La racine du mal
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La racine du mal
Petites nouvelles de cette petite terre où l’on vient de voir le mensonge et la propagande se révéler comme jamais, induits par des « choses », qui depuis des millénaires bafouent le sens de la vie en ce lieu. Mais lisons :
« La racine du mal se situe sur cette île perfide que l’on nomme l’Angleterre, petit nid de saxons sanguinaires qui l’a conquise en massacrant ses peuples autochtones, et institué leur royauté basée sur le crime, le sang, l’ordure, si bien décrit dans les pièces d’un auteur célèbre, qui, lui, avait déjà tout compris de cette maladie rongeant le pouvoir de sa Nation. Qui se ressemble s’assemble, on voit avec l’arrivée du dictateur financé par l’usure, en 1645 se déverser la haine de tout ce qui existe, au nom d’une pseudo-religion les bûchers se dresser, et dans une tour infernale s’occire les quelques défenseurs d’une vision Chrétienne de ce Pays, désormais entre les mains de la putrescence associée à l’esclavagisme le plus cruel que cette terre ait connue, celui de la crasse intellectuelle et de la médiocrité associée régissant désormais, au motif de son usurpation du pouvoir par l’intermédiaire de ce secteur, que l’on nomme bancaire aujourd’hui, qui est le terreau de tous les maux de la Terre.
Depuis cette date fatidique, l’île en question est gouvernée par cette malfaisance faisant courber l’échine de ses reines et de ses rois qui doivent se rendre dans son bastion, la City, tels les bourgeois de Calais, la corde au cou, bien en reptation devant ses maîtres ignorants tout de l’humanité. Première étape de son couronnement la mise en servage des Nations par le développement d’une flotte cruelle destinée non pas à conquérir et amener la paix, mais asservir par la trique des populations entières dévouées désormais au service de l’usure et de sa panoplie répugnante, organisant guerres et spoliations afin que leur commerce de canon ou de denrées ne périsse point et ne tombe surtout pas entre les mains de Nations comme la France, l’Espagne, ou l’Allemagne, encore moins la Russie, et tant d’autres. Viennent alors les idées de domination totale sur cette petite terre, issue d’esprits maladifs, instables et hystériques, créant leurs petites sociétés dites secrètes afin de pervertir dans un premier temps les armées déployées sur tous les continents, puis les petits pieds d’une bourgeoisie en mal de pouvoir, en incorporant par le mensonge et la duplicité les castes régnantes afin que leurs crimes et leurs souillures commis dans ces dites sociétés deviennent les chaînes par lesquelles leur obéissance devient absolue.
Ainsi le premier règne à tomber après celui de sa propre Nation sera la France, corrompue par l’outil de l’usure, pendant dans l’obséquiosité et la vindicte dans tous les pouvoirs où se gargarisent les immondices du libertinage, de la pourriture et de ses miasmes. On y verra rapidement s’y joindre les religions toutes émoustillées dans le défroquage de se mêler à la puanteur des charniers. Incitation de la débauche regardée comme une valeur par la bestialité se voulant trône et n’ayant d’ores et déjà plus qu’un seul souci, celui de la liquidation de tout ce qui se dresse sur son chemin, et notamment le droit, et plus encore l’honneur, et mieux encore l’harmonie, toutes ces «choses » dont n’ont pas l’utilité les sous-humains qui s’acclimatent dans la fange.
La révolution éclate dans cette Nation scandée par les cris des innocents et des martyrs, voyant l’illustre invention de cette dantesque aventure marcher comme jamais, la guillotine, et lorsqu’elle n’est pas suffisante, la noyage, la fusillade, des femmes, des enfants, des vieillards, cela n’a aucune importance pour cette boue glauque qui se veut gouvernance, cette stérilité vivante qui affirme sa volonté d’établir la liberté, l’égalité, la fraternité, non pas pour le Peuple mais bien pour elle-même au nom d’un concept qu’elle ose appeler république alors que ce concept dans sa bouche n’est que le maître mot de son armée, une oligarchie au service de l’usure, une dictature qui ne profère pas encore son nom, mais cela viendra rapidement, dans le second millénaire, où l’on voit actuellement en son sein se dresser la caricature de l’humain, la bestialité dans toute sa splendeur, dont le mouvement est le fumier le plus éloquent du vice, de la fortitude, de l’ignominie, de la pédophilie, que cette Nation ait eue à connaître.
La vermine grouille et s’étend, Bonaparte tente d’y mettre fin, mais finalement se plie à sa domination dans une étreinte sanglante qui le verra lui-même condamné par ses mandants, ces usuriers jouant dans le caniveau empli de sang, des victoires et des défaites successives qui rapportent beaucoup d’argent pour son fumier qui glose à la City. Disparu du champ de bataille l’aigle verra la vermine y conduire des rois, pauvres rois, devant se plier aux sectes anglaises, un dernier empereur, une caricature conchiée par les décérébrés les gouvernant. L’immondice ici a trouvé sa cour, enchaînant toutes les vanités comme toutes les corruptions afin d’attraire tout un chacun dans une domesticité suant la mort, la sueur et le sang, dans l’érection d’un capitalisme sauvage auquel, leurre absolu, s’oppose un pseudo-socialisme dont les créateurs sont mandatés par les mêmes qui gouvernent cette infection vivante située dans cette réserve nommée la City.
Et les guerres succèdent aux guerres, toutes délimitées, tracées, préparées, exécutées par de pauvres gouvernances ignares livrant leurs enfants à la bestialité de l’immondice précitée. Guerre de l’opium, guerre contre la Russie, déjà, guerre de 1914,1918, décidée entre les saxons allemands et anglais dans le plus grand mépris des peuples, révolution de 1917 en Russie afin d’y liquider ce tsar se méfiant de la puanteur de l’Angleterre et ne voulant incorporer sa doctrine tributaire, guerre de 1939 où l’on voit cette finance avariée payer le mouvement National Socialiste, instruire ses faits d’armes, construire ses champs de morts, car enfin quelle belle guerre que celle-ci pour des marchands de canon, l’Allemagne contre la Russie, dont les roitelets sont eux-mêmes complices de cette City infernale, afin de liquider les prétentions allemandes, liquider l’expansion du communisme, mais surtout et avant tout liquider l’intelligence européenne afin qu’elle se mette au pas.
La création de l’État d’Israël n’est pas tout dans ce relief, c’est bien surtout l’anéantissement des particularismes européens qui sont visés ici, des valeurs multimillénaires qui doivent céder devant l’hégémonie de l’usure, que l’on ne s’y trompe pas, et on verra que cette hégémonie perdure dans les nations qui sont emprisonnées sous la botte de cette vermine, tel en France où les partis de la Nation sont proscrits. Ensuite de ces guerres ignobles on verra ce sous-produit de la bestialité régnant à la City, s’inventer une ONU entièrement à la solde, bien plus enchaînée à un satanisme de circonstance permettant d’établir ses règles et ses conditions, telles qu’on peut les voir mises en œuvre dans le cadre du fonds monétaire international qui ne prête que sous condition de reptation. Qui est le maître du jeu ici ?
On vous parle des États-Unis, d’Israël, ou d’autres pays encore, que nenni, pire que le Vatican, ici règne la City avec la FED aux États-Unis notamment qui n’est pas une banque américaine mais bien la banque de ce nid de vipères, comme d’ailleurs ce jour la BCE qui n’a d’européenne que le nom, qui fait les lois de cette virtualité qu’on ose appeler l’union européenne qui n’est que la dictature de l’argenture n’ayant pas le moindre souci de l’élévation des Peuples, mais tout le souci de gagner et gagner encore plus d’argent avec des esclaves attitrés qu’elle ne se prive pas de faire entrer par flots entiers sur les terres des Nations qu’elle occupe afin que disparaissent Peuples, Ethnies et Races, sur cette péninsule qui bientôt ne sera plus qu’un camp de concentration à ciel ouvert.
Il fallait bien entendu que pour cette horreur gouverne que tout État perde l’ensemble de ses colonies, vous comprendrez bien que la dictature ne peut s’instaurer lorsque la multiplicité existe. Il faut pour la dictature de la pourriture n’avoir qu’un seul sujet, qui n’a qu’un seul objet, survivre. Cette vermine fomente, agite, nécrose, décide de ses petits bureaux toutes ces pseudos libérations de peuples, et pour les derniers, n’est-ce pas, dans le cadre de pseudos révolutions arabes qui n’ont d’autres buts que mettre en reptation tous les pays, et ici plus particulièrement les pays du moyen orient. La vermine a son armée pour ce genre de chose, et lorsqu’elle n’en a pas, comme à son habitude elle utilise des mercenaires, et quels merveilleux mercenaires que celles et ceux qui prônent le djihad dans ces pays musulmans. La main de la City est ici partout, jusqu’au dernier « bombardement » chimique qui aurait eu lieu à la Douma en Syrie, voyant l’Armée Syrienne faire prisonniers des soldats anglais dans ce dédale mortifère dont les caches d’armes sont remplies de bombes chimiques provenant d’Allemagne, dont les produits, hasard extraordinaire, ont servi à l’intoxication d’un pseudo-espion russe en Angleterre.
Coalition, vous avez dit coalition ? Il n’y a en Syrie que la coalition de la City, qui veut se mettre en poche la plus grosse réserve de gaz, et qui pour cela, à son habitude utilise le crime, la décapitation, l’éviscération, la crucifixion, le génocide, comme elle le pratique actuellement au Yémen ou en Ukraine avec notamment des armes livrées par la gouvernance française, pur produit de cette pourriture infecte. On ne s’étonnera pas qu’une Nation, comme la Russie qui lutte contre la bestialité, dans le droit international le plus concret, trouve en face d’elle cette dénature atavique, qui ne cherche qu’une chose, une troisième guerre mondiale, afin de se restituer dans son nouvel ordre mondial, qui est la dictature mondiale sous l’égide de ses valets, les homoncules tenus par leurs vices, par leurs meurtres, et notamment l’assassinat d’enfants, dans leurs sectes de pédophiles monstrueux.
Le chancre de l’humanité est là dans sa barbarie immonde et tout un chacun a le devoir d’en être conscient, sauf à être lobotomisé par cette errance inhumaine, dont les mains sont couvertes du sang de peuples entiers, et qui ne jouissent que par l’avoir qu’ils en retirent. La peste bubonique n'est rien par rapport à cela. Lorsqu’on voit la haine se matérialiser dans les traits visqueux de ses préposés, ne cherchant en aucun cas une quelconque paix, mais se préparant pour agresser les Nations de ce monde, notamment agresser la Russie, on ne peut y voir luire que l’esprit de destruction, de l’esclavagisme, déguisés sous le mensonge et la propagande permanente induisant leurs fléaux et leur sous-humanité la plus totale. Ce ne sont pas des Êtres Humains, ce ne sont pas des animaux, mais des ectoplasmes charriant tout ce que l’Humanité ne veut pas, tout ce qu’un Être Humain normalement constitué se doit de rejeter, une fripouille ignoble qui rendra compte à l’Humanité un jour ou l’autre, lorsque enfin démasqué son jeu putride sera reconnu par l’ensemble des Êtres Humains, comme il l’a été au regard de leur action en Serbie, en Irak, en Libye, et maintenant en Syrie, en Ukraine et au Yémen, sans oublier les Nations Africaines notamment le Congo qui compte déjà plus de huit millions de victimes.
Cela vient, et il se voit de mieux en mieux. Et ce ne seront leurs meurtres, leurs assassinats politiques commis depuis des siècles, qui changeront la vision des Êtres Humains à leur égard, bien au contraire, car désormais et par leur dernière action en Syrie, tout le monde peut les voir tels qu’ils sont, des fauteurs de guerre, des assassins en puissance, la lie de l’humanité dans sa boue la plus irréversible, un cloaque immonde voulant asservir l’intelligence, les valeurs d’honneur et de grandeur, dans leur auge répugnante, dont tout un chacun se doit d’élaguer le but par toutes Nations, dans tous Peuples, sans le moindre état d’âme, car les individus composites de ce cloaque en sont dénués, circonscrits qu’ils sont dans la matière fétide qui est leur rempart et à laquelle ils se cramponnent désespérément pour faire valoir leur « droit » de cuissage de l’humanité tout entière, dans un déni du réel affligeant. »
Il y a là ce que nous avons pu constater sur des planètes égarées où la prédation de quelques formes se veut dominante, et qui, toujours et systématiquement a été écarté afin que la Vie puisse retrouver la Voie et non plus se perdre dans ses scories.
© Vincent Thierry