Des lois abrogeables

Des lois abrogeables

 

Des nouvelles de cette petite Terre où rien ne va plus dans cet îlot que l’on nomme la France, qui fut la lumière de son temps et qui ce jour est l’ombre la plus glauque de ce monde, mais lisons :

« Et voici que la haine de la France et des Françaises et des Français rentre en force dans l’arsenal juridique de notre Nation : y déteignent désormais les règles de la charia, cette loi inapplicable dans notre Pays, qui désormais par la bande commence à verser dans l’islamisme le plus radical. Que l’on se rassure les lois sont faites pour être abrogées, et devront être abrogées toutes les lois profitant à des minorités qui se croient reines dans notre Nation, et cela sera fait, car on ne peut mélanger impunément les genres sans déclencher l’ire naturelle envers celles et ceux qui ont commis ce parjure comme cette traîtrise.

Mais cela ne suffit pour cette subversion, elle va taxer les impôts des Françaises et des Français d’environ 1,6 milliard d’euros, montant que réclame, à bon droit la Russie, pour la non-livraison des navires de guerre construits par nos ouvriers. Et cette subversion de voir annuler le contrat passé avec les Indiens concernant la livraison de rafales ! La perte sèche pour notre État est impressionnante, mais bien entendu les radios ne parlent que de moins payer alors que ces milliards sortiront du portefeuille asséché par les impôts, pour nourrir toute la misère humaine, des contribuables de souche, car n’attendez un centime de la part des hordes invasives si bien accueillies pour servir d’esclaves à moindre coût à un patronat du dix-huitième siècle qui ne pense que profit et en aucun cas intérêt de la Nation.

Cette idéologie domine dans une acculturation profonde, se vendant comme une prostituée à ce qui ne sera plus rien géopolitiquement demain, un Moyen-Orient dont les réserves de pétrole n’intéresseront plus personne, le pétrole aujourd’hui se retrouvant sous la banquise, dont il tarde qu’elle fonde, afin d’être libéré des islamistes de tout poil qui viennent jusqu’à squatter nos plages dans le déni du droit le plus total. On appelle cela faire de la politique, cette agitation décérébrée digne de celle de l’Espagne de 1936, voyant les églises incendiées, les nonnes déterrées et empalées, les soldats réguliers les testicules tranchés, par la lie de l’Humanité, cette internationale socialiste puant la mort et le génocide qui aujourd’hui parade dans les pouvoirs.

Ce sida ronge nos institutions et nous devrons, en républicain, attendre qu’il termine son mandat pour enfin être délivré de sa pestilence rouge brune, de cette infection virale n’ayant que haine des Françaises et des Français, lui préférant toute la morgue de ce qui n’est pas la France et ne le sera jamais, et pire encore, comme un toutou docile, obéissant à des États-Unis qui désormais foncent casaque en tête pour revenir à de bons sentiments envers la Russie comme avec l’Iran, ce que ne suit pas la France ayant toujours vingt ans de retard sur ce pays. Cela risque d’être long pour notre Peuple, qui, souhaitons-le se réveille lors des prochaines échéances pour vider le pue qui obstrue les poumons de sa Nation. Les adjectifs ne sont mêmes pas circonstanciés tant la vilenie est le propre de cette infection, moisissure profonde dont l’intellect n’atteint pas celui des primates, si tant en admiration devant la verroterie qu’on lui jette comme à des chiens, et dont elle se régale, dans le mépris le plus total de ce qu’elle doit gouverner. Et cela s’imagine une République !

Tout juste une oligarchie de valets incultes se vendant aux plus offrants, et pire encore, dans la traîtrise et la félonie absolues, dilapidant nos territoires au profit de puissances étrangères, dilapidant les ressources des caisses de retraites, de sécurité sociale, d’allocation familiale, pour soigner le monde entier, sauf ! Sauf les Françaises et les Français ! Cette honte voit les échéances approcher et précipite son mouvement subversif, hâtant ses reptations, se roulant dans la fange de la domesticité, parjure à tout ce qui a fait la France et continuera, n’en déplaise, à faire la France, avec son armée hirsute de minables économistes, de philosophes de pacotille, d’artistes délétères, tout un aréopage de fumistes qui se régalent à la table de celles et de ceux qui usent et abusent des ressources de la France, qui pour aller voir un match de football, qui pour aller «cérémonier», aux deniers de l’État, avec la clique des parvenus qui enrichissent leurs prébendes.

Ce souk innommable perdure et ne durera que le temps des futures élections, et il aura beau quêter des électrices et des électeurs nouveaux venus, estampillés France sans même y avoir vécu, que cela ne suffira pour que sa déroute soit totale et serve d’exemple pour les générations à venir de ce qui ne convient en aucun cas au pouvoir d’une Nation, quelle qu’elle soit : la subversion, la félonie, la traîtrise, le déshonneur, la bestialité outrageante, la morgue infatuée de ce qui ne représente en vérité que l’atrophie. Une atrophie usuraire, n’en doutez un seul instant, de petits comptes qui grossissent à l’abri des regards dans des paradis fiscaux qui ne sont pas nettoyés, des petits portefeuilles, n’en doutons pas qui s’élargissent des deniers du crime, de la drogue, du trafic d’organes, si peu de choses étant faites à cet égard, qu’on peut se demander s’il n’y a pas collusion, une collusion énorme, et ce depuis des décennies, où l’on a pu voir dans certains cas s’enrichir certains personnages au rire gargantuesque et bien d’autres de par cette clique vérolée qui se voudrait morale alors qu’elle en est son inverse.

Une clique de barbares envoyant se battre nos soldats sur des terres où ils sont accueillis et tués par des armes qu’elle livre aux ennemis jurés de la Liberté. Il n’y a que les aveugles pour ne pas voir, mais lorsqu’on voit ne serait-ce que l’infiniment petit, vécu dans les communes, dans les départements, les régions, cet abandon progressif de toute souveraineté au profit de la déshérence sur laquelle s’implante la religion de la soumission, qui n’a rien de la France et ne sera jamais la France, il faut comprendre qu’il y a plus que quelque chose de pourri dans ce royaume de la médiocrité ! Ce qui, n’en doutons pas, fait le régal de celles et de ceux qui ne veulent plus de Nation souveraine, qui veulent se métisser à souhait dans la fange et devenir le vivier d’esclaves nécessaire à la pure barbarie qui tire les ficelles dans le secret de banques anonymes qui voudrait être régalien de la peau des Peuples, comme il l’est en attisant les guerres, comme il l’est en réduisant en servage des Nations entières.

Il est temps que les rampants de cette parodie soient exclus de la vie publique, et nonobstant cette exclusion par des votes de salubrité publique, soient mis aux bans de la Nation, pour félonie, et déchus de leurs droits civiques. Les traîtres dans notre Nation se comptent par milliers, ils sont la colonne vertébrale de l’invasion que nous subissons, de la dénaturation de notre Histoire multimillénaire, de notre tentative de culpabilisation du matin au soir par l’intermédiaire de leurs médias ridicules, suant la sous intelligence qui les dompte par l’argent et en aucun cas par l’intelligence, car l’intelligence ce n’est pas l’argent, que l’on ne se trompe. Les caricatures vomitives qui sont là à se trémousser les fesses avec le plus grand mépris pour les honnêtes gens qui n’ont pas de montre à cinquante mille euros au poignet, ou qui veulent faire voyager en bus les indigents devenus de notre France, au motif que l’État nourrit la terre entière et en aucun cas le Peuple de France, ou qui stipulent qu’un sans domicile fixe qui n’a pas réussi à mettre quinze cents euros de côté est un minable, ces caricatures ne représentent rien, strictement rien dans l’évolution de la vie, bien au contraire ils représentent l’involution par excellence, se cachant derrière leurs petits avoirs volés le plus souvent dans une guerre économique qui ne dit pas son nom, pour faire accroire à une quelconque intelligence, alors que l’intelligence voudrait qu’ils aident en priorité les dix millions de pauvres, je dis bien de pauvres en France, Françaises et Français de souche, qui ne touchent rien de l’État larbin, alors que n’importe quel étranger n’ayant jamais travaillé en France, au motif qu’il a soixante-cinq ans touche au minimum plus de sept cents euros, pillés dans les caisses de retraites des cotisantes et des cotisants Français !

Cet État n’est plus que l’ombre de lui-même, souillé par la prostitution du socialisme ridicule qui y sévit, cette chose qui voudrait faire croire qu’elle vient du peuple alors qu’elle en est son néant le plus total, un néant qui pour préserver ses petits besoins brime les libertés publiques, emprisonne la pensée dans la boue répugnante, de sa  belle idée ! La «république universelle», qu’il convient d’appeler la dictature universelle, aux bans d’honneur d’une maçonnerie avariée qui n’a d’autre but que la destruction de tout ce qui existe pour instaurer son régime de médiocre ! L’intelligence, ne la cherchez en aucun cas dans ces ramassis de jaloux et de haineux, de proscrits de la vie qui n’ont que la haine d’eux-mêmes, une haine qu’ils transfèrent sur leurs administrés, un transfert classique pour celles et ceux, qui, incomplets, se complaisent dans leur déjection intellectuelle, physique et morale.

À tout le moins, un Roi ou bien un Empereur aurait écrasé cette impertinence, remisé à l’encan cette pestilence, et redonné un souffle d’air au Peuple dont les membres ce jour subissent un sort bien plus horrible que celui du serf ou du vilain, celui d’esclave attitré qui doit avorter et être euthanasié sur commande, par des tribunaux meurtriers qui sont bien là, la mesure de la justice instaurée par ce régime abject qui sévit. Ils et elles de cette caste se font gloire de leurs honneurs qui ne représentent que le déshonneur le plus effrayant, celui de la destruction, ils et elles se complimentent de leurs méfaits comme des mafieux après leur crime, ils et elles sont les venelles obscures de cette tentative de broyer le pouvoir du Peuple pour offrir à ce même Peuple des « sages » d’occasion, des larbins autorisés qui masquent leurs maîtres financiers, qui se cachent par les portes dérobées où ils entassent le fruit de leur ignominie, des centaines de milliards d’euros issus de l’usure, des centaines de milliards qu’ils pompent avec la colonne vertébrale de leurs serviteurs, ces serviteurs qui vont en génuflexion à la City, ces pauvres personnes atypiques qui ont juré de se battre contre la finance et à qui ils montrent leur postérieur.

Nous sommes actuellement dans l’égout de  la France, comme d’ailleurs toutes ces Nations qui se sont livrées pieds et poings liés à cette europe bubonique et barbaresque, byzantine à souhait, qui ne représente en aucun cas les Pays Européens, mais les intérêts conjugués de banquiers versatiles qui misent sur les uns et les autres afin de mieux accaparer la richesse de ce monde, une richesse qu’ils usurpent en s’en cachant bien entendu, une richesse qui doit revenir aux Peuples et non être déférée dans la génuflexion à quelques personnages libidineux qui voudraient faire la Loi dans ce monde.

Le monde n’appartient à personne, et la vie individuelle encore moins. Lorsqu’on entend un sbire prononcer que le collectif est tout et l’individu rien, on ne peut qu’en rire, de combien donc de cannes a besoin ce personnage pour marcher ? Tout est à l’avenant. Le plus stupéfiant c’est de voir que les Peuples, amorphes, endormis par la pourriture bolchevique déversée du matin au soir sur les écrans et par les radios, semblent muets. Comme le disait Charles de Gaulle, un Peuple qui a perdu son intelligence n’est pas digne que l’on combatte pour lui. Fort heureusement, la réaction se fait entendre et commence même à prendre corps dans le parti janusien qui ose se prétendre républicain. Mais ne nous y trompons, non plus, ce type de réaction du parti janusien ne peut être que provoqué afin d’attirer des voix qui le délaisseraient en écoutant les « faux » prophètes, les partis de la Nation. Ce leurre est tellement coutumier et a tellement fait son temps qu’il ne faut lui réserver qu’une indifférence totale.

Qu’à fait la gouvernance depuis la décapitation d’un de nos concitoyens sur notre sol par l’islamisme radical ? A-t-elle investi les zones de non droit ? A-t-elle retiré leurs armes aux islamistes ? A-t-elle stoppé le trafic de drogue qui sert de pilier pour financer les groupes de plus en plus nombreux qui y sévissent ? Rien, bien au contraire elle se met à genoux et se rend ainsi complice de cette horreur. Nous n’avons rien à attendre de la subversion, elle a toujours gouverné en instrumentalisant le sang des Peuples et en répandant ce sang soit par génocides, soit par guerres outrancières, et elle continue à le prouver en tentant délibérément de mettre fin à l’Histoire, avec un H majuscule, pour se glorifier de son historiette de meurtriers en puissance qui ont souillé le sol de France dès 1789.

Patience donc pendant ces vacances méritées avant de reprendre le licol de celui qui n’entend rien, ne voit rien et ne dit rien, devise que cherche à mettre en place la panurgique essence de la subversion haletante. D’autres jours viendront, des jours qui réduiront à l’infiniment petit ce qui est infiniment petit, virus contre lequel il convient de se battre dans la légalité la plus totale afin de faire jouer les anticorps qui protègent le corps social, le corps social étant comme le corps humain, ne l’oublions jamais. Espérons que le Conseil Constitutionnel rejette cette loi inique islamique de nos Lois, mais c’est là trop demander me semble-t-il quand on voit le degré de sclérose et de dépendance atteint par l’idéologie qui se veut règne de toutes Institutions. »

Voici l’exemple typique de l’invasion programmée, du remplacement de Peuple par d’autres Peuples, par l’intermédiaire de la Loi. On ne peut être qu’attristés de voir cette lamentable erreur s’initier dans les floralies humaines qui ne doivent en aucun cas disparaître, car elles sont les unes les autres complémentaires, et si demain voit leur dégénérescence dans un métissage forcé, on peut s’attendre au déclin du Vivant sur cette petite planète, une seule tête, une seule politique, une seule idéologie, et il en sera fait de l’Être Humain, qui disparaîtra dans le glauque et la boue qui cherchent à l’enserrer.

® Vincent Thierry