La nécrose
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- Catégorie : Civilisations
La nécrose
Petites nouvelles de cette petite Terre où fort heureusement les éléments bougent notamment en Russie, en Asie, au Moyen Orient, dans les Amériques, en Afrique, dans certains Pays Européens, mais malheureusement pas dans cette Nation que l’on nomme la France, qui eut pu être le flambeau de l’Humanité, mais qui désormais en est la lie la plus consternante. Mais lisons :
« L’esclavage est le règne de cette médiocrité en gouvernance, alliant l’imbécillité chronique avec la bêtise institutionnalisée, mais l’on ne s’en étonnera pas à la vue des pedigrees de ses représentantes et représentants, se prétendant une « élite », alors que ce ne sont que les bas-fonds de l’Élite qui est la capacité par excellence. Incapables de la moindre construction ces ignorants du commun, préférant fertiliser leurs petits avoirs dispensés par leurs maîtres usuriers, s’adonnent, dans le silence pratiquement complet d’un Peuple qui n’en est vraiment plus un, à sa domestication, à son appauvrissement, à sa liquidation physique, avec une délectation morbide qui se lit sur tous les visages apparaissant dans leur lucarne et au son de leur voix sur les ondes accouplées à leurs vices ténébreux.
Il n’y a plus de France ce jour, il n’y a qu’un navire sans capitaine se dirigeant avec dextérité vers les immondices qui sont la plénitude des ignorants, des acculturés, de ces choses sans importance qui se donnent de l’importance alors qu’au regard de l’Histoire avec un H majuscule elles ne représentent strictement rien et qu’elles disparaîtront dans ses poubelles avec la seule aura d’une indigence compulsionnelle et répugnante dont les générations futures montreront l’ignominie, la narcose, la pédanterie sans limite, tout ce que ne doivent en aucun cas être celles ou ceux qui veulent diriger une Nation.
On me dira qu’une majorité subjective a voté pour ces entregents de la sénilité intellectuelle, mais à quel prix, au prix de l’idiotie collective née du parasitisme médiatique encourageant à toutes les basses-fosses pour promouvoir la bassesse, le déshonneur, la culpabilité, la génuflexion, toutes tares de celles et ceux qui défendent la liquéfaction de toute réalité au profit de la virtualité dont s’émerveillent les idiots utiles, philosophes de pacotilles, pâles copieurs de ce qu’ils sont incapables d’écrire. Devant tant de crasse inondant ce Pays on ne peut que s’extasier de la pourriture qui y règne et domestique, et pire encore on comprend qu’il n’y a plus rien à attendre des domestiques qui tondus comme le gazon, en redemandent, dans un statisme conditionné confluent à une crise profonde que l’on pourra appeler démence précoce, les voyant hurler après des otaries courant après un ballon jusqu’à l’hystérie, et baisser le nez devant le couperet qui les réduit à la poussière, un couperet manié par des fourbes, des instruments au service des ténèbres manipulés par l’usure et ses féaux.
On remarquera que le plan pauvreté, induit par cette gouvernance qui ose présenter un tel plan, est bien entendu repoussé pour cause de petits jeux entre millionnaires, je ne parle en aucun cas de sportifs, en mal de reconnaissance. Du pain et des jeux ! Comme Néron avait raison, mais il en a payé le prix. Que se rassurent l’ignominie et ses venelles, ses troupeaux de sangsues, ses hardes belliqueuses, ses choses qui se trémoussent le cul jusqu’à l’Élysée, à grand renfort de publicité, le Peuple de France ne bougera pas, ne bougera plus, voyant sur ce chef de chapitre jusqu’à voir couper les cordons de la bourse au parti de cette Nation, défendant cette Nation, dans le déni de la démocratie le plus total, sans que quiconque ose aller à l’encontre.
Et l’on me dira, bien peu d’écrit depuis l’arrivée de cette horde de chiens dressés au pouvoir, et je répondrai que perdre son temps et sa salive pour ces feuillées n’a pas le moindre intérêt et que la création a autre chose à faire que de perdre son temps à s’abaisser pour témoigner de la fange, une fange journalière qui dégouline comme une diarrhée malpropre sur le visage des citoyennes et des citoyens, insultés du matin au soir, qui n’ont aucune réaction comme le corps d’un malade en voie de disparition, acceptant tout, comme les masochistes, acclamant tout comme les larves insipides, jusqu’à la liquidation de leurs enfants nés par vaccinations outrancières, de leurs aînés par sédation, de leurs proches au motif que la médecine est incapable de guérir ce jour, acceptant de perdre leur pouvoir d’achat, acceptant que les vieux et les handicapés soient rançonnés, acceptant de voir leur Peuple submergé par une immigration économique, acceptant de voir l’esclavage devenir le lot de tout un chacun, jusqu’à voir les véhicules devant être contrôlés plus de cent fois, astreints à la vitesse ridicule de 80 kilomètres heure, non pour sauver des vies mais bien pour engraisser la puanteur qui règne, que l’on voit utiliser des jets pour faire cent kilomètres, dépenser un argent fou pour changer de la vaisselle, ou bien encore initier des sommets à Versailles, sans le moindre intérêt, et osant parler du pognon fou dépensé dans les prestations sociales, conjointement faisant rentrer l’illégalité dans le cadre d’une prétendue légalité coûtant des milliards d’euros, et nonobstant atteignant à l’honneur de la France, au motif qu’on ne peut donner ce qui n’existe pas, laissant entrer en sus tous les retours d’Irak et de Syrie pour, ne nous leurrons pas puisqu’ils étaient le bras armé de l’usure, créer leur petite armée de mercenaire pouvant servir leur cause ridicule, la violence étant le propre de l’État lorsqu’il perd la faveur populaire.
Perdre son temps à ressasser pour tenter d’éveiller la conscience d’un Peuple qui a perdu toute conscience de la réalité, ne sert plus de rien, le Général De Gaulle disant lui-même qu’un Peuple qui a perdu son intelligence n’a plus le droit d’exister. Cela est-il le cas ? L’avenir le dira, et alors à tout le moins la plume reviendra pour en fertiliser le vœu, mais aujourd’hui il vaut mieux répondre par le silence à l’horreur, dans le mépris le plus absolu, tant cette horreur est contingente de ses doctrines usuraires qui ont participé et encouragé la création des Goulags en Union Soviétique et des camps de concentration dans l’Allemagne nationale socialiste, dont la France aujourd’hui n’est pas si loin au regard de la gouvernance qui y siège dans un venin ahurissant que tout un chacun devrait boire jusqu’à la lie pour en éprouver la bestialité qui est le propre de l’inconditionné, de la fameuse chose qui n’a plus rien d’humain, mais tout de la bête difforme et rugissante.
Ne perdons donc pas de temps dans cette écurie qui masque la pédophilie, l’outrage, toute la lie du monde qui s’imagine régner sur les esprits mais ne règne que sur les corps enchaînés par sa perversité, son idiotie congénitale, son délire infatué, toute répugnance que tout être humain normalement constitué se doit de rejeter en bloc afin de respecter la Vie et le Vivant. Ainsi ce site prend-il une année sabbatique, après laquelle le point sera fait, sur le renouveau ou bien la chute totale de l’Esprit de la France dans l’immondice et ses féaux. »
Nous prenons note que des nouvelles ne parviendront plus pendant quelque temps de ce beau pays qui fut que l’on nommait la France qui lentement s’enfonce dans la boue la plus putride que l’Humanité ait connue. Mais bien entendu nous restons à l’écoute des invariants des autres Nations qui se réveillent et balaient leur sol des immondices qui les gangrenaient.
© Vincent Thierry