sa perte, et dont l’ineffable hypocrisie est de faire accroire qu’ils élèveraient l’Humain, écoutez ces minables pantins à leurs ordres, décréter que désormais les moyens de transport ne devaient plus être populaires, ni trains, ni avions pour les manants, mais des bus, dont on attend le nombre de victimes par accidents multipliés, écoutez ces parvenus enchanter le travail le dimanche au détriment de toute la culture spirituelle d’un Peuple, n’écoutant ainsi que les actionnaires, ces métastases qui se cachent dans les conseils d’administration et se goinfrent du sang et de la sueur des travailleurs, ces invisibles actionnaires qui demandent des rendements à deux chiffres sans se préoccuper de ce qui fait tourner leur indicible prétention, le travail.

Nous pourrions écrire ici des volumes tant cette caste est la honte de l’Humain, toute préoccupée de ses rapines, de ses affaires, de ses détentions illicites dans les paradis fiscaux qu’elle a créé de toutes pièces afin d’anéantir le potentiel des Peuples à s’épanouir. Le sujet n’est pas là, le sujet est de se défaire à jamais de cette tromperie, de cette subordination à la boue qui se veut règne, à cette parturition de déjections qui par le vol, par le viol, de la piraterie l’envergure, injurie les Peuples dont elle a usurpé les Pouvoirs.

Les pouvoirs n’appartiennent à personne, et en aucun cas à ces hyènes hurlantes, ces peureux qui se cachent dans le giron des loges, des sociétés discrètes, et n’osent affronter le réel, car là réside leur talon d’Achille, la peur. Lorsqu’on se cache et que l’on cache ses appartenances, on est loin d’être un homme ou une femme qui se respecte, mais bien un lâche, et cette lâcheté surgit dans chaque thématique abordée par ce groupuscule ridicule aux marges de ses pantins qu’il anime. Nous sommes dans la farce, une farce qui se veut convenable, lors qu’elle n’est que prestation de toute prévarication, telle notre Nation, vingt-sixième pays dans le cadre de la corruption de ses représentants, qui osent se présenter devant les urnes avec leur passé judiciaire, sans compter le passé judiciaire de certains qui trônent et qui masquent par leur pouvoir les actions des tribunaux à leur encontre, notamment dans des affaires de pédophilie notoire.

Nous sommes dans le creuset de cette vaste hypocrisie où l’on veut faire croire au Peuple qu’il détient un quelconque pouvoir alors que tous les pouvoirs sont tronqués, trompés, anémiés, y compris celui du vote, puisque ne se présentent et ne sont vendus comme des marques de savonnettes que les hydres de ce que l’on appelle les young leaders, issus de la fondation franco américaine, là à gauche dans la gouvernance, ici dans l’opposition comme second de cette UMP qui ne représente plus rien aux yeux de celles et de ceux qui ouvrent leurs yeux sur l’incommensurable corruption qui y règne. Nous ne sommes, que je sache, le cinquante-quatrième État des États-Unis, et ici les États-Unis, à tout le moins leurs dernières gouvernances, n’ont rien compris en voulant faire des États d’Europe ses dominions.

Cette usurpation de fait du pouvoir par l’introduction de ses émissaires dans toutes les gouvernances n’a aucune validité aux yeux des Françaises et des Français, comme d’ailleurs de l’ensemble des Pays Européens, hors ces derniers venus, croupions de leur démence qui s’imaginent voir la Russie les dévorer, où tel en Allemagne, ces chiens de guerre vouloir prendre leur revanche sur un Stalingrad qu’ils n’ont de génération en génération jamais digéré. Si on se doit de respecter le Peuple Américain, sa Constitution, nous n’avons pas à respecter ses gouvernances successives qui ne nous respectent en aucun cas, voyant une mainmise de ses suppôts et de ses supports sur tous les rouages politiques, comme sur tous les rouages économiques, via ce qui va être la plus grande traîtrise de ce siècle envers les Nations Européennes, ce traité transatlantique qui est un cheval de Troie pour mieux absorber les Nations de l’Europe, dans cette glauque idéologie qui se veut maîtresse de ce petit monde.

Maîtresse ? Que non, et ce ne seront les «révolutions» qu’elle introduit partout où elle le peut pour déstabiliser les Nations qui lui résistent, qui y changeront quelque chose. Personne n’est dupe, ni des « révolutions » arabes, ni de la guerre institutionnalisée tant en Irak, en Syrie, au Mali, par ses mercenaires qu’elle a formé et armé, et qu’elle prétend combattre, personne n’est dupe des régimes qu’elle instaure, de la barbarie qu’elle cautionne, ces décapitations à outrance, surtout des Catholiques, il est vrai que les « waps » n’ont aucune idée de la réalité, leur pseudo-religion implantée par le financement de leurs mentors qui les domine, révélant leur vanité à s’accroire les maîtres de ce petit monde. Pauvres hères qui ne connaissent non pas la Voie du Christ mais uniquement la voie du fric, et qui devraient être les exemples à suivre dans cette déliquescence qu’ils forgent.

On vient de voir récemment l’entrée en pompe d’un de leur coreligionnaire dans l’une des plus importantes Institution politique Française, un être sans parole ayant remisé le politique à l’encan pour y revenir en fanfare. Voici ce que sont ces élytres qui tissent leurs toiles araignes afin d’inféoder les peuples à leur vision mortifère, issue des idéologies trotskistes, maoïstes, communistes, et désormais convergence de cette idéologie mortelle qu’est le mondial socialisme. La pieuvre ici place ses pions, de purs agents d’intoxication, de purs agents qui ne doivent pas se regarder en face dans leur glace lorsqu’ils se rasent, tant ils suent la compromission, l’allégeance, la prosternation.

Richelieu avait parfaitement raison en faisant tout pour maîtriser l’unité du Royaume sous l’égide du Christianisme, il savait intuitivement que toute dérive accordant des droits particuliers à la réforme allait pulvériser cette unité. Lorsqu’on regarde les villes concédées à cette errance, on voit que seul l’intérêt est leur but, se vendant au plus offrant, y compris à l’époque à l’Angleterre. Mais n’est-il pas vrai que leur culture spirituelle est celle du profit pour la plus grande gloire de Dieu, ce profit qu’il conspuait lorsqu’il était valeur du Catholicisme, ce profit qu’il jalousait et voulait à son service, ce profit que ses maîtres dardaient et qui ce jour éclate dans sa splendeur bestiale. Ces mentors n’ont pas su laisser derrière la porte de leur maison les conditions de leur « religion » mais bien au contraire, très bien manœuvré par une autre religion, ont tenté de dissoudre par leurs avanies la réalité existentielle des Nations Européennes dans leur rut délirant.

Mais ce qu’ils ont oublié c’est que personne ne peut dissoudre la rémanence issue des Peuples, et cette rémanence aujourd’hui se réveille devant tant d’intolérable intolérance. Il ne faut pas être grand clerc pour voir l’influence néfaste de ce communautarisme allié à un autre communautarisme dans l’histoire de notre petit monde. Une influence faite de sang, de vol, de rapine, de corruption, qui ce jour se montre sans se masquer, une influence pernicieuse qui est le maître mot de l’action entreprise par leurs pantins, tous dévoués à cette cause ridicule que de voir l’Humanité réduite entre leurs mains. Les guerres de religions se poursuivent, n’en doutons un seul instant, et ce ne sont pas seulement les chocs entre civilisations qui doivent être étudiées, qui eux-mêmes proviennent de cette acculturation, mais bien l’emprise des religions sur ce monde en leur interdépendance et leur association.

Une association qui se voit comme le nez au milieu de la figure, une association qui est la litière de toutes les entraves au devenir de l’Humanité, phare de nos Nations totalement subverties par cette hydre s’alliant avec ce qui ne représente rien aux yeux des Peuples, alliance contre nature voyant nos Nations vendues comme de simples marchandises à une religion invasive qui ne contredit en rien cette hydre, puisque plaquant la soumission comme état de grâce de tout un chacun, une soumission que tout un chacun doit réduire par les voies de la légalité la plus parfaite, en initiant des lois nouvelles concernant le droit du sang contre le droit du sol, en détruisant toutes lois favorisant les implantations massives, en éradiquant toutes subventions quelles qu’elles soient au profit de l’invasion facilitée par les démarcheurs de cette folie qui se veut en col blanc et qui n’est que traîtrise et parjure envers l’Humanité, ses Races, ses Peuples, ses Ethnies.

Abyssal semble être le travail de refondation, lorsqu’il est d’une simplicité remarquable. Une simplicité juridique tout simplement, et c’est bien pour cela que l’hydre est en posture dans tout l’appareil judiciaire, comme dans tout l’appareil politique, afin de détruire toute tentative de mettre fin à l’errance qu’elle développe. Là aussi le pouvoir n’appartient à personne, et tout un chacun de cette force qui se lève en savoir doit ici porter le glaive pour défaire de tous les pouvoirs les caciques de la subversion. Personne n’a à se soumettre à ce qui est la lie de ce monde, à cette pieuvre bestiale qui se gorge des êtres Humains pour son seul petit profit, cette dénature qui se cache et dont on vante quelques coordonnées, par exemple ces naissances de petits Prince ici et là, comme si on voulait faire comprendre à tout un chacun qu’il doit plier genoux devant la « religion » protestante et ses représentants couronnés, à ces Anglo-Saxons qui depuis 1645 détruisent ce monde.

Un monde qui se révèle à leur image, nonobstant les sciences qui ne leur appartiennent en aucun cas, un monde d’illusion, un monde en trompe-l’œil, un monde d’esclaves couronnant la mort, par l’avortement, l’euthanasie, le trafic d’organes, le meurtre rituel, la pédophilie sacralisée, cette puanteur qui n’est que la nécrose de croyances moyennes orientales qui veulent que sodomiser un enfant de moins de neuf ans permettrait d’acquérir des pouvoirs, pauvre croyance qui ne mérite qu’une seule chose, la peine capitale, car ne pas respecter les enfants, c’est ne pas respecter l’avenir des Êtres Humains. Mais il est vrai que dans cette escroquerie intellectuelle à laquelle nous assistons il n’y a pas de place ni pour l’avenir, ni pour le devenir, mais pour le plaisir immédiat, initié par les impuissants à vivre qui se déclament et s’arborent sur toutes les chaînes de télévision, comme sur toutes les chaînes de radios, aux mains de l’hydre qui les soumet.

Il est temps pour tout un chacun de regarder les choses en face, et non les illusions qui se façonnent dans les basses loges où les trouillards se réfugient, si peureux de se présenter à visage ouvert devant les Peuples, il est temps de se défaire de cette usurpation qui voit ce jour dans notre Nation les arts ridiculisés, l’intelligence anémiée, la culture répudiée, la spiritualité dénigrée, il est temps de voir la réalité. Cette réalité se masque sous les troupeaux de pseudos associations, de pseudos musés, notamment de l’immigration, belle immigration qui nous coûte ce jour quatre-vingt-quatorze milliards d’euros annuellement et n’est en aucun cas une chance pour la France mais un véritable boulet qui sera délité en épurant les lois, et notamment celles ayant trait au regroupement familial, l’aide médicale d’état, les allocations familiales, les subventions de toute sorte que paient les Françaises et les Français de souche, nouveaux esclaves écrasés par les charges en provenance des cols blancs aux ordres des usuriers, et la misère mondiale qui trouve là pitance pour l’éternité au détriment du modèle social Français.

Ce modèle est brisé, il est l’élément qui doit être réparé dans l’immédiat, en fermant les pompes à finance servant pour bonne partie l’immigration sauvage qui n’a aucuns droits dans notre Nation, sans le moindre titre de séjour, touchant plus qu’un retraité Français, la subversion versant à des personnes en âge de ladite retraite jusqu’à sept cents euros mensuellement, sans que ladite personne n’ait jamais cotisé dans notre Nation, versant des allocations familiales à des parents dont les enfants nés à l’étranger ne viendront jamais vivre en France, etc., etc., la cour est pleine de cette gabegie issue de l’intolérable prétention des prévaricateurs qui ne rêvent que république universelle que l’on peut traduire par dictature universelle.

L’action comme on le voit prioritairement est de légiférer, faire tomber toutes les lois favorisant les communautarismes, liquider toutes les subventions à tous les communautarismes quels qu’ils soient, fermer les pompes des prestations sociales à tout ce qui ne travaille pas dans notre Nation, fermer la porte du regroupement familial, extirper la corruption et le vol des gangs organisés qui soutirent des millions d’euros annuellement en usant de cartes vertes illicites, etc., etc. La France n’est plus le pays des droits de l’homme, mais le pays qui s’effondre au nom des droits de l’homme, un pays qui se fait piller au nom des droits de l’homme, une Nation qui se dissout au nom des droits de l’homme issu de cette sordide idéologie que l’on nomme le mondial socialisme, incapable de comprendre qu’il convient face à des droits de mettre en valeur des devoirs.

Lorsque la France aura réussi à mettre en face des droits, des devoirs, alors tout s’équilibrera, et la France sera de nouveau respectée, alors qu’actuellement elle fait office de prostituée de ce monde, comme d’ailleurs la plupart des Nations Européennes qui sont soumises à la mâchoire de la tenaille manipulée par la subversion, d’un côté l’usure apatride et sans valeurs, de l’autre l’exploitation de toute la misère humaine, par la misère humaine manipulée par la première mâchoire. Le communautarisme trouve ici son lit d’infortune dans le plus grand mépris du Peuple d’accueil, où l’on voit certains considérer leurs lois spirituelles allant au-delà des lois de la République. Mais de quelle République parlons-nous, lorsqu’on voit qu’elle est le refuge de tout ce qui prône une dictature universelle sous la loi du mondial socialisme ? Il n’y a pas plus de République en France que de Droits de l’Homme, mais bien au contraire un asservissement total de sa population aux vues de l’atrophie mentale la plus inique et la plus cynique, une bestialité qui cache ses menstrues sous les glauques venelles de ses prétendants au pouvoir et de celles et de ceux qui sont actuellement au pouvoir acclamés par 10 pour cent de notre population, cette population communautariste qui vote à bras levé pour son souci de désintégration.

Nul n’est dupe de cette erreur de la nature idéologique qui se commet, nul n’est dupe de la tentative de remplacement de notre Peuple par des esclaves attitrés, nul n’est dupe du rejet de notre Identité, de nos racines bio géo historiques, par cette larve fétide manipulée par l’usure qui préfère voir dans l’immigration massive une chance pour la France alors que le solde de cette immigration, je le répète est négatif de quatre-vingt-quatorze milliards d’euros, nul n’est dupe de voir les prestations familiales déversées dans un trou sans fin vers cette misère qui mendie à notre porte, s’installe et s’octroie plus de droits que n’en ont les Françaises et les Français, naturalisés ou non, nul n’est dupe de cette prouesse de la fondation franco américaine de vouloir asservir notre Peuple aux commanditaires d’un gouvernement des USA totalement entre les mains des usuriers, nul n’est dupe de ce totalitarisme de la médiocrité qui s’instaure, de cet art débile, de cette culture ridicule, de ce mélange hideux des cultures, de cette indécence triviale d’un nihilisme persistant s’imaginant le maître de ce monde.

Les Françaises et les Français qui ont toujours été la locomotive de l’élévation, doivent faire disparaître à jamais cette dérision qui trône, en la renvoyant dans ses loges noires qui seront surveillées de très près, afin de continuer à implanter des plans sur la comète de leur religion universelle qui est celle de la destruction et dont les sommets sont ses reptations devant la mort. De chaque Nation Européenne, lentement mais sûrement, naissent les anti corps de cette scorie qui pourrit le monde depuis 1645, de cet abrutissement qui se veut créateur lorsqu’il n’est que destructeur, voyant la folie le maître mot s’emparer de pouvoirs sans contre-pouvoir, bouillie de chat infecte et perverse qui non content d’asservir, injurie copieusement quand elle ne cherche pas à détruire, comme on le voit pour la Russie actuellement, et non seulement la Russie, mais la Syrie, et les Nations qui lui résistent.

Les anticorps se précisent dans des mouvements nationaux qui ne peuvent être déclinés par les ismes qu’enchante cette boue, car ces ismes sont de sa représentation, de sa bestiale inharmonie, de sa délirante certitude, de cette aberration que de pauvres Êtres Humains acclament, allant même plus loin que ses ritournelles, dans l’injure des propos. Nous y sommes parvenus à l’injure, et il n’est que de voir les sémillants valets serviles de cette puanteur s’en prendre aux partis Nationalistes en les traitant de populistes, les voir s’égarer pour des vérités établis les mettant en difficulté – on est ébloui par leur discours sur le vichysme où toute la gauche et notamment le socialisme était parfaitement représenté, on n’oubliera pas Mitterrand à ce sujet, on est ébloui de voir culpabiliser les Françaises et les Français pour des actes barbares qui sont nés du socialisme, qu’il soit national-socialiste ou communiste, ses petits frères en cour -, il est temps de cesser ce genre d’invective et de rendre à César ce qui appartient à César et se débarrasser à jamais dans la légalité, par vote, de ces caciques acculturés qui se prétendent des « élites ».

Les Peuples, seuls peuvent se dégager de cette outrance, l’aristocratie n’existant plus de par ce monde de roturiers, de parvenus, d’apatrides, l’aristocratie étant totalement inféodée à cette mouvance par mariages consanguins dont on nous fait la réclame lors d’une naissance ou d’un mariage, comme si cette entité avait encore une aura, alors qu’elle n’est plus que l’ombre d’elle-même, des magistères mariés à la fripouille qui s’accroît et tend le cou comme une ombrelle digne de Bécassine.

Les anticorps sont dans les Peuples eux-mêmes, la nature régissant les réactions permettant à la Vie de ne pas sombrer dans le désert de la mort, de cette déliquescence triviale qui voudrait ne voir que cinq cents millions d’esclaves au service de la puanteur intellectuelle alliée à la folie, qui se veut dominante. Les anticorps sont en mouvement et rien ni personne ne pourra les arrêter, car ils défendent les racines de la Vie qui ne sont pas unique mais multipliées à l’infini, n’en déplaise. Et ce ne sera ni la réécriture de l’histoire par les féaux, ni même la dictature de la pensée qui y changera quelque chose. Il est trop tard pour les menteurs, les troqueurs de réalité, les subversifs dans tous leurs états dans tous les partis en table gigogne qui s’ébaudissent de leurs propres applaudissements, il est trop tard pour les hypocrites et les belliqueux, les malades qui s’imaginent le propre de la spiritualité, lorsqu’ils ne sont que les échos d’une spiritualité qui ne concerne pas Dieu, mais leur propre ego, leur dimension relevant de l’apoplexie et certainement pas d’une métanoïa concertante.

Les leurres tombent un à un, et se découvre la bestialité de celles et de ceux qui les enfantent et les ont enfantés, se cachant derrière des lois iniques pour taire les racines mêmes de la mort et de ses ferments, cette faculté arbitraire de se croire pinacle alors qu’on n’est que poussière, une poussière d’étoile et rien d’autre. Pauvre demeure de participes sans évolution ni élocution, dont la morgue est le reflet de la pure incompétence, de cette reptation à une science inexacte qui piétine dans son affairisme, de cette reptation à ce qui n’est en aucun cas Dieu, et encore moins le Christ, mais un transfert de sa propre déréliction, de cette reptation à l’insane dans le domaine de l’Art Royal qui est l’Art politique par excellence, réduit à l’encaissement personnel au mépris de l’intérêt général, de cette reptation à l’infect dans le cadre d’une théorie né d’esprits atrophiés que l’on nomme le genre, de cette reptation à l’innommable qui veut ne voir qu’une seule tête, une seule couleur, une seule racine, jusqu’à s’inventer une naissance générique, qu’on leur laisse, dans un continent inexistant lorsque parurent les Êtres Humains, reptation, reptation encore dans la réécriture sordide mettant en valeur les méfaits de leur cause.

Cette reptation se cherche, se coagule, s’initie dans la tromperie, sous les regards des prébendiers qui veillent, cette reptation s’invente et se charrie, dans le cadre de cette « pensée unique » qui est le sommet de l’acculturation, une « pensée unique » sans odeur ni saveur qui telle une truie se roule dans la fange, sa propre fange qu’elle voudrait le sommet ultime de tout un chacun à travers ce petit monde, masquant sa puanteur, délivrant ses sarcasmes, une truie de connivence qui lentement bruit son chemin, sous la houle propice de son idéologie mortifère, voyant ce jour le gouvernement des USA se rapprocher de Cuba, oubliant bien entendu celles et ceux qui croupissent dans les geôles de cette Nation, tout simplement pour avoir osé défier l’idéologie communiste, cette petite sœur du socialisme.

Les  anticorps face à cette volonté qui se voudrait impériale, mais n’est pas César ou Napoléon qui veut, se mettent en ordre de bataille, voyant la multipolarité se gréer, voyant les partis nationalistes lentement mais sûrement se mettre en marche, afin de juguler cette prétention sans fin de cette couardise, car il faut bien être couard pour ne pas accepter de regarder la réalité en face, dans ses différences, dans ses multiples identités, dans ses multiples racines.

Pendant ce temps hurlent à la mort les prétendants de cette volonté nous voulant esclaves prosternés à leur traîtrise, et ces hurlements sont de très bons augures, car ils prouvent qu’ils sont en fin de course, et qu’aux abois ils cherchent par tous les moyens à implanter les sillons de leur pourriture idéologique. Face à ces moyens, il convient non pas de défiler bêtement, ce qui ravit la subversion, mais bien d’éliminer de tous les votes ses prétendants, ses aficionados, ses commissaires politiques, toute cette permanence suant le vol, le viol et le crime, que rien, ni personne ne pardonnera.

Aux moyens, les remèdes, la restitution ni plus ni moins du réel, des racines, des familles naturelles, de l’identité, de la Patrie, de la Nation qui se doit d’être souveraine afin d’œuvrer à la prospérité de l’Humanité et non à son bêtisier. Le combat de la Vie en la Vie et par la Vie ici se dresse pour toutes générations qui se respectent et se font respecter, un combat que rien ni personne ne pourra détruire, car immanent à la faculté de chacun de se prononcer pour des élites réelles et non des marques de savonnettes qui suent la compromission et ne lavent rien, mais détruisent tout.

La méthode ? Les Lois, et uniquement les Lois, des Lois au service du Peuple et non de l’errance et de ses grimoires, de sa théurgie ridicule et consommée. Des Lois de restructuration éliminant tout ce qui bride la Liberté de penser, la Liberté de créer, la Liberté de vivre dans sa Nation en tant qu’être libre et non enchaîné aux gloses stériles des communautarismes qui se veulent invasifs, communautarismes religieux sans aucun respect pour la religion traditionnelle de notre Nation, communautarismes d’affairistes et de valets de loges avariées et de sociétés de pensées destructrices, communautarismes sans aucune valeur au cœur de notre France une et indivisible sur laquelle crachent les tenants et les aboutissants précités, hurlant à la mort de notre souche multimillénaire qui ne leur doit rien, strictement rien, sinon qu’un chômage de masse, un asservissement à ce qui n’est pas la France et ne le sera jamais, un vol qualifié de toutes les ressources sociales économisées par le Peuple de France dilapidées pour nantir un droit du sol inexistant ; à ce sujet il suffit de regarder les Nations portant les exogènes vers notre propre Nation pour voir qu’elles au moins se font respecter.

Quant aux ismes, inventions de toutes pièces des arguties qui défèquent sur notre histoire millénaire, il convient de les ajuster à leurs propres actes historiques pour en défaire à jamais les litanies et les empressements. Les Lois iniques qui cachent ces actes devront être abrogées, car enfin, un Être qui se respecte et respecte autrui, n’a besoin d’être enchaîné à des lois qui sous le prétexte de protéger telle ou telle communauté déclarent par là même que ces communautés sont au-dessus des lois, ce qui est un comble, un comble dont profite sans sourciller la manifestation desdites communautés. La Loi est égale pour tous et ne doit pas brider la majorité au profit de minorités quelconques. Je parle ici d’un respect multilatéral qui doit être appliqué, où l’on ne verra plus jamais le sordide s’emparer des ondes, tel ce « nique la France » et bien d’autres ordures nées de la dilution des esprits dans le venin du mondial socialisme qui est l’outrage permanent, l’indécence permanente, jusqu’à oser prendre sur les maigres retraites afin de nourrir toute la misère du monde qui profite sans jamais n’avoir travaillé en France de ladite retraite !

C’est une honte qualifiée au regard de la retraite de nos agriculteurs, au regard de la retraite des femmes de commerçants que l’on se hâte de faire crever dans des « maisons de retraite » ou que l’on pousse au suicide. Voici cette société dont l’élan populaire doit se débarrasser à jamais, une société de mort, car mortifère par essence où le pouvoir usurpé triomphe sur la destruction de tout ce qui est, pour remplacer le tout par une boue glauque, puante à souhait de compromissions, d’acceptations, de larbinages, de prévarications, de traîtrises, au profit d’une caste de décadents qui ne méritent aucun intérêt lorsqu’on place l’élévation de l’Être Humain au premier plan, et non son asservissement.

L’Ouest n’a plus du tout le privilège de cette élévation, mais à saturation dans ses empyrées, bien au contraire le souci de la destruction. Destruction manifeste par ces guerres sans fins dans les Pays du Moyen Orient qui ne se plient pas à sa politique mafieuse, jusqu’en Ukraine afin d’ouvrir un front avec l’Est, agitant ses mercenaires djihadistes en Tchétchénie, et en Chine dans le pays Ouïgour. Il n’y a que les aveugles pour ne pas voir cette haine de cette gouvernance compassée qui de ses bureaux directoriaux financiers et bancaires agite les pantins politiques pour les pousser à la guerre totale contre les Nations qui se respectent et se font respecter.

Et en matière de pantins politiques, nous sommes servis dans notre France asservie ! À trop vouloir, cette clique est désormais à la vue de tout un chacun et que tout un chacun tire les conséquences de ses actes citoyens pour s’en défaire. Ce n’est pas plus difficile que cela, sous la réserve de résister consciemment à la propagande insidieuse réduisant l’Humain à un débile qui acquiesce à tout lorsque l’illusion paraît. La manipulation des masses n’est pas si facile que l’on pourrait le penser, et ce ne sont les slogans, la vingt-cinquième image, en fait utilisée par la presse pour vendre par exemple les pantins de la fondation franco américaine comme elle l’a très bien fait avec le premier qui dirige, la dissociation cognitive issue d’une nourriture pourrie, de vaccins avariés, d’épanchements sauvages d’aluminium, de baryum et autres saloperies, qui y changeront quelque chose, car il y a une chose que ne peut atteindre la manipulation, c’est bien l’Être Humain individualisé qui ne se couche pas devant ce terrorisme intellectuel qui se voudrait maître.

Car n’oubliez jamais qu’à la base de la subversion se situe le terrorisme intellectuel, un gribouillis de mensonges, une métastase nihiliste, un cancer de l’intelligence qui voudrait tout submerger, mais qui ne le pourra jamais confère la pensée des Êtres libres dont l’intelligence se multiplie et non se soustrait dans le cadre de la masse. Ces Êtres libres, nous les retrouvons dans toutes les Nations, dans toutes les Institutions, dans toutes les associations, et il ne tient qu’à eux de reprendre tous les pouvoirs usurpés par le clientélisme de l’usure destructrice. Cela vient, et comme je le disais précédemment, c’est bien pour cela que la haine subversive s’attaque continuellement aux Peuples qui restent immuables et imperméables à ce sabotage, cette outrance, cette connivence des fats et des sots, jusqu’à voir ce qui doit unir exprimer la pensée profonde de cette haine à la face des Peuples, comme on le voit dans notre Nation, déguisée par les haillons de cette impermanence qui disparaîtra comme neige au soleil lorsque son Peuple aura compris à quel point il est berné, tronqué, humilié, par une atrophie incommensurable qui redresse le menton et dont la morgue se cache sous des apparences trompeuses, obséquieuses, mains moites de la transpiration des traîtres qui se parfument avec le sang de notre Peuple, avec la sueur de notre Peuple, sangsues immondes qui ne respectent rien, sinon les trophées de la destruction qu’elles acclament.

À chacun de faire l’analyse des invectives et des injures lancées contre le Peuple de France, contre ses régimes sociaux carbonisés par la tentative de son remplacement par des esclaves dévoués, contre sa population de souche qui n’a de leçon à recevoir de cette incurie et à qui il doit rendre un mépris souverain, le mépris pour l’usurpation, le mépris pour sa caste induite qui ne dévoile sa réalité, celle de son propre asservissement à l’usure et ses féaux, qui n’est pas là pour défendre le Peuple mais bien pour le terrasser et le détruire.

On voit ses fripouilles en action sur tous les fronts, en Grèce, en Italie, en Espagne, au Portugal, sous les yeux doux d’un quatrième Reich qui se voudrait maître de nos Nations, mais qui ne le sera jamais en mémoire de nos morts, en mémoire de ces combattants qui ont vaincu une source des ismes, le national-socialisme, bien plus tard le communisme, que les vivants doivent honorer en combattant désormais cette hydre malsaine qu’est le mondial socialisme, une dictature inouïe et barbare qui ne dit pas son nom, une dictature qui met en avant ses pantins dociles, tenus par leurs testicules ou leurs actes effroyables, où l’affairisme qui les lie, et qui se présentent devant nous, l’invective à la bouche, le regard torve, les lèvres tordues par une haine incommensurable, en croyant un seul instant faire peur, mais qui a peur de ces pantins ? De ces baudruches que l’on nous vend à coups de presse avariée, de télévision suces queues, de radios croupies ?

Personne qui se respecte et se fait respecter, personne qui respecte autrui et se fait respecter d’autrui, personne qui respecte sa Race et la fait respecter, personne qui respecte son sexe et le fait respecter, personne qui respecte sa famille et la fait respecter, personne qui respecte sa région et la fait respecter, personne qui respecte sa Nation et la fait respecter !

Lorsqu’on voit un polémiste objet du terrorisme intellectuel de ces ignobles sous-merdes à la solde de l’usure, l’anus béant sous leurs coups de semonce, on ne peut qu’être outré par cette terreur intellectuelle qui se veut dominante, une terreur qui ne vit que pour le mensonge, par le mensonge et dans le mensonge. Des mensonges qui explosent les uns derrière les autres, et qui dévoilent à nu une vérité bien cachée, une vérité bien dissimulée, que n’importe qui ce jour peut mettre en valeur en faisant quelques recherches simples sur cette toile que voudraient bien brider les donneurs de leçons, ces petits pieds qui réécrivent notre Histoire, ces pâles copistes qui suent leur compromission, ses recteurs bien en loges qui s’imaginent le centre du monde mais qui en réalité ne sont que des caciques qui trônent sur l’ignorance.

Cela fait du mal à ces pauvres chéris dont l’idéologie a sur la conscience plus de cent cinquante millions de victimes, dont soixante millions de Russes ! On ne voit guère paraître cette réalité dans les livres que l’on ose appeler d’« histoire » remis à nos bambins. Cela viendra n’en doutez un seul instant, car le subterfuge ne dure qu’un instant, et toute décadence est suivie d’une renaissance, et cette renaissance balaiera à jamais dans les poussières de l’histoire la tentative de quelques cases d’usurper le pouvoir par toutes Nations pour fonder sa dictature universelle. Les médiocres sont dans le mensonge et ils tartinent de confiture leur acculturation grandiose. Les faits, les faits encore les faits, les actes, les actes encore les actes, référez–vous à cette double trilogie pour mesurer l’incapacité grouillante qui commence à s’essouffler et hurle contre toutes celles et tous ceux qui osent prendre la parole pour remettre les pendules à l’heure, quand ils ne les assassinent pas comme on l’a vu pour l’un des majors économiques qui contre la volonté de l’usurpation gardait son amitié pour la Russie.

Le cas de ce polémiste que personne ne peut taxer d’un isme quelconque – quel malheur pour les communautarismes belliqueux -, est un symbole, et ce symbole de la pensée doit tout de suite être «lapidé» - c’est comme cela que l’on dit au Moyen Orient – ce qui prouve bien là la mainmise de la terreur intellectuelle sur tous les outils de la pensée. Tel n’est pas le cas. Que l’on se rassure. Nul n’est prophète en son Pays, mais des centaines de millions de voix s’élèvent pour le défendre, non sur les ondes viciées et cannibalisées par la subversion, mais sur la toile permettant à tout un chacun d’élever son degré d’acuité tant sur la vie politique, intellectuelle, que spirituelle.

Rappelez-vous qu’il suffit à chacun d’oublier ses « journaux favoris » sa chaîne de « télévision », sa modulation de fréquence, pour enfin respirer le grand large de la connaissance, une connaissance qui n’est plus bridée, dénaturée, vilipendée, émasculée, une connaissance qui comme un vent vivifiant traverse la Terre à la vitesse de la Lumière et se répercute comme un boomerang à la face nauséeuse et congestionnée des satrapes illuminés qui veulent guider la pensée dans leur terreau acculturé. L’information c’est le savoir, et c’est dans et par ce savoir le pouvoir, le pouvoir de dire non à cette ingérence étrangère qui conditionne notre Nation, agitée par les valets de ses sociétés de pensées, toutes dévouées à la cause du mondial socialisme, le pouvoir de dire non à cette tentative de délitement de notre société par le remplacement de son peuple par toute la misère humaine – que l’on peut aider dans ses propres Nations à la condition que cette misère ne se contente de son asservissement mais se dresse contre les prévaricateurs qui l’obligent -, de dire non à l’humiliation, l’invective, l’injure continue des sbires dont les fraternelles sont préludes à l’enfer dans lequel ils se sentent si bien, incapables sont-ils de se dresser sur leurs jambes et préférant se réfugier dans le giron matriciel aux fins de mieux se perdre et perdre autrui, de dire non à toute cette flatulence, cette corruption, cette décadence, ces moules invasifs, ces cohortes de si peu de nombre qui veulent faire de la France les égouts de ce Monde.

Ce pouvoir est entre les mains de chacun, et chacun doit en prendre conscience, et non s’humilier dans des repentirs et des flagellations usurpées qui n’ont rien à voir ni avec notre Histoire, ni avec nos familles, ni avec nos racines, ni avec notre Nation, ni avec l’avenir de ce monde. Cet avenir doit se construire et il n’est point d’avenir dans le mondial socialisme, pas plus qu’il n’y en a eu dans le communisme et le national-socialisme, ses petits frères. À chacun sa voie, mais la voie de chacun n’est plus une houle à travers ce monde, mais bien une vague haute qui bientôt sera un tsunami que rien ni personne ne pourra arrêter, et ce ne sera pas faute pour bien des nombres d’en indiquer les prémisses. On perçoit que 2008 n’aura servi de rien au regard de ce qui se passe actuellement, les années futures risquent d’être pénibles pour les oublieux qui s’imaginent que les Peuples vont continuer à subir leurs avanies, mais cela sera leur problème et en aucun cas celui de celles et de ceux qui se respectent et se font respecter. »

La vague est en reflet sur cette petite Terre, et comme toute vague, elle viendra les côtes, fussent-elles sauvages ou tendres, oublieuses ou vertueuses, espérons qu’il existe encore des Êtres de bonne volonté qui éviteront qu’elle prenne mesure d’un tsunami impétueux qui ne laissera derrière lui que poussières et débris.

© Vincent Thierry